Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
18.01.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Le Gang des otages est un film français réalisé par Édouard Molinaro et sorti en 1973, inspiré de l'évasion de Christian Jubin, meurtrier et violeur.
Dès sa sortie de prison, Gilbert Nordier retombe dans le banditisme. Avec Serge, un autre truand, et sa femme Liliane, une ancienne prostituée, ils sont en cavale. Arrêtés une nouvelle fois, ils s'évadent du tribunal en prenant les magistrats en otage.
Fiche technique
Titre : Le Gang des otages
Réalisation : Édouard Molinaro
Scénario : Alphonse Boudard
Producteurs: Alain Poiré, Daniel Cauchy
Musique : Michel Legrand
Directeur de la photographie : Raoul Coutard
Montage : Monique Isnardon et Robert Isnardon
Création des décors : Georges Bril
Société de production: Société Nouvelle des Établissements Gaumont
Durée : 100 minutes
Genre : Film dramatique
Date de sortie :
France : 1er février 1973
Distribution
Daniel Cauchy : Gilbert Nodier
Bulle Ogier : Liliane Guerec
Gilles Ségal : Serge Donati
Gérard Darrieu : Maurice Perret
Michel Favory : Maître Meyer
Maurice Travail : Le juge Imbert
Ginette Garcin : Ginette
Germaine Delbat : Marraine
Simone Rieutor : Monique Descamps
Armand Mestral : Le commissaire Crenoy
Claire Maurier : Nelly Cerutti
Gabriel Cattand : Charles Aubrey
Robert Favart : Ange Cerutti
Maurice Barrier : Jo Franck
Pierre Collet : Parrain
François Cadet : un inspecteur
Fabrizio Jovine : Le gitan
Pippo Merisi : Le greffier
Gérard Hérold : Le médecin
Évelyne Dassas : la première prostituée
Evelyne Dress : Colette
Christian Barbier : Le brigadier
Michel Duplaix : un inspecteur
Bernard Le Coq ; un journaliste
Henri Attal : un détenu
Jean Michaud : le directeur de la prison
André Dumas
|
0–9 | Je pense à vous (film, 2006) |
7 ans | Je vais bien, ne t'en fais pas (film) |
24 portraits d'Alain Cavalier | Jean-Philippe (film) |
100 précédents | J'invente rien |
A | Jour après jour (film, 2006) |
À l'école des Gramounes | La Jungle (film, 2006) |
Agua (film, 2006) | K |
Ahmed (film) | Kigali, des images contre un massacre |
Les Aiguilles rouges | Kilomètre zéro (film) |
Les Ambitieux (film, 2006) | Klimt (film) |
Les Amitiés maléfiques | Komma |
Amma, les aveugles de Dakar | L |
Les Anges exterminateurs | Là-bas (film) |
Les Aristos | Lady Chatterley (film, 2006) |
Arthur et les Minimoys (film) | Laura (court métrage) |
Astérix et les Vikings | Lettre d'amour zoulou |
Au nom de la liberté | Le Lièvre de Vatanen (film, 2006) |
El aura | Le Litre de lait |
Aurore (film, 2006) | Little Capone |
Avida (film) | Les Lumières du faubourg |
Avril (film, 2006) | Lumières noires |
Azur et Asmar | M |
B | Madame Irma (film) |
Babel (film, 2006) | La Maison du bonheur |
The Backwoods | Le Mammouth Pobalski |
La Balade des éléphants | Le Manifeste de l'appoggiature |
Ballerina (film, 2006) | Marie-Antoinette (film, 2006) |
Bamako (film) | Mauvaise Foi |
Bandidas | Mes copines |
Barakat ! | Meurtrières (film) |
Barrage (film) | Mientras tanto |
La Bataille de Tchernobyl | Mise à prix |
Belle toujours | Mon colonel |
Beur blanc rouge | Mon frère se marie |
Bled Number One | Mon meilleur ami (film) |
Le Bourreau des innocents | Le Mozart des pickpockets |
Les Brigades du Tigre (film) | Müetter |
Les Bronzés 3 | N |
C | Napoléon (et moi) |
Ça brûle | Ne le dis à personne (film) |
Ça m'est égal si demain n'arrive pas | Noise (film, 2006, Assayas) |
Cabaret Paradis | Nos amis les parents |
La Californie | Nos jours heureux |
Call Me Agostino | Nouvelle Chance |
Camping (film, 2006) | Nue Propriété |
Célibataires | O |
C'est beau une ville la nuit (film) | Ô Jérusalem |
C'est l'hiver | Octobre (film, 2006) |
Chacun sa nuit | Odette Toulemonde |
Changement d'adresse | On ne devrait pas exister |
Le Cheval de Troie (film) | On va s'aimer (film) |
La Citadelle assiégée | L'Oncle de Russie |
Closing your Eyes | OSS 117 : Le Caire, nid d'espions |
Cœurs | Oublier Cheyenne |
Comme t'y es belle ! | P |
Comme tout le monde | Pardonnez-moi |
Comment j'ai fêté la fin du monde | Le Parfum (film) |
Le Concile de pierre (film) | Paris, je t'aime |
Coup de sang (film) | Le Passager de l'été |
Le Cri des fourmis | Paul dans sa vie |
D | Les Petites Vacances |
Le Dahlia noir (film) | Piccolo, Saxo et Compagnie (film) |
Dans la peau de Jacques Chirac | La Piste |
Dans Paris | La Planète blanche |
Dans un camion rouge | Play the Game (film) |
Daratt | Poltergay |
De particulier à particulier | Pork and Milk |
Demain la veille | Pour aller au ciel, il faut mourir |
Demi-lune (film) | Première Séance |
Le Dernier Caravansérail | Président (film) |
Le Dernier des fous | Le Pressentiment |
Désaccord parfait | Prête-moi ta main |
Désert Blues | La Promeneuse d'oiseaux |
Les Deux Vies du serpent | Q |
Dikkenek | Quand j'étais chanteur (film) |
Le Direktør | Quatre étoiles |
Dis-moi | Quelques jours en septembre |
La Doublure | Qui de nous deux |
Du jour au lendemain (film, 2006) | Qui m'aime me suive |
E | R |
L'École pour tous | Rachel (film, 2006) |
Les Enfants du pays | Rage de dents |
Enfermés dehors | Reconstitution (film) |
L'Entente cordiale | Reflections (documentaire) |
Essaye-moi | Renaissance (film) |
L'Étoile du soldat | La Révolution du désir |
L'Étoile imaginaire | S |
