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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Les légumes sont fondamentalement bons pour la santé, en règle générale. Mais en ce qui concerne les canins, ce n'est pas toujours une évidence. Il existe en effet des fruits et légumes qui sont toxiques pour eux. Cette liste vous évitera de commettre des erreurs à l'avenir.
Vous ne le saviez sans doute pas, mais les raisins sont particulièrement nocifs pour les chiens. La raison de sa toxicité est encore méconnue, mais la présence potentielle de mycotoxines (substances présentes dans les moisissures) serait peut-être à son origine. Il faut à tout prix éviter de leur donner ce fruit à manger, car ils peut conduire à une insuffisance rénale. Attention donc aux grappes de raisin accessibles par votre animal dans le jardin, car ce dernier pourrait aller en manger de lui-même.
Certains affirment à tort que l’ail est bénéfique pour l’alimentation du chien. Et pourtant, la Pet Poison Helpine, une ligne téléphonique de vétérinaires professionnels disponible 24/24h prévient les maîtres : l’ail est considéré comme plus toxique que l’oignon. Quoi qu’il en soit, ces deux aliments peuvent causer de graves problèmes à vos chiens, dont la léthargie, un risque cardiaque élevé et des problèmes respiratoires s'ils sont consommés en forte quantité.
Ce fruit si délicieux est pourtant un danger potentiel pour vos animaux. La pulpe du fruit est sans risques pour vos chiens, mais il en est autrement lorsqu’il s’agit du cerisier qui une fois consommé peut entraîner une insuffisance respiratoire, voire le décès. La plante contient du poison, il s'agit du cyanure. Assurez-vous donc de garder vos chiens loin des cerisiers.
Il faut toujours faire attention aux champignons que l’on cueille, et c’est également valable pour nous, humains. Il faut donc redoubler de vigilance avec les chiens qui eux, peuvent consommer des champignons trouvés dans la nature qui sont potentiellement dangereux. La toxicité des champignons peut être fatale chez les chiens et provoquer des crises d’épilepsie et des tremblements.
Oui, c’est assez surprenant, et pourtant… les groseilles sont néfastes pour vos chiens. À l’instar des raisins, il faut éviter à tout prix d’en donner à votre animal. Les effets ne sont pas soudains, foncez chez le vétérinaire sans attendre, car votre bête pourra souffrir d'une insuffisance rénale sévère…
Il est vrai que l’on retrouve la pomme de terre dans la plupart des croquettes pour chiens, mais les pommes de terre crues sont toxiques pour ces derniers. D’ailleurs, à titre informatif, elles sont également toxiques pour nous, humains !
Comme les cerises, les graines, les feuilles et les tiges des plantes d’abricots sont toxiques pour les chiens, alors qu’ils peuvent tout à fait consommer la pulpe du fruit. Des précautions doivent impérativement être prises si votre chien peut accéder à toutes les autres parties de la plante. Elles contiennent aussi du cyanure et peuvent entraîner une insuffisance respiratoire et la mort.
Avec de la rhubarbe, on peut réaliser de délicieuses tartes. Les choses ne sont pas aussi simples pour nos amis les canins. Les feuilles et les tiges épuisent les niveaux de calcium dans leurs corps. Cela peut entraîner une insuffisance rénale ainsi que d’autres problèmes médicaux.
Grosse surprise ! Car la pomme est très appréciée par les chiens. Malgré tout, il faut rester vigilant : les graines présentes dans le fruit contiennent également du cyanure. Restez donc attentif, car il vaut mieux prévenir que guérir.
Alors que le fruit est extrêmement bénéfique pour la santé des canins, la plante est quant à elle vraiment toxique. Les tiges et les feuilles d’un plant de tomates peuvent provoquer des problèmes intestinaux graves. Attention donc si votre chien est un peu trop curieux et qu’il fouine dans votre potager.
La curieuse origine du symbole du dollar ...
