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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour : 08.02.2013
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C'est arrivé un jour - Le 24 juin -

Publié à 20:28 par acoeuretacris
C'est arrivé un jour - Le 24 juin -
841 : Bataille de Fontenoy
Défaite de Lothaire, un des 3 fils de Louis le Débonnaire et petits-fils de Charlemagne. Héritier de l’Empire Carolingien. Au soir de la bataille de Fontenoy (24 juin 841), Lothaire, qui hérite légitimement de son père Louis le Pieux le vaste empire de Charlemagne, est en déroute. Il a été vaincu par son frère Louis le Germanique et par son demi-frère Charles le Chauve, alliés militairement. Pour l’Église, pour les clercs qui entourent les deux jeunes princes, cette victoire est un "jugement de Dieu". Par la défaite de l’héritier légitime et unique, la volonté divine a voulu marquer qu’un seul homme ne doit plus régner sur un si grand territoire. L’idée d’empire, très personnelle du temps de Charlemagne (au point que celui-ci souhaitait que fussent partagées, à sa mort, les terres qu’il avait conquises), s’était maintenue de par la mort des fils de Charlemagne, sauf un, Louis le Pieux (ou le Débonnaire) ; elle s’était renforcée avec Lothaire, qui entendait bien régner seul sur l’Empire. La bataille de Fontenoy a montré qu’il convient de revenir à l’idée de partage. Mais pour cela il faut que Charles et Louis, que lient seulement les armes, passent un véritable accord politique, traité d’alliance entre deux rois dès lors égaux (ce sont les Serments prononcés à Strasbourg, le 14 février 842) ; il importe ensuite que, se partageant l’Empire (et en laissant une part à Lothaire), ils se reconnaissent des territoires (traité de Verdun, 843). Devant les difficultés à partager des terres dissemblables, on finit par choisir le critère linguistique : Charles obtient la partie francophone, Louis le domaine germanophone de l’Empire. C’est donc la langue qui signifie le partage : elle est le nouveau signe du politique. Les Serments sont prêtés en langues vulgaires, ancêtres respectifs du français et de l’allemand. Et comme il s’agit de se reconnaître des territoires, Louis jure dans la langue du royaume attribué à Charles (donc, en français), et Charles dans la langue du royaume attribué à Louis (donc, en allemand). Puis les troupes de chacun prêtent serment dans leur propre langue. Ces quatre Serments (deux en roman : Louis et les officiers de Charles ; deux en germanique : Charles et les officiers de Louis) adaptent en langue vulgaire les formules qu’utilise le latin juridique des chancelleries : "Pro Deo amur et pro christian poblo et nostro commun salvament, d’ist di en avant, in quant Deus savir et podir me dunat, si salvarai eo cist meon fradre Karlo [...]." Ils n’ont toutefois pas été conservés par quelque document diplomatique, minute de ce qui fut prononcé, mais par une œuvre littéraire. En effet, au premier rang des intellectuels qui guidèrent cette opération politique figure Nithard. Petit-fils de Charlemagne, et donc cousin des princes, c’est à la fois un lettré et un guerrier ; proche conseiller de Charles, il rédige en latin, à sa demande et dans le feu de l’action, une Histoire des fils de Louis le Pieux, qui explique et justifie les événements comme les décisions. Afin de signifier dans son texte, et par son texte même, cette nouvelle alliance, Nithard utilise l’échange linguistique et reproduit les Serments dans les deux langues vulgaires. L’écriture était jusque-là entièrement latine. Par le geste de Nithard (miraculeusement conservés, les Serments ; ne se lisent que dans un manuscrit de son Histoire), le français accède à l’écrit, et c’est la première langue romane à le faire.

1190 : Testatement d'Auguste
Sur le point de partir avec Richard Coeur de Lion pour la troisième croisade, Philippe Auguste, ce jour, organise par un testament ce que doit être le gouvernement pendant son absence.

1340 : Défaite de l'Ecluse
Parce que Jacques Van Artevelde a reconnu Edouard III d'Angleterre comme roi de France légitime, Philippe VI, qui a à sa disposition une puissante flotte, veut engager une bataille navale contre les Zélandais. Ses géniaux amiraux ont ancrés celle-ci dans le port de l'Ecluse près de Bruges. Les navires sont piègés et pris à l'abordage par les archers anglais. La flotte française est presque totalement détruite.

1529 : La première paix de Kapel met fin à une guerre civile en Suisse.

