Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
11.02.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
L’ambassade d’Israël à Paris a annoncé mercredi la mort de la chanteuse, très populaire en France des années 1960 aux années 1980.
La chanteuse populaire israélienne est morte à l’âge de 82 ans, a annoncé mercredi 23 décembre l’ambassade d’Israël en France. Rika Zaraï est née Rika Gozman le 19 février 1938, à Jérusalem, d’un père russe et d’une mère polonaise. La jeunesse de Rika Zaraï est studieuse, la jeune fille menant de concert sa scolarité et ses études musicales. Dès l’âge de 7 ans, elle prend des cours de piano, et se révèle douée et travailleuse. Elle décroche ainsi, à 17 ans, le premier prix de piano au conservatoire de Jérusalem. Sur le plan scolaire, elle obtient une licence d’enseignement pour enfants handicapés.
L’année de ses 17 ans, elle part au service militaire où elle est chargée de diriger une comédie musicale, Cinq sur cinq, qui remporte rapidement un vif succès. L’armée l’autorise à se produire aussi pour le civil. Sa carrière artistique commence, elle a tout juste 19 ans. Elle épouse bientôt le parolier du spectacle Johann Zaraï, avec qui elle a une fille, Yaël, en 1959.
Elle commence par se produire dans des cafés-théâtres, en interprétant en hébreu les textes de chanteurs français. C’est ce qui la fait remarquer par un imprésario qui lui suggère d’aller en France se présenter au patron de l’Olympia, Bruno Coquatrix. Ce dernier lui conseille de revenir lorsqu’elle maîtrisera le français. Rika Zaraï, qui s’est séparée de son mari, vit alors des mois difficiles, devant subvenir aux besoins de sa jeune enfant.
Sa carrière démarre enfin lorsqu’elle rencontre Eddie Barclay, qui produit les plus grands interprètes français. Elle enregistre sous l’un de ses labels, Bel Air, avec lequel elle restera jusqu’en 1965, des chansons qui deviendront des tubes comme Hava Naguila, reprise d’une chanson folklorique en hébreu.
Cinq disques d’or
Pendant ces années, elle fait la première partie de Jacques Brel à l’Olympia, signe chez Philips, rencontre son futur mari, le musicien Jean-Pierre Magnier, et effectue une grande tournée, avec Gilbert Bécaud en vedette. Elle sort aussi ses premiers gros tubes, dont Casatschok, puis Alors je chante.
Mais, en 1969, elle est victime d’un très grave accident de voiture. Les médecins pensent qu’elle ne pourra plus marcher. Cependant, à force de détermination et de patience, avec l’aide de son ami Raymond Dextreit, adepte de la médecine naturelle, elle récupère l’usage de ses jambes au bout de trois ans. Rétablie, elle retrouve le chemin des studios pour enregistrer de nouveaux tubes comme Tante Agathe, Ma Poupée de France, ou encore Sans chemise, sans pantalon, et se produit de nombreuses fois sur la scène de l’Olympia, dès… mars 1970.
Sa carrière est couronnée par plusieurs disques d’or (cinq au total). Au début des années 1980, elle sort encore un dernier disque, Tout va très bien, puis se sépare, en 1983, de sa maison de disque Philips.
Elle arrête alors ses activités artistiques et promeut la médecine par les plantes en publiant une série de livres dont certains, comme Ma médecine naturelle (Editions Carrère/Michel Lafon, 1985), sont de grands succès en librairie. Mais son incursion dans la médecine naturelle – elle commercialise ses plantes dans les supermarchés – est contestée par le conseil de l’ordre des pharmaciens et elle se retrouve, le 10 janvier 1989, inculpée de complicité d’exercice illégal de la pharmacie. L’affaire, qui s’est soldée par un non-lieu, est largement relayée dans les médias, affectant son image.
Suit une longue traversée du désert durant laquelle elle ne sortira qu’un album, en 2000, composé de plusieurs reprises. Six ans après, elle publie ses mémoires, L’espérance a toujours raison (Michel Lafon, 2006). Puis, en 2008, elle fête ses 50 ans de carrière dans la chanson, avec la sortie d’un nouvel album, Quand les hommes, mêlant des reprises de Georges Brassens et d’Yves Duteil, et des inédits. Mais le 3 juillet 2008, elle est victime d’un grave accident vasculaire cérébral. Après cinq années de rééducation, elle sort un double album, Anthologie 1960-1982, qui met en évidence sa riche carrière durant laquelle elle aura vendu plus de 29 millions de disques.
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René Coty, né le 20 mars 1882 au Havre et mort le 22 novembre 1962 dans la même ville, est un homme d'État français. Il est président de la République du 16 janvier 1954 au 8 janvier 1959.
Alternativement député et sénateur de la Seine-Inférieure entre 1923 et 1953, il est ministre de la Reconstruction et de l'Urbanisme de 1947 à 1948 dans le cabinet de Robert Schuman puis d'André Marie. Il est ensuite vice-président du Conseil de la République jusqu'en 1953, date à laquelle il est élu à la présidence de la République, au 13e tour de scrutin.
Second et dernier président de la IVe République, son mandat est marqué par le gouvernement de Pierre Mendès France, la fin de la guerre d'Indochine, le début de la guerre d'Algérie et le retour au pouvoir du général de Gaulle, qui institue la Ve République. En janvier 1959, il quitte ainsi la présidence de la République pour laisser la place à de Gaulle, qu’il qualifie de « plus illustre des Français ».
Il siège ensuite au Conseil constitutionnel jusqu'à sa mort.
Jules Gustave René Coty naît le 20 mars 1882 au Havre. Il est le fils de Jean Coty, républicain modéré, directeur du collège Saint-Michel (la pension Coty), et de Blanche Sence. Il a deux sœurs, Nelly et Marthe, et deux frères, Marcel et Henri.
Tous les membres de la famille Coty sont Normands et ont exercé des métiers divers tels que cultivateurs, instituteurs ou encore artisans
.
En 1899, René Coty obtient un double baccalauréat en sciences et en lettres, avec la mention bien, et part faire ses études à l'université de Caen. En 1900, il est exempté du service militaire pour cause de maigreur. Cette même année, il représente l'association générale des étudiants de Caen au Congrès international de Paris. Deux ans plus tard, en 1902, il obtient une licence en droit et une licence en lettres et philosophie. Il prête serment d'avocat la même année et s'inscrit au barreau du Havre. Spécialiste en droit maritime et commercial, il plaide au civil et au pénal. Mû par un souci de justice sociale, il prend la défense en 1910 de Jules Durand, un syndicaliste injustement accusé d'avoir incité au meurtre d'un ouvrier non gréviste.
