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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
· Quelques citations ... toutes liées au Champagne !
· Un poème de Maurice Carême ... L' Artiste !
· Un joli fond d'écran "ZEN" ... si vous aimez KDO !
· humour ... le Nez !
· citation : la valeur de l' Amitié
· Histoire de la Petite Souris ... à raconter aux Enfants !
· Sans dessus dessous ... texte de Raymond Devos !
· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
· Le Pape François ... les photos qui font la différence !
· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
37578 articles
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Marché nocturne de Temple Street à Yau Ma Tei, Hong Kong ...
A la tombée de la nuit, les commerçants ont déjà installé leurs étals : Un Un peu partout, chanteurs d'opéra et diseuses de bonne aventure commencent à apparaître. Bienvenue au marché nocturne de Temple Street, un bazar populaire tirant son nom d'un temple Tin Hau situé au cœur de sa rue principale. Ce lieu incontournable est tellement imprégné de culture locale qu'il a servi de décor à bon nombre de films cultes.
Ici, bibelots, théières, composants électroniques, montres, vêtements, jades et antiquités sont examinés avec attention et font l'objet d'intenses marchandages, tandis qu'alentour se dégustent fruits de mer, plats de riz, de nouilles et autres spécialités locales.
Le marché de Temple Street est un exemple vivant du caractère festif et théâtral que revêt le marché chinois, et en plus, il a lieu la nuit.
Il existe en Belgique une mystérieuse forêt entièrement tapissée de jacinthes.
Croyez-le ou non, cette mystérieuse forêt issue d’un conte de fées, représentée sur ces photographies, existe bel et bien. On l’appelle Hallerbos (ou Bois de Hal en néerlandais) et elle se situe en périphérie bruxelloise.
C’est son épais tapis de fleurs de jacinthes qui donne l’impression que cette forêt sort tout droit d’un conte de fées. Ces fleurs prospèrent et fleurissent au printemps et au début de l’été, et c’est ce feu d’artifice de bleu et de violet qui donne leur nom aux forêts de jacinthes comme celle-ci.
La floraison des premiers jours de printemps draine une foule de visiteurs (et de photographes) vers Hallerbos et les forêts similaires. Les conditions brumeuses sont idéales pour les photographes, car elles confèrent aux bois une atmosphère mystérieuse et surnaturelle.
Les épais tapis de jacinthes indiquent habituellement que la forêt en question est très ancienne. Ceci ne signifie pas obligatoirement que les arbres de cette zone sont anciens, mais que cette zone est restée continuellement boisée durant 300 à 400 ans au moins.
(source : mymodernmet)
Bienvenue dans ce jardin breton situé dans le Finistère. Ici, les propriétaires, Cécile et son époux Jean-Marc font tout eux-mêmes, ou presque.
Travaux dans la maison, construction et aménagement de la terrasse en bois, création de brise-vue avec des poutres en bois, construction d'une pergola puis d'un petit bassin sur la terrasse, plantations de massifs et d'oliviers...
Dans ce jardin breton aux allures de jardin exotique, l'ensemble est harmonieux, le dessin des massifs met particulièrement en valeur les végétaux qui poussent bien dans cette région au climat changeant.
Nous sommes ici dans un jardin à une trentaine de kilomètres de Brest.
Ce jardin – et la terrasse plein sud – sont exposés aux vents du sud et de l'ouest.
Et les tempêtes , lorsqu'elles surviennent en hiver avec des pointes à 110-120 km/h, peuvent causer des dégâts.
"La mer n'est qu'à un kilomètre et les embruns pourraient fragiliser certaines plantes", explique Cécile.
Cette contrainte climatique a guidé son choix de végétaux.
La terrasse en bois bordée de massifs de plantes exotiques s'ouvre sur la pelouse. Les propriétaires se sont occupés de l'extension de la maison eux-mêmes, sauf pour l'ossature bois confiée à la société David Gélébart, à Saint-Pabu. Des plantes résistantes, belles toute l'année :
Cécile a opté pour des végétaux rustiques et résistants afin de concevoir un jardin comme une source d'évasion, depuis la terrasse, ou vu depuis l'intérieur de la maison.
"J'en profite à travers les fenêtres, comme un tableau, et du coup je ressens moins l'envie d'avoir des plantes d'intérieur".
Dans les massifs joliment dessinés, Cécile a planté des végétaux et étalé un paillis pour éviter la repousse trop rapide des mauvaises herbes.
