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CD : Détails

Publié à 01:00 par dessinsagogo55 Tags : bande center centerblog sur vie musique création film centre sommaire
CD : Détails

Les disques compacts sont constitués d’une galette de polycarbonate de 1,2 millimètre d’épaisseur recouverte d’une fine couche d’aluminium (à l'origine, c’était d’une couche d’or et c’est encore le cas sur les disques à longue durée de vie) protégée par un film de laque. Ce film peut aussi être imprimé pour illustrer le disque. Les techniques d’impression sont l’offset et la sérigraphie. Les différentes couches sont déposées par la machine à l'état liquide sur le pourtour du centre du disque et réparties sur la surface par la force centrifuge, afin de garantir une répartition uniforme.

Les informations sur un CD standard sont codées sur une piste d’alvéoles en spirale moulée dans le polycarbonate. Chaque alvéole mesure environ entre 125 nm (0,125 μm) et 500 nm en largeur, et entre 833 nm et 3,5 μm en longueur. L’espace entre les pistes est de 1,6 µm. Pour se donner une idée des dimensions, si le disque était mis à l’échelle d’un stade de football, une alvéole aurait la taille d’un grain de sable. La spirale commence presque au centre du disque pour se terminer en périphérie, ce qui autorise plusieurs tailles de disques.

Un CD est lu par une diode laser de 780 nm de longueur d'onde à travers la couche de polycarbonate (diamètre du spot : 1,04 μm). La différence de profondeur entre une alvéole (creux) et la surface plane (bosse) est d’un quart la longueur d’onde du laser, ce qui permet d’avoir un déphasage d’une demi-longueur d’onde entre une réflexion du laser dans une alvéole et sur la surface plane. L’interférence destructive causée par cette réflexion réduit l’intensité de la lumière réfléchie dans une alvéole comparée à une réflexion sur la surface plane. En mesurant cette intensité avec une photodiode, on est capable de lire les données sur le disque.

Les creux et les bosses ne représentent pas les « 0 » et les « 1 » des informations binaires. C’est le passage d’un creux à une bosse ou d’une bosse à un creux qui indique un « 1 ». S’il n’y a pas de passage bosse-creux, alors il s’agit d’un « 0 ». On appelle cela un « front ».

Ensuite, ces données sont soumises au traitement EFM (Eight-to-Fourteen Modulation) utilisé lors du codage des données audionumériques en données numériques pour CD audio, de façon à obtenir les données audionumériques brutes.

La fabrication industrielle d’un CD se fait suivant différentes étapes : un CD ainsi produit assure une longévité de l’ordre d'un siècle s'il est stocké et manipulé soigneusement. En comparaison, un CD-R a une durée de vie de l’ordre d'une décennie, du fait de sa sensibilité aux rayons lumineux.

Le prématriçage correspond à la transcription des informations du client sur une bande à neuf pistes, en passant par une phase de correction d’erreurs, et de formatage des fichiers au format ISO 9660 dans le cas d’un CD-ROM.

La fonction essentielle du prématriçage est le calcul du code détecteur et du code correcteur. Ces codes sont contenus sur 288 octets accolés à 2 ko d’informations plus des informations de synchronisation et d’en-tête. Ce procédé permet de prévenir les erreurs de transmission.

Une fois cette étape passée, il n’y a plus aucune modification des données à inscrire.

La création du disque matrice, appelé aussi matrice de verre, correspond au marquage des données sur un disque de verre.

Le point de départ du disque matrice est une vitre fortement polie, dont les caractéristiques de surface ressemblent de près à celles d'un miroir astronomique. Cette plaque de verre est couverte d’un substrat sensible à la lumière, appelé résine photosensible. La couverture de la plaque par un procédé de rotation (dépôt par centrifugation) assure une couche absolument plane et uniforme de 120 nm d’épaisseur. C’est l’épaisseur de cette couche qui détermine la profondeur des creux.

L’inscription des données est effectuée grâce à un appareil émettant un rayon laser qui est activé et désactivé en fonction des informations transmises. Le rayon ainsi modulé marque la couche photosensible de la plaque de verre.

Le disque de verre est ensuite placé dans un bain de développement. Les emplacements altérés par le rayon sont lavés faisant ainsi apparaître les premiers creux.

Après séchage du disque matrice suit la vaporisation sous vide d’une fine couche argentée de 100 nm. À ce stade, le disque matrice est lisible par un lecteur spécial qui permet de contrôler la qualité de l’enregistrement.

La galvanisation est une opération qui crée la matrice de production à partir de la matrice de verre.

La matrice de verre est plongée dans un bain de galvanisation comportant une anode de nickel. La couche argentée de la matrice de verre est transformée en cathode. Le courant ainsi créé entraîne un déplacement des ions de nickel sur l’anode, couvrant peu à peu la plaque de verre d’une couche de nickel.

La séparation de la couche de nickel de son support de verre amène la destruction de ce dernier. Si à ce stade de l’opération les normes de qualité ne sont pas respectées, tout le processus précédent est à refaire.

La couche de nickel, copie tirée directement de la matrice de verre, est nommée « original » ou « copie père » : c’est une reproduction en négatif de l’original. Pour éviter une perte de cet original, on en fait une copie appelée « copie mère », qui sert ensuite à tirer les sous-matrices.

