Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
05.12.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
A | Loin du bagne |
À qui mon cœur ? | M |
Amis de collège ou l'Affaire de la rue de Lourcine | Macbeth (film, 1909, Calmettes) |
Arsène Lupin (film, 1909) | Madame Bernard |
L'Assommoir (film, 1909) | La Maison sans enfant (film, 1909) |
Avant et... après | Matelot (film) |
L'Aveugle de Jérusalem | Mater dolorosa (film, 1909) |
L'Aveugle et son chien | Max et la Doctoresse |
B | Le Mensonge de Sœur Agnès |
La Bague (film) | La Mère du moine |
Le Baromètre de la fidélité | Le Miracle du collier |
Beethoven (film, 1909) | Le Mirage (film, 1909) |
La Berceuse | Le Miroir hypnotique |
Le Billet de loterie | Molière (film, 1909) |
Le Biniou | Monsieur Prud'homme fait faire sa statue |
La Boîte de Pandore (film, 1909) | La Montre à répétition |
La Bouée | La Mort de Cambyse |
C | La Mort de Sire de Framboisy |
Le Capitaine Fracasse (film, 1909) | La Mort du duc d'Enghien en 1804 |
La Chasse au bois hanté | Le Mort (film) |
La Chatte métamorphosée en femme (film, 1909) | Moscou sous la neige |
Le Chœur des girondins | Le Moulin maudit |
La Cigale et la Fourmi (film, 1909) | Le Mousquetaire de la reine (film, 1909) |
La Citoyenne | Le Mystère du château des roches noires |
Concarneau (film) | N |
Le Conscrit de 1809 | Noël d'artiste |
La Contrebandière | Le Noël du chiffonnier |
La Côte d'Émeraude | O |
La Côte sauvage à Belle-Isle | Ordre du roy |
The Count's Wooing | P |
La Croix de l'empereur | Les Papas de Francine |
Le Crucifix | Le Papillon fantastique |
La Cure d'air de Bébé | Le Paralytique |
Cyrano de Bergerac (film, 1909) | Pauvre Chiffonnier |
D | Le Péché d'une mère |
Dans la tourmente (film, 1909) | Le Petit Jeune Homme |
Les Deux Mères | Le Petit Soldat (film, 1909) |
Les Deux Sœurs (film, 1909) | Le Petit Tambour de 92 |
Le Domino rouge | Pieux Mensonge (film) |
Don César de Bazan (film, 1909) | Le Portrait de Mireille |
Don Quichotte (film, 1909) | La Possession de l'enfant |
E | Le Printemps (film, 1909) |
Elle est partie (film) | Probité mal récompensée |
En bombe après l'obtention de son bachot | Le Puits (film, 1909) |
L'Enfant prodigue (film, 1909) | Le Puits et le Pendule (film, 1909) |
L'Enfant (film, 1909) | R |
L'Épave (film, 1909) | Les Rameaux |
F | Rayons et Ombres |
La Fée des grèves (film) | La Redingote |
La Fiancée du batelier | Le Régiment de Sambre-et-Meuse (film) |
La Fille du passeur | Le Retour d'Ulysse |
Les Filles du cantonnier | Le Roi des aulnes (film, 1909) |
Fleur de pavé | S |
Le Fou (film, 1909) | Seein' Things |
Frédéric le Grand (film, 1909) | Sérénade interrompue |
G | Simple Histoire |
Les Gardes françaises | Le Spadassin |
La Gigue merveilleuse | Sur le sentier de la guerre (film, 1909) |
H | T |
Les Heures : l'aube, l'aurore | Tarakanowa et Catherine II |
Les Heures : le matin, le jour | La Tosca (film, 1909) |
Les Heures : le midi, la vesprée, le crépuscule | La Tour de Nesle (film, 1909) |
Les Heures : le soir, la nuit | Trait de bonté de Napoléon Ier |
L'Homme aux poupées | Le Tricheur (film) |
Le Huguenot | Le Truc de l'antiquaire |
The Hypnotist's Revenge (film, 1909) | Tu ne tueras point (film, 1909) |
I | U |
Idylle corinthienne | Un premier amour (film) |
L'Idée du pharmacien | Une conquête (film, 1909) |
L'Imagier du Mont-Saint-Michel | V |
L'Indifférente | Vainqueur de la course pédestre |
J | Vanité (film) |
J'épouserai ma cousine | Vercingétorix (film, 1909) |
Judith et Holopherne (film, 1909) | Vers le Pôle Sud |
L | Les Vieux (film, 1909) |
Le Légataire universel (film, 1909) | Le Voile des nymphes |
La Légende des phares | Le Voleur invisible |
La Lettre anonyme | Voleurs d'enfants |
Le Locataire diabolique |
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Un théâtre de verdure est un cadre de végétation artistiquement aménagé permettant d'assister en plein air à des spectacles vivants ou à des séances de cinéma. Souvent inspiré des amphithéâtres antiques dans la disposition semi-circulaire de gradins ou de chaises orientés vers un espace scénique, il peut être placé dans un jardin public entouré de hautes haies ou s'insérer plus harmonieusement dans l'environnement naturel. Dans le cas d'environnement aquatique, on parle de théâtre d'eau
Un des premiers exemples notables d'un théâtre en plein air est le bosquet du Théâtre d'eau aux jardins de Versailles, composé d'un hémicycle à trois gradins engazonnés faisant face à une scène avec des fontaines et des cascades en arrière-plan. Construit en 1674, ce bosquet est inspiré d'un théâtre en salle Teatro Olimpico de Vicence en Italie.