Par deux fois, il est bâtonnier de l'ordre des avocats.
Passionné de littérature et de philosophie, il fonde en 1905 le Cercle Vallonges, un cercle littéraire, avec quelques amis, également intéressés par les livres.
Le 21 mai 1907, à l'église Saint-Michel du Havre, il épouse Germaine Corblet, fille d'un armateur havrais. Le couple a deux filles : Geneviève, née en 1908, mariée en 1929 à Louis-Félix Egloff, ingénieur, avec lequel elle a six filles ; et Anne-Marie, née en 1910, épouse en 1932 du docteur Maurice Georges, avec lequel elle a trois filles et un fils. Geneviève et Anne-Marie décèdent toutes deux en 1987.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9_Coty
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Anne du Bourg, né à Riom en 1521, mort à Paris le 23 décembre 1559, est un magistrat français protestant, condamné à mort pour fait de religion.
Neveu du chancelier Antoine du Bourg, étudiant à l'université d'Orléans, Anne du Bourg y fut aussi professeur avec Étienne de La Boétie ou Louis Le Caron pour élèves. Il devint conseiller au Parlement de Paris en 1557. En juin 1559, au cours d'une mercuriale (séance plénière du parlement), il attaque la politique royale de répression contre « ceux que l'on nomme hérétiques ». Ne faisant pas mystère de ses opinions calvinistes, il parle au roi Henri II avec une grande hardiesse en faveur des nouvelles opinions. Henri II le fait arrêter sur le champ et embastiller.
À la mort accidentelle d'Henri II, les Guise monopolisent alors le pouvoir au détriment des princes du sang. Après un procès, au cours duquel Anne du Bourg utilisera tous les recours du droit et malgré la mort du roi Henri II, il est condamné, en 1559, comme hérétique, à être pendu en place de Grève et son corps brûlé sur le bûcher. Son procès et son exécution marquent l'énonciation d'un droit de résistance au pouvoir du roi, notamment parce que le conseiller tente d'impliquer le Parlement, la première cour du royaume. Il meurt supplicié le 23 décembre 1559, après avoir déclaré à la foule : « Mes amis, je ne suis pas ici comme un larron ou un meurtrier, mais c'est pour l'Évangile. »
Ce supplice amena par représailles la conjuration d'Amboise. L'Électeur Palatin du Rhin réclama sa grâce au roi pour le nommer professeur de droit à Heidelberg, mais en vain.
Son frère, Claude, fut ambassadeur près de la Sublime Porte pendant quelques années, avant d’être arrêté à son tour pour protestantisme et embastillé. Libéré, il rejoint ses terres auvergnates et notamment son neveu, Jacques, lieutenant général de police à Issoire et Riom.
Sa famille, originaire du Vivarais, s’était installée en Auvergne, dans le Livradois, à la suite du marquis de Canillac. Possessionnée au Vernet-la-Varenne ainsi qu’à Riom (Jacques du Bourg fit construire la Maison des consuls), cette famille fut alliée à de nobles familles (de Sereys, de Marillac, Arches …) et une branche resta installée au Vernet-la-Varenne avant de s’éteindre dans la famille de Lespinasse du Passage.
En littérature
Dans son roman inachevé, L'Horoscope (1858), Alexandre Dumas rappelle avec sa verve les événements qui ont condamné Anne Du Bourg par la voix du président Minard (Les Romans de la Renaissance, éd. Claude Schopp, Paris, Robert Laffont, coll. "Bouquins", p. 1090 et suiv.)
Maître Minard venait de faire condamner à mort un des hommes, à bon droit, les plus estimés de Paris, son confrère au parlement, son frère enDieu, le vertueux conseiller Anne Dubourg. – Quel crime avait commis Dubourg ? Le même que l’Athénien Aristide. On l’appelait le Juste.
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Décès
484 : Hunéric, roi des Vandales et des Alains d'Afrique de 477 à 484 (° avant 430).
558 : Childebert Ier, roi des Francs de Paris de 511 à 558 (° vers 497).
679 : Dagobert II, roi d'Austrasie de 676 à 679 (° vers 652).
1559 : Anne du Bourg, magistrat français, pendu puis brûlé à Paris (° 1521).
1588 : Henri Ier, duc de Guise (° 31 décembre 1550).
1744 : Élisabeth-Charlotte d'Orléans
1747 : Étienne-François Avisse, dramaturge français (° 4 août 1694).
1749 : Mark Catesby, naturaliste britannique (° 3 avril 1683).
1771 : Marguerite d'Youville, religieuse canadienne, fondatrice de la communauté des Sœurs de la Charité de Montréal (° 15 octobre 1701).
1783 : Johann Adolph Hasse, compositeur allemand (° 25 mars 1699).
1805 : Pehr Osbeck, naturaliste suédois (° 9 mai 1723).
1882 : Ferdinand-François-Auguste Donnet, prélat français, archevêque de Bordeaux de 1837 à 1882 (° 16 novembre 1795).
1883 : Yvon Villarceau, ingénieur, astronome et mathématicien français (° 15 janvier 1813).
1907 : Jules Janssen, astronome français (° 22 février 1824).
1913 : Jules Claretie (Arsène Arnaud Clarétie, dit), homme de lettres français, membre de l'Académie française (° 3 décembre 1840).
1939 : Anthony Fokker, constructeur aéronautique néerlandais (° 6 avril 1890).
1948 : Hideki Tojo (東條 英機), général et homme politique japonais, Premier ministre de 1941 à 1944 (° 30 décembre 1884).
1953 : Lavrenti Beria (ლავრენტი პავლეს ძე ბერია), homme politique soviétique (° 29 mars 1899).
1954 :
Lucien Borne, homme politique et d'affaires québécois, maire de Québec de 1938 à 1953 (° 20 août 1884).
René Iché, sculpteur français (° 21 janvier 1897).
1959 : Edward Frederick Lindley Wood, homme politique britannique (° 16 avril 1881).
1961 : Kurt Meyer, militaire allemand (° 23 décembre 1910).
1967 : Marie Noël (Marie Rouget, dite), poétesse française (° 16 février 1883).
1969 : Léon Barsacq, décorateur français (° 18 octobre 1906).
1972 : Andreï Tupolev (Андрей Николаевич Туполев), constructeur aéronautique soviétique (° 29 octobre ou 10 novembre 1888).
