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Crue de la Seine de 1910

Crue de la Seine de 1910

 

 

 

La crue de la Seine de 1910, souvent qualifiée de crue centennale, est le plus important débordement connu de la Seine après celui de 1658. Il a touché la plus grande partie de sa vallée et, bien qu'il n'ait pas été très meurtrier, a causé d'importants dommages à l'économie régionale, en particulier à Paris. La Seine a atteint son niveau maximal, 8,62 mètres sur l'échelle hydrométrique du pont d'Austerlitz à Paris le 28 janvier. Elle a affecté de nombreux quartiers de la capitale et de nombreuses villes riveraines du fleuve pendant plusieurs semaines avant et après cette date. La montée des eaux s'est faite en une dizaine de jours, et la décrue en 35 jours environ.

 

Les affluents et les confluents de la Seine connaissent le même sort à des degrés différents à cause de l'interdépendance des différents systèmes hydrologiques. Certaines villes de banlieue subissent des dégâts importants.

 

Lors de cette grande crue de 1910, les députés, pour réamorcer la reprise du travail, se rendent à l'Assemblée nationale en barque. Le Zouave du pont de l'Alma, sur lequel les Parisiens ont l’habitude de mesurer la hauteur des crues de la Seine, a de l’eau jusqu’aux épaules

Histoire

Les causes

 

 
Carte de Paris où la zone hachurée en bleu représente approximativement les crues de 1910.

Cette crue de la Seine est occasionnée par la conjonction de plusieurs facteurs :

pluviométrie importante,

neige et gel,

débordement de plusieurs cours d'eau : Yonne, Loing, Grand Morin,

sous-sols saturés dans tout le bassin parisien (en forme de cuvette).

En janvier 1910, des inondations importantes se produisent également en Alsace-Lorraine, alors rattachée à l’Allemagne

 

L'inondation

 

Le 20 janvier, la navigation sur la Seine au niveau de Paris est arrêtée car il n'y a plus assez de place pour passer sous les ponts

Le 21 janvier, l'usine de la Société Urbaine d'Air Comprimé située dans le XIIIe arrondissement est arrêtée, ce qui a pour conséquence d'arrêter les horloges publiques et les ascenseurs.

Le 23 janvier, le niveau de la Seine atteint le haut des quais, qui étaient conçus pour résister à une crue équivalant à celle de 1876 : une partie de Paris est inondée

.

Les dégâts et les sinistrés

 

Le 28 janvier 1910, 22 000 caves et des centaines de rues sont envahies par une eau glacée et de plus en plus polluée car les égouts refluent. En effet, des dizaines de milliers de fosses d'aisance dans les sous-sols qui ne sont pas raccordés aux collecteurs municipaux sont inondées. Les bateaux-citernes qui doivent évacuer hors de Paris les résidus ne peuvent plus passer sous les ponts. La situation sanitaire devient préoccupante, des cas de typhoïde et de scarlatine sont signalés. Il faut attendre la mi-mars pour que la crue soit entièrement résorbée. Les libraires et les éditeurs notamment paieront un lourd tribut à la crue, tous leurs stocks définitivement perdus

.

Comportant un seul pic, alors que celles de 1924 et 1955 sont à pics multiples, l'inondation a causé des dégâts d'un montant de 400 millions de francs-or (soit l'équivalent de plus d'1,6 milliard d'euros) en ce qui concerne les dommages directs auxquels il faut ajouter 50 millions de francs-or distribués à titre de secours

 

Paris

 

À Paris, 20 000 immeubles sont inondés. La moitié du réseau métropolitain existant à l'époque est inondée. Ainsi, la ligne 4 qui venait d'être inaugurée quelques semaines plus tôt est fermée.

 

Les surfaces inondées correspondent aux zones alluviales du méandre de la Seine, étendues en rive gauche notamment dans le quinzième arrondissement et également au cours préhistorique de la Seine qui passait au nord des grands boulevards de la rive droite et jusqu'au pont de l'Alma au débouché du grand égout recouvert vers 1760. Une grande partie du quartier du Marais, qui correspondait au large lit du fleuve à l'époque néolithique puis à des marécages progressivement viabilisés à partir du Moyen Âge, est submergée.

 

Le gymnase de la rue Saint Lambert est transformé en dortoir pour les sinistrés. Une partie des malades de l'hôpital de la Charité est évacuée, le fonctionnement de l'établissement devenant difficile

 

Périphérie

 

La situation de la banlieue est dramatique en amont comme en aval avec plus de 30 000 maisons sinistrées.

 

Ivry-sur-Seine

 

Après avoir été inondée, l'usine de vinaigre Pagès Camus explose. Il s'ensuit un incendie qui la détruira totalement. Ivry-sur-Seine, qui sera particulièrement sinistrée, fera l'objet de visites de nombreuses personnalités comme Armand Fallières, Aristide Briand, Alexandre Millerand, Louis Lépine

 

Gennevilliers

 

La crue de 1910 n’épargne pas Gennevilliers. Les digues sont complètement submergées et le refoulement des eaux d’égout contribue à rendre la catastrophe encore plus violente. Les dégâts sont gigantesques sur l’ensemble de la commune. Plus de 1 000 maisons sont atteintes, 150 sont évacuées et 13 complètement écroulées.

Villeneuve-la-Garenne

 

Le bilan des inondations est catastrophique. Malgré les digues, l’eau atteint 1,20 m dans beaucoup d’endroits. Les cultures sont ravagées, les maisons s’écroulent, beaucoup d’animaux périssent noyés. Dans le hameau de Villeneuve-la-Garenne, dépendant alors de Gennevilliers, on est obligé d’entrer dans les maisons par les fenêtres du premier étage. Dès le 21 janvier, les avenues de Gennevilliers (avenue de Verdun) et d'Asnières (boulevard Gallieni) sont submergées. Le 26 janvier, les écoles sont évacuées. Dans la nuit du 27 au 28 janvier, les digues sont submergées. Les familles les plus touchées sont évacuées en barques ou en embarcations de fortune. Le 29 janvier, l’inondation est générale. C’est seulement début février que la décrue s’amorce, mais il faudra plusieurs semaines pour nettoyer les boues et déblayer les rues des amas de ferrailles et de détritus de toutes sortes.

 

L'Île-Saint-Denis, Saint-Denis et Épinay-sur-Seine

 

L'inondation fait également de grands dégâts dans la partie ouest de ce qui est aujourd'hui la Seine-Saint-Denis (L'Île-Saint-Denis, Saint-Denis, Épinay-sur-Seine).

 

Suresnes

 

Personnes groupées à gauche devant un édifice et rue inondée à droite.
 
La rue du Pont inondée.
 

