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Noce blanche

Noce blanche

 

Noce blanche est un film français réalisé par Jean-Claude Brisseau sorti en 1989.

 

Saint-Étienne, 1989. Mathilde Tessier, 17 ans, difficile et marginale, tombe amoureuse de son professeur de philosophie, François Hainaut. Ce dernier, qui croit profondément aux capacités intellectuelles de la jeune fille, va se démener pour l'aider. Pendant que Mathilde progresse, leur histoire d'amour se tisse et éloigne peu à peu François de sa femme et de son métier...




Fiche technique

 

Titre : Noce blanche

Réalisation : Jean-Claude Brisseau

Scénario : Jean-Claude Brisseau

Production : Margaret Ménégoz

Société de production : Les Films du Losange

Musique : Jean Musy

Photographie : Romain Winding

Montage : María Luisa García

Costumes et décors : María Luisa García

Pays d'origine : France

Format : Couleurs - 1,37:1 - Mono - 35 mm

Genre : Drame sentimental

Durée : 92 minutes

Date de sortie :

Drapeau de la France France : 8 novembre 1989

Entrées : 1 879 000

 

Distribution

 

Vanessa Paradis : Mathilde Tessier

Bruno Cremer : François Hainaut

Ludmila Mikaël : Catherine Hainaut

Véronique Silver : la conseillère d'éducation

François Négret : Carpentier

Jean Dasté : le concierge à Dunkerque

Philippe Tuin : le surveillant

 

Production

 

Il s'agit du premier film de Vanessa Paradis, âgée de 16 ans au moment du tournage.

Le tournage a principalement eu lieu à Saint-Étienne, notamment rue des Deux Amis et au collège du Portail Rouge. Une autre partie du tournage s'est déroulée à Dunkerque, notamment au Lycée Jean-Bart.

Charlotte Valandrey avait été pressentie pour interpréter Mathilde : selon l'actrice, le rôle lui aurait échappé car la production refusait de l'assurer en raison de sa séropositivité. Le réalisateur Jean-Claude Brisseau a réagi aux déclarations de la comédienne en précisant que, si l'état de santé de Charlotte Valandrey avait bel et bien préoccupé les producteurs, il avait finalement choisi Vanessa Paradis car celle-ci lui semblait mieux convenir au personnage.

Jean-Claude Brisseau a confié au magazine Platine qu'avant de choisir Bruno Cremer pour le rôle-titre de son film, il avait pensé, dans un premier temps, à Alain Delon pour l'interpréter.

 

Récompenses et distinctions

 

César du meilleur espoir féminin pour Vanessa Paradis et nomination aux Césars de la meilleure affiche (Dominique Bouchard) et du meilleur second rôle féminin pour Ludmila Mikaël en 1990.

Prix Romy-Schneider pour Vanessa Paradis en 1990.

 

 



Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Noce_blanche  
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Nikita

 

Nikita est un thriller franco-italien écrit et réalisé par Luc Besson, sorti en 1990. Il s'agit de la première incursion de Besson dans le film d'action, avant le film Léon.

Le film a dépassé les trois millions d'entrées en salles lors de sa sortie française. Il a été nommé à neuf reprises lors de la 16e cérémonie des César en 1991, notamment dans les catégories de meilleur film, meilleur réalisateur et meilleure musique, mais il est devancé par Cyrano de Bergerac de Jean-Paul Rappeneau, lauréat de dix trophées, et n'obtient finalement qu'une seule récompense, le César de la meilleure actrice pour Anne Parillaud, interprète du rôle-titre.

Une jeune toxicomane fait partie d'une bande de jeunes voyous qui parcourt la ville la nuit. Étant en manque, elle demande au chef de la bande, son copain Rico, de lui procurer de la drogue. Elle participe alors avec la bande au cambriolage de la pharmacie du père de l'un d'entre eux. Mais le vol se passe mal, le pharmacien avertissant la police, ce qui se termine par une fusillade, au cours de laquelle ses camarades sont tués. Seule rescapée du groupe, elle abat froidement un policier à bout portant. Elle est arrêtée, jugée pour assassinat et condamnée à la prison à perpétuité.

Une nuit, deux agents du gouvernement entrent dans sa cellule et lui font une injection intraveineuse, pour maquiller un suicide. Elle est déclarée officiellement morte par overdose de tranquillisants, et les autorités organisent un simulacre d'enterrement.

Elle se réveille dans une pièce blanche indéfinissable, où entre un homme bien habillé mais au regard dur, prénommé Bob, qui lui révèle la vérité : elle se trouve dans un centre d'entraînement spécial des services secrets français, le Centre, où le gouvernement lui offre le choix entre la mort, réelle, et le fait de travailler pour eux en tant qu'agent spécial (sous le nom de code « Joséphine »).

