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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour : 08.02.2013
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C'est arrivé un jour - le 20 Juin -

Publié à 09:07 par acoeuretacris
C'est arrivé un jour - le 20 Juin -
451 : Bataille des Champs Catalauniques !
Une de ces batailles " Historiques ", qui aurait pu changer la face du monde. La Bataille des Champs Catalauniques. La défaite des " HUNS " (et de son chef Attila, le fléau de Dieu, l’Homme de qui l’on dit que " sous les sabots de son cheval l’herbe ne repousse pas ! ". Les invasions des Francs et des Alamans, aux IV ème et Vème siècles n’avaient pas bouleversé fondamentalement l’Ordre Romain. Mais en 375, un peuple d’origine Asiatique se met en branle et va provoquer, par son irruption sur la " scène " occidentale, la chute de cet orgueilleux Empire Romain. Les Huns se ruent sur le Royaume Ostrogothique d’Ukraine (Ostrogoths ou Goths de l’est). Il s’avance ensuite vers l’Europe de l’Est et crée en Hongrie (Hun-garia) une espèce de Royaume à partir duquel il lance des raids sur les régions voisines. Par une suite de ricochets (comme les files de dominos qui se renversent), l’Europe de l’ouest et même l’Afrique seront atteintes. Et Rome ne se remettra pas de cette catastrophe. Dès 450, Attila, qui a su unifier autour de lui toutes les tribus nomades et peu disciplinées des Huns, mais aussi des dizaines de hordes de " barbares " vaincus et qui reconnaissent son autorité, Attila se jette sur l’Occident, qui aux yeux de ses nomades du désert devait constituer un Eldorado, une Terre Promise, comme l’Amérique au XXème siècle, aux yeux de millions d’émigrés. En 451, il traverse le Rhin, à Mayence, et ravage la Gaule de l’Est. Le Général en chef des armées romaines, Aétius, rassemble toutes les troupes désorganisées, s’allie aux armées gothiques et franques d’Occident, et, le 20 Juin 451, dans un affrontement sans précédent, dans les grandes plaines de la Marne et de la Champagne, près de Châlons (sur Marne), vainc les Huns, qui se replient en désordre vers le Sud et l’Italie.

840 : Mort de Louis 1er.
Au moment de mourir à Ingelheim, près de Mayence, de chagrin et d'inanition, le roi murmure à propos de son fils rebelle, Louis le Germanique : "Je lui pardonne, mais dites-lui que Dieu, vengeur des pères, punit dans la colère les enfants rebelles. "

1605 : Le Tsar Théodore II est assassiné au cours d'une révolution de palais.

1625 : La France et les Provinces-Unies signent un traité de non-agression.

1748 : Naissance de l'abbé Joseph Sieyes, homme politique français (mort en 1836)

1756 : Coup de main sur la Compagnie des Indes
Le Nabab du Bengale s'empare du quartier général de la Compagnie des Indes orientales de Fort William, à Calcutta, et fait cent quarante six prisonniers. Les hommes sont entassés dans un cachot de 4,5 m sur 5,5 m. Seuls vingt trois prisonniers survivront. Le cachot deviendra aussi célèbre pour les anglais que la Bastille en France.

