Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
10.01.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
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COUPE DU MONDE 2023 I DIFFICILE VICTOIRE DES BLEUS CONTRE L'URUGUAY (27-12)
MIS À JOUR 15/09/2023 À 02:01 GMT+2
Surprise par des Uruguayens volontaires, l'Equipe de France a mis du temps à se libérer pour imposer son jeu et remporter son deuxième match de Coupe du monde (27-12), jeudi à Lille. Bousculés, challengés au score, les Bleus remaniés par Galthié ont encaissé deux essais (Freitas 6e, Amaya 55e), et ont réagi grâce à Hastoy (12e), Mauvaka (58e) et Bielle-Biarrey (72e).
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Antoine-Jean Gros, Portrait de François Gérard, âgé de 20 ans (1790), New York, Metropolitan Museum of Art.
François Gérard, né à Rome le 4 mai 1770 et mort à Paris le 11 janvier 1837, est un peintre d’histoire, portraitiste et illustrateur néo-classique français.
Élève de Jacques-Louis David, il fut l'un des principaux peintres du premier Empire et de la Restauration. Peintre de cour sous Napoléon Ier, puis Premier peintre des rois Louis XVIII et Charles X, Gérard bénéficia d'une grande renommée, non seulement française, mais aussi européenne. Surnommé « le peintre des rois, le roi des peintres », il fut en effet le portraitiste de toutes les familles souveraines européennes. Son salon, un des plus réputés de son temps, accueillit les plus grandes personnalités.
François Gérard naît à Rome, en 1770 . Fils de Jean Simon, baron Gérard, intendant du cardinal François-Joachim de Pierre de Bernis, et de l’Italienne Cléria Mattei, il passe les dix premières années de sa vie dans « la ville éternelle ». Il y montre très vite de réelles dispositions pour le dessin.
En 1782, son père, revenu à Paris avec sa femme et ses trois fils, passe au service de Louis Auguste Le Tonnelier de Breteuil, ministre de la maison du roi, qui fait admettre le jeune François à la Pension du Roi : établissement pour jeunes artistes talentueux. Deux ans plus tard il devient élève d'Augustin Pajou, sculpteur alors très vogue, puis de Nicolas Guy Brenet, artiste peintre. Fasciné par l'art développé par Jacques-Louis David, le jeune François Gérard rejoint son atelier à partir de 1786, où il a pour camarades Anne-Louis Girodet, Antoine-Jean Gros ou encore François-Xavier Fabre. En 1789, il obtient le second prix de Rome, derrière Anne-Louis Girodet, son ami de jeunesse. Il se représente au concours l'année suivante, mais la mort de son père le contraint à abandonner l'épreuve.
Sa mère désirant retourner vivre à Rome, Gérard part avec toute sa famille dont il a désormais la charge, dans le courant de l'été 1790. Le séjour romain n'est pas long, bientôt la famille Gérard est contrainte de retourner à Paris, pour éviter l’inscription sur la liste des émigrés, et ainsi préserver leur modeste patrimoine.
Sur place, les principaux commanditaires des œuvres artistiques sont mis à mal par la révolution ; les peintres se retrouvent bientôt sans commandes. C'est le cas de Gérard. Il perd sa mère en 1793 et doit subvenir aux besoins de ses deux frères et de sa jeune tante, Marguerite Mattei, qu’il a ramenée d’Italie. « Par commodité et afin d'éviter l'éclatement familial, il épouse cette dernière en 1795. »
Grâce à la protection de son maître David, Gérard obtient un logement et un atelier au Louvre, plus la commande d'une série d'illustrations (La Fontaine, Virgile) pour l'éditeur Didot. Pour éviter la conscription militaire, il obtient, toujours par l'intermédiaire de David[réf. souhaitée], un poste de juré au Tribunal révolutionnaire, où il rejoint son collègue le peintre paysagiste Claude-Louis Châtelet Il y siégera peu, prétextant une maladie. Bien que n'ayant que peu participé aux évènements révolutionnaires, ce passé lui sera notamment reproché au moment de la Restauration, et Gérard devra se défendre des attaques de ses détracteurs, en prouvant qu'il ne faisait pas partie des jurés lors du procès de Marie-Antoinette.
