Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
21.06.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
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Par Anonyme, le 31.05.2024
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Par Richard , le 27.05.2024
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Par Anonyme, le 21.05.2024
ce qui a définitivemen t condamné le bismark c'est le fait que son gouvernail endommagé a l'a empêché de manoe
Par Anonyme, le 13.05.2024
Histoire
Le plus ancien seigneur connu est Pierre de Taillancourt (1175), sa famille possédait une maison forte aujourd’hui disparue.
En 1574, de nombreuses familles détiennent une partie de la seigneurie de Taillancourt, dont Claude 1er de Verrières, écuyer, seigneur d'Amanty. Ses droits dérivent sans doute de son mariage avec Jeanne Le Bégat.
Nous comptons également, parmi les seigneurs de Taillancourt au XVIe siècle, Jean-Ambroise de Malabarbe et Louis 1er de Vigneulles.
Le 31 août 1581, Jean-Ambroise de Malabarbe, époux d'Elisabeth le Bégat, cède ses propres droits dans la seigneurie de Taillancourt à son beau-frère Claude en échange d'une partie de la seigneurie de Maxey-sur-Vaise.
La famille de Verrière accroît donc ses droits sur Taillancourt.
Claude II de Verrières, fils du précédent, est qualifié de seigneur de Taillancourt le 14 mai 1596, lors de son mariage avec Louise des Salles. Après rachat du château féodal de Montbras et de ses dépendances à Louis 1er de Vigneulles, il devient également seigneur de Montbras.
Par extinction de la ligne masculine de la famille de Verrières, les seigneuries en partie de Montbras, Amanty et Taillancourt entrent en possession de la famille de Sommyèvre, par Jacqueline de Verrières, dont la fille Catherine de Méry épouse Simon de Sommyèvre, seigneur de Juilly et chevalier de l'Ordre du roi.
En 1724, Gaspard de Sommyèvre est encore seigneur en partie de Taillancourt.
Jadis diocèse de Toul, bailliage de Chaumont, prévôté de Vaucouleurs et de la Champagne (donc de France).
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Politique et administration
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
1995 | En cours (au 29 mai 2020) | François Mazelin Réélu pour le mandat 2020-2026 |
Adresse
2 place du Gué-de-Chermont
Téléphone : 03 29 90 86 34
Email: commtaillancourt@wanadoo.fr
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004.
En 2021, la commune comptait 123 habitants, en diminution de 8,21 % par rapport à 2015 (Meuse : −4,57 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
486 | 510 | 493 | 492 | 477 | 498 | 496 | 462 | 437 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
394 | 374 | 376 | 387 | 352 | 322 | 288 | 275 | 242 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
240 | 240 | 216 | 194 | 179 | 167 | 180 | 149 | 154 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2006 | 2009 |
129 | 108 | 115 | 96 | 98 | 121 | 131 | 132 | 145 |
2014 | 2019 | 2021 | - | - | - | - | - | - |
136 | 124 | 123 | - | - | - | - | - | - |
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L’église Saint-Gengoult
Culture locale et patrimoine
Un lavoir construit dans la seconde moitié du xviiie siècle (Second Empire) et restauré en 1853. Bâtiment de plan allongé, précédé d'un porche en pierre de taille. Il est couvert d'un toit « à impériale » couvert de « tuiles violons ».
Un pont de pierre et poutrelles d'acier datant du XIXe siècle enjambe un bras de la Meuse.
La rue Delle, vers le nord, est composée d'un bel alignement de portes charretières du XVIIIe. On y trouve une maison à la porte piétonne décorée d'un cartouche.
L’église Saint-Gengoult date de 1760. Le chœur et le clocher sont de 1841. Elle a été reconstruite en 1860 à l'emplacement de celle construite au xve siècle.
Trois fontaines datant de 1900.
À 100 mètres du village, château-Hostellerie de l'Isle en Bray à Montbras.
Monuments aux morts, guerre de 1914-1918.
