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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
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Le bras, symbole de l'activité et du pouvoir de direction
Symbole de l'activité et de la force, le bras reçoit des bénédictions, des honneurs, du pouvoir lignager ou politique et des renfoncements pour le travail. Le bras droit est mâle, le bras gauche femelle, représentant le lignage paternel ou maternel. Soulever le bras de quelqu'un sert à l'honorer. Le bras du gibier est l'organe qui touche le premier la terre. Le chasseur l'offre aux chefs de terres. Pour libérer un cleptomane de ses fâcheuses habitudes, on exorcise ses bras pour qu'ils soient retenus devant le bien d'autrui. Il y a enfin les rites de guérison concernant le bras d'un malade.
Les racines dans le sol, la cime dans le ciel, l'arbe est chargé de forces sacrées.
Il n'est pas une culture sans son arbre magique, tronc commun des religions.
Fruitier, conifère ou résineux, découvez les incroyables pouvoir
des phénix de ces bois...
Le pommier... de la discorde...
Si les Dieux de la mythologie scandinave mangeaient des pommes pour rester jeunes, et que les vainqueurs des jeux olympiques en recevaient une en gage d'immortalité, le pommier est un arbre ambigu.
En effet, Paris offrira à Aphrodite la fameuse pomme d'or...
qui sera à l'origine de la Guerre de troie.
Quant à l'autre fameuse pomme qu'Eve aurait fait croquer à Adam, il s'agiraitt d'une erreur de traduction.
Les termes "pomme" et "mal" auraient été confondus par Saint Jérome (malus et malum)
Les racines dans le sol, la cime dans le ciel, l'arbe est chargé de forces sacrées.
Il n'est pas une culture sans son arbre magique, tronc commun des religions.
Fruitier, conifère ou résineux, découvez les incroyables pouvoir
des phénix de ces bois...
Le bouleau, une vraie drogue ????
En Sibérie, le bouleau est surnommé "le gardien de la porte", car il ouvrirait celle du ciel.
Est-ce que c'est parce que l'amanite tue-mouche poussant à son pied contient une substance hallucinogène, provoquant des transes que les chamans de Sibérie le recherchaient pour communiquer avec les Dieux ?
Les racines dans le sol, la cime dans le ciel, l'arbe est chargé de forces sacrées.
Il n'est pas une culture sans son arbre magique, tronc commun des religions.
Fruitier, conifère ou résineux, découvez les incroyables pouvoir
des phénix de ces bois...
Grace à l'olivier, la force est avec nous...
C'est une massue en bois d'olivier qu'Héraclès utilisa pour fracasser le lion de Némée... sans meme avoir eu besoin d'épinards.
Certes, la fiancée de Popeye, le marin le plus fort du monde, s'appelle bien Olive, mais si l'olivier est devenu l'arbre sacré des peuples de la Méditerranée, ce n'est pas en raison de ses relations avec Hollywood, mais d'abord grace à ses talents.
Son huile alimentait les lanternes pour éclairer la nuit et enduisait les corps de son essence protectrice.
Son bois servait aux constructions les plus précieuses - maison, berceau et coffres sacrés -.
Et c'est sur une colline d'oliviers que sera fondée Athènes en signe de paix et de prospérité.
D'ailleurs, la colombe que Noé envoya afin de chercher un morceau de terre ou poser ses pattes après le déluge, ne revint-elle pas vers l'arche, une branche d'olivier dans le bec, promesse de renaissance ?
A Jérusalem, le Mont des oliviers sera, lui, consacré par l'appellation "là ou on adore Dieu".
Jésus y passera sa dernière nuit d'avant son arrestation...
Les Rois d'israel, puis le messie chretien, seront oints d'huile d'olive pour officialiser leur mission divine.
Le Grec kristos, traduction de l'hévreu Machiah, donnera Christ, "celui qui a reçu l'onction de l'huile Sainte" .