1535 : Charles-Quint prend la tête d'une expédition en vue de reprendre Tunis à Barberousse, de rétablir le Bey sur son trône et d'achever la conquête du littoral nord-africain.

1793 : Adoption de la première constitution républicaine en France.

1812 : Napoléon et son armée franchissent le Niémen et pénètrent en territoire russe.
Napoléon I, l’empereur des Français, envahit la Russie. Il a en tête un projet européen, l’Europe, dominée par la France, de l’Atlantique à l’Oural (ce qui rappelle furieusement certaines idéologies fascistes, mais aussi la parole de De Gaulle).

1850 : Naissance de Lord Horatio Kitchener, maréchal britannique (mort en 1916)

1858 : Le prince Jérôme, cousin de Napoléon III, prend en charge le portefeuille du ministère de l'Algérie. Le 26 novembre 1860, le même ministère est dissous...

1859 : Victoire sanglante des troupes franco-piémontaises de Napoléon III sur les forces autrichiennes de François-Joseph, à Solférino (Italie).
Le royaume de Piemont et de Sardaigne, allié à la France, mène une guerre pour l’Indépendance de l’Italie contre l’Autriche. Pour prix de sa participation, la France recevra la Savoie et Nice. Deux sanglantes victoires, Magenta (voir article à ce sujet à la date du 4 Juin) et Solferino, le 24 juin. Ce jour, les armées françaises et sardes font face à l'armée autrichienne. En dépit de la violence des combats qui font quelques 30 000 morts de part et d'autre et des milliers de blessés auxquels les religieuses ne parviennent pas à porter secours, cette bataille, livrée presque par hasard, est remportée par les armées françaises et sardes, grâce au courage des zouaves qui prennent d'assaut les fortifications du village de Solférino. Le soir, Napoléon III télégraphie à Paris : " Grande bataille et grande victoire. " Celui-ci, par peur de l’opinion publique, qui ne comprend pas que ses enfants aillent mourir en Italie, ainsi que par crainte de voir la Prusse entrer dans la guerre, arrête brusquement son aide. Le royaume de Piémont reçoit la Lombardie. Mais les mouvements de libération n’arrêteront pas pour autant. Les carbonari sont actifs et demandent l’union des états pontificaux au Piémont. C’est alors l’épisode " Garibaldi " (voir anniversaire des 24 Mars et 11 Mai).

