à méditer actualités amitié amour amitié tendresse animaux artiste peintre artistes divers automne belle journée belles femmes belles images bon mercredi les ptits bouts
ImagesRubriques
>> Toutes les rubriques <<
· POEMES et POETES (587)
· CITATIONS ET PROVERBES (779)
· NOEL ET JOUR DE L'AN (1150)
· HUMOUR (1093)
· LA PENSEE du JOUR (2490)
· ARTISTES DIVERS (457)
· ANIMAUX DOMESTIQUES ET AUTRES (789)
· BRETAGNE (405)
· ENFANTS (1166)
· PEOPLE (547)
bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
· Quelques citations ... toutes liées au Champagne !
· Un poème de Maurice Carême ... L' Artiste !
· Un joli fond d'écran "ZEN" ... si vous aimez KDO !
· humour ... le Nez !
· citation : la valeur de l' Amitié
· Histoire de la Petite Souris ... à raconter aux Enfants !
· Sans dessus dessous ... texte de Raymond Devos !
· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
· Le Pape François ... les photos qui font la différence !
· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
37578 articles
Notez que les commentaires malveillants, insultants ou racistes, ne seront pas validés ... Merci de laisser éventuellement une trace de votre passage sur mon "Livre d'Or" !!! Vous pouvez également cliquer sur "j'aime", si vous avez apprécié la visite ...
Nous sommes en février, mais d’où vient le nom de ce mois ?
Le roi Numa Pompilius, deuxième roi légendaire de Rome après Romulus, a consacré ce mois au dieu Neptune mais n’a pas donné le nom de ce dieu au douzième mois de l’année ; il lui a donné le nom de februarius du latin februare qui signifie purifier.
En effet, en ce mois d’hiver où la nature se repose avant la résurrection du printemps, on célébrait à Rome les fêtes publiques expiatoires appelées februales en l’honneur des morts.Il fallait se purifier avant de renaître et recommencer une nouvelle année.
C’est César qui a décidé de faire commencer l’année au premier janvier en fonction non pas des saisons mais du rallongement des jours ; ce qui est bizarre, c’est que nous continuons à garder des traces de l’ancien calendrier avec les noms des mois de septembre, octobre, novembre et décembre, septième, huitième, neuvième et dixième mois de l’année !
Alors, si nous considérons février comme le douzième mois de l’année qui termine le cycle des quatre saisons, celui où la nature se repose avant de recommencer un nouveau cycle, nous sommes invités à une autre purification , celle du plongeon dans le bleu de l’infini, qui vide notre mental dans l’instant et nous offre l’or de la joie profonde.
3 millions de français proches du burn out ! Le taux est phénoménal : 12,6% de la population active française est menacée par le burn out, selon une étude menée par le cabinet Technologia, spécialisé dans la souffrance au travail. 3,2 millions de salariés et indépendants français seraient donc exposés au phénomène.
Cette maladie, difficilement reconnue comme telle, conduit à un épuisement total après un travail excessif et compulsif. Pour déterminer ce taux alarmant de pré burn out, le cabinet a posé quelques questions à un échantillon représentatif de 1000 actifs*. Des questions pas toujours évidentes. « Vous sentez-vous épuisé à la fin d’une journée de travail ? », ou « vous sentez vous fatigué lorsque vous vous levez le matin et que vous avez à affronter une journée de travail ? » permettent des réponses simples. En revanche, que répondre à celle-ci ? «Vous sentez-vous émotionnellement vidé par votre travail ? ». Quoi qu’il en soit, les sondés s’y sont soumis et ont permis notamment d’observer que les catégories socioprofessionnelles les plus exposées ne sont pas toujours celles qu’on imagine.