Elle subit alors un entraînement intensif et laborieux, étalé sur plusieurs années sous l'œil expert de Bob, son responsable et mentor, qui se prend d'affection pour elle. Elle apprend la maîtrise des programmes informatiques, le maniement des armes à feu, le combat au corps à corps ainsi que les arts martiaux. Mais elle reprend aussi à zéro, et non sans mal, l'apprentissage des civilités les plus banales, des bonnes manières ou du code de bonne conduite social et affectif de tous les jours.

Après cette longue formation qui l'enferme 24 heures sur 24 dans son centre d'entraînement, elle est enfin prête à être rendue à la vie civile et à réaliser ses premières missions en tant qu'agent spécial de la police secrète française.

Une seconde chance s'offre alors à elle, dans une vie nouvelle. Mais elle doit dissimuler sa véritable identité à l'homme qu'elle aime, Marco, et exécuter des missions de plus en plus périlleuses.




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Fiche technique

Titre original : Nikita

Titre américain : La Femme Nikita

Réalisation et scénario : Luc Besson

Image : Thierry Arbogast

Costumes : Anne Angelini, Valentine Breton Des Loys et Mimi Lempicka

Musique : Éric Serra

Montage : Olivier Mauffroy

Photographe de plateau : Patrick Camboulive

Décors : Dan Weil

Production : Patrice Ledoux, Claude Besson, Luc Besson, Mario Cecchi Gori et Vittorio Cecchi Gori

Sociétés de production : Gaumont, Les Films du Loup et Cecchi Gori Group Tiger Cinematografica (it)

Société de distribution : Gaumont

Langues originales : français, italien

Formats : Couleur Eastmancolor - 2,35:1 - 35 mm

Son : Dolby SR

Genres : thriller, action

Durée : 118 minutes

Date de sortie : 21 février 1990 (France)

Mention CNC : tous publics avec avertissement (visa d'exploitation no 69165 délivré le 27 février 1990)

 

Distribution

Anne Parillaud: Nikita
Marc Duret : Rico
Patrick Fontana : Coyotte
Alain Lathière : Zap
Laura Chéron : la punk
Jacques Boudet et Hélène Aligier : les pharmaciens
Pierre-Alain de Garrigues, Patrick Perez, Bruno Randon et Vincent Skimenti : les policiers à la pharmacie
Roland Blanche : le policier chargé de l'interrogatoire
Joseph Teruel : le policier stagiaire
Jacques Disses : l'avocat
Stéphane Fey : le président du tribunal
Philippe Dehesdin et Michel Brunot : les magistrats
Rodolph Freytt et Pavel Slabý : les infirmiers
Tchéky Karyo : Bob
Jean-Luc Caron : le professeur d'informatique
Rénos Mandis : le professeur de tir
Jean-Marie Merchet : le professeur de judo
Jeanne Moreau: Armande
Philippe Leroy-Beaulieu : Grossman
Patrick Serrière : le chauffeur Bob
Iska Khan et Heike Fisher : un couple au restaurant
Patrick Buiquangda, Eddie Gaydu, José Steinmann et Philippe Hernando : les gardes du corps
Gérard Touratier : le gardien de la porte blindée
Jean Bedin : l'armurier
Edith Perret : la dame de l'agence
Jean-Hugues Anglade : Marco
Jean-Pierre Pauty : un homme au bar de l'hôtel
Michel Campa : l'homme qui écoute
Murray Grunwall : le responsable de l'hôtel
Pierrick Charpentier, Rafael Sultan et Hubert Gillet : les flics de l'hôtel
Fausto Costantino : un garde du corps
Roberto Talanno : un serveur à l'hôtel à Venise
Pétronille Moss : la serveuse du salon de thé
Éric Prat : un agent immobilier
Mia Frye : la femme pressée
Olivier Hémon : un homme en retard
Philippe du Janerand : l'ambassadeur / Jules
Christian Gazio : le garde de l'ambassadeur
Jérôme Chalou : le chauffeur de l'ambassadeur
Jean Reno : Victor, le nettoyeur
Jean-Claude Bolle-Reddat, Patrick Chauveau et Maurice Antoni : des gardiens de l'ambassade
Jean Bouise : attaché à l'ambassade
Mathieu Archer et Alexis Dupuy : les policiers Bob
Michèle Amiel : la femme policière
Guy Van Riet : le policier paternel
2011 - Emma, chanson en duo, sur l'album L'An demain des Têtes raides

 
 

Bien qu'il soit devenu le cinéaste le plus demandé après avoir réuni plus de 9 millions de spectateurs avec Le Grand Bleu, Luc Besson ne se sent pas pour autant détendu. En effet il tient à prouver qu'il n'est pas le réalisateur d'un seul film à succès. Une idée lui trottait dans la tête alors qu'il travaillait sur une énième version du script du Grand Bleu.

