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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour : 08.02.2013
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C'est arrivé un jour - Le 11 Juin -

Publié à 11:11 par acoeuretacris
C'est arrivé un jour - Le 11 Juin -
1509 : Les troupes de Florence prennent la ville Elienne de Pise.

1572 : Naissance du poète et dramaturge anglais Ben Jonson (mort en 1637)

1675 : La France et la Pologne concluent une alliance.

1726 : Le cardinal de Fleury est nommé premier ministre après le limogeage du duc de Bourbon.
Né à Lodève le 22 juin 1653, André-Hercule de Fleury fut réduit, par la pauvreté de sa famille, à embrasser la carrière ecclésiastique. Introduit à la cour par le cardinal de Bonzi, il lui succéda comme aumônier de la reine Marie-Thérèse en 1677. Après la mort de la reine, il reçut l'évêché de Fréjus mais, Louis XIV et Mme de Maintenon ayant pu apprécier ses qualités, il fut désigné comme précepteur de l'arrière-petit-fils du roi, le futur Louis XV. Fleury prit son rôle très à coeur. Louis XV lui voua toujours un profond attachement et, le 11 juin 1726, il le nomma premier ministre en titre. Fleury, qui reçut en même temps le chapeau de cardinal, venait d'avoir 73 ans. Décidé à maintenir l'absolutisme royal, l'équilibre des finances et la paix aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur du royaume, il sut s'entourer d'une excellente équipe : Chauvelin aux Affaires étrangères, Le Peletier des Forts puis Orry aux Finances, Maurepas à la Marine, Saint-Florentin aux Affaires religieuses. Le nouveau gouvernement commença par stabiliser la monnaie, mesure qui ne fut pas étrangère à l'essor du grand commerce maritime. Mais Fleury ne put mener à bien la réforme fiscale qu'il souhaitait et, dans ls périodes de difficultés, dut rétablir le dixième ou créer des impôts. Mais le plus gros problème auquel il se heurta fut le Parlement qui soutenait le mouvement janséniste. A l'extérieur, il dut mener la guerre de Succession de Pologne, qui assura à la France la Lorraine à la mort de Stanislas Leczinski. En 1740, à son corps défendant, il se trouva engagé dans la guerre de Succession d'Autriche dont il ne vit pas la fin : il disparut en effet le 29 janvier 1743, à 90 ans.

1775 : Sacre du roi Louis XVI.

1776 : Naissance du peintre anglais John Constable (mort en 1837)

1842 : Une Loi crée le premier réseau des chemins de fer
L'Etat concède ce jour l'autorisation à des compagnies privées la gestion des diverses lignes de chemins de fer. Mais il garde à sa charge l'achat des terrains, la construction des voies et des gares.

1864 : Naissance de Richard Strauss à Munich .( mort en 1949)
Naissance de Richard Strauss, à Munich (Allemagne). Passionné de musique, il compose dès l'âge de 12 ans. Il n'a pas dix sept ans lorsque sa Symphonie en ré mineur est exécutée en public. Richard Strauss, dont l'écriture de la musique est inspirée d'abord par Richard Wagner, composera des opéras demeurés célèbres comme " Chevalier à la Rose (Rosenkavalier)". Ce compositeur et chef d’orchestre allemand est doté d’une belle longévité ; il a traversé maintes époques charnières de l’histoire de la musique. Contemporain de Berlioz et de Boulez, de Brahms et de Stockhausen, de la création de Pelléas et Mélisande et du plan Marshall, Richard Strauss offre comme un résumé d’un siècle de musique. De ses premiers poèmes symphoniques, dans la tradition récente de Liszt, jusqu’à ses Quatre Derniers Lieder , aussi résolument anachroniques que splendides, ce personnage majeur de la vie musicale de 1885 à la veille de la Seconde Guerre mondiale, s’est constitué une place unique dans le répertoire de l’opéra. Il décèdera en 1949.

1895 : La Grande-Bretagne annexe le Togo, afin d'interdire au Transvaal un accès à la mer.

1898 : Kang Yéou-Wei entreprend de réorganiser la Chine sous le règne de l'empereur Te Tsung - c'est la période réformiste dite des Cents Jours - , mais l'impératrice Tseu Hi reprendra le pouvoir.

1903 : Suite à un complot militaire, le roi de Serbie Alexandre 1er Obrénovitch et son épouse sont assassinés.