Au temps de l'aménagement des jardins à la française, des théâtres de verdure taillés dans l'environnement végétal se sont multipliés. Des haies sont plantées derrière la scène pour servir de coulisses aux comédiens. C'est le cas du théâtre de verdure du Grand Jardin d'Herrenhausen conçu en 1692 à Hanovre. Ces théâtres d'époque baroque sont souvent agrémentés d'éléments de staffage comme des sculptures allégoriques ou des putti. Des ruines, des roches ou des grottes préexistantes sont parfois également incorporées à la scène
La construction massive de théâtre de verdure tels qu'on les connaît aujourd'hui débute dans les années 1860, avec un pic entre les années 1910 et 1930, particulièrement en Allemagne.
Liste de théâtres de verdure par pays
Le théâtre de verdure d' Annaba.
Le théâtre de verdure d'Alger.
Le théâtre de verdure d'Oran.
Naturtheater Grötzingen à Aichtal
Freilichtbühne Altusried à Altusried
Freilichtbühne am Roten Tor à Augsbourg
Kleine Ausburger Freilichtbühne à Augsbourg
Romantikbühne am Schlossturm à Bad Berneck im Fichtelgebirge
Freilichtspiele Bad Bentheim à Bad Bentheim
Naturtheater Bad Elster à Bad Elster
Bad Hersfelder Festspiele à Bad Hersfeld
Kalkbergstadion à Bad Segeberg
Wasserburg Bad Vilbel à Bad Vilbel
Freilandtheater Bad Windsheim à Bad Windsheim
Festspiele Balver Höhle à Barsinghausen
Römisches Theater in der Eremitage à Bayreuth
Berliner Waldbühne à Berlin-Westend
Kindl-Bühne Wuhlheide à Berlin-Oberschöneweide
Freilichtbühne an der Zitadelle à Berlin-Spandau
Freilichtbühne Billerbeck à Billerbeck
Waldbühne Bischofswerda à Bischofswerda
Freilichtbühne im Busch à Bobenheim-Roxheim
Theater Klosterruine Boitzenburg dans le Boitzenburger Land
Freilichtbühne Bonbaden à Braunfels
Freilichtbühne Breisach à Vieux-Brisach
Alte Burg à Friedrichsdorf
Freilichtbühne Coesfeld à Coesfeld
Freilichtbühne Daverden à Langwerden
Burgtheater Dinslaken à Dinslaken
Freilichtbühne am Mangoldfelsen à Donauwörth
Naturbühne Hohensyburg à Dortmund
Dreieichenhainer Burg à Dreieich
Grand Jardin de Dresde (Freilichtbühne Großer Garten) à Dresde
Puppentheater Sonnenhäusel à Dresde
Theaterruine St. Pauli à Dresde
Naturtheater Greifensteine à Ehrenfriedersdorf
Freilichtbühne Elspe à Lennestadt
Theater im Steinbruch à Emmendingen
Eutiner Festspiele à Eutin
Kloster Feuchtwangen à Feuchtwangen
Südwestfälische Freilichtbühne Freudenberg à Freudenberg
Naturbühne Steintäle à Fridingen an der Donau
Scherenburg à Gemünden am Main
Waldbühne Kloster Oesede à Georgsmarienhütte
Florian Geyer Festspiele à Giebelstadt
Le Théâtre de Verdure de Namur.
Le Théâtre de Verdure du château de Leeuwergem, unique en Europe car tout de charme (Carpinus betulus) construit. Sa réalisation date de 1764 et il peut contenir 800 personnes.
Le théâtre de Verdure de Montréal au Parc Lafontaine
Bosquet du Théâtre d'eau dans le jardin de Versailles
Théâtre Silvain à Marseille.
Le Théâtre de verdure de Nice.
Le Théâtre de verdure de Montluel.
Le théâtre de verdure du jardin de l'Arquebuse à Dijon
Festivals dans des théâtres de verdure
Festival Les Nuits du Piano d'Erbalunga dans le théâtre de verdure de Brando en Haute-Corse.
Festival de Ramatuelle.
Brosella Folk & Jazz et le festival Eu'ritmix à Bruxelles au Théâtre de verdure du parc d'Osseghem, sur le plateau du Heysel.
Festival « Les enfants du rock », festival annuel de rock organisé par l'association Ivoire Music depuis 2006 au Théâtre de verdure de Nice.
Festival de conte Contes en Côtière au théâtre de verdure de Montluel.
Soirées lyriques de Gigondas au théâtre de verdure de Gigondas.
Crussol Festival au théâtre de verdure de Crussol à Saint-Péray.