Dès Clovis, les rois de France recevront eux aussi l'onction de l'huile sacrée en légitimation divine de leur couronne terrestre.
L'Islam considérera à sont tour l'olivier, arbre cosmique par excellence, comme symbole de l'homme universel et source de lumière sprirituelle.
Les racines dans le sol, la cime dans le ciel, l'arbe est chargé de forces sacrées.
Il n'est pas une culture sans son arbre magique, tronc commun des religions.
Fruitier, conifère ou résineux, découvez les incroyables pouvoir
des phénix de ces bois...
La vigne, c'est la vie...
Le cep de vigne était nommé par les sumériens, il y a cinq mille ans,
"herbe de vie". Et c'est à Noé que la Bible attribuera l'invention de la culture de la vigne.
Normal pour quelqu'un qui a échappé au déluge : le besoin d'un verre "d'eau de vie" devait etre pressant !
Quant à Dionysos, le dieu grec de la vigne, qui meurt et renait au fil des sisons et des éclipses, il sera celui qui fait pousser les fruits.
Inventeur du vin, il aurait aussi concocté le nectar des dieux, le mythique hydrome, cocktail de raisin de de lierre.
Le vin est la sève de la vigne, laquelle remet la vie en en circulation.
Alors n'hésitez pas à feter le beaujolais nouveau chaque année, un rite magico-commecial venue de l'aube des temps !
Selon la cosmogenèse akkadienne, l'invention de la brique est due à Nardouk, le dieu créateur :
Il créa les arbres, il posa une brique, il fabriqua le moule à brique. Il construisit la maison, il bâtit la ville. (Soun, 146-147)
Le dieu de la brique, Koulla, avait été créé d'une pincée d'argile puisée dans l'Apson, le fleuve primordial et était préposé à la restauration des temples.
La brique symbolise ici le passage de l'humanité à la vie sédentaire et l'origine de l'urbanisation : maison, cité, temple. La brique est don des dieux. Elle est le symbole de l'homme fixé dans sa maison, sur son sol avec sa famille, s'organisant en village ou en ville avec ses lieux de culte. Elle lui apporte la sécurité de la demeure, de la culture, de la société, de la protection divine et aussi la limite car la brique c'est la règle, la mesure, l'uniformité. C'est la société close, contre la société ouverte du nomade.
Les légendes médiévales assimilaient Arlequin à un mauvais génie, un petit diable nocturne malfaisant, d'où le masque noir qu'il porte toujours. Il était naïf et pauvre et vêtu de loques. Il cousait des morceaux de tissu pour cacher les trous. Devenu le plus vivant de la comedia dell'arte, rusé et cynique, son costume s'est stylisé : triangles symétriques, puis losanges rouges, jaunes, bleus et verts. Jeune, Arlequin gardait les vaches muni d'un bâton appelé " la batte d'Arlequin ".
Costume : Veste et pantalon : losanges de couleurs disparates. 1/2 masque noir ou grimé de noir.
On trouve dans les écrits magiques, ainsi que sur lestalismanset les amulettes, des mots n’ayant parfois aucun sens apparent. Certains Noms très connus et utilisés, d’autres beaucoup moins répandus. Ces mots magiques ne sont jamais pris à la légère et sont tous porteurs d’une signification occu1te. Même le célèbre « Abracadabra » (arbdaqrba) du moyen-âge à un son magique : ce nom est constitué de neuf lettres et structuré par trois Alef (début millieu et fin) séparant les mots « baraq » (qrb), « foudre » et « dabar » (rbd), « parole ». Ce mot magique donne à la parole la puissance de la foudre en éblouissant une assemblée. On trouve ce nom généralement écrit en triangle et en lettres latines sur les talismans, son écriture hébraïque est la suivante :
(voir image)
On ne trouve pas ce nom dans les livres des mystères kabbalistiques, par contre, le Sépher Raziel fait allusion à l’Abraxas, qui est un nom dérivé d’Abracadabra. Dans sa section 37b, le Raziel substitue Abraxas par le nom « Abragag » (ggrba), en lui donnant le sens de « divin » et en nommant de cette manière le nez du corps divin. Mais il l’utilise dans sa forme normale comme nom à invoquer pour faire apparaître une lueur dans les ténèbres, de cette manière : « Yeir Abraksas » (cksrba ryay), ce qui veut dire « Il éclaire divinement ». Les noms magiques sont obtenus par des associations, des dénaturations, des abréviations ou des combinaisons, selon des règles établies (vol l’ « Kabbale Extatique », chap.8).
