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Gustave IV Adolphe

Publié à 22:08 par dessinsagogo55 Tags : center sur centerblog merci vie france saint coup enfants article femme maison mort fille pouvoir
Gustave IV Adolphe

 

 

Gustave IV Adolphe de Suède (en suédois : Gustav IV Adolf av Sverige) est né le 1er novembre 1778 à Stockholm (Suède-Finlande) et mort le 7 février 1837 à Saint-Gall (Suisse). Il est roi de Suède de 1792 à 1809.

 

Jeunesse

 

Né le 1er novembre 1778 au palais royal de Stockholm, Gustave IV est le fils aîné du roi Gustave III et de son épouse Sophie-Madeleine de Danemark. À sa naissance, le bruit court qu'il serait en réalité le fils du comte Munck (en), un proche de la reine. Il a un frère cadet, Charles-Gustave, qui ne survit que quelques mois à sa naissance (1782 – 1783).

 

Gustave III est assassiné le 29 mars 1792, et son fils monte sur le trône de Suède à l'âge de treize ans. Le frère du roi défunt, Charles, duc de Södermanland, assure la régence. Il confie le pouvoir à l'un de ses proches, Gustaf Adolf Reuterholm. Son gouvernement autoritaire le rend rapidement impopulaire, et il est chassé du pays à la majorité du roi, en 1796. À l'instar de ses pairs, le roi de Suède est confronté aux idées et aux troupes de la Révolution française et cherche à se rapprocher de la Russie.

 

Règne personnel

 

En 1796, un projet de mariage entre le jeune roi et la grande-duchesse Alexandra Pavlovna, petite-fille de Catherine II de Russie, échoue pour des raisons religieuses : les Romanov refusent que la jeune fille abandonne la foi orthodoxe russe pour le luthéranisme suédois. Gustave IV épouse l'année suivante la princesse Frédérique de Bade, princesse allemande alliée à la famille impériale russe mais protestante, qui lui donne cinq enfants. Le roi et la reine sont couronnés le 3 avril 1800 à Norrköping.

 

Bien que la Suède soit traditionnellement un allié de la France, la politique étrangère de Gustave IV est dominée par sa haine des idées de la Révolution française et de Napoléon. Après l'affaire du duc d'Enghien, il rompt ses relations diplomatiques avec l'Empire français. Contre l'avis de ses ministres, il rallie la Troisième Coalition en 1805 ; c'est la première fois que la Suède s'attaque à la France.

 

Cependant, en 1807, Napoléon conclut le traité de Tilsit avec le tsar Alexandre Ier, et quelques mois plus tard, le Danemark se rapproche de la France. Malgré cela, Gustave IV poursuit sa politique pro-britannique et refuse d'adhérer au blocus continental. Profitant de la neutralité française, l'empereur de Russie se saisit de ce prétexte pour déclencher la guerre de Finlande en février 1808. Les armées russes progressent rapidement en Finlande, d'autant plus que les Suédois doivent également surveiller la frontière dano-norvégienne.

 

Déposition et exil

 

Voyant que le roi est déterminé à poursuivre un conflit déjà perdu, un groupe d'officiers mené par Carl Johan Adlercreutz procède à un coup d'État sans violence qui aboutit à sa déposition le 13 mars 1809. Gustave IV abdique formellement le 29 mars, dix-sept ans jour pour jour après son avènement. Son fils est déchu de son titre d'héritier du trône. Son oncle, le duc de Södermanland, est proclamé roi de Suède sous le nom de Charles XIII.

 

Gustave-Adolphe quitte la Suède en décembre 1809, d'abord pour Copenhague, puis vers le grand-duché de Bade d'où sa femme est originaire. Leurs relations se font plus difficiles, et ils divorcent en 1812. L'ancien roi, désormais connu en tant que « comte de Gottorp » ou « colonel Gustafsson », mène une vie d'errance en Europe, allant de maîtresse en maîtresse. Il meurt dans une taverne de Saint-Gall, en Suisse, alcoolique et sans le sou.