Au sortir de la Révolution, le succès vient rapidement. Au Salon de 1795, Gérard expose un Bélisaire, se plaçant ainsi dans la continuité de son maître David. Mais c'est surtout avec son œuvre Psyché et l'Amour, exposée au Salon de 1798 que Gérard atteint un début de célébrité. Dès lors, les nombreux portraits de la bonne société qu'il réalise lui assurent une réputation plus qu'établie. C'est ainsi à partir des environs de 1800 que l'artiste commence à réunir autour de lui un salon littéraire où la bonne société parisienne aime à venir discuter et jouer. Grâce à l'intervention de Chaptal, François Gérard reçoit un logement au Collège des Quatre Nations, futur Institut de France, alors que les artistes sont priés par le premier consul Napoléon Bonaparte de quitter le Louvre pour aménager le musée Napoléon. En 1801, Girodet et Gérard reçoivent la commande de deux tableaux illustrant les légendes du barde Ossian pour le salon des Bonaparte à la Malmaison. Le peintre bénéficie alors de la protection de la famille Bonaparte et devient la même année le « Premier peintre » de Joséphine de Beauharnais, puis se voit décerner la Légion d'honneur en 1803, soit peu après sa création. L'élève de Jacques-Louis David est alors le peintre de la future cour impériale française et l'un des peintres les plus recherchés. Son succès dépasse désormais les frontières et ce sont bientôt les grandes familles régnantes d'Europe qui voudront être immortalisées sous les pinceaux de Gérard
François Gérard se voit attribuer la commande de la représentation de la Bataille d'Austerlitz par l'administration impériale, pour le Salon de 1808. L'œuvre monumentale n'est pas achevée à temps et ne sera exposée que pour le Salon de 1810. L'ouvrage rencontre alors un accueil chaleureux. Par le biais de cette grande peinture d'histoire, Gérard entend bien confronter son talent à celui de son confrère Antoine-Jean Gros, peintre attitré des scènes de batailles napoléoniennes. Longtemps attaché au Louvre, le 5 avril 1811 il est nommé professeur de l'École des beaux-arts de Paris en remplacement de Jean Simon Berthélemy et sera remplacé par Michel Martin Drolling en 1837.
L'année suivante (7 mars 1812) il est élu à l'Institut au fauteuil no 8, succédant ainsi au peintre d'histoire Jean Simon Berthélemy. Il est alors le premier élève de David à y faire son entrée. Girodet et Gros seront quant à eux élus en 1816. En tant que peintre de la cour impériale, Gérard peindra le portrait de l'impératrice Marie-Louise après son mariage avec Napoléon, puis celui de leur unique enfant, le roi de Rome.
Sous la Restauration il est nommé Premier peintre du roi en 1817, fonction qu'il exercera sous les règnes de Louis XVIII, et de Charles X. La reconnaissance royale lui vaudra d'être créé baron en 1819. Professeur à l'École des beaux-arts, Gérard n'a formé que peu d'élèves, en comparaison avec son confrère Antoine-Jean Gros. Pour autant, il soutient la nouvelle génération, et notamment les débuts d'Eugène Delacroix. Son œuvre, son salon, ses relations, en feront l'un des personnages les plus influents des milieux intellectuels et artistiques de l'époque.
Vers 1835, sa santé chancelante se détériore rapidement ; fragilisé, il s’éteint à Paris, d’une maladie qui l’emporte en quelques jours, au début de 1837, à l’âge de 66 ans. Sa sépulture se trouve au cimetière du Montparnasse à Paris
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Nadia est la version courte du slave Nadežda (???????) qui se traduit par espérance (une des trois vertus théologales). La version française est Nadine.
À noter que la signification arabe de Nadia ou Nâdiya est différente : « celle qui appelle » ou « généreuse ».
Variantes linguistiques
allemand : Nadja
arabe : ????? / Nadia
espagnol, italien : Nadia
hongrois : Nádja
polonais : Nadia
russe : ????
ukrainien : ?????
Personnes portant ce prénom
Nadia Com?neci, (née en 1961), une des gymnastes les plus renommées au monde
Nadya Larouche, (née en 1956), écrivaine québécoise
Nadia Farès, (née en 1973), actrice de cinéma française,
Nâdiya (Nadia Zighem), (née en 1973), chanteuse française de R'N'B d'origine algérienne
Pour les articles sur les personnes portant ce prénom, consulter la liste générée automatiquement.
Personnages de fiction et œuvres d'art
Nadja (1928), une des principales œuvres du surréaliste André Breton,
Nadia, le secret de l'eau bleue (Fushigi no umi no Nadia), un anime du studio Gainax,
Nadia, un téléfilm de 1984 sur la vie de Nadia Comaneci
Nadia, un film de 2001 réalisé par Jez Butterworth
Toponymie
Nadia est le nom d'un district du Bengale occidental, en Inde. Le chef-lieu en est la ville de Krishnanagar.
