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Louis XVIII

Publié à 16:45 par dessinsagogo55 Tags : histoire center paris pouvoir centerblog sur merci france saint mort
Louis XVIII

Louis XVIII en costume de sacre,
huile sur toile de
François Gérard, 1815.

 

 

Louis XVIII — né à Versailles le 17 novembre 1755 sous le nom de Louis Stanislas Xavier de France, et par ailleurs comte de Provence (1755-1795) — est roi de France et de Navarre du 6 avril 1814 au 20 mars 1815 puis du 8 juillet 1815 à sa mort, le 16 septembre 1824, à Paris.

 

Quatrième fils du dauphin Louis et frère cadet de Louis XVI, il est appelé « Monsieur » quand ce dernier devient roi. Exilé sous la Révolution française et le Premier Empire, il adopte de jure en tant que prétendant au trône le nom de Louis XVIII, l'ordre dynastique incluant son neveu Louis XVII mort en prison en 1795 (à l'âge de 10 ans) sans avoir jamais régné. Surnommé « le Désiré » par les royalistes, il revient en France lors de la Restauration qui suit la chute de l'empereur Napoléon Ier. Il est renversé durant les Cent-Jours, puis revient à nouveau au pouvoir après la bataille de Waterloo.

 

Durant son règne, considérant l'évolution de la France entre 1789 et 1814, Louis XVIII s'attelle à composer avec les acquis de la Révolution et de l'Empire. Ayant quitté la France, le même jour que son frère (qui fut reconnu et arrêté à Varennes), à 35 ans, il en a 58 quand son règne commence effectivement, après avoir passé 23 ans en exil. Il « octroie » au peuple une constitution utilisant un terme d'Ancien Régime, la Charte constitutionnelle de 1814, mène une politique de réconciliation et d'oubli concernant les violences révolutionnaires en tentant de calmer la Terreur Blanche. Il a dans un premier temps composé avec une chambre parlementaire « plus royaliste que le roi », la Chambre introuvable. Mais en 1820, après l'assassinat de son neveu le duc de Berry, troisième dans l'ordre de succession au trône, la Restauration prend un tournant plus dur, voire réactionnaire, que le roi laisse mener par le président du conseil Villèle. Son règne est aussi marqué par l'expédition d'Espagne (1823).

 

Il meurt sans descendance et est inhumé à la basilique Saint-Denis. Il est le dernier monarque français à recevoir ce privilège, et également le dernier mort sur le trône, les deux suivants ayant été renversés. Son frère puîné, le comte d’Artois, lui succède sous le nom de Charles X. La Restauration prend fin avec la révolution de 1830, qui met sur le trône Louis-Philippe, roi des Français.

 

 



Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_XVIII  
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Catherine-Joséphine Duchesnois

Publié à 16:28 par dessinsagogo55 Tags : paris center centerblog sur merci france saint mort fille
Catherine-Joséphine Duchesnois

Catherine-Joséphine Duchesnois, née Catherine-Joséphine Rafin dite Mademoiselle Duchesnois (5 juin 1777 à Saint-Saulve-8 février 1835 à Paris) est une tragédienne française.

 

À ses débuts, la grande rivale de la « protégée » de Bonaparte, Mademoiselle George, elle-même a été la protégée de Joséphine de Beauharnais. Elle débuta en 1802 dans le rôle de Phèdre et obtint sur-le-champ un succès prodigieux. Elle fut reçue sociétaire du Théâtre-Français en 1804 et quitta la scène en 1833.

Sa figure était réputée peu avantageuse, mais sa taille, sa voix et le jeu de sa physionomie faisaient oublier ce détail. Elle est connue surtout pour les rôles qu'elle à tenus dans les tragédies de Racine et pour ceux qu'elle a créés : Jeanne d'Arc de Charles-Joseph Loeillard d'Avrigny et Marie Stuart de Pierre-Antoine Lebrun.