Les sous-matrices sont, comme l’original, des négatifs et servent à imprimer les données sur les disques en plastique pendant leur fabrication. Elles sont perforées au centre et polies à l’endos. La qualité du dos de la matrice a une grande influence sur le bruit qui sera perçu par les photorécepteurs des lecteurs de CD-ROM. La rugosité moyenne maximale est de 600 nm. Comme l’air, la propreté de l’eau est importante pour la qualité finale du produit.

 

 

  CD
  CD : Un remplaçant du disque microsillon
  CD : Détails
  CD : Fabrication
  CD : Emballage
  CD : Format audio
  CD : Capacité de stockage, vitesse et longévité
  CD : Types de disques
  Le premier CD commercialisé

 

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Dire Straits : Brothers In Arms

Publié à 23:51 par dessinsagogo55 Tags : musique png center monde centerblog sur merci vie france place platine
Dire Straits : Brothers In Arms

Brothers In Arms est le cinquième album studio du groupe de rock anglais Dire Straits, sorti en 1985.

La qualité technique de cet album, qui joue beaucoup sur les effets de dynamique entre sons forts et sons faibles, en fait un moyen très utilisé de promotion des lecteurs CD pendant les deux ans qui suivront sa sortie. Il est en outre à ce jour un titre phare du format Super Audio CD, sous lequel il fut remasterisé et réédité en 2003 (il s'agit d'un Super Audio CD hybride, par conséquent lisible en qualité Compact Disc par toute platine CD conventionnelle, incapable de reproduire la piste haute définition Super Audio CD). Pour cause d'un manque de place sur la face 1 des éditions vinyles, tous les titres de la face A sont écourtés sauf Walk of Life (voir indication ci-dessous).

Il contient de nombreuses pistes qui sont désormais considérées comme des incontournables de Dire Straits :

Money for Nothing, avec son célèbre riff de guitare et l'apparition du chanteur Sting dans le refrain et les chœurs ; Mark Knopfler a d'ailleurs joué Money for Nothing en compagnie de Sting, d'Eric Clapton et Phil Collins lors du concert caritatif Music for Montserrat (1997) ;

Your Latest Trick, restée dans les mémoires pour sa mélodie jouée au saxophone par Michael Brecker en studio et Chris White lors des deux tournées qui ont suivi ;

la chanson-titre Brothers in Arms est une dénonciation virulente de la guerre, avec un son planant, fortement influencé par Pink Floyd et en particulier de l'utilisation de l'orgue Hammond. L'une des interprétations les plus marquantes de Brothers in Arms fut sans doute celle du concert Music for Montserrat, avec la présence d'un orchestre symphonique et d'un chœur.

C'est le plus grand succès du groupe, et l'un des albums s'étant le plus vendu au monde, avec plus de 30 millions d'exemplaires écoulés. En France, l'album s'est vendu à 1 995 300 exemplaires

En 2003, il est classé par le magazine musical Rolling Stone au 351e rang des 500 plus grands albums de tous les temps, et au 352e rang du classement 2012. Il fait également partie de la liste de Robert Dimery des 1001 albums qu'il faut avoir écoutés dans sa vie.

Titres

Listes des pistes du CD

Toutes les chansons sont de Mark Knopfler, sauf indication contraire.

No Titre Durée
1. So Far Away 5:12
2. Money for Nothing 8:26
3. Walk of Life 4:13
4. Your Latest Trick 6:34
5. Why Worry 8:31
6. Ride Across the River 6:58
7. The Man's too Strong 4:40
8. One World 3:41
9. Brothers in Arms

Listes des pistes du vinyle

Face 1
No Titre Durée
1. So Far Away 4:00
2. Money for Nothing 7:04
3. Walk of Life 4:13
4. Your Latest Trick 4:39
5. Why Worry 5:26
Face 2
No Titre Durée
1. Ride Across The River 6:58
2. The Man's Too Strong 4:40
3. One World 3:41
4. Brothers in Arms

Musiciens

Membres du groupe 

Mark Knopfler : guitare, chant

John Illsley : basse, chœurs

Alan Clark : claviers

Guy Fletcher : claviers, chœurs

Terry Williams : batterie

Musiciens additionnels 

Sting : chant sur Money for Nothing

Omar Hakim : batterie sur Money for Nothing

Malcolm Duncan : saxophone

Michael Brecker : saxophone sur Your Latest Trick

Randy Brecker : trompette sur Your Latest Trick

Dave Plews : trompette

Jack Sonni : guitare sur The man's too strong

Neil Jason : basse sur Your Latest Trick et basse fretless sur Why Worry

Tony Levin : basse sur One World

Michael ‘Mike’ Mainieri : claviers sur The man's too strong

Jimmy Maelen : percussions

 

Charts et certifications

Charts album
Pays Durée du 
classement
Meilleur
classement
 Allemagne 130 semaines 1er
 Autriche 82 semaines 1er
 Canada 65 semaines 1er
Etats Unis 97 semaines 1er
France. 76 semaines 1er
 Norvège 49 semaines 1er
 Nouvelle-Zélande 106 semaines 1er
Pays-Bas 269 semaines 1er
 Royaume-Uni  271 semaines 1er
 Suède 31 semaines 1er
Suisse 75 semaines 1er
Certifications
Pays Certification Ventes Date
 Allemagne  Platine 500000 1985
 Argentine  Or 30000 01/12/89
 Australie  17 × Platine 1190000 2009
 Autriche  4 × Platine 200000 25/01/94
 Canada  Diamant 1000000 23/04/86
 Danemark  5 × Platine 100000 01/05/18
Espagne  3 × Platine 300000  
Etats Unis  9 × Platine 9000000 07/08/96
 Finlande  2 × Platine 116000 1997
France.  Diamant 1000000 31/08/94
Italie  Or 50000 2013
 Nouvelle-Zélande  24 × Platine 360000  
 Royaume-Uni  14 × Platine 4200000 05/02/16
 Suède  Or 50000 2002
Suisse  Diamant 500000 1989