1789 : Le Serment du Jeu de Paume, par lequel le Tiers-Etat s'engage à ne pas se séparer avant d'avoir donne une constitution à la France, marque le début de la Révolution française.
Ce 20 jour, la salle des Menus Plaisirs est close par la volonté du roi qui ne veut pas que les ordres se réunissent. Le docteur Guillotin propose que l'on se retrouve dans la salle du Jeu de paume. Là, Mounier demande aux députés de prêter serment. Target rédige un texte et Bailly, debout sur une table, propose aux députés " de ne jamais se séparer et de se rassembler partout où les circonstances l'exigeront jusqu'à ce que la Constitution du royaume soit établie et affermie ". Le roi, Louis XVI, souverain absolu, avait dû accorder au peuple, pour calmer les mécontentements, la réunion des Etats - Généraux, c. à d. des représentants des " trois " Etats : la Noblesse, le Clergé, et le Tiers-Etat, le peuple … (plutôt la Bourgeoisie), qui préfigure les prochaines Assemblées Législatives. Las d'avoir en vain fait appel à leurs collègues du clergé et de la noblesse pour procéder en commun à la vérification des pouvoirs, les élus du tiers-état s'étaient décidés à commencer leurs travaux à Versailles sans les autres ordres. Le 17 juin 1789, se considérant comme les vrais représentants de la nation, ils prirent le nom d'Assemblée nationale et prouvèrent aussitôt leur autorité en légiférant en matière de finances. Une partie du clergé vint alors rejoindre l'Assemblée. Mais le roi, inquiet de ces initiatives, fit fermer la Salle des Etats, sous prétexte des préparatifs en vue de la prochaine "séance royale". En fait, il s'agissait d'empêcher le tiers de se réunir. Le 20 juin, en arrivant devant la salle, les députés trouvèrent la porte gardée par des soldats. Où aller ? Ils gagnérent un local tout proche, le jeu de paume, vaste pièce éclairée par de grandes fenêtres. Une fois réunis, Mounier leur proposa de jurer de ne pas se séparer avant d'avoir donné une Constitution au royaume. Monté sur une table, Bailly, qui présidait, répéta à haute voix la formule, puis tous les assistants, sauf un, clamèrent leur adhésion. Le lendemain, ils allèrent s'installer dans l'église Saint-Louis où 148 prêtres et quelques nobles vinrent grossir leurs rangs. Mais ce fut le 23 juin que le tiers montra sa volonté de tenir son serment. Prenant la parole devant l'Assemblée, Louis XVI cassa les décisions du tiers et interdit aux trois ordres de siéger en commun. Le souverain parti, le marquis de Dreux-Brézé, maître des cérémonies, rappela l'ordre royal. C'est alors que Mirabeau lui lança la célèbre réplique: "Allez dire à ceux qui vous envoient que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous ne quitterons nos places que par la force des baïonnettes".

1791 : Le roi Louis XVI tente de fuir la France, mais il sera intercepté à Varennes et ramené à Paris.
.A peine l'Assemblée constituante avait-elle jeté les bases institutionnelles du nouveau régime -la monarchie constitutionnelle- que déjà celui-ci se lézardait. Dès 1790, des troubles contre-révolutionnaires avaient éclaté dans plusieurs provinces. De nombreux journaux, subventionnés en secret par la couronne, prônaient la réaction. A l'étranger, les émigrés militaient pour une intervention armée des autres souverains européens. Dans le camp adverse, ces menaces relançaient l'idée du "complot aristocratique". Et, en juin 1791, le roi lui-même accrédita cette thèse. En tentant de se soustraire au pouvoir de l'Assemblée, les intentions de Louis XVI étaient transparentes.Le roi, Louis XVI, torturé dans sa conscience de Chrétien par l’application des mesures laïques de la Nouvelle Constitution, indigné par une émeute qui l’empêche de se rendre à son office religieux et à sa confession hebdomadaire, poussé par ses émissaires autrichiens (son épouse Marie-Antoinette est la petite-fille de l’empereur d’Autriche), le roi s’enfuit en carrosse avec sa famille pour gagner la forteresse de Montmédy où il a des alliés fidèles. La proclamation qu'il avait rédigée et qui devait être placardée après sa fuite ne laisse aucun doute : il entendait rejoindre l'armée du marquis de Bouillé, qui était à Metz, puis, avec l'aide de l'Autriche, aurait marché sur Paris pour restaurer son pouvoir. Un ami de Marie-Antoinette, le diplomate suédois Axel de Fersen, avait organisé l'affaire. Le 20 juin, peu avant minuit, la famille royale déguisée en personnel de service quittait discrètement les Tuileries. Des relais de poste étaient disposés sur le parcours. Mais la lourde berline prit plusieurs heures de retard. Arrivée à Varennes dans la nuit du 21 au 22, elle ne trouva plus les relais prévus et dut s'arrêter. Arrivé à Sainte-Ménehould, à la limite de la Champagne, il s’arrête dans une auberge, déjà réputée à l’époque pour son pied de cochon rôti, dîne longuement et avant de repartir donne un " Louis " d’or en guise de pourboire au garçon d’écurie qui a soigné ses chevaux. Celui-ci, perspicace, compare l’original et sa reproduction sur la pièce d’or et reconnaît le roi. Il saute sur un cheval de réserve et gagne par un raccourci le poste-frontière de Varennes où il alerte l’officier de garde. Le maître des postes Drouet avait suivi les voyageurs. Il ameuta les paysans pendant la nuit et au matin fit bloquer la voiture. Arrêté, le roi est reconduit à Paris et suspendu de ses fonctions et prérogatives royales. Il les récupérera un mois plus tard, mais la crise de confiance provoquée par cette fuite, annihile tous les efforts faits par le roi pour devenir ce souverain " populaire " qu’il aurait voulu être, d’une nation complètement " rénovée ". Trois jours plus tard, le roi faisait sa rentrée dans Paris, entre deux haies de gardes nationaux...