1973 : Gerard Kuiper, astronome néerlandais (° 7 décembre 1905).
1979 : Marguerite « Peggy » Guggenheim, mécène américaine, collectionneuse d'art moderne et galeriste (° 26 août 1898).
1982 : John Randolph « Jack » Webb, acteur, metteur en scène et producteur américain (° 2 avril 1920).
1990 :
Pierre Chenal (Philippe Cohen, dit), réalisateur français (° 5 décembre 1904).
Pierre Gripari, écrivain français (° 7 janvier 1925).
1992 : Edward Earl « Eddie » Hazel, musicien américain, guitariste du groupe Funkadelic (° 10 avril 1950).
1996 : Rina Ketty (Cesarina Picchetto, dite), chanteuse française (° 1er mars 1911).
1998 :
Pierre Vallières, journaliste et écrivain canadien (° 22 février 1938).
Anatoly Rybakov (Анатолий Наумович Рыбаков), écrivain russe (° 14 janvier 1911).
David Manners, acteur canadien (° 30 avril 1901).
1999 :
Wallace Distelmeyer, patineur artistique canadien (° 14 juillet 1926).
Marcel Landowski, compositeur français, secrétaire perpétuel de l'Académie des beaux-arts (° 18 février 1915).
2000 :
Victor Borge, musicien danois (° 3 janvier 1909).
Louis Leprince-Ringuet, physicien et historien des sciences français, membre de l'Académie française (° 27 mars 1901).
2004 : Pamulaparthi Venkata Narasimha Rao (पामुलापति वेंकट नरसिंह राव), homme politique indien, Premier ministre de l'Inde de 1991 à 1996 (° 28 juin 1921).
2006 : Robert Fabre, homme politique français (° 21 décembre 1915).
2007 :
Aloísio Lorscheider, prélat brésilien, archevêque de Fortaleza de 1973 à 1995 et d'Aparecida de 1995 à 2004 (° 8 octobre 1924).
Oscar Peterson, pianiste de jazz canadien (° 15 août 1925).
2009 : Vinicio Diamanti (it), acteur transgenre italien (° 24 février 1926).
2013 :
Vito Rizzuto, présumé chef de la mafia montréalaise (° 21 février 1946).
Yusef Lateef (William Emanuel Huddleston, dit), musicien de jazz américain (° 9 octobre 1920).
Mikhaïl Kalachnikov (Михаил Тимофеевич Калашников), militaire soviétique (° 10 novembre 1919).
2015 :
Hocine Ait Ahmed (حسين آيت أحمد), dernier survivant des neuf chefs historiques de la révolution algérienne (° 20 août 1926).
Jean-Marie Pelt, botaniste, pharmacien et professeur français (° 24 octobre 1933).
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Naissances
1573 : Giovanni Battista Crespi, peintre piémontais († 23 octobre 1632).
1689 : Joseph Bodin de Boismortier, compositeur français († 28 octobre 1755).
1777 : Alexandre Ier (Александр Павлович Романов), tsar de Russie de 1801 à 1825 († 1er décembre 1825).
1790 : Jean-François Champollion, égyptologue français († 4 mars 1832).
1797 : Adrien de Jussieu, botaniste français († 29 juin 1853).
1804 : Charles-Augustin Sainte-Beuve, écrivain français († 13 octobre 1869).
1805 : Joseph Smith, chef religieux américain († 27 juin 1844).
1810 : Karl Richard Lepsius, égyptologue allemand († 10 juillet 1884).
1842 : « Frascuelo » (Salvador Sánchez Povedano, dit), matador espagnol († 8 mars 1898).
1849 : Robert Kingsford, footballeur anglais († 14 octobre 1895).
1852 : Miguel Faílde, musicien cubain († 26 décembre 1921).
1862 : Henri Pirenne, historien belge († 25 octobre 1935).
1897 : Julien Carette, acteur français († 20 juillet 1966).
1900 : Marie Bell (Marie-Jeanne Bellon, dite), comédienne française († 14 août 1985).
1901 : Felice Gremo, coureur cycliste italien († 6 février 1994).
1902 : Charan Singh (चौधरी चरण सिंह), homme politique indien, Premier ministre de l'Inde de 1979 à 1980 († 29 mai 1987).
1903 : Bolesław Kominek, cardinal polonais, archevêque de Wrocław de 1972 à 1974 († 10 mars 1974).
1904 : Benedetto Gola, footballeur et entraîneur italien († date inconnue).
1906 : Edasseri Govindan Nair (इटश्शेरि गोविन्दन नायर्), poète et dramaturge indien († 16 octobre 1974).
1907 : Manuel Lopes, auteur de fictions, de poésies et d’essais portugais († 25 janvier 2005).
1908 :
Yousuf Karsh, photographe canadien d’origine arménienne († 13 juillet 2002).
Carmelo Pérez (Armando Pedro Antonio Procopio Pérez Gutiérrez, dit), matador mexicain († 28 octobre 1931).
1909 : Georges Lamousse, homme politique français († 1er août 1992).
1910 : Kurt Meyer, militaire allemand († 23 décembre 1961).
1911 :
Stanley Cosgrove, artiste peintre québécois († 28 avril 2002).
James Gregory, acteur et producteur américain († 16 septembre 2002).
Louis Puy, homme politique français († 3 mai 1965).
1912 : Pierre Skawinski, athlète français († 20 mars 2009).
1913 : Paul Lipson, acteur américain († 3 janvier 1996).
1914 : Alfred Dompert, athlète allemand († 11 août 1991).
1915 :
Emmanuel Aznar, footballeur français († 4 octobre 1970).
Jean Brooks, actrice américaine († 25 novembre 1963).
Bertil Johnsson, athlète suédois († 2010).
1916 :
Woodrow Wilson Clarence « Woody » Dumart, hockeyeur professionnel canadien († 19 octobre 2001).
Dino Risi, cinéaste italien († 7 juin 2008).
1918 : Helmut Schmidt, homme politique allemand, chancelier fédéral d'Allemagne de 1974 à 1982 († 10 novembre 2015).
1921 : Guy Beaulne, directeur de théâtre et réalisateur de télévision québécois († 1er octobre 2001).
1922 : Micheline Ostermeyer, pianiste et athlète française († 17 octobre 2001).
1924 : Ruth Roman, actrice américaine († 9 septembre 1999).
1925 :
Pierre Bérégovoy, homme politique, ouvrier et cadre français, Premier ministre de la France de 1992 à 1993 († 1er mai 1993).
Albert Jacquard, généticien français († 11 septembre 2013).
