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POEMES et POETES

Merci madame la lune ... court poème de M. Botturi !

Publié à 16:27 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes merci mme la lune merci à l auteure
Merci madame la lune  ...  court poème de M. Botturi !
Si la lune brille quand tu dors,

c’est pour planter desmillionsde soleils pour demain.

 

Si tout devient silence quand tu dors,

c’est pour préparer  le chant de milliers d’oiseaux,

et dorer les ailes des libellules.

 

Si la lune tombe dans tes bras quand tu dors,

c’est pour rêver avec toi des milliers d’étoiles.

(Marie Botturi)

La caravane du temps ... poème de M. Brook !

Publié à 15:05 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes la caravane du temps
La caravane du temps  ...   poème de M. Brook  !

La Caravane du Temps 

Avec la caravane du temps,
Je voyage au fil des ans.
De campagnes en villages,
Ma quête n'a pas d'âges.
Cueillir des instants de bonheur
Partager la chaleur de nos cœurs

Armé de mon filet magique
J'attrape des secondes féériques
La fraîcheur d'un rire d'enfant
L'éclat dans tes yeux envoûtants
Le halo de la flamme d'une bougie
Le souffle de vie d'une ligne de poésie

Collectionneur d'un autre âge
J'ouvre les portes de la cage
Pour que s'envole la beauté
D'un être qui retrouve sa liberté
Pour que s'élève l'espérance
D'un monde vibrant de tolérance 

Là où l'argent n'a plus de valeur
Je troque ma peur contre une fleur
Folle illusion ou invincible ardeur
De croire que l'impardonnable erreur
Est de les laisser choisir notre avenir
Alors que nous avons tant à bâtir

Jusqu'où me portera mon expédition ?
Quelle sera ma dernière destination ?
Je préfère cultiver le secret de la surprise
Pour goûter la vie comme une friandise
Pour qu'au dernier matin du dernier jour
Je chante encore ma vie de troubadour

Michael Brook

Magnifique poème de ... Jeanne-Marie Cayron !

Publié à 12:04 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes merci à l auteure
Magnifique poème de  ...  Jeanne-Marie Cayron  !

INSONDABLE OCÉAN CHANSON DU VENT ...
L'océan, qui se meurt sur les plages dorées,
Tantôt bleu, tantôt vert, se fond avec les cieux,
Dans sa vie tourmentée, il est là, nous guidant
Au dépassement de soi, à l'écoute de Dieu,
Quelle puissance de vie, et quelle majesté,
Dans la vague qui chante, et son flux incessant
Mais qui gronde parfois, dans sa course effrénée
Vers je ne sais quelle rive, quel pays enchanteur;
Tout un monde secret vit dans ses profondeurs,
Dans la joie partagée d'un Éden retrouvé.


Cette mer insondable, qui vit toute seconde
Comme si, chaque fois, c'était l'extase ultime
Livrera-t-elle, l'essence de son origine ?
De sa grande puissance, de sa beauté profonde ?
Combien plus belle encore au jour de l'ouragan
Où l'écume rageuse, brisant sur les rochers
Sa force libérée, son trop plein d'énergie
La mer, amie fidèle, est parfois l'ennemie
Quand elle prend en otages, plus d'un infortuné
Que toute une famille regrette en les pleurant.



Ô Océan perfide, tu sais sans fin garder
Ceux que tu as choisis, amis leur as-tu donné,
Avant l'ultime instant, la joie de vivre en toi,
De ne plus faire qu'un, de se sentir aimé,
Pour que malgré la peine, leur famille éplorée
Puisse trouver en toi, une amie, une alliée …
Et, ne plus te maudire, comme à l'instant d'effroi
Qui vit devant leurs yeux, s'engloutir d'être aimé
Le frère, le mari, l'enfant, le nouveau-né
Que le Destin venait, soudain de désigner.


Tu restes, malgré tout, univers de merveille,
Qui, pour chacun de nous, toujours se renouvelle,
Faisant vibrer dans l'air, les accords d'un tempo,
Qui s'enfle, s'amplifie, et devient concerto,
Il emplit l'Univers, l'inonde de lumière,
Devient méditation, se transforme en prière,
Atteint les harmonies d'une grande symphonie;
Les chœurs à l'unisson, chantent à l'Infini,
La grandeur de la Mer, de l'Océan charmeur
De sa vie incessante et de son créateur.