Autre
Nadia International, l'aéroport d'Abou Dabi, aux Émirats arabes unis,
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Monique est unprénom féminin issu du grec ancien " monos " , qui signifie " unique, solitaire ".
Personnes portant ce prénom
Monique Monique-Hélène Ott
Monique (homonymie)
Monique : Toujours Contente
Monique Adolphe
Monique Agénor
Monique Alexander
Monique Amghar
Monique Andreas
Monique Andreas Esoavelomandroso
Monique Andrée Cerf
Monique Andrée Serf
Monique Annaud
Monique Apple
Monique Atlan
Monique Aubry
Monique B. Tardif
Monique Barbut
Monique Begin
Monique Belisle
Monique Berlioux
Monique Bermond
Monique Bosco
Monique Boucher
Monique Boucher-Benanteur
Monique Boucher (Miss France)
Monique Boulestin
Monique Bourgeois
Monique Brunet-Weinmann
Monique Brunet Weinmann
Monique Bégin
Monique Bélisle
Monique Canto
Monique Canto-Sperber
Monique Capron
Monique Cara
Monique Cartigny
Monique Castillo
Monique Cecconi-Botella
Monique Cerisier-Ben Guiga
Monique Cerisier-ben Guiga
Monique Cerisier ben-Guiga
Monique Chabot Monique Chapelle
Monique Chaumette
Monique Chemillier-Gendreau
Monique Chiron
Monique Chouinard Corriveau
Monique Coleman
Monique Corriveau
Monique Cottret
Monique Covet
Monique Crouillere
Monique Crouillère
Monique Darpy
Monique David
Monique De La Bruchollerie
Monique De Wael
Monique Deland
Monique Delaunay
Monique Denise Monique Derrien
Monique Dixsaut
Monique Dorian
Monique Dorsel
Monique Drilhon
Monique Drilhon-Dubreuilh
Monique Dubreuilh
Monique Duval
Monique Esser
Monique Et Gilles
Monique Et Simon
Monique Ewanje-Epee
Monique Ewanje-Epée
Monique Ewanje-Épée
Monique F. Leroux
Monique Frydman
Monique Gabriela Curnen
Monique Gabriela Curren
Monique Gagnon-Tremblay
Monique Gallimard
Monique Giroux
Monique Guay
Monique H. Messier
Monique Haas
Monique Harvey
Monique Hauy
Monique Henderson
Monique Hennagan
Monique Iborra
Monique Imes
Monique Jallet-Huant
Monique Javer
Monique Jean
Monique Jeanblanc
Monique Jerome-Forget
Monique Joly
Monique Juteau
Monique Jérôme-Forget
Monique Jérôme Forget
Monique Kiene
Monique Knol
Monique LaRue
Monique Lachère
Monique Laederach
Monique Landry
Monique Laroche
Monique Larue
Monique Lejeune
Monique Lejeune (actrice)
Monique Lemaire
Monique Lepage
Monique Mercure
Monique Messine
Monique Miller
Monique Moens
Monique Morelli
Monique Mosser
Monique Mujawamariya
Monique Mélinand
Monique Negler
Monique Nevers
Monique Noirot
Monique Ohsan Bellepeau
Monique Olivier
Monique Orphé
Monique Pantel
Monique Papon
Monique Parent
Monique Pariseau
Monique Pavão
Monique Pelletier
Monique Pelletier (bibliothécaire)
Monique Pianea
Monique Pianéa
Monique Pieri
Monique Pincon-Charlot
Monique Pinçon-Charlot
Monique Plantier
Monique Pollier
Monique Proulx
Monique Rabin
Monique Richard
Monique Rioux
Monique Rolland
Monique Rousseau
Monique Roy-Verville
Monique Roy Verville
Monique Saint-Come
Monique Saint-Helier
Monique Saint-Hélier
Monique Schneider
Monique Seka
Monique Sene
Monique Sené
Monique Serf
Monique Simard
Monique Sioui
Monique Sparvieri
Monique Spaziani
Monique Sullivan
Monique Séka
Monique Tarbes
Monique Tarbès
Monique Tardif
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Monique Thomassettie
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Monique Vita
Monique Vuaillat
Monique Vézina
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Monique Zerner
Monique canto-sperber
Monique cerisier-ben guiga
Monique de Bissy
Monique de La Bruchollerie
Monique de bissy
Monique de la Bruchollerie
Monique de la bruchollerie
Monique est demandée caisse 12
Monique et Gilles
Monique et Lucien
Monique et Simon
Monique et gilles
Monique et simon
Monique ewanje-epée
Monique gagnon-tremblay
Monique jérôme-forget
Monique laederach
Monique pinçon-charlot
Monique saint-hélier
Monique van de Ven
Monique van der Vorst
Monique Éwanjé-Épée
Sainte des églises chrétiennes
Sainte Monique, une sainte chrétienne du paléochristianisme.