Des iris aux couleurs qui claquent ! Et le parfum en plus.
Depuis la terrasse, vue sur le jardin aux allures de grand parc où paissent les moutons d'Ouessant.
En été, la couleur est au rendez-vous. Entre les penstémons et les voiles d'ombrage rose et vert tendues au-dessus de la terrasse, le ton est donné. Pas de place pour la morosité, même quand le ciel se fait gris. Des Oliviers comme dans le Sud :
Cécile souhaitait créer une ambiance exotique aux abords de la maison ; elle avait envie d'un coin qui lui fasse penser au Midi, bien qu'installée très loin de la Côte d'Azur.
Les oliviers sont les pièces maîtresses de cet aménagement. Un premier olivier dont l'âge est estimé à 50/70 ans.
Il a été acheté dans une jardinerie (chez Lagadec dans le Finistère) et planté au printemps 2016. Un deuxième olivier, bicentenaire, a été planté à l'autre extrémité de la terrasse.
On se croirait dans le sud... Le jeune olivier planté sur la terrasse près du coin barbecue est protégé des vents d'Est par une haie de bambous (Phyllostachys Aurea). Plantation Plantation d'un olivier sur la terrasse :
L'olivier a besoin d'un sol bien drainé, c'est pourquoi, après avoir déposé du remblais au fond, les propriétaires ont planté l'arbre dans un mélange de 1/3 de terre de jardin, 1/3 de sable et 1/3 de terreau méditerranéen (spécial "agrumes"), et un peu de corne torréfiée au fond du trou.
A la plantation, laissez dépasser l'olivier de presqu'un tiers de sa hauteur par rapport à la surface de la terre. Atténuez l'effet bombé en ajoutant un paillis d'écorces. Ainsi, l'arbre ne sera pas noyé par la suite.
Sur la terrasse, le coin barbecue a été aménagé avec des bambous, des poutres en pin traitées classe 4 sur le pourtour. Le bassin occupé par 4 poissons a été conçu à partir d'une cuve en PVC recouverte de bois et équipée d'une pompe filtrante.
En bordure de terrasse, un saule crevette (Salix 'Hakuro-Nishiki') accompagné de bambou sacré et de plantes qui fleurissent principalement en été : gauras, penstemon, agapanthes, acanthes, diosmas. Une Une prairie pour les moutons :
La maison est installée sur un hectare de prairie où l'herbe est quasiment toujours verte (merci le climat breton !). Les propriétaires ont des moutons d'Ouessant et des chèvres qui occupent en alternance deux enclos, dont l'un est traversé par une haie de très grands eucalyptus, qui se plaisent beaucoup dans cette région.
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Des iris à perte de vue aux jardins de Brocéliande ...
Ce jardin de 24 hectares propice aux visites ludiques (parcours sensoriels "pieds nus") fait la part belle aux iris, avec pas moins de 1 000 variétés à découvrir !
Trois variétés d'iris parmi les 1 000 à découvrir aux jardins de Brocéliande.
Ouvert jusqu'au 30 juin du mardi au samedi, de 13h30 à 18h, et tous les jours de 11h à 19h du 1er juillet au 31 août . Entrée 4,20 € (enfants), 8,20 € (adultes).
.Fête de la transhumance en Lozère, Occitanie ...
Vous risquez bien de croiser ces dames sur les routes de Lozère ce week-end ! Elles se rendent, non pas à un défilé de mode, mais à la Fête de la transhumance dans l’Aubrac. Depuis quelques années, cette tradition millénaire a été remise au goût du jour dans la région. Pourtant, elle a bien failli disparaître. Alors qu’au siècle dernier les cheptels ont diminué et les élévages se sont sédentarisés, les quelques déplacements étaient réalisés pour une bonne partie en camion. Puis, dans les années 1990, changement de cap ! Le bétail fait son retour sur les routes et la transhumance de mai se transforme en une grande fête populaire et conviviale. Et si par hasard vous êtes dans le coin, n’oubliez pas de déguster de l’aligot !
Le tumulus de Bougon dans les Deux-Sèvres est la nécropole la plus ancienne connue en Europe. Le préhistorien Jean-Pierre Mohen a fouillé pendant plus d’une décennie le site néolithique des tumulus de Bougon (Deux-Sèvres).
En 1979, il organise le déplacement d’une dalle de 32 tonnes avec les techniques néolithiques. Il nous raconte ses différentes découvertes et ses hypothèses.