Elle est enterrée au cimetière du Père-Lachaise

 

Jugements

 

Étienne-Léon de Lamothe-Langon (1830)

« La tragédie a pour remplir ses principaux rôles l'éternelle demoiselle Duchesnois, qui débuta à vingt-cinq ans en 1800 : c'était alors et c'est encore une grande fille fort bien faite, à la voix sonore et douce, et à quelques inspirations de sensibilité que lui fournit son cœur ; mais dans trente ans d'exercice de son emploi, elle aussi est restée stationnaire ; une singulière difficulté à comprendre l'a arrêtée dans sa carrière. Maintenant ses qualités disparaissent et ses défauts augmentent. Ce n'est pas que parfois elle ne retrouve des éclairs de son talent, elle enlève alors les applaudissements. Elle joue dans la perfection le rôle de Phèdre et celui d'Ariane ; elle a des moments superbes dans Marie Stuart, et elle est admirable dans la Jeanne d'Arc de M. d'Avrigny. Elle pourrait être utile à la Comédie-Française, mais la persuasion qu'elle a de sa supériorité sur ses rivales, ses forces qui s'épuisent, sa déclamation toute de l'ancienne école, sa haine pour la tragédie romantique qui a son beau côté, nuisent à ses qualités. On peut la conseiller, elle n'entend pas les observations qu'on lui adresse. »

Théâtre

 

Entrée en 1802

Nommée 216e sociétaire en 1804

Départ en 1829

1802 : Andromaque de Jean Racine, Comédie-Française : Hermione

1802 : Bajazet de Jean Racine, Comédie-Française : Roxane

1802 : Phèdre de Jean Racine, Comédie-Française : Phèdre

1803 : Iphigénie de Jean Racine, Comédie-Française : Eriphile, puis Clytemnestre

1804 : Polyxène d'Étienne Aignan, Comédie-Française : Hécube

1804 : Cyrus de Marie-Joseph Chénier, Comédie-Française : Mandane

1805 : Mithridate de Jean Racine, Comédie-Française : Monime

1805 : Esther de Jean Racine : Esther

1805 : Astyanax de Halma : Andromaque

1805 : Nicomède de Pierre Corneille : Arsinoé

1806 : Athalie de Jean Racine : Josabet puis Athalie

1806 : Antiochus Epiphanes d'Auguste Le Chevalier : Athénaïs

1806 : La Mort de Henri IV, roi de France de Gabriel-Marie Legouvé : Marie de Médicis

1806 : Octavie de Jean-Marie Siouriguères de Saint-Marc : Octavie

1807 : Andromaque de Jean Racine : Andromaque

1807 : Abdélazis et Zuleima de Pierre-Nicolas André de Murville : Zuleima

1807 : Rodogune de Pierre Corneille : Rodogune

1807 : Hamlet de Jean-François Ducis d'après William Shakespeare : Gertrude

1809 : Hector de Jean-Charles-Julien Luce de Lancival : Andromaque

1811 : Mahomet II de Pierre Baour-Lormian : Zulime

1813 : Ninus II de Charles Briffaut : Uzire

1814 : Ulysse de Pierre-Antoine Lebrun : Télémaque

1815 : Jeanne Gray de Charles Brifaut : Jeanne Gray

1815 : Démétrius d'Étienne-Joseph-Bernard Delrieu : Stratonice

1816 : Arthur de Bretagne d'Étienne Aignan : Constance

1817 : Germanicus d'Antoine-Vincent Arnault : Agrippine

1817 : Phocion de Jacques-Corentin Royou : Olympe

1818 : Britannicus de Jean Racine : Agrippine

1819 : Hécube et Polyxène de Pierre-François-Xavier Bourguignon d'Herbigny : Hécube