Le signe dollar pourrait représenter l’histoire biblique du serpent. Le symbole dollar pourrait également être basé sur le symbole alchimique d’un S en haut de la lettre T.
Le symbole du dollar est l’un des plus puissants du monde. Il représente le rêve américain et le succès, mais il évoque aussi le consumérisme, la cupidité et le capitalisme.
Emprunté par la culture pop, reproduit dans une sérigraphie d’Andy Warhol, il a aussi été utilisé dans le codage informatique. Pourtant, les origines du S barré restent floues.
L’histoire de la livre sterling remonte à plus de 1200 ans. Elle fut utilisée pour la première fois par les Romains comme abréviation de “libra pondo”, soit “une livre en poids” l’unité de base du poids de l’empire. Les Anglo-Saxons ont conservé la lettre L et la barre transversale, apparue plus tard, avertissait de la présence d’une abréviation.
En 1520, le Royaume de Bohême a frappé des pièces de monnaie en utilisant l’argent d’une mine de Joachimsthal, soit la vallée de Joachim, en allemand. La pièce aurait été surnommée le “joachimsthaler”, qui aurait ensuite été raccourci en “thaler”. Les premiers immigrants hollandais arrivés sur le sol américain auraient utilisé ces pièces et le nom serait devenu “daler” en anglais, dont le dérivé serait “dollar”.
Certains identifient aussi le sigle du dollar comme la représentation d’un serpent sur une croix chrétienne. Il s’agirait d’une référence à Moïse, qui enroula un serpent de bronze autour d’un mât afin de guérir les personnes mordues.
Une autre version établit une ressemblance entre les piliers situés à l’entrée du détroit de Gibraltar et ceux qui figurent sur les armoiries nationales de l’Espagne et, aux XVIIIème et XIXème siècles, sur le dollar espagnol, qui était aussi connu sous le nom de pièce de huit, ou peso. Les deux piliers étaient entourés de banderoles, qui formaient un S. Du fait des nombreux échanges commerciaux entre les Américains espagnols et les Américains anglais, à l’époque des colonies, c’est la théorie la plus largement acceptée.
Cette dernière théorie est toutefois critiquée par ceux qui la jugent partisane. L’origine d’un des principaux symboles des États-Unis viendrait d’Europe, à une heure où les Américains sont très critiqués.
Il faut remonter aux années 1790 pour trouver le premier signe d’impression du dollar, dans une imprimerie de Philadelphie. Un fervent patriote américain, ou du moins un écossais farouchement anti-anglais, nommé Archibald Binny en serait à l’origine.
Le perchoir sur le toit de gare de l’Est rouvre ...
Encore une bonne nouvelle pour les Parisiens qui passeront l’été à Paris, le Perchoir de l’Est, la terrasse ultra chic de la gare de l’Est a rouvert le 29 mai dernier. Dans une ambiance romantico-industrielle, vous allez pouvoir attendre votre train la tête dans les étoiles !
Sur les hauteurs de la gare de l’Est dans un espace habituellement fermé au public, le Perchoir de l’Est vient d’ouvrir ses portes pour la quatrième année consécutive. La terrasse chic et fleurie se love sous la rosace Eiffel entre la statue de Verdun et celle de la femme de pierre.
Son atmosphère industrielle si particulière des gares construites au 19ème siècle et romantique est l’endroit idéal pour déguster un cocktail rafraîchissant.
Pour vous faire totalement oublier le tumulte de la ville, ils ont tout prévu ! Cette année, l’ambiance musicale a été confiée à Karl Planck, l’un des fondateurs de la célèbre radio en ligne Radiooooo.com. Du coup, attendez-vous à une sélection éclectique et enjouée. On récapitule : cocktails, musique au top et terrasse chic… Le tiercé gagnant pour un été parfait !
Le Perchoir de l’Est
Gare de l’Est
10, place du 11 novembre 1918, Paris 10ème.
Ouvert du lundi au jeudi de 18h à 2h
Le vendredi de 16h à 2h et le week-end de 14h à 2h
Le geste insolite des étudiants devant la statue de Montaigne !