Mohamed Mzali (محمد مزالي), homme politique tunisien, Premier ministre de la Tunisie de 1980 à 1986 († 23 juin 2010).
1926 :
Raymond Daveluy, organiste, pédagogue et compositeur québécois († 1er septembre 2016).
José Iglesias Joseito, footballeur puis entraîneur espagnol († 12 juillet 2007).
Jorge Arturo Medina Estévez, prélat chilien.
1929 : Chesney Henry « Chet » Baker, Jr., musicien américain († 13 mai 1988).
1933 :
Akihito (明仁), empereur du Japon depuis 1989.
Marcelin Pleynet, écrivain français.
1935 :
Paul Hornung, joueur américain de football américain.
Esther Phillips (Esther Mae Jones, dite), chanteuse américaine († 7 août 1984).
1936 : James Stacy, acteur américain († 9 septembre 2016).
1937 : Karol Joseph Bobko, astronaute américain.
1938 :
Noël Audet, poète et romancier québécois († 29 décembre 2005).
Robert Elliott Kahn, ingénieur et informaticien américain, inventeur avec Vinton Cerf du protocole de communication Internet TCP/IP.
1940 :
Jorma Kaukonen, guitariste américain, membre du groupe Jefferson Airplane.
Robert Labine, homme politique québécois.
1941 :
Jean Gachassin, joueur de rugby français.
James Timothy « Tim » Hardin, musicien et compositeur américain († 29 décembre 1980).
Serge Reding, haltérophile belge († 28 juin 1975).
1942 : Daniel Hamelin, animateur de radio français († 17 juillet 2001).
1943 : Elizabeth Hartman, actrice américaine († 10 juin 1987).
1944 : Elikia M'Bokolo, historien congolais.
1946 :
Jean-Louis Fousseret, homme politique français, maire de Besançon depuis 2001.
Helen Gourlay, joueuse de tennis australienne.
1947 :
Henri Duvillard, skieur français.
William Henry « Bill » Rodgers, athlète de fond américain.
1948 :
Jack Ham, joueur américain de football américain.
Thierry Mugler, styliste français.
1951 : Anthony Phillips, musicien anglais.
1952 : Jean-Luc Lahaye (Jean-Luc Lahaeye, dit), chanteur français.
1956 :
Michele Alboreto, pilote automobile italien († 25 avril 2001).
David Michael « Dave » Murray, musicien britannique, guitariste du groupe Iron Maiden.
1957 : Dan Bigras, auteur-compositeur, interprète et musicien québécois.
1958 : Jean-Pierre Siutat, président de la FFBB.
1960 : Guðmundur Guðmundsson, handballeur puis entraîneur islandais.
1964 : Eddie Vedder (Edward Louis Severson III, dit), musicien américain, chanteur et guitariste du groupe Pearl Jam.
1965 : Andreas Kappes, cycliste sur route et pistard allemand.
1966 : « El Fundi » (José Pedro Prados Martín, dit), matador espagnol.
1967 :
Carla Bruni, mannequin et chanteuse italienne, épouse du président de la République française Nicolas Sarkozy.
Otis Grant, boxeur jamaïcain.
1968 :
Stève Ravussin, navigateur suisse.
Manuel Rivera-Ortiz, photographe américain.
1970 : Catriona Le May Doan, patineuse de vitesse canadienne.
1971 : Corey Haim, acteur et producteur canadien († 10 mars 2010).
1973 :
Gala León García, joueuse de tennis espagnole.
Jérôme Guézénec, pongiste handisport français.
1975 : Billy Thomas, basketteur américain.
1976 : Torsten Jansen, handballeur allemand.
1977 : Jari Mäenpää, musicien finlandais, chanteur et guitariste du groupe Wintersun.
1978 :
Víctor Martínez, joueur de baseball professionnel vénézuélien.
Estella Warren, mannequin et actrice canadienne.
1979 :
Johan Franzen, hockeyeur professionnel suédois.
Scott Gomez, hockeyeur professionnel américain.
1980 :
Joaquim Gomes, basketteur angolais.
Jelena Škerović, basketteuse monténégrine.
1982 :
Beatriz Luengo, actrice et chanteuse espagnole.
Zbynek Michalek, hockeyeur tchèque.
1983 :
Lisa Dobriskey, athlète de demi-fond britannique.
Blake Schilb, basketteur américain.
1986 : Timothy Oshie, hockeyeur américain.
1987 :
Andreas Engqvist, hockeyeur professionnel suédois.
Ben Hansbrough, basketteur américain.
Jori Lehterä, hockeyeur finlandais.
Kevin Razy, comédien et humoriste français.
1988 :
Erika Jones, archère américaine.
Yuka Kashino (樫野有香), chanteuse japonaise, membre du groupe Perfume.
1992 : Fabian Halbig, musicien allemand, batteur et trompettiste du groupe Killerpilze.
1997 : Luka Jović, footballeur international serbe.
2002 : Finn Wolfhard acteur, chanteur et musicien canadien.
https://fr.wikipedia.org/wiki/23_d%C3%A9cembre
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Événements
558 : Clotaire Ier devient roi des Francs.
562 : consécration de la nouvelle basilique Sainte-Sophie.
1482 : traité d'Arras mettant un terme à la guerre de Succession de Bourgogne (1477-1482).
1559 : exécution d'Anne du Bourg.
1588 : assassinat du duc Henri Ier de Guise.
1595 : signature de l'Union de Brest, une partie de l'Église orthodoxe des provinces ruthènes de la République polono-lituanienne (situées majoritairement dans la Biélorussie et l'Ukraine actuelles) font allégeance à Rome.
1688 : Guillaume III arrive à Londres pendant la Glorieuse Révolution.
1783 : George Washington démissionne en tant que général.
1793 : bataille de Savenay.
1847 : reddition d'Abd El-Kader, écrivain, poète, philosophe, résistant militaire et homme politique, fondateur de l'État algérien.
1865 : la France, l'Italie, la Suisse et la Belgique fondent l'Union monétaire latine.
1876 : début de la Conférence de Constantinople.
1909 : Albert Ier devient roi des Belges.
1913 : création de la Réserve fédérale des États-Unis (The Federal Reserve).
1916 : victoire de Harry Chauvel à la bataille de Magdhaba sur le front du Moyen-Orient.
1952 : résolution no 98 du Conseil de sécurité des Nations unies sur la question indo-pakistanaise.
