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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
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LA TRAPPE À SOURIS !
Une souris observait, à travers la fente d'un mur, le fermier et sa femme ouvrir un colis. Quelle est donc la nourriture que ce colis cache? se demanda la souris. Quel ne fut pas un choc que de découvrir qu'il s'agissait d'une trappe à souris!
Elle se hâte donc à la grange pour proclamer le sévère avertissement : Il y a une trappe à souris dans la maison! Il y a une trappe à souris dans la maison!
Le poulet caquetta, se gratta le dos et, levant le cou, il répondit :
"Monsieur Souris, je comprends que cela est un problème pour vous, mais cela n'a aucune conséquence pour moi. Cela ne me dérange pas."
La Souris se tourna donc vers le cochon et lui dit :
Il y a une trappe à souris dans la maison! Il y a une trappe à souris dans la maison!
Le cochon se montra sympathique, mais répondit :
"Je suis très peiné Monsieur Souris, mais je ne peux rien faire si ce n'est de prier, mais soyez assuré de mes prières."
La Souris se tourna alors vers la vache et lui lança son cri d'alarme : Il y a une trappe à souris dans la maison! Il y a une trappe à souris dans la maison!
Et la vache de répondre:
" Eh bien, Monsieur Souris, je suis peiné pour vous, mais cela ne me fait pas un pli sur le ventre!"
C'est ainsi que Monsieur Souris s'en retourna à la maison, la tête basse et découragé d'avoir à affronter seul la trappe à souris du fermier. Dans la nuit qui suivit, un bruit étrange fut entendu dans la maison, un bruit qui ressemblait à celui d'une trappe à souris qui avait saisi sa proie. La femme du fermier se précipita pour voir ce qui avait été attrapé, mais dans la noirceur, elle ne vit pas que la queue d'un serpent vénéneux avait été happé par la trappe à souris. Affolé, le serpent mordit la femme du fermier, qui s'empressa de la conduire à l'hôpital. Hélas, elle revint à la maison avec une forte fièvre. Et tout le monde sait bien qu'il faut soigner une forte fièvre avec une soupe au poulet et le fermier sortit donc sa machette pour apporter le principal ingrédient pour la soupe.
Mais la maladie de la femme du fermier empirait à ce point que tous les amis et les voisins vinrent la veiller 24 heures sur 24 à son chevet. Pour les nourrir, le fermier dut faire boucherie avec le cochon. Mais la femme du fermier ne prit pas de mieux et elle finit par mourir. C'est ainsi que beaucoup de gens vinrent à ses funérailles et le fermier dût abattre la vache pour servir assez de viande à tout ce monde.
Monsieur Souris surveillait tout ce va-et-vient de par la fente du mur, en ressentant une grande tristesse.
La mission de Linette...
Voilà longtemps, à la veille de Pâques…
Dame Eudes, la majestueuse cloche de la cathédrale de Chartres, fit appeler ses filles.
_ Mes chères enfants, la fée Viviane attend votre visite car elle souhaite vous confier une mission… Partez, sur le champ !
Les trois sœurs s'envolèrent, enthousiasmées par une telle invitation.
_ La fée veut certainement m'entendre chanter : ma voix est si belle ! annonça fièrement Aliénor.
_ Et moi, pour faire partie de son corps de ballet : Je danse aussi bien que les elfes ! déclara Aude.
Linette ne disait rien. Elle s'appliquait à suivre ses sœurs tant bien que mal. Ses ailes étaient si petites, si chétives qu'elle avançait avec peine.
_ Cesse de traîner, s'écrièrent ses sœurs, exaspérées par sa lenteur. Tu vas nous retarder !
Quand elles arrivèrent au palais, la fée les accueillit avec beaucoup de gentillesse.
_ Petites, j'ai besoin de votre aide. Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de mes filleuls, les enfants du roi. Je souhaiterais que vous leur portiez, de ma part, ces quelques friandises…
La fée désigna du doigt un gigantesque tas de bonbons, étincelants comme des pierres de lune.