Son pied vêtu d’un petit soulier porterait chance aux étudiants : il suffit, selon la légende, de le frotter de la main, de saluer Montaigne (rien ne nous dit s’il faut le faire poliment ou si un « Yo Michel » convient) et la réussite scolaire est assurée ! À force d’être caressé, le pied a changé de couleur et contraste avec le reste de la statue.
Pour ceux qui en ont terminé avec les études, sachez que la superstition étudiante s’étend même à tous les types de voeux. Alors, que la force de Montaigne soit avec vous !
Statue de Montaigne – 56 Rue des Écoles, 75005 Paris.
Métro : Cluny-La-Sorbonne (ligne 10)
Afin de préserver les abeilles, McDonald's crée une ruche à l'effigie de ses restaurants ...
McDonald's a ouvert le plus petit restaurant au monde : La McHive, un paradis pour les abeilles !
De nouveaux rapports apparaissent presque quotidiennement pour nous mettre en garde sur le fait que des espèces entières sont sur le point de disparaître et les abeilles en font partie. Rien qu'en France, on estime que les pertes quotidiennes dans les ruches sont équivalentes à l'ensemble de la population, soit près de 70 millions de décès toutes les 24 heures !
Comme vous le savez peut-être déjà : elles jouent un rôle essentiel dans notre écosystème en tant que pollinisatrices et leur disparition nuira considérablement à la production agricole mondiale...
Un seul objectif : les protéger ! Dans le but de souligner l'importance des abeilles, McDonald's Suède, avec l'aide de l'agence de publicités Nord DDB, a créé « le plus petit McDonald du monde », il s’agit en réalité d’une ruche qui ressemble comme deux gouttes d’eau à un petit McDonald's avec un drive, des affiches de publicité McDonald’s, des tables et chaises extérieures ... Bref tout y est pour nos petites abeilles. On vous fait visiter ?!!
Crédits :NORDDDB
Crédits : NORDDDB
Le « plus petit McDonald’s du monde » est une ruche très opérationnelle fabriquée à la main par un menuisier et qui a « de la place pour des milliers d'invités importants ».
En l'honneur de la Journée mondiale de l'abeille, le 20 mai, la McHive a été vendue aux enchères lors d'une collecte de fonds au profit d'organismes de bienfaisance Ronald McDonald House pour plus de 10 000 $.
D'autres restaurants ont adhéré à l'initiative et cinq franchises ont maintenant leurs propres ruches sur leur toit. D'autres envisagent de se joindre à la cause en « remplaçant même l'herbe autour de leurs restaurants par des fleurs et des plantes qui sont importantes pour le bien-être des abeilles sauvages », explique Nord DDB.
La tyrolienne de la tour Eiffel : se jeter du 2ème étage est possible !
Elle est de retour ! La fameuse tyrolienne qui a fait vivre de sacrées sensations à quelques chanceux l’an dernier revient cette année à l’occasion du tournoi de Roland Garros.
Cette activité unique en son genre prendra place du 29 mai au 2 juin prochain et son point de départ ne sera nul autre que le deuxième étage de la Tour Eiffel ! Pour participer à cette expérience hors du commun, vous devrez tenter votre chance via un jeu-concours organisé sur les réseaux sociaux de la marque Perrier.
Intitulée « le smash Perrier », ce saut en tyrolienne vous propulsera sur 800 mètres à la vitesse d’un smash de tennis, enfin 90 km/h pour être plus réaliste… Parce que pouvoir dire « j’ai sauté du deuxième étage de la Tour Eiffel », c’est carrément la classe, n’hésitez pas à tenter votre chance, 147 vols sont à prévoir !
Crédit photo à la une : Instagram @kelly.lns
Pourquoi les Parisiens veulent-ils quitter Paris ?
