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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
· Quelques citations ... toutes liées au Champagne !
· Un poème de Maurice Carême ... L' Artiste !
· Un joli fond d'écran "ZEN" ... si vous aimez KDO !
· humour ... le Nez !
· citation : la valeur de l' Amitié
· Histoire de la Petite Souris ... à raconter aux Enfants !
· Sans dessus dessous ... texte de Raymond Devos !
· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
· Le Pape François ... les photos qui font la différence !
· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
37578 articles
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Le mystère du rocher « sorcier » de Montmartre ...
Il faudrait être fou pour avoir peur d’une pierre. Seulement le « rocher de la sorcière » est l’un des derniers vestiges du maquis de Montmartre. Et à ce titre, il renferme une histoire vieille de plus d’un siècle et quelque peu effrayante… A tel point qu’elle a traversé les âges, pour finalement devenir une histoire bien connue des habitants de la butte !
L’un des passages les plus pittoresques de la capitale :Un escalier comme il n’en existe qu’à Montmartre, un chemin bordé de résidences luxueuses, de la verdure à n’en plus finir… Le passage de la Sorcière, accessible depuis le 23 avenue Junot ou le 65 rue Lepic, est l’un des petites voies les plus agréables et privilégiés de la capitale. Mais ce petit coin du 18ème arrondissement de Paris s’accompagne aussi de nombreuses légendes ! Parmi les mystérieuses histoires liées à ce passage, on trouve celle qui s’est développée autour de l’imposant bloc de pierre trônant en son centre.
© carolineshanti.renault / Instagram
Nous savons aujourd’hui que ce rocher est le vestige d’une fontaine désaffectée, « La Sourcière », mais les habitants de Montmartre ont longtemps cru qu’il s’agissait d’une météorite, tombée là on ne sait quand, ou alors… un outil magique servant à protéger une sorcière !
Le gardien de la sorcière : En effet, cet imposant rocher fait face à un portail plutôt intrigant qui cache une grosse et belle maison : selon la légende, cette demeure fut jadis celle d’une vieille femme esseulée et un peu folle. Les petits maquisards transformèrent alors le nom du passage de la « Sourcière », du nom de la fontaine qui y était présente, en « passage de la sorcière ». Le « rocher de la sorcière » se transformera rapidement en outil maléfique et la légende se propagera pendant des générations parmi les habitants de Montmartre.© Hôtel Particulier Montmartre
Aujourd’hui ce rocher est le voisin d’une des plus belles adresses de la capitale, l’Hôtel Particulier Montmartre, qui a pris place dans cette demeure au style Directoire et nous propose l’un des bars les plus dépaysants de la capitale. Le passage étant aujourd’hui privé, il faut d’ailleurs passer par cette belle adresse pour pouvoir découvrir le « rocher de la Sorcière ».
La fistule anale de Louis XIV est à l’origine de l’hymne britannique !
Nous sommes en 1686 et tout le royaume parle du bon roi Soleil : après avoir eu la petite vérole, une blennorragie ou encore une fièvre typhoïde, le pauvre Louis XIV souffrirait désormais d’une tumeur à la cuisse. Très vite, on apprend que cette tumeur le fait terriblement souffrir et qu’il ne peut plus monter à cheval, ni même se déplacer autrement qu’en chaise à porteurs.
On apprend également que la situation médicale du souverain est un peu plus embarrassante que ça : exit la tumeur à la cuisse, le mal dont il souffre est en fait une fistule anale, un abcès lié à l’infection de l’une des glandes situées près de l’anus.
Une opération très risquée, mais réussie ! Des dizaines de médecins se proposent alors de guérir le roi de ce terrible mal qu’aucun baume ne parvient à guérir. Parmi ses médecins se trouve un certain Charles-François Félix : c’est lui qui, le 18 novembre 1686 au petit matin, devra opérer à vif le Roi Soleil, à l’aide d’un petit scalpel recourbé conçu spécialement pour l’occasion.Malgré des mois de préparation et des dizaines d’essais préliminaires sur des indigents versaillais, cette opération est très risquée. Tout le monde craint que Louis XIV ne meure sur la « table » d’opération. Madame de Maintenon, l’épouse secrète du souverain, demande alors à Lully de composer une chanson en l’honneur de son époux et pour son salut : reprenant un air latin, le compositeur du roi compose alors une chanson intitulée… Grand Dieu sauve le roi !