1910 : Naissance de l'océanographe français Jacques-Yves Cousteau (mort en 1997)

1924 : Le président de la République Alexandre Millerand démissionne.
La Troisième République, victorieuse, sortait apparemment renforcée de la Grande Guerre. L'affaire Millerand allait pourtant montrer que les institutions n'étaient pas à l'abri d'une remise en cause. Alexandre Millerand, parfois surnommé le "sanglier" en raison de son épaisse moustache grise et de son tempérament obstiné, avait été élu président de la République en septembre 1920. Choisi par les élus parlementaires, il n'avait, comme ses prédécesseurs, qu'une charge en grande partie honorifique. Cette situation lui pesa vite: après avoir, en tant que Président du Conseil, exercé la réalité du pouvoir, il ne pouvait se résigner à jouer un rôle symbolique. Son discours d'Evreux, en 1923, scandalisa la gauche, dont il était pourtant issu. Il y préconisait une réduction des pouvoirs de l'Assemblée nationale au profit du Président de la République et réclamait pour ce dernier le pouvoir de dissolution. Il rompait ainsi avec tous les usages de la IIIe République et allait même plus loin en intervenant directement dans la vie politique: à quelques mois des élections législatives de 1924, il prenait ouvertement parti contre le Cartel des Gauches. Vainqueurs des élections, les parlementaires "cartellistes" prirent leur revanche sur ce président qui s'était trompé de république: ils refusèrent d'entendre le ministère nommé par Millerand et votèrent une motion de défiance à l'encontre de celui-ci. Le but était clair: contraindre le Président de la République à la démission. N'ayant pas les moyens constitutionnels de résister, Alexandre Millerand s'y résolut le 11 juin. Il fut remplacé par l'ancien président du Sénat Gaston Doumergue.

1934 : Une conférence du désarmement s'achève sur un constat d'échec.

1935 : Naissance de l'écrivain français Jean-Pierre Chabrol

1940 : Invasion allemande
Les Français se rendent compte de 10 ans d’inutiles dépenses dans le domaine militaire. Et le retard des Français sur l’Allemagne est d’une guerre ! La ligne Maginot, destinée à stopper définitivement toute invasion allemande est franchie et contournée sans coup férir par les Teutons. Le sénateur André Maginot ministre de la Guerre, défendit, devant le Parlement, le projet de défense des frontières proposé par ses prédécesseurs ; il le fit adopter le 14 janvier 1930. C’est pourquoi il a laissé son nom à ce système de fortification permanente dont la pénible gestation divisa le Haut Commandement français et dont la fin tragique souligna l’inadéquation à la situation stratégique. La longue invasion du territoire français, ravagé par les combats de 1914-1918, souligne dès 1919 la nécessité de rendre le territoire national inviolable. En définitive, malgré de nombreuses et solides oppositions, la décision fut prise de construire le plus près possible de la frontière franco-allemande un ensemble fortifié qui, appuyé sur le Rhin, dissuaderait toute velléité d’invasion allemande. Ce système comprend essentiellement deux régions fortifiées, celle de Metz (barrant la vallée de la Moselle et de la Sarre) et celle de la Lauter, entre Bitche et le Rhin. L’ossature de cet ensemble est constituée de gros ouvrages de fortification permanente, forts enfouis ne laissant en surface que les organes d’observation et de tir, ceux-ci étant très dispersés sur le terrain et reliés par galeries souterraines au cœur de l’ouvrage, d’où le nom de forts palmés. Le choix de l’artillerie de la position fortifiée répond à certains impératifs financiers, techniques (une trop grande longueur de tubes interdit l’emploi de tourelle éclipsable) et tactiques (briser vite une attaque lancée par surprise). On choisit donc un 75 rajeuni et adapté aux nécessités de la forteresse, atteignant des cadences utiles de 30 coups par minute pour une portée de 11 kilomètres. On ne tirait donc pas loin en avant de la fortification. Et surtout celle-ci était démunie de défense anti-aérienne. D’autre part ces régions fortifiées ne couvraient qu’une partie de la frontière. Devait-on continuer la construction jusqu’à la mer du Nord, le long de la frontière belge ? Question complexe aux importantes incidences financières et internationales (attitude vis-à-vis de la Belgique notamment). La réponse donnée en 1933 est une solution bâtarde : allonger la région fortifiée de Metz jusqu’à Montmédy face aux pentes boisées des Ardennes belges, puis jalonner la frontière du Nord par une fortification économique. Réussite technique en ce qui concerne la conception des ouvrages construits avant 1935, la ligne Maginot reste un rare exemple d’inadéquation d’un outil militaire à une situation stratégique donnée. Conçue quelques années après que la France eut souscrit des alliances de revers qui impliquaient d’éventuelles interventions militaires au profit d’États d’Europe centrale, la ligne Maginot, en soulignant l’aspect défensif de la politique militaire française, refusait toute crédibilité à une intervention au-delà des frontières. D’autre part en interdisant toute possibilité de manœuvre aux armées chargées de la défendre, elle mettait l’accent sur les conceptions statiques d’un état-major sous-estimant les potentialités de mouvement contenues dans le binôme chars-avions. Le sort de la ligne Maginot en 1940 est la tragique illustration de cette constatation. Négligeant la ligne, la Wehrmacht attaquait le 13 mai la frontière française en son point le plus faible, à l’extrémité ouest de la ligne Maginot et à la charnière vulnérable des armées françaises entrées en Belgique. Le 11 Juin, après la destruction des forces alliées de Belgique et la rapide conversion du dispositif allemand en direction du sud et du sud-est, les chars allemands de Guderian et Kleist, franchissent la Marne le 11 juin, progressent très rapidement vers Besançon et la frontière suisse, isolent ainsi la ligne Maginot et ses défenseurs, réduits à mettre bas les armes par l’armistice devenu effectif le 25 juin 1940.