Stress, pression, objectifs inatteignables : ce sont des termes généralement accolés à la panoplie des cols blancs. Et qui sont autant d’éléments qui peuvent favoriser le burn out. Pourtant, selon l’étude Technologia, les cadres ne seraient les meilleurs candidats à cette pathologie. Les agriculteurs les devancent. 24% d’entre eux souffrent des effets (selon la définition de l’étude) d’un travail excessif et compulsif. En second, les indépendants (artisans, commerçants et chefs d’entreprise) avouent en être victimes, pour 20% d’entre eux. Les cadres arrivent en troisième position avec 19%. Devant les employés, les ouvriers, et les professions intermédiaires qui ne sont, respectivement "que" 10%, 7% et 13%, dans ce cas. Ce qui est déjà largement excessif.
(Source : Technologia)
Reste qu’un sondage n’est pas une étude clinique. Et celui-là ne suffira pas à améliorer sa reconnaissance par les organismes publics. Mais il peut servir d’alerte et c’est le but visé.
(1) l’étude a été réalisée en ligne du 30 juillet au 20 août 2013 auprès d’un échantillon de 1000 individus représentatifs de la population active occupée française, à partir du panel propriétaire de Survey Sampling International. Elle a été menée avec la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes : genre, âge, profession et catégorie socioprofessionnelle, secteur économique, et type d’unité urbaine.
(Source : Cadremploi.fr)
(photo de l'article : © Juan Gatti)
Digérer une émotion qui nous est restée sur l’estomac, écouter son instinct viscéral et faire confiance à ses tripes… tant d’expressions populaires qui pourraient s’avérer ne pas être que des métaphores. Enquête au cœur de notre ventre où un deuxième cerveau serait doté de capacités véritablement surprenantes.
Tout le monde le sait, nous avons un cerveau dans la tête – bien que parfois c’est à se demander s’il est bien là. Logé à l’abri de la boîte crânienne, il est souvent considéré comme étant l’organe le plus précieux que nous ayons. Son rôle serait alors de centraliser, par le biais d’un large réseau neuronal, les informations majeures de l’organisme pour en gérer toutes les fonctions vitales. Mais ce système nerveux central est-il réellement tout-puissant ?
La science a récemment découvert que nous avons d’autres cerveaux dans le corps. Voilà qui est plutôt inattendu. Déjà, une nébuleuse neuronale incroyablement performante, composée de plus de 40 000 neurones, est localisée au niveau de notre cœur, comme nous le décrit l’article « Le cœur, notre maître émotionnel » (Inexploré n°21). Mais de surcroît, un autre complexe, riche au grand minimum de 100 millions de neurones, fait office au creux de nos intestins. Nous avons donc aussi un cerveau dans le ventre, et pas des moindres. C’est étonnant. A quoi sert-il ? Cela veut-il dire que nous avons d’autres sortes d’intelligences ? L’heure semble être en tout cas à la délocalisation car il ne serait même pas évident, dans certains cas, de savoir quel cerveau possède un ascendant sur quel autre.
Une anatomie insoupçonnée et autonome :C’est relativement tard, au 19ème siècle, qu’une présence neuronale à été détectée dans nos intestins par Léopold Auerbach, un anatomiste allemand. Depuis, de nombreux scientifiques se sont penchés sur ce complexe nerveux surprenant. Non seulement un énorme réseau possédant seulement mille fois moins de neurones que le cerveau central serait logé au cœur de notre ventre, mais la connexion entre ces deux cerveaux serait étonnamment sommaire. « En comparaison avec le nombre de cellules nerveuses dans le ventre, le nombre de neurones moteurs qui connectent les deux cerveaux est incroyablement petit », explique le Dr Gershon, un grand spécialiste de la neuro-gastroentérologie, dans son livre The Second Brain(Le deuxième cerveau).