1953 :
élection de René Coty à la Présidence de la République française.
exécution du dirigeant et ancien chef des services de sécurité soviétique Lavrenti Beria ainsi que de 6 de ses collaborateurs (Vladimir Dekanozov, Vsevolod Merkoulov, Bogdan Koboulov, Sergo Goglidzé, lev Vlodzimirsky et Pavel Méchik).
1982 : création de la réserve naturelle nationale François Le Bail sur l'île de Groix.
1986 : le Rutan Voyager est le premier avion à boucler le tour du monde en avion sans escale en 9 jours.
2004 : fin de la deuxième bataille de Falloujah.
2013 : en Russie, Nadejda Tolokonnikova et Maria Alekhina, membres du groupe Pussy Riot, sont libérées en même temps que des milliers de détenus, dans le cadre d'une loi d’amnistie.
2014 : 2e tour de l'élection présidentielle grecque.
2014 : Luka Rocco Magnotta, le « dépeceur de Montréal », est condamné à la réclusion criminelle à perpétuité.
https://fr.wikipedia.org/wiki/23_d%C3%A9cembre
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À la saint Gratien, vilain, ramasse ton bois et endors-toi
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Issu d’une dynastie d’acteurs, le comédien a joué dans une centaine de films, dont les comédies populaires « Camping » et « La Boum », ainsi que dans de nombreuses pièces de théâtre. L’acteur, qui a reçu deux Césars, est mort ce mardi à l’âge de 84 ans.
Plus de cent films à son actif, et le souci perpétuel de s’effacer derrière ses rôles. « Je n’aime pas parler de moi, disait-il. Ce n’est pas un sujet passionnant. Le travail d’une vie consiste à préciser la marge entre ce que l’on veut et ce que l’on peut. » Modeste, pudique, considérant son métier comme un jeu plutôt qu’un labeur, déterminé à se penser comme « un artisan qui appartient à un collectif », le comédien Claude Brasseur est décédé mardi 22 décembre à l’âge de 84 ans, a annoncé son agent à l’AFP.
« Claude Brasseur est décédé ce jour dans la paix et la sérénité entouré des siens. Il n’a pas été victime du Covid. Il sera inhumé à Paris dans le respect des règles sanitaires et reposera aux côtés de son père, au cimetière du Père-Lachaise à Paris », a annoncé Elisabeth Tanner, à la tête de l’agence Time Art.
« Brasseur Père et Fils, Maison fondée en 1820 » : le sous-titre du livre de mémoires qu’il publie en 2014 (Merci !, Flammarion) souligne l’importance à ses yeux d’avoir appartenu à une dynastie. De son vrai nom Claude Espinasse, celui qui devient populaire en incarnant Vidocq pour la télévision au début des années 1970 aura donc hérité d’un pseudonyme familial.
Le premier Brasseur fut Jules Dumont, commis gantier à la Chaussée d’Antin reconverti aux planches, acteur comique et fondateur du Théâtre des Nouveautés. Son fils Albert lui succède, porté sur l’opérette, qui épouse une certaine Germaine, bientôt vedette du Théâtre du Palais-Royal, et si complice avec un certain Georges Espinasse, hallebardier de la troupe de Sarah Bernhardt, qu’elle donne naissance à Pierre, l’inoubliable prince des histrions à verve truculente, le séducteur sûr de lui qui aborde Arletty au début des Enfants du paradis de Marcel Carné : « Ah, vous avez souri ! Ne dites pas non, vous avez souri… »
Claude Brasseur était le fils de Pierre (et de cette autre star que fut Odette Joyeux, l’héroïne boudeuse du Mariage de Chiffon et de Douce, de Claude Autant-Lara). Il était aussi le père d’Alexandre, avec lequel il est monté sur scène en 2007 dans Mon père avait raison, de Sacha Guitry, et qui a évoqué son grand-père en 2016 sur la scène du Petit-Saint-Martin, dans Brasseur et les Enfants du paradis.
L’enfance, un souvenir douloureux
Né à Neuilly-sur-Seine le 15 juin 1936, il grandit entouré de têtes couronnées, Malraux, Jouvet, Sartre, Casarès… parmi lesquelles un ami de son père nommé Ernest Hemingway, qui est son parrain. Mais l’évocation de son enfance sera toujours douloureuse : ses parents ne s’occupent pas de lui. « Je n’ai aucun souvenir de ma vie avec eux et je dois dire que je m’en fous. » Ces parents égocentriques vont se séparer très vite, Odette Joyeux conservant un tel mauvais souvenir de Pierre Brasseur qu’elle en voudra à son fils d’adopter son pseudo.
« Tu ne peux pas rester journaliste avec un nom pareil, il faut que tu sois acteur ! » la comédienne Elvire Popesco
En pension, Claude Brasseur côtoie Philippe Noiret, Jean-Jacques Debout, et Jacques Mesrine. Peu porté sur les études, qu’il abandonne en classe de 2de, le gamin n’ose pas avouer qu’il a envie d’être acteur. Grâce à son père, le voilà journaliste à Paris Match, assistant du photographe Walter Carone. C’est en allant interviewer Elvire Popesco, reine du boulevard, qu’il voit son destin basculer : « Tu ne peux pas rester journaliste avec un nom pareil, lui dit la comédienne. Il faut que tu sois acteur ! » Et celle qui vient d’acheter le Théâtre de Paris lui signe illico un contrat, pour qu’il interprète, en 1955, trois rôles dans le Judas de Marcel Pagnol qu’elle s’apprête à monter : charpentier, apôtre et frère de Judas, avec fausse barbe. Après cela, Claude Brasseur entre au Conservatoire, tout en commençant à jouer au cinéma. En 1959, dans Rue des prairies, de Denys de La Patellière, il est le fils de Jean Gabin et coureur cycliste sur piste.
Fidèle lecteur de L’Equipe, Claude Brasseur aurait pu embrasser une carrière de sportif. Tenté par le vélo au point de s’entraîner avec le futur vainqueur du Tour de France Stephen Roche, il a été deux fois champion de France de bobsleigh (victime en 1963 d’un grave accident un avant les Jeux olympiques d’Innsbruck), il remporte le Paris-Dakar en 1983 comme copilote de Jacky Ickx, et joue au football dans l’équipe folklorique des Polymusclés. Mais la tradition familiale va éloigner ce grand bourru des terrains sportifs.