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Rudolf-Christoph Freiherr von Gersdorff, né le 27 mars 1905 à Lüben et mort le 27 janvier 1980 à Munich, est un baron allemand, officier de la Reichswehr et général de brigade dans la Wehrmacht. Membre de la résistance active des officiers de la Wehrmacht contre Adolf Hitler, il tenta de l'assassiner par un attentat-suicide, et découvrit les charniers du massacre de Katyn. Il a reçu la croix de commandeur de l'ordre du Mérite de la République fédérale d'Allemagne en 1979.
Jeunesse et formation
Son père, le baron Ernst von Gersdorff (1864-1926), ancré en Silésie, capitaine de cavalerie qui deviendra par la suite général de division, est issu d'un des plus anciens lignages nobles allemands. Sa mère, Anna Adele Alexandrine Christine (Berlin 9 janvier 1880-Breslau 24 juin 1944) (surnommée « Tina »), née comtesse et burgrave (titres du Saint-Empire romain germanique équivalant en France au titre de comte) zu Dohna-Schlodien (1880-1944), vient de Prusse orientale.
Né à Lubin, ville de garnison de Silésie, fils cadet, le baron Rudolf-Christoph von Gersdorff est scolarisé à Lubin jusqu'à l'Abitur puis entre comme aspirant dans la Reichswehr en 1923. En 1934, il épouse Renata Kracker von Schwarzenfeld (1913- Berlin 15 janvier 1942, suicide), héritière de la dynastie industrielle silésienne von Kramsta. De ce mariage naît une fille, Lory Reinach. En 1953, il se remarie avec Marie-Eva (Hanovre-Linden 26 décembre 1925-Murnau 12 janvier 1986), épouse en premières noces de Kurt von Wallenberg Pachaly (b.Kentschkau) von Waldenburg, divorcée en 1952 et descendante du prince Auguste de Prusse (1779-1843). Ce mariage se solda par un divorce trois ans plus tard (1956), et von Gersdorff se maria une troisième fois avec une autre Silésienne, nommée Irmgard.
Gersdorff reçut une éducation militaire de base à Breslau dans la célèbre caserne des Kleinburger où, depuis des générations, ses ancêtres avaient servi au 1er régiment silésien de cuirassiers "Grand Électeur". Il fut promu au grade de lieutenant en 1926, et capitaine de cavalerie en 1938. De 1938 à 1939 il séjourna à la Preußische Kriegsakademie de Berlin pour y recevoir une formation d'officier d'état-major (Offiziere im Generalstabs).
Seconde Guerre mondiale
En 1939, Gersdorff prend part à la campagne de Pologne avec l'unité qui lui avait été confiée à la suite de son succès à l'École de guerre. En 1941, par l'entremise de son cousin Fabian von Schlabrendorff, il est muté au groupe d'armées Centre pour l'opération Barbarossa. Là, il accomplit en tant qu'officier de liaison de l'Abwehr son service dans la Stabsabteilung et dirige les services de reconnaissance. Le but de cette mutation était avant tout de lui permettre l'accès au cercle des conspirateurs qui s'était formé autour de la personne d'Henning von Tresckow.
Peu après la vaine tentative du colonel d'état-major Henning von Tresckow, le 13 mars 1943, de tuer Hitler au moyen d'une bombe dissimulée dans son avion, Gersdorff se résout à commettre un attentat-suicide contre Hitler.
Le 21 mars 1943, Hitler inaugure, à l'occasion de la fête des héros (fête de commémoration des héros), une exposition à l'Arsenal de Berlin sur les armes prises aux Soviétiques. Gersdorff avait été détaché comme expert de l'exposition. Il voulut se sacrifier en faisant sauter Hitler et les autres dirigeants présents – Göring, Himmler, Keitel et Dönitz – au moyen de deux mines magnétiques de type Clam qu'il gardait dans les poches de son manteau. Quand il jugea le moment opportun, Gersdorff s'isola et ne réussit à enclencher qu'un seul des deux minuteurs, disposant alors de dix minutes pour s'approcher d'Hitler. Mais celui-ci visita l'exposition au pas de course et quitta le bâtiment avant que Gersdorff n'ait eu le temps de le rejoindre. In extremis, ce dernier réussit à désamorcer le détonateur dans les toilettes. Après cet échec, il fut immédiatement réaffecté au front de l'Est.