Autonomie d’action, voilà ce que cela veut dire. Les deux cerveaux seraient capables de poursuivre leur train-train chacun de leur coté sans se mélanger les pinceaux, car justement, ils ont trop peu de pinceaux en commun. Si, sans avoir besoin de l’aval du cerveau crânien, le cerveau ventral pourrait alors procéder à des actions de son propre chef, il pourrait aussi faire carrément de la rétention d’information. « Contrairement au reste du système nerveux, le système entérique ne suit pas nécessairement les commandes qu’il reçoit du cerveau ou de la moelle épinière. Et il ne leur envoie pas forcément non plus les informations qu’il collecte. Le système nerveux entérique peut, quand il le choisit, gérer des données que ces récepteurs ont relevées par eux-mêmes, et agir sur la base de ces données pour activer un ensemble d’effecteurs qu’il est le seul à contrôler. Le système entérique n’est donc pas un esclave du système nerveux central, mais un opposant doté d’un esprit libre », poursuit Michael Gershon. Qu’on se le dise.
La décentralisation a le vent en poupe :Visez bien, le diagramme figurant le cerveau crânien en train de centraliser toutes les données pour gérer le reste de l’organisme, part à la poubelle. Page blanche. Ebauche d’une nouvelle vision systémique et élaboration de nouveaux organigrammes. « Ces dernières années, un ensemble de nouveaux modèles et métaphores s’est répandu à travers la communauté scientifique, et progressivement dans la culture populaire. Beaucoup de ces nouvelles idées ne viennent pas de la physique, mais de la biologie. (…) Il y a un glissement général vers des modèles décentralisés, dont les actions ne sont pas déterminées par une autorité centrale, mais par des interactions locales avec des composants décentralisés », explique Mitchel Resnick du Massachusetts Institute of Technology.
La délocalisation ne serait pas juste une nouvelle idée politique, mais une réalité de terrain. Plus économique, plus écologique et plus efficace, tout simplement. « Au delà de la digestion et de l’absorption des nutriments, les intestins doivent aussi nous défendre contre l’invasion de bactéries hostiles. (…) Il est alors logique que l’évolution ait placé un cerveau nécessaire à ces performances primordiales à notre survie à cet endroit-là. Il faut tellement de cellules nerveuses pour accomplir toutes ces tâches, que si elles étaient contrôlées depuis la tête, l’épaisseur des câbles neuronaux pour toutes ces connexions serait intolérable. Il est plus sûr et plus effectif de laisser les intestins s’occuper de ces affaires », poursuit le Dr Gershon.
Visiblement, nos intestins ont du pain sur la planche et un deuxième cerveau ne semble pas de trop pour les soutenir dans leurs tâches. Car ce qu’il faut comprendre c’est que le tube digestif qui nous traverse de part en part, est en quelque sorte un canal extérieur à l’intérieur de nous-mêmes. Donc au delà de la gestion de notre digestion, qui est déjà une mission très complexe, administrer cette barrière fondamentale, par laquelle nous avons des échanges intimes mais potentiellement létaux avec le monde, est véritablement une histoire de survie.
Un ventre intelligent ?Le système nerveux entérique gère donc des fonctions physiologiques vitales. Mais quand nous parlons de cerveau, ne parlons-nous pas généralement de capacités intelligentes ? Si nous trouvons dans le cerveau ventral les mêmes neurones et les mêmes neurotransmetteurs nécessaires à la communication nerveuse, que dans le cerveau crânien, est-ce que cela veut dire que notre ventre est capable de penser ? « Le système nerveux entérique est une véritable usine chimique dans laquelle on retrouve toutes les sortes de neurotransmetteurs trouvées dans le système nerveux central », souligne le Dr Gershon. Il serait notamment un grand fournisseur de dopamine, une hormone du bien-être, et de 95% de la sérotonine du corps, dont la variabilité joue un grand rôle dans l’apparition d’états dépressifs.