À l'instar des villes des Hauts-de-Seine situées le long de la Seine, Suresnes est partiellement touchée par la crue, le fleuve envahissant les quais et les bas quartiers, jusqu'à la place Eugène-Sue au sud, près de la rue de Verdun au nord et avant la rue des Bourets au centre. Historiquement bâtie sur un plateau de sable inaccessible aux inondations, la majorité de la ville y échappe donc. Toutefois, les rues envahies par les eaux amènent les habitants à circuler en bateau ou sur des passerelles provisoires le long des maisons. Le pont de Suresnes reste cependant accessible à ses deux extrémités. Après la fin de la crue, il faut remettre en état les bâtiments dévastés et aider les chômeurs, grâce à 143 193 francs recueillis, de l’État, de la préfecture, d’entreprises ou encore de la ville anglaise de Keighley, avec laquelle Suresnes est jumelée. Par la suite, un nouveau plan d'aménagement de la Seine permet la construction du nouveau barrage-écluse

 

Aval de la Seine

 

Alors que les six usines d'épuration et d'incinération au bord de la Seine sont devenues inaccessibles, le préfet Lépine met en place l'opération « Ordures au fil de l'eau » pour prévenir les épidémies : les 500 chariots hippomobiles qui collectent chaque matin 1 500 tonnes d'ordures déversent des tombereaux de déchets dans la Seine à partir du pont de Tolbiac et du viaduc d'Auteuil pour les évacuer dans la Manche. Lors de la décrue, les ordures se sont déposées sur les quais et les arbres de la ripisylve des communes situées en aval, entraînant des protestations de la part de ces communes

 

Repères de crue Seine 1910

Au-delà de l'aspect mémoriel, la présence de repères de crue dans les lieux publics a pour objectif de sensibiliser les citoyens et les acteurs au risque de crue, toujours réel, et de leur permettre d'anticiper. À noter aussi que, dans les zones inondables, les normes de construction imposent désormais que le niveau des rez-de-chaussée soit au-dessus de la crue de 1910

 

Informations diverses


À Paris, le débit maximal est estimé à environ 2 400 m3/s ; les mesures qui ont été effectuées n'ont pu être faites qu'à la décrue.
À Mantes-la-Jolie, le débit maximal a été mesuré par jaugeage ; il est de 3 300 m3/s.
Les dégâts divers estimés pour le département de la Seine s’élèvent à 7 milliards et demi de francs.
La crue de la Seine de 1910 sert de cadre à l'histoire du film Un monstre à Paris.


Centenaire


En 2010, dans le cadre du rendez-vous annuel de la culture scientifique « La Science se livre », qui a pour thème cette année-là « L'eau, un enjeu essentiel du XXIe siècle », le conseil départemental des Hauts-de-Seine organise une exposition sur la crue de 1910, ainsi que des cycles de rencontres, des débats et des animations

 

 



Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Crue_de_la_Seine_de_1910  
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Un monde de fou : 340 bouteilles remplies d’urine

Publié à 01:14 par dessinsagogo55 Tags : article google center centerblog nature sur merci france
Un monde de fou : 340 bouteilles remplies d’urine

 

Environ 340 bouteilles remplies d'urine ont été découvertes dans un talus dimanche à Lorient.— Terceltphoto  

 

 

Lorient : En ramassant des déchets, ils tombent sur 340 bouteilles remplies d’urine

 

SURPRISE Les bénévoles du collectif Nettoyage Citoyen Lorient ont fait une trouvaille surprenante ce week-end

 
 

La nature prend parfois malheureusement des allures de grand dépotoir. Les bénévoles du collectif Nettoyage Citoyen Lorient peuvent en témoigner. Lors d’une opération menée dimanche près de la station d’épuration de la ville, ils ont ramassé plus de 100 kilos de déchets, comme le rapporte Ouest-France. Dans leur besace, on retrouve pêle-mêle des bouteilles en verre, de la ferraille, des pneus ainsi que des déchets électriques.

Les bénévoles ont également fait une trouvaille pour le moins surprenante dans un talus en découvrant 340 bouteilles en plastique remplies d’urine. Le mystère reste entier sur leur origine.

 

Sur les traces d’un « serial pisseur » dans le Morbihan

 

Cette affaire n’est pas sans rappeler l’enquête menée l’an dernier par les gendarmes du Morbihan. Pendant plusieurs mois, plusieurs dizaines de bouteilles contenant un liquide jaune s’apparentant à de l’urine ont été déposées régulièrement au pied des conteneurs à verre dans le hameau de Mériadec près de Vannes.

 

Une enquête qui n’a pour l’heure rien donné avec un « serial pisseur » qui court toujours.

 

 

 

Liens externes                                                  
 

 

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Frank Nitti

Publié à 18:18 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog sur place presse chez femme maison mort amitié pouvoir merci
Frank Nitti

 

 

Francesco Raffaele Nitto, plus connu sous le nom de Frank Nitti, surnommé « The Enforcer » (en français : « l'exécuteur »), né le 27 janvier 1886 à Angri (Campanie) et mort le 19 mars 1943 à North Riverside, est un gangster italo-américain.

 

Il est l'un des principaux hommes de mains d'Al Capone et plus tard, parrain de l'Outfit de Chicago.

 

Frank Nitti est né à Angri, ville de Campanie dans le sud de l'Italie dans les années 1880 ; sa pierre tombale indique 1888, bien que les documents d'immigration mentionnent 1883. Il semble qu'il soit né en fait le 27 janvier 18861. Il s'installe à New York à la fin de la Première Guerre mondiale, où il forme une bande avec Al Capone et son frère Ralph. Dans les années 1920, il s'installe à Chicago, où il ouvre une échoppe de barbier et se consacre en outre aux activités très lucratives de vol de bijoux et de recel. Nitti construit un important réseau d'associés dans le milieu de Chicago et attire l'attention du patron du crime organisé, Johnny Torrio.

 

Frank devient vite un des lieutenants du successeur de Torrio, Al Capone, sans doute grâce à leur amitié de jeunesse. La réputation de Nitti grandit. Il se charge de la contrebande et de la distribution d'alcool, pendant la Prohibition, important du whiskey du Canada et le vendant à travers un réseau de speakeasies autour de Chicago. Nitti est l'un des meilleurs lieutenants de Capone, en qui il peut se fier pour ses compétences de direction et son sens des affaires. Si bien que lorsque Capone va brièvement en prison, en 1929, il nomme Nitti membre du triumvirat chargé de diriger la pègre à sa place. Nitti prend la tête des opérations avec Jake Guzik à la tête de l'administration et Tony Accardo pour gérer les basses œuvres.

 

En dépit de son surnom The Enforcer (« l'exécuteur »), Nitti utilise les « soldats » de la Mafia et autres subordonnés pour commettre des violences, plutôt que de l'exercer lui-même. Non pas que Nitti réprouve l'utilisation des armes à feu - il fut auparavant l'un des meilleurs gardes du corps de Capone - mais en gravissant les échelons de l'organisation, son instinct lui dicte qu'il doit personnellement éviter de se charger du « sale boulot » pour lequel les tueurs sont payés

 

Nitti à la tête de l'Outfit

 

En 1931, Frank Nitti et Al Capone sont condamnés pour évasion fiscale et envoyés en prison. Cependant, Nitti n'est condamné qu'à 18 mois alors que Capone en prend pour 11 ans. Nitti est un prisonnier modèle, mais il trouve abominable un confinement d'une année et demi dans une si petite cellule. À sa sortie de prison, en 1932, la presse accueille Nitti comme le nouveau patron du gang de Capone.