1859 : Naissance d'une Idée
Un suisse, Henri Dunant horrifié s'émeut devant le sort des victimes de la bataille de Solférino, ce sanglant combat. Il fait appel à des volontaires pour soigner les blessés. De cette initiative, naîtra , en 1864, la Croix Rouge internationale. La bataille de Solférino, si importante dans le processus d’unification et d’indépendance de l’Italie, connaît également une autre conséquence importante et positive, la création de la " Croix Rouge Internationale" par le suisse Henri Dunant (1828 – 1910). Philanthrope suisse, ce Genevois élevé dans l’atmosphère de piété milite dans les Unions chrétiennes de jeunes gens et entre au service de la Compagnie genevoise de colonisation, à Sétif. En 1858, tout en gardant la citoyenneté suisse, Henri Dunant est naturalisé français. Pour régler les problèmes nés de ses activités algériennes, il cherche à intéresser Napoléon III à ses difficultés en lui offrant la dédicace d’un ouvrage écrit à sa louange. En 1859, il le suit en Italie, lors de la guerre contre l’Autriche. Cette circonstance va décider de sa destinée. Il se trouve présent, sur les arrières de l’armée française, à la journée de Solferino (24 juin), qui fait 40 000 tués et blessés. Dunant voit affluer au quartier général de Castiglione les blessés et les mourants. Il constate l’incurie et l’indifférence avec laquelle on traite les victimes. Dunant improvise des secours, organise les soins, mobilise les volontés et, jusqu’au 12 juillet, continue son action à Brescia, publiant dans les journaux de Genève des appels à la charité. Il traduit le choc qui a bouleversé sa vie dans un récit, publié en novembre 1862, Un souvenir de Solferino. Toute l’Europe s’émeut à la lecture de ces pages qui auront huit éditions, jusqu’en 1873. L’auteur formule le vœu de "quelque principe international, conventionnel et sacré, lequel, une fois agréé et ratifié, servirait de base à des sociétés de secours pour les blessés dans les divers pays de l’Europe". Son souhait trouve un écho à la Société genevoise d’utilité publique. Une commission est créée. Elle charge Dunant de présenter le mémoire qu’elle a élaboré, au Congrès de statistique de Berlin, en septembre 1863. La Commission des cinq se transforme en un Comité international de secours aux blessés. Dans la capitale prussienne, Dunant, aidé du médecin militaire hollandais Basting, lance un appel aux puissances pour réunir une conférence internationale à Genève, initiative qui fait de lui le promoteur indiscutable de la future Croix-Rouge. La Conférence de Genève, groupant les représentants de seize États, s’ouvre en octobre 1863. Elle préconise la création de sociétés nationales de secours aux blessés militaires officiellement reconnues. Appia et Dufour font adopter un signe distinctif : le brassard blanc à croix rouge, inverse du drapeau fédéral suisse. Le 24 août 1864 sont signées les conventions de Genève, qui jettent les bases du droit humanitaire. Elles font obligation de soigner les blessés, sans distinction de nationalité, et prévoient la neutralisation du personnel et du matériel sanitaires. Dunant est alors au comble de sa renommée et couvert d’honneurs. Vice-président de la Société française de secours aux blessés militaires (1864), il parcourt l’Europe pour propager l’idéal de la Croix-Rouge. Son imagination ne cesse d’engendrer des projets politico-économiques passablement utopiques, comme la neutralisation de la Méditerranée ou, ce qui fait de lui un précurseur du sionisme, le retour des Juifs en Palestine. Ses affaires algériennes périclitent et Dunant use de son crédit pour tenter de les renflouer en multipliant les emprunts. Il fait investir plus de trois millions de francs dans des mines, des fabriques, des exploitations forestières, mal gérées et déficitaires. En 1867, le Crédit genevois, principal créancier, le fait déclarer en faillite et condamner comme civilement responsable. À trente-neuf ans, totalement ruiné, Dunant quitte sa ville natale. Mis au ban de la société, il démissionne de ses fonctions de secrétaire du Comité international de la Croix-Rouge, qui passe désormais son nom sous silence. Il cherche à rétablir sa situation, mêlant philanthropie et commerce dans des entreprises qui s’avèrent malheureuses. En 1888, il échoue à Heiden, comme indigent, à l’hôpital du district. Pendant vingt ans, dans son étroite chambre, Dunant accumule une énorme documentation, écrit et récrit ses Mémoires, qu’il laissera inachevées. Il a retrouvé quelques fidèles, qui s’emploient à le tirer de l’isolement. En 1895, Georg Baumgartner, journaliste au Zürcher Nachrichten, apprend, par hasard, l’existence du créateur de la Croix-Rouge. Dans des articles à sensation, il dénonce le "scandale Dunant" et lance un appel au Conseil fédéral suisse, pour que soit rendue au philanthrope la place qui lui revient. Dunant reprend la plume pour soutenir les idées sur le pacifisme et le désarmement qui connaissent un regain de faveur à la fin du XIXe siècle. L’opinion européenne le redécouvre. En 1901, tardive réhabilitation, il reçoit, avec le pacifiste français Frédéric Passy, le premier prix Nobel de la paix et lègue le capital qui lui est attribué à des œuvres de bienfaisance. Déjà entré dans la légende, il meurt à Heiden.