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La mise en scène est selon la définition d’André Antoine (considéré en France comme le premier metteur en scène) « l’art de dresser sur les planchesl'action et les personnages imaginés par l’auteur dramatique ». C’est l’ensemble de toutes les dispositions relatives à l’action, aux mouvements isolés ou concertés des acteurs, aux incidents qui doivent se produire autour d’eux, aux meubles, objets, accessoires, etc. La mise en scène, réglant les moindres détails, a pour effet d’assurer le jeu de chaque acteur et l’harmonie générale de l’exécution. On n’arrive à ce résultat qu’au prix de beaucoup d’habileté et d’expérience, par de nombreuses répétitions et la confiance mutuelle que donne aux acteurs l’habitude de jouer ensemble.
Par extension, une « mise en scène » est la préparation d'événements coordonnés avant leur accomplissement effectif.
Au sens large, on peut parler de mise en scène pour souligner l’aspect d’un événement qui n’est pas original
Le terme de « mise en scène » apparaît, semble-t-il, au début du XIXe siècle dans la brochure d'un spectacle intitulé Riquet à la houppe de Dubois et Hapdé, joué en 1802. Cependant, si le métier de metteur en scène date de la seconde moitié du XIXe siècle, l’organisation d’une mise en scène théâtrale est apparue dès la fin du XVIIIe siècle, lorsqu’il n’y eut plus de spectateur privilégié assis directement sur la scène
Auparavant, les acteurs devaient interpréter leur rôle selon des conventions établies. Chaque artiste élaborait individuellement sa gestuelle et sa déclamation, il fournissait lui-même le costume de son personnage, et les mouvements de scène étaient réduits au strict nécessaire. C’est avec l’idée d’unifier le style d’un spectacle, dans le jeu des comédiens, les costumes et l’espace des décors, que les dramaturgeset directeurs de théâtre ont commencé à élaborer des mises en scène
C'est au milieu du XIXe siècle que Richard Wagner formule ses principes dramaturgiques novateurs et les applique de manière concrète sur scène.
L'émergence de la mise en scène en France date du succès d'André Antoine et de son Théâtre-Libre en 1887. Cette émergence est influencée par plusieurs facteurs : l'avènement du mouvement naturaliste, la conscience des limites théâtrales actuelles dans une volonté de réalisme artistique et un climat profondément positif. Jules Renard travaille plusieurs fois en tant qu'auteur avec André Antoine. En 1900, il décrit ainsi son travail de mise en scène : « Répétition. Antoine est là et fait travailler, d'abord en scène, puis au foyer, avec une intelligence qui me rend modeste au point que je n'ose pas le contredire une fois. - Vous êtes indispensable, lui dis-je. - Je viendrai, dit-il, mais, quelquefois, ça m'embête. Il faut que je fasse deux métiers. Il joue, et c'est admirable de justesse, le rôle de Poil de Carotte sans dire une seule de mes phrases, mais il dit à « ses » femmes : - Ne touchez pas au texte. Si l'auteur a écrit ça, c'est qu'il a ses raisons. Il me dit, comme pour s'excuser : - Ne faites pas attention. Je leur indique là des choses de cabot. Quand c'est fini, je le remercie avec une joie enfantine. Guitry, c'est toute la diction, Antoine, toute l'action, je veux dire : le feu, la vie, le sens tout nu des phrases. »
Louis Becq de Fouquières publie, en 1884, le premier ouvrage théorique sur le sujet, L’Art de la mise en scène : Essai d’esthétique théâtrale
Vladimir Nijny publie, après la mort du réalisateur russe Sergueï Eisenstein, le livre Mettre en scène4, qui reproduit les cours donnés par Eisenstein dans les années 1930 à la Faculté de mise en scène de l'Institut Cinématographique d'État. Dans ce texte, Eisenstein exprime une conception de la mise en scène proprement cinématographique. Dans les travaux collectifs de mise en scène qu'il effectue avec ses élèves, Eisenstein s'appuie néanmoins sur la tradition théâtrale et utilise des textes littéraires à partir desquels il construit une mise en scène pour le cinéma. Eisenstein explique à ses étudiants : « La principale tâche du réalisateur lorsqu'il travaille à sa mise en scène est de rechercher les groupements possibles des personnages concernés. Une mise en scène n'est correcte que si elle manifeste les tendances des personnages en rapport avec le conflit moteur »
La problématique de la mise en scène est son rapport au texte, au respect plus ou moins strict de la pensée et des intentions de l'auteur. Historiquement se dégagent trois courant d'opinions.
Le premier s'appuie sur le respect scrupuleux du texte tant au niveau de la forme que de l'esprit. Se rattachent à cette tendance Firmin Gémier qui parle de « respect religieux et absolu », Jacques Copeau pour qui seul le texte compte, Georges Pitoëff qui estime que le premier devoir du metteur en scène est de « sacrifier tout le côté décoratif pour préserver le verbe », Louis Jouvet qui, en assimilant la mise en scène à une prière, parle de « l'aveugle dévotion du metteur en scène », Jean Vilar disant qu'« il faut s'en reporter à l'auteur, l'écouter, le suivre »
Le deuxième groupe qui s'articule autour du respect du théâtre et revendique la liberté totale du metteur en scène par rapport au texte de l'auteur regroupe Antonin Artaud, Vsevolod Meyerhold, Adolphe Appia.
Le dernier courant qui assimile le théâtre à un instrument esthétique au service d'une idéologie politique regroupe Leon Schiller, Bertolt Brecht, Erwin Piscator.