Luc Besson raconte qu'il a eu l'idée de créer un personnage féminin appelé Nikita, d'après la chanson du même nom d'Elton John qu'il écoute à bord d'un avion pour Los Angeles. Il imagine l'histoire d'une femme qui se bat pour sa propre survie. Il remise ses notes pour quelques semaines, le temps de terminer le tournage de son épopée marine. L'écriture de la première ébauche se fait en un mois et demi. Ne l'ayant pratiquement pas remanié, Luc Besson signe là son premier scénario entièrement seul.

En revanche, le producteur Patrice Ledoux se montre très réticent sur le scénario, ne comprenant pas où son collaborateur veut en venir en racontant cette histoire. Mais il décide de faire confiance à son poulain et ne cillera pas davantage sur le choix de l'actrice principale.

 
 

Luc Besson propose le rôle de Nikita directement à sa compagne de l'époque, Anne Parillaud. Sentant en elle des capacités à jouer certaines choses, le cinéaste saisit l'occasion pour réparer une injustice et laver la mauvaise image imposée à la jeune actrice après des années d'échecs cinématographiques, notamment les films aux côtés de son ex-compagnon Alain Delon. Pourtant, après avoir lu les premières pages du script, Anne Parillaud ne se montre pas intéressée par le rôle. Elle demande alors à Luc Besson d'auditionner une autre candidate pour le cas où elle ne parviendrait pas à bien jouer les premières scènes.

Le réalisateur fait appel à Tcheky Karyo pour interpréter Bob. Il le supplie d'accepter le rôle sans pour autant lui faire lire le script. Il lui précise qu'il fait partie d'un trio de personnages dont il rêve. Karyo s'engage les yeux fermés.

Dans la foulée, Besson choisit Jean-Hugues Anglade pour celui de Marco, l'amoureux de Nikita.

 
 

Au départ, Luc Besson caresse l'idée de tourner aux États-Unis où il a noué plusieurs contacts. Il appelle alors Tcheky Karyo pour lui affirmer qu'il serait obligé de réviser son casting, pensant choisir notamment Christopher Walken ou encore Mickey Rourke pour le rôle de Bob. Finalement, Luc Besson décide de tourner le film en France et organise un dîner avec Anne Parillaud et Tcheky Karyo afin de créer l'intimité qu'ils ressentent dans le film.

De son côté, Anne Parillaud commence une longue période d'entraînement militaire. Elle reprend des cours de théâtre, de maniement d'armes à feu, d'arts martiaux et de savoir-vivre. Luc Besson l'envoie chez un orthophoniste deux fois par semaine pour qu'elle apprenne à bien articuler, à bien s'exprimer, afin de faire disparaître son accent trop « Titi parisien ». Elle doit particulièrement manier un Desert Eagle, une arme incroyablement lourde. Ce pistolet semi-automatique pique du nez lorsqu'elle le tient à bout de bras. Elle s'entraîne donc pendant dix minutes à le garder à la main tout en bougeant le poignet pour le fortifier. Gardant son arme en permanence dans son sac-à-main, elle se fait appréhender par des policiers un jour où elle s'exerce dans sa voiture. L'actrice leur répond « Relax ! Ce sont des faux, c'est juste pour m'entraîner. ». La préparation physique prend des proportions inattendues. Le réalisateur modèle sa comédienne et tente même de lui faire perdre ses repères pour qu'elle devienne vraiment Nikita. De ce fait, Anne Parillaud passe un mois et demi à mener une vie isolée dans une usine désaffectée, ne devant ni se laver ni écouter de la musique. Elle reçoit cinq francs par jour de la production pour vivre et peut se permettre quelques sorties mais en gardant la perruque et le costume de son personnage. Il lui arrive de temps en temps de dormir dans le métro quand il fait trop froid dans l'usine.

Luc Besson quant à lui découvre à Pantin une usine désaffectée de la Seita. Un ensemble d'immeubles des années 40-50 de 20 000 m² qui sont transformés en studio, puis bureaux pour la production. La chambre de Nikita, la prison, les cuisines du restaurant Le Train bleu, la pharmacie sont tous reconstitués sur place. Tout à fait par hasard, un groupe de policiers vient s'y exercer au tir et à la simulation de prise d'otage deux fois par semaine. Ils acceptent qu'Anne Parillaud prenne part à leurs exercices pour renforcer davantage sa préparation à la dure.

Le tournage de Nikita se déroule à Paris et à Venise du 13 février au 10 juillet 1989. Le tournage au Train bleu, situé au 1er étage de la gare de Lyon à Paris, s'est déroulé sur trois nuits après la fermeture de l'établissement avec une partie du personnel (chefs de rang et maîtres d'hôtel) accompagnés de figurants dans les rôles de la clientèle. Un fait assez rare : les scènes sont tournées dans l'ordre chronologique, Besson ayant peur que son actrice perde en route l'évolution de Nikita qui commence punk à vingt ans et finit en couple à trente. Tandis que l'équipe s'habitue à l'aspect « Tirer dans tous les coins », l'ambiance change radicalement à l'arrivée de Jeanne Moreau. Dès lors les techniciens s'habillent mieux et améliorent leur langage face au caractère imposant de l'actrice.