1792 : La foule envahit le Palais parisien des Tuileries.
Le 20 Juin 1792, 12 mois jour pour jour après la "fuite", le roi subira la tristesse et l’affront de voir son palais envahi par la foule.

1819 : Naissance à Cologne du compositeur d'origine allemande, naturalisé français, Jacques Offenbach (mort en 1880)
C'est le jour de la naissance à Cologne, en Allemagne, de Jakob Eberst, plus connu sous le nom de Jacques Offenbach, le père de l’opérette. Même s’il s’agit d’un genre dont il s’est progressivement détaché et qui n’est pas associé à ses plus grands succès, il en reste le créateur. La " Vie Parisienne ", " La Grande Duchesse de Gérolstein ", la " Périchole ", enchantent encore aujourd’hui les amateurs de musique légère. Mais les " Contes d’Hoffman " ou " Orphée aux enfers " qui ne sont pas des opérettes ont connu (et connaissent encore) un succès plus probant. Doué d’une étonnante invention mélodique, il sait rire et faire rire en musique car il observe et élabore, aidé de ses librettistes, des caricatures parfaites. Sa musique est divertissante mais elle réclame de ses interprètes une grande attention, car elle est difficile à restituer dans son authenticité. Pendant trop longtemps, elle fut l’apanage de " spécialistes " qui, vivant de traditions, portent de lourdes responsabilités dans la désaffection du public pour ce qui devenait un genre mineur et vieillissant. À l’occasion du centenaire de la mort d’Offenbach, un nouveau courant s’est dessiné, qui a remis en cause les traditions désuètes et les mutilations subies par ses ouvrages : la vieille passion du public français revit depuis lors.

1837 : La reine Victoria monte sur le trône d'Angleterre à la mort de son oncle, le roi Guillaume IV. Des colons hollandais fondent la République du Natal, en Afrique du Sud.

1867 : Le président américain Jackson annonce la conclusion d'un traité portant sur l'achat de l'Alaska à la Russie par les Etats-Unis.

1894 : Découverte du bacille de la peste bubonique à Hong-Kong du bacille de la peste bubonique.
Il porte désormais le nom de son découvreur : " Yersinia pestis " du nom d’Alexandre Yersin, médecin français (1863 – 1943), un disciple de Pasteur. C’est aussi Yersin qui mettra au point la sérothérapie antipesteuse qui permettra d’éradiquer cette maladie contagieuse. C’est aussi Yersin qui mettra au point les médicaments à base de " Quinquina " qui permettent de lutter victorieusement contre les maladies des marais (" paluds "), le paludisme. Cam. Remerciements à Cam et vous pouvez le retrouver Sur les chroniques de Cam
1900 : Après l'assassinat de l'ambassadeur allemand, les Boxers assiègent le quartier des légations étrangères à Pékin.

1927 : Fin du soulèvement druze en Syrie.

1928 : Naissance de Jean-Marie Le Pen, homme politique français.

1933 : Putsch en Thaïlande.

1933 : En Autriche, le chancelier Dollfuss interdit les partis communiste et nazi.

1941 : Naissance de Stephen Frears.

1944 : Assassinat de Jean Zay, ancien ministre du Front populaire, par des miliciens.