 

 
 
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CD : Un remplaçant du disque microsillon

Publié à 22:42 par dessinsagogo55 Tags : bande center centerblog sur prix france monde fond musique internet sommaire
CD : Un remplaçant du disque microsillon

Le succès du CD est progressif, limité dans un premier temps à l’album The Visitors d’Abba (PolyGram, label de Philips), et à un enregistrement de la Symphonie alpestre de Richard Strauss dirigée par Karajan. En effet, le CD passe surtout dans les premiers temps pour un support réservé aux mélomanes classiques, grâce à la qualité sonore qu’il offre. Quelque 200 titres, classiques essentiellement, sont ainsi produits par Philips. C’est la mise sur le marché, en 1985, de l’album Brothers In Arms, du groupe Dire Straits (premier album entièrement numérique), qui démocratise le CD : l’album se vend à plus d’un million d’exemplaires. Il ne fait plus de doute que le CD apparaît comme le support sonore de l’avenir.

Dès 1986, les platines laser se vendent mieux que les autres, et en 1988 les ventes de CD dépassent celles des disques vinyle. En France la démocratisation du CD passe par l'activité d'éditeurs indépendants comme NTI (David Mufflarz) et Christian Brunet (Levitan SA - CD One music). Cet indépendant est le premier à travailler sur le « fond de catalogue », et donc sur un prix de vente raisonnable, alors qu'un CD est toujours proposé à des tarifs ne pouvant motiver que l'élite du public. Ainsi apparaissent dans le circuit de la grande distribution des collections très bon marché, là où les CD commercialisés par les majors sont excessivement chers. Dès 1991 sont vendus des coffrets de dix CD pour moins de 90 francs (13,72 euros). Cette collection (« Romance du classique ») sera vendue à plus de 2,5 millions d'exemplaires en moins d'un mois, durant les fêtes de fin d'année. Cette politique de prix fera exploser les ventes de lecteurs de CD en France.

Le CD a connu un large succès et s’est rapidement substitué aux disques vinyle comme support musical, notamment grâce aux qualités suivantes :

absence d’usure due à la lecture optique (celle-ci supprime le contact mécanique et donc l’altération du support par frottement). Les utilisateurs soigneux conservent leurs CD en bon état en les stockant dans un boîtier (pour éviter la poussière et les rayures), verticalement (pour éviter la déformation), à l'abri de la chaleur, de la lumière et de l'humidité ;

tailles du support : ses 12 cm de diamètre lui confèrent une portabilité que n’avait pas le disque microsillon. Un deuxième format de 8 cm est, lui aussi, normalisé, mais peu utilisé ;

l’épaisseur nominale est de 1,2 mm ;

qualité « théorique » de reproduction sonore supérieure aux cassettes audio et disques vinyle. (Rapport signal sur bruit bien plus important, reproduction exacte à chaque lecture grâce au système de correction d’erreur. Cependant, les audiophiles ou mélomanes exigeants préfèrent parfois le son « analogique » issu du vinyle qu’ils jugent plus musical, plus naturel et plus précis dans les aigus. Ceci est dû au repliement de spectre lors de l'enregistrement, dû à un mauvais filtrage des fréquences situées au-delà de la demi-fréquence d'échantillonnage(voir aussi Théorème d'échantillonnage de Nyquist-Shannon). Ce défaut fut assez fréquent dans les premiers enregistrements numériques qui ne disposaient pas de filtres de qualité suffisante. Le repliement de spectre donne des aigus agressifs et désagréables, qu'il est ensuite impossible de corriger. Le suréchantillonnage, qui consiste à mieux interpoler le signal, permet de simplifier le filtrage à la restitution. Le format numérique SACD présente une meilleure définition numérique que le CD, mais ne s'est pas imposé (ses avantages techniques étant imperceptibles pour une grande part des auditeurs potentiels, ne pouvant donc justifier son surcoût, tandis qu'il est apparu à une période de profonds changements dans les habitudes de consommation du grand public, avec l'avènement conjoint du piratage à grande échelle et de la diffusion de musique sous forme dématérialisée, conséquences de l'essor de l'informatique personnelle et du réseau internet) ;

retour à l’écoute intégrale sans avoir à retourner le support audio dans le lecteur, avec un accès sans manipulation mécanique, ce qui ne s’était pas vu depuis la disparition des cartouches 8 pistes. Les disques vinyle sont enregistrés sur deux côtés, on doit donc les retourner à la mi-écoute ; certains magnétocassettes disposaient d'un système dit « autoreverse » inversant le sens de marche et commutant les têtes de lecture en fin de bande ;

accès direct aux différents morceaux ainsi (pour certains lecteurs) qu'à des index pour chaque morceau ; certains magnétocassettes disposaient aussi d'un système de recherche de plages qui détectait les passages sans données audio (ce système est évidemment plus lent que sur un CD audio).