En vue du complot du 20 juillet 1944, Gersdorff garda l'explosif et le détonateur, préalablement subtilisés dans les stocks de l'Abwehr par le conspirateur Wessel Freytag von Loringhoven, pour Claus von Stauffenberg. Ses camarades détenus ne l'ayant pas dénoncé, il put éviter l'emprisonnement et le jugement. Ainsi Gersdorff fut l'un des rares membres de la Wehrmacht ayant activement résisté à la dictature nationale-socialiste à survivre à la guerre.
En avril 1943, Gersdorff découvre accidentellement les fosses communes de plus de 4 000 officiers polonais assassinés et enfouis par les unités soviétiques du NKVD lors du massacre de Katyń en 1940.
En 1944, il est muté en France sur le Mur de l'Atlantique et reçoit, le 26 août 1944, la croix de chevalier de la croix de fer pour son plan d'évacuation de la poche de Falaise. En 1945, il est promu général de brigade, puis est fait prisonnier de guerre par les Américains, détenu jusqu'en 1947.
République fédérale d'Allemagne
Après la décision du Bundestag sur le réarmement, les tentatives de Gersdorff pour être accepté dans la Bundeswehr ont échoué. Dans ses mémoires, il en rend responsable le secrétaire d'État Hans Globke et les cercles d'anciens officiers de la Wehrmacht qui ne voulaient tolérer aucun « traître » au sein de la Bundeswehr.
Gersdorff, qui devient paraplégique après un accident de cheval, consacre ensuite le restant de sa vie à des actions de bienfaisance pour l'ordre souverain de Malte, dont il est commandeur honorifique. Il est président fondateur des services d'urgence de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, président du conseil d'administration de 1952 à 1963.
En 1979, la croix de commandeur de l'ordre du Mérite de la République fédérale d'Allemagne lui est décernée, en récompense de ses services exceptionnels.
La caserne Generalmajor-Freiherr-von-Gersdorff, à Euskirchen, a reçu son nom en son honneur.
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Bertrand Piccard, né le 1er mars 1958 à Lausanne, est un psychiatre, explorateur et environnementaliste suisse. Il a réussi, avec le pilote britannique Brian Jones, le premier tour du monde en ballon (du 1er au 21 mars 1999) à bord du ballon Breitling Orbiter 3 et a codéveloppé et piloté l'avion solaire Solar Impulse, en alternance avec André Borschberg, autre pilote avec lequel il réalise un tour du monde de mars 2015 à juillet 2016. Depuis 2012, il est « Champion de la Terre », un projet des Nations unies pour l'environnement. Il est le fondateur et président de la Fondation Solar Impulse (en).
Il est le fils de l'océanographe Jacques Piccard et le petit-fils du physicien Auguste Piccard.
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Daniel Cohn-Bendit, né le 4 avril 1945 à Montauban (Tarn-et-Garonne), est un homme politique germano-français ; actif en politique aussi bien en Allemagne qu'en France, il obtient la nationalité française en 2015.
Né en France de parents allemands militants d'extrême gauche puis antinazis, il fait ses études supérieures en France, à l'université Paris-Nanterre. Militant libertaire, il accède à la notoriété durant le mouvement de mai 68, dont il est l'un des porte-paroles. N'ayant pas à l'époque la nationalité française, il est expulsé en Allemagne par le gouvernement français.
À partir des années 1980, Cohn-Bendit mène une carrière politique en Allemagne comme élu du parti écologiste Alliance 90/Les Verts à Francfort-sur-le-Main. Il devient député européen des Verts allemands en 1994 puis est réélu député européen sur une liste des Verts français en 1999, faisant à cette occasion son retour sur la scène politique française. Lors des élections européennes de 2009, il mène la liste d'Europe Écologie en Île-de-France. Sa liste se place deuxième avec 20,9 % des voix, un record pour le parti. Favorable à la mise en place d'une Europe fédérale, il est coprésident du groupe Verts/ALE au Parlement européen de 2002 à 2014.