 

En réalité, cependant, Nitti n'est qu'une façade. Selon le reporter et spécialiste de la Mafia, Carl Sifakis, « il serait risible » de croire que des gens comme Paul Ricca, Tony Accardo, Jake Guzik et Murray Humphreys puissent être aux ordres de Nitti. Selon la plupart des récits, Ricca détient réellement le pouvoir dès 1932 et devient clairement le patron dès 1939, même s'il est techniquement le Sotto Capo (« sous-chef ») de Nitti. Ricca enfreint souvent les ordres de Nitti en déclarant, « On va le faire comme ça. On en a assez de l'écouter. » Quand Lucky Luciano et Meyer Lansky organisent le Syndicat du crime, ils considèrent Nitti comme un simple numéro et traitent avec Ricca, en tant que représentant des Capones.

 

L'Outfit de Chicago se lance alors, parmi d'autres activités, dans la prostitution et le jeu, ainsi que dans le contrôle des syndicats (qui permettent de pratiquer l'extorsion dans de nombreux domaines). La pègre est alors mieux profilée et engrange des profits monstrueux.

 

Le 19 décembre 1932, une patrouille de la police de Chicago conduite par les détectives Harry Lang et Harry Miller, force le bureau de Nitti, dans la chambre 554, du 221 North LaSalle Boulevard. Lang tire trois fois sur Nitti dans le dos et le cou. Il se tire ensuite une balle sur lui-même (s'éraflant simplement la peau) pour justifier un tir en légitime défense, prétendant que Nitti a d'abord tiré sur lui. Des témoignages au tribunal, révèleront plus tard que la tentative d'assassinat a été ordonnée personnellement par le nouveau maire de Chicago, Anton Cermak, ce dernier désirant remplacer les Capones par des gangsters à sa solde.

 

Malheureusement pour Cermak, Nitti survit à ses blessures. En février 1933, il est acquitté du chef de tentative d'assassinat. Lors de ce procès, Miller témoigne que Lang a reçu 15 000 dollars pour tuer Nitti. Un autre policier en uniforme qui était présent lors des coups de feu atteste que Nitti était à terre et désarmé. Harry Lang et Harry Miller sont tous deux mis à la porte de la police et se voient infliger à chacun une amende de 100 dollars pour coups et blessures.

 

Deux mois plus tard, Cermak est abattu par Giuseppe Zangara, un immigrant de Calabre. À ce moment, Cermak se tenait au côté du président fraîchement élu, Franklin D. Roosevelt. La plupart des historiens pensent que Zangara tenta d'assassiner Roosevelt, mais le manqua et toucha Cermak. D'autres cependant pensent que Nitti avait donné ordre de tuer Cermak, et que le contrat avait été offert à Zangara. Celui-ci était connu pour avoir été tireur d'élite dans l'armée italienne avant d'émigrer en Amérique, ce qui amena certains à spéculer que Cermak était bel et bien la cible

 

Fin de carrière

 

En 1943, nombre de membres de l'Outfit de Chicago se retrouvent inculpés d'extorsion. Parmi eux, on trouve Nitti, Ricca, Louis Campagna, Ralph Pierce, John Roselli, Nick Circella, Phil D'Andrea et Charles Gioe. L'Outfit est accusé d'avoir tenté de prendre le contrôle de certains des plus grands studios de cinéma d'Hollywood, dont MGM Studios, Paramount Pictures, 20th Century Fox, Columbia Pictures et RKO Radio Pictures. Les studios ont coopéré avec l'Outfit pour éviter des problèmes avec les syndicats manipulés par la pègre.

 

Lors d'une réunion des patrons de l'Outfit chez Nitti, son Sotto Capo Ricca blâme rageusement Nitti pour les inculpations. Il dit que puisque l'informateur du FBI, Willie Bioff, travaillait pour Nitti, c'est à lui d'aller en prison plutôt que de faire s'écrouler l'ensemble de l'Outfit. Peut être à cause du sentiment de claustrophobie que déclencha sa première incarcération ou, parce que selon certaines sources, il souffre d'un cancer en phase terminale, Nitti décide de mettre fin à ses jours.

 

Le jour avant sa comparution prévue devant le grand jury, Nitti prend un petit déjeuner avec son épouse dans leur maison de Riverside au 712 Selborne Road. Alors que sa femme se rend à l'église, Nitti lui dit qu'il va aller marcher. Après le départ de son épouse, Nitti s'enivre puis charge un révolver de calibre 32, le met dans sa poche de manteau et marche jusqu'à un dépôt de chemin de fer. Deux ouvriers, William F. Sebauer et Lowell M. Barnett aperçoivent Nitti marchant sur les voies face à un train et lui crient des avertissements. Ils croient que le train l'a heurté, mais Nitti a sauté hors de la voie juste à temps. Deux coups de feu retentissent, les ouvriers pensent tout d'abord que Nitti leur tire dessus, puis ils réalisent qu'il tente de se loger une balle dans la tête. Les deux balles sont passées à travers son chapeau. Finalement, Nitti s'assoit contre une barrière, les deux ouvriers l'observant toujours, et se tire une balle dans la tête. Frank Nitti meurt le long d'une voie du Illinois Central de North Riverside le 19 mars 1943. Il repose, comme Capone, au cimetière Mount Carmel de Hillside dans la banlieue de Chicago. Sa veuve est décédée en 1981 à 80 ans.

 

 



Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Frank_Nitti  
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Fin du Siège de Léningrad après 872 jours.

Publié à 17:08 par dessinsagogo55 Tags : saint place histoire center centerblog
Fin du Siège de Léningrad après 872 jours.

 

 

Le siège de Léningrad est le siège de près de 900 jours imposé à la ville de Léningrad par la Wehrmacht au cours de la Seconde Guerre mondiale. Il fait partie du plan famine mis en place par les nazis pour exterminer par la faim les Soviétiques.

 

Commencé le 8 septembre 1941, le siège fut levé le 27 janvier 1944 par les Soviétiques, qui repoussèrent les Allemands malgré des pertes humaines colossales (1 800 000 victimes, dont près d'un million de civils).

 

Avec 872 jours, ce siège est le plus long de l'histoire moderne jusqu'à celui de Sarajevo au début des années 1990 (1 425 jours).

 

Le 22 décembre 1942, afin de rendre hommage à ceux qui par leur action militaire ou civile ont contribué à repousser les troupes allemandes, le gouvernement soviétique a instauré la médaille pour la Défense de Léningrad.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/27_janvier

 

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Thomas Edison

Thomas Edison

Thomas Alva Edison, né le 11 février 1847 à Milan dans l'Ohio et mort le 18 octobre 1931 à West Orange dans le New Jersey, est un inventeur, un scientifique et un industriel américain.