Les CD-R (CD vierges à graver) ont les mêmes dimensions, et peuvent être utilisés pour stocker des données Red Book (qui définit la norme audio pour le CD, telle que les 44,1 kHz de fréquence d'échantillonnage et 16 bits de résolution). On distingue les CD-R PC, qui sont conçus pour une utilisation avec un graveur intégré à un PC, et les CD-R Audio, qui sont conçus spécifiquement pour les enregistreurs domestiques autonomes (lesquels ne peuvent pas lire les CD-R PC). Ils sont d’ailleurs plus chers car il est tenu compte d'un pourcentage pour les droits d'auteur qui sont reversés à la SACEM en France ou la SABAM en Belgique.

Compact Disc est une marque déposée par la firme néerlandaise Koninklijke Philips Electronics N.V. et cette dernière refuse l’utilisation du terme déposé pour tout disque audio protégé contre la copie.

 

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CD

Publié à 22:12 par dessinsagogo55 Tags : center livre centerblog sur plat base fond place musique 2010 platine sommaire
CD

Un CD (abréviation de « Compact Disc » en anglais), ou disque compact, est un disque optique utilisé pour stocker des donnéessous forme numérique.

Le Compact Disc a été développé par Sony et Philips et lancé en 1982.

La technique du disque compact repose sur une méthode optique : un faisceau de lumière cohérente (laser) vient frapper le disque en rotation. Les irrégularités (appelées « pits », cavités dont la longueur varie entre 0,833 et 3,56 µm, et dont la largeur est de 0,6 µm) dans la surface réfléchissante de celui-ci produisent des variations binaires. Le rayon réfléchi est enregistré par un capteur. Plus précisément, lorsque le faisceau passe de la surface plane à cette cavité, il se produit des interférences : lorsque le faisceau ne rencontre qu'une surface plane, l'intensité lumineuse du faisceau réfléchi vers le capteur est maximale, et fait correspondre à cet état la valeur binaire 0 ; quand le faisceau passe sur le pit, le capteur détecte les interférences et l'intensité du signal reçu diminue.La valeur binaire 1 est alors attribuée. En effet, lorsque le laser est émis sur une telle discontinuité, une partie des rayons lumineux émis sera réfléchie depuis le creux, tandis que l'autre partie sera réfléchie depuis le plat. Aussi se crée-t-il une différence de marche entre ces deux rayons réfléchis, c'est-à-dire un déphasage entre les deux ondes. Or la profondeur du pit est très spécifique à celle du laser utilisé pour la lecture, en effet elle est λ/4, avec λ la longueur d'onde du laser. Deux ondes issues d'une source cohérente sont dites constructives (c'est-à-dire que leurs amplitudes s'additionnent) lorsque la différence de marche notée δ vérifie :δ = λ·k, avec k un entier relatif. C'est le cas lorsque le laser se réfléchit sur un plat ou un creux (k = 0). Au contraire, lorsque le rayon se réfléchit sur un passage creux/plat (ou plat/creux), où l'onde réfléchie dans le creux parcourt donc la profondeur du pit multipliée par deux (aller plus retour) soit une distance d = 2λ/4 = λ/2, la valeur de la différence de marche vérifie : δ = λ (k + 0,5), correspondant à une différence de marche pour des ondes destructives (dont les amplitudes s'annulent). C'est donc l'intensité du signal lumineux réfléchi sur la piste du support de stockage et reçu par le capteur — lequel associe des variations de tension aux variations d'intensité reçues — qui est codée en binaire. Lorsque le disque compact est utilisé comme support pour l’écoute musicale (premières utilisations), l’information binaire est ensuite transformée en un signal analogique par un convertisseur numérique-analogique.

Dès son apparition, ce support a été promu par ses inventeurs et les éditeurs musicaux comme offrant une meilleure qualité sonore que les autres supports existants (notamment les disques « vinyle »). Ces qualités sont parfois contestées et de nouveaux supports sont apparus, dotés d'une résolution supérieure (SACD : Super Audio Compact Disc, ou DVD-A : Digital Versatile Disc Audio). On constate par ailleurs, au cours des années 2010, un regain de popularité du support vinyle

Le disque compact fut inventé conjointement par les firmes Philips et Sony Corporation. Quand les deux entreprises ont décidé de travailler ensemble en 1979, le projet prévoyait que les platines laser seraient équipées des puces électroniques les plus puissantes jamais commercialisées pour un produit grand public. Les premiers CD furent commercialisés en 1979.

Ce support apporta un progrès considérable par rapport aux microsillons (qui eux-mêmes avaient été un énorme progrès par rapport aux 78 tours), sur de très nombreux aspects :

amélioration de la qualité musicale, apportant une « présence » remarquable de l'enregistrement, la numérisation ôtant toutes les distorsions mécaniques induites auparavant par l'ensemble sillon/pointe ;

augmentation de la durée d'écoute en moyenne d'une fois et demi par rapport à un 33 tours ;

réduction totale du bruit de fond (plus aucun bruit de surface du disque, ni de résonance moteur + plateau) ;

disque beaucoup moins vulnérable qu'un microsillon aux poussières (dont celles induites par l'électricité statique), voire aux rayures, le laser réussissant toujours à lire à travers le support, voire à corriger dans une certaine limite les petits défauts de surface ;

disque beaucoup plus petit, léger, moins encombrant et plus facile à manipuler qu'un microsillon ;

possibilité d'un meilleur spectre sonore des fréquences graves et aiguës allant de 20 Hz jusqu'à 22 kHz ;

plus aucun problème de pointe de lecture fragile et s'encrassant (la cellule laser étant à nettoyer toutefois régulièrement) ;

accessibilité directe au début de chaque plage, affichage du minutage et lecture accélérée possible.