Pierre et Claude se côtoient sur le plateau des Yeux sans visage, de Georges Franju, de Lucky Jo, de Michel Deville (1964), où le vrai père joue un père fictif. Séquence émotion post mortem dans Les Acteurs, de Bertrand Blier (2000), où Claude Brasseur joue le rôle de… Claude Brasseur : son téléphone sonne dans la rue, c’est Pierre Brasseur qui l’appelle, puis qui lui passe Bernard Blier… ; Claude refile son portable à son metteur en scène, Bertrand. Sur le plan affectif, les deux hommes se sont ratés, mais Claude respectera toujours la carrière de son géniteur : « Mon père est mort ? Je ne sais pas, je l’ai vu hier soir à la télé ! »
Personnages emblématiques
« Si tu cherches à me ressembler ou à ne pas me ressembler, tu risques de fuir ta véritable nature et de devenir un acteur bâtard », lui avait dit ce père disparu. Message reçu. Claude sera lui-même, avec son accent de titi parisien, et s’il ne peut renier cette voix rauque, le timbre vibrant si légendaire de l’ogre paternel, il prêtera plutôt son visage à des personnages emblématiques (Rouletabille dans Le Mystère de la chambre jaune, de Jean Kerchbron, Vidocq pour 13 aventures orchestrées par Marcel Bluwal, Sganarelle pour le Don Juan avec Michel Piccoli à la télévision, Maupassant, le Georges Dandin de Molière ou le Leopold Trepper de L’Orchestre rouge au cinéma, Joseph Fouché dans Le Souper et Clemenceau dans La Colère du Tigre au théâtre). Ou bien il s’effacera derrière ses personnages, privilégiant l’attrait des rencontres humaines et professionnelles au critère de l’importance du rôle.
Claude Brasseur est tout sauf vaniteux. Ce n’est pas sans émotion qu’il endosse le personnage d’avocat véreux et maître chanteur dans Une belle fille comme moi, en 1972, parce que François Truffaut lui demande de revêtir un smoking, le même que celui porté par son père dans Les Portes de la nuit, de Marcel Carné. Ou qu’il se fait grimer comme le fut Pierre Brasseur interprétant Othello dans Josepha, de Christopher Frank, en 1981, jouant un acteur de théâtre dans la dèche et la déconfiture conjugale.
Ses rôles, il les choisit au feeling, sans jamais se poser « la question de la reconnaissance »
Il remporte ses deux Césars avec humour (« Depuis le temps qu’on me dit de me faire un prénom ! ») et humilité (« La popularité n’est pas un critère de qualité »). Le premier, en 1977, honore son interprétation de l’un des quatre copains d’Un éléphant ça trompe énormément, d’Yves Robert : il n’a accepté le rôle qu’à condition de donner à cet homosexuel l’allure d’un hétérosexuel, de ne « pas jouer les grandes folles ». Le second, en 1980, consacre le succès de La Guerre des polices, de Robin Davis, où il est un commissaire traquant un ennemi public.
Aucun plan de carrière
A cette époque, il oscille volontiers du flic (Une affaire d’hommes, de Nicolas Ribowski, La Crime, de Philippe Labro, Dancing Machine, de Gilles Béhat) au bandit (Un cave, de Gilles Grangier, Une robe noire pour un tueur, de José Giovanni), voire au détective privé (Il faut vivre dangereusement, de Claude Makovski), ou au juge (La Banquière, de Francis Girod) : « Un jour je suis le gendarme, un jour je suis le voleur. » On se souvient de lui aussi en prisonnier d’un stalag (Le Caporal épinglé, de Jean Renoir, 1962), écrivain impliqué dans un meurtre (Les Seins de glace, de Georges Lautner, 1974), écrivain alcoolique (Descente aux enfers, de Francis Girod, 1986), trafiquant raciste (L’Etat sauvage, de Francis Girod, 1978), amant dont s’éloigne Romy Schneider (Une histoire simple, de Claude Sautet, 1978), vétérinaire harcelé par une inspectrice des impôts (Signes extérieurs de richesse, de Jacques Monnet, 1983), flic macho tiraillé par le désir (Sale comme un ange, de Catherine Breillat, 1991), industriel pied-noir (L’Autre côté de la mer, de Dominique Cabrera, 1996), sans oublier le personnage de Jacky Pic, le beauf retraité de Melun, amateur de pastis en tongs, abonné à l’emplacement 17 aux Flots Bleus de Pyla-sur-mer (Camping, de Fabien Onteniente, 2006).
Ses rôles, il les choisit au feeling, sans jamais se poser « la question de la reconnaissance », et sans aucun plan de carrière. Il refusera ainsi le rôle porteur, finalement tenu par Philippe Léotard, dans La Balance, de Bob Swaim, parce qu’il vient de faire La Guerre des polices et ne veut pas se spécialiser dans le polar. Il arrête aussi de jouer Le Dîner de cons au théâtre en plein triomphe, afin d’honorer ses contrats de cinémas ; Francis Veber lui en voudra tellement qu’il s’opposera à ce qu’il reprenne son rôle dans le film (Thierry Lhermitte en héritera). S’il joue le père de Vic/Sophie Marceau, l’ado dans La Boum, de Claude Pinoteau, en 1980, c’est parce qu’il pense qu’il aimerait être le spectateur d’une telle comédie, et que s’il avait eu une fille, il l’aurait élevée de la même manière que celle que professe son personnage fictif dans le film.
Humilié et blessé
Au summum de ses prestations figurent sans doute Daniel, le vendeur de voitures d’Un éléphant ça trompe énormément et de Nous irons tous au paradis, aux côtés de Jean Rochefort, Guy Bedos et Victor Lanoux, avec cette scène réellement vécue au temps du Conservatoire, Belmondo, Marielle et Rochefort en complices : avec ses potes, il fait semblant d’être aveugle dans une brasserie, canne blanche brandie en arme de destruction prétendument passive (Brasseur aime la déconnade, bien bouffer, lever le coude…).