 

Descendance

 

Gustave IV et Frédérique de Bade ont cinq enfants :

 

Gustave (1799 – 1877), qui épouse en 1830 la princesse Louise de Bade (divorcés en 1844) ;

Sophie (1801 – 1865), qui épouse en 1819 le grand-duc de Bade Léopold Ier (son grand-oncle) ;

Charles-Gustave (1802 – 1805), titré grand-duc de Finlande ;

Amélie (1805 – 1853) ;

Cécile (1807 – 1844), qui épouse en 1831 Auguste Ier, grand-duc d'Oldenbourg.

 

Malgré sa déposition, Gustave IV est un des ancêtres de l'actuelle maison royale de Suède, à travers le mariage de Victoria de Bade, petite-fille de la princesse Sophie, avec le futur roi Gustave V en 1881.

 

Lieu d’inhumation

 

Le roi Gustave IV Adolphe fut inhumé dans la crypte située sous la chapelle Gustave-Adolphe de l’église de Riddarholmen à Stockholm.

 

Titres et honneurs

Titulature

 

1er novembre 1778 – 29 mars 1792 : Son Altesse royale le Prince héritier de Suède Gustave Adolphe.

29 mars 1792 – 13 mars 1809 : Sa Majesté Le roi Gustave IV Adolphe de Suède.

 

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Gustave_IV_Adolphe

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Louis Ier de Bourbon-Condé

Louis Ier de Bourbon-Condé

 

Louis Ier de Bourbon, prince de Condé, duc d'Enghien (Vendôme, 7 mai 1530 – Jarnac, 13 mars 1569), est un prince du sang de la maison de Bourbon et le principal chef protestant pendant les trois premières guerres de Religion. Il meurt assassiné sur le champ de la bataille de Jarnac.

 

Il est le fondateur de la maison de Condé.

 

Biographie

 

Fils cadet de Charles IV de Bourbon duc de Vendôme et de Françoise d'Alençon, il est le frère du roi Antoine de Navarre, et donc l'oncle du futur Henri IV. Il naît au château de Vendôme le 7 mai 1530

 

Première carrière militaire

 

Il fait ses premières armes sous les ordres du maréchal de Brissac en Piémont, où son dévouement et son ardeur sont remarqués. Revenu en France, il participe en 1552 à la conquête des Trois-Évêchés et à la défense de Metz. L'année suivante, il se distingue durant une campagne en Picardie. Pour le récompenser, le roi le place à la tête d'une compagnie d'ordonnance. En 1554, il prend part à la bataille de Renty, où il charge à la tête de ses gendarmes. En 1555, il retourne combattre en Italie, où il entre en conflit avec les Guise. Malgré ses services, il se voit refuser le gouvernement de Picardie, que son père et son frère avaient exercé. En 1557, il participe à la défense du royaume lors de l'invasion de la Champagne et de la Picardie par le duc de Savoie. Il participe aux prises de Calais et de Thionville. Malgré ses efforts, il reste aux marges de la faveur royale ; la charge de colonel général de l'infanterie par delà les monts qu'il reçoit en 1558, est bien modeste pour son rang.

 

Il manifeste assez tôt ses sympathies pour la Réforme protestante et se convertit secrètement sans doute à l'été 1558, influencé par son épouse Éléonore de Roye, fervente calviniste. Il s'impose alors comme chef naturel du parti huguenot en voie de construction.

 

Guerres de Religion

 

Après la mort d'Henri II, les mécontentements que lui font essuyer les Guise le jettent dans l’action violente. Il aurait été le capitaine muet de la conjuration d'Amboise (mars 1560), qu'il combat finalement pour donner le change. Suspecté par les Guise au pouvoir d'avoir fait partie des conjurés, Condé est assigné à demeure à la cour. S'il n'est pas arrêté, c'est que les Guise n'ont pas de preuve écrite de sa participation à la conjuration.

 

Réfugié chez son frère le roi de Navarre, il soutient activement le mouvement de sédition qui anime la province pendant l'été. L'arrestation de l'un de ses agents en possession de documents compromettants pousse le roi, le 31 octobre, à le faire arrêter. Certaines sources le présentent comme condamné à mort sans que cela soit établi. Son exécution aurait été ajournée par la maladie du roi qui meurt le 5 décembre. Avec le changement de gouvernement, il est libéré par Catherine de Médicis, qui a besoin du contrepoids que représente un prince du sang face aux Guise, après la mort du roi François II.