Un sondage de Cadremploi révélait en juillet dernier les raisons qui poussent les cadres parisiens à fuir la capitale… Et sans surprise, ce sont quelques gros points noirs de la vie quotidienne à Paris qui décident de plus en plus d’habitants à mettre les voiles pour d’autres villes…
Paris, je ne t’aime plus :On vous l’avait annoncé dans cet article : plus que jamais, Paris est la ville la plus chère de France, et même du monde… C’est justement le coût de la vie, 9% supérieur à celui des autres régions qui agacent au plus haut point les Parisiens. À cela s’ajoute le prix de l’immobilier, de plus en plus exorbitant. Ainsi, 77% des sondés considèrent que les problématiques relatives au coût de la vie à Paris demeure la première raison qui leur donne envie de quitter la capitale.
Si Paris peut se targuer de posséder un tentaculaire réseau de transports en communs, beaucoup de franciliens sont las de devoir effectuer des trajets longs pour se rendre à leur travail. 56% des sondés font de la question des transports en commun leur problématique numéro 1.
Enfin, le manque de proximité avec la nature insupporte 54% des sondés. Pas assez d’espaces naturels pour s’évader en toute tranquillité… Et bonjour les parcs surpeuplés au moindre rayon de soleil !
Mais alors, où vont les Parisiens qui claquent la porte ? Sans surprise, Bordeaux apparaît comme la ville la plus prisée, pour sa qualité de vie et à sa proximité en TGV avec la capitale. Suivent ensuite Nantes et Lyon, puis Toulouse.
Savez-vous ce qu’est un « mangeur de péchés » ?
En Grande-Bretagne au 19ème siècle, il existait encore des « mangeurs de péchés », c’est-à-dire un homme dont le rôle était de débarrasser les morts de leurs péchés et la Terre de leurs fantômes.
Depuis au moins le début des années 1600 et jusqu’aux premières années du XXème siècle, le «mangeur du péché», une profession plutôt macabre née de légendes folkloriques et de croyances surnaturelles particulières, constituait une ligne de travail commune dans les régions rurales. Les îles britanniques.
Les membres de la famille endeuillés du défunt récemment paieraient les mangeurs de péchés du village pour débarrasser leurs êtres chers de tous les péchés qu’ils avaient accumulés au cours de leur vie, et les mangeurs de péchés pratiqueraient alors un rituel mystérieux qui aurait permis aux morts d’entrer au ciel. .
Beaucoup de gens pensaient qu’un morceau de pain ou de pâtisserie placé sur la poitrine ou sur le visage de la personne décédée était capable d’absorber tous les péchés du défunt: des membres de la famille se sont rassemblés autour du cadavre pour boire de la bière, du deuil et un péché. – Le mangeur mangerait littéralement les péchés du défunt en consommant ces snacks funéraires.
Pendant qu’il mangeait, le mangeur de péchés récitait une prière spéciale :
«Je vous donne la paix et le repos maintenant, cher homme. Ne descends pas dans les ruelles ni dans nos prés. Et pour ta paix, je gage mon âme. Amen. »
Une telle pratique funéraire peut sembler étrange ou même carrément effrayante, mais, de l’avis de nombreuses études anthropologiques et ethnologiques contemporaines, leur origine se situe aux origines du christianisme.
Jésus-Christ, qui, selon la Bible, a volontairement sacrifié sa vie pour nettoyer l’humanité de tous ses péchés, a servi de modèle aux mangeurs de péchés originels, qui ont offert à leur âme de purifier l’âme des défunts.
Bien que les mangeurs de péchés fussent considérés comme ceux qui non seulement permettaient à l’âme des morts de monter au ciel en toute sécurité, mais également comme ceux qui empêchaient les morts dévastés par le péché de revenir sur Terre sous forme spectrale sous forme de fantômes ou de spectres, leurs communautés et contraints de vivre en isolation.
À savoir, les gens craignaient ceux qui étaient disposés à «mettre en gage leur âme», à prendre en charge les péchés des morts et à les ajouter à leur propre collection de péchés. Un tel acte, bien que respecté, était considéré comme l’œuvre de la magie noire, de la sorcellerie, des forces surnaturelles ou même du diable lui-même; regarder un mangeur de péché dans les yeux, même pour une seconde, était perçu comme un signe de malchance.