Fondateur de la General Electric, l'une des premières puissances industrielles mondiales, il fut un inventeur prolifique (plus de 1 000 brevets). Pionnier de l'électricité, diffuseur, vulgarisateur, il fut également l'un des principaux inventeurs du cinéma (aux côtés, entre autres, de William Kennedy Laurie Dickson, Émile Reynaud, Louis Lumière, Jules Carpentier) et de l'enregistrement du son. Il est parfois surnommé « le sorcier de Menlo Park », ville du New Jersey rebaptisée « Edison » en son honneur en 1954.

 

Enfance autodidacte

 

 
Thomas Edison, enfant.
 

Thomas Alva Edison est le septième et dernier enfant de Samuel Edison (1804-1896), Canadien d'origine néerlandaise, qui dut fuir le Canada pour avoir participé aux rébellions de 1837-1838 et qui fut tour à tour brocanteur, épicier, agent immobilier, charpentier. Sa mère, Nancy Elliot (1810-1871), ancienne institutrice, était également Canadienne mais d'origine écossaise. Le père de Nancy était un héros de la guerre d'indépendance des États-Unis. Thomas Alva Edison est le cadet d'une famille modeste qui le stimule intellectuellement et politiquement.

 

En 1854, alors qu'il est âgé de 7 ans, sa famille s'installe à Port Huron dans le Michigan où son père obtient un emploi de charpentier. Son professeur, le révérend Engle, le considère comme un hyperactif stupide car il se montre trop curieux, pose trop de questions et n'apprend pas assez rapidement. Après trois mois de cours, il est renvoyé de son établissement scolaire. Aidé par sa mère qui lui donne des cours à la maison, il complète alors sa formation de base en parfait autodidacte, lisant des grands auteurs comme Charles Dickens ou Shakespeare, et dévorant tous les livres de science que sa mère lui apporte, notamment l'ouvrage de physique expérimentale School of Natural Philosophy de Richard Green Parker. Il fréquente assidûment la bibliothèque de Détroit : « Si mes souvenirs sont exacts, je commençai par le premier livre du rayon du bas pour dévorer ensuite tout le reste, l'un après l'autre. Je n'ai pas lu quelques livres ; j'ai lu la bibliothèque entière ».

 

En 1857, âgé de 10 ans, Thomas possède déjà un vrai petit laboratoire de chimie dans le sous-sol de la maison de ses parents pour développer son intelligence et ses capacités, en reproduisant les expériences de School of Natural Philosophy.

 

En 1859, âgé de 12 ans, Thomas obtient la concession exclusive de vendeur de journaux, boissons, cigares, cigarettes, bonbons, dans le train de la « Grand Trunk Railway » qui fait l'aller-retour quotidien Port Huron-Detroit, en utilisant ses premières économies pour acheter des produits chimiques à la pharmacie locale. Il en profite pour vendre dans les gares des fruits et légumes. Avec l'argent gagné et l'aide de quatre assistants, il s'achète vers 1862 une presse d'imprimerie d'occasion qu'il installe dans un wagon à bagages pour la rédaction et l'impression (durant les trajets) de son propre mini-journal hebdomadaire le Weekly Herald, premier à paraître à bord d'un train, tiré à 400 exemplaires. Le 6 avril 1862, Edison annonce à ses voyageurs lecteurs, grâce à un ami télégraphiste de Détroit, les nouvelles de la bataille de Shiloh. La même année, il s'intéresse également au télégraphe du train, inventé en 1838 par Samuel Morse. Il est autorisé à aménager son laboratoire de chimie dans son wagon à bagages-imprimerie. Il poursuit ses expériences durant les haltes de 5 heures à Détroit. Une embardée du train renverse un flacon de phosphore et provoque un incendie, ce qui lui vaut son renvoi immédiat avec cependant ses premiers 2 000 dollars de gain commercial, fièrement gagnés.

 

Âgé de 13 ans, il attrape la scarlatine dont il ressort pratiquement sourd, même si Edison forge sa légende en racontant qu'il eut une surdité partielle de l'oreille gauche après qu'un cheminot l'eut empoigné par les oreilles (autre version qu'il donne : l'eut giflé) alors que son laboratoire de chimie prenait feu. Dès lors, ce handicap influence fortement son caractère, comme il l'explique lui-même : « J'étais exclu de cette forme particulière des relations sociales qu'on appelle le bavardage. Et j'en suis fort heureux... Comme ma surdité me dispensait de participer à ces bavardages, j'avais le temps et la possibilité de réfléchir aux problèmes qui me préoccupaient ». Ce comportement renfermé sur la pensée et la réflexion influence aussi l'orientation de ses recherches. Son désir d'améliorer le sort de l'humanité décuple son avidité pour la lecture, en particulier pour les ouvrages de chimie, d'électricité, de physique et de mécanique. « Ma surdité m'avait appris que presque n'importe quel livre peut être agréable ou instructif ».

 

Employé télégraphiste

 

 
Télégraphe de Samuel Morse en 1838.
 

Toujours en 1862, Thomas Edison sauve héroïquement Jimmie MacKenzie, un enfant de trois ans qui était sur le point d'être écrasé par un train. Le père de l'enfant, J.U. MacKenzie, chef de gare à Port Huron, accepte d'apprendre à Thomas, pour le remercier, l'alphabet morse et l'utilisation de son télégraphe. Cette nouvelle compétence-passion lui permet de trouver un emploi de télégraphiste à Memphis. Son directeur remarque qu'Edison lit ou dort pendant son travail, il lui ordonne d'envoyer toutes les demi-heures un message morse pour attester qu'il travaille. Un jour, ce directeur se présente à la cabine de télégraphie pour constater qu'Edison l'a dupé en automatisant le transmetteur.

 

En 1866, âgé de 19 ans, il emménage à Toronto au Canada et trouve un emploi d'assistant-télégraphiste à la Western Union Company. Son travail consiste à transmettre par télégraphe les messages reçus à chaque heure. Il réalise alors sa première invention : il transforme son télégraphe en « transmetteur-récepteur duplex automatique de code Morse », capable de transmettre sur un même câble deux dépêches en sens inverse, automatiquement sans intervention humaine, et dépose ainsi son premier brevet. Continuant ses expériences pendant son travail, il laisse échapper de l'acide sulfurique d'une batterie au plomb, acide qui traverse le plancher et atterrit dans le bureau du directeur de la compagnie qui le licencie sur le champ. Puis, il devient opérateur télégraphiste, itinérant de ville en ville dans tout l'Est des États-Unis.

 

 
Télégraphe Stock Ticker d'Edison, pour la bourse de New York Henry Ford Museum, Dearborn, Michigan
 

En 1868, âgé de 21 ans, expert en télégraphie, Thomas est embauché comme opérateur-télégraphiste de nuit à la Western Union Company de Boston et travaille en parallèle sur plusieurs projets d'inventions dont une machine de comptage automatique de vote qui n'est pas retenue par le Congrès des États-Unis car jugée trop rapide… Il en déduit un de ses futurs grands principes de base : « Never invent something that people don't want » (ne jamais inventer quelque chose dont les gens ne veulent pas).

