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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
37578 articles
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Seule dans la nuit
Je déteste mes nuits d'insomnie
Elles m'obligent à être seule avec moi-même
Pourtant, c'est là seulement
Que je me retrouve le mieux
En tant qu'amie
La nuit...
Je laisse tomber mon armure
J'apprivoise tendrement mes blessures
Je prends le temps de m'écouter
J'essaie de me comprendre
Je réussis même à me pardonner
Et à donner un sens à mon existence
Car c'est seulement dans l'écriture
Que je peux calmer ma souffrance
La nuit...
Tous ceux qui ont fait partie de ma vie
Et que j'ai aimés à l'infini
Ressemblent à des anges
Que j'ai oubliés,
Des êtres infâmes
À qui j'ai pardonné
Dans l'obscurité de mes nuits
Ils dorment sur mon âme
Ils n'arrivent plus à me blesser
J'ai oublié mes larmes
Sans aucun regret
J'ai baissé les armes
Et sans peur avec moi-même
Je peux enfin marcher seule
Dans mes pas
La nuit...
Tous mes rêves deviennent réalité
Je peux tout réinventer
De ma façon d'aimer
Jusqu'à celle de mourir
Je retrouve doucement mon sourire
J'ai alors le sentiment
De moins souffrir
La nuit...
Quand le silence me parle encore de lui
Je ferme les yeux et je le revois
Dormant entre l'Éternel et moi
Comme un amant virtuel
Que je ne tiens plus dans mes bras
Sa vie m'a tellement démolie
Que je n'ai pas eu le choix
De le laisser mourir dans l'oubli
Et de tuer en silence le triste souvenir
De cette nuit où il s'est servi de moi
Pour mieux partir...
© Claire De La Chevrotière
Au temps où les plaines sont vertes,
Où le ciel dore les chemins,
Où la grâce des fleurs ouvertes
Tente les lèvres et les mains,
Au mois de mai, sur sa fenêtre,
Un jeune homme avait un rosier ;
Il y laissait les roses naître
Sans les voir ni s’en soucier ;
Et les femmes qui d’aventure
Passaient près du bel arbrisseau,
En se jouant, pour leur ceinture
Pillaient les fleurs du jouvenceau.
Sous leurs doigts, d’un précoce automne
Mourait l’arbuste dévasté ;
Il perdit toute sa couronne,
Et la fenêtre sa gaîté ;
Si bien qu’un jour, de porte en porte,
Le jeune homme frappa, criant :
« Qu’une de vous me la rapporte,
La fleur qu’elle a prise en riant ! »
Mais les portes demeuraient closes.
Une à la fin pourtant s’ouvrit :
« Ah ! Viens, dit en montrant des roses
Une vierge qui lui sourit ;
« Je n’ai rien pris pour ma parure ;
Mais sauvant le dernier rameau,
Vois ! J’en ai fait cette bouture,
Pour te le rendre un jour plus beau.»
La bouture : René-François SULLY PRUDHOMME
Recueil : "Les solitudes"
LE VIEUX CHENE !
Sous les branches du vieux chêne
où nous avions rendez-vous
chaque jour de la semaine
j'y reviens et je pense à nous
Entends-tu ma chanson triste
Mon amour pour toi subsiste
Mes mots s'envolent vers toi
Vers ce ciel gris sans toi
Sur le gros tronc du vieux chêne
Nos deux prénoms sont gravés
Mélangés comme une chaîne
Dans le coeur à tout jamais
Assis contre ce vieux chêne
Enlacés et étonnés
De notre bonheur suprême
J'aimais quand tu m'embrassais
La tête contre le vieux chêne
Je laisse couler mes larmes
Mon coeur déborde de peine
Ta mort a volé mon âme
Entends tu ma chanson triste ?
ENSEMBLE
Viens te mettre à côté de moi, sur le banc devant la maison, femme.
C'est bien ton droit, il va y avoir quarante ans qu'on est ensemble.
Ce soir, et puisqu'il fait beau, et c'est aussi le soir de notre vie :
tu as bien mérité, vois-tu, un petit moment de repos.