1819 : Jeanne d'Arc à Rouen de Charles-Joseph Loeillard d'Avrigny : Jeanne d'Arc

1820 : Marie Stuart d'après Friedrich von Schiller : Marie Stuart

1820 : Jean de Bourgogne de Guilleau de Formont : Valentine

1821 : Sylla d'Étienne de Jouy : Valérie

1822 : Regulus de Lucien Arnault : Attilie

1822 : Clytemnestre d'Alexandre Soumet : Clytemnestre

1823 : Le Maire du palais de Jacques-François Ancelot : Bathilde

1823 : Pierre de Portugal de Lucien Arnault : Inès

1824 : Richard III et Jeanne Shore de Népomucène Lemercier : Jeanne Shore

1825 : Judith de Hyacinthe Decomberousse : Judith

1825 : La Clémence de David de Drap-Arnaud : Jeshrael

1825 : Léonidas de Michel Pichat : Archidamie

1826 : Le Siège de Paris de Charles-Victor Prévost d'Arlincourt : Berthe

1827 : Virginie d'Alexandre Guiraud : Valérie

1827 : Le Proscrit ou les Guelfes et les Gibelinsd'Antoine-Vincent Arnault : Dianore

1827 : Blanche d'Aquitaine de Hippolyte Bis : Blanche

1828 : Élisabeth de France d'Alexandre Soumet : Élisabeth

1829 : Isabelle de Bavière d'Étienne-Léon de Lamothe-Langon : Marcelle

1829 : Pertinax ou les Prétoriens d'Antoine-Vincent Arnault : Helvidie

 

 

 



Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Catherine-Jos%C3%A9phine_Duchesnois

 
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Louis Lafitte : Régulus retourne à Carthage

Publié à 14:39 par dessinsagogo55 Tags : search art base sur mode centerblog
Louis Lafitte : Régulus retourne à Carthage
 

 

Louis Lafitte
Régulus retourne à Carthage
1791
 
 
 
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Louis Lafitte

Publié à 14:24 par dessinsagogo55 Tags : png article travail sur prix france roman place chez mort nature fille papier center
Louis Lafitte
 
 
 
 

Louis Lafitte, né le 15 novembre 1770 à Paris et mort dans la même ville le 3 août 1828, est un peintre français.

 

Biographie

 

Louis Lafitte naît à Paris le 15 novembre 1770. Il est fils d'un maître perruquier qui héberge, vers 1778, le peintre Simon Mathurin Lantara (1729-1778), un artiste doué mais pauvre. Lantara décèle un don pour le dessin chez le fils de son hôte. Louis Lafitte devient ainsi l'élève de deux graveurs : Gilles Demarteau (1750-1802) puis, en 1786, Jean-Baptiste Regnault (1754-1829).

Admis à l'Académie royale de peinture et de sculpture à Paris, il obtient le grand prix de Rome de peinture de 1791. Il est le dernier peintre envoyé à Rome sous le règne de Louis XVI.

En 1793, il doit fuir la villa Médicis à cause du soulèvement italien contre les Français. Il se réfugie à Florence, où il est nommé professeur d'académie.

En 1795, il rentre à Paris et s'installe au 17 rue du Théâtre Français (aujourd'hui 21 rue de l'Odéon). Il peint en compagnie des artistes Constance-Marie Charpentier (1767-1849), qui habite les lieux depuis son mariage en février 1793, et Pierre Bouillon, qui demeure dans la même rue

Il se marie en 1796 et a une fille.

Des embarras financiers l'obligent à s'orienter vers la décoration et l'illustration. En 1796, il fournit douze dessins du Calendrier républicain. Il produit aussi des décorations peintes sur papier huilé, destinées à être éclairées et vues par transparence (gravée par Salvatore Tresca).

En 1800, il travaille au château de Malmaison avec l'architecte Charles Percier. Il y orne plusieurs pièces, dont la salle à manger où il peint sur stuc, en camaïeu, huit danseuses dans le style pompéien.

En 1809, le Sénat lui commande une toile monumentale représentant L'Établissement de la République Cisalpine à Milan le 9 juillet 1797. Mais il n'arrive pas à commposer la scène.