Europa 2005 - 27 octobre | Sans papiers ni crayon |
Les Européens (film, 2006) | La Science des rêves |
F | Secteur 545 |
Fair Play (film) | Selon Charlie |
La Faute à Fidel ! | Sentence finale |
Fauteuils d'orchestre | Serko (film) |
La Fille du juge | Sheitan (film) |
Les Filles du botaniste | Si le vent soulève les sables |
Flandres (film) | Silent Hill (film) |
La Flûte enchantée (film, 2006) | Statross le Magnifique |
Les Fragments d'Antonin | Stessa luna |
Fragments sur la grâce | Suzanne (film, 2007) |
Franklin et le Trésor du lac | Syndromes and a Century |
G | T |
Le Garde du corps (film, 2007) | Tabac, la conspiration |
Garder la tête haute | Taxidermie (film) |
Gradiva (film, 2006) | Le Temps des porte-plumes |
Le Grand Appartement | Le Testament de Tibhirine |
Le Grand Meaulnes (film, 2006) | Thomas Sankara, l'homme intègre |
H | Toi et moi (film, 2006) |
Hamaca Paraguaya | La Tourneuse de pages |
Hell (film, 2006) | Toute la beauté du monde |
L'Héritage (film, 2006) | Transylvania (film) |
Le Héros de la famille | La Traversée (film, 2006) |
Home (film, 2006) | U |
L'Homme de sa vie | U (film) |
L'Homme qui rêvait d'un enfant | Un ami parfait |
Horezon | Un an (film) |
Hors de prix | Un camion en réparation |
I | Un printemps à Paris |
Ici Najac, à vous la terre | Un ticket pour l'espace |
Il était une fois... Sasha et Désiré | Une jeunesse chinoise |
Ils (film, 2006) | V |
In Bed with Doc Gynéco | Valériane va en ville |
Incontrôlable (film, 2006) | Victimes de nos richesses |
Indigènes | Le Vilain Petit Canard et moi |
Inland Empire (film) | Vingt nuits et un jour de pluie |
L'Intouchable | Voiture de luxe |
Les Irréductibles (film) | Le Voyage en Arménie |
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Actu de dessinsagogo55 |
En février 2015, la production du film réalise des repérages dans les souterrains de la citadelle de Namur, une forteresse très peu utilisée au cinéma.
En avril, le journal L'Avenir annonce qu'une partie du tournage est censée se dérouler à Namur, en Belgique : d'après le quotidien, la ville se prépare à accueillir au mois de juin le tournage du film . Alors que des repérages avaient été réalisés en février 2015 dans les souterrains de la citadelle de Namur, c'est finalement au pied de la cathédrale Saint-Aubain et dans la cour d'honneur du Musée des arts décoratifs que sont tournées les quelques scènes devant être tournées à Namur. Les travaux de restauration du Musée des arts décoratifs (débutés en 2013) sont interrompus durant un mois pour le tournage de quelques scènes dans la cour d'honneur du musée (cette partie du tournage est censée durer une semaine) : tous les frais dus au tournage (le démontage d'une grue et d'un échafaudage situés sur la façade arrière du musée et le retard d'un mois du chantier) sont pris en charge par la production du film. D'après Tanguy Auspert, l'échevin chargé du Patrimoine de Namur, la ville attend « une réponse de l’entrepreneur pour interrompre les travaux. » : l'échevin annonce aussi que le tournage pourrait déclencher quelques problèmes de circulation, une « bonne moitié de la place St-Aubain » devant être bloquée pendant la première quinzaine de juin pour le tournage
D'autres lieux de tournage belges sont cités comme le Palais provincial de Namur mais aussi le château de Franc-Waret et le domaine de Ronchinne à Maillen. Durant toute la durée du tournage à Namur, l'équipe devrait rester installée dans le centre-ville. L'annonce de ce tournage en Belgique révèle que le film est cette fois-ci une co-production entre la France et la Belgique (alors que les deux premiers volets étaient seulement français) : la société belge Nexus Factory fait partie de la production et la distribution compte de nombreux acteurs belges comme Jean-Luc Couchard, Stéphanie Crayencour, Christelle Cornil, Christian Hecq, Éric De Staercke, Alexandre von Sivers et le jeune Elliot Goldberg1. La co-production franco-belge est probablement motivée par la tax shelter belge, une niche fiscale destinée à encourager l'investissement dans des œuvres cinématographiques par les sociétés belges soumises à l'impôt.
Bien que le film soit censé se dérouler en France, notamment à Paris, il a été tourné en Belgique et en République tchèque : d'après Christian Clavier, la ville de Prague, qui sert de décor pour les scènes parisiennes, est une « ville baroque, qui ressemble beaucoup plus au Paris du xviiie siècle que Paris lui-même ».
Les lieux de tournage du film sont :
République tchèque
Prague
Kutná Hora
Château de Pernštejn
Barrandov : Studios Barrandov
Belgique
Namur
Brugelette
Saint-Georges-sur-Meuse
Bruxelles
Assesse
Liège
Christian Clavier avait annoncé le début du tournage pour le 11 avril : c'est finalement le 13 avril qu'il commence et quelques jours plus tard, le 20 avril 2015, Christian Clavier, via son compte Twitter, poste « Le tournage des Visiteurs 3débute aujourd'hui : on va se marrer !!! ».
Le 22 avril 2015, un journal local de Kutná Hora publie un communiqué pour avertir la population des diverses fermetures de route et autres déviations mises en place pour le tournage : cet article est agrémenté de photos de tournage (avec notamment la construction des décors) dont trois montrant une enseigne d'un apothicaire nommé Eusèbe, qui est probablement le descendant d'Eusæbius.