De plus, la vie des mangeurs de péchés était non seulement solitaire, mais aussi très dangereuse. Étant donné que l’Église catholique avait le monopole de l’absolution des péchés et que les membres du clergé étaient les seules personnes autorisées à effectuer des rituels d’absolution, la consommation du péché était proscrite et punie de mort.
Non seulement ceux qui mangeaient le péché, mais aussi ceux qui employaient des mangeurs de péchés pour débarrasser leurs êtres chers de péchés étaient considérés comme des hérétiques, des blasphémateurs et des adorateurs de Satan. Par conséquent, les mangeurs de péchés étaient généralement obligés de garder leurs affaires enveloppées d’un voile de secret.
Le dernier mangeur de péché connu, un certain Richard Munslow, est décédé en 1906 à Ratlinghope, un village du comté de Shropshire, dans le West Midlands, en Angleterre. Contrairement à la majorité des mangeurs de péchés, qui venaient généralement de familles pauvres et étaient souvent des mendiants ou des ivrognes, Munslow est né dans une famille assez riche et était un fermier respectable.
Selon les récits locaux, il est entré dans l’industrie du péché par pur bonté et amour pour les villageois; il a offert d’absorber les péchés du défunt pour perpétuer une tradition autrefois importante qui s’était éteinte au milieu du XIXème siècle.
En 2010, les citoyens de Ratlinghope, dirigés par le révérend Norman Morris, ont recueilli mille livres pour restaurer la tombe de Munslow, qui était tombée en ruine. Bien que la pratique obsolète de manger du péché ne soit probablement jamais rétablie en Grande-Bretagne, il convient certainement de la rappeler.
(Source : The Vintage News)
Un château néo-gothique se cache au coeur de Montmartre ...
Non loin de la rue Lepic et du cimetière de Montmartre se cache l’une des plus étonnantes petites voies du Nord parisien, l’impasse Marie Blanche qui passerait presque inaperçue dans ce quartier qui regorge de choses à voir, mais qui abrite pourtant l’un des plus beaux édifices de Paris : la maison Eymonaud !
Un manoir de style néo-gothique datant du XIXème siècle :Pour découvrir cette étonnante demeure sortie de terre à la toute fin du XIXème siècle, il faut se rendre au bout de cette petite rue qui, en apparence, ne semble pas plus intéressante que ses voisines : on se retrouve alors nez à nez avec une maison au style particulièrement pittoresque et à l’allure de vieux château médiéval.
Chargée d’éléments décoratifs, la maison Eymonaud – du nom de son propriétaire originel qui a fait construire l’édifice pour accueillir ses collections d’antiquités – est de loin la bâtisse la plus inattendue de Montmartre : une tour carrée surplombée par une terrasse élargie, un atelier en pans de bois, une porte majestueuse digne des plus beaux palais, une tourelle ronde typiquement médiévale, une fenêtre à lucarne joliment ornée… En découvrant ce manoir, il est difficile de croire qu’il n’a été construit là qu’à partir de 1892 !
Et puisque le diable se cache dans les détails, c’est à eux que l’on prêtera toute notre attention. En effet, en arpentant des yeux la bâtisse, on y découvrira une foule de petits détails étonnants. La principale fenêtre par exemple est intégralement réalisée en bois et peuplée de statues de gargouilles, de personnages qui semblent tout droit sortir d’un conte pour enfants et des hauts-reliefs minutieusement sculptés.
S’il est parfois difficile de pouvoir admirer tous ces détails, notamment en été car les arbres qui s’épanouissent devant ont tendance à cacher l’édifice, il est impossible de ne pas s’aventurer du côté de l’impasse Marie-Blanche pour découvrir cette étonnante demeure.
Maison Eymonaud – 7 impasse Marie Blanche, 75018 Paris.