Selon M-A Ouaknin, Abracadabra est né de la confusion entre le dibour et la amira. Abracadabra signifie littéralement, selon lui, « il a créé comme il a parlé » (hou bara kémo chedibère), et c’est donc l’expression de la Kabbale chrétienne qui assimile la création par la parole au terme de dibour et non au terme de amira. Car, Dieu créé par la AMIRA comme il est écrit « vayomèr Elohim » dix fois dans la Genèse.
Il est donc probable que Abracadabra ne soit que l’expression d’une dérive occulteuse de la Kabbale chrétienne et non l’expression de la véritable Kabbale, fût-elle pratique. Son étude n’en reste pas moins utile dans l’émergence du mot de la loi de l’Eon d’Horus, Kabbale thélémite cette fois, Abrahadabra.
L'aigle symbolise Jean
L'aigle est le symbole particulier de l'évangéliste Jean. Cela vient d'un texte du prophète Ézéchiel qui décrit sa vision : Je discernai quelque chose qui ressemblait à quatre animaux dont voici l'aspect : ils avaient une forme humaine. Ils avaient chacun quatre faces et chacun quatre ailes. . . Quant à la forme de leurs faces, ils avaient une face d'homme, et tous les quatre avaient une face de lion à droite, et tous les quatre avaient une face de taureau à de gauche, et tous les quatre avaient une face d'aigle (Ézéchiel 1, 5-6.10). La tradition a vu dans ces animaux les symboles des évangélistes. Cependant dans l'impossibilité où elle était de déterminer la représentation exacte de ces êtres, elle s'en est tenue à l'attribution de l'homme à Matthieu, du lion à Marc, du taureau à Luc et de l'aigle à Jean.
Symbole de vie nouvelle
Les anciens croyaient que l'aigle, différent en cela des autres oiseaux, renouvelait périodiquement son plumage et sa jeunesse : pour cela il volait directement vers le soleil et ensuite il plongeait dans l'eau. Un psaume y fait allusion : Comme l'aigle se renouvelle ta jeunesse (Psaume 103,5).
Le symbole de l'aigle convient d'une manière particulièrement juste à Jean puisqu'il s'est élevé très haut dans la contemplation de la nature divine du Verbe de Dieu. De plus, l'aigle est souvent interprété comme le symbole de la Résurrection, et Jean est un témoin privilégié du grand événement pascal.
Symbole du Christ et du disciple
L'aigle est le symbole du disciple bien-aimé, mais c'est aussi le symbole du Christ. On le disait capable s'élever jusqu'où on ne le voit plus. On disait aussi qu il avait la capacité de fixer le soleil en plein midi. On voit le rapprochement avec le Christ-Dieu qui voit le Père face à face
En outre, tous les disciples du Christ peuvent être identifiés aux aigles. Ils partagent la force morale de l'aigle. Le livre d'Isaïe disait : Ceux qui espèrent dans le Seigneur renouvellent leur force, ils déploient leurs ailes comme des aigles, ils courent sans s'épuiser, ils marchent sans se fatiguer (Isaïe 40, 31). Dans le Baptême, plongés dans l'eau, ils ont puisé foi, courage et contemplation. On disait que l'aigle, si grande fût sa faim, laissait toujours une moitié de ses proies aux autres oiseaux. C'est l'exemple de la générosité ou de la charité qui anime le vrai disciple du Christ.