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Pénibilité: "Il vaut mieux prévenir que guérir" selon Ndiaye

Publié à 17:31 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog merci argent sur article pouvoir
Pénibilité: "Il vaut mieux prévenir que guérir" selon Ndiaye
Pénibilité: "Il vaut mieux prévenir que guérir" selon Sibeth Ndiaye
 24/01/2020 à 10h54
 
La porte-parole du gouvernement était l'invitée de Jean-Jacques Bourdin ce vendredi sur BFMTV et RMC. Elle est revenue sur la prise en compte de la pénibilité dans la réforme des retraites.

Une montagne de courrier retrouvée chez un facteur japonais

Publié à 17:05 par dessinsagogo55 Tags : monde divers article sur homme chez news coupable center
Une montagne de courrier retrouvée chez un facteur japonais
 
Lettre morte: une montagne de courrier retrouvée chez un facteur japonais
 
L'ancien postier avait accumulé des milliers de lettres et paquets chez lui
 
 
 

AFP, publié le vendredi 24 janvier 2020 à 12h54

Un ancien postier japonais risque des poursuites après la découverte chez lui par la police d'une montagne de courrier accumulé sur des années et qu'il avait trouvé, selon les médias, "trop barbant" de distribuer.

L'ancien facteur a été "entendu par le procureur pour violation présumée de la loi postale", a déclaré vendredi à l'AFP un porte-parole de la police.

Les médias japonais ont rapporté que l'homme âgé de 61 ans avait, dans son domicile de Kanagawa, près de Tokyo, quelque 24.000 pièces envoyées entre 2003 et 2019.

Il a dit à la police, selon les médias japonais, qu'il trouvait "trop barbant de les distribuer". "Je ne voulais pas que mes collègues pensent que j'étais moins capable que les jeunes", avait-il ajouté.

S'il est reconnu coupable, il risque une peine de prison de moins de trois ans et jusqu'à 500.000 yen (4.100 euros), a précisé le porte-parole de la police.

Japan Post l'a limogé lorsque l'affaire a été découverte fin 2019 et a présenté ses excuses pour la non distribution du courrier, promettant de faire en sorte que les lettres et paquets découverts arriveraient finalement à destination.

 

 

 

Réélection, action politique... Sondage calamiteux ....

Réélection, action politique... Sondage calamiteux ....
 
 
Réélection, action politique... Sondage calamiteux pour Emmanuel Macron
Par 
Auteur
/ Jeudi 23 janvier 2020 à 11:3340

 
 
 

Près de sept Français sur dix estiment que le président de la République ne sera pas réélu en 2022 s’il se présente à nouveau. 

Cote de popularité en berne, défiance des Français, hausse des déçus… En pleine réforme des retraites, Emmanuel Macron traverse une mauvaise passe. Cela se ressent d’ailleurs dans un récent sondage Elabe pour BFMTV. Selon cette étude, 61% des personnes interrogées estiment, par exemple, que la contestation actuelle de la réforme des retraites devrait être davantage prise en compte par le chef de l’Etat et qu’il devrait purement et simplement retirer le projet. 

62% de déçus

A l’inverse, seuls 39% des sondés l’appuient sur cette réforme, une majorité de cadres… et de retraités, explique le sondage. Dans le détail, Emmanuel Macron est soutenu par 74% de ses électeurs du premier tour de la présidentielle de 2017 interrogés et 62% de ceux de François Fillon. La proportion des Français déçus de l’action d’Emmanuel Macron est d’ailleurs sensiblement la même que celle de l’opposition à la réforme. Ainsi, selon le sondage, 62% d’entre eux se disent déçus, quand 14% jugent son action satisfaisante et 24% lui accordent le bénéfice du doute en estimant qu’il est prématuré de se prononcer sur ce point-là. Dans le détail, il est intéressant de noter que 54% des déçus seraient des personnes sans problèmes financiers notables alors qu’ils sont 72% parmi ceux qui subissent des fins de mois difficiles. D’un point de vue politique, le taux de « déçus » est plus fort chez les électeurs de Marine Le Pen (80%), de Jean-Luc Mélenchon (77%) et de Benoît Hamon (78%). La plus forte hausse (12%) provient des partisans de François Fillon, qui sont désormais 54% à être déçus par le président de la République. 

Alors qu’Emmanuel Macron vient de basculer dans la deuxième moitié de son quinquennat, une large majorité de Français (69%) estime qu’il ne sera pas réélu en 2022 s’il venait à se présenter à nouveau. A l’inverse, ils sont 31% à penser qu’il le serait. 