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Filmographie
1958 : La Môme aux boutons
1959 : Marche ou crève
1960 : Arrêtez les tambours
1961 : En plein cirage
1961 : Le Monocle noir
1961 : Le Septième Juré
1962 : L'Œil du Monocle
1963 : Les tontons flingueurs
1963 : Des pissenlits par la racine
1964 : Le Monocle rit jaune
1964 : Les Barbouzes
1965 : Les Bons Vivants (autre titre : Un grand Seigneur), film à sketchs
1966 : Galia
1966 : Ne nous fâchons pas
1967 : La Grande Sauterelle
1967 : Fleur d'oseille
1968 : Le pacha
1969 : Sur la route de Salina
1970 : Laisse aller, c'est une valse
1971 : Il était une fois un flic
1972 : Quelques messieurs trop tranquilles
1973 : La Valise
1974 : Les Seins de glace
1975 : Pas de problème !
1976 : On aura tout vu
1977 : Mort d'un pourri
1978 : Ils sont fous ces sorciers
1979 : Flic ou Voyou
1980 : Le Guignolo
1981 : Est-ce bien raisonnable ?
1981 : Le Professionnel
1983 : Attention, une femme peut en cacher une autre !
1984 : Joyeuses Pâques
1984 : Le Cowboy
1985 : La Cage aux folles 3 - 'Elles' se marient
1986 : La Vie dissolue de Gérard Floque
1988 : La Maison assassinée
1988 : L'Invité surprise
1989 : Présumé dangereux
1991 : Triplex
1991 : Room Service
1992 : L'Inconnu dans la maison
1992 : Prêcheur en eau trouble
1994 : L'Homme de mes rêves
1996 : Le Comédien, adaptation d'une pièce de Sacha Guitry
2000 : Les Redoutables, avec Christopher Lee. Segment : Les cons ça ose tout.
1960 : Marche ou crève
1960 : Arrêtez les tambours
1961 : En plein cirage
1962 : L'Œil du Monocle
1963 : Les tontons flingueurs
1963 : Des pissenlits par la racine
1964 : Le Monocle rit jaune
1965 : Les Bons Vivants
1966 : Ne nous fâchons pas
1967 : La Grande Sauterelle
1967 : Fleur d'oseille
1968 : Le pacha
1970 : Michel Strogoff, d'Eriprando Visconti
1971 : Il était une fois un flic
1971 : Sur la route de Salina (Road to Salina)
1971 : Laisse aller, c'est une valse
1973 : Quelques messieurs trop tranquilles
1973 : La Valise
1975 : Pas de problème !
1978 : Ils sont fous ces sorciers
1981 : Le Professionnel
1984 : Joyeuses Pâques
1984 : Le Cowboy
1985 : La Cage aux folles 3 - 'Elles' se marient
1986 : La Vie dissolue de Gérard Floque
1987 : La Maison assassinée
1988 : L'Invité surprise
1989 : Présumé dangereux
1991 : Room Service
1992 : Prêcheur en eau trouble (TV)
1992 : L'Inconnu dans la maison
1994 : L'Homme de mes rêves (TV)
1995 : Entre ces mains-là, d'Arnaud Sélignac (TV)
1952 : L'amour n'est pas un péché de Claude Cariven
1954 : Les Corsaires du bois de Boulogne de Norbert Carbonnaux
1954 : Le Chevalier de la nuit de Robert Darène
1958 : Le Temps des œufs durs de Norbert Carbonnaux
On aura tout vu / Georges Lautner, avec José-Louis Bocquet. Paris : Flammarion, 2005, 275 p.
Décorations
Commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres. Il est fait commandeur lors de la promotion du 30 mai 1996
Georges Lautner |
Georges Lautner |
Georges Lautner est un réalisateur et scénaristefrançais, né le 24 janvier 1926 à Nice et mort le 22 novembre 2013 à Neuilly-sur-Seine.
Attiré dès ses débuts vers la comédie, Lautner est surtout connu pour avoir mis en image les plus fameuses répliques de Michel Audiard (leur collaboration la plus célèbre restant Les Tontons flingueurs). Ses incursions dans les autres genres (dont Le Professionnel en 1981 ou La Maison assassinée en 1988) connurent également un succès auprès du public. Il demeure une grande figure de la comédie française de l'après-guerre.
Son père est Léopold Lautner (1893-1938), joaillier d'origine viennoise installé à Vichy. Aviateur — il sera mitrailleur aérien engagé le 10 avril 1913 au 2e chasseur d'Afrique (croix de guerre coloniale), combattant pendant la Première Guerre mondiale et participera à des meetings aériens —, il se tue à 45 ans (son fils Georges a alors 13 ans) dans un accident d'un Farman 402 de l'aéroclub de Vichy alors qu'il réalisait un vol de loisir au-dessus de la station thermale avec une jeune cantatrice.