En 1810, il décore la maquette en grandeur nature de l'arc de triomphe de l'Étoile, sous lequel l'Empereur et Marie-Louise doivent passer lors de leur entrée à Paris, le 2 avril. Il peint en trompe-l'œil les bas-reliefs représentant Les Embellissements de ParisLa Législationl'Industrie nationaleLa Clémence de l'Empereur et L'Arrivée de l'Impératrice.

Le 9 juin 1811, à l'occasion du baptême du prince impérial, il dessine une médaille commémorative que grave Jean-Bertrand Andrieu (1761-1822). L'avers représente l'Empereur de profil, couronné de lauriers. Le revers le montre debout devant son trône, en costume d'apparat, soulevant son fils au-dessus des fonts baptismaux. Une seconde médaille porte, au revers, l'inscription : « À l'Empereur, les bonnes villes de l'Empire : Paris, Rome, Amsterdam […] » (quarante neuf villes en tout)

De 1800 à 1814, il dessine des modèles pour la Manufacture de Sèvres, dont le vase intitulé Louis XIV règne par lui-même, 1661 (Salon de 1828).

De 1807 à 1808, il réalise les décors du Théâtre de l'Impératrice, reconstruit par Chalgrin.

De 1814 à 1816, il collabore, avec Merry-Joseph Blondel, à douze motifs de papier peint, en camaïeu de gris ou de sépia, sur le thème des Amours de Psyché et de Cupidon, d'après le roman de Jean de La Fontaine.

En 1816, il se rend à Londres. Le roi Georges III lui commande des dessins pour Carlton House, à l'occasion d'une fête.

Revenu en France, il réalise des dessins pour la naissance du duc de Bordeaux en 1820, et pour le sacre de Charles X en 1825.

En 1823, il reçoit les insignes de chevalier de la Légion d'honneur comme dessinateur du cabinet du roi.

Il meurt après une courte maladie, en son domicile sis place des Quatre-Nations (actuelle place de l'institut - 6e arrondissement de Paris), le 3 août 1828.

Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise, dans la (28e division).

Ses biens sont vendus aux enchères du 18 au 24 décembre 1828.

 

 

 
Tombe au cimetière du Père-Lachaise.

 



Thermidor

Publié à 14:10 par dessinsagogo55 Tags : air pouvoir center chez
Thermidor

 
Allégorie pour le mois de Thermidor par Louis Lafitte (1770-1828).
 
 
 

Le mois de thermidor était le onzième mois du calendrier républicain français

Il correspondait, à quelques jours près (selon l'année), à la période allant du 19 juillet au 17 août du calendrier grégorien.

Il tirait son nom « de la chaleur tout à la fois solaire et terrestre qui embrase l'air de juillet en août », selon les termes du rapport présenté à la Convention nationale le 3 brumaire an II (24 octobre 1793) par Fabre d'Églantine, au nom de la « commission chargée de la confection du calendrier ».

L'ère républicaine s'étant achevée le 1er janvier 1806, il n'a jamais existé, dans l'usage légal, de mois de thermidor an XIV.

 

Événements et notoriété

 

Le nom de ce mois est à l'origine du terme thermidorien à la suite de la journée du 9 thermidor an II (27 juillet 1794), au cours de laquelle les robespierristes furent renversés. Cette journée a donné deux noms propres, « 9 Thermidor » et « Thermidor », couramment employés pour désigner la seule journée du 9 thermidor an II.

 

Par analogie avec cet événement, le mot « Thermidor » est parfois employé hors du contexte de la Révolution française pour désigner une autre contre-révolution. L'analogie connut notamment un succès certain chez les observateurs de la révolution russe. Trotsky utilisa le mot Thermidor pour désigner la prise de pouvoir progressive par la bureaucratie stalinienne en Russie dans les années 1920, qu'il assimilait à une contre-révolution, et ce mot est parfois utilisé par les trotskystes pour désigner ce moment historique selon l'analyse qu'en faisait Trotsky. De même, les émigrés russes et opposants libéraux à la révolution utilisent ce terme dès le début des années 1920. En mars 1921, écrivant sous pseudonyme, M. V. Mirkin-Getseich estimait que la révolution russe approchait de son Thermidor après la révolte de Kronstadt. L'analogie conservera une puissance symbolique importante en URSS, puisqu'elle sera réutilisée au moment de la déstalinisation, considérée par certains observateurs russes comme un Thermidor soviétique

 

Le mois de thermidor an VII a vu le début de l'insurrection royaliste de 1799 dans le Toulousain.