 

Première guerre

 

Après le massacre de Wassy le 1er mars 1562, il prend les armes. En avril, il publie un manifeste où il proclame sa volonté de délivrer la régente et le roi des Guise. Il obtient des promesses d’aide d’Allemagne, et s’empare de plusieurs villes de la vallée de la Loire avec une poignée de cavaliers. Les protestants prennent le contrôle de la vallée du Rhône, du Dauphiné, du Languedoc, de Lyon, dont il confie la garde à Soubise. Mais aucun renfort ne peut lui parvenir, ni de ces régions ni de Guyenne. Il perd la bataille de Dreux et y est fait prisonnier (1562). Il est libéré par la paix d'Amboise de 1563, qui octroie aux huguenots une certaine tolérance religieuse.

 

Deuxième guerre

 

En 1567, il tente d'enlever le roi et sa mère. Cet épisode, resté sous le nom de surprise de Meaux, fait reprendre la guerre entre les deux camps religieux. Le prince de Condé livre en novembre 1567 la bataille de Saint-Denis, qui reste indécise. Puis il assiège Chartres début 1568, en vain, ce qui se termine par une paix relative, la paix de Longjumeau, qui n'est en réalité qu'une trêve permettant aux deux camps de reconstituer leurs troupes.

 

Troisième guerre

 

Pendant la trêve qui suit la paix de Longjumeau, il se retire à Noyers. Il s’en échappe le 23 août, menacé par les troupes royales, et rejoint La Rochelle avec Coligny le 19 septembre. Ils y retrouvent Jeanne d'Albret et ses Gascons, accompagnée du sieur de Piles, de ses gentilshommes périgourdins, des cavaliers du sénéchal de Poitou Fonteraille, puis plus tard par le baron d’Acier.

 

L’affrontement avec l’armée royale a lieu le 13 mars 1569 à Jarnac. Blessé durant le combat, Condé tente de se rendre lorsqu'il est assassiné d'un coup de pistolet par Joseph-François de Montesquiou, capitaine des gardes du duc d'Anjou appelés les manteaux rouges. Promené sur une ânesse, son cadavre est l'objet des quolibets de l'armée catholique avant d'être exposé pendant deux jours sur une table au château de Jarnac. Son corps fut ensuite remis au duc de Longueville qui le fit inhumer à Vendôme, dans la nécropole de ses ancêtres Bourbon.

 

Il est le premier de sa famille qu'on ait appelé M. le Prince.

 

Ses prétendus Mémoires sont une compilation de divers écrits relatifs à l'histoire des protestants de son temps

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Ier_de_Bourbon-Cond%C3%A9

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Kiang

Publié à 21:43 par dessinsagogo55 Tags : center animaux centerblog sur merci
Kiang

 

Le kiang (latin : Equus kiang), ou âne sauvage du Tibet est un équidé du sous-genre asinus (les ânes). C'est le plus grand des ânes sauvages, avec une taille moyenne au garrot de 1,40 m.

 

Extrêmement sauvage dans son milieu d'origine, il vit en grands troupeaux, dans les plaines durant l'hiver, sur le plateau tibétain, où il se nourrit de plantes salées. Sa population est estimée en 2008 à 60 ou 70 000 animaux, vivant à 90 % en Chine.

 

Taxonomie

 

Certains auteurs ont fait de Equus kiang une sous-espèce de Equus hemionus : Equus hemionus kiang. Cependant, comme l'indique le rapport de l'UICN de 2002, « Il est désormais largement accepté, d'après les analyses morphologiques ainsi que des chromosomes et de l'ADN mitochondrial, que l'âne sauvage du Tibet, ou kiang (Equus kiang), est une espèce à part entière » (Ryder et Chemnick, 1990) ».

 

Equus kiang a probablement divergé de l'hémione voilà moins de 500 000 ans : la différence avec l'ADN mitochondrial de cette dernière espèce est de l'ordre de 1 %.

 

Description

 

Le kiang mesure environ 1,40 m au garrot, pour 2,10 m de longueur, ce qui en fait la plus grande espèce d'âne sauvage existante. Sa queue mesure environ 50 cm. Il pèse entre 250 et 440 kg. Il est plus grand et de couleur plus contrastée que les autres ânes sauvages, en particulier que l'hémione, dont il est par ailleurs proche génétiquement et physiquement.