Voilà que les enfants, à cette heure, sont casés,ils s'en sont allés par le monde ;
et de nouveau, on n'est rien que tous les deux, comme quand on a commencé
Femme tu te souviens ?
On n'avait rien pour commencer, tout était à faire,
et on s'y est mis, mais c'est dur,il faut du courage, de la persévérance.
Il faut de l'amour, et l'amour n'est pas ce qu'on voit quand on commence.
Ce n'est pas seulement ces baisers qu'on échange, ces petits mots qu'on se glisse à l'oreille, ou bien se tenir serrés l'un contre l'autre ;
le temps de la vie est long, le jour des noces n'est qu'un jour ;
c'est ensuite qu'a commencé la vie…
Il faut faire, c'est défait ;il faut refaire et c'est défaire encore.
Les enfants viennent, il faut les nourrir, les habiller, les élever :
ça n'en finit plus, il arrive aussi qu'ils soient malades ;
tu étais debout toute la nuit, moi je travaillais du matin au soir.
Il y a des fois qu'on désespère,et les années se suivent et on n'avance pas et il semble souvent qu'on revient en arrière.
Tu te souviens femme, ou quoi ?
Tous ces soucis, tous ces tracas ; seulement tu as été là.
On est restés fidèles l'un à l'autre.
Et aussi, j'ai pu m'appuyer sur toi, et toi tu t'appuyais sur moi.
On a la chance d'être ensemble, on s'est mis tous les deux à la tâche, on a duré, on a tenu le coup.
Le vrai amour n'est pas ce qu'on croit.
Le vrai amour n'est pas d'un jour mais de toujours.
C'est de s'aider, de se comprendre.
Et peu à peu on voit que tout s'arrange,les enfants sont devenus grands, ils ont bien tourné :
on leur avait donné l'exemple,
on a consolidé les assises de la maison,que toutes les maisons du pays soient solides et la pays sera solide, lui aussi.
C'est pourquoi, mets toi à côté de moi et puis regarde,
car c'est le temps de la récolte et le temps des engagements,
quand il fait rose comme ce soir, et une poussière rose monte partout entre les arbres.
Mets-toi à côté de moi, on ne parlera pas,on n'a plus besoin de rien se dire,
on n'a besoin que d'être ensemble encore une fois …
Poème de Charles Ferdinand RAMUZ - Écrivain Suisse -
Le passé est arrivé
Un jour
A ma porte,
Avec sa cohorte
De toujours,
Ses valises ouvertes,
Pleines d’espoirs
Et de désespoirs
Mal rangés,
Ses valises ouvertes,
Pleines de casse-tête chinois
Qui se font
Et se défont
Sans trêve
Du bout des doigts…
Le passé est passé
Sans faire de bruit
Et s’est enfui
Pour repasser
Et courir toujours
Chaque jour
Après le temps
Après le temps
Qui jamais ne l’attend…
Caroline Caroline FRANCOIS "le passé" poème de : http://carolinefrancois.centerblog.net
A la femme, le ciel a presque tout donné
Même un plus grand cœur pour aimer
On débute notre vie dans ses bras
Et l’on souhaite la terminer comme ça
Oui, c’est plein d’amour une femme
Même si parfois, trop plein de larmes
Ses qualités on pourrait les multiplier
Et dire que son amour est désintéressé
Sa beauté n’est pas dans sa façon de s’habiller
Mais dans ses yeux, qui sont la porte d’entrée
Si le ciel lui a donné toute cette beauté
Il voulait qu’elle soit toujours belle à regarder
Du premier coup, il l’avait si bien dessinée
Qu’il avait décidé de ne plus jamais y toucher
Toutes les femmes que je connais sont belles
Elles aiment tout, sauf qu’on ne veuille pas d’elles
Elles nous charment toujours avec leur sourire
Si bien que loin d’elles on ne veuille plus partir
On en a créé au moins une pour chacun de nous
Ceux qui n’en veulent pas c’est tant mieux pour nous
On aime une femme, et souvent toute notre vie
C’est une femme aussi, qui nous avait donné la vie
Claude Marcel Breault
L’ARTISTE !
Il voulut peindre une rivière ;
Elle coula hors du tableau.
