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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Ils seraient d'origine provençale et paraissent inconnus au nombre de 13 avant le début du 20ème siècle.
Autrefois les desserts de Noël étaient composés de fruits récoltés dans les campagnes. il y avait beaucoup de fruits secs ou frais conservés dans les greniers, en prévision de l'hiver.
La tradition des 13 desserts est récente : depuis 1920, ils représentent Jésus et les 12 Apôtres. En fait, jadis, il était de bon ton de montrer à sa famille et à ses amis que l'on ne manquait de rien et que l'hiver pouvait arriver...on tiendrait jusqu’à la saison de production. Avec l'exode rural, on n'avait plus chez soi comme à la ferme, de quoi présenter le maximum de desserts, d'où la nécessité de les acheter... On les fixa donc arbitrairement à 13, en ville cela était réalisable.
Le menu de Noël se compose souvent d'une succession de plats froids et chauds. Tout d'abord sont servies les entrées chaudes ... escargots, bisque de homard, consommé, noix de St Jacques ...
Ensuite vient l'entrée froide : huîtres, foie gras, saumon fumé ... Puis arrive la traditionnelle dinde aux marrons.Viennent ensuite le fromage et la fameuse bûche de Noël.
Les régions françaises mettaient autrefois à l'honneur le soir de Noël des plats typiques dont voici quelques exemples. Dans la région bordelaise, on dégustait à Noël des huîtres mais aussi des saucisses grillées.
Dans la Drôme : le gratin de cardons à la moelle régalait les convives. En Franche-comté, les marrons chauds accompagnés de vin doux étaient servis lors du réveillon. En Lorraine, c'était le boudin noir et les gaufres qui étaient à l'honneur.
En Alsace : on se régalait à Noël d'une oie rôtie accompagnée de choux, ou encore d'une carpe rôtie... Pour le dessert on confectionnait des "bredele", petits gâteaux en forme de sapin, de coeur ou d'étoile, mais aussi du pain d'épice.
En Provence : la tradition voulait que l'on présente sur la table treize desserts à base de fruits, dont les "mendiants" (noisettes, noix, figues sèches, amandes, raisins secs) auxquels on pouvait ajouter le nougat, le melon, la pâte de coing, les dattes, la fougasse, le raisin blanc, les mandarines, les calissons ...
Ces desserts étaient pris au retour de la messe de minuit, avant laquelle on avait au préalable dégusté d'autre plats, salés : la muge aux olives, la poivrade de céleri, les escargots, la morue frite ...
Dans le Nord : on préparait à Noël un pain brioché souvent agrémenté de raisins secs, appelé "coquille", que l'on dégustait accompagné de beurre salé et trempé dans du chocolat chaud. Sa forme rappelant celle d'un bébé emmailloté, on l'appelait aussi "pain de Jésus".
En Corse : les oeufs de mulets font office de caviar et l'agneau rôti est à l'honneur !
La France d'outre-mer : a également ses spécialités de Noël. Dans les Antilles, on déguste du Jambon rôti à l'ananas, du boudin antillais, le tout accompagné de punch à l'orange ... Sans oublier, en dessert, le délicieux blanc-manger au lait de coco.
A la Réunion : on commence avec des samoussas et des bonbons piments pour se mettre en appétit avant d'aborder un plat de viande ou de poisson. En dessert on se régale de litchis et de mangues, qui sont d'ailleurs présents également en métropole à cette saison lors des repas de fête.
Le menu parisien :
Quant au menu de Noël typiquement parisien, il était particulièrement luxueux puisqu'il piochait dans toutes les régions pour y prendre les meilleures spécialités de chacune d'entre elles !
C'est le choix du Parisien qui s'est finalement peu à peu imposé dans toute la France : dinde truffée, oie aux marrons, boudin blanc, huîtres ...
Au niveau des desserts, la bûche de Noël fut assez longtemps concurrencée par le plum-pudding de Christmas importé d'Angleterre, que l'on apportait, toutes lumières éteintes, flambant au rhum.
Mais la bûche de Noël au chocolat, réalisée avec un gâteau léger couvert de crème au beurre dans laquelle on dessine le décor de façon à figurer le bois, est depuis longtemps le dessert emblématique du réveillon de Noël.
Les recettes et plats traditionnels de Noël varient beaucoup à travers le monde, mais il est tout de même un point commun à beaucoup de repas exceptionnels : Le champagne, dont on fait pétiller les bulles aux quatre coins du globe !