Durant le tournage, le couple Besson-Parillaud se met d'accord pour ne pas habiter ensemble afin d'éviter que leur vie personnelle ne casse le personnage de Nikita.

 

Musique

 
 
Liste des titres

Rico's Gang Suicide

Playing on Saucepans

As cold as Ice

The Sentence

Paradise?

Failed Escape

Learning Time

A Smile

Fancy Face

First Night Out

Tipokmop

The Last Time I Kiss You

The Free Side

I Am on Duty !

Josephine And the Big Dealer

Mission in Venice

Fall

Let's Welcome Victor

Last Mission

We Will Miss You

The Dark Side of Time

 
À l'origine, le film devait se terminer de manière très sombre : après l'échec d'une mission, Nikita était trahie par les services secrets et Marco se faisait tuer. Par la suite, elle partait en mission commando pour se venger. Après qu'elle avait tué tous les occupants des locaux de la rue Ortez, Bob la laissait finalement vivre et Nikita s'en allait en plein jour dans les rues de Paris, déguisée en punk. Mais se rendant compte des liens que développe le trio de personnages au fil de l'histoire, Luc Besson décide d'interrompre la production à quinze jours du tournage de ce final. Il part dans le Midi et réécrit une fin moins dramatique dans laquelle Nikita disparaît après l'échec de la mission, puis Bob rend visite à Marco pour lui révéler la double vie de sa petite amie. Besson a écrit une troisième version destinée à un remake américain, qui n'a jamais été utilisée.
 
 

En France, les critiques sont partagées. Sur le site Allociné, qui recense 5 titres de presse, Nikita obtient une moyenne de 2,8/5. Du côté des avis positifs, Maurice Fabre écrit dans France-Soir « Luc Besson sait imprimer au récit un rythme ardent et spectaculaire où des scènes d'intimisme amoureux apportent le repos de la guerrière ». Gérard Lefort de Libération trouve au film quelques faiblesses mais l'apprécie quand même globalement : « On aurait beau tempêter sur ses naïvetés désarmantes (…), pester sur ses invraisemblances (…) s'interroger enfin sur sa violence (…) le noyau dur de ce film atomique resterait cependant intact ».

Du côté des avis négatifs, Iannis Katsahnias des Cahiers du cinéma regrette que « L'inspiration surprise du film n'était qu'un pétard mouillé ». Dans Le Monde, Michel Braudeau écrit « Nikita est un film assez violent, facilement répugnant, avec de gros rires gras après beaucoup de chair éclatée ». Dans Positif, on peut lire « Hésitant entre le réalisme et la stylisation, (…) Luc Besson ne réussit qu'à distiller sur l'écran panoramique (…) l'ennui dans les grandes largeurs »

Aux États-Unis, les avis sont également partagés. Sur le site Metacritic, qui recense 16 critiques, le film obtient une note de 56/100. Cependant, sur Rotten Tomatoes, le film totalise 88% d'avis favorables pour 42 avis comptabilisés. Plusieurs critiques célèbres, comme Gene Siskel et Roger Ebert, ont apprécié le film

 
 

Récompenses

MystFest 1990 : meilleur acteur pour Tchéky Karyo (également pour son rôle dans Corps perdus)

César 1991 : meilleure actrice pour Anne Parillaud

Prix David di Donatello 1991 : meilleure actrice étrangère pour Anne Parillaud

Rubans d'argent 1991 : meilleur réalisateur étranger pour Luc Besson

Nominations

MystFest 1990 : meilleur film

César 1991 : meilleur film, meilleure photographie pour Thierry Arbogast, meilleur réalisateur pour Luc Besson, meilleur montage pour Olivier Mauffroy, meilleure musique pour Éric Serra, meilleurs décors pour Dan Weil, meilleur son pour Michel Barlier, Pierre Befve et Gérard Lamps, meilleur espoir masculin pour Marc Duret.

Awards of the Japanese Academy 1992 : meilleur film en langue étrangère

Golden Globes 1992 : meilleur film en langue étrangère

 
 
 
 
 
 
 
 

Nicoletta : Mamy Blue

Publié à 20:28 par dessinsagogo55 Tags : roman blog center chat chiens search google sourire centerblog sur france maison
Nicoletta : Mamy Blue

 

Mamy Blue est une chanson composée et écrite par Hubert Giraud en 1970, alors qu'il était en voiture coincé dans un embouteillage à Paris. La toute première version a été adaptée et enregistrée en italien par Ivana Spagna début 1971.

 

Puis, le chanteur Phil Trim, du groupe espagnol Pop-Tops (en), l'adapte en anglais. Les Pop-Tops vont à Londres pour enregistrer la chanson et la sortent en juin 1971. Celle-ci devient un succès international.

