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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Les Soleils d' Octobre .....
Aux jours où les feuilles jaunissent,
Aux jours où les soleils finissent,
Hélas ! nous voici revenus ;
Le temps n’est plus, ma-bien-aimée,
Où sur la pelouse embaumée
Tu posais tes pieds blancs et nus.
L’herbe que la pluie a mouillée
Se traîne frileuse et souillée ;
On n’entend plus de joyeux bruits
Sortir des gazons et des mousses ;
Les châtaigniers aux branches rousses
Laissent au vent tomber leurs fruits.
Sur les coteaux aux pentes chauves,
De longs groupes d’arbustes fauves
Dressent leurs rameaux amaigris ;
Dans la forêt qui se dépouille,
Les bois ont des teintes de rouille ;
L’astre est voilé, le ciel est gris.
Cependant, sous les vitres closes,
Triste de la chute des roses,
Il n’est pas temps de s’enfermer ;
Toute fleur n’est pas morte encore ;
Un beau jour, une belle aurore
Au ciel, demain, peut s’allumer.
La terre, ô ma frileuse amie !
Ne s’est point encore endormie
Du morne sommeil de l’hiver…
Vois ! la lumière est revenue :
Le soleil, entr’ouvrant la nue,
Attiédit les moiteurs de l’air.
Sous la lumière molle et sobre
De ces soleils calmes d’octobre,
Par les bois je voudrais errer !
L’automne a de tièdes délices :
Allons sur les derniers calices,
Ensemble, allons les respirer !
Je sais dans la forêt prochaine,
Je sais un site au pied du chêne
Où le vent est plus doux qu’ailleurs ;
Où l’eau, qui fuit sous les ramures,
Échange de charmants murmures
Avec l’abeille, avec les fleurs.
Dans ce lieu plein d’un charme agreste,
Où pour rêver souvent je reste,
Veux-tu t’asseoir, veux-tu venir ?
Veux-tu, sur les mousses jaunies,
Goûter les pâles harmonies
De la saison qui va finir ?
Partons ! et, ma main dans la tienne,
Qu’à mon bras ton bras se soutienne !
Des bois si l’humide vapeur
Te fait frissonner sous ta mante,
Pour réchauffer ta main charmante
Je la poserai sur mon cœur.
Et devant l’astre qui décline,
Debout sur la froide colline,
Et ton beau front penché sur moi,
Tu sentiras mille pensées,
Des herbes, des feuilles froissées
Et des bois morts, monter vers toi.
Et devant la terne verdure,
Songeant qu’ici-bas rien ne dure,
Que tout passe, fleurs et beaux jours,
A cette nature sans flamme
Tu pourras comparer, jeune âme,
Mon cœur, pour toi brûlant toujours !
Mon cœur, foyer toujours le même,
Foyer vivant, foyer qui t’aime,
Que ton regard fait resplendir !
Que les saisons, que les années,
Que l’âpre vent des destinées
Ne pourront jamais refroidir !
Et quand, noyés de brume et d’ombre,
Nous descendrons le coteau sombre,
Rayon d’amour, rayon d’espoir,
Un sourire, ô ma bien-aimée !
Jouera sur ta lèvre embaumée
Avec les derniers feux du soir.
Auguste Lacaussade, Poèmes et Paysages
*?*..*?*..*?* *?*..*?*..*?*
*?*..*?*poussière d étoiles berce l’infinie*..*?*.
*?*..*?* sur la voie lacté de nos sentiments*..*?*.
*?*..*?* chemin qui mène au cœur*..*?*.
*?*..*?* sur une rivière sans tourments*..*?*.
*?*..*?*poussière d’étoile sur toi a laissée*..*?*.
*?*..*?* le poids des ans passés*..*?*.
*?*..*?* j ‘ai vu ton visage se modifier*..*?*.
*?*..*?*tes rides se dessinées*..*?*.
*?*..*?* mais aufond de toi tu n’as pas changé *..*?*.
*?*..*?*poussière d étoile des joie et du bonheur*..*?*.
*?*..*?* l’espoir en un jour meilleurs*..*?*.
*?*..*?*poussière d étoile nous deviendrons*..*?*.
*?*..*?*pour ne former plus qu’un maillon*..*?*.
*?*..*?* dans le cosmos de nos deux vies*..*?*.
*..*?*.bonne journée grosbisous*..*?*.
*..*?*.********........bruno......*********..*?*.
* Je me choisis *
Je ne veux plus me nier,
Nier mes sentiments, mes besoins, mes attentes.
Je veux être respectée, écoutée, entendue.
J'ai le droit de respirer, de me dire,
J'ai le droit de dénoncer, de penser, de crier,
J'ai le droit d'exister.
Je veux vivre debout,
Être en paix avec moi-même.
Je veux grandir, changer, m'aimer,
Je veux rêver, rire, m'épanouir.
J'ai besoin d'air, j'ai besoin de m'écouter.
J'ai besoin de décider pour moi, avec moi,
En fonction de mes besoins à moi,
De ce que je veux faire de ma vie.
J'en ai marre de vivre en fonction des autres,
Pour être aimée.
J'en ai marre de faire des courbettes,
Pour acheter la paix ou ne pas être seule.
Je choisis de vivre, de vivre ma vie
Je choisis de vivre mes sentiments,
Mes émotions, mes rêves, mes espoirs.
Je veux me vivre jusqu'au bout, telle que je suis.
Je me réserve le droit d'essayer, de me tromper,
De recommencer, d'essayer encore, et de réussir.