Le 25 avril 2015, une autre série de photos prises lors du tournage à Kutná Hora en République tchèque est diffusée : on peut voir de nombreux figurants en costumes de la fin du xviiie siècle mais aussi l'acteur Jib Pocthier en sans-culottes et le réalisateur du film, Jean-Marie Poiré, surveillant le travail d'un cadreur. Parallèlement, la première photo de Jacquouille et Godefroy est diffusée sur Internet.
Le 26 avril 2015, Christian Clavier publie sur Twitter une photo le montrant avec Jean Reno, en compagnie du premier vice-président (et ministre des Finances) tchèque, Andrej Babiš en commentant : « Les Tchèques sont des plus accueillants » Andrej Babiš relaie cette photo en disant être en compagnie d’« Astérix et Léon». Le lendemain, Extrafilms Castingová Agentura, la société chargée du casting des figurants tchèques publie un avertissement rappelant que la production désire ne pas voir de photos du tournage circuler sur les réseaux sociaux !
Après Clavier, et ce durant tout le tournage, plusieurs acteurs publieront des photos d'eux sur le tournage : le premier étant Ary Abittan qui, le 30 avril 2015, poste une photo de tournage montrant Christian Clavier et lui, respectivement dans leur costume de Jacquouille et du marquis de Cheneviette.
Le 9 mai 2015, Jib Pocthier publie une photo de tournage où il est entouré de Marie-Anne Chazel et Pascal Nzonzi, tous dans leurs costumes révolutionnaires.
Le tournage en Belgique débute le 8 juin 2015. Il s'y déroule dans un premier temps à Bruxelles, dans la rue aux Laines, précisément dans l'hôtel de Lannoy, un hôtel particulier du xviiie siècle. Jusqu'au 11 juin, l'équipe y tourne des scènes avec Christian Clavier, Jean Reno, Franck Dubosc, Marie-Anne Chazel, Karin Viard, Stéphanie Crayencour, Ary Abittan, Frédérique Bel, Pascal Nzonzi et Annie Grégorio. Ensuite, à partir du 12 juin et jusqu'au 18 juin, le tournage se déroule à Namur, dans le centre ville (palais provincial, place Saint-Aubain, ainsi qu'à l'hôtel de Groesbeeck de Croix, rue Joseph Saintraint) et à Fernelmont (Château de Franc-Waret). Il se poursuit au château d'Attre dans la commune de Brugelette, à Saint-Georges (Château de Warfusée) et Maillen (château de Ronchinne), où il s'achève le 26 juin.
La post-production, tout comme la pré-production et une partie du tournage du film, a lieu en Belgique, Jean-Marie Poiré résidant à Bruxelles.
Éric Lévi, qui a déjà composé la musique des Visiteurs et Les Couloirs du temps : Les Visiteurs 2, est aussi le compositeur de la musique originale de ce troisième volet. Il a imaginé de nouvelles compositions mais a également arrangé des morceaux tirés des films précédents.
No | Titre | No | Titre |
1 | Voices from the Past | 17 | La Tirade de Gonzague |
2 | Trumpet Call | 18 | La Mère de Dieu |
3 | Mélodie pour un CHEVALIER | 19 | Adieu Gonzague |
4 | Dies irae | 20 | Adagio |
5 | Les Oubliettes | 21 | Jacouillet chez Gonzague |
6 | Le Règne de la Terreur | 22 | Mendelssohn |
7 | Les Condamnés | 23 | Chez l'enchanteur |
8 | Le Duc à la guillotine | 24 | A moi la garde |
9 | L'Évasion de Godefroy | 25 | The Stolen Jewels |
10 | La Prière de Godefroy | 26 | Le Drapeau des Germains |
11 | Fuyons ! | 27 | C'est diablerie |
12 | Jacouillet au château | 28 | Capitaine François - 6M12 |
13 | Caleche Conversation | 29 | Le Roi |
14 | Gonzague aux anges | 30 | Le Convoi et la Sorcière |
15 | Les Montmirail en danger | 31 | Enae Volare Mezzo (générique de fin) |
16 | Beautiful Flore |
Accueil
Le 21 avril 2015, Allociné dévoile la date de la sortie du film en France : le 6 avril 2016. Le lendemain, c'est la RTBFqui annonce la date de sortie belge : le 23 mars 2016, soit deux semaines avant la sortie française.
Lors du tournage
À la fin du mois d'avril 2015, tandis que le tournage vient de commencer en République tchèque, la Gaumont dévoile sous forme d'un arbre généalogique les différents protagonistes de ce 3e film et les acteurs les interprétant : on découvre notamment que Maximilien de Robespierre (dont la présence dans le film avait été évoquée par Jean Reno dès la pré-production) est joué par Nicolas Vaude, que Marie-Anne Chazel n'interprète plus Ginette mais un personnage dénommé Prune et que Franck Dubosc joue Gonzague de Montmirail, un personnage déjà mentionné par Béatrice dans le premier film et visible sur un portrait, dans lequel il possédait les traits de Jean Reno. Cet arbre généalogique est accompagné d'un synopsis du film.
Le 17 juin 2015, une équipe de TF1 est présente lors du tournage à Namur : elle assiste au tournage de plusieurs scènes au Musée des Arts décoratifs et réalise des interviews de Karin Viard, Marie-Anne Chazel, Alex Lutz, Ary Abittan, Jean Reno et Christian Clavier. Le reportage est ensuite diffusé deux jours plus tard dans le journal de 13 heures de TF1.
Au Festival de Cannes
La première promotion officielle du film a lieu en mai 2015 : Christian Clavier, Jean Reno, Marie-Anne Chazel, Karin Viard, Sylvie Testud, Franck Dubosc, Alex Lutz, Ary Abittan et Jean-Marie Poiré mettent en pause le tournage pour se rendre à la 68e édition du festival de Cannes. Les acteurs apparaissent dans l'émission du Grand Journal de Cannes du 16 mai 2015, dont une partie est entièrement consacrée au film et dévoilent la première bande-annonce du film, montée à partir des rushs des deux premières semaines de tournage, ainsi que des photos montrant les acteurs présents sur le plateau dans leur costume de tournage. Ils viennent également pour rencontrer de nombreux distributeurs étrangers, qui ont déjà acheté le film avant même qu'il ne soit terminé.