 

Concordance des calendriers

 

Tables de concordance des calendriers républicain et grégorien pour le mois de thermidor
An I An II An III An IV An V An VI An VII
1er 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30
19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 1er 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17
Juillet 1793 1794 1795 1796 1797

1798

 

 

1799 Août
An VIII An IX An X An XI An XII An XIII
1er 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30
20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 1er 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18
Juillet 1800 1801 1802 1803 1804 1805 Août

 



Marilyn Monroe : dessinsagogo55

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Marilyn Monroe

Publié à 02:26 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur merci
Marilyn Monroe

 

 

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Marilyn Monroe : dessinsagogo55

Publié à 02:24 par dessinsagogo55
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Marie Louise, duchesse de Parme

Publié à 16:53 par dessinsagogo55 Tags : france centerblog saint enfants mort jeune amitié
Marie Louise, duchesse de Parme

Portrait par François Gérard

 

 

 

Marie Louise (Maria Ludovica Leopoldina Franziska Therese Josepha Lucia; Italien : Maria Luisa Leopoldina Francesca Teresa Giuseppa Lucia ; 12 décembre 1791-17 décembre 1847) était une archiduchesse autrichienne qui régna en tant que duchesse de Parme de 1814 jusqu'à sa mort. Elle fut la seconde épouse de Napoléon et, à ce titre, l' impératrice des Français de 1810 à 1814.

 

En tant qu'enfant aîné de l' empereur des Habsbourg François II d'Autriche et de sa seconde épouse, Marie-Thérèse de Naples et de Sicile , Marie Louise a grandi pendant une période de conflit continu entre l' Autriche et la France révolutionnaire . Une série de défaites militaires aux mains de Napoléon Bonaparte avait infligé un lourd tribut humain à l'Autriche et conduit François à dissoudre le Saint Empire romain . La fin de la guerre de la Cinquième Coalition aboutit au mariage de Napoléon et de Marie Louise en 1810, qui inaugure une brève période de paix et d'amitié entre l'Autriche et l' Empire français. Marie Louise a accepté le mariage bien qu'elle ait été élevée pour mépriser la France. Elle était adorée par Napoléon, qui avait hâte d'épouser un membre de l'une des principales maisons royales d'Europe pour cimenter son Empire relativement jeune. Avec Napoléon, elle enfanta un fils, appelé le roi de Rome à la naissance, plus tard duc de Reichstadt, qui lui succéda brièvement sous le nom de Napoléon II .

 

La fortune de Napoléon a radicalement changé en 1812 après son invasion ratée de la Russie . Les puissances européennes, y compris l'Autriche, ont repris les hostilités contre la France dans la guerre de la sixième coalition , qui s'est terminée par l'abdication de Napoléon et son exil à l' île d' Elbe . Le traité de Fontainebleau de 1814 remit les duchés de Parme, Plaisance et Guastalla à l'impératrice Marie Louise. Elle a dirigé les duchés jusqu'à sa mort.

 

Marie Louise s'est mariée morganatiquement deux fois après la mort de Napoléon en 1821. Son second mari était le comte Adam Albert von Neipperg (marié en 1821), un écuyer qu'elle rencontra en 1814. Elle et Neipperg eurent trois enfants. Après la mort de Neipperg, elle épousa le comte Charles-René de Bombelles , son chambellan, en 1834. Marie Louise mourut à Parme en 1847.

 

 

https://en.wikipedia.org/wiki/Marie_Louise,_Duchess_of_Parma