Sa mère est la comédienne Marie-Louise Vittore dite Renée Saint-Cyr (qui apparaît notamment dans onze des films de son fils). En 1933, après avoir passé une partie de son enfance dans le Midi, il monte à Parisavec sa mère qui va commencer sa carrière cinématographique cette même année et connaître un succès avec Les Deux orphelines. C'est à cette occasion qu'il découvre le cinéma et fréquente les salles obscures, mais cette période joyeuse sera ternie par la mort de son père, le 17 juillet 1938, dans un accident d'avion
Durant la Seconde Guerre mondiale, il est scolarisé au lycée Janson-de-Sailly, à Paris. Malgré cette période difficile, il essaie de préserver une jeunesse fêtarde, puis se sentant concerné par ce qui se passe en France, il n'hésite pas à venir observer de plus près les événements dans la capitale, ce qui ne manque pas de développer son sens critique.
Après la Libération de Paris, Lautner, après avoir obtenu un bac philo-sciences, se tourne vers le cinéma, notamment en faisant de petits boulots. Ses débuts au cinéma se font en 1945 comme décorateur dans La Route du bagne, de Léon Mathot. En 1947, il est contraint de cesser ses petits boulots pour aller faire son service militaire en Autriche et va faire un stage de projectionniste 16 mm. Puis il est envoyé au Service cinématographique des armées (SCA) de Paris, côtoyant Claude Lecomte et Marcel Bluwal.
Sorti de l'armée, son expérience en matière de pellicule lui vaut de devenir en 1949 le second assistant-réalisateur de Sacha Guitry pour Le Trésor de Cantenac. Durant les années 1950, il continue d'être assistant réalisateur(Les Chiffonniers d'Emmaüs, rencontrant sur le tournage le cascadeur Henri Cogan, devenu son fidèle collaborateur et ami, Courte tête), puis fait des apparitions dans des films comme Capitaine Ardant. Alors qu'il avait pour ambition de devenir comédien, qu'il dut abandonner car il était trop timide pour jouer sur scène et n'avait pas les dons nécessaires, il préfère rester derrière la caméra. À travers les différents plateaux qu'il fréquente, il apprend très vite à user du système D qui lui confère une efficacité à toute épreuve dès qu'il s'agit de pallier les imprévus. Grâce à un bon relationnel, il a pour habitude d'aller discuter avec les seconds rôles et les figurants durant les tournages, ce qui lui donne le goût de devenir réalisateur, sachant mettre à l'aise les comédiens.
En 1958, le directeur de production Maurice Juven le remarque et lui confie la réalisation de La Môme aux boutons, tourné en un mois avec des acteurs de boulevard. Malheureusement, le premier long-métrage de Lautner est un échec commercial. Après ce premier essai, le cinéaste se voit confier par Juven la réalisation de Marche ou crève. Cette adaptation d'un roman de Jack Murray, que le réalisateur signe avec Pierre Laroche (qui collabora sur cinq films du réalisateur), Lautner la considère comme sa première vraie réalisation. Le film amortit l'échec du précédent, lui permettant de réaliser avec son équipe Arrêtez les tambours. Ce film marque le début de sa collaboration avec le chef-opérateur Maurice Fellous.
Mais c'est en 1961 qu'il va se faire connaître du grand public avec Le Monocle noir. Adapté d'un roman du Colonel Rémy, cette comédie policière, avec Paul Meurisse dans le rôle du « Monocle », agent secret français, est un succès commercial et aura deux suites. En 1962, il tourne Le Septième Juré, drame psychologique avec Bernard Blier.
Sa façon de tourner — usage du champ/contre-champ qui permet de jouer avec la profondeur et d'orchestrer ainsi une composition visuelle particulière devient une de ses marques de fabrique, avec les gros plans, de manière à mettre en valeur les comédiens et le dialogue — lui vaut d'être recommandé par Bernard Blier et Michel Audiard (qui va collaborer avec Lautner pour une dizaine de films) à Alain Poiré, patron de Gaumont International, une filiale de la Gaumont chargée des productions de films, une société qui a un palmarès très important de grands succès populaires, en particulier dans le domaine de la comédie. Poiré a la réputation de savoir dénicher les talents.
En 1963, Poiré lui offre la réalisation des Tontons flingueurs. Avec Lino Ventura (qui remplace Jean Gabinaprès un désaccord avec Lautner), Bernard Blier, Jean Lefebvre, et Francis Blanche dans la distribution et Michel Audiard aux dialogues. Le film, sommet de la parodie de film policier, est un succès et devient un classique du cinéma français. Il rencontre à la même époque Mireille Darc et la fait tourner dans une dizaine de films (Des pissenlits par la racine, Les Barbouzes, nouvel opus du groupe Audiard-Lautner-Blier-Ventura-Blanche, Galia, film sur la libération sexuelle, Ne nous fâchons pas et La Grande Sauterelle entre autres).
En 1968, il réalise le film policier Le Pacha, dialogué par Audiard, avec Jean Gabin, qui devait tourner dans Les Tontons flingueurs. Au début du tournage, l'atmosphère est lourde. Gabin se retrouve désarçonné par le style Lautner : des gros plans à répétition, de nombreuses coupes… de plus, le réalisateur, timide par nature, est très impressionné par le comédien. Mais quand les premières rushes sont montés, mis en musique et projetés, Gabin comprend alors le style et le ton du film. Cela le décide à faire confiance à son réalisateur pour le reste du tournage, et la suite s'est bien passée. Après quelques problèmes avec la censure, le film sort et connaît un succès public et critique. Après l'échec de son long-métrage américain La Route de Salina, il tourne la comédie Laisse aller, c'est une valse, avec Jean Yanne. Ce film marque les débuts de Coluche au cinéma.