 

En 1869, il tente sa chance à New York, où il trouve une chambre de bonne dans les sous-sols de la chaufferie de la Bourse de New York à Wall Street. Il dort à côté du téléscripteur qui transmet les cours de l'or sur les marchés financiers, et étudie cette machine de près. Il aide un jour le télégraphiste de la Western Union à résoudre une panne importante et se voit proposer une confortable place d'assistant de l'ingénieur en chef de la Western Union de New York, aux appointements de 300 dollars, avec pour mission d'améliorer le téléscripteur de la Bourse de New York. Parallèlement, il étudie à la Cooper Union qui lui permet, grâce à des cours gratuits, d'augmenter ses connaissances en chimie.

Patron d'entreprise

 

En 1874 avec les 40 000 dollars récoltés de son télégraphe multiplexé, il fonde son entreprise industrielle de « Menlo Park », avec des laboratoires de recherche à Newark dans le New Jersey près de New York. Il est précurseur de la recherche industrielle moderne appliquée, avec deux associés et une équipe de 60 chercheurs salariés (au lieu de chercheurs isolés). Il supervise jusqu'à 40 projets en même temps, et se voit accorder un total de 1 093 brevets américains. Thomas Edison vit dans son laboratoire et ne dort que quatre heures. Il dit être capable de travailler 48 heures, voire 72 heures d'affilée.

 

En 1887, Edison s'installe à West Orange dans le New Jersey près de New York, pour multiplier par neuf la taille de ses laboratoires de recherche, sur un immense complexe industriel comportant 14 bâtiments, dont 6 consacrés à la recherche et au développement, une usine de fabrique d'ampoules, une centrale de production électrique, une bibliothèque et plus de 5 000 employés sur le site.

 

Dernières années

 

Lors de la Première Guerre mondiale, Edison conçoit et fait fonctionner des usines chimiques et il est nommé président du comité consultatif de la marine américaine.

 

En 1930, âgé de 83 ans, il mène encore des tests sur 17 000 plantes pour produire de la gomme synthétique. La même année, il dépose son dernier brevet.

 

En 1931, à l'âge de 84 ans, alors qu'il poursuit inlassablement ses travaux, il meurt sur son site de West Orange.

 

Vie de famille

 

Le 25 décembre 1871, il épouse Mary Stilwell (6 septembre 1855 - 9 août 1884), une des employées de son laboratoire, âgée de quinze ans, qui décède prématurément à l'âge de 28 ans, laissant Thomas veuf avec trois enfants : Marion Estelle Edison (18 février 1872 – 16 avril 1965, à 93 ans), Thomas Alva Edison Jr. (10 janvier 1876 – 25 août 1935, à 59 ans) et William Leslie Edison (26 octobre 1878 – 10 janvier 1935, à 57 ans).

 

Il se remarie à Mina Miller (1866-1947) en 1886, avec qui il aura trois autres enfants : Madeleine Edison (31 mai 1888–1979), Charles Edison (3 août 1890-1969), 42e gouverneur du New Jersey (1941-1944), et Theodore Miller Edison (10 juillet 1898 – 25 novembre 1992, à 94 ans).

 

Dans les dernières années de sa vie, il fait la connaissance d'Aimée de Heeren, jeune Brésilienne de grande beauté, à qui il offre de somptueux bijoux.

 

Travailleur acharné, Edison se concentre tellement sur ses travaux qu'il ne passe que peu de temps auprès de sa famille. Il évite la plupart des situations sociales, d'autant que sa surdité lui évite les bavardages. Sa détermination et son esprit procédurier sont souvent vécus comme tyranniques par ses employés et son entourage

 



Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Thomas_Edison  
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Thomas Edison : 1 093 brevets

Publié à 14:06 par dessinsagogo55 Tags : tube center centerblog sur merci monde jeux homme société film
Thomas Edison : 1 093 brevets

En 1878

 

En tout, Thomas Edison dépose de 1868 à 1930, soit pendant 62 ans, 1 093 brevets qui lui sont accordés. De plus, entre 500 et 600 demandes ont été refusées ou abandonnées. Au plus fort de son activité créatrice en 1882, 106 brevets lui sont accordés, dans le domaine de l'électricité ou de la lumière. Sa société emploie plus de 35 000 personnes dans un « empire industriel » qui est fondé sur l'utilisation de l'électricité dans le monde entier.

 

Brevets et inventions notables de la firme Edison

 

 
Première ampoule électrique de Thomas Edison (1879).
 
Fichier:Dickson Greeting.ogv
 
Dickson Greeting, le premier film du cinéma (1891).
 

1866 : un télégraphe « transmetteur-receveur duplex automatique de code morse »

1868 : une machine de comptage automatique de vote (non retenue par le Congrès des États-Unis)

1869 : un télégraphe multiplexé automatique (Stock Ticker)

1874 : un téléscripteur qui imprime à haute-vitesse

1876 : un microphone pour les téléphones sur lesquels le brevet a été déposé par Alexandre Graham Bell peu avant la demande personnelle d'Édison

1877 : le phonographe, premier lecteur commercialisé de cylindres puis de disques

1879 : une lampe à incandescence (amélioration de l'invention de Joseph Swan). Par exemple : dans le commerce une lampe de type E 27 fait référence à Edison, le culot est de 27 mm de diamètre

1879 : l'effet Edison qui est la mise en évidence de l'émission d'électrons redécouverte à partir d'un filament chauffé (prémices de l'électronique à lampes)

1882 : une centrale électrique à courant continu pour 1 200 lampes, distribution en réseau à (très) faible portée et à faible danger pour l'homme

1891 : la première caméra de prise de vues cinématographique, le kinétographe, utilisant d'abord une pellicule au format de 19 mm de large à défilement horizontal et photogrammes circulaires (Dickson Greeting)

1891 : le format 35 mm à défilement vertical et photogrammes rectangulaires, doté de 2 jeux de 4 perforations par photogramme, pour remplacer le format précédent, devenu en 1906 le format standard mondial encore utilisé de nos jours

1893 : le premier studio de production de films, surnommé la Black Maria (le mot anglais film est utilisé dans ce sens la première fois par Edison)

1893 : les « Kinetoscope Parlors » (premières salles où l'on peut visionner des films différents contenus dans des coffres équipés d'un œilleton qui permet de voir en transparence la pellicule animée éclairée par une ampoule, grossie par un jeu de loupes)

1895 : une lampe fluorescente à partir d'un tube à rayon X

1903 : le Home Projecting Kinetoscope (un appareil de projection de films destiné aux amateurs, utilisant une pellicule de 22 mm de large comportant par économie 3 films côte à côte

1915 : un accumulateur nickel-fer alcalin

 

 



Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Thomas_Edison  
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
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Auschwitz

Publié à 13:15 par dessinsagogo55 Tags : sur enfants travail divers femmes center centerblog
Auschwitz

 

 

Auschwitz est le plus grand complexe concentrationnaire du Troisième Reich, à la fois camp de concentration et camp d'extermination. Faisant auparavant office de camp militaire, il est situé dans la province de Silésie, à une cinquantaine de kilomètres à l'ouest de Cracovie, sur le territoire des localités d'Oświęcim (Auschwitz en allemand) et de Brzezinka (Birkenau en allemand), annexées au Reich après l'invasion de la Pologne en septembre 1939.