 

Sa robe, dans les tons brun-roux, présente une démarcation claire entre la partie dorsale et la partie ventrale5. Elle présente un changement de couleur saisonnier, devenant plus sombre l'hiver, lorsque le poil est long, et plus rousse l'été, lorsque le poil est court.

 

En tant que membre de la famille des équidés, le kiang dispose d'un sabot unique et large au bout de chaque membre.

 

Habitat

 

Le kiang, ou âne sauvage du Tibet, vit dans les steppes arides des hauts plateaux tibétains, jusqu'à 4 900 mètres d'altitude. Il a une préférence pour les habitats ouverts et secs, désertiques, semi-désertiques ou steppiques. Il est localisé en Chine, au Népal, au Bhoutan, au Pakistan, et en Inde. On dénombre entre 60 000 et 70 000 individus en 2008, mais il est rare de trouver plus de 40 sujets dans un groupe. En Chine, l'espèce est présente dans la province du Qinghai et la Région autonome du Tibet.

 

Liste des sous-espèces

 

Selon Mammal Species of the World (version 3, 2005) :

sous-espèce Equus kiang holdereri Matschie 1911

sous-espèce Equus kiang kiang Moorcroft 1841

sous-espèce Equus kiang polyodon Hodgson 1847

Le statut de ces trois sous-espèces reste toutefois controversé.

 

Menaces

 

Son habitat déjà réduit est gravement menacé par les peuplements miniers et les activités militaires.

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Kiang

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Enfant

Publié à 20:28 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur merci
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Robe

Publié à 20:16 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur merci
Robe

 

 

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Ertha Pascal-Trouillot

Publié à 07:17 par dessinsagogo55 Tags : center sur centerblog merci vie coup femme fille pouvoir
Ertha Pascal-Trouillot

 

Ertha Pascal-Trouillot, née le 13 août 1943 à Pétion-Ville, est une magistrate et femme politique haïtienne, première femme présidente de la République à titre provisoire de mars 1990 au 7 février 1991.

 

Biographie

 

Juriste de formation, Ertha Pascal devient la première femme avocate du pays en 1971, puis la première femme membre de la Cour de cassation en 1986, peu après la chute du régime de Jean-Claude Duvalier.

 

Le 10 mars 1990, à la suite de manifestations de rue, le général Prosper Avril est contraint de quitter le pouvoir qu'il détenait depuis septembre 1988. Le nouveau dirigeant, le général Hérard Abraham engage alors de discrètes négociations avec l'« Assemblée de concertation », qui regroupe douze partis de l'opposition, afin de remettre le pouvoir à une autorité civile dirigée par une personnalité indépendante. Le choix se porte sur Ertha Pascal-Trouillot qui prête serment comme présidente de la République provisoire le 13 mars.

 

L'essentiel de son temps de présence à la tête du pays est consacré à maintenir la paix civile et à préparer l'organisation d'une élection présidentielle, la première qui se soit déroulée sans contrainte à Haïti. Le 16 décembre 1990, Jean-Bertrand Aristide remporte le scrutin, avec 67 % des voix.

 

Toutefois, avant l'achèvement de la période intérimaire, une tentative de coup d'État a lieu, en janvier 1991, au cours de laquelle Roger Lafontant manque de s'emparer du pouvoir et pousse la présidente à démissionner2. Mais le général Abraham met son autorité dans la balance et fait échouer la manœuvre, permettant une libre transition démocratique, le 7 février 1991, entre Ertha Pascal-Trouillot et Jean-Bertrand Aristide.

 

Vie privée

 

En 1971, Ertha Pascal épouse Ernest Trouillot, qui décède en 1987, dont elle a une fille unique Yantha.