Les années 1970 seront prolifiques pour Lautner, qui connaît succès sur succès avec Il était une fois un flic, Quelques messieurs trop tranquilles, La Valise, Les Seins de glace, On aura tout vu et Mort d'un pourri, et tournant avec des acteurs confirmés comme Jean-Pierre Marielle, Alain Delon et Pierre Richard et des acteurs débutants comme Gérard Lanvin et Miou-Miou.
Après une collaboration — difficile — avec Delon (Les Seins de glace et Mort d'un pourri), Georges Lautner fait tourner Jean-Paul Belmondo à partir de 1979 dans Flic ou Voyou. Devenus amis, Belmondo et Lautner vont signer trois films ensemble : Le Guignolo, Le Professionnel, énorme succès en 1981, et Joyeuses Pâques.
La seconde moitié des années 1980 marque la fin de sa collaboration avec Michel Audiard (qui décède en juillet 1985) et oscille entre succès (La Maison assassinée, avec Patrick Bruel) et échecs commerciaux. En 1992, il tourne son dernier film pour le cinéma, L'Inconnu dans la maison (avec Belmondo), qui ne connaît pas le succès escompté.
En 2007, il est président du jury au Festival du cinéma russe à Honfleur.
Il meurt le 22 novembre 2013 à Neuilly-sur-Seine, des suites d'un cancer, à l'âge de 87 ans. Il est inhumé au cimetière du château à Nice, après une cérémonie religieuse à la cathédrale Sainte-Réparate
Georges Lautner fait partie des cinéastes populaires, peu appréciés par la critique de l'époque. En 1963, lorsque sort Les Tontons flingueurs, le film est éreinté par la critique, le trouvant trop caricatural et à peine divertissant, mais rencontre un réel succès auprès du public, puisqu'il totalise 3 342 393 entrées en France. Aujourd'hui, Les Tontons flingueurs est considéré comme un film culte et rencontre un succès d'audience à chaque diffusion à la télévision.
Il obtient, en 1981, son plus grand succès commercial avec Le Professionnel, qui totalise 5 243 511 entrées.
Au cours de sa carrière, les films qu'il a réalisés ont totalisé, en France, 60,5 millions d'entrées
Georges Lautner |
Georges Lautner |
Filmographie
1951 : Les Bonnes Manières
1951 : Fernand cherche du boulot
1954 : Les Hommes ne pensent qu'à ça (acteur, producteur)
1958 : Ni vu... Ni connu... (acteur, scénariste)
1959 : Signé Arsène Lupin (+ acteur, scénariste)
1960 : La Famille Fenouillard (acteur, scénariste)
1961 : La Guerre des boutons (scénariste, producteur) (Prix Jean-Vigo 1962)
1963 : Bébert et l'Omnibus (producteur)
1964 : Les Copains (producteur)
1965 : Monnaie de singe (scénariste)
1967 : Alexandre le bienheureux (scénariste, producteur exécutif)
1969 : Clérambard (scénariste, producteur)
1972 : Le grand blond avec une chaussure noire (acteur, producteur)
1973 : Salut l'artiste (acteur, scénariste)
1974 : Le Retour du grand blond (acteur, producteur)
1976 : Un éléphant ça trompe énormément(scénariste, producteur)
1977 : Nous irons tous au paradis (scénariste, producteur délégué)
1979 : Courage, fuyons (scénariste, producteur)
1984 : Le Jumeau (acteur, scénariste)
1990 : La Gloire de mon père (scénariste)
1990 : Le Château de ma mère (scénariste)
1991 : Le Bal des casse-pieds (scénariste)
1993 : Montparnasse-Pondichéry (acteur, scénariste)
1956 : Bonjour sourire (Sourire aux lèvres) de Claude Sautet (coadaptateur uniquement)
1971 : Les Malheurs d'Alfred de Pierre Richard (+ acteur, producteur)
1985 : L'Homme à la chaussure rouge (The Man with One Red Shoe) de Stan Dragoti
1970 : Le Distrait de Pierre Richard (Producteur délégué)
1974 : Que la fête commence de Bertrand Tavernier (Producteur associé)
1976 : Le Plein de super d'Alain Cavalier(Producteur délégué)
1977 : Les Petits Câlins de Jean-Marie Poiré(Producteur exécutif)
1978 : La Drôlesse de Jacques Doillon
1978 : La Femme qui pleure de Jacques Doillon
1981 : Qu'est-ce qui fait courir David ? d'Élie Chouraqui
1988 : Fréquence meurtre d'Élisabeth Rappeneau
1995 : Sortez des rangs de Jean-Denis Robert
1999 : Himalaya : L'Enfance d'un chef d'Éric Valli(Producteur associé)