 

Hubert Giraud et le label Barclay se dépêchent alors de faire enregistrer pendant l'été la version anglaise de Phil Trim par le Français Joël Daydé (enregistrement à l'Olympic Studio près de Londres) et surtout, une version française par Nicoletta qui deviendra la plus connue en France

 

Versions

La chanson a connu de nombreuses adaptations (sauf mention contraire, les versions mentionnées ci-dessus conservent le titre original). Elle fut notamment enregistrée par:

Horace Andy

Dalida (en italien)

Joël Daydé (en anglais)

Jacques Desrosiers (Patof) (sous le titre Patof Blou, avec des paroles différentes en français)

Céline Dion (en français)

Julio Iglesias

Vicky Leandros

Joe Cocker

José Mercé (en espagnol)

Nicoletta (en français)

Pop-Tops (en) (en espagnol, anglais et italien)

Demis Roussos

Ricky Shayne (en allemand et anglais)

Stories

Roger Whittaker (en anglais et en français)

Laima Vaikule

Golden Gate Quartet

Ken Boothe

Joey Starr avec Nicoletta (sous le titre Mamy..., avec des paroles différentes en français)

James Last

Les Poppys

Ivana Spagna (en italien)

The Cimmarons

The Circles

Joe Cocker

 

 

 

 

 

 

 

Mamy Blue
Nicoletta
 
 
Oh mamy, oh mamy, mamy blue
Oh mamy blue
Oh mamy, mamy
Oh mamy, oh mamy, mamy blue
Oh mamy blue
Oh mamy, oh mamy, mamy blue
Oh mamy, oh mamy, mamy blue
Oh mamy blue
Où es-tu, où es-tu mamy blue?
Oh mamy, oh mamy, mamy blue
Oh mamy blue
Je suis partie un soir d'été (oh mamy)
Sans dire un mot, sans t'embrasser (oh mamy)
Sans un regard sur le passé, le passé (oh mamy blue)
Dès que j'ai franchi la frontière (oh mamy)
Le vent soufflait plus fort qu'hier (oh mamy)
Quand j'étais près de toi ma mère, ma mère (oh mamy blue)
Oh mamy, oh mamy, mamy blue
Oh mamy blue
Oh mamy, mamy blue
Oh mamy, oh mamy, mamy blue
Oh mamy blue
Et aujourd'hui je te reviens (oh mamy)
Et, j'ai refait tout le chemin (oh mamy)
Qui m'avait entraînée si loin, aussi loin (oh mamy blue)
Tu n'es plus là pour me sourire (oh mamy)
Me réchauffer, me recueillir (oh mamy)
Et je n'ai plus qu'à repartir (oh mamy blue)
Oh mamy, oh mamy, mamy blue
Oh mamy blue
Oh mamy, mamy blue
Oh mamy, oh mamy, mamy blue
Oh mamy blue
La maison a fermé ses yeux (oh mamy)
Le chat et les chiens sont très vieux (oh mamy)
Et ils viennent me dire adieu, adieu (oh mamy blue)
Je ne reviendrai plus jamais (oh mamy)
Dans ce village que j'aimais (oh mamy)
Où tu reposes à tout jamais, désormais (oh mamy blue)
Oh mamy, oh mamy, mamy blue
Oh mamy blue (oh mamy, mamy)
Oh mamy, (oh mamy) oh mamy, mamy blue
Oh mamy blue (oh mamy, mamy)
Oh mamy, oh mamy, mamy blue
Oh mamy blue, où es-tu, où es-tu mamy blue?
Oh mamy, oh mamy, mamy blue
Oh mamy blue
Oh mamy, mamy, mamy
Oh mamy, oh mamy, mamy blue
Oh mamy blue
Oh mamy, mamy blue, yeah
Oh mamy, oh mamy, mamy blue
Oh mamy blue (oh mamy, mamy, mamy)
 
Source : LyricFind
Paroliers : Hubert Giraud
Paroles de Mamy Blue © Budde Music France
 
 
 
 
 
 
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Mouss Diouf

Publié à 20:23 par dessinsagogo55 Tags : nuit vie mort

Le comédien et humoriste Mouss Diouf est mort dans la nuit de vendredi à samedi 7 juillet "des suites d'une longue maladie", a annoncé son avocate, à la demande de sa veuve Sandrine Diouf.
Mouss Diouf
Mouss Diouf, 47 ans, avait été victime de deux accidents vasculaires cérébraux (AVC) en 2009 qui l'avaient plongé plusieurs mois dans le coma. Admis dans un centre de réadaptation, il avait retrouvé son domicile à l'été 2011. Pour autant, sa santé ne s'améliorait pas, confiait son épouse en mars 2012 à TV Magazine : "J'ai mis en place une véritable organisation puisque Mouss bénéficie de trois auxiliaires de vie, de trois passages d'infirmiers, d'une kinésithérapeute, d'une diététicienne et d'une orthophoniste. Il est alité en permanence, mais nous arrivons à échanger des sourires et partager des moments de joie."