Alors qu'il était surnommé « Dany le Rouge » en mai 68, Daniel Cohn-Bendit effectue un virage idéologique, adhérant progressivement au libéralisme économique tout en revendiquant l'étiquette de « libéral-libertaire ».
Il a fait l'objet d'accusations de pédophilie, ou d'apologie de la pédophilie, notamment fondées sur son ouvrage Le Grand Bazar, publié en 1975, mais a toujours rejeté ces accusations et n'a jamais été poursuivi en justice.
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Pierre Bérégovoy , né le 23 décembre 1925 à Déville-lès-Rouen (alors en Seine-Inférieure) et mort le 1er mai 1993 à Nevers (Nièvre), est un homme d'État français. Il est Premier ministre du 2 avril 1992 au 29 mars 1993, sous la présidence de François Mitterrand.
Issu d'un milieu modeste, il commence son engagement politique auprès de Pierre Mendès France avant d'adhérer au Parti socialiste (PS). Après l'élection présidentielle de 1981, il est nommé secrétaire général de la présidence de la République par François Mitterrand.
Tout en étant élu dans la Nièvre, il est successivement ministre des Affaires sociales et de la Solidarité nationale de 1982 à 1984 et ministre de l'Économie et des Finances de 1984 à 1986 puis entre 1988 et 1992, ainsi que ministre de la Défense en 1993.
Nommé Premier ministre par le président Mitterrand en 1992, il est le chef du gouvernement sous la Ve République le plus âgé lors de sa nomination ; ce record est toujours inégalé. Il quitte ses fonctions l'année suivante, en raison de la lourde défaite de la gauche aux élections législatives.
Visé par des soupçons de corruption visant sa personne, il se suicide un mois plus tard
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Édouard Balladur , né le 2 mai 1929 à Izmir (Turquie), est un haut fonctionnaire et homme d'État français. Membre des principaux partis gaullistes successifs, il est Premier ministre du 29 mars 1993 au 17 mai 1995.
Conseiller d'État, il intègre en 1964 le cabinet de Georges Pompidou, alors chef du gouvernement, et participe aux accords de Grenelle dans le cadre de Mai 68. Devenu secrétaire général de la présidence de la République en 1973, il est particulièrement influent en raison de la maladie du président Pompidou, qui meurt l’année suivante.
En 1986, il est élu député de Paris et nommé dans la foulée ministre d'État, ministre de l'Économie, des Finances et de la Privatisation dans le premier gouvernement de cohabitation, dirigé par Jacques Chirac jusqu’en 1988. Dans un contexte mondial de révolution conservatrice, il conduit une politique libérale, lançant un programme de privatisations après cinq ans de pouvoir socialiste.
François Mitterrand le nomme Premier ministre à la suite de la large victoire de l'Union pour la France (RPR-UDF) aux élections législatives de 1993, inaugurant la deuxième cohabitation. Candidat à l'élection présidentielle de 1995, soutenu par l'UDF et une partie du RPR, pour lequel Jacques Chirac se présente également, Édouard Balladur est longtemps favori, avant de finir en troisième position avec 18,58 % des voix. Par la suite mis en cause pour des soupçons de financement occulte de sa campagne, il est relaxé par la Cour de justice de la République en 2021.
Il retrouve son siège de député en 1995, envisage de conduire la droite aux élections municipales de 2001 à Paris et préside la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale de 2002 à 2007. Proche de Nicolas Sarkozy, il conduit les travaux de deux comités consultatifs sous la présidence de celui-ci (sur les institutions puis les collectivités locales) et se retire de la vie publique en 2009, tout en restant un conseiller informel de nombreuses personnalités de droite.
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(guitar instrumental)
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