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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
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· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
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· citation : la valeur de l' Amitié
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· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
· Le Pape François ... les photos qui font la différence !
· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
37578 articles
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Lorsque l'enfant paraît …
Lorsque l'enfant paraît, le cercle de famille
Applaudit à grands cris. Son doux regard qui brille
Fait briller tous les yeux,
Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être,
Se dérident soudain à voir l'enfant paraître,
Innocent et joyeux.
Soit que juin ait verdi mon seuil, ou que novembre
Fasse autour d'un grand feu vacillant dans la chambre
Les chaises se toucher,
Quand l'enfant vient, la joie arrive et nous éclaire.
On rit, on se récrie, on l'appelle, et sa mère
Tremble à le voir marcher.
Quelquefois nous parlons, en remuant la flamme,
De patrie et de Dieu, des poètes, de l'âme
Qui s'élève en priant ;
L'enfant paraît, adieu le ciel et la patrie
Et les poètes saints : la grave causerie
S'arrête en souriant.
La nuit, quand l'homme dort, quand l'esprit rêve, à l'heure
Où l'on entend gémir, comme une voix qui pleure,
L'onde entre les roseaux,
Si l'aube tout à coup là-bas luit comme un phare,
Sa clarté dans les champs éveille une fanfare
De cloches et d'oiseaux.
Enfant, vous êtes l'aube et mon âme est la plaine
Qui des plus douces fleurs embaume son haleine
Quand vous la respirez ;
Mon âme est la forêt dont les sombres ramures
S'emplissent pour vous seul de suaves murmures
Et de rayons dorés !
Car vos beaux yeux sont pleins de douceurs infinies,
Car vos petites mains, joyeuses et bénies
N'ont point mal fait encor ;
Jamais vos jeunes pas n'ont touché notre fange,
Tête sacrée ! enfant aux cheveux blonds ! bel ange
A l'auréole d'or !
Vous êtes parmi nous la colombe de l'arche.
Vos pieds tendres et purs n'ont point l'âge où l'on marche,
Vos ailes sont d'azur.
Sans le comprendre encor vous regardez le monde.
Double virginité ! corps où rien n'est immonde,
Ame où rien n'est impur !
Il est si beau, l'enfant, avec son doux sourire,
Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire,
Ses pleurs vite apaisés,
Laissant errer sa vue étonnée et ravie,
Offrant de toutes parts sa jeune âme à la vie
Et sa bouche aux baisers !
Seigneur : préservez-moi, préservez ceux que j'aime,
Frères, parents, amis, et mes ennemis même
Dans le mal triomphants,
De jamais voir, Seigneur ! l'été sans fleurs vermeilles,
La cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles,
La maison sans enfants ! VICTOR (VICTOR HUGO)
Recommence !
Si tu es las et que la route te paraît longue,
si tu t'aperçois que tu t'es trompé de chemin,
ne te laisse pas couler au fil des jours et du temps.
Recommence !
Si la vie te semble trop absurde,
si tu es déçu par trop de choses et trop de gens,
ne cherche pas à comprendre pourquoi.
Recommence !
Si tu as essayé d'aimer et d'être utile,
si tu as connu la pauvreté et les limites,
ne laisse pas là une tâche à moitié faite.
Recommence !
Si les autres te regardent avec reproche,
s'ils sont déçus par toi, irrités,
ne te révolte pas, ne leur demande rien.
Recommence !
Car l'arbre rebourgeonne en oubliant l'hiver,
car le rameau fleurit sans demander pourquoi,
car l'oiseau fait son nid sans songer à l'automne,
car la vie est espoir et recommencement !
Alors tiens bon et recommence !
(Auteur inconnu)
Aurore
L’horizon est frangéd’un mauve délicat
Sous le ciel transparent, lumineux, presque blanc.
Les ruines du château, sur leur tas de gravats,
Sont empourprées de feu par le soleil levant
Avant de recouvrer leur bien triste grisaille
De pierres corrodées par le temps qui délave …
Citadelle orangée où erre la gueusaille
Des ombres oubliées, lamentables épaves
D’un lointain Autrefois maintenant effacé.