Rendu célèbre par la série télévisée Julie Lescaut, dans laquelle il a joué le rôle de l'inspecteur N'Guma entre 1992 et 2006, Mouss Diouf avait également obtenu des seconds rôles au cinéma, dans des films tels que Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, d'Alain Chabat, ou Le Raid de Djamel Bensalah en 2002. Il avait également participé, en 2004, à l'émission de télé-réalité La Ferme des célébrités.

Mouette

Publié à 20:22 par dessinsagogo55

Mouette

Publié à 20:21 par dessinsagogo55 Tags : photo

Mouettes

Les mouettes naissent des mouchoirs que l'on agite au départ du bateau . . . 

" Ramon Gomez de la Serna "
Mouettes

Mouette

Publié à 20:20 par dessinsagogo55 Tags : photo 2010 divers hiver oiseaux

Mouette est un nom vernaculaire ambigu en français. On nomme mouettes les oiseaux de plusieurs genres de la sous-famille des Larinae et de la tribu des Larini, qui comprend aussi les goélands : il est d'usage dans la langue française de nommer « mouettes » les petits représentants de la tribu des Larini, le terme « goéland » étant réservé aux espèces de plus grande taille du genre Larus.
Sauf exception, il s'agit plutôt d'oiseaux côtiers blanc et gris au cri aigu caractéristique.


Mouette
Mouette rieuse en plumage d'hiver


Le terme « mouette » est issu du normand, mot d'origine norroise mavr ou vieil anglais maew qui a donné deux mots distincts en normand : la mauve (moderne mauve ; les laridés) et la mauwette, passé en français « mouette ». Au xiie siècle /w/ a muté en /v/, d'où nouvel emprunt du français au normand sous la forme « mauviette »

Mouette
Réalisé par Eric Picard

Liste alphabétique des noms normalisés du CINFO (màj 2009) et Avibase, en regard du nom scientifique valide reconnu par la classification de référence (version 2.7, 2010) du Congrès ornithologique international.
Mouette des Andes – Chroicocephalus serranus
Mouette argentée – Chroicocephalus novaehollandiae
Mouette atricille – Leucophaeus atricilla
Mouette blanche – Pagophila eburnea
Mouette de Bonaparte – Chroicocephalus philadelphia
Mouette des brumes – Rissa brevirostris
Mouette de Buller – Chroicocephalus bulleri
Mouette de Franklin – Leucophaeus pipixcan
Mouette de Hartlaub – Chroicocephalus hartlaubii
Mouette mélanocéphale – Ichthyaetus melanocephalus
Mouette obscure – Leucophaeus fuliginosus
Mouette de Patagonie – Chroicocephalus maculipennis
Mouette pygmée – Hydrocoloeus minutus
Mouette à queue fourchue – Creagrus furcatus
Mouette relique – Ichthyaetus relictus
Mouette rieuse – Chroicocephalus ridibundus
Mouette rosée – Rhodostethia rosea
Mouette de Sabine – Xema sabini
Mouette de Saunders – Chroicocephalus saundersi
Mouette scopuline – Chroicocephalus scopulinus
Mouette à tête grise – Chroicocephalus cirrocephalus
Mouette du Tibet – Chroicocephalus brunnicephalus
Mouette tridactyle – Rissa tridactyla

Noms divers
Liste alphabétique des noms vernaculaires et autres noms dont l'usage est attesté.
Mouette australienne - voir Mouette argentée
Mouette ivoire - voir Mouette blanche
Mouette du Japon - voir Goéland à queue noire (Larus crassirostris)
Mouette rieuse d'Amérique - voir Mouette atricille
Mouette rieuse d'Europe - voir Mouette rieuse
Mouette de Ross - voir Mouette rosée
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etc.

Montmédy

Montmédy [m??medi] est une commune française située dans le département de la Meuse et la région Lorraine. Montmédy, ancienne capitale du comté de Chiny, fait partie de la Lorraine gaumaise.
Ses habitants sont les Montmédiens.


Montmédy
Vue depuis les remparts de la citadelle


Montmédy est situé sur la N43 à 43 km au sud-est de Sedan et à 25 km au nord-ouest de Longuyon ; Stenay est à 16 km à l'ouest via la D947 et la frontière belge est à 8 km à l'est via la D981. La Chiers traverse le bourg de Montmédy. Avec l'Othain et la Thonne, ses affluents, elle sert parfois de limite au territoire de la commune.

Montmédy
Plan de la citadelle (XVIIe siècle)

Ancienne capitale du comté de Chiny. Le comte de Chiny y élève en 1220 un château fort, le château de Mady, qui donnera son nom à la ville.
En 1285, en contrebas des remparts, dans la plaine de Chauvency-le-Château, Louis de Looz, comte de Chiny, offre des fêtes extraordinaires avec joutes et tournois où participent plus de 500 chevaliers des environs et même de lointaines régions (Grilly au bord du lac Léman, Bergues au bord de la mer du Nord, Trie-Château près de Paris, Sancerre, etc.). Jacques Bretel, dans un reportage, raconte ces journées : Le Tournoi de Chauvency.