Avant la sortie du film
Le 30 septembre 2015, les premiers visuels officiels sont dévoilés lors du congrès de la Fédération nationale des cinémas français (FNCF). Il s'agit de quatre pré-affiches présentant chacune un duo d'acteurs : Christian Clavier et Jean Reno, Franck Dubosc et Frédérique Bel, Christian Clavier et Sylvie Testud et enfin Ary Abittan et Alex Lutz. Le lendemain, Christian Clavier, Jean Reno et Jean-Marie Poiré présentent un extrait de trois minutes du film à la presse lors du même congrès.
À l'approche de la sortie du film, la promotion se fait de plus en plus importante. Ainsi, début février 2016 un premier aperçu est diffusé au cinéma, montrant les acteurs principaux du film, avec Jacquouille jouant avec un interrupteur en reprenant la réplique du premier film « Jour ! ... Nuit ! » en fond sonore. Ce teaser est ensuite dévoilé le 13 février sur Internet par Allociné et la page Facebook officielle du film. Le 10 février 2016, l'affiche officielle est dévoilée : Christian Clavier, Jean Reno, Franck Dubosc, Karin Viard, Alex Lutz, Ary Abittan, Sylvie Testud, Pascal Nzonzi et Marie-Anne Chazel sont présents dessus ; Jacquouille est porté par Godefroy sur ses épaules, probable référence à une scène culte de La Grande Vadrouille (1966). Bien que présent sur l'affiche, Pascal Nzonzi n'est pas mentionné en tête d'affiche mais en bas : ceci provoque une légère polémique, certains y voyant un racisme de la part des distributeurs. Le 17 mars, Jean Reno est accueilli par la station de radio RTL.
Le 5 avril 2016, veille de la sortie, une émission spéciale des Enfants de la télé (tournée en janvier 2016) a lieu avec la quasi totalité du casting principal. Quatre extraits ainsi qu'un bêtisier du film sont diffusés.
La presse n'est pas autorisée à voir le film en avant-première par crainte des mauvaises critiques, les deux seules projections de presse étant réservées à une partie des médias télé et radio, jugés moins critiques.
La presse, déçue par la bande annonce, étrille le film à sa sortie, le jugeant « laborieux », « moyen », et « daté ».
Pour Patrick Laurent, journaliste à la Dernière Heure « ce troisième opus se révèle quand même nettement plus agréable à suivre que les deux précédents».
Mais selon Mathilde Cesbron, journaliste au Point, le film « n'est rien d'autre qu'une soupelette fade et démodée, dont même dame Ginette ne voudrait pas », avec une intrigue a minima, de l'humour au rabais, une critique sociale inexistante, un Jean Reno inexistant et un Christian Clavier qui surjoue. Pour le Figaro, « Jean Reno, avec son œil de poisson mort, est en apnée. » Pour Marianne, « Cela ne fera rire que les enfants, et encore, ceux qui ont mauvais goût. »
Selon Causeur.fr, le choix de retenir la Terreur parmi les différentes phases de la Révolution, avec le rappel dérangeant de ses excès, pourrait passer comme une critique de cette même Révolution, à contre-courant de l'opinion.
Les spectateurs accueillent également très froidement le film, avec une note de 1,6/5 pour 4 700 avis environ sur AlloCiné.
L'objectif des producteurs est d'atteindre 5 millions d'entrées.
Lors de son premier jour d'exploitation, Les Visiteurs : La Révolution totalise 190 271 entrées, ce qui en fait le deuxième meilleur démarrage depuis le début de l'année 2016 pour un film français après Les Tuche 2 : Le Rêve américain, malgré un démarrage à Paris (2 189 entrées sur 25 copies) en deçà du second volet (6 164 entrées à la même période), mais qui lui permet de prendre la tête du box-office le jour de sa sortie.
Pour son premier week-end à l'affiche, le film prend la première place du box-office avec 940 584 entrées, faisant mieux que le premier volet (438 263 entrées en 1993), mais moins bien que le second volet (2 068 693 entrées en 1998). Ce démarrage est considéré comme correct, mais pas exceptionnel, pour un film très attendu dans les régions où il a très bien marché dans les complexes.
Pour sa première semaine d'exploitation en France, le film prend la première place du box-office avec 1 150 047 entrées. Il fait mieux que Les Visiteurs (1993), avec 518 997 entrées, mais moins bien que Les Couloirs du temps : Les Visiteurs 2 (1998), avec 2 655 916 entrées. En plus de cela, il fait mieux que Les Visiteurs en Amérique, avec 558 531 entrées.
Avec un peu plus de 2 millions d'entrées cumulés en sept semaines, il est considéré comme un échec commercial qui peut s'expliquer par une rentabilité — assez faible — de 58% par rapport aux Tuche 2 et par le fait que Jean Reno(selon le site leboxofficepourlesnuls) « n'est plus aussi bankable » ,
Pays ou région | Box-office | Date d'arrêt du box-office | Nombre de semaines |
---|---|---|---|
France | 2 200 452 entrées | 25 mai 2016 | 7 |
18 549 352 $ | 22 mai 2016 | 8 |
Alors en plein tournage, le film commence à être acheté par de nombreux distributeurs étrangers : seulement un mois après le début du tournage, il est déjà vendu à des distributeurs du Benelux (Paradiso Filmed Entertainment), d'Espagne(A Contracorriente Films), de Suisse (JMH Distributions), de Grèce (Odeon), de Chine (HGC Entertainment), du Moyen-Orient (Four Star), de Turquie (Outsider Films), du Portugal (Outsider Films), de Hongrie (Freeman Films) et de la communauté des États indépendants (Luxor Entertainment).
Autour du film
Nicolas Vaude, l'interprète de Robespierre, n'en est pas à son premier film sur la Révolution française puisqu'il avait joué le rôle de Jacques-Louis David dans le téléfilm Une femme dans la Révolution. Dans ce même téléfilm, le rôle de Robespierre était tenu par Alex Lutz.