En 1980, le Red Book (en français littéral : « Livre rouge ») détermine les caractéristiques techniques du nouveau disque et le partage des brevets entre les deux concurrents : à Philips la conception du CD (sur la base de leur expérience de la technologie du Laserdisc) et des lentilles qui permettent la lecture ; à Sony la définition du format utilisé pour numériser la musique et la méthode de correction d'erreurs. Parmi les principaux membres de l’équipe, les plus connus sont Pieter Kramer (directeur du laboratoire de recherche optique de Philips dans les années 1970) et Kees A. Schouhamer Immink pour Philips, Toshitada Doi pour Sony et Michel Motro pour Hitachi (à l'époque directeur du pôle innovation du groupe).

Les premiers prototypes produits par Philips mesuraient 115 mm de diamètre, avec un codage sur 14 bits et une durée de 60 minutes. Sony insista pour qu’on adopte un codage sur 16 bits et une durée de 74 min, d'où un diamètre augmenté à 120 mm. Cette capacité aurait été choisie à la demande de Herbert von Karajan, afin que la version la plus lente de la 9e symphonie de Beethoven, celle enregistrée au festival de Bayreuth en 1951 sous la direction de Wilhelm Furtwängler, tienne sur un seul disque. Sony indiqua que c’était à la demande de l’épouse de son président, pour ces mêmes motifs. La vérité est moins romantique : au moment de lancer la production industrielle, Philips aurait eu un avantage grâce à une chaîne de production capable de fournir rapidement ces disques de 11,5 cm, ce qui ne faisait pas les affaires de Sony, la firme japonaise ayant pris du retard sur la fabrication des lecteurs. Philips ne souhaitait pas favoriser le format de 10 cm propre à Sony, pour les mêmes raisons. Le compromis fut le disque de 12 cm qui ne donnait l’avantage à aucun des deux fabricants, tout en permettant d’utiliser tous les développements techniques et électroniques mis au point précédemment. Ces décisions ont été prises par le management et ont été imposées aux experts des équipes techniques.

Un disque de 12 cm de diamètre avait donc un temps de lecture théorique de 74 minutes et 30 secondes. À l’époque la durée maximale d’enregistrement plafonnait en pratique à 72 minutes car les premiers supports pour le masteringaudionumérique étaient des cassettes vidéo au format U-matic, dont c’était la durée d’enregistrement maximale. La version la plus longue de la symphonie de Beethoven n’aurait de toute manière pas pu trouver place en entier sur un CD avant 1988, date de l’introduction de nouveaux supports pour le mastering numérique.

Philips et Sony annoncèrent fin août 1982 qu’elles étaient prêtes à sortir leur nouveau produit et commencèrent les ventes à l’automne. La production industrielle commença le 17 août 1982 à Langenhagen, près de Hanovre (RFA). Les premiers albums produits étaient Une symphonie alpestre, de Richard Strauss (Herbert von Karajan avec l'Orchestre Philharmonique de Berlin) et The Visitors (ABBA). La première platine fut vendue au Japon le 1er octobre 1982 accompagnée de l’album 52nd Street  de Billy Joel.

Au début de la commercialisation des CD, on distingue trois types de procédés, selon les trois phases principales d'enregistrement (indiquées théoriquement sur chaque CD du commerce):

AAD (Analogique-Analogique-Digital) : utilisation d'un magnétophone analogique pendant les séances d'enregistrement, le mixage et/ou le montage, et numérique pour la gravure. On trouve aussi la mention « AAD masterisé » dans le cas d'anciens enregistrements analogiques « digitalisés », en transformant le signal analogique en un signal numérique en « dents de scie » (en principe meilleur car formé de bits 0 ou 1, donc ôtant les signaux ou bruits de surface parasites notamment) ;

ADD (Analogique-Digital-Digital) : utilisation d'un magnétophone analogique pendant les séances d'enregistrement, puis numérique pour le mixage et/ou le montage, puis la gravure ;

DDD (Digital-Digital-Digital, le meilleur de la haute fidélité) : utilisation d'un magnétophone numérique pendant les séances d'enregistrement, le mixage et/ou le montage, puis la gravure.

 

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  CD : Fabrication
  CD : Emballage
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  CD : Capacité de stockage, vitesse et longévité
  CD : Types de disques
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Supercalculateur français Joliot-Curie

Publié à 21:10 par dessinsagogo55 Tags : cadre place monde france sur sommaire bande google center centerblog centre
Supercalculateur français Joliot-Curie

Inauguration du supercalculateur français Joliot-Curie. Actuellement 9,4 pétaflops pour la recherche française et européenne, puis 22 pétaflops dès 2020.

Troisième supercalculateur français (40e place mondiale) dans le dernier Top500 des supercalculateurs les plus puissants au monde, derrière Tera 1000-2 (16e) et Pangea (34e), Joliot-Curie vient d'être inauguré au Très Grand Centre de Calcul du Commissariat à l'énergie atomique à Bruyères-le-Châtel (Essonne).