Montmédy
Montmédy haut, l'église Saint-Martin (1790)

Après être passée aux ducs de Luxembourg et avoir été ainsi incorporée quelque temps à la monarchie espagnole, elle fut rattachée à la France par le Traité des Pyrénées.
La ville, défendue par Jean V d'Allamont, investie en juin 1657, est prise, en présence du jeune Louis XIV et de Mazarin, en août 1657 par Vauban, qui dirige là son premier siège. En 1791, lors de sa fuite, le roi Louis XVI est attendu à Montmédy. Reconnu, il sera arrêté à Varennes-en-Argonne.
Elle fut chef-lieu d'arrondissement de 1800 à 1926.
Pendant la Première Guerre mondiale Montmédy fut une plaque tournante pour l'approvisionnement du front de Verdun pour l'armée allemande qui se servait dans ce but de la ligne du Meusien reliant Montmédy à Verdun qui venait de s'ouvrir juste avant le début des hostilités.
Montmédy a été le lieu d'implantation de plusieurs ouvrages de la ligne Maginot (177 blockhaus et 36 tourelles, sept casemates, quinze maisons fortes, batteries de 155 L 77 au sud-est de Montmédy, sept PC et quatre observatoires).



Lors de la Seconde Guerre mondiale, pendant la drôle de guerre, le poste de commandement de la 2e division légère de cavalerie du général André Berniquet s'établit à Montmédy

Démographie
Évolution démographique
(Source : Ehess et INSEE)
Montmédy



Montmédy

Depuis quelques années, la population du canton de Montmédy ne cesse d'augmenter. Elle atteint aujourd'hui les 7400 habitants et a retrouvé le niveau qu'elle atteignait il y a plus de 40 ans.



Grâce à ses commerces et ses administrations, Montmédy reste un centre de services pour le nord meusien. L'essentiel des emplois relève de l'administration publique, mais les secteurs du commerce et du transport tiennent une place importante dans la vie économique locale.
L'enseignement est assuré localement de la maternelle au baccalauréat, voire au delà. Les Montmédiens dispose ainsi d'écoles maternelle et primaire, d'un collège (Jean d'Allamont) et, à Stenay, d'un lycée polyvalent et professionnel (Alfred Kastler). Celui-ci offre par ailleurs un brevet de technicien supérieur d'assistant de gestion.
Les médecins, y compris spécialistes, sont présents sur place, ainsi que 2 pharmacies, un opticien, un audioprothésiste et plusieurs autres professionnels de santé. La ville dispose d'un cinéma, d'un Centre Social et Culturel et de nombreuses associations sportives ou culturelles.
L'offre commerciale, alimentaire et non alimentaire, est présente en centre-ville, mais aussi par le biais de plusieurs supermarchés (Super U) ou hard-discounteurs (Lidl, Aldi) implantés en périphérie. Plusieurs banques et assureurs sont présents, ainsi que quelques hôtels et restaurants.
Le centre de détention est un acteur majeur de la vie économique locale depuis 1990. 310 détenus, souvent condamnés à de longues peines, y sont encadrés par 120 membres du personnel.

Transports
Chemin de fer
Montmédy est situé sur la ligne Lille - Thionville.
La ville est ainsi reliée directement à Carignan, Sedan et Charleville-Mézières à l'ouest et Longwy et Metz à l'est.
De 1914 à 1936 Montmédy était relié par une ligne de chemin fer secondaire à Verdun qui faisait partie du réseaux des Chemins de fer départementaux de la Meuse.

Lignes d'autobus
Services assurés par Les Rapides de la Meuse (entreprise du Groupe Veolia Environnement, branche Transport) pour le Réseau Intermodal des Transports de la Meuse (RITM) du Conseil Général de la Meuse :
Transport à la demande : Montmédy - Damvillers (trois fois par jour)
Service régulier :
Montmédy - Stenay - Dun-sur-Meuse - Vacherauville - Verdun
Damvillers - Verdun
Montmédy - Virton (Belgique)

Lieux et monuments

Citadelle (XVIe, XVIIe et XIXe siècles) ;
Fortification de Vauban ;
Musée Jules Bastien-Lepage consacré au peintre Jules Bastien-Lepage
Musée de la Fortification
Château de Fresnois à Fresnois


Montmédy
Citadelle de Montmédy



Montmédy
La citadelle de nuit



Édifices religieux

Église Saint-Martin à Montmédy-Haut.
Église de la Nativité à Iré-les-Prés.
Église Saint-Bernard à Montmédy-Bas .
Église Saint-Martin à Fresnois.
Chapelle de la Croix.
Chapelle de Malandry à Montmédy-Haut
Chapelle Saint-Nicolas à Fresnois.