On n’est pas loin de God Save The Queen/King, non ? Alors, comment la chanson a traversé la manche ? L’hymne de Lully aurait charmé les oreilles de Haendel, compositeur officiel du roi George Ier, alors qu’il était en visite à Versailles en 1714. Après avoir fait adapter le texte en anglais, Haendel aurait offert cette chanson au souverain britannique qui, à son tour, la trouvera fort à son goût !
Pour certains, cette histoire ne serait qu’une fiction racontée par la Marquise de Créquy dans ses mémoires « Souvenirs », mais une chose est sûre : Louis XIV n’a vraiment pas eu de chance niveau santé et aurait dans tous les cas eu besoin d’une petite chanson pour lui remonter le moral ! Quant au scalpel conçu pour sauver le roi, il est désormais exposé au Musée de l’Histoire de la Médecine.
Depuis 1975, il est interdit de mettre des Fèves dans la Galette de l' Elysée ! (elle mesure environ 1m20 de diamètre). En effet, le protocole exige formellement qu'il n'y ait ni ROI, ni REINE à l'Elysée. Donc pas de couronne non plus ! Ceci est la stricte vérité ...
Les plus belles stations du métro parisien ...
Des couloirs et des voûtes recouverts de petits carreaux de faïence blanche du sol au plafond, le nom de la station inscrit en blanc sur une tôle bleue, des panneaux publicitaires comme seuls motifs de décoration… A priori, les stations du métro parisien se ressemblent toutes ! Pourtant, parmi ces 303 stations si typiques, certaines se distinguent pour leur beauté ou leur originalité.
La station Arts et Métiers (ligne 11) :Le quai de la ligne 11 de a station Arts et Métiers est sans doute le plus original de tout le réseau parisien. Hublots, plaques de cuivre sur les murs, grands rouages au plafond… Il n’y a pas de doute, on se trouve bien dans un univers parallèle ! Pour se sentir hors du monde au coeur du métro parisien, c’est dans cette station, à mi-chemin entre un sous-marin à la Jules Verne et une machine folle sortie de l’imagination de François Schuiten, qu’il faut aller !
© fredfm
La station Liège est typique tout en restant unique en son genre. Décorée des emblématiques carreaux de faïence blanche, avec son nom annoncé sur des mosaïques bleues, elle est aussi depuis 1982, revêtue de fresques en céramique de Welkenraedt. Les fresques, installées dans les cadres publicitaires, représentent des paysages et des monuments de Liège. Une façon de rendre un hommage à nos amis belges et d’éviter un peu le matraquage publicitaire du métro !
La station Cité :
Si vous prenez la ligne 4, on vous conseille de faire plus attention à la station Cité ! Cette dernière est en effet étrangement éclairée par une lumière tamisée verdâtre : une lumière que l’on doit aux magnifiques lampadaires qui jalonnent le quai et que l’on ne trouve que dans cette station. Sa profondeur de 20 mètres sous le sol et ses puits d’accès ouverts sur le quai la rendent d’autant plus majestueuse.
© jartco / Instagram
Largement empruntée par les touristes, Bir Hakeim fait partie de la dizaine de stations aériennes présentes dans la capitale. Elle est recouverte d’une imposante verrière décorée de double-vitraux à chacune de ses extrémités, oeuvres d’une Américaine, Judy Ledgerwood. De Bir Hakeim, le trajet en métro vaut aussi le coup car il offre l’une des plus belles vues de Paris sur la tour Eiffel.
© jumei.liu.23 / Instagram
Aviez-vous déjà remarqué que la station Cluny-La Sorbonne possède trois voies et non deux ? Cette particularité, due à la présence d’une voie de raccordement avec la ligne 4, ne la rend pas jolie pour autant : c’est surtout grâce à son plafond que la station est connue ! En effet, la voûte de son unique quai est décorée par une vingtaine de mosaïques de Jean Bazaine représentant les signatures de célèbres étudiants de la Sorbonne. De quoi lever un peu la tête !
© zullodon / Instagram
Comme toutes les stations de la ligne 14, la station de métro Gare de Lyon fait partie des plus modernes : lumineuse, spacieuse… et verdoyante ! Eh oui, c’est bien un jardin exotique qui décore le quai en direction d’Olympiades. À l’origine, il s’agissait simplement de combler l’espace entre la station et la Maison de la RATP située derrière, mais peu importent les raisons, c’est une bonne chose que la RATP se mette au vert.