© Jeanne-Marie Cayron

Joli poème du Net ... "Je suis ton Ange Gardien" !

Publié à 13:38 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes merci à son auteur inconnu
Joli poème du Net  ...  "Je suis ton Ange Gardien" !

 Quand tu crois qu'il n' y a plus de lumière :
C'est seulement parce que tu as fermé les yeux !
Quand tu crois que tu n'as plus d amis :
C'est peut être que tu as fermé ta porte
Quand tu crois ne plus rien comprendre
C'est sans doute que tu as cessé d écouter
Quand tu crois que ta douleur est unique :
C'est que tu oublies dans ce moment celle des autres
Quand tu crois que ton chemin ne te mène nulle part :
C'est que tu n es  pas allé jusqu'au bout de celui-ci.
Quand tu crois que l' amour n'est qu'une illusion :
C'est souvent parce que tu le définis comme un rêve.
Quand tu crois que le bonheur n est que pour autrui :
C'est possible que ton regard soit toujours sur eux.
Quand tu crois que les gens que tu aimes t'abandonnent :
C'est que assurément que tu ne pouvais pas les suivre.
*Mais peu importe ce que tu crois
*Moi je crois en tout ce que tu ne crois plus
*Et je serai là pour te redonner la foi
En tout ce que tu voudrais bien croire encore
*Tu n as pas à me chercher au loin
*Tu n as qu à croire en moi comme je crois en toi

 

 *Je suis là où tu es
*Je suis là où tu crois
*Je suis assurément ton meilleur ami
*Car je suis ton ange gardien.

(Poème trouvé sur le net - auteur inconnu) 

Merci pour le partage ... mon ami Bruno !

Publié à 09:53 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes effetmer centerblog net
Merci pour le partage  ...  mon ami Bruno !

ils rêvaient de soleil

de maison au bord de l'eau

d'été, de champs de blé

ils rêvaient de chaleur pour fuir cette grisaille

et cette humidité environnante

alors ils partirent sur la mer

et trouvèrent une petite ile perdue

ou tout était luxuriant, des fleurs, des senteurs, la chaleur

ils avaient la mer à leurs pieds

le bruit des vagues pour les faire rêver

tandis que la haut le soleil les inondait

alors ferme les yeux un instant

écoute les oiseaux, l eau, tu entends?

aller vient je t emmène sur cette  ile

je l'ai appelé juste utopie

©B. d'EFFETMER

Hebergeur d'image

Hebergeur d'image

A la rencontre du Printemps ... poème de M. Carême !

Publié à 14:55 par yvonne92110 Tags : poème maurice careme à la rencontre du printemps
A la rencontre du Printemps  ...  poème de M. Carême !
    
 Allons-nous-en,
A la rencontre du printemps.

Des arbres, des toits, des auvents,
Il pleut des milliers d'hirondelles.
Le soleil verse sur les champs,
De pleins paniers de fleurs nouvelles.

Cheveux au vent,
Tambour battant,
Allons-nous-en,
A la rencontre du printemps.

Prenons nos trompettes gaiement
Et sonnons la mort de l'hiver.
La terre est comme un agneau blanc
Dans les bras nus de l'univers.

Cheveux au vent, Tambour battant,
Allons-nous-en,
A la rencontre du printemps.

(Maurice Carême)

 
 

La pervenche, poème ... Alphonse de Lamartine !

Publié à 13:18 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes la pervenche lamartine
La pervenche,  poème  ...  Alphonse de Lamartine  !

La pervenche

Pâle fleur, timide pervenche,
Je sais la place où tu fleuris,
Le gazon où ton front se penche
Pour humecter tes yeux flétris !

C'est dans un sentier qui se cache
Sous ses deux bords de noisetiers,
Où pleut sur l'ombre qu'elle tache
La neige des fleurs d'églantiers.