 

Le camp de concentration, dirigé par les SS, est créé le 27 avril 1940 à l'initiative de Heinrich Himmler ; il est complété par un camp d’extermination (dont la construction démarre à la fin de 1941) et par un second camp de concentration destiné au travail forcé (créé au printemps 1942). Ces camps sont libérés par l'Armée rouge le 27 janvier 1945.

 

En cinq ans, plus d’un million cent mille hommes, femmes et enfants meurent à Auschwitz, dont 900 000 le jour même de leur arrivée, en général par train. 90 % des victimes étaient juives, soit environ un million. Les victimes, de ce que les nazis appelèrent la « Solution finale », furent assassinées dans les chambres à gaz ou parfois par arme à feu, mais elles moururent aussi de maladies, de malnutrition, de mauvais traitements ou d'expériences médicales.

 

En raison de sa taille, Auschwitz est considéré comme le symbole des meurtres de masse commis par les nazis et plus particulièrement comme celui de la Shoah, au cours de laquelle près de six millions de Juifs furent assassinés.

 

Comme les autres camps de concentration nazis, Auschwitz était placé sous les ordres de Heinrich Himmler et de la SS. Le responsable du camp fut le SS-Obersturmbannführer Rudolf Höss (du 1er mai 1940 au 1er décembre 1943, puis de nouveau entre mai et septembre 1944), remplacé entre-temps par Arthur Liebehenschel, et ensuite par Richard Baer.

 

Monument historique et culturel majeur, qui contribue au « devoir de mémoire », Auschwitz est depuis 1979 inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco.

 

L'ensemble du camp et divers terrains annexes, dont le terrain avec une partie de voie ferrée de l'époque, a une superficie d’environ 55 kilomètres carrés dont environ 10 kilomètres carrés pour le camp à lui seul. C'est une enclave mémorielle perpétuelle sur le territoire polonais.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Auschwitz

 

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Organisation mondiale des douanes

Publié à 06:07 par dessinsagogo55 Tags : prix sur bonne base center monde place travail société création centre cadre centerblog
Organisation mondiale des douanes

 

 

L'Organisation mondiale des douanes (OMD) est une organisation intergouvernementale, qui a son siège à Bruxelles en Belgique. Ses membres étant répartis dans le monde entier, l'OMD est considérée comme le porte-parole de la communauté douanière internationale. L'OMD est réputée pour élaborer des conventions internationales, instruments et outils, notamment sur les sujets suivants : classement des marchandises, évaluation en douane, règles d'origine, perception des recettes douanières, sécurité de la chaîne logistique, facilitation des échanges internationaux, lutte contre la fraude, lutte contre la contrefaçon en veillant au respect des droits de propriété intellectuelle (DPI), promotion de l'éthique et renforcement durable des capacités pour l'application de réformes et de modernisations douanières. L'OMD gère en outre la nomenclature internationale des marchandises appelée Système harmonisé (SH) et les aspects techniques des accords de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) sur l'évaluation en douane et les règles d'origine.


Historique


En 1947, treize pays européens créent un Groupe d'étude chargé d'examiner les questions douanières soulevées dans l'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT)1. Ces travaux aboutissent à l'adoption en 1950 de la Convention portant création d'un Conseil de coopération douanière (CCD), signée à Bruxelles. Le 26 janvier 19534, le CCD tient sa session inaugurale en présence de ses 17 membres fondateurs. Puis le nombre de membres s'accroît, couvrant désormais toutes les régions du monde. En 1994, le CCD adopte sa dénomination actuelle d'Organisation mondiale des douanes. Aujourd'hui, l'ensemble des membres de l'OMD assurent à eux seuls les contrôles douaniers sur plus de 98 % du commerce international.

Principes et objectifs


L'OMD bénéficie d'une reconnaissance internationale en tant que centre mondial des compétences douanières. Elle joue un rôle clé dans les débats d'aujourd'hui, pour le développement, la promotion et la mise en œuvre des procédures et des systèmes douaniers modernes. Elle est à l'écoute des besoins de ses membres et de son environnement stratégique. Ses instruments ainsi que les meilleures pratiques qu'elle a adoptées sont considérés comme fondamentaux pour une bonne gestion des administrations douanières dans le monde entier. L'OMD a pour mission principale d'améliorer l'efficacité des administrations membres et donc de les aider à réaliser leurs objectifs nationaux dans les meilleures conditions, à savoir : la perception des droits, la sécurité nationale, la facilitation des échanges, la protection de la société et le recueil de statistiques commerciales.

 

Instruments


Pour réaliser ces objectifs, l'OMD a adopté un certain nombre d'instruments, entre autres :

1) La Convention internationale sur le système harmonisé de désignation et de codification des marchandises (Convention du SH) a été adoptée en 1983 et elle est entrée en vigueur en 1988. Le Système harmonisé (SH) est une nomenclature polyvalente de marchandises, utilisée comme base pour déterminer les tarifs douaniers et pour établir des statistiques commerciales internationales. Le SH comprend 5 000 groupes de marchandises identifiées chacune par un code à six chiffres et classées suivant une structure légale et logique. Ce système repose sur des règles bien déterminées, qui permettent d'obtenir un classement uniforme. Le SH est également utilisé à beaucoup d'autres fins : élaboration des politiques commerciales, règles d'origine, suivi des marchandises contrôlées, taxes internes, tarifs de transport, contrôles des contingentements, suivi des prix, recueil de données comptables nationales, recherche et analyse économique.

 

2) La Convention internationale sur la simplification et l'harmonisation des régimes douaniers (Convention de Kyoto révisée) a été adoptée en 1974, puis révisée en 1999. La Convention de Kyoto révisée est entrée en vigueur en 2006 et repose sur plusieurs principes clés : transparence et prévisibilité des contrôles douaniers ; normalisation et simplification des déclarations de marchandises et des pièces justificatives correspondantes ; procédures simplifiées pour les personnes autorisées ; utilisation maximale des technologies de l'information ; contrôles douaniers minimums nécessaires pour assurer la conformité aux règlements ; application de contrôles basés sur la gestion des risques et les audits ; coordination des interventions avec d'autres services de contrôle aux frontières ; partenariat avec les entreprises. La Convention de Kyoto révisée encourage la facilitation des échanges et la mise en place de contrôles efficaces, au travers de ses dispositions juridiques qui expliquent en détail comment appliquer des procédures simples mais efficaces. La Convention révisée comprend également de nouvelles règles de mise en œuvre obligatoires. La Convention de Kyoto révisée de l'OMD est souvent confondue avec le protocole de Kyoto, qui fait partie de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC ou CCCC).