En réalité, il ne suffit pas d’avoir des neurones et des neurotransmetteurs pour élaborer des pensées conscientes. Ces dernières se produiraient grâce à la partie la plus récente du système nerveux central, le néocortex. Impliqué dans les fonctions cognitives considérées comme supérieures, le néocortex permettrait notamment : la prise de conscience, le raisonnement spatial, le langage, et les commandes volontaires. En revanche, par définition, tout cerveau serait capable d’élaborer des activités psychiques non conscientes. En effet, ces complexes neuronaux sont chargés de recevoir des signaux sensoriels, d’élaborer des sensations distinctes, de les comparer à des mémoires déjà acquises, et de produire des réponses cohérentes et ditesintelligentes, sous forme de messages parfois subtils et/ou complexes. Si cela peut paraître étrange d’imaginer le ventre en train de produire des représentations, d’avoir des préoccupations à partir desquelles il adopte des positionnements, le fait qu’il est doté d’une intelligence qui lui est propre semble pourtant incontournable.
Des désordres psychiques du ventre ?« Puisque le système nerveux entérique peut fonctionner tout seul, nous devons considérer qu’il est probable qu’il ait aussi ses propres névroses », nous dit Michael Gershon. Est-ce pour cela que nos intestins réagissent parfois si fortement au moment de grands stress ? Crampes, ballonnements, diarrhée, constipation… « Les réactions entériques face aux grandes émotions ne sont pas un concept théorique ou ésotérique pour la plupart des gens, ils peuvent voir que le lien est bien réel », souligne le Dr Gershon. Nos réactions instinctives – d’ailleurs souvent appelées viscérales - pourraient selon les circonstances nous tordre le ventre. Le cerveau ventral serait alors le gestionnaire d’une base de données instinctives et fondamentales, composée de milliards de mini-réactions à notre environnement et d’autant de variations dans nos ressentis, sans laquelle nous ne serions tout simplement pas vivants. Traduisant en signaux neuronaux cette source d’informations incommensurable sur le monde, le cerveau entérique serait aussi l’un des fournisseurs de données majeurs pour notre inconscient. Et quand nous voyons, avec les recherches du neurologue Benjamin Libet, que ce sont surtout des processus inconscients qui sont aux commandes de notre vie – parce que la conscience a toujours une demie seconde de retard sur notre réalité (voir « Cerveau, qui décide ? » Inexploré n°18) – nous pouvons entrevoir l’importance que prend cet instinct dans notre quotidien.
Alors, si le système entérique peut produire des pathologies, aurait-il aussi des aptitudes à les résoudre ? « Nous pensons que le système digestif a la fonction de dissoudre les tensions émotionnelles, en déchargeant à travers la paroi intestinale les résidus et la pression liés au stress. Ainsi, nos intestins et le système nerveux entérique ont une capacité d’auto-régulation des émotions par la digestion des impacts du stress », nous explique François Lewin, auteur du livre La Psychologie Biodynamique, une thérapie qui donne la parole au corps. Car si nous pensons aux intestins plutôt en termes d’absorption d’aliments, nous oublions souvent qu’il est aussi un organe d’élimination très important. Par des techniques de massage et de relaxation, il serait alors possible de soutenir cette capacité de gestion des états psychiques de notre ventre, pour mieux nous occuper de ce qui nous est resté sur l’estomac et générer un mieux être.
Des capacités psychiques surprenantes :Gestionnaire de notre instinct, fournisseur d’informations inconscientes, et régulateur d’états d’âme ? Notre cerveau ventral semble avoir des activités surprenantes. Et nous ne sommes pas au bout de nos surprises. Deux chercheurs, Dean Radin et Marylin Schlitz, se sont penchés sur les capacités de perception du cerveau entérique. Utilisant un électrogastrogramme (EGG) – un appareil capable de détecter les activités électriques des neurones dans le ventre, ainsi qu’un appareil mesurant la résistance galvanique de la peau, qui s’apparente habituellement aux contractions de l’estomac – ils ont mesuré les réactions du cerveau ventral dans une situation pour le moins… originale. Ayant réuni 26 volontaires, ils les ont regroupés par paires en décidant que l’un des deux serait l’émetteur et l’autre le receveur. L’émetteur est alors parti dans une pièce et le receveur dans une autre. Il a alors été demandé à l’émetteur de visionner sur un écran des images sélectionnées pour leur capacité à provoquer des réactions fortes – tristesse, dégoût, révolte, désir, tendresse … tout en visionnant de temps en temps le receveur sur un autre écran. Après un total de 206 tests les chercheurs ont pu constater que « les lectures de l’EGG du sujet récepteur étaient notamment plus élevées et correspondaient à celles du sujet émetteur lorsque celui-ci éprouvait d’intenses émotions, positives ou négatives », rapporte Lynne McTaggart dans son livre La science de l’intention. C’est incroyable. Le cerveau que nous avons dans le ventre serait capable de capter, à distance, l’état psychique d’une personne avec qui nous sommes en lien. Il semblerait que les aptitudes du système nerveux entérique n’aient pas fini de nous surprendre.