1948 : Création de la monnais allemande Deutch Mark.
Création d’un gouvernement fédéral pour les 3 zones occidentales de Berlin (Berlin-Ouest). Création d’une monnaie " spécifique ", le " Mark occidental, à la même parité que le mark allemand. C’est la suppression progressive d’une économie " dirigé " et la mise en place d’une organisation néo-libérale. Ce que ne peuvent accepter les communistes. Les Russes se retirent du Conseil de Contrôle de Berlin et à leur tour crée une monnaie, différente, pour Berlin –Est. La tension mont, le blocus de Berlin se profile. Le Mark allemand fête donc son cinquantième anniversaire. C’est la monnaie la plus forte d’Europe Occidentale. Elle garde chez beaucoup plus de valeur que le dollar. Et c’est assez symptomatique de l’esprit allemand. Il faut savoir en effet que cette monnaie (en tant que système monétaire unifié) n’a pas 130 ans d’âge, contrairement à la plupart des monnaies occidentales qui ont un voire 2 ou 3 siècles d’avance. La stabilité politique, le développement économique, l’aide du plan Marshall, le dynamisme des exportateurs, la confiance des investisseurs, la discipline allemande, l’action dynamique des responsables politico-économiques, le consensus social et le désir de prouver au monde que l’hiatus hitlérien est dépassé, tout cela explique le succès du mark.

1949 : Naissance du chanteur Lionel Ritchie.

1950 : L'empereur Bao Daï quitte Saigon pour la France.

1951 : Saisie par l'Iran des installations pétrolières d'Abadan.

1961 : Le Koweit est admis à la Ligue arabe, mais l'UnionSoviétique oppose son véto à son admission aux Nations Unies.

1963 : Les Etats-Unis et l'URSS décident d'établir un "téléphone rouge" entre Washington et Moscou.

1966 : Le général de Gaulle entreprend une visite en URSS.

1969 : Le nouveau président de la République, Georges Pompidou entre en fonction.
Le 15 juin 1969, Georges Pompidou, ancien Premier ministre du général de Gaulle, remporte le second tour des élections présidentielles (58,21% des voix contre 41,78% à Alain Poher). Suite au référendum du 27 avril sur la régionalisation et le Sénat, qui s'est soldé par 54% de "Non", le général de Gaulle démissionne le 28 avril comme il l'avait annoncé. Alain Poher, président du Sénat assure la fonction de président de la République par intérim. Le lendemain de son entrée en fonction, le 21 juin 1969, Pompidou nomme Jacques Chaban-Delmas Premier ministre. Celui-ci est remplacé en 1972 au profit de Pierre Mesmer. Le septennat de G. Pompidou est écourté par la maladie qui l'emporte le 2 avril 1974. Fils d'un instituteur du Cantal, agrégé de lettres, Georges Pompidou est l'auteur d'une Anthologie de la poésie française.

1973 : L'ancien dictateur argentin Juan Peron rentre dans son pays après plus de 10 ans d'exil.

1986 : Une conférence internationale, réunie à Paris, réclame des sanctions économiques contre l'Afrique du Sud.

1987 : Le président autrichien Kurt Waldheim déclare qu'il espère jouer un rôle de conciliation dans le conflit arabo-israélien, en dépit des critiques juives concernant son passé.

1988 : En Haïti, le général Henri Namphy renverse le président Leslie Manigat, élu le 17 janvier.

1989 : Première visite de M. Hachemi Rafsandjani, président du Parlement iranien, en URSS depuis la révolution islamique de 1979.

1991 : Les députés du Bundestag choisissent Berlin comme capitale de l'Allemagne réunifiée.
C'est le jour où le Reichstag allemand (de l’Allemagne réunifiée) décide de prendre Berlin comme capitale de la nouvelle Allemagne. C’est le début d’une nouvelle ère, non seulement pour Berlin, mais pour toute l’Allemagne.

1995 : Mort d'Emile M. Cioran, 84 ans, écrivain d'origine roumain.

1995 : L'association écologiste Greenpeace contraint Shell à démanteler une plate-forme pétrolière que Shell voulait immerger dans l'Atlantique.

1998 : Décès de Suekiku Miyanaga, 114 ans, doyenne des Japonais

1998 : Décès de Hans Conrad Schuhmann, 56 ans, ancien soldat est-allemand devenu célèbre grâce à une photo, au moment de son passage à l'Ouest