 

 

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ertha_Pascal-Trouillot

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Henri III (roi de France)

Publié à 07:10 par dessinsagogo55 Tags : sur france saint mort annonce center centerblog merci
Henri III (roi de France)

 

 

Henri III, né le 19 septembre 1551 à Fontainebleau et mort assassiné le 2 août 1589 à Saint-Cloud, est souverain de la nouvelle république des Deux Nations de 1573 à 1575 − sous les noms d'Henryk Walezy, roi de Pologne et de Henrikas Valua, grand-duc de Lituanie − et roi de France de 1574 à 1589. Il est le dernier monarque de la dynastie des Valois et le premier Capétien mort assassiné.

 

Quatrième fils du roi Henri II et de la reine Catherine de Médicis, Henri n'est pas destiné à la couronne. Sous le règne de son frère Charles IX, il s'illustre comme chef de l'armée royale en remportant sur les protestants les batailles de Jarnac et de Moncontour. À l'âge de 21 ans, il se porte candidat pour le trône de la nouvelle république des Deux Nations et est élu. Son règne est bref, puisqu'à l'annonce de la mort de son frère, sans descendant mâle, il abandonne son royaume pour lui succéder sur le trône de France.

 

En devenant roi de France, Henri III hérite d'un royaume divisé où son autorité n'est que partiellement reconnue. Son règne est marqué par d’importants problèmes religieux, politiques et économiques. Quatre guerres de Religion se déroulent sous son règne. Henri III doit faire face à des partis politiques et religieux soutenus par des puissances étrangères qui finissent par venir à bout de son autorité : le parti des Malcontents, le parti des protestants et, enfin, la Ligue. Il meurt à Saint-Cloud après avoir été poignardé par le moine Jacques Clément.

 

Son emblème est constitué de trois couronnes, symbolisant les royaumes de France et de Pologne ainsi qu'une devise qui explique la troisième couronne : « Manet ultima cælo » (« La dernière se trouve au ciel »).

 

 

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_III_(roi_de_France)

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Henri IV

Publié à 05:40 par dessinsagogo55 Tags : message nature nuit 2010 enfants png center livre mort centerblog sur merci france saint maison fille
Henri IV

Henri IV, dit « le Grand » ou « le Vert galant », né sous le nom d'Henri de Bourbon le 13 décembre 1553 à Pau et mort assassiné le 14 mai 1610 à Paris, est roi de Navarre à partir du 9 juin 1572 sous le nom d'Henri IIIa, et roi de France sous le nom d'Henri IV du 2 août 1589 à sa mort en 1610. Il réunit ainsi les dignités de roi de France et de Navarre et est le premier roi de France de la maison capétienne de Bourbon.

 

Fils de Jeanne d'Albret, reine de Navarre (elle-même fille de Marguerite d'Angoulême donc nièce du roi François Ier), et d'Antoine de Bourbon, chef de la maison de Bourbon et descendant du roi Saint Louis, Henri de Bourbon est premier prince du sang et, en vertu de la « loi salique », le successeur naturel des rois de France de la maison de Valois, s'ils meurent sans descendance mâle légitime, ce qui a été le cas de tous les fils d'Henri II.

 

Bien que baptisé catholique, il est élevé dans la religion réformée et s'implique dans les guerres de Religion en tant que prince du sang, roi de Navarre et chef de la noblesse protestante. Il abjure le protestantisme en 1572, juste après son mariage avec Marguerite de Valois, et alors que se déroule le massacre de la Saint-Barthélemy, mais y revient en 1576 après avoir réussi à fuir la cour de France.

 

En 1584, à la mort du duc François d'Anjou, frère cadet et héritier du roi Henri III de France, il devient l'héritier légitime du trône. Les troubles religieux s'exacerbent, notamment sous la pression de la Ligue catholique, qui refuse de voir un protestant monter sur le trône.

 

En 1589, après l'assassinat d'Henri III par le moine ligueur Jacques Clément, Henri de Navarre devient pourtant roi de France. Mais il doit poursuivre la guerre contre la Ligue. Pour renforcer sa légitimité, il finit par se reconvertir solennellement au catholicisme le 25 juillet 1593, lors d'une cérémonie en la Basilique de Saint-Denis, ce qui lui permet d'être sacré en 1594, non pas à Reims mais à Chartres. Une partie de la Ligue n'en poursuit pas moins le combat jusqu'en 1598, année où après avoir reçu à Angers la reddition du duc de Mercoeur, gouverneur de Bretagne, Henri IV signe l'édit de Nantes, édit de pacification autorisant le culte protestant selon des modalités déterminées, mettant ainsi fin à plus de trois décennies de guerres de Religion.