source:9Gag
- Un enfant autiste avec sa mère, à Villeneuve d’Ascq, en 2008. (Sipa) -
Aussi extravagant que cela puisse paraître, dans les années 1940 à 1970 aux États-Unis, la schizophrénie et l’autisme étaient couramment imputés à un comportement défectueux de la mère.
Le phénomène tenait en partie à la domination de la psychiatrie américaine par l’école psychanalytique, dont nombre de représentants avaient fui l’Allemagne nazie. Frieda Fromm Reichmann écrit ainsi en 1949:
Trude Tietze exerçait comme Leo Kanner, le découvreur de l’autisme, à l’hôpital Johns Hopkins de Baltimore. Elle publia en 1949, dans la revue «Psychiatry», une «Étude des mères de patients schizophréniques». John Rosen, qui prétendait comme Reichmann et Tietze guérir le mal par la psychanalyse, écrit dans un article intitulé «La mère perverse», en 1953: «Une personne schizophrène a immanquablement été élevée par une mère qui souffre d’une perversion de l’instinct maternel.»
Élève de Reichmann, Theodore Lidz, devenu professeur de psychiatrie à Yale, reprend à son compte la notion de «mère schizophrénogène» dans des livres influents, où l’on peut lire que certaines d’entre elles «utilisent leur fils afin de compenser leur sensation de vide et d’inutilité en tant que femme». Longtemps, l’autisme infantile a été considéré comme une forme de schizophrénie. Il n’est donc pas étonnant que ce thème de la responsabilité maternelle ait été repris par les psychiatres s’occupant d’autistes. Leo Kanner n’était pas psychanalyste, mais il était en phase avec son temps quand il publia son texte devenu célèbre sur la «mère frigidaire», en 1952:
(Source : Nouvel Observateur)
Comment portionner votre alimentation grâce à vos doigts !
Grâce à votre main, il est possible de déterminer les proportions adéquates de certains aliments courants. Une manière simple de dire adieu aux kilos superflus
(Source : DailyMail)
(photo ci-dessus : Leslie Caron et Gene Kelly dans Un Américain à Paris, une comédie musicale de Vincente Minnelli (1951) entièrement tournée … en studio à Hollywood !)
Depuis plus d’un siècle, la capitale française est la ville étrangère la plus représentée dans le cinéma hollywoodien. Huit cents films au bas mot depuis Panorama of the Paris Exposition – des images tournées par Thomas Edison lors de l’Exposition universelle de 1900 – jusqu’aux récents Midnight in Paris de Woody Allen (2010) ou Hugo Cabret de Martin Scorsese (2011).
Le cinéma américain s’intéressa très tôt au formidable potentiel historique qu’offrait Paris. Dès l’époque du muet, des décors en carton-pâte reconstituant la capitale française en Californie permettent d’y adapter des grands classiques de notre littérature comme Les Trois Mousquetaires d’Alexandre Dumas ou Les Misérables et Notre-Dame de Paris de Victor Hugo. David W. Griffith, lui, fait de la Saint-Barthélemy un des quatre épisodes de sa fresque Intolérance, puis s’intéresse à la Révolution française en portant à l’écran Les deux orphelines, la pièce d’Adolphe d’Ennery et Eugène Cormon, avec les deux sœurs Lillian et Dorothy Gish.
