Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
27.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
En 1571, le comte de Leicester offre un bracelet muni d'une petite montre à la reine Élisabeth Ire En 1722, un artisan parisien aurait fabriqué des montres-bracelets ou des bracelets-montres. En 1790, Jaquet-Droz propose des montres-bracelets à Genève. En 1806, l'impératrice Joséphine commande à François-Régnault Nitot deux bracelets-montres ornés de perles et d'émeraudes afin de les offrir comme cadeau de mariage à sa future belle-fille la princesse Augusta-Amélie de Bavière qui épouse son fils Eugène de Beauharnais.
En 1811, Abraham-Louis Breguet remet une montre-bracelet à complications - dont il a reçu commande en juin 1810 - à la reine consort de Naples, Caroline Bonaparte.
Les horlogers de l'époque proposaient aussi, pour la clientèle féminine, des montres-pendentifs, de taille plus réduite, que l'on suspendait au cou à l'aide d'une chaîne ou d'un ruban. Dans certains cas, c'était plus un bijou qu'un objet fonctionnel : il est en effet peu commode pour celle qui la porte d'y lire l'heure si le XII (12 heures) est du côté de l'anneau bélière, mais cette difficulté a été résolue par certains horlogers qui ont placé le VI (6 heures) du cadran du côté de l'anneau : en relevant devant soi la montre avec l'anneau en bas, on lit le cadran normalement.
Certains horlogers ont réussi au XIXe siècle à miniaturiser le mouvement et le boîtier et à créer ainsi une montre-bague.
La première production en série semble remonter à 1880 : la firme Girard-Perregaux à La Chaux-de-Fonds livre une commande de 2 000 montres-bracelets (munies d'une grille de protection) à l'armée impériale allemande.
« C'est vraisemblablement tout d'abord au cours de la guerre des Boers (1899-1902) que la montre-bracelet fit ses preuves dans la pratique en tant qu'objet d'équipement militaire. Ces expériences se répercutèrent plus tard sur le marché civil en Angleterre. [...] ».
Une montre-bracelet de fortune s'obtient en fixant au poignet leurs montres de gousset par des anses soudées à douze heures et à six heures, ou par fixation du boîtier sur un « berceau » métallique fabriqué spécialement, à un bracelet en cuir ou en tissu muni d'un fermoir ou d'une boucle. Cette transformation permettait à l'utilisateur de consulter son garde-temps d'une manière plus rapide et plus pratique, tout en le rendant moins vulnérable aux chocs ou aux chutes. Le remontoir (et donc la couronne de remontoir) commencèrent à être placés latéralement à 3 heures.
On trouve cependant un grand nombre de montres-bracelets (souvent des montres de gousset modifiées, « demi-savonnettes », etc.) bien avant la fin du XIXe siècle. Au départ, il s'agit plutôt d'articles de prestige. Ainsi la firme suisse Omega produit-elle la première montre-bracelet à répétition-minutes en 1892 (la montre est équipée d'un mouvement Audemars Piguet). La première montre-bracelet de série de la même firme remonte à 1900. Au début, il est assez courant de porter la montre au poignet droit : on fixe donc la couronne du remontoir à 9 heures (et non à 3 heures comme aujourd'hui)
Les premières montres-bracelets pour hommes sont considérées comme farfelues, voire très efféminées.
En 1914, la montre-bracelet fait encore figure de nouveauté, mais est très répandue :
« L'exposition nationale suisse de Berne (1914) est la consécration de la montre-bracelet dans toute sa variété, dans toute sa richesse et avec la décoration modeste et de bon goût que permet le peu de matière employée. Aucun des exposants ne s'est soustrait à la mode bracelet. Touchante unanimité ! »
— Adrien Brandt (vice-président d'Omega).
Pendant la Première Guerre mondiale, Omega produit des montres-bracelets militaires (équipées d'une grille métallique ajourée devant le cadran) : le calibre 13" équipe certaines troupes du corps expéditionnaire américain. La Grande Guerre achève d'ailleurs de populariser la montre-bracelet, qui ne cesse de se miniaturiser et de se perfectionner par la suite.
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Un réveille-matin (également écrit réveil-matin et souvent abrégé en réveil) est un système qui émet un son à une heure pré-déterminée. On l'utilise généralement pour se réveiller le matin, d'où son nom. Il peut s'agir d'un appareil destiné à cet usage, généralement une horloge, ou d'autres appareils ayant une fonction réveille-matin tels que : la montre, le téléphone mobile, l'ordinateur, la télévision, la radio, etc.
Histoire
Platon (428–348 av. J.-C.) met au point un système de réveil sur une horloge à eau : un sifflement prévient que la cuve est vide. Il l'aurait utilisé pour arrêter de s'assoupir lors de ses longs travaux et lectures nocturnes
Philon de Byzance (vers 280-220 av.JC) développe un mécanisme permettant de mesurer le temps écoulé: de l'eau contenue dans un récipient initial s'écoule lentement dans un autre récipient. Celui-ci est recouvert d'un plateau sur lequel sont disposées des boules et dans son fond se trouve un flotteur. Peu à peu, le flotteur remonte et produit le basculement du plateau, faisant tomber les boules sur un réceptacle en métal
Avec l’avènement de l'horlogerie mécanique, à la fin du XIIIe siècle en Europe, les cloches, omniprésentes, font office de sonnerie de réveil. Dante Alighieri décrit en 1319 le son d'un réveil de monastère mais ce système de réveil existait déjà depuis plusieurs années.
Le premier véritable réveil a été créé par l'américain Levi Hutchins en 1787. Ce jeune apprenti horloger avait, selon la légende, du mal à se lever le matin. Il a mis au point un ingénieux dispositif de réveil sans pour autant le commercialiser ou le développer. Antoine Redier, horloger et inventeur français, est le premier, en 1847, à déposer un brevet pour un réveil mécanique réglable.
Le mot "réveille-matin" est invariable : les réveille-matin au pluriel. En effet, « réveille » est un verbe (donc invariable), et « matin » est un nom.
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