1894 : Sadi Carnot, président de la République française, est assassiné à Lyon par l'anarchiste italien Caserio.
Le président de la République arrive à Lyon après une série de visites officielles en province. Il y préside un banquet et inaugure une exposition. Sur le chemin du Grand Théâtre qu'il rejoint en calèche découverte, tout à coup, un jeune homme sort de la foule, saute sur le marche-pieds et enfonce un poignard dans la poitrine du président en criant : " Vive l'anarchie ! " Le meurtrier, ceinturé sur le champ, est un ouvrier boulanger italien, âgé de vingt ans. Il s'appelle Santo Geronimo Caserio. La foule continue d'acclamer le président... Elle ne remarque pas qu'il est blessé et qu'il agonise. Le président meurt trois heures plus tard. Fils d’un batelier, Caserio est né en Lombardie. Devenu apprenti boulanger, il se convertit à l’anarchisme à une période où le terrorisme anarchiste italien connaît son apogée. Ses activités politiques lui valent une condamnation puis l’exil. Il exerce son métier à Lyon, à Vienne et à Sète. C’est dans cette dernière ville qu’il a l’idée d’accomplir "un grand exploit". Le lendemain, la veuve de Sadi Carnot reçoit une photographie de Ravachol, expédiée par Caserio, avec ces simples mots : " Il est bien vengé. " Caserio accueille sa condamnation à mort en criant : " Vive la révolution sociale ! ". Il est guillotiné le 16 août 1894. Né à Limoges le 11 août 1837, Sadi Carnot n'était pas très connu du public lorsqu'il fut élu à la présidence de la République le 3 décembre 1887, en remplacement de Jules Grévy. "Il n'est pas très fort, déclara alors charitablement Clémenceau, mais il porte un nom républicain". Petit-fils de "l'Organisateur de la victoire", sorti brillamment de Polytechnique et de l'Ecole des ponts et chaussées, Sadi Carnot avait été nommé préfet de la Seine-Inférieure puis élu (et réelu) député de la Côte-d'Or, avant de devenir sous-secrétaire d'Etat aux Travaux publics, ministre des Travaux publics et enfin ministre des Finances. Consciencieux et travailleur, il jouissait d'une réputation de probité et de sagesse. A l'Elysée, il accepta de poursuivre la tradition de l'effacement du pouvoir présidentiel tout en usant avec compétence de son rôle d'arbitre et en s'entourant d'hommes de valeur. En politique extérieure, soucieux de faire sortir la France de son isolement, il se montra un fervent partisan de l'alliance russe. En politique intérieure, alors que la France était enfiévrée par l'affaire Boulanger, le président sut conserver son sang-froid. Pour calmer les esprits et réconcilier les catholiques français avec la République, ce modéré sut préconiser le "ralliement" qui se concrétisa par l'encyclique de Léon XIII. Sadi Carnot prit également l'habitude de multiplier les voyages dans les départements pour étudier les problèmes locaux. Il n'acheva pas, hélas, son septennat. Au cours d'une de ses incursions en province, il fut assassiné à Lyon par un anarchiste italien, Caserio, le 24 juin 1894. L'émotion fut profonde en France. Après des funérailles nationales, le président fut inhumé au Panthéon.

1895 : Naissance du boxeur américain Jack Dempsey, ancien champion du monde des poids lourds mort en 1983.

1901 : A Paris, première exposition du peintre espagnol Pablo Picasso
Génie visionnaire, artiste protéïforme, témoin de son siècle, provocateur... nul autre peintre du XXe siècle ne fut l'objet d'autant de fascination, de scandale et de controverse. Fils d'un professeur de dessin, le jeune Pablo manifeste très tôt des dons exceptionnels. Dès l'âge de 12 ans il réalise des tableaux académiques d'une maîtrise étonnante. Dans les années 1910 Picasso crée avec G.Braque le mouvement cubiste. Il acquiert la notoriété vers les années 20 et jusqu'à sa mort, sa gloire ne connaît aucune éclipse. En 1952 Picasso "le provocateur" confesse dans l'ouvrage Libro Nero de G.Papini : " ... Ce furent de grands peintres que Giotto, le Titien, Rembrandt et Goya : je suis seulement un amuseur public, qui a compris son temps et a épuisé le mieux qu'il a pu l'imbécillité, la vanité, la cupidité de ses contemporains". Pour l'historien de l'art René Huygues, "Picasso a peut-être incarné pour le XXe siècle tout l'art moderne... il a incarné la volonté de l'art moderne de ne plus trouver sa source dans le réel mais d'imposer à l'art des fins qui ne tiennent que de lui-même, c'est-à-dire des fins plastiques.... Il a été l'homme de toutes les destructions et de toutes les remises en question." Selon Picasso lui-même : "Un tableau était une somme d'additions. Chez moi, un tableau est une somme de destructions". En mai 1937, à Paris, à l'occasion de l'Exposition internationale des arts et techniques de la vie moderne, le peintre expose au pavillon espagnol sa célèbre toile Guernica inspirée des tragiques événements survenus en Espagne. Le 8 avril 1973, à 91 ans, Pablo Picasso s'éteint dans sa villa de Mougins.

1910 : Le Japon envahit la Corée

1917 : Mutinerie à bord de bâtiments de la flotte russe de la Mer Noire, à Sébastopol.

1918 : le canon géant, la "Grosse Bertha" commence ses bombardements sur Paris.

1920 : La Grèce lance une offensive contre les nationalistes turcs, en Asie mineure.