1940 : La princesse Juliana des Pays-Bas, qui a fui son pays occupé par l'armée allemande, se réfugie au Canada.

1942 : Les Etats-Unis annoncent la conclusion d'un accord prêt-bail avec l'URSS, pour aider l'effort de guerre soviétique.

1957 : Décès de l'Aga Khan III, né en 1877.

1963 : Constantin Caramanlis, chef du gouvernement grec, démissionne afin de protester contre une visite du roi Paul en Grande-Bretagne.

1964 : Naissance du pilote de formule 1 français Jean Alési.

1966 : La jeune styliste britannique Mary Quant est décorée de l'ordre de l'Empire britannique par la reine Élisabeth.

1967 : Un cessez-le-feu est proclamé entre Israël et la Syrie, au terme de la guerre des Six Jours.

1969 : Des incidents entre forces soviétiques et chinoises éclatent à la frontière du Sinkiang.

1970 : Une trêve est conclue en Jordanie entre le roi Hussein et les Palestiniens, après une semaine de combats sanglants.

1971 : Début du congrès du Parti socialiste à Epinay.

1971 : Léonid Brejnev lance un appel en faveur de l'arrêt de la course aux armements entre les Etats-Unis et l'URSS.

1981 : Un tremblement de terre fait au moins 1 500 morts dans le Sud-Est de l'Iran.

1984 : Mort d'Enrico Berlinguer, Secrétaire général du parti communiste italien.
A Padoue, en Italie, Enrico Berlinguer décède d'une hémorragie cérébrale. Fils de député socialiste, il entre au parti communiste en 1943, pendant la résistance. Membre du comité central et du bureau politique en 1963, il devient parlementaire en 1968. Au congrès de Milan en 1972, il est nommé secrétaire général du parti communiste italien. Distingué et chaleureux, cet intellectuel préconise une stratégie d'alliance avec la démocratie chrétienne, au gouvernement entre 1976 et 1978. Apôtre de l'"eurocommunisme" il œuvre pour rapprocher les partis français, italien et espagnol. En 1979, il condamne l'agression de l'Afghanistan par l'URSS. Avec lui, le parti communiste italien atteint son meilleur score de l'après-guerre : 33,4% des suffrages aux élections de 1976.

1986 : En Israël, une synagogue est incendiée en riposte aux attaques de Juifs orthodoxes contre des panneaux publicitaires jugés "pornographiques".

1987 : Elections en Grande-Bretagne : le parti conservateur l'emporte et Mme Margaret Thatcher, premier ministre, est reconduite au pouvoir.

1987 : En Afghanistan, les rebelles musulmans abattent un avion civil afghan: une cinquantaine de morts.

1987 : A Gdansk, le pape Jean Paul II exprime son soutien à "Solidarité".

1988 : Décès de Giuseppe Saragat, ancien président de la République italienne.

1993 : En Iran, le président Hashemi Rafsanjani est réélu pour un nouveau mandat.

1995 : Le premier tour des élections municipales, marqué par un fort taux d'abstention (30,58%), voit la percée du Front national qui se maintient dans 116 villes de plus de 30 000 habitants.

1995 : Permière victoire en Formule 1 de Jean Alesi sur le circuit canadien.

1996 : Décès de Brigitte Helm, 90 ans, qui intrepréta la femme-robot dans le film de Fritz Lang "Metropolis" en 1926

1998 : Yves Montand n'est pas le père d'Aurore Drossart, née le 6 octobre 1975, concluent les expertises génétiques pratiquées sur le corps d'Yves Montand.

1998 : Le procureur général de la Cour de cassation requiert un non-lieu général en faveur de Laurent Fabius, Edmond Hervé et Georgina Dufoix, poursuivis pour "complicité d'empoisonnement" dans l'affaire du sang contaminé.

1999 : Décès de DeForest Kelley, 79 ans, acteur américain, le docteur Leonard Bones McCoy de la série Star Trek.