Alors que seulement trois personnages historiques étaient présents dans les deux premiers films (le roi de France Louis VI le Gros, le roi d'Angleterre Henri Ier Beauclerc et le jeune Napoléon Bonaparte), ce sont une dizaine de personnes ayant réellement existé qui se retrouvent dans ce troisième film :
Arrivant longtemps après Les Visiteurs (1993) et Les Couloirs du temps : Les Visiteurs 2 (1998), et bien que toujours écrit par Jean-Marie Poiré et Christian Clavier, le troisième film compte plusieurs erreurs de continuité avec les précédents films, contredisant des éléments disséminés dans le premier film notamment. Ainsi, dans ce volet, Jacquouille dit que sa mère s'appelait Gertrude, alors que dans le premier opus, il déclarait qu'elle se nommait Gwendoline, au cours d'un monologue fameux sur les morts atroces de ses parents.
La scène finale, où les deux principaux protagonistes sont propulsés en 1943 en pleine Seconde Guerre mondiale, amène plusieurs erreurs. On y aperçoit le jeune Jacques-Henri Jacquard, âgé d'une dizaine d'années, ce qui laisse à penser qu'il serait né au tout début des années 1930 : il devrait être sexagénaire dans le premier opus, or, l'intrigue générale censée se passer en 1992 nous présente ce personnage âgé d'à peine quarante ans, Christian Clavier étant né en 1952, ce qui rend donc totalement impossible le fait que sa naissance ait eu lieu avant les années 50 et que par conséquent il ait vécu lors de la Seconde Guerre mondiale. L'histoire du château de Montmirail telle qu'est présentée dans ce troisième film va également à l'encontre des éléments apportés par le premier. Dans le premier opus, Béatrice de Montmirail déclare qu'elle a passé son enfance au château familial, et quand Godefroy lui demande quel est le propriétaire des lieux en 1992, elle lui répond que c'est Jacques-Henri Jacquart, descendant des anciens métayers, qui a racheté le château à son père, par ailleurs mort en 1981 : le château a donc été acquis par Jacques-Henri Jacquart, à la fin du xxe siècle. Dans ce troisième film, on découvre que Jacquouillet a pris possession du château sous la Révolution, puis que le château semble être resté dans le famille de Jacquouille, montré comme appartenant à Edmond Jacquart lors de la Seconde Guerre mondiale, sans aucune autre explication.
Il y a aussi quelques inexactitudes chronologiques dans la représentation du château de Montmirail. Lors du premier opus, on apprend par Béatrice que le bâtiment est d'apparence Renaissance depuis le Directoire, période politique qui s'étend de 1795 à 1799. Or, bien que l'intrigue se déroule en 1793, soit deux ans auparavant, le château présente déjà un aspect Renaissance.
Comme pour les deux premiers films, quelques erreurs de vocabulaire ou historiques apparaissent. Prune (ascendante de Ginette) prononce le mot « raciste ». Or ce mot fut utilisé pour la première fois par Gaston Méry, en 1894, soit 101 ans plus tard, par rapport à l'année où se déroule l'histoire. Autre anachronisme verbal, Godefroy se donne pour mission d'aller « libérer le Dauphin de France » Louis XVII, alors que le titre de dauphin de France n'a été donné systématiquement aux fils aînés des Rois de France qu'à partir de 1350, soit longtemps après l'époque de Godefroy né au xie siècle. Aussi, Robert de Montmirail (Alex Lutz) utilise l'expression « armé comme un terroriste » pour dénoncer le fait que Jacquouille, censé incarner un marchand de vin, emporte une brassée d'armes à bord de leur berline pour Paris : le mot « terroriste » est anachronique, car il a été utilisé pour la première fois en novembre 1794 (soit un an après les événements du film), pour désigner la doctrine des partisans de la Terreur, exercée par les révolutionnaires alors au pouvoir.
Les Visiteurs : La Révolution |
Les Visiteurs : La Révolution |
Les Visiteurs : La Révolution |
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Film français : 2016 |
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Dès la sortie des Visiteurs 2, Jean-Marie Poiré et Christian Clavier pensent à un troisième volet des aventures de Jacquouille et Godefroy mais, sous l'influence de John Hughes, se dirigent vers une adaptation américaine du premier film, ce qui aboutira aux Visiteurs en Amérique (Just Visiting) en 2001, remake dans lequel jouent Christian Clavier et Jean Reno qui reprennent des rôles similaires à ceux de Jacquouille et Godefroy. Ce remake est un échec commercial et fait littéralement plonger les comptes de la Gaumont à sa sortie, alors que ceux-ci avaient déjà été affaiblis par l'échec du film Vatel de Roland Joffé, un autre film français destiné à une carrière internationale
Quelque temps après cette désillusion, Christian Clavier avoue que son rôle de Jacquouille appartient désormais à une époque révolue de sa carrière d'acteur ; Jean Reno, quant à lui, confie qu'il redoutait une « suite de trop » ; les deux acteurs abandonnent ainsi le projet d'un troisième opus.
En mai 2013, Christian Clavier relance le projet en annonçant l'écriture d'un scénario avec Jean-Marie Poiré. À la même période, Marie-Anne Chazel annonce sa participation au film en cas de continuation du projet.
En mars 2014, Christian Clavier annonce la fin de l'écriture du scénario
De même que dans le premier volet de la trilogie, des placements de produits sont opérés mais dans une bien moindre mesure, l'époque à laquelle se déroule l'intrigue étant moins propice à cette technique. Le placement a lieu principalement lors de l'interrogatoire de Godefroy de Montmirail et de Jacquouille par le tribunal révolutionnaire, seul moment du film où des objets du xxe siècle sont montrés. Il y a notamment les produits de coiffure Franck Provost (bombe de laque pour cheveux) ou Cash Converters (un briquet). Les laques Franck Provost et Cash Converters n'existant pas en 1992, (date à laquelle Jacquouille est censé les avoir volés), ces placements de produits sont finalement des anachronismes.