Puis, elle ajouta :
_ Vous embrasserez mes chers filleuls pour moi.
Les jeunes cloches glissèrent les cadeaux sous leurs larges jupes de bronze, sans mot dire. Puis elles se retirèrent.
Après avoir parcouru quelques kilomètres, elles firent une pause près de la rivière.
Aliénor et Aude semblaient de méchante humeur :
_ Que c'est lourd ! dit l'une.
_ Quelle barbe ! Répliqua l'autre. Je n'ai aucune envie d'accomplir cette mission.
_ Pour qui nous prend-t-elle ? Pour ses domestiques ?... Je rentre chez moi !
_ Moi aussi !
Et sous les yeux horrifiés de la plus petite, les cloches déchargèrent leur cargaison d'or et d'argent, dans l'herbe humide.
_ Vous ne pouvez pas faire ça ! Nous avons promis à Viviane…
_ Nous allons nous gêner ! Répondirent en chœur les chipies.
Elles s'envolèrent sans même un regard pour leur cadette, persuadées que cette dernière les suivrait comme à l'accoutumée.
Cette fois, Linette n'avait pas envie d'obéir. Elle rassembla les friandises abandonnées et les plaça avec précaution sous sa jupe :
_ Les petits princes attendent leur cadeau. Pas question de les décevoir, murmura-t-elle.
Ainsi chargée, elle prit son envol en direction de la demeure du roi. Le vent s'était levé, à présent. La pluie tombait. Linette avançait avec grande difficulté car ses ailes étaient douloureuses. Vingt fois, la petite cloche fut sur le point d'abandonner sa charge… Mais elle tint bon.Bientôt elle aperçut les tourelles du château, de l'autre côté de la forêt.
_ Allez, j'y suis presque ! S'encouragea-t-elle de la voix.
A cet instant, un éclair transperça le ciel. Linette eut alors si peur qu'elle perdit l'équilibre. Sa précieuse charge glissa… et se répandit sur la terre.
Quand Linette parvint au pied du château, sa jupe était vide !
Epuisée, la cloche s'écroula à terre, secouée par de gros sanglots. Elle aurait souhaitée mourir là, tant elle était déçue de n'avoir pu réaliser sa mission.
Soudain des petites mains la caressèrent. Quand elle leva la tête, elle vit deux enfants qui l'observaient avec tendresse :
_ Pourquoi pleures-tu, gentille cloche ?
Linette comprit aussitôt qu'elle avait affaire aux jeunes princes. Elle leur confia la raison de sa détresse.
_ Ce n'est pas grave, s'exclamèrent les enfants. Nous chercherons les bonbons avec toi. A trois, nous les retrouverons bien vite !
La pluie avait cessé. La présence du soleil facilita les recherches : Les emballages des sucreries scintillaient joyeusement entre les brins d'herbe, dans les arbres et sur le chemin…
Marie et Louis poussaient des cris d'émerveillement, à chaque trouvaille.
Linette oublia sa fatigue pour retrouver le sourire : les jumeaux s'amusaient tant !
Quand ils rentrèrent au château, les petits princes annoncèrent au roi, les joues rougies par le plaisir :
_ Sire, grâce à Linette, nous avons passé une excellente journée ! Nous avons fait une extraordinaire chasse aux bonbons ! Il faudra la conter à Madame notre marraine.
Depuis cette aventure, une coutume s'instaura : Les cloches eurent pour mission, chaque veille de Pâques, de distribuer des bonbons en chocolat aux jeunes princes puis ensuite à tous les enfants…
(auteur inconnu)
Le bâtisseur de ponts...
Voici l'histoire de deux frères qui s'aimaient beaucoup et vivaient en parfaite harmonie dans leur ferme jusqu'au jour où un conflit éclata entre eux.
Les deux frères vivaient du travail de leurs champs. Ils cultivaient ensemble et récoltaient ensemble. Ils avaient tout en commun. Tout commença par un malheureux malentendu entre eux. Mais peu à peu, le fossé se creusa jusqu'au jour où il y eut une vive discussion puis un silence douloureux qui dura plusieurs semaines.