L'ombre t'y voile, l'herbe égoutte
Les perles de nos nuits d'été,
Le rayon les boit goutte à goutte
Sur ton calice velouté.

Une source tout près palpite,
Où s'abreuve le merle noir;
Il y chante, et moi j'y médite
Souvent de l'aube jusqu'au soir.

O fleur, que tu dirais de choses
A mon amour, si tu retiens
Ce que je dis à lèvres closes
Quand tes yeux me peignent les siens!

(Alphonse de Lamartine)

PAQUES ... poème de Emile Verhaeren !

Publié à 15:47 par yvonne92110 Tags : de emile verhearen paques poèmes et poètes
PAQUES ...  poème de Emile Verhaeren !

 

 
Pâques ...
 
 
 
Au bord du toit, près des lucarnes,
On a repeint les pigeonniers,
Et les couleurs vives vacarment
Depuis les seuils jusqu'aux greniers.
 
Et c'est le vert, le brun, le rouge,
Sur les pignons, au bord de l'eau,
Et tout cela se mire et bouge
Dans la Lys, le Durme ou l'Escaut.
 
On bouleverse les cuisines :
Des mains rudes, de larges bras
Frottent les antiques bassines,
L'écuelle usée et le pot gras.
 
 
 
Sur les linges, les draps, les taies,
Qu'on sèche à l'air vierge et vermeil,
Pleuvent, partout, le long des haies,
Les ors mobiles du soleil.
 
Là-bas, au fond des cours, s'allument
Faux et râteaux, coutres et socs.
Comme de hauts bouquets de plumes
Sur les fumiers luisent les coqs.
 
 
 
Pâques descend sur le village :
Tout est lavé, même l'égout ;
Et l'on suspend l'oiseau en cage,
Près de la porte, à l'ancien clou.
(Emile Verhaeren)

Oeufs de Pâques ... poème de Marcel Pagnol !

Publié à 13:10 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes oeufs de paques de m pagnol
Oeufs de Pâques   ...   poème de Marcel Pagnol !

ŒUFS DE PAQUES ...

 

 

 

Voici venir Pâques fleuries,

 Et devant les confiseries

Les petits vagabonds s'arrêtent, envieux.

Ils lèchent leurs lèvres de rose

 Tout en contemplant quelque chose                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                  qui qui met de la flamme à leurs yeux.

Leurs regards avides attaquent

 Les magnifiques œufs de Pâques

Qui trônent, orgueilleux, dans les grands magasins,

Magnifiques, fermes et lisses,

Et que regardent en coulisse

Les poissons d'avril, leurs voisins.

  Les uns sont blancs comme la neige.

Des copeaux soyeux les protègent.

Leurs flancs sont faits de sucre. Et l'on voit, à côté,

D'autres, montrant sur leurs flancs sombres

De chocolat brillant dans l'ombre,

De tous petits anges sculptés.

 Les uns sont petits et graciles,

Il semble qu'il serait facile

D'en croquer plus d'un à la fois ;

Et d'autres, prenant bien leurs aises,

Unis, simples, pansus, obèses,

S'étalent comme des bourgeois.

Tous sont noués de faveurs roses.

On sent que mille bonnes choses

Logent dans leurs flancs spacieux

L'estomac et la poche vides,

Les pauvres petits, l'œil avide,

Semblent les savourer des yeux.

 

(Marcel Pagnol)

Poème de l' Oeuf de Pâques ... de Tristan Klingsor !

Publié à 19:02 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes t klingsor oeuf de paques
Poème de l' Oeuf de Pâques  ...  de Tristan Klingsor !

Oeuf sucre, oeuf de Pâques,

Dans l'osier de ta corbeille ronde,

Derrière d'oie ou de sarcelle du lac,

Qui donc a pu te pondre ?

 

Oeuf de sucre, oeuf de Pâques,

Oeuf de pigeon ou de caille,

Petit oeuf de mon joli sac.

Qu'y a-t-il sous ton écaille ?

 

Oeuf de sucre, oeuf de Pâques,

Je n'ose briser ta coquille en mes doigts :

J'ai peur que le bel oiseau qu'on tire à l'arc

S'envole sur les toits

Tristan Klingsor