Conçue par Atos, cette machine est mise à disposition de la recherche française et européenne, que ce soit dans des domaines comme le climat, l'astrophysique, la biologie, la dynamique moléculaire, les propriétés des matériaux, et prochainement la génomique et les neurosciences.

Basé sur l'architecture BullSequana d'Atos, le supercalculateur Joliot-Curie a une puissance de calcul de 9,4 pétaflops en crête (sa puissance théorique maximale) qui est comparée à celle de 75 000 ordinateurs de bureau. En 2020, elle atteindra 22 pétaflops (22 millions de milliards d'opérations par seconde), faisant de ce supercalculateur le premier en France et troisième le plus puissant en Europe, du moins pour ce qui concerne la recherche.

 

Le superordinateur embarque des processeurs Intel Xeon 8168 à 2,7 GHz avec 24 cœurs par processeur et des processeurs Intel Xeon Phi 7250 à 1,4 GHz avec 68 cœurs par processeur. Respectivement, c'est un total de 79 4888 cœurs de calcul pour une puissance de 6,86 pétaflops et 56 304 cœurs pour une puissance de 2,52 pétaflops.

Le supercalculateur Joliot-Curie a une capacité de mémoire vive de 400 téraoctets. En complément, un système de stockage de données de 5 pétaoctets dispose d'une bande passante de 300 Go/s.

En 2020, des processeurs AMD Rome Epyc à 2,5 GHz avec 64 cœurs par processeur viendront s'ajouter au système. Avec un total de 293 376 cœurs de calcul, ce sera l'apport d'une puissance de 11,75 pétaflops.

Par ailleurs, et notamment pour des traitements en intelligence artificielle, la machine pourra compter sur 128 GPU Nvidia V100. Avec des processeurs Intel Cascade Lake à 2,1 GHz avec 20 cœurs, il s'agira d'une puissance supplémentaire de 1,13 pétaflops.

Dans le cadre de l'initiative européenne EuroHPC, l'arrivée de supercalculateurs de classe pré-exaflopique est prévue pour début 2021, puis de classe exaflopique vers 2022-2023. Cette entreprise commune européenne pour le calcul à haute performance profite d'un budget d'un milliard d'euros.

 

 

 

Liens externes                                                  
 

 

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Billy Joel : 52nd Street

Publié à 20:13 par dessinsagogo55 Tags : center musique centerblog sur
Billy Joel : 52nd Street

52nd Street est le sixième album studio de Billy Joel, sorti en octobre 1978. Il a remporté un Grammy Award de l'album de l'année.

En 1982, 52nd Street est le premier CD commercialisé sur disque compact de Sony Corporation. Il était d'ailleurs offert avec les toutes premières platines CD à avoir été commercialisées, vendues au Japon à partir du 1er octobre 1982.

Liste des chansons

Toutes les chansons sont écrites par Billy Joel.

No Titre Durée
1. Big Shot 4:03
2. Honesty 3:56
3. My Life 4:44
4. Zanzibar 5:13
5. Stiletto 4:42
6. Rosalinda's Eyes 4:41
7. Half a Mile Away 4:08
8. Until the Night 6:35
9. 52nd Street 2:27

 

Personnel

Billy Joel – piano, chant

Doug Stegmeyer – basse, chant

Liberty DeVitto – batterie

Richie Cannata – saxophones, orgue, clarinette

Steve Khan – guitare électrique, guitare acoustique

Le premier CD commercialisé

Publié à 20:06 par dessinsagogo55 Tags : sommaire internet musique center monde sur centerblog
Le premier CD commercialisé

Le 9 mars 1979  Phillips en association avec Sony présentent pour la première fois au monde le CD-Audio, qui va révolutionner l’industrie musicale. 3 Ans plus tard, plus précisément le 1er octobre 1982, le premier CD est commercialisé au Japon. Il s’agit d’un réédition de l’album 52nd Street  de Billy Joel.

En l’espace de 25 ans, la galette de près de 12 cm de diamètre s’est écoulée à plus de 200 milliards d’unités, largement déclinée dans l’informatique d’abord, avec les CD-Rom (pas de gravure), puis avec les CD-R (une seule gravure définitive) et les CD-RW (réinscriptible plusieurs fois). Entre temps, Internet, le format audio MP3 et le Blu-ray sont passés par là. Limité par ses quelque 640 Mo de stockage, le bon vieux CD est sur le point d’être mis au rancart, supplanté par le téléchargement.

 

 

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Film français : 1946

Film français : 1946

 