Un jour quelqu'un frappa à la porte du frère aîné. C'était un homme à tout faire qui cherchait du travail. Quelques réparations à faire...
- Oui, lui répondit-il, j'ai du travail pour toi. Tu vois, de l'autre côté du ruisseau vit mon frère cadet. Il y a quelques semaines, il m'a offensé gravement et nos rapports se sont brisés. Je vais lui montrer que je peux aussi me venger. Tu vois ces pierres à côté de ma maison ? Je voudrais que tu en construises un mur de deux mètres de haut, car je ne veux plus le voir.
L'homme répondit :
- Je crois que je comprends la situation.
L'homme aida son visiteur à réunir tout le matériel de travail puis il partit en voyage le laissant seul pendant toute une semaine.
Quelques jours plus tard, lorsqu'il revint de la ville, l'homme à tout faire avait déjà terminé son travail. Mais quelle surprise ! Au lieu d'un mur de deux mètres de haut, il y avait un pont. Précisément à ce moment, le frère cadet sortit de sa maison et courut vers son aîné en s'exclamant :
- Tu es vraiment formidable ! Construire un pont alors que nous étions si fâchés ! Je suis fier de toi !
Pendant que les deux frères fêtaient leur réconciliation, l'homme à tout faire ramassa ses outils pour partir.
- Non, attends ! lui dirent-ils. Il y a ici du travail pour toi.
Mais il répondit :
- Je voudrais bien rester, mais j'ai encore d'autres ponts à construire...
(auteur inconnu)
Ce jardin là...
Il était une fois un grand jardin, le grand jardin de ma vie. Il avait jailli, un jour d'hiver, au détour d'une rencontre.
Bon jour !
Exprimer un bonjour, comme deux pieds
Lovés, soudés l'un à l'autre,
L'envie d'exister, cohabiter,
Deux pieds, que l'on fait notre, animent
Coeur à lèvres, marche du matin
A la soirée arrivant, en fin
Parfois, une canne faut ajouter...
Souhaiter en sourire et non dire, Bon jour,
Espérant que la joie sera à vous semée
Quelque part, dans un détour, toute en velours
Sur notre chemin, aux rencontres, où plonger
Nous pourrons sous le soleil bonheur,
Enrober ses écrins, en douceur
S'ouvrir à celui reçu Le coeur...
Souhaiter un Bon jour l'âme en fleur,
C'est comme offrir notre musique,
La poésie de notre coeur, le bond de l'heure,
Sans compter pour conter tous ces instants épiques,
Pour dire à une personne,
Qu'on l'a vu et reconnu,
Que présence dans la rue
De notre existence chantonne,
Qu'il a une importance,
Qu'il soit voisin inconnu ami
Du coeur avec sa science,
Un - petit rien - de la vie...
Car bien trop souvent au temps qui passe,
Des mots s'en vont, tout jamais perdus,
Car trop souvent
Derrière nos murs
Si on ne les laisse éclore au grand jour,
Déverser pour partager, aussi, à vous..
(auteur inconnu)
Curiosités de la langue française !
- On remercie un employé quand on n'est pas content de ses services.
- On passe des nuits blanches quand on a des idées noires.
- Pourquoi dit-on d'un pauvre malheureux ruiné
qu'il est dans de beaux draps ?
- Pourquoi, lorsque vous dites à quelqu'un : « Je ne partage pas votre avis »,
il peut répondre « Les avis sont partagés » ?
- Pourquoi un bruit transpire-t-il avant d'avoir couru ?
- Quand un homme se meurt, on dit qu'il s'éteint.
Quand il est mort, on l'appelle « feu ».
- Pourquoi lave-t-on une injure et essuie-t-on un affront ?
- Pourquoi parle-t-on des quatre coins de la terre,
puisque la terre est ronde ?
- Comment distinguer le locataire du propriétaire lorsque ces deux personnes
vous disent à la fois : « Je viens de louer un appartement » ?
