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27.11.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
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Adieu poulet est un film français réalisé par Pierre Granier-Deferre et sorti le 10 décembre 1975.
Le scénario est adapté d'un roman inspiré par un fait divers survenu en 1971 à Puteaux.
Alors que la campagne électorale bat son plein à Rouen, le commissaire Verjeat et les inspecteurs Lefèvre et Moitrier enquêtent dans une maison close : l'un des clients est mort en pleine extase. Avant que Verjeat ne décide quel tour faire prendre à son enquête, la tenancière de la maison le prévient qu'elle connaît nombre de personnalités importantes. Le commissaire comprend que cette enquête n'ira jamais très loin.
Après avoir déposé Verjeat à son domicile et Lefèvre sur la route, Moitrier s'apprête à rentrer chez lui, quand un message du central le prévient d'un délit en cours : des colleurs d'affiche sont en train de se faire agresser, et l'un d'eux est battu à mort par un voyou. Lorsque Moitrier arrive, il tente de les arrêter, mais le voyou lui tire une balle à bout portant. Arrivé à l'hôpital, Moitrier confie à Lefèvre qu'il a reconnu dans son agresseur Antoine Portor, l'un des hommes de Pierre Lardatte, candidat à l'élection. Peu après, Moitrier meurt. Verjeat se rend accompagné à l'une des permanences de Lardatte, où il trouve Roger Portor, le frère d'Antoine. Il le prévient que son frère a intérêt à se rendre rapidement. Puis il se rend à un meeting de Lardatte : celui-ci dit être attristé par la nouvelle, mais ne pas connaître personnellement les membres de son service de sécurité.
De retour au central, le contrôleur général Ledoux, supérieur de Verjeat, lui conseille « amicalement » de se concentrer sur Portor, lui s'occupant de Lardatte. Quelques jours après, Mercier, le père du colleur d'affiches, fait irruption dans le bureau de Lardatte, à la mairie, et prend en otage avec deux autres hommes les employés qui s'y trouvent. Verjeat, sous la surveillance de Ledoux et de Lardatte, est chargé de le ramener à la raison de façon pacifique : pour ce faire, il lui propose par téléphone de profiter du haut-parleur de la police pour faire passer son message. Mercier s'adresse alors violemment à Lardatte, le traitant d'assassin ; la foule alentour ne perd pas une miette du discours. Puis Verjeat se rend dans la mairie et convainc de manière un peu brusque Mercier et ses complices de se rendre. Mais Lardatte est bien décidé à faire payer cette humiliation au commissaire : grâce à ses relations, il parvient à le faire nommer contrôleur général à Montpellier. Il doit partir la semaine suivante, en laissant l'affaire en cours à son successeur, le commissaire Pignol, plus adepte des méthodes de cow-boy que de celles réclamant de la subtilité. Après son pot de départ, Verjeat explique à Lefèvre qu'il ne peut refuser une telle promotion mais qu'il a bien l'intention de s'amuser un peu avant de s'en aller.
Pendant ce temps, les bureaux de Lardatte sont cambriolés par des complices d'Antoine Portor, aidés de sa femme. Mais à un barrage de gendarmerie, leur voiture part en tonneau : les deux hommes sont tués, la femme grièvement blessée. Verjeat apprend de la bouche de Roger Portor que le cambriolage était destiné à mettre la main sur la comptabilité de Lardatte, pour qu'il aide son frère à quitter la France. La comptabilité a brûlé dans l'accident mais le commissaire cache la vérité aux journalistes. Puis Verjeat met en place à l'hôpital une surveillance de la blessée, dans l'espoir de coincer son mari : en fait, c'est l'un de ses inspecteurs qui est dans le lit, Marie Portor étant décédée. Ledoux et Pignol sont laissés dans l'ignorance de la supercherie.
Alors qu'il doit être de surveillance à l'hôpital, Lefèvre passe à la maison close pour informer la patronne de la teneur de son rapport. Il lui explique que Verjeat, frustré d'être obligé de partir de Rouen, lui a demandé de la charger au maximum : ses protections ne pourront rien contre un fonctionnaire sur le point d'être muté. Après avoir refusé de coucher avec lui, la tenancière de l'établissement lui propose de l'argent. Le soir même, trois complices de Portor tentent d'enlever sa femme à l'hôpital : l'un d'eux est blessé, les deux autres tués par les inspecteurs en embuscade. Le lendemain, Lefèvre est sommé par Verjeat de s'expliquer sur son absence de la nuit. Il lui répond qu'il s'était endormi puis lui remet le rapport sur le décès à la maison close. Verjeat est furieux, et lui demande de revoir le rapport ; Lefèvre appelle la patronne pour lui avouer son échec. Celle-ci se rue au tribunal, où elle est reçue par le juge Delmesse pour répondre d'une accusation de proxénétisme. Très calme, elle lui répond qu'il faut ajouter la corruption de fonctionnaire à cet acte d'accusation puisqu'elle a donné de l'argent à Lefèvre. Celui-ci se défend mal devant le juge, qui apprécie fortement les affaires de corruption ; l'inspecteur poussé à bout finit par dire qu'il n'est pas le seul corrompu dans cette affaire.