C'est grâce aux organisateurs du Festival international du film policier de Liège que Stéphanie Crayencour a pu rencontrer Jean-Marie Poiré et se voir offrir le rôle de Victoire-Églantine de Montmirail : le réalisateur ayant été le président du jury de l'édition de 2012 du Festival, il a été convié par ses organisateurs au Festival du film historique de Waterloo : « C’est là que nous nous sommes rencontrés. Il m’a regardé bizarrement en me disant que j’avais une tête de moyen-âge. J’ai passé le casting et obtenu le rôle de Victoire-Églantine de Montmirail. J’incarne la sœur de Franck Dubosc et l’épouse d’Ary Abittan. », explique Stéphanie Crayencour
D'autres comédiens viennent de la comédie à succès Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ?, le plus gros succès français de l'année 2014, dans laquelle Christian Clavier tenait le rôle principal : il a ainsi « récupéré » de la distribution Ary Abittan, Pascal Nzonzi, Frédérique Bel et David Salles.
Alors que des comédiens des premier et deuxième films ont plus tard joué dans la série Kaamelott, on retrouve dans ce troisième film des acteurs récurrents de Kaamelott comme Joëlle Sevilla, Guillaume Briat et Serge Papagalli ; de plus, Lorànt Deutsch, Frédérique Bel et même Christian Clavieravait joué dans la série en tant qu'« acteurs invités » ou « guests »
Les enfants Montmirail sont joués par les jeunes acteurs Elliot Goldberg, fils du producteur Sylvain Goldberg, et Horatia Taittinger, déjà apparue dans Benoît Brisefer : Les Taxis rouges, dans lequel jouait Jean Reno. Sylvain Goldberg a précisé qu'il n'est pour rien dans la présence de son fils dans le film qui, « parmi d’autres petits garçons, a passé plusieurs étapes de casting… pour finalement être choisi par Jean-Marie Poiré et Christian Clavier ».
Fin mars 2014, dans les émissions C à vous et Touche pas à mon poste !, Jean Reno confirme sa participation au film, indique que le « feu vert » de la Gaumont est encore attendu
En octobre 2014, Christian Clavier annonce un tournage pour le printemps 2015 et une possible sortie en 2016: il confie vouloir laisser la place à « une nouvelle génération d'acteurs », et affirme aussi que la composition de la distribution était en cours et que certains partenaires du film à succès Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ? se verraient attribuer des rôles. Il met aussi fin aux rumeurs sur le net en indiquant, que ni Valérie Lemercier, ni Muriel Robin ne seraient présentes au casting, pas plus que Kev Adams, très occupé, à son grand regret.
En décembre 2014, Christian Clavier, lors de la promotion du film Une heure de tranquillité dans l'émission C à vous, annonce le début du tournage des Visiteurs 3 pour avril 2015. Il confirme aussi, à la même période, lors de l'émission de radio Sortez du cadre, animée par Nikos Aliagas, la participation de deux acteurs de Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ? au film : Ary Abittan, qui jouait le gendre juif de Christian Clavier, et Pascal Nzonzi, qui jouait André Koffi, le père de Charles, le gendre d'origine ivoirienne.
Dans des interviews accordés à Paris Match et au Parisien, Christian Clavier explique qu'il y aura une « quinzaine de rôles importants » et annonce que Karin Viard, Sylvie Testud, Franck Dubosc font aussi partie du casting. Il annonce aussi qu'il sera coproducteur de ce troisième film et que le tournage se déroulera à Prague, en République tchèque, durant onze semaines et à partir du 13 avril, car « grâce à Jean-Claude Decaux, il est devenu impossible de tourner à Paris ». Quant au casting, les acteurs principaux reprendront leurs rôles : « Il y aura Jean Reno et Marie-Anne Chazel, mais aussi une quinzaine de rôles centraux, avec d’un côté des révolutionnaires et de l’autre des nobles. Le casting sera dans l’esprit de ce que j’ai fait avec Papy fait de la résistance. Nous mélangerons toutes les familles du cinéma français. »
Dans une interview accordée à Allociné lors du festival du film de comédie de l'Alpe d'Huez en janvier 2015, Franck Dubosc confirme sa participation au film (mais aussi celles de Karin Viard, Sylvie Testud et Ary Abittan) et la période du tournage (censé s'étaler d'avril à juin 2015), et dévoile des informations sur son rôle, celui d'« un descendant [de Godefroy] qui choisit de devenir révolutionnaire ».
En février 2015, Lorànt Deutsch, à l'occasion de la promotion du film Un village presque parfait, annonce qu'il fait partie de la distribution des Visiteurs 3 et déclare en être « très fier », considérant le premier film comme un « monument de la comédie française ». Il précise qu'il doit y jouer le rôle d'un proche de Maximilien de Robespierre, en commentant qu'« il y a des gens qui vont être contents. » Au même moment, la venue de Jean-Luc Couchard dans la distribution est annoncée : l'acteur est donc censé retrouver Christian Clavier, qu'il avait déjà rencontré sur le tournage de Babysitting 2(le précédent film dans lequel Clavier a joué avant Les Visiteurs 3).
En mars 2015, un mois avant le début du tournage, la participation du comédien Serge Papagalli, connu pour son rôle du paysan Guethenoc dans la série Kaamelott, est également citée par plusieurs médias : dans un interview, celui-ci déclare qu'il a un rôle dans le film mais qu'il est, à l'époque de l'interview, en pleines négociations.
En avril 2015, Valérie Lemercier, qui jouait le rôle de Béatrice de Montmirail dans le premier film, confie sur l'antenne d'Europe 1 ne pas avoir été contactée pour reprendre son rôle dans ce troisième épisode. Elle n'avait pas repris son rôle dans le second volet et avait été remplacée par Muriel Robin.
Le 10 avril 2015, il est également annoncé qu'Alexandre von Sivers rejoint la distribution dans le rôle d'Eusèbe, le descendant de l'enchanteur Eusæbius en 1793. L'enchanteur Eusæbius de 1123 ainsi que Ferdinand Eusèbe, son descendant en 1993, étaient en effet joués dans les deux premiers films par Pierre Vial à la manière des acteurs principaux comme Jean Reno, Christian Clavier, Marie-Anne Chazel, Valérie Lemercier et Muriel Robin qui en dehors de leurs personnages du Moyen Âge ou d'une autre époque jouent aussi les descendants ou les ancêtres de ceux-ci dans les différentes époques selon les films (Jean Reno prête ses traits aux descendants de son personnage uniquement à travers les portraits et les photographies mais ne les incarne pas physiquement). Pierre Vial n'a en effet pas été approché pour reprendre ce rôle car outre le fait qu'il est désormais âgé, au cours de ces dernières années il ne se consacre plus qu'au théâtre et ne joue plus à l'écran.