Restent aussi, sans aucun doute, ses deux collaborations avec Jean-Luc Godard : dans Bande à part d’abord, en 1964, l’histoire de deux voyous (lui et Sami Frey) amoureux d’Anna Karina, avec la fameuse visite record de la Grande Galerie du Musée du Louvre parcourue en courant en 9 minutes 43 secondes. Et la danse madison scandée dans un café, devant un juke-box. Godard disait alors de lui : « Claude Brasseur a l’innocence et la folie des enfants lorsqu’ils jouent aux billes ou à la guerre. C’est-à-dire à la fois la brutalité nécessaire et la candeur suffisante. »
En 1985, Brasseur est pilote de ligne, en passe de séparation avec Nathalie Baye qui en pince pour Johnny Hallyday, dans Détective. Peut-être son rôle le plus touchant, intériorisé, blessé. Une épreuve. Car durant le tournage, Godard se conduit mal avec lui, l’humilie : « Mon pauvre Claude, lui dit-il, il y a vingt ans tu avais encore quelques qualités, maintenant t’as tout perdu. Il ne te reste plus rien du tout. » Godard enfonce le clou dans les Cahiers du cinéma : « Claude est un bon acteur mais surévalué, qui ne sait plus ce qu’il doit faire, qui ne fait que de mauvais films… » (n° 373, juin 1985). L’acteur a la dignité de réagir positivement : « Quand on se fait traîner dans la merde, on est secoué et ça nettoie. »
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Antonio López de Santa Anna y Pérez de Lebrón, né le 21 février 1794 à Xalapa, l'actuelle capitale de l'État de Veracruz, et mort le 21 juin 1876 à Mexico, est un militaire et homme politique mexicain qui exerça à plusieurs reprises le pouvoir au Mexique en qualité de président de la République.
Il était surnommé L'Aigle, le Napoléon de l'Ouest ou le Héros immortel de Cempoala par ses amis et partisans. Ses ennemis, eux, le surnommaient Quince Uñas (Quinze Ongles) en référence à la jambe qu'il perdit en 1838. Durant sa longue carrière politique, il fut tour à tour royaliste, monarchiste, républicain, centraliste, fédéraliste, libéral et conservateur. Il occupa la fonction gouverneur de l'État de Yucatán (1824-1825) puis de celui de Veracruz (1829).
En 1833 Santa Anna se soulève et renverse par un coup d'État le gouvernement de Bustamante, qui cède la présidence Gómez Pedrazs qui a son tour la cède à Santa Anna, qui se retire une première fois en 1835 sous prétexte de maladie.
La présidence échoit le 28 janvier 1835 a Miguel Barragán. En 1839 Anastasio Bustamante lui cède à nouveau la présidence. Cela provoqua une guerre civile, entre les partisans de Bustamante (« les bustamantistes ») et ceux de Santa Anna (« les santanistes »). Le conflit prit fin en 1841, après la chute de Bustamante et le triomphe de Santa Anna. Tout-puissant après cette victoire, il réaffirme son autorité et gouverne le pays d'une main de fer. En 1844, il est de nouveau renversé par les troupes libérales unies contre son gouvernement. Exilé, il revient au Mexique en 1846, après la fin de la république centraliste. Avec ses partisans, il reprend rapidement le pouvoir et élimine farouchement ses opposants. Durant la guerre américano-mexicaine, il s'appuie sur des généraux qui lui sont fidèles comme Pedro María Anaya et Mariano Arista. Secoué par les attaques des fédéralistes et trahi par certains de ces généraux, il est de nouveau chassé du pouvoir et son gouvernement est renversé en novembre 1847.
En exil, il prépare son retour avec l'aide de ses partisans tels que le général Mariano Arista qui, en 1851, renverse le Congrès et prend le pouvoir en attendant le retour de Santa Anna. Chassé à son tour, Arista perd la confiance de Santa Anna, et se voit remplacer à la tête des troupes santanistes par le général Manuel Maria Lombardini, qui permet son retour au pouvoir en 1853.
Chassé définitivement du pouvoir en 1855 par la Révolution d'Ayutla, Santa Anna s'exile. Il revient au Mexique en 1874, où il finira ses jours, suite à une amnistie générale décrétée par le président Sebastián Lerdo de Tejada
Contrairement a une idée reçue, Santa Anna n'a jamais été nommé président à vie.
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Billy Zane est un acteur, producteur et réalisateur américain né le 24 février 1966 à Chicago.
En 1966, à sa naissance, ses parents, tous deux d'origine grecque (Zanikopoulos), s'occupent d'une école technique médicale. Très jeune, il s'intéresse au métier d'acteur. Il participe au Harand Camp of the Theater Arts à Elkhart Lake, Wisconsin. En 1982, il va à l'École américaine en Suisse, puis revient aux États-Unis où il s'inscrit à l'université de Chicago.
Son diplôme en poche, il part en Californie. En trois semaines, il obtient son tout premier rôle dans Retour vers le futur (1985), où il joue l'un des « hommes de main » de Biff, rôle qu'il reprend dans la suite en 1989.
Après un petit rôle dans Critters (1986), il obtient des rôles plus importants dans des téléfilms ainsi que dans le film Calme blanc. En 1996, il obtient le premier rôle dans le film Le Fantôme du Bengale.
En 1997, il joue dans Titanic de James Cameron, qui atteint des records d'entrée dans le monde et rafle de nombreuses récompenses. Malgré cet immense succès, sa carrière peinera à décoller, se contentant de rôles mineurs dans des films sortant directement en vidéo.
En 2000, il prête sa voix au personnage d'Ansem dans la version américaine du jeu vidéo Kingdom Hearts sur PlayStation 2, une collaboration entre les Studios Disney et Square Enix. En 2002, il reprend son rôle dans Kingdom Hearts: Chain of Memories sur Game Boy Advance. À partir de Kingdom Hearts II, sorti en 2005, le rôle est repris par Richard Epcar.
Billy Zane est le frère de l'actrice Lisa Zane. En 1989, il rencontre sa future femme, Lisa Collins, sur le tournage de Calme blanc. Leur mariage dure jusqu'en 1995. Il a été également fiancé à l'actrice anglaise Kelly Brook. En 1999, il rencontre Leonor Varela sur le tournage du téléfilm Cléopâtre, leur liaison durera deux ans.
Il a deux filles avec sa fiancée, le top model américain Candice Neil : Ava Catherine, née en 2011 et Gia, née en 2014.