De retour au central, il est reçu par une gifle magistrale de Verjeat : pour se sauver, il a accusé son supérieur d'avoir reçu des pots-de-vin bien supérieurs à ceux qui lui sont reprochés. Devant Ledoux, Verjeat clame son innocence, mais cette nouvelle fait le tour de la ville : les indicateurs de police, puis les détenus de la prison de Rouen, le traitent rapidement comme un pourri et refusent de traiter avec lui. Devant Delmesse, le commissaire se défend mais le juge semble convaincu de sa culpabilité. Le temps de l'enquête, le magistrat lui demande de ne pas quitter Rouen mais lui permet de continuer l'enquête sur Portor. Puis Verjeat se rend au domicile de Lefèvre et fête avec lui cette première réussite : il n'est plus obligé de partir pour Montpellier et peut récupérer l'enquête que Ledoux avait fini par confier à Pignol. En fait, les deux policiers avaient organisé cette mise en scène de corruption afin de permettre à Verjeat de pouvoir rester à Rouen par ordonnance judiciaire. Cerise sur le gâteau : Lardatte lui a téléphoné. Lorsqu'il le rencontre, le candidat lui explique qu'il pourrait l'aider dans cette affaire avec Delmesse, en échange de quoi Verjeat pourrait aider Lardatte à son tour. Le jour suivant, les deux policiers apprennent que Portor a été « logé ». En dépit des précautions prises, celui-ci arrive tout de même à s'enfuir. De retour au central, Ledoux les convoque et leur apprend que Pignol est passé voir « Madame Portor » à l'hôpital. Verjeat et Lefèvre sont obligés de lui avouer que l'affaire de corruption n'était qu'un plan monté par le commissaire pour pouvoir continuer l'enquête et coffrer à la fois Portor et Lardatte ; l'argent extorqué à la tenancière du lupanar a été déposé chez un huissier, il n'y a donc pas d'affaire. Sans Portor, impossible de s'occuper de Lardatte ; le plan a échoué. Ledoux, furieux, lui ordonne de partir dès le lendemain pour Montpellier ; il expliquera au juge Delmesse de quoi il retourne dans son affaire, mais prévient Verjeat qu'il n'empêchera pas le juge de l'accuser d'outrage à magistrat si Delmesse le souhaite.
Pignol apprend à ce moment que Portor est dans la maison de Lardatte et l'a pris en otage. Le criminel réclame Verjeat et refuse de discuter tant avec Pignol qu'avec Ledoux. Le contrôleur demande alors à Verjeat de parlementer avec Portor ; le commissaire se saisit du haut-parleur et dit : Verjeat, il est à Montpellier, Verjeat !
Puis il se tourne vers Lefèvre et le salue : Adieu poulet…
Fiche technique
Titre : Adieu poulet
Réalisation : Pierre Granier-Deferre
Scénario : Francis Veber, d'après Adieu poulet !, un roman de Raf Vallet, éditions Gallimard, collection Super noire no 1
Production: Alexandre Mnouchkine et Georges Dancigers pour Les Films Ariane et Mondex Films
Photographie : Jean Collomb
Décors : Maurice Sergent
Montage : Jean Ravel
Son: Bernard Bats
Musique: Philippe Sarde
Genre : policier
Durée : 87 minutes
Pays : France
Date de sortie : 10 décembre 1975(France)
Lieux de tournage : Rouen et ses environs.