2001 : Le Peuple migrateur de Jacques Perrin et Jacques Cluzaud (producteur associé)
1948 : Les Dieux du dimanche de René Lucot
1950 : Trois télégrammes de Henri Decoin
1950 : Juliette ou la Clé des songes de Marcel Carné
1950 : Le Tampon du capiston de Maurice Labro
1951 : La Rose rouge de Marcello Pagliero
1951 : Bibi Fricotin de Marcel Blistène
1951 : Deux sous de violettes de Jean Anouilh
1952 : Suivez cet homme de Georges Lampin
1953 : Virgile de Carlo Rim
1954 : L'honneur est sauf d'Édouard Molinaro, court métrage
1955 : Escalier de service de Carlo Rim
1955 : Futures Vedettes de Marc Allégret
1955 : Les Grandes Manœuvres de René Clair
1955 : Les Mauvaises Rencontres d'Alexandre Astruc
1956 : Les Truands de Carlo Rim
1956 : La Terreur des dames ou Ce cochon de Morin de Jean Boyer
1956 : Folies-Bergère / Un soir au music-hall de Henri Decoin
1957 : Les femmes sont marrantes d'André Hunebelle
1958 : Le Petit Prof de Carlo Rim
1959 : Nina de Jean Boyer
1959 : La Jument verte de Claude Autant-Lara
1960 : La Mort de Belle d'Édouard Molinaro
1960 : La Française et l'Amour de René Clair(film à sketches : sketche Le mariage)
1960 : La Brune que voilà de Robert Lamoureux
1962 : Cléo de 5 à 7 d'Agnès Varda
1962 : Le Pèlerinage de Jean L'Hôte - court métrage -
1963 : Chemins de Paris de Raymond Letouzey - court métrege -
1965 : La Communale de Jean L'Hôte
1966 : Le Roi de cœur de Philippe de Broca
1967 : Un idiot à Paris de Serge Korber
1967 : Le Mois le plus beau de Guy Blanc
1969 : Le Pistonné de Claude Berri
1970 : Le Cri du cormoran le soir au-dessus des jonques de Michel Audiard
1970 : Le Cinéma de papa de Claude Berri
1970 : Le Distrait de Pierre Richard
1970 : Le Voyou de Claude Lelouch
1971 : Les Malheurs d'Alfred de Pierre Richard
1972 : Le Viager de Pierre Tchernia
1972 : L'aventure c'est l'aventure de Claude Lelouch
1972 : Chère Louise de Philippe de Broca
1972 : Absences répétées de Guy Gilles
1973 : La Grande Paulette de Gérard Calderon
1973 : La Raison du plus fou de François Reichenbach
1974 : Section spéciale de Costa-Gavras
1974 : Trop c'est trop de Didier Kaminka
1975 : Le Juge et l'Assassin de Bertrand Tavernier
1976 : Le Petit Marcel de Jacques Fansten
1978 : Le Rose et le Blanc de Robert Pansard-Besson
1979 : Ils sont grands, ces petits de Joël Santoni
1980 : Femme entre chien et loup - (Een vrouw tussen hond en wolf) de André Delvaux
1980 : Un mauvais fils de Claude Sautet
1983 : Vive la sociale de Gérard Mordillat
1983 : Garçon ! de Claude Sautet
1985 : Billy Ze Kick de Gérard Mordillat
1986 : Le Débutant de Daniel Janneau
1988 : Cher frangin de Gérard Mordillat
1989 : Le Crime d'Antoine de Marc Rivière
1992 : La Crise de Coline Serreau
1994 : Éclats de famille de Didier Grousset (TV)
1995 : Le Nez au vent de Dominique Guerrier
1995 : Sortez des rangs de Jean-Denis Robert
1998 : Disparus de Gilles Bourdos
1961 : L'U.R.S.S à cœur ouvert de Robert Vernay et Roman Karmen - Uniquement le commentaire
1961 : La Cappadoce de Pierre Biro et Jean-Jacques Flori - court métrage, uniquement le commentaire
1962 : Le rouge et le bleu de Claude Jarger - court métrage, voix uniquement
1962 : Gloire à Félix Tournachon de André Martin et Michel Boschet - court métrage, voix uniquement
1971 : Ainsi parlait Théodor Herzl de Alberto Cavalcanti - moyen métrage, voix uniquement
1979 : Cap Horn de Yves Hussenot - documentaire, voix uniquement
1981 : Les dieux sont tombés sur la tête - (The gods must be crazy) de Jamie Uys - voix uniquement
1984 : Scherzo infernal de Walerian Borowczyk - film d'animation, voix uniquement
1987 : Fucking Fernand de Gérard Mordillat - voix uniquement
1991 : Les Eaux dormantes de Jacques Tréfouël - voix uniquement
Avec son ami Gilbert de Goldschmidt, Yves Robert a également présenté dans les pays de langue française les films des Monty Python : Jabberwocky, Sacré Graal !, La Vie de Brian, Bandits, bandits et Monty Python à Hollywood.