Découvert en 1840, le site de Bougon a très tôt livré des éléments parlants – notamment un trésor de 200 squelettes humains et d’offrandes. Ce que l’on prenait pour des tas d’épierrements s’est révélé être une nécropole abritant plusieurs tumulus (dolmens recouverts d’un remblai), dont le département des Deux-Sèvres négocia l’acquisition en 1875.
Après un siècle d’interruption, les fouilles ont repris en 1968 et ont été dirigées de 1972 à 1985 par Jean-Pierre Mohen. Avec son équipe, celui-ci a recueilli 23 000 autres fragments d’os, appartenant à 110 adultes et 35 enfants.
Il a aussi avancé dans la reconnaissance et l’interprétation des six tumulus, qui ont été utilisés pendant plus de mille ans, à partir de 4700 avant J.-C.
Le tumulus le plus ancien possédait une coupole en pierre sèche, comme dans les trulli d’Italie du Sud. Le tumulus central avait une toute petite chambre tandis que le tumulus A, de forme circulaire, avait une dalle de 90 tonnes en aigrain, une pierre fossile d’origine corallienne. Quant au tumulus F, long de 72 mètres, il possédait deux chambres, une à chaque extrémité.
La variété des pierres utilisées imposait de déterminer leur provenance, dans une configuration géographique assez simple : un plateau encadré par deux rivières, la Sèvre niortaise et le Pamproux, la nécropole se trouvant à équidistance des deux.
La conclusion fut que les pierres de la nécropole provenaient de différentes carrières, ce qui donnait l’impression que plusieurs communautés avaient choisi de réunir leurs morts en un même lieu, bien visible, sur une élévation de terrain.
L’une des dalles de couverture pesait 90 tonnes, l’autre, près de 32 tonnes.
Elle était constituée d’une roche dure - du calcaire bathonien à silex - provenant d’une carrière située à 4 kilomètres.
Comment les hommes préhistoriques s’y sont-ils pris pour déplacer de telles masses sur les tumulus ?
« Dans les années 1970, des observateurs avançaient que c’était un exploit impossible à réaliser par des hommes du néolithique, explique Jean-Pierre Mohen.
Certains “archéologues des forces secrètes” y voyaient l’action de puissances sidérales.
Nous commencions à disposer d’éléments, provenant des fouilles, sur le type de pierre et d’outils utilisés, etc.
Il fallait tenter une démonstration pour prouver que cela était possible ! » L’extraction de la pierre ne pose pas de problème.
Les strates de la roche sont accentuées par percussion.
On introduit des coins de bois mouillés et taillés en biseau et ainsi la roche finit par se « cliver » sans besoin de la tailler jusqu’au bout.
Elle est ensuite extraite grâce à des pics en bois de cerf. Mais pour le transport ? La réussite de l’opération, programmée pour l’été 1979, passait par la coopération des habitants.
« Je suis allé voir les maires en leur expliquant que nous faisions des fouilles depuis dix ans, que nous commencions à comprendre mais qu’il fallait vérifier les hypothèses, poursuit le préhistorien, qui avoue avoir rencontré un certain scepticisme.
Bougon se trouve à côté de l’école d’officiers de Saint-Maixent, qui se sont rendus disponibles. Quand les maires l’ont appris, ils ont tout de suite accepté de nous aider ! Le Conseil général, propriétaire du site, a proposé de monter une buvette…
Une scierie nous a fourni les troncs pour le roulement. Un vieux couple nous a indiqué les techniques ancestrales pour fabriquer des cordes en fibres de lierre et de viorne. »
Tout est prêt pour l’épreuve le 28 juillet 1979. Cinq cents volontaires sont présents dès le lever du soleil.
Empaquetée, encordée, progressant sur des « rouleaux » posés sur des « rails » (d’autres troncs équarris), la dalle tractée par 200 tireurs avance de plusieurs dizaines de mètres dans la matinée.
Balzac, Chateaubriand, Musset ou encore Victor Hugo y ont séjourné. Et pour cause, le château de La Ballue est un havre de paix breton, situé aux portes de la frontière normande ...
Sans Sans perdre son charme authentique, le château a acquis au fil du temps quelques privilèges de confort : vaste piscine de 100 m2 et spa extérieur.
Les chambres, quant à elles, ont gardé les boiseries d’époque et les tapisseries murales, des tissus historiques réédités par la Maison Braquenié.