© Jean-François Mauboussin
Lumière feutrée, reproductions de statues de l’Antiquité ou du Moyen Âge, murs recouverts de grès, plafonds vêtus de noir… Y a pas à dire, depuis sa rénovation et le renouvellement de sa scénographie en 2015, la station Louvre-Rivoli a retrouvé son statut de station la plus culturelle du réseau.
© kayocorico / Instagram
La plus vieille Horloge de Paris donne l’heure aux Parisiens depuis 1371 !
À Paris, même les touristes finissent par adopter un pas pressé. Par peur du retard ou tout simplement par mimétisme… Nous sommes toujours en train de surveiller attentivement l’heure, mais savez-vous quelle est la plus vieille horloge de Paris ?
Une horloge qui donne l’heure aux Parisiens depuis 1371 :Commandée par le roi Charles V et construite par l’horloger Henri de Vic, cette horloge orne la Tour nord-est du Palais de la Cité depuis 1370. Restaurée et remaniée maintes fois, elle reste encore aujourd’hui fidèle au poste, toujours prête à nous donner l’heure et à nous offrir une multitude de détails intéressants.
On remarque par exemple que le cadran est entouré de deux figures allégoriques représentant la loi (à gauche) et la justice (à droite). Aussi, sous le petit toit qui abrite le cadran sont inscrites des initiales entrelacées : celles « H » et « C » pour Henri II et Catherine de Médicis, et celles « H » et « M » pour Henri IV et Marguerite de Valois (la reine Margot). Alors soyons curieux, levons la tête quand nous passerons à l’angle du boulevard du Palais et du quai de l’Horloge pour admirer ce beau morceau du patrimoine français.
Tour de l’Horloge
1 Quai de l’Horloge
75001 Paris
Les 17 années qui ont profondément transformé Paris ...
Paris est aujourd’hui considéré comme l’une des plus belles villes au monde, mais ce n’était pas forcément le cas il y a quelques siècles. Sous la direction d’un homme, le baron Haussmann, la capitale a subi de profondes transformations en un temps quasi-record.
« Donner aux Parisiens de l’eau, de l’air et de l’ombre » :C’est par ces mots que le préfet Rambuteau s’inquiète de la qualité de Paris dans les années 1830. La capitale est alors une ville insalubre et moyenâgeuse, avec de véritables coupe-gorges. Pour le réformateur social Victor Considérant, Paris est, selon lui, « un immense atelier de putréfaction, où la misère, la peste et les maladies travaillent de concert ». En plus d’accueillir une odeur nauséabonde, les rues parisiennes sont trop étroites. Cela complique la circulation de l’air et favorise la multiplication de « miasmes », synonymes de maladies et de mort.
Face à la concurrence des autres puissances européennes, il faut réagir. C’est donc ce que va faire Napoléon III, après un séjour à Londres en 1848. Impressionné par la modernité et l’hygiène de la capitale anglaise, Napoléon III se tourne vers George Eugène Haussmann, préfet de la Seine, et le charge d’une mission plus que difficile : aérer, unifier et embellir la ville de Paris.
Napoléon III remet à Haussmann le décret d’annexion à Paris des communes telles que Montmartre, Belleville ou Vaugirard.
Si le chantier a de quoi inquiéter, Haussmann peut au moins compter sur le soutien de l’empereur et d’une équipe efficace. De Baltard à Belgrand, en passant par Garnier, tous ont pour mission de révolutionner le paysage urbain de Paris.
La révolution commence par le centre de Paris, avec la construction d’un axe nord-sud, reliant le boulevard de Sébastopol au boulevard Saint-Michel. Un axe perpendiculaire est ensuite formé au niveau du Châtelet. Pendant ce temps, on aménage le lieu symbolique des Halles, pour mieux relier la place du Châtelet. L’Île de la Cité subit aussi de gros travaux et l’Hôtel-Dieu, la caserne de la Cité et le tribunal de commerce remplacent les quartiers médiévaux de l’Île. Pour la rive gauche, on perce notamment la rue des Écoles pour mieux desservir le quartier latin et ses collèges. Plusieurs axes sont aussi construits, à l’image de la rue de Rennes qui devait initialement rejoindre la Seine, mais ce ne sera jamais le cas.
Haussmann en profite aussi pour faire construire des monuments emblématiques comme la gare de Lyon en 1855 ou la gare du Nord en 1865. Dans le même temps, Charles Garnier s’affaire à son fameux Opéra… Séduit par les parcs londoniens, Napoléon III confie à l’ingénieur Jean-Charles Alphand la création de plusieurs parcs et bois. Le bois de Boulogne et de Vincennes, le parc des Buttes-Chaumont et de Montsouris peuvent ainsi offrir de belles balades au sein de la capitale.