Box-office
1961 : La Guerre des boutons : 9,89 millions d'entrées
1964 : Les Copains : 1,3 million d'entrées
1967 : Alexandre le bienheureux : 2,2 millions d'entrées
1984 : Le Jumeau : 1,74 million d'entrées
1990 : La Gloire de mon père : 6,29 millions d'entrées
1992 : Le Château de ma mère : 4,27 millions d'entrées
Film | Année | Entrées |
---|---|---|
La Guerre des boutons | 1962 | 9 959 601 entrées |
La Gloire de mon père | 1990 | 6 291 402 entrées |
Le Château de ma mère | 1990 | 4 269 318 entrées |
Le grand blond avec une chaussure noire | 1972 | 3 471 266 entrées |
Alexandre le bienheureux | 1968 | 2 219 405 entrées |
Théâtre
1948 : L'Étranger au théâtre d'André Roussin, mise en scène Yves Robert, La Rose Rouge
1949 : Exercices de style de Raymond Queneau, mise en scène Yves Robert, La Rose Rouge
1949 : Une femme libre d'Armand Salacrou, mise en scène Jacques Dumesnil, avec Jacques Dumesnil, Sophie Desmarets, Théâtre Saint-Georges
1950 : Poof et Pourquoi pas moi d'Armand Salacrou, mise en scène Yves Robert, Théâtre Édouard VII
1951 : Colombe de Jean Anouilh, mise en scène André Barsacq, Théâtre de l'Atelier
1952 : La Tête des autres de Marcel Aymé, mise en scène André Barsacq, Théâtre de l'Atelier
1952 : Cinémassacre de Boris Vian, Théatre de La Rose Rouge
1953 : Zamore de Georges Neveux, mise en scène André Barsacq, Théâtre de l'Atelier
1954 : Colombe de Jean Anouilh, mise en scène André Barsacq, Théâtre des Célestins, Théâtre de l'Atelier
1954 : Il est important d'être Aimé d'Oscar Wilde, mise en scène Claude Sainval, Comédie des Champs-Élysées
1955 : Les Petites Têtes de Max Régnier, mise en scène Fernand Ledoux, Théâtre Michel
1956 : Histoire de rire d'Armand Salacrou, mise en scène Jean Meyer, Théâtre Saint-Georges
1957 : Histoire de rire d'Armand Salacrou, mise en scène Jean Meyer, Théâtre des Célestins
1958 : La Bagatelle de Marcel Achard, mise en scène Jean Meyer, Théâtre des Bouffes-Parisiens
1959 : La Bagatelle de Marcel Achard, mise en scène Jean Meyer, Théâtre des Célestins
1960 : Histoire de rire d'Armand Salacrou, mise en scène Jean Meyer, Théâtre de la Madeleine
1962 : Le Temps des cerises de Jean-Louis Roncoroni, mise en scène Yves Robert, Théâtre de l'Œuvre
1962 : George Dandin de Molière, mise en scène Daniel Leveugle, Théâtre de l'Alliance française
1966 : Strip-tease et En pleine mer de Sławomir Mrożek, mise en scène Antoine Bourseiller, Poche Montparnasse
1966 : La Convention de Belzébir de Marcel Aymé, mise en scène René Dupuy, Théâtre de l'Athénée-Louis-Jouvet
1968 : La Baye de Philippe Adrien, mise en scène Antoine Bourseiller, Théâtre de Chaillot
1982 : L'Escalier de Charles Dyer, mise en scène Yves Robert, Comédie des Champs-Élysées
1986 : L'Opéra de quat'sous de Bertolt Brecht, mise en scène Giorgio Strehler, Théâtre du Chatelet
1995 : Un inspecteur vous demande de John Boynton Priestley, mise en scène Annick Blancheteau, Théâtre Daunou
1948 : L'Étranger au théâtre d'André Roussin, La Rose Rouge
1949 : Exercices de style de Raymond Queneau, La Rose Rouge
1950 : Poof et Pourquoi pas moi d'Armand Salacrou, Théâtre Édouard VII
1952 : Les Compagnons de la marjolaine de Marcel Achard, Théâtre Antoine
1958 : L'Année du bac de José-André Lacour, Théâtre Édouard VII, Théâtre des Variétés en 1961
1958 : La Belle Arabelle opérette de Marc-Cab et Francis Blanche, musique Guy Lafarge et Pierre Philippe, Théâtre de la Porte-Saint-Martin
1962 : Le Temps des cerises de Jean-Louis Roncoroni, Théâtre de l'Œuvre
1963 : La Robe mauve de Valentine de Françoise Sagan, Théâtre des Ambassadeurs
1964 : Sur le chemin du forum... de Bart Shevlove et L. Gelbart, Théâtre du Palais-Royal
1982 : L'Escalier de Charles Dyer, Comédie des Champs-Élysées
Publication
Yves Robert, Un homme de joie. Dialogue avec Jérôme Tonnerre, Paris, Flammarion, 1996, 394 p
Hommages
En 2013, la ville de Paris rend hommage à Yves Robert en donnant son nom à une nouvelle auberge de jeunesse, aménagée au sein de la halle ZAC Pajol dans le 18e arrondissement de Paris
Le 18 février 2016, la mairie de Saint-Hilarion a inauguré sous le nom de Yves Robert la salle des fêtes, agrandie et rénovée (il vivait au moulin de la Guéville avec Danièle Delorme).
L'Institut national de l'audiovisuel rend hommage à Yves Robert en mettant en ligne quelques-unes de ses apparitions télévisées. On y voit notamment : Hergé comparant l'image à la photographie d'Alexandre le bienheureux à de la bande dessinée, Raymond Devos expliquer que c'est Yves Robert, par ses apparitions à la Rose Rouge, qui lui a donné le courage de monter sur scène, et les Frères Jacques expliquer qu'Yves Robert est à l'origine de leur succès mondial
Yves Robert (cinéaste) |
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