- Comment peut-on faire pour dormir sur les deux oreilles ?
- Pourquoi appelle-t-on coup de grâce le coup qui tue ?
- Pourquoi lorsque l'on veut avoir de l'argent devant soi,
faut-il en mettre de côté ?
- Le pot a des oreilles et nous disons : « sourd comme un pot ».
- Pourquoi dit-on : « embarras de voitures » quand il y a trop de voitures,
et « embarras d'argent » quand il n'y a pas assez d'argent ?
Les règles de l’être humain
1. Un corps t’a été donné. Tu peux l’aimer ou le détester,mais ce sera le tien pour toute la durée de cette vie.
2. Tu vas apprendre des leçons. Tu es inscrit dans une école informelle à plein temps appelée «VIE». Chaque jour tu auras l’occasion d’apprendre des leçons dans cette école. Tu pourras aimer les leçons, ou penser qu’elles sont idiotes ou sans pertinence.
3. Il n’y a pas de fautes, seulement des leçons. La croissance est un processus d’essai et d’erreur par l’expérimentation. Les expériences «ratées» font tout autant part du processus que celles qui «réussissent».
4. Une leçon sera répétée jusqu’à ce qu’elle soit apprise. Une leçon te sera présentée sous diverses formes, jusqu’à ce que tu l’apprennes. Quand tu l’auras apprise, tu pourras passer à la leçon suivante.
5. Apprendre des leçons ne finit jamais. Il n’y a pas de partie de “Vie” qui ne contienne de leçon. Si tu es en vie, il y a des leçons à apprendre.
6. «Ailleurs», n’est pas meilleur qu’ «ici». Quand ton «ailleurs» est devenu «ici», tu obtiens à nouveau un autre “ailleurs” qui à son tour te semblera meilleur qu’ «ici».
7. Les autres sont essentiellement des miroirs de toi-même. Tu ne peux aimer ou détester quelque chose chez autrui que si ce quelque chose reflète une chose que tu aimes ou que tu détestes en Toi.
8. Ce que tu fais de ta «VIE» dépend de toi. Tu as tous les outils, toutes les ressources dont tu as besoin. Ce que tu en fais dépend de toi. Le choix t’appartient.
9. Tes réponses sont en toi. Les réponses aux questions de la «VIE» sont en toi. Tout ce qu’il te faut c’est regarder, écouter et faire confiance.
10. A mesure que tu t’ouvres à cette confiance,tu te souviendras de plus en plus de tout ceci…
(auteur inconnu)
Premier sourire du printemps
Tandis qu'à leurs oeuvres perverses
Les hommes courent haletants,
Mars qui rit, malgré les averses,
Prépare en secret le printemps.
Pour les petites pâquerettes,
Sournoisement lorsque tout dort,
Il repasse des collerettes
Et cisèle des boutons d'or.
Dans le verger et dans la vigne,
Il s'en va, furtif perruquier,
Avec une houppe de cygne,
Poudrer à frimas l'amandier.
La nature au lit se repose ;
Lui descend au jardin désert,
Et lace les boutons de rose
Dans leur corset de velours vert.
Tout en composant des solfèges,
Qu'aux merles il siffle à mi-voix,
Il sème aux prés les perce-neiges
Et les violettes aux bois.
Sur le cresson de la fontaine
Où le cerf boit, l'oreille au guet,
De sa main cachée il égrène
Les grelots d'argent du muguet.
Sous l'herbe, pour que tu la cueilles,
Il met la fraise au teint vermeil,
Et te tresse un chapeau de feuilles
Pour te garantir du soleil.
Puis, lorsque sa besogne est faite,
Et que son règne va finir,
Au seuil d'avril tournant la tête,
Il dit : " Printemps, tu peux venir ! "
(Théophile GAUTIER (1811-1872) - Émaux et camées)
La quête du bonheur....
Un petit tailleur de pierre vivait paisiblement au pied d’une grande montagne dont il détachait des morceaux de rocher pour construire des maisons.