Distribution
Lino Ventura: le commissaire principal Verjeat
Patrick Dewaere : l'inspecteur Lefèvre
Victor Lanoux : Pierre Lardatte
Julien Guiomar : le contrôleur général Ledoux, le directeur de la police
Pierre Tornade : le commissaire Pignol
Françoise Brion : Marthe, la tenancière du bordel
Claude Rich : le juge Delmesse
Claude Brosset : Antoine Portor
Michel Peyrelon : Roger Portor
Gérard Hérold : l'inspecteur Moitrier
Gérard Dessalles : l'inspecteur Ransac
Michel Beaune : l'inspecteur Dupuy
Jacques Serres : l'inspecteur Martin
Henri Attal : un homme de Lardatte
Jacques Rispal : Mercier
Dominique Zardi : le blessé hospitalisé
Valérie Mairesse : la fille cocarde
Christine Laurent : la prostituée
Patrick Feigelson : Louis
Jean-Yves Gautier : Letellier
Pierre Londiche : Jeanvier, l'indicateur au chien
Christiane Tissot : Marie Portor
André Malfuson : Estève
Charles Dalin : Sergio
Lionel Vitrant : le pompiste
Sylvie Meyer : une infirmière
Ève Francis : la vieille dame
Marie-Pierre de Gérando : le commandant de gendarmerie
Raoul Curet : le président
Jean Turlier : Moissat, le cafetier
Henri Lambert : Norbert
Sylvain Lévignac : Le faux blessé
Jean Collomb : Le garçon de café
Michel Robin
Production
Le fait divers dont s'inspire le scénario est la fusillade de Puteaux, qui a lieu en 1971.
Autour du film
Ève Francis, qui apparaît dans un petit rôle de vieille dame, est une ancienne star du cinéma muet : elle interprétait le rôle principal dans Le Silence de Louis Delluc en 1920 ou El Dorado de Marcel L'Herbier en 1921.
Lors de sa sortie DVD en France en avril 2009, le film est classé sur le verso de la jaquette « interdit aux moins de 12 ans », alors que le film est sorti en salles « tout public ».
Distinctions
Césars 1976 :
Double nomination au César du meilleur acteur dans un second rôle pour Victor Lanoux et pour Patrick Dewaere
Nomination au César du meilleur montage pour Jean Ravel
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Un ksar, ou ighrem (en arabe : قصر [qasr], berbère : ⵉⵖⵔⵎ [iɣrem]), au pluriel respectivement kosour (قصور [qoṣūr]), et igherman (ⵉⵖⵔⵎⴰⵏ [iɣerman]), est un village fortifié d'architecture berbère que l'on trouve en Afrique du Nord
.
Au pluriel, on trouve aussi les formes « ksars », "ksours" ou « kosours »
.
Description
Forteresse, elle est toujours située dans un emplacement spectaculaire, soit perchée sur un promontoire escarpé accroché à une paroi rocheuse soit dressée au-dessus d'une oasis.
Combinant généralement des greniers et des habitations, les ksour se rencontrent communément sur des contreforts proches d'oasis afin de se protéger d'attaques venant de tribus nomades.
Un ksar est composé de cellules, appelées ghorfas (« chambres » en arabe), qui servent à entreposer les denrées en prévision de plusieurs années successives de sécheresse.
Certains ksours comme le ksar de Tissergate (Zagora, Maroc) n'ont qu'une seule porte d'entrée permettant ainsi de surveiller les entrées - sorties et de fermer le ksar la nuit.
Étymologie
Le mot ksar est emprunté à l'arabe qasr (« château », « village fortifié »), qui vient lui-même du latin castrum (« fort » ou « place forte »). Il a donné le mot alcázar en espagnol. Le mot d'origine désignant ce type d'architecture, qui est utilisé en berbère, est ighrem
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La longhorn est une race bovine britannique.
Origine
Elle provient du district de Craven, au Nord de l'Angleterre. C'est la plus ancienne pure race britannique. Elle fut promue au xviiie siècle par Robert Bakewell, un gentleman farmer qui mit en place une sélection génétique rigoureuse. Ce travail conduit à une race très spécialisée en production de viande qui va dominer l'élevage britannique au début du xxe siècle avant d'être supplantée par sa cousine shorthorn. Ses effectifs la conduisaient à la disparition quand le RBST (Rare Breed Survival Trust) a entrepris sa sauvegarde.
Caractéristiques
Elle porte une robe mouchetée rouge, noire ou rouanne avec une ligne dorsale et un ventre blancs. Elle porte de splendides cornes incurvées en roue vers la face.
La vache mesure 130-140 cm pour 550-600 kg contre 150 cm pour 1 000 kg pour les taureaux.
Aptitudes
C'est une race bouchère réputée pour sa viande tendre et finement marbrée, recherchée par des chefs britanniques et même certains chefs français qui trouvent cette viande plus tendre et plus goûteuse que celle de Limousine ou de Charolaise. Longtemps, sa docilité et sa force de travail en ont fait une race de trait recherchée.
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Hubert Védrine, né le 31 juillet 1947 à Bellegarde-en-Marche (Creuse), est un haut fonctionnaire et homme politique français longtemps membre du Parti socialiste. Après avoir travaillé avec le président François Mitterrand comme conseiller diplomatique puis secrétaire général de l'Élysée, il est nommé au Conseil d'État en 1986. Hubert Védrine devient par la suite ministre des Affaires étrangères dans le gouvernement Lionel Jospin, de 1997 à 2002, sous la présidence de Jacques Chirac.
