Voyage...

Sur la route de l'Atlas au Maroc (à gauche) ou dans le désert brûlant de Tunisie (à droite), les déserts dissimulent entre dunes et roches, les oasis. Ces petites perles d'eau et de végétation sont de véritables havres de vie et de paix.




Près d'Aït-Ben-Addou -Maroc-

Sources d'eau dans les zones désertiques, les oasis ont été entretenues et développées par les populations locales grâce à une irrigation maîtrisée et ingénieuse.




Hazoua - Tunisie -

Autrefois, ces points de fraîcheur étaient des passages obligés pour les caravanes des routes commerciales traversant le désert.




Oasis de Fachi - Niger -

Dans la chaleur du désert, la moindre présence de végétation et d'eau devient le refuge et l'espoir du voyageur. Ici, l'oasis de Fachi au Niger, dans la région du Ténéré




Dans le massif de l'Atlas marocain, cette modeste rivière permet l'éclosion de la végétation et rend possible la petite agriculture.




La culture des dattes est l'activité reine dans les oasis du Sahara.




Région de Khenchela - Algérie -

L'eau clair coule lentement et diffuse sa fraîcheur entre les rochers brûlants de cette oasis algérienne. Dans le Sahara, les points d'eau ne représentent qu'un millième de la surface totale du désert.




Aux abords de Terjit- mauritanie

En Mauritanie, l'oasis de Terjit, nichée dans les reliefs, émerge des sables dorés.




Dans l'Atlas, une parcelle de blé poussant entre les dattiers permettra de faire vivre les habitants de l'oasis pendant quelques temps.




Ensemble d'habitations berbères dans les environs d'Amizmiz, au Maroc.




Belles et fascinantes, certaines oasis attirent le tourisme occidental et disposent même d'hôtels, comme ici à Babs-el-Shams, aux Emirats arabes unis.




La palmeraie de Tiout, au Maroc, est surplombée par une magnifique kasbah.




Sur les berges du lac Ubari, en Libye, en plein coeur du Sahara.




Une oasis a toujours pour origine la présence significative d'eau : source, nappe phréatique ou lit de rivière.




Au sud-ouest de l'Algérie, la ville deBéni-Abbès s'est construite sur une oasis. D'abord fréquentée par des tribus nomades, elle compte aujourd'hui plus de 10 000 habitants.




A Misfah, petit havre paisible perdu dans les montagnes arides du Sultanat d'Oman, les femmes partent récolter les fruits et les légumes qui poussent à l'ombre des palmiers.




Les lumières du soir adoucissent l'atmosphère autour de cette guelta de Mauritanie, mare formée sur le lit d'une rivière.




Sur les contreforts de l'Atlas, au Maroc, les hommes ont bâti leurs maisons là où l'eau rend possible la vie végétale et animale.




Au sud du Maroc, M'hamid est la dernière bourgade habitée avant de s'engouffrer dans l'immensité minérale du Sahara. A quelques kilomètres de là, perdue dans cette région inhospitalière, "l'oasis sacrée" surgit des sables...




La végétation s'accroche aux rives du lac d'Ubari en Libye, fuyant le sable aride d'une dune menaçante.




Dans la vallée des gorges du Dadès, au Maroc.




L'oasis de Djado - Niger

Au Niger, la région du Ténéré abrite quelques unes des plus belles oasis du Sahara.




Timimoun, en Algérie, est surnommée la "flamboyante" en raison de la beauté de ses habitations ocre.




L'hiver, la neige peut tomber sur Figuig, ville-oasis du Maroc située à la frontière avec l'Algérie, mais cela reste rare...




Semées au hasard des sources et des points d'eau, les oasis se révèlent telles des refuge de paix aux amoureux du désert qui veulent découvrir les immensités arides sous un autre regard.