Mais le jour qui éclôt les a fait disparaître,
Et la lumière crue d’un beau matin de mai
Dissout l’ombre effrayante, en y faisant renaître
Des scintillements d’or comme des fleurs nouvelles.
Mison la médiévale est encor endormie
Au creux de son lacis de rues et de venelles
Et le jour qui s’en vient l’a lavée de sa nuit.
Sur le haut du beffroi, deux jolies tourterelles
Dorment encore, serrées en un frou-frou de plumes.
Mais il faut s’éveiller : à grands coups d’étincelles,
Le soleil triomphant vient de chasser la lune.
Vette de Fonclare
*..*?*elle dansait la salsa
*..*?*comme d’autres jouent des maracas
*..*?*elle virevoltait en liberté
*..*?* sur les notes des mélodies
*..*?*elle dansait la rumba
*..*?*comme d’autres le tango
*..*?*ses pas semblait l’emmenée
*..*?*tout les soirs, elle s’amusait à danser
*..*?*juste pour oublier
*..*?*qu’un jour elle a pleurée
*..*?*alors ces notes jouaient pour elle
*..*?*et la voyaient belle
*..*?*même si ses yeux rougit avait montré qu’elle avait pleuré
*..*?*elle voulait juste vivre sa vie a danser
*..*?*sur des notes de liberté
*..*?*..*?*..*?* *bonne journée?*?*..*?*..*?* *?*..*?*..*?*
*..*?*..*?*..*?* *?*..*?gros bisous*..*?*?*..*?*..*?* *?*..*?*..*?*
*..*?*..*?*..ton ami*?* *?*..*?*..*?*?*..bruno..*?* *?*..*?*..*?*
*..*?*..*?*..*?* *?*..*?*..*?*?*.©B. d'EFFETMER
Soirs d’antan !
Où sont ces soirs d’été, ces jolis soirs d’antan
A l’extrême douceur où l’on tirait sa chaise
Sur le pas de la porte; où l’on avait le temps
De rire entre voisins, tout en prenant ses aises,
Après le dur labeur d’une longue journée ?
On était bien dehors, enroulé dans un châle,
Car il faisait frisquet sous la voûte étoilée
Après le grand cagnard d’un jour d’août infernal.
Où est cette vie calme et cependant très rude
Où tout petit bonheur semblait exceptionnel ?
Je me souviens encor de la Mamet Gertrude
Narrant à qui voulait combien elle était belle
En sa folle jeunesse. Et toutes ces histoires,
Ces contes, ces chansons … On avait presque froid
Mais c’était délicieux ! Oh, qu’ils sont loin, ces soirs
D’une époque bénie appelée … autrefois !
Pas de télé, alors, qui confine les gens
Au creux de leur maison bien fermée dès huit heures.
Est-ce bien un progrès ? Où est-il donc ce temps
Qui rapprochait les gens pour leur plus grand bonheur ?
Où sont ces soirs d’antan, ces jolis soirs d’été
Qu’on avait le loisir de goûter lentement ?
Ces veillées disparues et qui s’en sont allées,
Comme la vie qui passe en mangeant ses enfants !
Vette de Fonclare
? ? oubli un jour les larmes que tu as versé ? ?
? ? comme la pierre lancé qui coule dans l eau ? ?
? ? oubli un jour les blessures du passé ? ?
? ? juste pour te construire un avenir ? ?
? ? oubli simplement que tu as pleuré ? ?
? ? sur des chimères passées ? ?
? ? va sans te retourné ? ?
? ? sur les chemins de ta vie ? ?
? ? et sème le bonheur sur ta route ? ?
? ? comme un clown vagabond ? ?
? ? sème le rire dans le cœurs des enfants ? ?
? ? donne la lueurs dans les cœurs ? ?
? ? de ceux qui l’ont perdu ? ?
? ? l’étincelle peu jaillir d’un regard, d’un mot échangé ? ?
? ? et de cette étincelle, tu verras refleurir les sourires ? ?