Enfin, l’un des plus gros chantiers concerne la qualité de l’air, de l’eau et l’évacuation des déchets. La loi de 1852 impose le raccordement des immeubles à l’égout et les rues qui n’en ont pas bénéficient heureusement d’un tout nouveau réseau d’égout. Sous la direction de Belgrand, plus de 340 kilomètres d’égouts sont construits entre 1854 et 1870. Un réseau qu’il est aujourd’hui possible de visiter…
Pari réussi mais fatal à Haussmann :17 ans après le début des travaux, Paris n’a plus rien à voir avec la ville moyenâgeuse qu’elle était. Malgré le prestige, Haussmann connaît une forte disgrâce en 1870. La faute au coût exorbitant des travaux et aux nombreuses critiques, comme celles de Jules Ferry dans son pamphlet Comptes fantastiques d’Hausmann. Au fil des ans, le préfet a hérité du surnom d’ « Attila », pour avoir causé la destruction de nombreux monuments et de 20 000 maisons.
En récompense de son travail, Haussmann se voit attribuer le nom d’un boulevard qui ne sera terminé qu’en 1926, longtemps après sa mort.
Malgré sa destitution, le nom d’Haussmann reste à jamais associé au prestige de Paris. Grâce à ces travaux, la circulation est améliorée, les nouveaux immeubles sont mieux construits et plus fonctionnels et plusieurs épidémies comme le choléra ont disparu. En 17 ans, l’apparence de la capitale a été profondément bouleversée et aujourd’hui, près de 60% de Paris adopte le fameux style haussmannien.
Visiter le Centre Pompidou sans aucun touriste, c’est possible !
Pouvoir déambuler dans l’un des musées les plus visités de la capitale sans personne d’autre que vous et vos proches vous semble une douce utopie ? Eh bien, pas tant que ça : le Centre Pompidou s’est récemment associé à l’entreprise Airbnb pour proposer des visites privilégiées du musée à des heures habituellement fermées au public.
Six personnes maximum pour un musée pouvant en accueillir des milliers :Alors, oui, les activités proposées par le géant américain Airbnb sont d’abord pensées à destination des touristes, mais pourquoi ne pourrions-nous pas, nous aussi, profiter d’une expérience unique dans l’une des institutions culturelles les plus réputées de Paris ?
Car l’idée de cette « expérience » n’est pas seulement d’offrir une visite privée d’un grand musée, mais également de créer une synergie avec les participants : par petit groupe de six personnes maximum, on commence donc par un petit café dans un bar du quartier des Halles, puis on part à la découverte des collections du musée avec un artiste en guise de guide. La fin de la visite privée ayant lieu à l’ouverture officielle de l’établissement, on peut ensuite rester le temps qu’on souhaite dans le musée. Pas mal, non ?
Les tarifs élevés (il faut quand même débourser 65 euros par personne…) pourraient en décourager plus d’un, mais pour ce prix-là on peut visiter toutes les parties du musée, dont le toit qui nous donne une vue imprenable sur tout Paris, dans la solitude la plus complète. Donc si vous êtes un grand amateur d’art moderne et contemporain, ça peut être une jolie balade à s’offrir. La plateforme propose entre trois et quatre visites de ce type par semaine, toutes programmées à 9h30 le matin.
La Seine gelée à Paris en décembre 1879. |
Quel est le plus vieux fromage de France ?
Les clichés ont parfois du vrai : la France est culinairement célèbre pour ses vins et ses fromages. Plus de 1 200 sortes de fromages sont fabriqués un peu partout dans l’Hexagone. Mais quel est le plus vieux ?
Vous pensez que nous allons parler du camembert ? Raté. La plupart des experts s’accordent à dire qu’il s’agirait du Cantal ! Pline l’Ancien, auteur romain, évoque le Cantal dès le premier siècle après J-C. Il parle d’un fromage très estimé venant du « Pays de Gabalès et du Gévaudan ». Pas de doute, il s’agit bien de ce fromage à pâte dure que l’on aime plus ou moins vieux !
Le Cantal s’appelle ainsi officiellement depuis 1298. Il serait le plus vieux fromage français encore produit aujourd’hui. On regardera autrement notre prochaine planche de fromage !