Derrière ces murs de pierre, se cache une délicieuse maison entretenue par sa propriétaire, Marie-Françoise Mathiot-Mathon.1. Dans la salle des buffets, aux boiseries XVIIème siècle, classées monument historique, est servi un magnifique petit déjeuner.
Porthminster Beach et St Ives, Cornouailles en Angleterre !
Ce magnifique bout de littoral se trouve en Angleterre ! St Ives était autrefois un modeste port de pêche perdu au fin fond de la Cornouailles, jusqu’au milieu du XIXème siècle. Sous l’ère victorienne se développa en Grande-Bretagne la mode des bains de mer, un phénomène qui entraîna avec lui la construction des premières stations balnéaires. C’est à partir de 1877 et l’arrivée du chemin de fer que la petite bourgade de St Ives se transforme en l’une des destinations préférées des Britanniques. En effet, en plus de son incroyable beauté, le site bénéficie de l’un des meilleurs climats du pays, doux en hiver, relativement chaud en été et un taux d’ensoleillement au-dessus de la moyenne. St Ives est encore aujourd’hui l’une des meilleures stations balnéaires du pays attire de nombreux touristes, retraités et artistes.
Historique et légende de la Tête d'Or de Lyon ...
L’histoire se situe en 1856 et 1857, dates de la création et de la première ouverture aux lyonnais du parc.
A cette époque, le Rhône inondait régulièrement les terrains qui l’entouraient, puis tout rentrait ensuite dans l’ordre.
La ville de Lyon décida, à la suite du projet de parc public présenté par le préfet Vaïsse, de devenir propriétaire du domaine de la Tête d’Or.
Il faut savoir qu’à ce moment là, Lyon connaissait des périodes houleuses.
En effet, par deux fois, en 1831 et 1834, les Canuts s’étaient révoltés à cause des mauvaises conditions de travail dans la soierie et du chômage relatif à ce secteur d’activité.
Aveuglés par la pauvreté et la misère, ces travailleurs désoeuvrés devaient être canalisés pour éviter d’autres débordements plus importants. Le projet de la ville arrivait donc à point nommé.
Les soyeux-chômeurs constituaient une main d’oeuvre interessante, permettant d’apaiser les esprits, d’éviter les émeutes sanglantes, et aussi d’apporter un pécule supplémentaire aux familles de canuts.
Mobilisés pour la création du lac dans le parc, les Canuts se munirent de pelles, de pioches, brouettes, tout en gardant espoir de trouver un jour, le fameux trésor du domaine de la Tête d’Or.
C’est en tout 900 000 m3 de terre qui ont été déblayés, pour servir ensuite à l’édification de digues sur les quais du Rhône.
Le parc de la Tête d'Or est un parc urbain de Lyon, l'un des plus grands de France. Œuvre des frères Denis et Eugène Bühler, le parc est ouvert dès 1857 alors que les travaux ne sont pas achevés.
Pourtant une légende perdure au sein de la communauté de tisseurs lyonnais. Certains racontent qu’après avoir longtemps déblayé, remblayé, nivelé et même creusé ce terrain sur plusieurs mètres de profond (et sur une surface de 12 hectares pour aménager des massifs et autres lieux de plantations), la pelle d’un Canut aurait rencontré un obstacle résistant.
En enlevant la terre excédante, l’homme vit apparaître, comme en rêve, la tête de Christ en or.
Ne pouvant cacher bien longtemps sa découverte aux yeux de ses compatriotes, ils ne tardèrent pas à se quereller au sujet du partage du précieux butin. Ne voulant partager, les Canuts s’empoignèrent devant le visage impassible de la Tête d’Or.
Face à ce triste spectacle, la légende veut que ce Christ se mît à pleurer en voyant comme sa simple présence semait le trouble chez ces travailleurs. Une larme coula le long de son visage puis tomba sur la terre de la vaste étendue creusée par les tisseurs lyonnais, pour se transformer en gigantesque lac.
La montée des eaux fut telle qu’elle engloutit à jamais la tête du Christ sous le regard médusé des ouvriers. Selon cette légende, c’est ainsi que naquit le lac de la Tête d’Or.
On sait qu’un réalité, après des fouilles approfondies, le domaine ne livra jamais son secret.
(Source :Wikipédia)
Plus grand lac naturel d’altitude d’Europe, le lac d’Allos formé par les fontes des neiges, atteint près de 50 mètres de profondeur, sur quelques 54 hectares ! Il faut compter 3 heures de marche pour le rejoindre, depuis le Val d’Allos.