 

3) Convention ATA et Convention relative à l'admission temporaire (Convention d'Istanbul). Ces deux conventions sont des instruments de l'OMD qui régissent l'admission temporaire de marchandises. Le système ATA, qui fait partie intégrante des deux conventions, permet la libre circulation des marchandises à travers les frontières et leur admission temporaire dans le territoire douanier, en franchise de droits et de taxes. Les marchandises sont déclarées sur un document unique appelé carnet ATA, sécurisé par un système de garantie international.

 

4) La Déclaration d'Arusha concernant l'éthique douanière a été adoptée en 1993 et révisée en 2003. Il s'agit d'un document non obligatoire énonçant un certain nombre de principes de base destinés à promouvoir l'éthique et à lutter contre la corruption au sein des administrations douanières.

 

5) Le Cadre de normes SAFE visant à sécuriser et à faciliter le commerce mondial a été adopté juin 2005. Le Cadre SAFE est un instrument non obligatoire qui contient des normes sur la sécurité de la chaîne logistique et sur la facilitation des échanges, applicables au commerce international de marchandises. Le Cadre SAFE permet une gestion intégrée de la chaîne logistique pour tous les modes de transport, renforce les liens entre les administrations douanières afin d'améliorer leur capacité à déceler les envois à haut risque, favorise la coopération entre les douanes et les entreprises grâce au concept d'Opérateur Économique Agréé (OEA) et encourage la circulation ininterrompue des marchandises le long de chaînes logistiques internationales sécurisées.

 

Administration


Le secrétariat de l'OMD est dirigé par le secrétaire général, élu pour cinq ans par les membres de l'OMD. Le secrétaire général actuel, Kunio Mikuriya (en) (Japon), a pris ses fonctions le 1er janvier 2009. M. Mikuriya s'est fixé comme priorités l'amélioration de la communication, le renforcement des capacités et la recherche. L'OMD est dirigée par le Conseil, qui réunit tous les membres de l'Organisation une fois pas an, dans une session présidée par un président élu. Les orientations stratégiques et liées à la gestion de l'OMD sont également définies par la commission de politique générale et le comité financier. Les instruments et les meilleures pratiques sur le plan des compétences douanières sont également élaborées dans le cadre de plusieurs autres comités comme le Comité du système harmonisé, le Comité technique permanent, le Comité technique sur l'évaluation en douane, le Comité technique sur les règles d'origine, le Comité du renforcement des capacités et le Groupe de travail SAFE.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Organisation_mondiale_des_douanes

 

 

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Les Mouvements unis de Résistance

Les Mouvements unis de Résistance

Carte

 

Les Mouvements unis de Résistance (MUR) sont une organisation française de résistance à l'occupation allemande et au régime de Vichy pendant la Seconde Guerre mondiale ; ils sont créés le 26 janvier 1943 par la fusion des trois grands mouvements non communistes de zone sud : « Combat » (Henri Frenay), « Franc-Tireur » (Jean-Pierre Lévy) et « Libération-Sud » (Emmanuel d'Astier de La Vigerie), qui avaient déjà créé un « Comité de coordination de zone sud », présidé par Jean Moulin, délégué du général de Gaulle en zone sud.

 

Le but de la fusion est d'accroître l'efficacité notamment dans les domaines de l’action politique insurrectionnelle, de la prise de pouvoir et des actions de masse, alors que la zone sud (au départ « non occupée ») a été envahie par l'armée allemande en novembre 1942 et que Jean Moulin a pour objectif une unification plus générale de la Résistance sous l'égide de la France libre. En mai 1943, il réussit à constituer le Conseil national de la Résistance, qui réunit mouvements de Résistance, partis politiques et syndicats et dans lequel les MUR ont trois représentants, un pour chacun des mouvements constitutifs.

 

En décembre 1943, les MUR s'élargissent en intégrant trois mouvements de zone nord : « Défense de la France », « Résistance » et « Lorraine » et en devenant le Mouvement de libération nationale (MLN).


Histoire

Les conditions de la fusion


Elle n’a été facile ni à imaginer, ni à réaliser. « La cohésion interne de chaque groupe repose sur des affinités personnelles, une communauté de sentiments, de pensées et de périls, qui entraînent des différences de tendances » écrit un chef du Mouvement à de Gaulle au printemps 1943. Les chefs répugnent à perdre leur autonomie ; des raisons de sécurité jouent aussi pour rendre plus difficiles les révélations sur les effectifs, les pseudonymes, les caches d’armes. Cependant vers le milieu de septembre 1942, tout le monde s’est rendu compte de l’absolue nécessité d’une étroite coordination

.

Cette unification a été très complexe en raison des personnalités des trois chefs de mouvements, qui, d'une part, avaient des fortes personnalités, d'autre part, étaient séparés par des problèmes idéologiques : notamment, Frenay craignait d’Astier de la Vigerie, qui était plutôt de gauche, et celui-ci reprochait à Frenay d’être plutôt à droite, voire proche de Vichy.

 

La création


Les travaux préparatoire à la fusion ont lieu lors de réunions entre Jean Moulin, Henri Frenay, Emmanuel d'Astier de La Vigerie et Jean-Pierre Lévy, chef de Franc-Tireur, au domicile d'Henri Deschamps à Miribel1 (en banlieue lyonnaise).

 

Le 26 janvier 1943, une note du Comité de coordination zone sud annonce la fusion en indiquant un certain nombre de principes. Les trois mouvements fusionnés au sein des MUR conservent une certaine autonomie, notamment en termes de publication de journaux (presse clandestine). Tous leurs autres services doivent se fondre dans cette organisation unique.

 

L'organisation des MUR


Leur siège est à Lyon. Un comité directeur (ou directoire), qui remplace le Comité de coordination, est mis en place, toujours sous la direction de Jean Moulin. Henri Frenay, Emmanuel d’Astier et Jean-Pierre Lévy représentent toujours leurs mouvements respectifs.

 

Les MUR implantent dans toute la zone Sud une solide organisation clandestine inspirée de celle de Combat et divisée en plusieurs branches : armée secrète, action immédiate (par des « groupes francs »), noyautage des administrations publiques (NAP), faux-papiers et logements, maquis, atterrissages et parachutages, propagande, œuvres de solidarité, action ouvrière, renseignement (réseau « Gallia »).

 

La répartition des responsabilités se fait de telle manière que dans chaque région, est créé un comité directeur avec à sa tête un chef régional, élu d’un commun accord par le Comité directeur avec l’accord des deux adjoints, ces adjoints étant les anciens chefs des deux autres mouvements prêts à le remplacer si cela est nécessaire[réf. nécessaire]. Cette nouvelle organisation repose sur des désignations provisoires[réf. nécessaire]. La note du 26 janvier spécifie que les chefs sont élus non selon « un souci de dosage entre les trois mouvements mais de recherche du meilleur homme ».