 

Douze ans plus tard, alors qu'il prépare une guerre contre l'Espagne, Henri IV est assassiné rue de la Ferronnerie, à Paris, par un catholique fanatique venu d'Angoulême, François Ravaillac.

 

 

 


Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_IV_(roi_de_France)  
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Otto von Bismarck

Publié à 03:55 par dessinsagogo55 Tags : image sur place homme mort histoire center centerblog merci
Otto von Bismarck

 

 

Otto von Bismarck /ˈɔto fɔn ˈbɪsmaʁk/, duc de Lauenburg et prince de Bismarck, né le 1er avril 1815 à Schönhausen et mort le 30 juillet 1898 à Friedrichsruh, est un homme d'État prussien puis allemand.

 

Il est à la fois ministre-président du royaume de Prusse de 1862 à 1890 et chancelier de la confédération de l'Allemagne du Nord de 1867 à 1871 avant d'accéder au poste de premier chancelier du nouvel Empire allemand en 1871, poste qu'il occupe jusqu'en 1890, tout en conservant sa place de ministre-président de Prusse. Il joue un rôle déterminant dans l'unification allemande.

 

Au début de sa carrière politique, Bismarck se fait un nom en défendant les intérêts des junkers, petite noblesse prussienne, dont il fait partie, depuis les bancs conservateurs. Il est nommé ministre-président de Prusse en 1862. Dans le conflit constitutionnel prussien, il lutte contre les libéraux pour maintenir la primauté de la monarchie. Également ministre des Affaires étrangères, il déclenche la guerre des Duchés puis la guerre austro-prussienne entre 1864 et 1866, et impose par la même occasion la suprématie de la Prusse en Allemagne. La guerre franco-prussienne de 1870 permet de résoudre la question allemande en retenant la solution petite-allemande, défendue par la Prusse, et entraîne l'unification allemande en 1871. Ensuite, sur le plan de la politique extérieure, il essaie d'établir un équilibre entre les grandes puissances européennes grâce à un système d'alliances.

 

En politique intérieure, à partir de 1866, Bismarck s'allie d'abord aux libéraux modérés, ce qui conduit au vote de nombreuses réformes comme l'institution du mariage civil, qui rencontre la résistance des catholiques, auxquels il s'oppose durement en instituant la politique du Kulturkampf. À la fin des années 1870, il se sépare des libéraux, pour renouer avec les conservateurs. Durant cette phase, sont votées les lois pour le protectionnisme et l'interventionnisme étatique. Un système de sécurité sociale est également créé. Les années 1880 sont surtout marquées par les lois antisocialistes. En 1890, les divergences de point de vue de Bismarck avec le nouvel empereur, Guillaume II, conduisent à son départ.

 

Après sa démission, Bismarck continue de jouer un rôle politique, en critiquant l'action de son successeur. Il écrit également ses mémoires, qui influencent fortement l'image que se forge de lui l'opinion publique allemande.

 

Jusqu'au milieu du xxe siècle, les historiens allemands jugent en grande majorité son action de manière positive, celle-ci étant, dans cette période nationaliste, associée à l'unification de l'Allemagne. Cependant, après la Seconde Guerre mondiale, les critiques s'accentuent : il est alors accusé d'être responsable, en tant que fondateur de l'Empire allemand, de l'échec de la démocratie en Allemagne. Des approches plus modernes de l'histoire tentent cependant de remettre l'action de Bismarck, avec ses forces et ses manques, dans le contexte de son époque avec la structure politique qui était alors en place.

 

 

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Otto_von_Bismarck

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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José María Aznar

Publié à 03:52 par dessinsagogo55 Tags : homme center centerblog sur merci
José María Aznar

 

 

José María Aznar López (/xoˈse maˈɾia aθˈnaɾ ˈlopeθ/r), né le 25 février 1953 à Madrid, est un homme d'État espagnol, ancien président du Parti populaire et président du gouvernement durant deux mandats, du 5 mai 1996 au 17 avril 2004.

 

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9_Mar%C3%ADa_Aznar

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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