Cinéma et télévision
Monique : toujours contente, un film français réalisé par Valérie Guignabodet, sorti en 2002.
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Jacques Martin, né le 22 juin 1933 à Lyon (Rhône) et mort le 14 septembre 2007 à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), est un comédien, animateur de radio et de télévision, chanteur, humoriste, imitateur, réalisateur et producteur de télévision français.
Après avoir débuté par le théâtre en 1949, il a produit et animé entre les années 1970 et 1990 de nombreuses émissions de divertissement comme Le Petit Rapporteur, L'École des fans ou Dimanche Martin.
Biographie
Fils de Joannès Martin, industriel, et de Germaine Ducerf, Jacques Martin est élevé chez les jésuites, notamment parce qu'il est souvent renvoyé pour son indiscipline. Son père joue de sept instruments et cette passion pour la musique, ainsi que celle de la cuisine, l'accompagneront toute sa vie. Il s'oriente d'abord vers le théâtre et, à partir de 1949, il suit les cours de Charles Dullin.
Il commence sa carrière à la télévision sous le pseudonyme de Ducerf à Télé-Strasbourg, devenue France 3 Alsace où il anime dans les années 1950 l’émission Pas très show, puis en 1961, Trois petits tours et Deux petites notes à la clé.
À Strasbourg, il fait aussi partie de la troupe du cabaret satirique alsacien de Germain Muller, Le Barabli, entre 1959 et 1962. Par amitié pour Germain Muller, il participera au dernier spectacle du Barabli, lors du réveillon du Nouvel An 1989.
Au début des années 1960, il se lance dans la chanson, comme compositeur et chansonnier dans des émissions comiques avec Jean Yanne, Roger Pierre et Jean-Marc Thibault, notamment pour un disque de parodies des Élucubrations d'Antoine enregistré avec Jean Yanne : Les Émancipations d'Alphonse, Les Revendications d'Albert, Les Pérégrinations d'Anselme, et les Préoccupations d'Antime (1966).
Jacques Martin se produit aussi comme chanteur, assurant notamment la première partie de Jacques Brel à l'Olympia, montant un spectacle associant chansons et parodies à Bobino et participant à l'émission Le Palmarès des chansons. Il compose des chansons, écrit une comédie musicale, Petitpatapon, en 1968, qui se solde par un échec, avant de s'essayer à la réalisation de films avec Na ! en 1973. Il fait aussi l'acteur dans Erotissimo (Gérard Pirès, 1968), Sex-shop (film) (Claude Berri, 1972), Le Rescapé de Tikéroa (Jean L'Hôte, 1983) et La Passante du Sans-Souci (1982). En 1978, il enregistre avec Jane Rhodes et Rémy Corazza une version de l'opérette La Belle Hélène sous la direction d'Alain Lombard dans laquelle il incarne le roi Ménélas, époux d'Hélène.
Repéré par Jacques Chancel en 1964, il rejoint l'ORTF et crée avec Jean Yanne l'émission 1 = 3 qui connaîtra un grand succès populaire. Ils y interprètent notamment des parodies de grands événements historiques. Leur sketch représentant Napoléon et ses maréchaux sous forme de cyclistes du Tour de France lui vaudra d'ailleurs un procès, des menaces de licenciement et surtout la fin prématurée de l'émission. Ils sont renvoyés, Jean Yanne parce qu'il est considéré comme trop littéraire et Martin, pas assez.
En 1968, il présente la cérémonie de remise des prix du festival de Cannes, puis anime avec Danièle Gilbert Midi-Magazine en 1968 et 1969 qui change de titre pour devenir Midi chez vous, de 1969 à 1971. Au cours d'une de ces émissions, il invite le ministre des Finances de l'époque, Valéry Giscard d'Estaing, qui accepte de jouer de l'accordéon. Il anime au cours de l'année 1971, à diverses reprises, Le Show Jacques Martin. Au cours de l’été 1972, il présente une émission de variétés intitulée Gentil coquelicot dans laquelle il rencontre Danièle Évenou, qui présente l'émission avec lui.
De septembre 1973 à février 1974, il coprésente aux côtés d'Évelyne Pagès l'émission de variétés intitulée Taratata (à ne pas confondre avec l'émission Taratata ultérieure présentée et produite par Nagui) réalisée par Bernard Lion — l'émission propose des prestations de chanteurs entrecoupées de sketchs.