 

 

 

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Des adhérents de la CFDT en colère clament ...

Publié à 15:40 par dessinsagogo55 Tags : soi center base france sur message chez moi carte
Des adhérents de la CFDT en colère clament ...

Manifestation contre la réforme des retraites, le 14 janvier 2020 à Montauban (Tarn-et-Garonne). (PATRICIA HUCHOT-BOISSIER / HANS LUCAS)    

 

"La direction ne défend pas le plus grand nombre" : des adhérents de la CFDT en colère clament haut et fort les raisons de leur départ du syndicat

Le projet de réforme des retraites sans l'âge pivot est présenté vendredi en Conseil des ministres. Une victoire pour la CFDT, qui depuis quelque temps fait face au départ de ses cotisants.

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Guillemette Jeannot France Télévisions

Mis à jour le 24/01/2020 | 07:00
publié le 24/01/2020 | 07:00

 

La plupart des syndicats ont appelé à une septième manifestation nationale pour s'opposer à la réforme des retraites, vendredi 24 janvier. Mais du côté de la CFDT, premier syndicat français, c'est le silence radio. Dans la matinée, le gouvernement présente son projet de loi de réforme des retraites, sans la notion d'âge pivot de 64 ans, en Conseil des ministres. Un retrait provisoire annoncé le 11 janvier par le Premier ministre Edouard Philippe et salué comme "une victoire pour tous les salariés" par Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT, dès le lendemain.

Depuis le début de l'année, 5 000 adhérents ont quitté le syndicat, selon les chiffres de la CFDT. A l'instar de Sophie*, Michel et Christophe, cette réaction du dirigeant a poussé certains de ces démissionnaires à prendre cette décision.

"Berger n'est pas honnête intellectuellement"

"CFDT et gouvernement, même combat. Je vais rendre ma carte", condamne ainsi Franc. Que ce soit sur Twitter ou Facebook, il fait partie de ceux qui ont décidé de partager leur décision de quitter la CFDT, qui revendique 621 274 adhérents sur l'année 2018.  

 

 

Une décision partagée par Michel, 63 ans, syndicaliste dans l'"âme" : "Laurent Berger n'est pas honnête intellectuellement." Cet ancien cégétiste est arrivé à la CFDT "par défaut". Il n'a jamais été favorable aux positions d'un syndicat réformiste comme la CFDT : pour lui, le "on négocie d'abord puis on manifeste après" n'a jamais permis d'obtenir d'avancées sociales. Or c'était la seule section présente au sein de son entreprise, qui "faisait du bon boulot en local", reconnaît le Nancéen. Mais aujourd'hui la méthode Berger ne passe plus.

Il se positionne comme un sauveur avec le soi-disant retrait de l'âge pivot. Mais il ne s'est pas du tout impliqué dans le mouvement. Depuis le début, il manipule les foules.Michel, ancien adhérent CFDTà franceinfo

Ce futur retraité ne pensait pas que son message annonçant qu'il rendait sa carte de la CFDT, publié le 11 janvier 2020 sur Twitter, remporterait un tel succès. 

 
 
 

Partagé plus de 3 000 fois, il a récolté 6 700 mentions "J'aime". "Cela prouve que le problème du syndicalisme est un sujet assez chaud visiblement", analyse le sexagénaire.

Christophe, 53 ans, explique lui que c'est le gouvernement qui l'a amené à quitter la CFDT. Ce professeur d'EPS dans un collège privé en Mayenne est arrivé tardivement dans le débat syndical local, en prenant sa carte à la CFDT il y a quatre ans. Aujourd'hui, il considère que ce syndicat est "inefficace."

Ils n'écoutent pas leur base. Et face à un gouvernement qui n'a peur de rien, ils ne sont plus capables de défendre les adhérents. Ils ne font pas peur et n'obtiennent rien.Christophe, ancien adhérent CFDTà franceinfo

Le procès est sans appel pour Christophe, qui affirme qu'il n'y a plus "hélas que la violence" pour se faire entendre du gouvernement. Même s'il dit ne pas cautionner les méthodes des "gilets jaunes", le professeur estime que "par l'usage de la force, ils ont réussi à obtenir des choses du gouvernement, contrairement aux syndicats". 