Arbres remarqués

Quelques-uns des arbres les plus intéressants de Montmédy, tous visibles de la route (mesures prises à épaule d'homme soit à 1,50 mètre, en janvier 2010) :
le chêne de l'Attaque, spectaculaire tronc creux toujours vivant, ayant survécu à plusieurs incendies malveillants et autres actes de vandalisme, d'une circonférence de 5,90 mètres, au bord du ruisseau du Chabot, un peu en amont d'Iré-les-Prés.
trois séquoias remarquables par leur circonférence :
4,90 mètres, arbre situé sous les remparts sud de la citadelle, dans un joli jardin près d'une folie tout en bois de la Belle Époque ;
5,20 mètres, dans un parc privé, Place Tronville ;
9,00 mètres(?), à Iré-les-Prés, dans un jardin privé : cet arbre avait été fracassé au tiers de sa hauteur lors de la tempête de Noël 1999.
un calocèdre, d'une circonférence de 3,65 mètres, situé dans un jardin privé, à Iré-les-Prés, à quelques pas du séquoia foudroyé. C'est le seul arbre de cette taille et de cette beauté dans le Nord-Meusien. Un spécimen comparable est visible dans les ruines de l'Abbaye d'Orval.
un tulipier de Virginie d'une circonférence de (?) mètres, à l'entrée de l'avenue du Lieutenant Bourguignon.
un platane, d'une circonférence de (?) mètres, dans le parc du château de Fresnois.
un très rare frêne pleureur, en compagnie de plusieurs anciens catalpas et de pins dans le Jardin Poulain, route de Villécloye.



Personnalités liées à la commune

Nicolas-Charles Bochsa, un des plus célèbres harpistes du XIXe siècle, né à Montmédy en août 1789 et mort à Sydney en 1856.
Georges Villa, graveur, lithographe, illustrateur, né à Montmédy le 24 janvier 1883, mort en 1965.
Stéphane Errard (°1907 - +1983), spéléologue français, né à Montmédy le 31 octobre 1907, mort à Saint-Benoît-la-Chipotte dans les (Vosges) le 26 décembre 1983.
Marie-Paulette Lagosse, artiste peintre et illustratrice, née à Montmédy le 14 juillet 1921. Elle meurt à Paris en 1996.
Jean Lanher, professeur émérite de l'Université de Nancy II, spécialiste de dialectologie lorraine, né à Montmédy en 1924.
Henri Auger, missionnaire au Japon.

Bande dessinée

La citadelle de Montmédy constitue le cadre de « Les enfants de la citadelle », un album de la série « Tendre Violette » dessinée par Jean-Claude Servais

Montmédy

Publié à 20:18 par dessinsagogo55 Tags : société base center

Montmédy

Les tentes de la Fédération Républicaine

Fédération républicaine,

formation politique créée en 1903, dont l'activité a cessé définitivement après 1948.
Elle regroupe, à l'origine, les républicains « progressistes » qui ont refusé d'entrer dans le Bloc des gauches. Formée de vieux parlementaires libéraux (Jules Méline) et de représentants des milieux d'affaires, elle incarne avant 1914 une droite républicaine, modérée en matière religieuse, favorable au libéralisme économique, prompte à la surenchère patriotique. Réorganisé dans l'après-guerre, passé en 1925 sous la présidence de Louis Marin, le parti adopte une orientation nettement conservatrice du fait de l'arrivée de catholiques ralliés, soucieux de renforcer les cellules de base de la société, la famille et le métier. Marin tente par ailleurs de faire du nationalisme intransigeant le ciment de sa formation, en s'opposant à la politique d'apaisement défendue par Briand pendant les années vingt ; cela contribue à le marginaliser dans les majorités d'Union nationale (1926-1928) et à dominante modérée (1928-1932), avant de provoquer des divergences qui aboutissent à l'éclatement de son groupe parlementaire. Pendant la crise des années trente, la Fédération, menacée par la concurrence des Ligues et, surtout, après 1936, par l'apparition de partis incarnant une droite autoritaire et conservatrice, tel le Parti social français, durcit son discours politique et social. Mais la politique extérieure la divise à nouveau : hésitant entre sa germanophobie traditionnelle et son anticommunisme virulent, elle ne parvient pas à définir une ligne claire. Pendant la guerre, certains de ses dirigeants se rallient au régime de Vichy, d'autres inclinent vers la Résistance, ce qui achève de la disloquer.

Monique Canto-Sperber

Publié à 19:57 par dessinsagogo55 Tags : femme center femmes



« L'espoir est que les hommes puissent comprendre ce qu'est être une femme, 
que les femmes puissent comprendre que les hommes 
ne sont ni à combattre 
ni à soumettre. 
Que les hommes et les femmes puissent rester des amants. »



Monique Canto-Sperber