En janvier 1975, Jacques Martin lance l'émission satirique Le Petit Rapporteur, une parodie de journal télévisé programmée chaque dimanche sur TF1. Des tensions avec des membres de son équipe et un projet de film avec le producteur Carlo Ponti font qu'il arrête l'émission le 26 juin 1976. En 1977 à la demande de Marcel Jullian, Jacques Martin vient sur Antenne 2 et reprend le principe de son émission avec La Lorgnette (1977-1978). Parallèlement, il anime avec Jean Yanne une émission radiophonique quotidienne sur RTL.
Habitué des émissions de variétés comme Les Grands Enfants ou Top à, de Maritie et Gilbert Carpentier, Jacques Martin est avec Michel Drucker et Guy Lux l'un des animateurs vedettes de la variété à la télévision française (alors constituée des trois chaînes publiques jusqu'en 1984).
En 1977 et 1978 il crée et présente une série d'émissions pour les dimanches d'Antenne 2, sous le titre Bon Dimanche où s'enchaînent divers programme : Ces messieurs nous disent - jeu présenté par Pierre Tchernia, Jacques Rouland et José Artur, L'école des fans coprésentée avec Stéphane Collaro (concept qui sera repris dans Dimanche Martin), Contre Ut, Le Grand Album et Musique and Music, émission de variétés diffusée en soirée à 20 h 30.
L'émission dominicale la plus renommée de Jacques Martin fut L'École des fans, créée le 30 janvier 1977, dans laquelle des enfants viennent interpréter les chansons d'un invité. Les passages obligés de cette émission ont marqué les esprits et les caricaturistes : les enfants notant leur prestation et Jacques Martin interpellant les parents dans la salle où le père de l'enfant est souvent armé d'un caméscope et qui filme le passage sur scène.
Après une pause de deux ans, pendant laquelle il anime quotidiennement une émission sur Europe 1 (La vie en or, émission-jeu pendant la saison 1978-79 puis Showtime, magazine d’actualité culturelle en 1979-80), il revient à la télévision en 1980 avec un programme pour enfants intitulé Dessine-moi un mouton.
Antenne 2 lui propose alors de reprendre l'antenne du dimanche. Son programme Dimanche Martin, enregistré en public chaque samedi au théâtre de l'Empire à Paris, est diffusé chaque dimanche après-midi sur cette même chaîne et reprend le principe de Bon Dimanche en mêlant humour, variétés, spectacles et reportages dans plusieurs émissions qui s'enchaînent : Entrez les artistes, un magazine culturel animé avec Daniel Patte, Incroyable mais vrai !, qui est remplacé en 1983 par un jeu télévisé Si j'ai bonne mémoire, en 1985 un autre jeu Tout le monde le sait lui-même remplacé par Le monde est à vous de 1987 à 1997, et en dernière saison par Sous vos applaudissements (1997). L'École des fans, Les Voyageurs de l'histoire, Thé dansant, et Ainsi font, font, font, qui lance véritablement les carrières de Virginie Lemoine, Laurent Gerra, Laurent Ruquier, Julien Courbet ou Laurent Baffie.
Entre 1994 et 1996, il anime l'émission Escales chaque samedi sur l'antenne de France Culture.
Parallèlement, Jacques Martin participe régulièrement, en compagnie de son vieux complice Jean Yanne, aux Grosses Têtes, l'émission de Philippe Bouvard sur RTL puis à l'émission On va s'gêner de Laurent Ruquier sur Europe 1.
Le 21 mars 1998, il apprend la décision de France 2 d'arrêter à la fin de la saison son programme du dimanche dans l'émission Sous vos applaudissements ; on lui annonce aussi que l'animateur Michel Drucker le remplacera à son programme du dimanche, avec son émission Vivement dimanche et Vivement dimanche prochain. Il est victime dans la nuit d'un accident vasculaire cérébral qui le laisse partiellement paralysé et l'oblige à interrompre ses émissions. Son ami Jean-Claude Brialy le remplace alors au pied levé jusqu'à la fin de la saison, période où les émissions ne seront pas reconduites. À la fin de l'année 1998, il refuse l'aide de l'association La Roue tourne, de Janalla Jarnach, association qui vient en aide aux artistes déchus du monde du spectacle, à la suite, par exemple, d'une maladie.
En mars 1999, il est fait chevalier de la Légion d'honneur par le président de la République Jacques Chirac.
Après avoir participé épisodiquement à des émissions de radio et de télévision (en 2003, il est par exemple invité par Laurent Ruquier sur le plateau du prime d'On a tout essayé pour rendre hommage à Jean Yanne), il se retire dans sa maison de Neuilly-sur-Seine, puis, sa santé se dégradant, dans une résidence médicalisée à Courbevoie.