Si Michel et Christophe ont résilié leur adhésion par courrier, Sophie*, 45 ans, a préféré se rendre à la permanence locale. Elle a pu ainsi expliquer les raisons de son départ après six années d'adhésion et échanger avec un spécialiste des retraites. "J'ai été trés surprise car il utilisait les mêmes techniques que le gouvernement, en avançant des informations partielles et biaisées. Ils justifient leur soutien à cette réforme par le fait que cela va aider les bas salaires. C'est un argument fallacieux", avance Sophie, confortée dans son choix de quitter ce syndicat. "La direction ne défend pas le plus grand nombre de salariés", estime-t-elle.

"Il n'y a pas d'hémorragie"

Au siège de la CFDT, on reconnaît des démissions quotidiennes mais sans une once d'inquiétude.

Il n'y a pas d'hémorragie de nos adhérents. Les derniers faits n'ont pas accéléré le processus naturel des départs.Béatrice Lestic, secrétaire nationale de la CFDTà franceinfo

"Cela n'a rien à voir avec 2003", relativise l'actuelle secrétaire nationale, déjà présente à l'époque. Le syndicat avait alors essuyé un grand nombre de départs, à l'issue de la négociation de la réforme des retraites sous l'ère Nicole Notat, alors secrétaire générale du syndicat. "Ici il n'y a pas ce phénomène massif", relativise Béatrice Lestic.

Chiffres à l'appui, la syndicaliste voit dans ces départs une cohérence avec le taux de départs annuels et réguliers, qui est habituellement de 10%. En 2019, 63 000 adhérents ont rendu leur carte. Parmi ces départs, 2 000 ont été motivés par un désaccord avec la ligne du syndicat au niveau national. Depuis le 1er janvier, sur les 5 000 départs enregistrés, ils sont 600, comme Michel, Christophe et Sophie, à être partis à la suite des prises de position de Laurent Berger. "Ce qui est autant que l'année dernière à la même époque", affirme la secrétaire nationale. Avant d'assurer que le syndicat a récolté, dans le même temps, 700 adhésions en ligne.

Du côté des adhérents "déçus", Christophe et Michel affirment continuer la lutte en "électrons libres" sur les réseaux sociaux. Quant à Sophie, dont la défiance vis-à-vis de la CFDT a "radicalisé son point de vue", elle devait défiler à Paris ce vendredi. 

* le prénom a été modifié à la demande de l'intéressée. 

 

 

 

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A Wuhan, 10 jours pour construire un hôpital

Publié à 14:52 par dessinsagogo55 Tags : article google center centerblog sur presse coeur photos art centre
A Wuhan, 10 jours pour construire un hôpital
Des dizaines de tractopelles préparent depuis ce vendredi le terrain où sera construit le futur hôpital. STR/AFP    
 
 
A Wuhan, 10 jours pour construire un hôpital : les images de l’incroyable chantier
 
 
La Chine a engagé vendredi la construction d’un hôpital destiné à accueillir d’ici 10 jours un millier de patients victimes du nouveau coronavirus.
 
Le 24 janvier 2020 à 13h47

Les images sont sidérantes. Plus d'une cinquantaine de tractopelles ont convergé ce vendredi vers un terrain vague à Wuhan, épicentre de l'épidémie de coronavirus qui sévit en Chine, où les autorités veulent bâtir un hôpital en une semaine.

Selon des photos d'agence et des images diffusés à la télévision, des dizaines d'engins de chantier étaient dès ce vendredi matin occupés à préparer le terrain.

  /AFP /AFP  

Ici doit s'élever le nouvel hôpital de Wuhan (centre), la ville de 11 millions d'habitants au coeur de l'épidémie.

  /AFP /AFP  

Les travaux doivent être achevés en un temps record et l'hôpital, de 25.000 m2, ouvrira ses portes le 3 février, selon l'agence Chine nouvelle.

  /AFP /AFP  
 

Il accueillera exclusivement des malades de la pneumonie virale d'origine inconnue qui a contaminé depuis décembre 830 personnes, dont 26 mortellement.

  /AFP /AFP  

Le site « atténuera la pénurie de ressources médicales », a précisé l'agence de presse officielle. La ville de Wuhan, où sont concentrés la grande majorité des cas de contamination, a été placée jeudi de facto sous quarantaine, les habitants n'étant plus autorisés à sortir.