Il peignit une pie grièche ;
Elle s’envola aussitôt.
Il dessina une dorade ;
D’un bond, elle brisa le cadre.
Il peignit ensuite une étoile ;
Elle mit le feu à la toile.
Alors, il peignit une porte
Au milieu même du tableau.
Elle s’ouvrit sur d’autres portes,
Et il entra dans le château.
Maurice Carême
(¯`-.-?¯). les torrents charrieront les larmes de peine versées.
(¯`-.-?¯). comme l automne qui apparaît et pare la nature de nudité
(¯`-.-?¯). les océans de ce monde ne sont pas assez vaste pour oublier
(¯`-.-?¯). alors parfois même si tes larmes se remettent à tomber
(¯`-.-?¯). dit toi que le chemin de ta vie est infini
(¯`-.-?¯). et que ce qui peu venir n’en peut être plus joli
(¯`-.-?¯). même si parfois tu baisses les bras
(¯`-.-?¯). oui toi qui lit , je l’ai fait aussi.
(¯`-.-?¯). alors péniblement on reprend sa course effréné
(¯`-.-?¯). et c’est alors au détour d’un regard, d’une rue ou d’un trottoir,
(¯`-.-?¯). que soudain renaît l’espoir
(¯`-.-?¯). alors jalousement on voudrait le garder, ne pas le laisser s’échapper
(¯`-.-?¯). mais telle une flamme on en fait profiter les délaissés,
(¯`-.-?¯). les meurtris de la vie, les déshérités, pour que pour eux aussi un soir
(¯`-.-?¯). même l’espace d’une nuit renaît l’espoir
¯`-.-?¯)ton ami (¯`-.-?¯) (¯`-.-?¯)bruno (¯`-.-?¯)
¯`-.-?¯) (¯`-.-?¯) ©B. d'EFFETMER (¯`-.-?¯)
¯`-.-?¯) (¯`-.-?¯) (¯`-.-?¯) (¯`-.-?¯) (¯`-.-?¯)
Le Bonheur, à petites doses !
D’abord être en harmonie avec toi-même
Souvent te répéter que tu t’aimes
Déployer tout grand ton plumage
Et montrer ton véritable visage
Tu n’es, ni trop sensible, ni trop rêveur
Tu n’es pas trop confiant, ou moralisateur
Tu n’es ni trop actif, ni trop joyeux
Sans jamais être devant les autres trop chaleureux
On perd tant de temps à nous interroger
Sur des choses qui ne sont vraies qu’à moitié
Puis on dit souvent , on est comme on nait
On dit surtout, vouloir rester comme on est
Alors, à moins de changer certaines clauses
Il nous appartient seul de changer des choses
Et cette façon de faire que vous possédez
Vous êtes aussi le seul à pouvoir l’utiliser
Il ne faut pas cesser de croire en vous
La vie un jour peut vous mener à tout
Mais parfois, il faut s’asseoir, il faut regarder
Déterminer jusqu’ou on veut aller
De nos sentiments, il faut rester le maitre
Et nous efforcer d’être, non de paraître.
Texte Claude Marcel Breault
L' Amitié ...
La véritable amitié est pure.
Elle ne recherche aucune faveur en retour.
Elle élève celui qui la donne.
La véritable amitié est généreuse.
Elle est plus forte que tous les préjugés.
Elle anoblit celui qui la donne.
La véritable amitié est fidèle.
Elle n’est pas altérée par le temps.
Elle honore celui qui la donne.
La véritable amitié est tenace.
Elle est faite de loyauté et de franchise.
Elle grandit celui qui la donne.
La véritable amitié est magnanime.
Elle ne pose aucune condition.
Elle embellit celui qui la donne.
La véritable amitié est absolue.
Elle n’est jamais donnée par miettes.
Elle fait honneur à celui qui la donne.
La véritable amitié est spontanée.
Elle ne fait l’objet d’aucun marchandage.
Elle récompense celui qui la donne.
La véritable amitié est sincère.
Elle ne pose pas de conditions.
Elle enrichit celui qui la donne.
(Henri de Lacordaire) ... (1802-1861)