Paris offre à Hollywood cette Histoire que les Etats-Unis ne possèdent pas. Et l’épouse de Louis XVI fascine notamment les réalisateurs : d’une Mort de Marie-Antoinette produite dès 1904 au Marie-Antoinette de Sofia Coppola (2006), « une cinquantaine de films hollywoodiens se déroulent à l’époque de la Révolution française », précise le critique et historien du cinéma Antoine de Baecque, commissaire de cette exposition.
En devenant parlant, le cinéma hollywoodien découvre une autre facette de Paris, promue capitale de la sophistication. Né à Berlin, mais émigré aux Etats-Unis dès 1922, Ernst Lubitsch mettra sa "touch" au service de la Vieille Europe, tournant une douzaine de films – dont Parade d’amour, Une heure près de toi et La veuve joyeuse avec Maurice Chevalier – qui ont pour décor Paris… sans jamais mettre les pieds dans notre capitale.
« Il y a le Paris-Paramount, le Paris-MGM et le Paris en France.
Le Paris-Paramount est le plus parisien des trois », ironisait le cinéaste, que des photos montrent arpentant inlassablement le plateau durant un tournage. La légende dit qu’il parcourait ainsi près de 2 000 km par film !
A partir des années cinquante, Hollywood n’hésite plus à traverser l’Atlantique pour venir filmer cette ville symbolisant le charme autant que la frivolité. Et dont Audrey Hepburn, actrice britannique née en Belgique et révélée aux côtés de Gregory Peck dans Vacances romaines de William Wyler, devient la meilleure ambassadrice. Huit de ses vingt-sept films auront pour cadre Paris, de Sabrina de Billy Wilder (1954) à Deux têtes folles de Richard Quine (1964), en passant par Drôle de frimousse de Stanley Donen (1957) et Comment voler un million de dollars de William Wyler (1966).
John Huston ( Moulin Rouge), Vincente Minelli ( Un Américain à Paris et Gigi), Howard Hawks ( Les hommes préfèrent les blondes) et Blake Edwards ( Vacances à Paris) s’intéressent à leur tour à une ville où glamour rime avec amour. « Paris est devenue la ville de la liberté des mœurs, car les Américains ne pouvaient pas tourner des films sur l’adultère chez eux », explique Antoine de Baecque. Est-ce alors la révolution sexuelle des années soixante et soixante-dix qui conduira à un inattendu désintérêt des studios américains après leur longue idylle sans le moindre nuage avec Paris.
Ils y reviendront par le biais de films d’action avec Dangereusement vôtre de John Glen (1985), Frantic de Roman Polanski (1987), Ronin de John Frankenheimer (1998), La mémoire dans la peau de Doug Liman (2002) ou Da Vinci Code de Ron Howard (2006). Et en profitant de la politique financièrement attrayante pour attirer des tournages aimantés par les pays d’Europe de l’Est. Entre Londres, Barcelone et Rome, Woody Allen y a posé ses valises le temps de Midnight in Paris. Pour célébrer la gastronomie, le dessin animé Ratatouille ne pouvait avoir lieu ailleurs que dans un grand restaurant parisien.
Votre linge sent bon le propre en sortant dans la machine, mais l’est-il vraiment ? Des chercheurs affirment en tout cas que les lavages à basse température ne permettent pas de tuer les bactéries potentiellement nocives qui sont présentes dans votre linge, transformant votre machine à laver en terrain fertile pour les microbes.
Les niveaux de bactéries retrouvés dans nos machines à laver et nos vêtements soi-disant "propres" ont conduit l’experte en matière d’hygiène, le Dr Lisa Ackerley, à appeler à une prise de conscience concernant ce qu’elle appelle le "cycle de lavage qui rend malade". "La baisse des températures de lavage et l’utilisation de détergents plus doux affectent l’efficacité du processus de lavage qui est supposé réduire la quantité de bactéries présents sur les vêtements".D’après une évaluation microbienne, on retrouve en moyenne 0,1 g grammes (10.000 organismes) de matières fécales sur chaque culotte "propre". Outre une élimination des bactéries inadéquate, la contamination croisée entre aussi en jeu. "Les germes présents sur les vêtements souillés sont transférés sur d’autres tissus, tels que des essuies, qui sont ensuite utilisés dans la cuisine par exemple" ajoute le Dr Ackerley au DailyMail.