Pendant la transition,
J'accepte ma souffrance, ma déception,
J'accepte mon insécurité, mon désespoir.
J'accepte ma colère contre les autres,
On ne m'avait rien promis.
J'accepte ma colère contre moi,
De m'être si longtemps niée et oubliée.
Je suis en sevrage, car je sais qu'avec le temps,
Ces sentiments vont s'atténuer et disparaître,
Remplacés par le pardon.
Je sais qu'avec le temps,
Mon coeur va guérir d'avoir mal aimé.
Et peut-être qu'avec le temps,
J'accepterai d'oser à nouveau,
De tenter l'expérience,
D'aimer et d'être aimée.
Auteur inconnu
(http://carolinefrancois.centerblog.net)
petit poème mélancolique de Paul Verlaine.
Le vent d'automne dans les branchages pleure parfois comme les violons.
Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent mon coeur
D'une langueur
Monotone.
Tout suffocant
Et blême, quand
Sonne l'heure,
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure
Et je m'en vais
Au vent mauvais
Qui m'emporte
Deçà, delà,
Pareil à la
Feuille morte.
Paul Verlaine
Je voudrais montrer, à ceux que j’aime déjà
Combien ils sont, importants pour moi
Leur dire, qu’avec eux je me sens bien
Et combien, leur présence me fait du bien
Une vie, ça peut être court ou très long
Toutes nos vies ont une date d’expiration
Il fait si bon, avec des gens que j’aime
Pouvoir leur dire combien je les aime
De leur dire, ce que je ressens pour eux
De faire des choses différentes avec chacun d’eux
Être avec ces gens que j’aime, ça me suffit
Pour me faire vivre la plus belle des vies
C’est d’ailleurs ainsi, que souvent j’ai muri
J’ai appris, à faire face à mes ennuis
C’est bon, d’être entouré de gens qui t’aiment
Avec chacun d’eux, y’a vraiment plus de problèmes
Mieux vaut, peu de gens qui t’aiment
Que plusieurs qui t’apportent leurs problèmes
Mais dommage, beaucoup aiment et ne le disent pas
Quand beaucoup sont aimés, et ne le voient pas
Texte Claude Marcel Breault
Coeurs croisés ...
C'est celui qui t'est proche par l'apparence,
Un homme, une femme, un enfant,
Car qu'est-ce qui fait la différence,
En vous coule le même sang.
Dans tous les coeurs naissent des sentiments,
De générosité, de gaîté, personne n'est étranger.
Il faut saluer celui que tu croises,
Pardonner et oublier celui qui te toise.
Reconnaître la bonté de l'autre et remercier,
Sortir l'amour de l'écrin de ton coeur,
Pour distribuer un peu de bonheur,
T'ouvrir aux autres et à l'amitié.
Apprécier la fraîcheur d'un jeune plein d'humour,
Aider la dame âgée courbée par les années,
Elle te racontera le courage de son amour,
Les vieilles histoires de sa tête fatiguée.
Tu vois, il est à côté de toi, aimes-le, c'est ton prochain.
indifférence |
Si je partais maintenant, là,
En silence, qui s'en apercevrait ?
Mes ennemis diraient bon vent,
Mes ami(es) eux s'en étonneraient
Et puis, au bout de quelques temps
Je serais vite oubliée
Je deviendrais insignifiante
Un grain de sable, un rien
Une chose sans talent, sans éclat
Mon amitié, mon amour spontanément
Envoyé des bouquets de tendresse
Caressé les maux pour les faire
Disparaître afin de soulager
Les personnes que j'aime
Sans rien en retour, gratuitement
Retirée du monde dans ma solitude
Qui se souciera de mon devenir
Personne, car tout est superficiel
Dans ce bas monde
Voilà pour moi la pire de l’indifférence
(auteur inconnu)Salut ! bois couronnés d'un reste de verdure !
Feuillages jaunissants sur les gazons épars !
Salut, derniers beaux jours !
Le deuil de la nature Convient à la douleur et plaît à mes regards !
Je suis d'un pas rêveur le sentier solitaire, J'aime à revoir encore,
pour la dernière fois, Ce soleil pâlissant, dont la faible lumière Perce à peine à mes pieds l'obscurité des bois !
Oui, dans ces jours d'automne où la nature expire,
A ses regards voilés, je trouve plus d'attraits, C'est l'adieu d'un ami, c'est le dernier sourire Des lèvres que la mort va fermer pour jamais ! Ainsi, prêt à quitter l'horizon de la vie, Pleurant de mes longs jours l'espoir évanoui, Je me retourne encore, et d'un regard d'envie Je contemple ses biens dont je n'ai pas joui !
Terre, soleil, vallons, belle et douce nature, Je vous dois une larme aux bords de mon tombeau ; L'air est si parfumé !
la lumière est si pure ! Aux regards d'un mourant le soleil est si beau ! Je voudrais maintenant vider jusqu'à la lie Ce calice mêlé de nectar et de fiel !
Au fond de cette coupe où je buvais la vie, Peut-être restait-il une goutte de miel ?
Peut-être l'avenir me gardait-il encore Un retour de bonheur dont l'espoir est perdu ?
Peut-être dans la foule, une âme que j'ignore Aurait compris mon âme, et m'aurait répondu ? ... La fleur tombe en livrant ses parfums au zéphire ; A la vie, au soleil, ce sont là ses adieux
Moi, je meurs et mon âme, au moment qu'elle expire,
S'exhale comme un son triste et mélodieux.