? ? sur les visages de ceux qui ont pleuré ? ?
? ? alors tu seras toi aussi un vagabond, le vagabond de la vie ? ?
? ? le vagabond des sourires ? ?
(?? )(? )©B. d'EFFETMER(?? ) (? )
(?=??=) bisous et amitié(?=??=)
(?=??=) bruno(?=??=)
PAIX - Monique - " COLOMBES "
Toi qui sous le sombre ciel toujours voyages,
Ah colombe, colombe ! Tu nous fais oublier les tourments et la dureté,
Et par ta réconfortante présence tu nous invites à l'innocence,
Et par ton éclatante blancheur tu nous mènes vers le bonheur
Que favorise la paix depuis le début des temps quand nous rêvons de printemps.
Mais nos espoirs semblent naïveté lorsque le vautour et l'épervier
Planent et te guettent dans l'attente de te prendre en traître
Et creuser ta tombe.
Ma blanche colombe qui a pour cousin le pigeon
Aussi convoité par le faucon que toi, ma colombe
Qui voudrait faire désamorcer toutes les bombes
Et faire arrêter tous les bombardiers des quatre coins de la terre
Et les savoir se taire.
Mais tu n'es pas le corbeau :
Ce triste messager comme la pie et le perroquet
Qui font tant de ravages par leur vilain ramage
Sans oublier les taupes qui t'ont crue une oie blanche,
Ce qui te rend parfois pie grièche.
Pourtant ! blanche colombe,
Avant que notre planète ne devienne tombe,
Tu aimerais que l'on redevienne des enfants
Pour que chante le printemps chez les bons comme chez les méchants
Qui sont ces apprentis sorciers, comme le faucon et l'épervier
Ou même le vautour avec dans son sac : des tours
Pour envoyer le monde prématurément vers la tombe
Au lieu de faire une ronde autour de la terre.
Ma blanche colombe, tu tentes de faire cesser
Les injustices et l'infamie depuis des millénaires !
Mais pourtant jamais tu ne désarmes
Devant tant d'hécatombes, de cris et de larmes
Et tu sais te détourner des rapaces !
Ne te laisse pas piéger tel un pauvre pigeon
Face au gerfaut et au faucon, ni devant l'autour des palombes,
Ma blanche colombe, car tu fais les adultes rêver
Depuis tant de millénaires !!!
MA CONFESSION
Vous à qui je dis tout
Vous à qui je confie
Mes peines, mes joies, mes souffrances
Je prends le temps de vous dire merci
Et dans les moments difficiles
Je serais là pour vous tendre une oreille attentive
N'en doutez pas
Vous amies mes confidentes
A vie je vous aime
Même si on a des hauts et des bas
C'est la vie qui veut ça
Rien n'est parfait
Je m’accroche aux hauts
Je laisse tomber les bas
Si vous me faites faux pas
Je regagnerai votre confiance
Je désire vous dire que je vous aime
@copyright Théma
MA SOEUR LA PLUIE !
Ma soeur la Pluie,
La belle et tiède pluie d'été,
Doucement vole, doucement fuit,
A travers les airs mouillés.
Tout son collier de blanches perles
Dans le ciel bleu s'est délié.
Chantez, les merles,
Dansez, les pies !
Parmi les branches qu'elle plie,
Dansez, les fleurs, chantez les nids;
Tout ce qui vient du ciel est béni.
De ma bouche, elle approche
Ses lèvres humides des fraises des bois;
Rit, et me touche, Partout à la fois,
CH. VAN LERBERGHE (1861-1907)
Saison des Orages |
Un fracas étourdissant
A retenti sur le ciel et la terre...
Sous la voûte bleuissant
Les éclairs et le tonnerre
Déchirent l'atmosphère
A coups d'éclats foudroyants !
Les éléments se déchaînent !
Serait-ce là le châtiment suprême
Pour les hommes coupables
De jalousie et de haine ?
Soudain une pluie effroyable
S'abat sur tout le pays
Effaçant tous les maudits
Maux et les grondements qui fuient !
Aurions-nous une éclaircie ????
Cathi