En novembre 2006, il s'installe à l'hôtel du Palais, à Biarritz, ville où il meurt le 14 septembre 2007 d'un cancer généralisé. Le jour même, la plupart des grandes chaînes de radio et de télévision françaises modifient leur programme pour lui rendre hommage et évoquer sa carrière.
Ses obsèques sont célébrées le 20 septembre 2007 en la primatiale Saint-Jean de Lyon, en présence de ses proches, enfants, épouses successives et de nombreuses personnalités du gouvernement et du monde de la télévision et du spectacle. Nicolas Sarkozy, alors président de la République, est absent des obsèques.
Il est inhumé au nouveau cimetière nouveau de la Guillotière, à Lyon, auprès de ses parents.
Fin cuisinier, Jacques Martin est le petit-fils de Joannès Ducerf, chef de cuisine du tsar Nicolas II de Russie, qui tiendra également le célèbre restaurant de Lyon L'Universel. Jacques Martin s'est marié trois fois. Il est père de huit enfants.
Avec sa première épouse, Annie Lefèvre, il a eu deux enfants : David, né en 1961, cuisinier et présentateur d'émissions télévisées, et Élise, née en 1965.
De 1968 à 1972, il vit en union libre avec la comédienne Marion Game.
Il vit ensuite avec la comédienne Danièle Évenou, avec laquelle il a deux fils : Frédéric (né en 1973), animateur de radio, et Jean-Baptiste (né en 1976), comédien et musicien.
Il épouse, le 10 août 1984, Cécilia Ciganer-Albeniz. Le mariage, à la mairie de Neuilly-sur-Seine, est célébré par le maire de l'époque, Nicolas Sarkozy, qui épousera la mariée quelques années plus tard. Ils ont deux filles : Judith (née en 1984) et Jeanne-Marie (née en 1987).
Le 20 avril 1992, Il épouse Céline Boisson, de trente-sept ans sa cadette, rencontrée sur le plateau du Monde est à vous dont elle est l'une des hôtesses. Elle est la mère de ses deux derniers enfants, Juliette et Clovis, nés en 1994 et 1999.
Aussi bien Pierre Bonte que Danièle Évenou mentionnent son talent et son perfectionnisme, mais aussi son caractère parfois difficile et colérique.
Décès
407 : Jean Chrysostome, saint des Églises catholique, orthodoxe et copte (° v. 344 - 349). |
1174 : Pierre de Tarentaise, moine cistercien français (° 1102). |
1321 : Dante Alighieri, poète florentin (° 29 mai 1265). |
1523 : Adrien VI, 218e pape, en fonction de 1522 à 1523 (° 2 mars 1459). |
1538 : Henri III de Nassau-Breda, militaire des Pays-Bas bourguignons (° 12 janvier 1483). |
1596 : Francisco de Toledo, prélat espagnol (° 4 octobre 1532). |
1709 : Luis Manuel Fernández Portocarrero, prélat espagnol (° 8 janvier 1635). |
1712 : Jean-Dominique Cassini, astronome français (° 8 juin 1625). |
1759 : Louis-Joseph de Montcalm, militaire français (° 28 février 1712). |
1809 : Jean Boudet, général de division français (° 9 février 1769). |
1821 : Stanisław Kostka Potocki, noble, homme politique et écrivain polonais (° novembre 1755). |
1833 : Antoine Merlin de Thionville, homme politique français (° 13 septembre 1762). |
1836 : Marie-Thérèse Charlotte de Lamourous, fondatrice des sœurs de la Miséricorde (° 1er novembre 1754). |
1851 : James Fenimore Cooper, écrivain américain (° 15 septembre 1789). |
1852 : Arthur Wellesley de Wellington, militaire et homme politique britannique, Premier ministre de 1828 à 1830 et en 1834 (° 30 avril 1769). |
1886 : Gurdon Saltonstall Hubbard, homme d'affaires américain (° 22 août 1802). |
1887 : Anna Brassey, écrivaine voyageuse britannique (° 7 octobre 1839). |
1898 : William Seward Burroughs I, inventeur américain (° 28 janvier 1857). |
1901 : William McKinley, juriste et homme politique américain, 25e président des États-Unis, en fonction de 1897 à 1901 (° 29 janvier 1843). |
1905 : |
Odoardo Borrani, peintre italien (° 22 août 1833). |
Pierre Savorgnan de Brazza, explorateur français (° 26 janvier 1852). |
1909 : Charles Follen McKim, architecte américain (° 24 août 1847). |