Il est l’auteur de plus d’une vingtaine d’ouvrages et intervient régulièrement dans les médias français sur les sujets de géopolitique en France et à l'étranger.
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Michel-Joseph Dubocage, seigneur de Bléville, né au Havre dans le quartier Notre-Dame, le 28 janvier 1676, où il est mort le 10 mai 1727, est un navigateur, corsaire, explorateur et négociant-armateur français.
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Mikhaïl Timofeïevitch Kalachnikov (en russe : Михаил Тимофеевич Калашников), né le 10 novembre 1919 à Kouria, dans le gouvernement de l'Altaï (RSFS de Russie) et mort le 23 décembre 2013 à Ijevsk en Oudmourtie, à l'âge de 94 ans, est un ingénieur et lieutenant-général russe, inventeur de l'AK-47, arme qui porte son nom.
Biographie
Né en 1919 dans une famille paysanne koulak du village de Kouria (alors dans le gouvernement de l'Altaï, aujourd'hui dans le kraï de l'Altaï), il est 17e d'une fratrie de 19 enfants, dont huit ont survécu. En 1925, alors qu'il n'est âgé que de 6 ans, il contracte une forte fièvre et échappe de peu à la mort. Victime de la « dékoulakisation » organisée par Staline qui veut supprimer les Koulaks (jugés hostiles aux idéaux révolutionnaires), il connaît à l'âge de 11 ans la déportation dans l'oblast de Tomsk, en Sibérie avec toute sa famille. Il s'évade deux fois à l'âge de 15 et de 17 ans, puis travaille dans un dépôt du chemin de fer Turkestan-Sibérie.
En 1938, à l'âge de 19 ans, il fait son service militaire et suit à Kiev une école de conducteurs de chars et montre son intérêt en mettant au point des améliorations pour le Tokarev TT 33, la tourelle de char et un réservoir de moto. Devant cette aptitude, le maréchal Joukov l'envoie suivre un cours de mécanique spécialisée dans la construction de chars d'assaut.
En tant que conducteur de char, il est blessé grièvement pendant la guerre lors de la bataille de Briansk en 1941 lors de l'opération destinée à stopper la percée allemande vers Moscou. Il fait un long séjour à l'hôpital et durant sa convalescence, il se met à dessiner des modèles de pistolets car il avait été frappé par la supériorité technique de l'équipement des soldats de l'armée allemande. Il a l'idée de créer un fusil d'assaut petit, fiable et rapide et de le présenter au maréchal de l'artillerie Nikolaï Voronov. Ce dernier le soutient et le pousse à perfectionner son fusil-mitrailleur qui finalement sera retenu par l'État soviétique pour être produit à partir de 1947. Ce fusil est nommé Avtomat Kalachnikova 1947, le célèbre AK-47 (communément appelé « Kalachnikov » ou « Kalach »). Sa simplicité, sa légèreté et sa rusticité en font un succès mondial, qui aurait été produit à plus de cent millions d'unités, copies comprises. Cependant, la propriété intellectuelle étant collective en droit soviétique, le succès de l'invention n'a pas fait la richesse de l'inventeur, qui a gardé des revenus modestes.
Au total, Mikhaïl Kalachnikov a créé à peu près cent cinquante armes diverses. Il est, selon sa biographie, l'homme le plus décoré de la Russie (ordre de Lénine, prix Staline 1949, deux médailles étoilées de Héros du travail socialiste). Il est fait docteur des sciences et techniques en 1971 et a fait déposer 35 brevets d'invention. Il a été fait général en 1994.
Il fut député au Soviet suprême sous Staline puis sous Khrouchtchev. Il vécut à Ijevsk dans l'Oural, où est installée l'usine d'armements Ijmach. Il a eu un fils, Viktor, qui travaille dans l'usine Ijmach.
Le fait que le fusil de Kalachnikov soit devenu le fusil d'assaut le plus populaire du monde lui a fait affirmer que : « Je suis fier de mon invention, mais je suis triste qu'elle soit utilisée par des terroristes » pendant une visite en Allemagne, ajoutant : « Je préférerais avoir inventé une machine que les gens peuvent utiliser et qui aiderait des fermiers dans leur travail… par exemple une tondeuse. »
Il a déclaré en 2009 que « ce n'est pas agréable de voir que toutes sortes de criminels tirent avec mes armes. »
Il meurt d'une ulcère gastro-duodénal le 23 décembre 2013 à l'âge de 94 ans.
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