Filmographie
1985 : Retour vers le futur (Back to the Future) : Match
1986 : Critters : Steve Elliot
1986 : La Loi du campus
1989 : Going Overboard : le roi Neptune
1989 : Calme blanc (Dead Calm) : Hughie Warriner
1989 : Retour vers le futur 2 (Back to the Future Part II) : Match
1990 : Megaville (en) : Palinov / Jensen
1990 : Memphis Belle : lieutenant Val Kozlowski
1991 : Miliardi : Maurizio Ferretti
1991 : Femme fatale (en) : Elijah
1991 : Blood and Concrete : Joey Turks
1992 : Orlando : Shelmerdine
1993 : Betrayal of the Dove : Dr Jesse Peter
1993 : Sniper : Richard Miller
1993 : La Revanche de Jesse Lee (Posse) : le colonel Graham
1993 : Poetic Justice : Brad
1993 : Tombstone : M. Fabian
1994 : Flashfire : Jack Flinder
1994 : Reflections on a Crime (en) : Colin
1994 : Le Silence des jambons (Il Silenzio dei prosciutti) : Joe Dee Foster
1994 : Only You : Harry, le faux Damon Bradley
1995 : The Set Up : Charles Thorpe
1995 : Le Cavalier du Diable (Tales from the Crypt: Demon Knight) : The Collector
1996 : Le Fantôme du Bengale (The Phantom) : le Fantôme / Kit Walker
1996 : Petits meurtres entre nous (Head Above Water) : Kent
1996 : Danger Zone (en) : Rick Morgan
1997 : Liens secrets (en) (This World, Then the Fireworks) : Marty Lakewood
1997 : Titanic : Caledon Hockley
1998 : Pocahontas 2 : Un monde nouveau (Pocahontas II: Journey to a New World) (vidéo) : John Rolfe (voix)
1998 : I Woke Up Early the Day I Died : The Thief
1998 : Susan a un plan (Susan's Plan) : Sam Myers
1999 : God Is in the TV (vidéo) : Yuppie in limo (segment The Dope Show)
1999 : Taxman : George Putter
2001 : Morgan's Ferry (en) : Sam
2001 : Danny Balint (The Believer) : Curtis Zampf
2001 : CQ : Mr. E
2001 : Zoolander : lui-même
2002 : Landspeed (en) : Michael Sanger
2002 : Claim : Roberto Bealing
2003 : Starving Hysterical Naked : Jack
2003 : Imaginary Grace : Nero
2003 : Warnings (Silent Warnings) (vidéo) : le shérif Bill Willingham
2003 : Vlad (en) : Adrian
2003 : The Kiss (en) : Alan Roberts / Philip Naudet jeune
2004 : Big Kiss : Billy
2004 : Silver City : Chandler Tyson
2004 : Lest We Forget (Lest We Forget: The Video Collection) (vidéo) : agent in Limo
2005 : Dead Fish : Virgil
2005 : BloodRayne : Elrich
2005 : Survie : Les Naufragés (Survival Island ou Three) de Stewart Raffill : Jack
2006 : La Vallée des loups - Irak (Kurtlar vadisi - Irak) : Sam William Marshall
2006 : Opération Matchbox (The Last Drop) : lieutenant Robert Oates
2006 : The Pleasure Drivers (en) : Marvin
2006 : Memory : Taylor Briggs
2007 : Mad Zombies : le docteur
2008 : The Man Who Came Back de Glen Pitre : Ezra
2009 : The Hessen Affair : Jack Durant
2009 : Love N' Dancing (en) : Kent Krandel
2009 : Surviving Evil : Sebastian « Seb » Beazley
2011 : Mysteria : Le producteur
2011 : Sniper: Reloaded : Richard Miller
2011 : The Roommate : le professeur Roberts
2011 : Mercenaries (en) : Colonel Torida
2011 : The Kill Hole (uk) : Marshall
2012 : Le Roi Scorpion 3 : L'Œil des dieux : le roi Talus
2012 : Border Run : Aaron Talbert
2012 : Two Jacks (en) : Max Faraday
2012 : A Green Story (en) : Greg Hutchins
2013 : The Employer (en) : Alan
2013 : Blood of Redemption : Quinn
2013 : Scorned (en) : Kevin
2013 : The Ganzfeld Experiment : Le père
2014 : Mining for Ruby : Professeur Sam Goodwell
2014 : Finding Harmony : Casey Colter
2016 : Zoolander 2 de Ben Stiller
2016 : Sniper: Ghost Shooter : Richard Miller
2017 : Sniper: Ultimate Kill (en) : Richard Miller
2018 : Samson (en) de Bruce Macdonald : Roi Balek
2018 : Holmes and Watson (en) : Lui-même
2019 : Cliffs of Freedom (en) de Van Ling : Christo
1986 : La Loi du campus (Brotherhood of Justice) : Les
1987 : Conspiracy: The Trial of the Chicago 8 (en) : l'officier de police
1988 : Arabesque : Tony Gambini (saison 4, épisode 17 : L'Élixir de courte vie)
1988 : Police Story: Monster Manor : l'officier Don Varney
1989 : The Case of the Hillside Stranglers : Kenneth Bianchi
1991 : Mystères à Twin Peaks : John Justice Wheeler (saison 2)
1993 : Les Contes de la crypte : le magicien hacker (épisode Illusions perdues)
1993 : Lake Consequence (en) : Billy
1994 : Un agent très spécial (en) (Running Delilah) : Paul
1999 : Cléopâtre (Cleopatra) : Marc Antoine
2000 : Le Secret du vol 353 (Sole Survivor) : Joe Carpenter
2000 : Hendrix (en) : Michael Jeffrey
2001 : À la poursuite du diamant de Jeru (The Diamond of Jeru) : Mike Kardec
2001 : Invincible (en) : Os
2004 : Mort, impair et passe (Bet Your Life) : Joseph
2005 : Charmed (série télévisée) : Drake Demond (épisodes : The Seven Year Witch, Show Ghouls, Carpe Demon)
2009 : Samantha qui ? : Funk
2009 : Croc d'or (The Gold Retrievers) : Hector
2011 : St. Patrick's Day Leprechaun : ?
2012 : The Ghost of Goodnight Lane : ?
2012 : Hannah's Law (en) : Lockwood
2012 : Barabbas : Barabbas
2014 : Psych : Enquêteur malgré lui : Ian Collins (épisode 10, saison 8)
2015 : Community : patron de Honda (épisode 7, saison 6)
2016 : Guilt : Stan Gutterie
2017 : Legends of Tomorrow : P.T. Barnum
2018 : Cameron Black : L'Illusionniste : Switch / Bishop (Saison 1, 2 épisodes)
2019 : The Boys : Lui-même
1996 : Danger Zone
1997 : Liens secrets (This World, Then the Fireworks)
1998 : I Woke Up Early the Day I Died
2004 : Big Kiss
2001 : Stop for a Minute (série télévisée)
2004 : Big Kiss
Distinctions
1998 : Prix du meilleur second rôle masculin aux Blockbuster Entertainment Awards pour Titanic
2000 : Prix du meilleur acteur au Festival du Film de Série B pour I Woke Up Early the Day I Died
1997 : Nomination pour le Prix du meilleur méchant aux MTV Movie Awards pour Titanic
https://fr.wikipedia.org/wiki/Billy_Zane
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