1920 : Création de la République de Tchouvachie, république libre de la Fédération de Russie, depuis 1991.
La Tchouvachie a été créée le 24 juin 1920 avec le statut d’oblast autonome, devenant République socialiste soviétique autonome le 21 avril 1925. Elle occupe, au sein de la région économique Volga-Viatka, un territoire de 18.300 kilomètres carrés comprenant 1.353.000 habitants selon les estimations de 1992.Au recensement de 1970, les représentants de la nationalité éponyme, qui appartiennent au groupe turc de la famille ethno-linguistique altaïque, étaient au nombre de 856.000, formant ainsi 70 % de la population de la république à laquelle ils ont donné leur nom. À cette date, 299.000 Russes, 36.000 Tatares et 21.000 Mordves vivaient à leurs côtés, alors que 838.000 Tchouvaches étaient installés en dehors des frontières de la Tchouvachie. Bien que multipliée par 26 entre 1940 et 1971, la valeur de la production industrielle demeure faible en Tchouvachie, région avant tout agricole. L’énergie produite provient essentiellement des centrales hydrauliques de la région. On y trouve des industries du bois, de matériel de construction, des industries chimiques, textiles et alimentaires. L’urbanisation reste faible ; la capitale de la République, Tcheboksary, a cependant vu sa population passer de 9.000 habitants en 1926 à 104.000 en 1939 et à 442.000 en 1992, mais elle doit cette progression aux investissements consentis par les pouvoirs publics fédéraux en faveur de la Tchouvachie, qui lui sont réservés en priorité.

1922 : Walter Rathenau, ministre allemand des affaires étrangères, est assassiné par des nationalistes.

1930 : Naissance du cinéaste français Claude Chabrol.

1931 : L'Union Soviétique et l'Afghanistan signent un traité de neutralité.

1936 : Vote de la loi sur les conventions collectives en France

1940 : La France signe un armistice avec l'Italie.

1942 : La famille royale hollandaise, chassée par la guerre, s'établit provisoirement aux Etats-Unis

1944 : Les premiers éléments soviétiques atteignent la Vistule dans la région de Deblin.

1947 : A bord de son avion, Kenneth Arnold observe 9 "objets volants" ricochant sur l'eau comme des soucoupes.

1948 : Les Soviétiques entreprennent un blocus routier et ferroviaire de Berlin-Ouest, qui conduit à la création d'un "pont aérien" pour le ravitaillement des secteurs occidentaux de la ville.

1960 : La Grèce, la Yougoslavie et la Turquie dissolvent l'Alliance balkanique, créée en 1954.

1963 : Pour la première fois, Moscou adresse des critiques à Pékin, déclarant que les Chinois ont eu recours à des accusations ouvertes lors d'un débat sur l'idéologie communiste.

1964 : Naissance du journaliste et homme de télévision français Jean-Luc Delarue.

1965 : Le Sud-Vietnam rompt avec la France.

1974 : Mort du musicien Darius Milhaud à l'âge de 81 ans.

1978 : Le président yéménite Ahmed Hussein Ghashani est tué par l'explosion d'une bombe dissimulée dans l'attaché-case d'un visiteur.

1981 : Le général Moshe Dayan, ancien ministre israélien de la défense, révèle qu'Israël est en mesure de fabriquer des armes atomiques et en fabriquera, si l'Etat juif est exposé à une menace nucléaire de la part de pays arabes.

1987 : Pierre Juquin démissionne du Comité central du PCF.

1989 : En Angola, accord de cessez-le-feu entre l'UNITA et les troupes du gouvernement.

1993 : L'Assemblée nationale adopte définitivement la réforme du Code de la nationalité.

1993 : Adoption d'un projet de loi réformant le Code de la nationalité.

1993 : Les déclarations du footballeur valenciennois Christophe Robert, reconnaissant avoir reçu 250 000 F par l'OM, retrouvés dans sa résidence, pour permettre au club de gagner son match contre Valenciennes en demi-finale du championnat de France, provoquent la mise en cause de l'OM.

1994 : A Toulouse, présentation de l'Airbus Béluga, le plus gros avion porteur du monde.

1997 : Alain Madelin est élu président du Parti républicain, qui change de nom pour s'appeler "Démocratie Libérale".

1999 : Des raids de l'aviation israéliennes frappent des centrales électriques et des ponts au Liban en guise de représailles à des attaques à la roquette du Hezbollah contre le nord d'Israël : neuf morts.

Commentaires (1)

robert
Bonsoir, je te souhaite tout le bonheur de réussite pour ton beau blog, et je t'en felicite , car il en vaut un grand détour@+Robert
http://robert87300.centerblog.net


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