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Fiche technique
Titre : Les Visiteurs : La Révolution
Titre de travail : Les Visiteurs 3 : La Terreur
Réalisation : Jean-Marie Poiré
Scénario : Jean-Marie Poiré et Christian Clavier
Direction artistique : Marc Vadé
Décors : Philippe Leveque
Costumes : Pierre-Jean Larroque
Photographie : Stéphane Le Parc
Effets visuels numériques : Compagnie générale des effets visuels (Paris)
Montage : Philippe Bourgueil
Musique : Éric Lévi
Production : Sidonie Dumas (productrice déléguée), Christian Clavier, Jean-Marie Poiré, Sylvain Goldberg, Serge de Poucques, Marc Jenny, Michal Prikryl
Sociétés de production : Gaumont (production déléguée), Ouille Productions, TF1 Films Production, Nexus Factory, Okko Productions
Société de distribution : Gaumont International
Budget : 24,75 millions €
Pays d'origine : France, Belgique et République tchèque
Langue originale : français
Genre : comédie
Format : couleur - 35 mm - 2,35:1 - Dolby Digital
Durée : 110 minutes
Dates de sortie :
France et Belgique : 6 avril 2016
Distribution
Christian Clavier : Jacquouille la Fripouille / Jacquouillet / Edmond Jacquart, descendant en 1943
Jean Reno : Godefroy Amaury de Malfête, comte de Montmirail, d'Apremont et de Papincourt, dit « le Hardi »
Franck Dubosc : Gonzague de Montmirail / François de Montmirail, descendant en 1943
Marie-Anne Chazel : Prune, ascendante de Ginette
Karin Viard : Adélaïde de Montmirail
Sylvie Testud : Charlotte de Robespierre / Geneviève Carraud-Robespierre, descendante en 1943
Stéphanie Crayencour : Victoire-Églantine de Montmirail
Ary Abittan : Lorenzo Baldini, marquis de Portofino
Alex Lutz : Robert de Montmirail, descendant de Godefroy
Pascal Nzonzi : Philibert, compagnon de Prune
Frédérique Bel : Flore
Nicolas Vaude : Maximilien de Robespierre
Christian Hecq : Jean-Paul Marat
Christelle Cornil : Simone Marat
Lorànt Deutsch : Jean-Marie Collot d'Herbois
Mathieu Spinosi : Louis Antoine de Saint-Just
François Bureloup : Georges Couthon
Nicolas Lumbreras : Jacques-Nicolas Billaud-Varenne
Cyril Lecomte : Joseph Fouché
Alexandre von Sivers : Charles Eusèbe, l'apothicaire descendant d'Eusæbius en 1793
Dimitri Storoge : le commissaire Verdier
Serge Papagalli : le cocher
Véronique Boulanger : Élise
Éric De Staercke : le duc hollandais
Patrick Descamps : Louis VI « le Gros », roi de France
David Salles : Raoul Ier « le Borgne »
Annie Grégorio : Honorine
Götz Otto : le colonel Wurtz
Urbain Cancelier : le geôlier chef à la prison d'Issoudun
Jean-Luc Couchard : l'accusateur Legendre
Guillaume Briat : Robinot
Joëlle Sevilla : Mme Robinot
Julie-Marie Parmentier : Norah, la fille d'Eusæbius
Chantal Pirotte : Catherine Théot
Elliot Goldberg : Thibaud de Montmirail
Horatia Taittinger : Marie-Thérèse de Montmirail
Ryan Brodie : Jacques-Henri Jacquart jeune
Jib Pocthier : un sans-culottes
Renaud Capuçon : le violoniste à la prison d'Issoudun
Damien Ferrette : le soldat de l'an II (images du second film)
Pavel Novotný : Hugues de Puiset
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Les Visiteurs : La Révolution est un film franco-tchéco-belgeréalisé par Jean-Marie Poiré sorti en 2016.
C'est le troisième opus de la trilogie Les Visiteurs ; il fait donc suiteau deuxième opus Les Couloirs du temps : Les Visiteurs 2, dix-huit ans après la sortie de celui-ci, en 1998, et vingt-trois ans après celle du premier film, en 1993.
Seuls trois acteurs des deux films précédents jouent dans ce troisième opus, à savoir Christian Clavier, Jean Reno et Marie-Anne Chazel, mais seuls Reno et Clavier retrouvent leurs personnages respectifs de Godefroy de Montmirail et Jacquouille la Fripouille. Ils sont entourés par de nouveaux protagonistes interprétés par Franck Dubosc, Karin Viard, Sylvie Testud, Ary Abittan, Alex Lutz et Pascal Nzonzi. Comme pour les deux premiers films, Christian Clavier et Jean-Marie Poiré sont les auteurs du scénario.
Tourné d'avril à juin 2015 en République tchèque puis en Belgique, le film est, avec le remake Les Visiteurs en Amérique (2001), le second film de la série à ne pas avoir été réalisé en France. Le film marque également le retour à la réalisation de Jean-Marie Poiré, après une pause de près de quatorze ans.
Pour rentabiliser le film qui a coûté 25 millions d'euros, la production avait besoin d'au moins 5 millions d'entrées au cinéma, mais avec seulement un peu plus de 2 millions d'entrées le film est un échec commercial.
Arrivés en 1793, en pleine Révolution française, Godefroy de Montmirail et son écuyer Jacquouille la Fripouiller encontrent Jacquouillet, descendant de Jacquouille et accusateur public, et se retrouvent empêtrés dans la tourmente de la Terreur. Godefroy est confronté à sa descendance de l'époque, qui essaie d'échapper à la Révolution : lui et son écuyer les aident à fuir et tentent de retrouver un descendant de l'Enchanteur pour rentrer à leur époque. Les deux voyageurs temporels subissent en effet des effets secondaires inquiétants dus aux couloirs du temps non refermés.