0–9 Leçon de conduite
120, rue de la Gare (film) Lunegarde (film)
A M
Adieu chérie Macadam (film)
L'Affaire du collier de la reine (film, 1946) Madame et son flirt
L'Affaire du Grand Hôtel Les Malheurs de Sophie (film, 1946)
Amours, Délices et Orgues Martin Roumagnac
L'Ange qu'on m'a donné Master Love
L'assassin n'est pas coupable Le Médecin des neiges
Au pays des cigales Mensonges (film, 1946)
Au petit bonheur (film) Messieurs Ludovic
Aubervilliers (film) Mission spéciale
L'Aventure de Cabassou Monsieur Grégoire s'évade
B N
La Bataille du rail Nous ne sommes pas mariés
La Belle et la Bête (film, 1946) Nuits d'alerte
C O
Le Cabaret du grand large On demande un ménage
Le Capitan (film, 1946) On ne meurt pas comme ça
Christine se marie Ouvert pour cause d'inventaire
Les Clandestins P
Cœur de coq Partie de campagne (film)
Comédiens ambulants Pas si bête (film, 1946)
Le Couple idéal (film) Patrie (film, 1946)
Cri-Cri, Ludo et l'orage Le Pavillon de la folle
Cyrano de Bergerac (film, 1946) Le Pays sans étoiles (film, 1946)
D Le Père tranquille
Les Démons de l'aube Pétrus (film)
Le Dernier Sou Les Portes de la nuit
Désarroi Q
Destins (film, 1946) Quartier sans soleil (film, 1939)
E R
Les Enfants du ciel (court métrage) Raboliot (film, 1946)
L'Ennemi sans visage La Revanche de Roger la Honte
Étoile sans lumière Roger la Honte (film, 1946)
Étrange Destin La Rose de la mer (film)
F S
Faut ce qu'il faut Schéma d'une identification
La Femme fatale (film, 1946) Sérénade aux nuages
La Fille du diable (film, 1946) Solita de Cordoue
Fils de France (film, 1946) Son dernier rôle
La Flûte magique Le Studio en folie
La Foire aux chimères Sylvie et le Fantôme
G La Symphonie pastorale (film)
Le Gardian T
Gringalet (film, 1946) Tant que je vivrai
Les Gueux au paradis La Tentation de Barbizon
H Tombé du ciel (film)
L'Homme au chapeau rond Trente et quarante (film)
I La Troisième Dalle
L'Idiot (film, 1946) U
Il suffit d'une fois Un ami viendra ce soir
Impasse (film, 1946) Un drame au cirque
L'Insaisissable Frédéric Un revenant
J Une femme coupée en morceaux
Les J3 V
Jéricho (film) Le Visiteur (film, 1946)
Jeux de femmes Vive la liberté (film, 1946)
L  

 

 

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La Bataille du rail

Publié à 14:07 par dessinsagogo55 Tags : sommaire center png centerblog prix france saint musique femme société film sur merci
La Bataille du rail

 

The Battle of the Rails ( Français : La Bataille du rail ) est un 1946 film de guerre réalisé par René Clément qui décrit les efforts déployés par les cheminots dans la Résistance française au sabotage des trains de transport militaire allemand pendant la Seconde Guerre mondiale,particulièrement lors l' invasion de la Normandie par Allied les forces. 

Le film a été présenté au Festival de Cannes en 1946, où il a remporté le Prix ​​international du jury et Clément, le prix du meilleur réalisateur . Le film a également remporté le premier Prix ​​Méliès . Le film a été distribué aux États-Unis par Arthur Mayer et Joseph Burstyn .

 

 

 

Fiche technique

 

Titre français : La Bataille du rail

Titre anglais : The Battle of the Rails

Réalisation : René Clément

Scénario : René Clément, Colette Audry

Musique : Yves Baudrier

Photographie : Henri Alekan

Montage : Jacques Desagneaux

Production : Coopérative générale du cinéma français

Société de Distribution : LCJ Éditions et Productions

Pays d'origine : Drapeau de la France France

Format : Son mono - 35 mm - Noir et blanc - 1,37:1

Genre : film dramatique

Langue : français

Durée : 82 minutes

Dates de sortie :

Drapeau de la France France : 27 février 1946

Drapeau des États-Unis États-Unis : 26 décembre 1949

 

Distribution

 

Charles Boyer : le narrateur

Jean Clarieux : Lampin, le mécanicien qui balance son train dans la vallée

Jean Daurand : un cheminot

Howard Vernon : le surveillant allemand à la pipe

Lucien Desagneaux : Athos

François Joux  : un cheminot

Pierre Latour : un cheminot

Tony Laurent : Camargue

Robert Leray : le chef de gare

André Miller : un cheminot allemand de la Deutsche Reichsbahn

Léon Pauléon : le chef de la gare de Saint André

Pierre Lozach : un cheminot

Pierre Mindaist : un cheminot

Fernand Rauzena : un cheminot

Michel Salina : le directeur

Les cheminots de France

Suzanne Le Caer : la seule femme qui parle

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Bataille_du_rail

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Film français : 1910

Publié à 01:18 par dessinsagogo55 Tags : sur centerblog bonne vie cheval homme amour femme pari nuit fille amitié enfant film chien sommaire
Film français : 1910

 

 