Les articles qui sont les plus susceptibles d’être contaminés sont ceux qui entrent en contact direct avec le corps (sous-vêtements, gants de toilette, draps …). Mais les bactéries qui se cachent à l’intérieur de nos machines à laver peuvent également être responsables de la contamination croisée. "Des études ont montré qu’il faut aussi prendre en compte l’accumulation des bactéries à l’intérieur des machines à laver, avec jusqu’à un million de bactéries présentes dans seulement deux cuillères à soupe d’eau de lavage".
"Le lavage à basse température offre des conditions optimales pour que les germes puissent se reproduire et se multiplier dans le tiroir à détergent et le joint de la porte", explique le Dr Ackerley. Le problème s’accentue si un membre de la famille est malade. Les tissus infectés vont se mêler au reste du linge, il y a donc un risque de propagation de l’infection si vous ne lavez pas ceux-ci à des températures suffisamment élevées.
Comment éviter la propagation des germes ?
- Pas de panique, vous pouvez toujours utiliser votre cycle à 30 degrés, mais pas pour tous vos vêtements.
- Lavez les draps, les slips et les chaussettes à plus haute température et séparément des gants de toilette et des essuies (préférez aussi un cycle supérieur à 30 degrés pour ceux-ci).
- Faites un cycle à vide à 90°C une fois par mois pour nettoyer l’intérieur de l’appareil.
- Ne fermez pas la porte de votre machine immédiatement après un lavage. Laissez l’air y pénétrer afin d’y réduire le développement des bactéries.
- Nettoyez régulièrement les joints de la porte de votre lave-linge et le tiroir de détergent.
(Source ; Daily Mail / 7s7)
Les Geais occidentaux tiennent ce que nous appellerions des funérailles quand ils rencontrent un membre mort de leur espèce. Teresa Iglesias et ses collègues de l’Université de Californie à Davis ont fait remarquer que les geais, de voir un oiseau mort, se rassemblent autour de lui ; dans la revue Animal Behavior , ils écrivent que ce comportement peut avoir évolué pour avoir besoin de prévenir les autres oiseaux des dangers.
Les scientifiques ont mené des expériences dans lesquelles ils ont mis un certain nombre d’objets dans les cours résidentiels et observé la façon dont les geais ont réagi. Les objets en bois ... différentes pièces colorées en bois imitant des geais morts et en peluche un grand-duc.
Les geais étaient indifférents au bois. Ils se sont réunis et ont lancé des appels d’alarme en voyant les ducs montés, apparemment parce qu’ils pensaient qu’ils avaient des prédateurs. Ils ont parfois pris d’assaut la peluche, un comportement affiché en voyant un concurrent ou un oiseau malade.
Mais leur comportement envers les oiseaux morts était le plus important. Non seulement l’alarme pour avertir les autres loin, mais ils ont arrêté la recherche de nourriture pendant des jours. Comme la BBC explique, après avoir trouvé l’oiseau mort,
Les geais sont alors rassemblés autour du cadavre, dans une grande concentration cacophonique. Les appels qu’ils ont faits, connus sous le nom "zeeps", "gronde" et "ZEEP-gronde", encouragé de nouvelles geais à assister à la mort.
Les scientifiques pensent que la seule vue d’un oiseau mort était assez pour faire que les geais cherchent à partager cette information pour avertir les autres oiseaux de dangers possibles, même "sans témoin de la lutte et de la mise à mort."
Les geais ne sont pas les seuls animaux que les scientifiques ont observé prenant soin de leurs morts.