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Même l'image est truquée
Que dire
" le nain a repris le dessus ."
"le nain a franchi 1 marche."
etc
PARIS MATCH écrit
Nicolas Sarkozy un homme de passions
il en oublie 2 mots
Mensonge
Manipulation
La preuve en Une de PARIS MATCH
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Equipe d'États-Unis
Numéro / Nom | Équipe | Sél. (but) | Date de naissance | ||||||
Gardiens de but | |||||||||
1 | Alyssa Naeher | Chicago Red Stars | 43 (0) | 20 avril 1988 | |||||
18 | Ashlyn Harris | Orlando Pride | 19 (0) | 19 octobre 1985 | |||||
21 | Adrianna Franch | Thorns FC de Portland | 1 (0) | 12 octobre 1990 | |||||
Défenseurs | |||||||||
4 | Becky Sauerbrunn | Royals de l'Utah | 155 (0) | 6 juin 1985 | |||||
5 | Kelley O'Hara | Royals de l'Utah | 115 (2) | 4 août 1988 | |||||
7 | Abby Dahlkemper | North Carolina Courage | 37 (0) | 13 mai 1993 | |||||
11 | Ali Krieger | Orlando Pride | 99 (0) | 28 juillet 1984 | |||||
12 | Tierna Davidson | Chicago Red Stars | 99 (1) | 19 septembre 1998 | |||||
19 | Crystal Dunn | North Carolina Courage | 83 (24) | 3 juillet 1992 | |||||
22 | Emily Sonnett | Thorns FC de Portland | 31 (0) | 25 novembre 1993 | |||||
Milieux de terrain | |||||||||
3 | Sam Mewis | North Carolina Courage | 47 (9) | 9 octobre 1992 | |||||
6 | Morgan Brian | Chicago Red Stars | 82 (6) | 26 février 1993 | |||||
8 | Julie Ertz | Chicago Red Stars | 79 (18) | 6 avril 1992 | |||||
9 | Lindsey Horan | Thorns FC de Portland | 66 (8) | 6 mai 1994 | |||||
10 | Carli Lloyd | Sky Blue FC | 271 (107) | 16 juillet 1982 | |||||
15 | Megan Rapinoe | Reign FC de Seattle | 150 (44) | 5 juillet 1985 | |||||
16 | Rose Lavelle | Spirit de Washington | 24 (6) | 14 mai 1995 | |||||
20 | Allie Long | Reign FC de Seattle | 42 (6) | 13 août 1987 | |||||
Attaquants | |||||||||
2 | Mallory Pugh | Reign FC de Seattle | 50 (15) | 29 avril 1998 | |||||
13 | Alex Morgan | Orlando Pride | 160 (101) | 2 juillet 1989 | |||||
14 | Jessica McDonald | Royals de l'Utah | 7 (2) | 28 février 1988 | |||||
17 | Tobin Heath | Thorns FC de Portland | 147 (28) | 29 mai 1988 | |||||
23 | Christen Press | Royals de l'Utah | 113 (47) | 29 décembre 1988 | |||||
Sélectionneur | |||||||||
Jill Ellis | 6 septembre 1966 |
|
Equipe de Pays-Bas
Numéro / Nom | Équipe | Sél. (but) | Date de naissance | ||||||
Gardiens de but | |||||||||
1 | Sari van Veenendaal | Arsenal | 52 (0) | 3 avril 1990 | |||||
16 | Lize Kop | Ajax Amsterdam | 1 (0) | 17 mars 1998 | |||||
23 | Loes Geurts | Kopparbergs/Göteborg FC | 123 (0) | 12 janvier 1986 | |||||
Défenseurs | |||||||||
2 | Desiree van Lunteren | SC Fribourg | 70 (0) | 30 décembre 1992 | |||||
3 | Stefanie van der Gragt | FC Barcelone | 55 (7) | 16 août 1992 | |||||
4 | Merel van Dongen | Betis Séville | 26 (1) | 11 février 1993 | |||||
5 | Kika van Es | Ajax Amsterdam | 57 (0) | 11 octobre 1991 | |||||
6 | Anouk Dekker | Montpellier HSC | 77 (6) | 15 novembre 1986 | |||||
18 | Danique Kerkdijk | Bristol City | 18 (0) | 1 mai 1996 | |||||
20 | Dominique Bloodworth | Arsenal | 46 (0) | 17 janvier 1995 | |||||
22 | Liza van der Most | Ajax Amsterdam | 13 (0) | 8 octobre 1993 | |||||
Milieux de terrain | |||||||||
8 | Sherida Spitse | Vålerenga | 161 (30) | 29 mai 1990 | |||||
10 | Daniëlle van de Donk | Arsenal | 88 (16) | 5 août 1991 | |||||
12 | Victoria Pelova | ADO La Haye | 3 (0) | 3 juin 1999 | |||||
14 | Jackie Groenen | 1. FFC Francfort | 45 (2) | 17 décembre 1994 | |||||
15 | Inessa Kaagman | Everton | 2 (0) | 17 avril 1996 | |||||
19 | Jill Roord | Bayern Munich | 40 (3) | 22 avril 1997 | |||||
Attaquants | |||||||||
7 | Shanice van de Sanden | Olympique lyonnais | 63 (15) | 2 octobre 1992 | |||||
9 | Vivianne Miedema | Arsenal | 74 (54) | 15 juillet 1996 | |||||
11 | Lieke Martens | FC Barcelone | 102 (42) | 16 décembre 1992 | |||||
13 | Renate Jansen | Twente | 35 (3) | 7 décembre 1992 | |||||
17 | Ellen Jansen | Ajax Amsterdam | 14 (1) | 6 octobre 1992 | |||||
21 | Lineth Beerensteyn | Bayern Munich | 39 (9) | 11 octobre 1996 | |||||
Sélectionneur | |||||||||
Sarina Wiegman | 26 octobre 1969 |
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