1915 : Dmitri Arseniev (Дмитрий Сергеевич Арсенье), militaire et écrivain russe (° 14 septembre 1832). |
1927 : |
Hugo Ball, écrivain et poète dada allemand (° 22 février 1886). |
Isadora Duncan, danseuse américaine (° 26 mai 1877). |
1932 : Jean Cras, officier de marine et compositeur breton et français (° 22 mai 1879). |
1934 : Kate Millett, écrivaine féministe, peintre, sculptrice, réalisatrice et photographe américaine († 6 septembre 2017). |
1936 : Irving Thalberg, producteur de cinéma américain (° 30 mai 1899). |
1943 : |
Rune Carlsson, joueur de football suédois (° 1er octobre 1909). |
Lloyd Loar, luthier américain (° 9 janvier 1886). |
1944 : |
Roméo Sabourin, agent secret canadien (° 1er janvier 1923). |
Jean-Édouard Verneau, officier français du génie devenu résistant (° 1890). |
1959 : Wayne Morris, acteur américain (° 17 février 1914). |
1973 : |
Albert Skira, éditeur d'art suisse (° 10 août 1904). |
Vladimír Syrovátka, canotier tchécoslovaque (° 19 juin 1908). |
1978 : Jone Morino, actrice italienne (° 28 avril 1896). |
1980 : Albert Mahuzier, explorateur français (° 14 janvier 1907). |
1981 : Walter « Furry » Lewis, chanteur, instrumentiste et compositeur de blues américain (° 6 mars 1893). |
1982 : |
Kristján Eldjárn, homme politique islandais, président de la République de 1968 à 1980 (° 6 décembre 1916). |
Christian Ferras, violoniste français (° 17 juin 1933). |
Béchir Gemayel (بشير الجميل), homme politique libanais, président du Liban d'août à septembre 1982 (° 10 novembre 1947). |
Grace Kelly, actrice américaine, puis princesse de Monaco (° 12 novembre 1929). |
1983 : Ernst Moritz Hess, juge d'origine juive commandant de compagnie d'Hitler pendant la Première Guerre mondiale (° 20 mars 1890). |
1984 : |
Richard Brautigan, écrivain et poète américain (° 30 janvier 1935). |
Janet Gaynor, actrice américaine (° 6 octobre 1906). |
1989 : Pérez Prado, chef d'orchestre et compositeur cubain (° 11 décembre 1916). |
1992 : Paul Joseph James Martin, homme politique canadien, élu ministre, député et sénateur (° 23 juin 1903). |
1993 : Carlos De Baeck, avocat et homme politique belge (° 28 janvier 1906). |
1996 : |
Rose Ouellette, comédienne canadienne (° 25 août 1903). |
Juliet Prowse, actrice et danseuse sud-africaine (° 25 septembre 1936). |
1998 : Yang Shangkun (杨尚昆), homme politique chinois, président de la république populaire de Chine de 1988 à 1993 (° 5 juillet 1907). |
1999 : Charles Crichton, producteur, réalisateur et scénariste britannique (° 6 août 1910). |
2002 : |
Henri Fenet, milicien et SS français (° 11 juillet 1919). |
Lolita Torres, actrice et chanteuse argentine (° 26 mars 1930). |
2003 : John Serry, accordéoniste de concert et compositeur italo-américain (⁰ 29 janvier 1915). |
2004 : Mamoru Takuma, tueur de masse japonais, il est éxécuté par pendaison (° 23 novembre 1963). |
2005 : |
Vladimir Volkoff, écrivain français (° 7 novembre 1932). |
Robert Wise, cinéaste américain (° 10 septembre 1914). |
2006 : Mickey Hargitay, acteur américain (° 6 janvier 1926). |
2007 : |
Jacques Martin, homme de télévision et de radio français (° 22 juin 1933). |
Robert Savoie, artiste lyrique canadien (° 21 avril 1927). |
Supernana (Catherine Pelletier dite), animatrice de radio et de télévision française (° 6 février 1954). |
Benny Vansteelant, athlète belge (° 19 novembre 1976). |
2009 : |
Henry Gibson, acteur américain (° 21 septembre 1935). |
Darren Sutherland, boxeur irlandais (° 18 avril 1982). |
Patrick Swayze, acteur américain (° 18 août 1952). |
2010 : Mohammed Arkoun, intellectuel, historien et philosophe algérien (° 1er février 1928). |
2011 : |
Gilles Chaillet, scénariste et dessinateur de bande dessinée français (° 3 juin 1946). |
Rudolf Mössbauer, physicien allemand (° 31 janvier 1929). |
2012 : |