Quand un membre de leur troupeau meurt, les éléphants gardent souvent les organes. Ils deviennent agités et semblent étudier l’animal mort, même toucher le crâne et les défenses – avec leurs troncs et les pieds d’une manière cérémonielle.
Il y a quelques années, les scientifiques du Royaume-Uni et du Kenya ont observé les éléphants engagés dans de tels comportements. Ils ont été incapables de confirmer que les éléphants visitaient les os de leurs parents morts en particulier. Mais, comme les scientifiques ont écrit dans la revue Biology Letters, "leur intérêt pour l’ivoire et les crânes de leurs propres espèces signifie qu’ils seraient très susceptibles de visiter les os de parents qui meurent dans leur groupe."
Comme David Field, chef des soins aux animaux pour Londres et Whipsnade Zoos au Royaume-Uni, explique dans le New Scientist :
Les éléphants sont des animaux très intelligents et très tactiles. Le fait qu’ils sont capables de faire la distinction entre leurs propres crânes et celles des autres espèces n’est pas surprenant.
Les éléphants eux-mêmes sont une société matriarcale remplie de tantes et membres de la famille, qui ont des liens étroits au sein d’un groupe.
Par conséquent, un décès dans la famille "pourrait avoir un impact sur les liens sociaux et la structure au sein du groupe," comme il le fait dans les familles humaines.
Les scientifiques ont souligné que la "notion de cimetières d’éléphants – où les vieux éléphants errent pour mourir – a été exposé comme un mythe par les études précédentes" et qu’ils ne sont pas exactement le «deuil» de leur mort.
Comme les éléphants, les chimpanzés ont de gros cerveaux, vivent longtemps et vivent aussi dans des groupes sociaux complexes, ils ont également été observés en deuil de leurs morts, pour des périodes de temps prolongées.
Des Mères chimpanzés ont été observées tenant leurs petits morts, pendant des semaines. En extrême sud-est de la Guinée, les scientifiques ont observé deux mères portant leurs enfants morts pendant plusieurs jours – 19 dans un cas et 68 dans un autre – avant de les abandonner. Conditions de saison sèche ont abouti dans les cadavres étant, en substance, momifié. Comme New Scientist notes, "dans d’autres groupe de primates le corps est arracher des mains de la mère par des males turbulents, ou dans des conditions humides, car il s’est désintégrée en quelques jours."
Même plus, les mères traitent les cadavres avec grand soin comme s’ils étaient encore en vie, les toilettages, chassant les mouches et la production de sons aigus quand ils ont chuté accidentellement.
Dans un autre cas, après la mort de Pansy, un chimpanzé âgées en et captivité, sa fille est restée près d’elle toute la nuit et d’autres chimpanzés ont nettoyé le cadavre et l’endroit où elle était morte.
Les zoologistes ont enregistré trois cas de girafes , les plus hauts animaux du monde, le deuil de leurs morts.
En 2010, dans la conservation de Soysambu au Kenya, une girafe femelle a été vu passer quatre jours à côté du corps de son one-month-old veau. Dix-sept autres femelles girafes ont également encerclé le corps au cours des quatre jours.
En 2011, une girafe femelle en Zambie a été vue passer deux heures à côté d’un veau qui était apparemment un mort-né. Elle écarta ses jambes pour se baisser – quelque chose que les girafes font rarement, sauf pour manger ou boire – et léché le veau pendant plusieurs heures. Ce comportement a été répété pour les deux heures entières et est d’autant plus notable que les girafes passent rarement du temps seules.
Toujours en 2011, un troupeau de girafes en Namibie avec le cadavre d’un jeune girafe femelle qui était mort trois semaines avant. Certaine girafes mâles avaient leurs jambes évasées et reniflaient le sol.
Les scientifiques se méfient de dire que certains mammifères ont un concept de la mort, tout en notant qui il y a plus d’espèces que l’on croit qui réagissent quand même à la mort d’un des leurs.
(Source : Care2)