Il était satisfait de son sort. Jusqu’au jour où… il se rendit chez un riche seigneur des environs pour honorer une commande. Il découvrit alors les merveilles d’une vie de luxe et d’abondance : somptueuse demeure, habits de soie, mets raffinés, gracieuses concubines, etc.
À partir de ce moment, les splendeurs qu’il aperçut l’empêchèrent de dormir. Sa vie lui apparut désormais sans joie. « Ah si j’étais riche, se lamenta-t-il, comme je serais heureux ! »
Le génie de la montagne entendit sa plainte : « Ton vœu a été entendu, tailleur de pierre, sois donc riche et sois donc heureux ! »Aussitôt dit, aussitôt fait. Riche marchand il devint et il fut satisfait de son sort. Jusqu’au jour où… il vit passer le roi dans son palanquin d’or, chacun se courbant sur son passage. Que valaient donc ses richesses à côté du pouvoir d’un roi et de l’admiration que tous lui vouaient ? « Ah si j’étais roi, soupira-t-il, comme je serais heureux ! »
Et le génie de la montagne entendit sa plainte : « Ton vœu a été entendu, marchand, sois donc roi et sois donc heureux ! »Aussitôt dit, aussitôt fait. Roi vénéré il devint et il fut satisfait de son sort. Jusqu’au jour où… il advint que le soleil imposa sur le pays ses rayons ardents et impitoyables. Tout roi qu’il était, il ne pouvait se protéger de la chaleur et s’opposer au pouvoir de ce maître du ciel.
Dépité, il s’exclama : « À quoi servent trône et richesses, si le soleil est plus puissant que moi ! Ah si j’étais soleil, comme je serais heureux ! » À nouveau le génie de la montagne entendit sa plainte : « Ton vœu a été entendu, roi, sois donc soleil et sois donc heureux !» Aussitôt dit, aussitôt fait. Soleil tout puissant il devint. Il darda ses rayons sur tout ce qui vivait : riches et pauvres, faibles et puissants, plantes et animaux. Tous étaient soumis à son pouvoir et tous se desséchaient. Et il fut satisfait de son sort. Jusqu’au jour où… il vit que la montagne, elle, se dressait toujours. Immuable.
En colère, il s’écria : « À quoi sert la puissance si l’on peut me résister ? Ah, si j’étais la montagne, comme je serais heureux ! » Encore, le génie de la montagne entendit sa plainte : « Ton vœu a été entendu, soleil, sois donc montagne et sois donc heureux ! »Aussitôt dit, aussitôt fait. Montagne immortelle il devint. Et il fut satisfait de son sort, jusqu’au jour où… il sentit quelque chose lui démanger le pied. Et c’est alors qu’il vit, là en bas, tout en bas, un tout petit tailleur de pierre occupé à détacher des morceaux de rocher pour construire les maisons…
Le tailleur de pierre : extrait de l'ouvrage de J. Quoidbach
Qui a dit "Les paroles s'envolent et les écrits restent ?
Voici une petite histoire...
"Il était une fois un homme qui disait des choses désagréables à beaucoup d'autres dans son village. Un jour, il s'est rendu compte que malheureusement personne ne l'aimait. Il est allé voir son chef pour lui demander ce qu'il pouvait faire pour arranger les choses.
Le chef lui dit, "Ce soir, met une plume devant la porte de tous ceux à qui tu as dit des choses blessantes."
Alors il fit exactement cela.
Le lendemain matin, il retourna voir le chef et lui demanda : "Que faire maintenant ?"
Le chef lui répondit : "Maintenant, va chercher toutes les plumes en place."
Malheureusement toutes les plumes s'étaient envolées..."
Les mots sont comme des plumes que vous ne pouvez pas donner et reprendre.
Il vaut mieux réfléchir avant de parler selon les situations. Parfois fois, avec nos paroles,on fait du tort sans le vouloir vraiment mais après, une fois les mots dits, c'est trop tard...
(auteur inconnu)