Jacques Antoine, homme de télévision et de radio français (° 14 mars 1924). |
Pierre Courtin, peintre et graveur français (° 20 janvier 1921). |
Frank Dudley, footballeur anglais (° 9 mai 1925). |
Stephen Dunham, acteur américain (° 14 septembre 1964). |
Jean Garretto, homme de radio français (° 20 février 1932). |
Jean-Louis Heinrich, footballeur français (° 22 mai 1943). |
Ernest Kallet Bialy, footballeur ivoirien (° 1943 ou 1944). |
Winston Rekert, acteur canadien (° 10 juillet 1949). |
2013 : |
Simone Barillier, actrice et mannequin française (° 1er avril 1917). |
Gérard Jodar, syndicaliste néocalédonien (° 1952). |
Faith Leech, nageuse australienne (° 31 mars 1941). |
2014 : |
Bruno Castanheira, cycliste sur route portugais (° 4 février 1977). |
Jacques Delarue, résistant et policier français (° 18 septembre 1919). |
André Heinrich, réalisateur français (° 5 août 1923). |
Miroslav Hlinka, hockeyeur sur glace slovaque (° 31 août 1972). |
Angus Lennie, acteur écossais (° 18 avril 1930). |
Constantin Melnik, agent des services de renseignements français (° 24 octobre 1927). |
2015 : |
Iouri Afanassiev, historien et homme politique soviétique puis russe (° 5 septembre 1934). |
Fred DeLuca, restaurateur américain (° 3 octobre 1947). |
György Mészáros, kayakiste hongrois (° 30 avril 1933). |
Corneliu Vadim Tudor, journaliste et homme politique roumain (° 28 novembre 1949). |
2016 : |
Valeriy Abramov, athlète de fond soviétique puis russe (° 22 août 1956). |
Pierre-Pascal Rossi, journaliste et écrivain suisse (° 1943). |
2017 : |
George Englund, monteur, réalisateur, producteur et acteur américain (° 22 juin 1926). |
Grant Hart, musicien et chanteur américain (° 18 mars 1961). |
Marcel Herriot, évêque français (° 18 mai 1934). |
Djibo Leyti Kâ, homme politique sénégalais (° 21 février 1948). |
Ata Kandó, photographe néerlandaise (° 17 septembre 1913). |
Lungtok Tenpai Nyima, chef religieux tibétain (° 1er juin 1927). |
Peter Tschernig, chanteur allemand (° 12 avril 1945). |
Otto Wanz, catcheur (lutteur professionnel) et promoteur de catch autrichien (° 13 juillet 1943). |
2018 : |
Jean Barzin, homme politique belge wallon (° 12 février 1947). |
Max Bennett, contrebassiste et bassiste américain de jazz (° 24 mai 1928). |
Anneke Grönloh, chanteuse néerlandaise (° 7 juin 1942). |
Branko Grünbaum, mathématicien israélien (° 12 octobre 1929). |
Zienia Merton, actrice britannique (° 11 décembre 1945). |
Carlos Rubira Infante, chanteur et compositeur de musique équatorien (° 16 septembre 1921). |
2019 : |
Else Ackermann, pharmacologue et femme politique allemande (° 6 novembre 1933). |
Jean Heywood, actrice britannique (° 15 juillet 1921). |
Sam Szafran, artiste peintre français (° 19 novembre 1934). |
Roberto Villetti, homme politique Italien (° 24 août 1944). |
2020 : |
Robert Chabbal, physicien français (° 6 février 1927). |
François Debré, journaliste et écrivain français, lauréat du prix Albert-Londres en 1977 (° 3 avril 1942). |
William Henry Gates II, avocat et juriste américain (° 30 novembre 1925). |
Daniel Soulage, homme politique français (° 14 février 1942). |
2021 : |
David Yonggi Cho, pasteur pentecôtiste sud-coréen (° 14 février 1936). |
Franck Hammoutène, architecte français (° 28 mai 1954). |
Hubert de Lapparent, acteur français devenu centenaire et le doyen des acteurs français (° 19 avril 1919). |
Norm Macdonald, acteur et humoriste canadien (° 17 octobre 1959). |
Ida Nudel, activiste soviétique puis israélienne (° 27 avril 1931). |
Antonio Martínez Sarrión, poète, essayiste et un traducteur espagnol (° 1er février 1939). |
Youri Sedykh, lanceur de marteau soviétique puis ukrainien (° 11 juin 1955). |
2022 : |
Naresh Kumar, Michel Verschueren. |
Irène Papas, actrice et chanteuse grecque (° vers le 3 septembre 1926 voire 1929). |
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