Musique de Noël, jouée à l'orgue, par Serge Fontane ...
Oh ! quand j'entends chanter Noël
J'aime revoir mes joies d'enfant
Le sapin scintillant, la neige d'argent
Noël mon beau rêve blanc.
Oh ! quand j'entends sonner au ciel
L'heure où le bon vieillard descend
Je revois tes yeux clairs, Maman
Et je songe à d'autres Noëls blancs.
La nuit est pleine de chants joyeux
Le bois craque dans le feu
La table est déjà garnie
Tout est prêt pour mes amis
Et j'attends l'heure où ils vont venir
En écoutant tous mes souvenirs.
Oh ! quand j'entends chanter Noël
J'aime revoir mes joies d'enfant
Le sapin scintillant, la neige d'argent
Noël mon beau rêve blanc.
Oh ! quand j'entends sonner au ciel
L'heure où le bon vieillard descend
Je revois tes yeux clairs, Maman
Et je songe à d'autres Noëls blancs
Je revois tes yeux clairs, Maman
Et je songe à d'autres Noëls blancs !
A l’instar de la décoration du sapin, de la préparation du repas et de la découverte des cadeaux, la lettre au père Noël fait partie des traditions incontournables des fêtes de fin d’année. Peu importe votre âge, vous vous êtes certainement déjà appliqué à rédiger une jolie lettre avant de l’envoyer au gros monsieur en rouge, espérant secrètement une réponse de sa part. Si comme nous, vous avez cessé de participer au folklore et doutez de l’existence du Père Noël, vous vous êtes sûrement déjà demandé où vont aller toutes ces lettres qui lui étaient adressées ? Pour y répondre, revenons sur l’histoire de ces missives de fin d’année.
L’envoi de lettre au Père Noël n’a rien de nouveau : popularisée en France, avec l’arrivée du vieux monsieur à la barbe blanche dans la seconde moitié du XXème siècle, la coutume s’est installée rapidement dans tous les foyers du pays. L’écriture du courrier se fait méticuleusement dans l’optique de vanter ses bonnes actions, de dévoiler ses souhaits et, éventuellement, d’obtenir une réponse. C’est aux États-Unis que les plus jeunes ont, pour la première fois, eu une réponse « officielle » de Santa Claus : en 1912, le Maître général des postes américain décide d’autoriser ses employés à répondre aux enfants et à remplacer le Père Noël dans cette importante tâche. En peu de temps, c’est toute une organisation qui se met en place sous le nom de code « Opération Santa » pour répondre au mieux et au plus vite, aux petites têtes blondes.
Le Père Noël pose problème :
Les enfants français ont dû attendre un peu plus longtemps pour recevoir la missive du personnage : pour comprendre l’importance d’une telle lettre, il nous faut revenir sur son histoire, intimement liée à celle des PTT (Postes Télégraphes et Téléphones) et aux fameuses réponses du Père Noël. De nombreuses recherches ont été effectuées sur le sujet dont une étude présentée lors d’une conférence à l’Université de Poitiers. C’est après la Seconde Guerre mondiale que de nombreuses lettres destinées au célèbre bonhomme nordique ont fait une entrée remarquée dans les bureaux de postes français.
Venus de métropole, de Dakar, de Guinée ou encore de Madagascar, ces courriers n’étaient pas affranchis et indiquaient des adresses toutes plus fantaisistes les unes que les autres : « Rue des nuage », « Rue du Pôle Nord », « 1 Rue du Ciel étoilé », « Avenue des Rennes »… Bien évidemment, sans timbre ou adresse réelle, ces lettres ne pouvaient pas être acheminées et, en trop grand nombre, devenaient un véritable problème pour les employés de l’administration en charge des postes. En effet, ouvrir un courier à la place de son destinataire est une violation du secret de la correspondance et une telle action est réprimée par le code pénal et par les règles appliquées par les PTT. Une telle lettre doit obligatoirement être redirigée vers le dépôt central des rebuts situé dans l’Hôtel Central de Paris, en place depuis 1771.
La question des lettres au père Noël aurait pu rester négligeable si le nombre de courriers n’était pas devenu de plus en plus important avec les années. En 1959, la revue éditée par le ministère des PTT annonce dans son bulletin que près de 4 000 lettres au Père Noël ont été reçues, donnant une place toute particulière à ces courriers. Si les bureaux parisiens sont préoccupés par cette nouvelle tendance, ceux du reste de la France le sont tout autant et certains postiers, attristés par le sort réservé à ces correspondances, prennent les devants en répondant aux enfants de leurs régions.
