>> Toutes les rubriques <<
· Animaux - Oiseaux - (58)
· Mythologie Greco-romaine- (74)
· La(les)mode(s) - (17)
· Années 50 - (37)
· Arbres et arbustes (22)
· Préhistoire - (25)
· Au Jardin - (27)
· Parcs , réserves naturelles, zoos... (49)
· Bonjour + texte (589)
· Cadeaux de mes ami(e)s - (582)
Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
5848 articles
Cuba
24 février 1895
Le déclenchement de cette seconde guerre d'indépendance revient au Parti Révolutionnaire Cubain, fondé un mois plus tôt aux États-Unis par l'écrivain cubain José Marti, surnommé l'«Apôtre». Les chefs de la première guerre d'indépendance Antonio et José Maceo, qui s'étaient réfugiés sur l'île voisine de Saint-Domingue, se joignent à la nouvelle rébellion.
Le gouverneur militaire espagnol, le général Valeriano Weyler, réagit avec brutalité et proclame la loi martiale.
Les hostilités tournent très vite en défaveur des Cubains indépendantistes. Le 19 mai 1895, José Marti trouve la mort à la bataille de Dos Rios, à l'est de l'île. José Maceo est tué à son tour le 5 juillet 1896 à la bataille de Loma del Gato. Enfin, le 7 décembre de la même année, c'est le tour d'Antonio Maceo à Punta Brava.
Barbeléset camps de concentration
Le général Valeriano Weyler découvre une application inédite au fil de fer barbelé, une invention survenue dans les Grandes Plaines américaines au milieu du siècle, pour parquer les troupeaux de bovins et protéger les champs de leur passage. Ce fil de fer barbelé lui permet de constituer des «camps de concentration» et d'y regrouper les paysans des zones rebelles, sous la surveillance d'un très petit nombre de gardiens.
Un demi-million de personnes vont mourir de maladie et de faim dans ces camps de concentration, les premiers du genre. C'est déjà le XXe siècle et ses horreurs qui se profilent. Aux États-Unis, l'opinion s'émeut et dénonce à satiété les «camps de la mort».
En novembre 1897, confronté à un conflit sans issue, le gouvernement de Madrid propose l'autonomie à Cuba mais l'offre est repoussée à la fois par les rebelles et les loyalistes. Il faut dire que le gouvernement espagnol manque d'autorité. Il est dirigé par une régente, la reine-mère, le roi en titre, Alphonse XIII, n'ayant encore que 12 ans.
À Washington, le président William McKinley est pressé d'intervenir pour libérer l'île mais s'y refuse. Cependant, pour calmer l'inquiétude des résidents américains présents à Cuba, il envoie en janvier le croiseur Maine en visite d'amitié à La Havane... Qui se douterait alors que cette visite d'amitié allait se transformer en guerre ?
coucou je passe te dire bonjour, j espere que tu vas bien,et que tu as bien dormi ,moi sa va ,je te fais de gros bisous a bientot ton amie marie thé
http://bleuocean.centerblog.net
je te souhaite un bon mercredi
bisous
http://angeoudemongif.centerblog.net
coucou
http://lesplusbeaucheval.centerblog.net
tu
http://lesplusbeaucheval.centerblog.net
j'aime pas les histoire de guerre je n'y comprend rien surtut si celle ci et espagnol
http://lesplusbeaucheval.centerblog.net
tu rigole plus de mes blague d'hier sniff lol
http://lesplusbeaucheval.centerblog.net
passe une bonne journée bisous
http://lesplusbeaucheval.centerblog.net
bonjour ma ptite Mimi, j'ai bien dormi une moitié sur le canapé et l'autre en sautant dans mon lit.Ca faisait longtemps que je n'avais pas dormi comme ça et j'ai encore sommeil mais je vais faire du blog et si l'envie me prend une petite sieste à part si la perceuse revient.Baucoup de pluie ce matin et là un peu de soleil.Bonne journée et gros bisouuuuus.Ton amie.Mumu.
http://mamatus.centerblog.net
Ecrire un commentaire