 

Au niveau central, Frenay devient commissaire aux affaires militaires, d’Astier commissaire aux affaires politique et Lévy commissaire au renseignement, à la sécurité et aux moyens matériels. Les personnels des états-majors des anciens mouvements sont affectés selon leur spécialité : par exemple, comme Frenay est le commissaire aux affaires militaires, les responsables militaires des deux autres mouvements rejoignent auprès de lui ceux de « Combat », et de même pour les autres commissaires.

 

L’Armée secrète (AS) est directement subordonnée au directoire. Des commissaires politiques aux armées sont nommés par les chefs de région et maintiennent la liaison permanente entre l’Armée secrète et les chefs de régions. Les opérations aériennes ou maritimes sont gérées par un service particulier qui est aussi sous le contrôle du directoire.

 

Des tâches nouvelles


La coordination est d’autant plus nécessaire que des tâches nouvelles doivent être prises en charge par les mouvements et qu’aucun d’entre eux, isolément, ne peut y faire face.

 

En particulier, à partir de 1943, la réquisition pour le Service du travail obligatoire (STO) provoque la fuite de milliers de jeunes gens vers des lieux d’asile, montagnes ou campagnes. C’est la naissance des maquis. Désormais, il n’est pas de famille française qui ne se sente menacée ou déjà touchée ; de minorité active, la Résistance passe à une action de masse. « Planquer » les réfractaires pour qu’ils échappent aux recherches, et les grouper pour qu’ils se défendent, ces deux tâches immenses exigent l’union de tous.

 

Les problèmes de mise en place


Au comité directeur des MUR, qui se réunit à peu près chaque semaine, il s’agit de mettre en œuvre dans les faits la décision de fusionner les trois mouvements. Le problème est très complexe et ne sera vraiment résolu qu’à la fin du mois de mai, au prix de discussions souvent véhémentes.

 

Désigner d’un commun accord le chef des services nationaux et les chefs régionaux n’est pas simple. La supériorité de Combat en effectif et en organisation est évidente, mais pas réellement reconnue par ses interlocuteurs. Les discussions prennent souvent un ton âpre et parfois violent.

 

Le 21 février 1943, Jean Moulin, peu avant son départ pour Londres, réunit le comité directeur chez Louis Martin-Chauffier. Une fois encore, des divergences profondes apparaissent entre Jean Moulin et les chefs de mouvements. D’abord sur l’organisation de l’Armée secrète et ses rapports avec les MUR, plus encore dans les régions et départements qu’au niveau national. Au cours de cette réunion, chacun fait état des informations reçues des régions sur les maquis. Le mouvement se développe spontanément avec une rapidité qui dépasse les prévisions des responsables.

 

Des MUR au MLN (février-décembre 1943)
Dirigé pour les Mouvements unis de la Résistance par Gontran Royer jusqu'en 1943, les responsables les plus connus des maquis de la région Limousin qui furent Maurice Rousselier, Eugène Déchelette, Georges Héritier, Edmond Michelet, Georges Guingouin, Albert Fossey-François, Jacques Chapou, Édouard Valéry, Roger Lescure, André Malraux, Victor Nessmann, Marius Guédin, Eugène Pinte, Martial Brigouleix2,3...


Quelques figures des Mouvements unis de la Résistance
Jean Bastide
Jacques Baumel alias « Saint-Just », « Berneix », « Rossini »
Georges Bonnac, responsable pour la région « B »
Claude Bourdet
Frédéric Bourguet, membre du directoire des MUR et président du Comité départemental de Libération du Tarn.
René Char
Nicole Clarence
Pascal Copeau
Irénée Cros, responsable des MUR en Ariège.
Vitalis Cros
Paul Guiral alias « Daumier », « Gérôme », lieutenant-colonel « Gavarni », président du comité départemental de Libération de Tarn-et-Garonne (1944-1945).
Jacques Jourda alias Jacquemin, responsable du bureau de liaison des MUR.
Robert Noireau, responsable des MUR dans le Lot.
Jacques Renard, responsable de l'action immédiate en région Provence.
François Verdier

 



Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Mouvements_unis_de_la_R%C3%A9sistanc  
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Patrick Dewaere

Publié à 02:14 par dessinsagogo55 Tags : paris center centerblog enfant sur france saint coup musique mort film merci
Patrick Dewaere

 

Patrick Bourdeaux, dit Patrick Dewaere [patʁik dəvɛʁest un acteur français né le 26 janvier 1947 à Saint-Brieuc (France) et mort le 16 juillet 1982 à Paris 14e.

 

Au départ enfant acteur parmi les « petits Maurin », il s'émancipe au sein de la troupe du café de la Gare puis est révélé au grand public avec Gérard Depardieu dans le film Les Valseuses en 1974, devenant une valeur montante du cinéma français, tournant pour différents réalisateurs comme Claude Miller, Yves Boisset, Jean-Jacques Annaud, André Téchiné, Alain Corneau, Henri Verneuil ou encore pour son ami Bertrand Blier.

 

 

Considéré comme un des acteurs les plus brillants de sa génération, son jeu se caractérise par un naturel, une exactitude et une vérité dans les expressions, dans les gestes et dans les attitudes proches de l’Actors Studio, inventives et généreuses même si à la fin des années 1970 les critiques préfèrent alors les « rondeurs » et le jeu de son alter-ego professionnel, concurrent et ami Gérard Depardieu. Il est ainsi l'un des grands oubliés de la cérémonie des César, jamais récompensé, malgré une nomination comme meilleur acteur dans un second rôle et cinq nominations au César du meilleur acteur.

 

Alternant les drames, les comédies ou comédies dramatiques, les thrillers et les polars, il marque par ses apparitions dans F… comme Fairbanks (1976), Coup de tête (1979), Série noire (1979), Un mauvais fils (1980), Beau-père (1981), Hôtel des Amériques (1981) et Paradis pour tous (1982) ainsi que dans de grands succès publics — étant un temps plus populaire que Depardieu au box-office — tels que Adieu poulet (1975) avec Lino Ventura, Le Juge Fayard dit « le Shériff » (1977), La Clé sur la porte (1978) avec Annie Girardot, et Préparez vos mouchoirs (1978) où il retrouve Depardieu.

 

Il se suicide à l'âge de trente-cinq ans, après avoir joué dans trente-sept longs métrages et incarné une soixantaine de personnages différents au théâtre, au cinéma et à la télévision durant trente et un ans, ayant aussi composé plusieurs chansons pour Françoise Hardy ainsi que d'autres titres qu'il interprète lui-même et écrit la musique du film F… comme Fairbanks.

 

Il est le père de la scénariste Angèle Herry, qu'il a eue avec Miou-Miou, et de la comédienne Lola Dewaere.

 

 

 

 

Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Patrick_Dewaere
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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