En rédigeant ces lettres, les employés violaient la loi et les règles de l’administration au risque de perdre leur travail : c’est la raison pour laquelle ils préféraient rester dans l’anonymat. L’une d’entre eux, Magdeleine Homo, avait depuis longtemps décidé d’agir seule en répondant systématiquement, discrètement et soigneusement aux lettres rédigées par les enfants de son village. Devant l’importance du travail, elle finira par demander de l’aide et l’autorisation de ses supérieurs pour continuer l’envoi des réponses sous le nom du père Noël. L’histoire raconte que c’est le ministre lui-même qui lui donna sa bénédiction.
Un secrétariat pour le père Noël :
Durant les quatre années suivant l’approbation du gouvernement, elle remplira sa tâche : elle recevra l’aide des maîtres d’école et des parents de son village dans la personnalisation des réponses avant d’intégrer le centre de rebuts de la PTT en 1962. Dorénavant, ce dernier serait le seul habilité et autorisé à remplir cette mission et à répondre aux enfants. Magdeleine Homo décèdera l’année suivante sans avoir pu assister à la mise en place complète du nouveau système de réponse, mais certainement après avoir fait rêvé des centaines d’enfants. Cinq ans après son installation à Paris, le service du Père Noël est envoyé à Libourne, en Gironde : le maire de la commune et ami Jacques Marette ( Ministre des PTT) travaillait jusque là au déménagement des services de rebuts de la poste vers sa ville. Une fois le changement effectué, le « secrétariat » n’a pas eu d’autre choix que de suivre le mouvement, utilisant la force de travail des employés des PTT pour répondre aux lettres reçues. Il faudra attendre 1969 pour que la première secrétaire « officielle » du Père Noël soit engagée et 1970 pour que la branche du dépôt central des rebuts dédié aux lettres de Noël devienne officiellement le Secrétariat du père Noël.
La toute première carte-réponse du secrétariat fut illustrée par René Chag et rédigée par la psychanalyste Françoise Dolto (sœur du ministre Marette). On pouvait y lire le texte suivant : « Mon enfant chéri, ta gentille lettre m’a fait beaucoup de plaisir. Je t’envoie mon portrait. Tu vois que le facteur m’a trouvé, il est très malin. J’ai reçu beaucoup de commandes. Je ne sais pas si je pourrai t’apporter ce que tu m’as demandé. J’essaierai, mais je suis très vieux et quelquefois je me trompe. Il faut me pardonner. Sois sage, travailles bien. Je t’embrasse fort. Le Père Noël. »
Aujourd’hui, de nombreux lieux sont dédiés à la réception, la lecture et la rédaction de réponses à ces lettres dans le monde, et certains bureaux vont plus loin en envoyant des cadeaux aux enfants dans le besoin. Pour réaliser un tel travail, les employés des bureaux de poste sont aidés de bénévoles et différentes entreprises réalisent des opérations similaires : L’USPS (United States Postal Service) promet une réponse du père Noël tout droit venue du pôle Nord, avec un tampon « officiel ». On retrouve la même chose auprès de la Royal Mail (Royaume Uni), du Canada Post (qui a créé un code postal spécial : H0H H0H), ou encore du Brésil. Sachez qu’en France, le traitement de la lettre est gratuit et qu’il faut simplement prendre soin de noter son adresse au dos de l’enveloppe envoyée pour recevoir une réponse signée du monsieur à la barbe blanche.
Il est dit que la bûche protège la maison du danger. C'est une des traditions païennes répandues en Europe depuis la nuit des temps pour fêter le solstice d'hiver.
On allumait des feux de joie, symboles modestes mais significatifs de la nouvelle chaleur du soleil.
Cette tradition païenne est encore vivante dans de nombreuses régions de l'Italie et dans plusieurs pays.
En Ombrie et en Emilie, dans les Marches et dans les Abruzzes,on fait brûler une grosse bûche d'olivier jusqu'aux premiers jours de janvier.
A ce moment-là, les cendres sont répandues dans les champs et les vignes, comme augure de bonnes récoltes.
Pour les Pouilles et en Calabre, on recouvre la bûche de lierreet on l'entoure de douze bûches plus petites pour représenter les douze apôtres.
En Sardaigne, on jeûne devant le feu jusqu'à minuit.
Une belle tradition toscane veut que les portes de la maison restent ouvertes aux hôtes de passage, tant qu'une souche brûle dans l'âtre.