0–9 La Lettre au petit Jésus
1814 (film) Les Lettres (film, 1910)
A Lorsque l'enfant paraît (film, 1910)
À travers la Norvège Le Louis de vingt francs
À travers la plaine Le Lys d'or (film, 1910)
L'Absente (film, 1910) Lysistrata ou la Grève des baisers
L'Aéroplane de Fouinard M
Aimez-vous les uns les autres (film, 1910) La Main coupée (film, 1910)
Amitié de cow-boy La Main verte
L'Amour du ranch Mam'zelle Figaro
L'amour guette Le Marchand d'images
Les Amoureux de la caissière Les Martigues
L'An Mil Le Martyre d'une femme
André Chénier (film) Le Matelot criminel
Apparitions fantômatiques Mater dolorosa (film, 1910)
L'Attaque d'un train Maudite soit la guerre (film, 1910)
Au bord de la faute Le Mauvais Hôte
Au temps de la chouannerie La Mauvaise Nouvelle
Au temps des Pharaons Max et l'Edelweiss
Au temps des premiers chrétiens Max et son rival (Tout est bien qui finit bien)
Les Aventures d'un cow-boy à Paris Max ne se mariera pas
L'Aventurière (film) Ménages parisiens
B Messaline (film, 1910)
Le Baiser du pâtre Midinette
Bébé apache Le Miroir (film, 1910)
Bébé fume Le Mobilier fidèle
Bébé pêcheur Monsieur Prud'homme s'émancipe
Les bergères n'épousent pas les rois N
Le Bon Exemple (film) La Nativité (film, 1910)
Le Bon Juge Le Noël de grand-mère
Le Bon Samaritain (film) Le Noël du vagabond
Bonne année (film) O
Bornéo Bill L'Œuvre accomplie
La Brouille On ne badine pas avec l'amour (film muet, 1909)
C P
Les Caprices de Marion Le Pacte (film, 1910)
Capture gênante Le Pain quotidien (film, 1910)
Les Carbonari Pâques florentines
Les Chasseurs de fourrures Par un jour de carnaval
La Chatte métamorphosée en femme (film, 1910) Les Parents de l'enfant prodigue
La Chevrière Le Pari de Lord Robert
Le Chien reconnaissant Le Passé (film, 1910)
Le Christ en croix (film) Le Pater
Le Cinématographe de Pierrot Pauvre Petit
Cléopâtre (film, 1910) Pauvre Toutou
Cœur de père Pendaison à Jefferson City
Le cœur n'a pas d'âge Le Petit Acrobate
Conscience de fou Le Petit Reporter
Le Conte du vieux talute Le Petit Violoniste
La Couronne de roses Petits poèmes antiques
Le Cousin de Cendrillon La Police en l'an 2000
Le Crime du grand-père Pour les beaux yeux de la voisine
D Q
Dans les airs Le Quart d'heure de Rabelais (film)
David et Goliath (film, 1910) Quentin Durward (film, 1910)
Les Débuts de Max au cinéma R
Les Deux Hommes La Receveuse des postes
Le Diamant volé Reconnaissance d'Indien
Les Douze Travaux d'Hercule (film, 1910) La Reine Margot (film, 1910)
La Duchesse de Langeais (film, 1910) Le Rembrandt de la rue Lepic
E Le Rendez-vous (film, 1910)
L'Échafaudage La Restitution
L'Enfant disgracié Résurrection (film, 1910)
L'Enfant du chercheur d'or Rigadin prend le train de 5 h 55
Esther (film, 1910) Roland à Roncevaux
Eugénie Grandet (film, 1910) S
L'Évasion de Vidocq La Sacoche
L'Exode (film) Le Sacrifice d'Yvonne
Les Exploits du jeune Tartarin La Sacrifiée (film, 1910)
F Sarabande bretonne
Faust (film, 1910) Le Scarabée d'or (film)
La Faute d'un autre Le Secret du corsaire rouge
La Faute du notaire Les Sept Barres d'or
Le Fer à cheval (film, 1910) Les Sept Péchés capitaux (films, 1910)
Ferragus (film, 1910) Les Sept Péchés capitaux I : L'Orgueil
Le Festin de Balthazar (film) Les Sept Péchés capitaux II : L'Avarice
La Fille de Jephté Les Sept Péchés capitaux III : La Luxure
La Fiancée du conscrit Les Sept Péchés capitaux IV : L'Envie
Le Fil de la vierge Les Sept Péchés capitaux V : La Gourmandise
La Fin de Charles le Téméraire Les Sept Péchés capitaux VI : La Colère
Fouquet, l'homme au masque de fer Les Sept Péchés capitaux VII : La Paresse
G Shylock, le marchand de Venise
Le Gardian de Camargue Si j'étais le roi
Le Gendre ingénieux Le Sorcier (film, 1910)
Grandeur d'âme Le Soupçon (film, 1910)
Guérison de l'obésité en 5 minutes Le Spectre (film)
H Les Suicidés de Louf
L'Habit neuf Le Système du docteur Tranchelard
La Haine (film, 1910) T
Hamlet (film, 1910, Bourgeois) Les Timidités de Rigadin
L'Héritage (film, 1910) La Tournée des grands ducs (film, 1910)
L'Homme aux mille inventions Le Trimardeur
L'Homme qui ressemble au président La Trouvaille de Bébé
L'Honneur du scaphandrier U
Hop-Frog (film) Un drame aux Indes
Hydrothérapie fantastique Un drame sur une locomotive
I Un homme comme il faut
L'Idéal d'Arias Un invité gênant
Les Illusions fantaisistes Une femme tenace
L'Infidélité d'Ernest Une jeune fille romanesque
L'Ingénieux Attentat Une nuit de noces au village
J Une représentation au cinématographe
Je voudrais un enfant V
Jeunesse (film, 1910) La Vengeance de Louis XIII
Jim Crow (film) La Vengeance du bottier
Le Journal d'une orpheline La Vengeance posthume du docteur William
La Justicière Le Vertige (film, 1910)
K La Vie de Pouchkine
Kyrelor, bandit par amour Le Vitrail diabolique
L V
La Légende de Daphné La Voix du père
La Légende de Midas Z
Le Legs ridicule Zizi la bouquetière

 

 

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