  /AFP /AFP  
 
 
 
 
  A Wuhan, 10 jours pour construire un hôpital
  L'incroyable construction express du nouvel hôpital de Wuhan

"Essayez la dictature et vous verrez": Macron dénonce

Publié à 13:14 par dessinsagogo55 Tags : presse photo center you sur centerblog merci france article société demain pouvoir
"Essayez la dictature et vous verrez": Macron dénonce
"Essayez la dictature et vous verrez": Macron dénonce des discours justifiant la violence en France
 24/01/2020 à 07h05
 
 
Dans l'avion le ramenant à Paris depuis Israël jeudi soir, Emmanuel Macron s'est emporté contre des personnalités politiques ayant pu soutenir l'idée que la France n'était plus une démocratie. 

Massacre de la Glacière

Massacre de la Glacière

Le massacre de la Glacière a eu lieu au palais des papes d'Avignon dans la nuit du 16 octobre au 17 octobre 1791. L'assassinat de Lescuyer, le secrétaire-greffier de la commune, par une foule de « papistes » en colère au couvent des Cordeliers pensant avoir été volés par les « patriotes », entraîna des arrestations de suspects douteuses, un jugement bâclé et l'exécution de la sentence par des bourreaux inexpérimentés conduits par le fils de la victime, provoquant ainsi un véritable bain de sang.

Préfiguration de ce que va être la Terreur, à partir de 1792, ce massacre ne peut lui être rattaché et doit être considéré comme le dernier épisode marquant d'une lutte entre partisans et adversaires de la réunion des États pontificaux (Avignon et le Comtat Venaissin) à la France. Il s'inscrit dans un enchaînement de rivalités entre partisans et adversaires du rattachement, de privations de la population et de violences exacerbées de part et d'autre.

Origine du nom de la tour de la Glacière

La dénomination de la tour des Latrines date du séjour des papes. Elle se situe sur la façade est du vieux palais, du côté sud et directement accolée à la tour de Trouillas. Il y avait deux étages de latrines qui correspondaient avec les deux galeries du cloître. Leur fosse était irriguée par une récupération des eaux de pluie à partir du cloître et correspondait avec le grand égout des cuisines avant de se jeter dans la Durançole et le Rhône. Cette fosse servit de glacière au temps des vice-légats et c'est le nom de tour de la Glacière qui resta après le massacre d'octobre 1791. Au sommet de la tour se trouvait le logement du Capitaine du palais.

Plus tard, dans le tome 7 de son Dictionnaire raisonné de l'architecture française du xie au xvie siècles, Viollet-le-Duc nomme cette tour la tour de l’estrapade en souvenir du massacre

Prélude

Les avancées et les conquêtes politiques de la Révolution, tant à Paris que dans toutes les provinces, avaient soulevé les passions à Avignon et dans le Comtat Venaissin. La cité papale, gouvernée par le vice-légat au nom de Rome, demeurait la seule enclave souveraine étrangère dans le territoire français. Les Avignonnais pro-français, travaillés en sous-main par des commissaires républicains, avaient fait adopter la constitution française, en violation des droits souverains du Saint-Siège, élu une nouvelle municipalité le 14 mars 1790 et, par la suite, la population avait expulsé le vice-légat Filippo Casoni le 12 juin suivant.

Une nouvelle municipalité fut élue le 23 novembre 1790 avec un négociant, Antoine-Agricol Richard, à sa tête. Elle était l'émanation du parti des « modérés » qui ne tarda pas à rejoindre le camp des « papistes ». En dépit des réticences de la représentation nationale française d'annexer Avignon et le Comtat, les « patriotes » d'Avignon et du Comtat s'étaient rassemblés à Bédarrides, le 18 août 1791 et, dans l'église Saint-Laurent, avaient voté leur rattachement à la France à une forte majorité : le décompte des mandats s'était élevé à 101 046 voix favorables sur un total de 152 919.

Cet acte est considéré comme le premier exprimant le « droit des peuples à disposer d'eux-mêmes ». Le 14 septembre, mise devant le fait accompli, la Constituante proclama que les États d'Avignon et du Comtat faisaient désormais « partie intégrante de l'Empire français »

 

Renversement de la municipalité modérée

Forts de leur succès politique à Bédarrides, les « patriotes », souvent d’anciens dirigeants de l'armée de Monteux qui, par deux fois, avaient assiégé Carpentras, la capitale du Comtat, où s'étaient massivement installés les représentants du parti « papiste », mirent en cause la municipalité d’Avignon.

 

Le dimanche 21 août 1791, la maison commune fut attaquée et le maire Richard évita de justesse l'incarcération en se réfugiant sur l’île de la Barthelasse, terre française au milieu du Rhône. Le colonel Duprat aîné, qui dirigeait la Garde nationale, prit possession des lieux et les mit à la disposition de ses amis politiques, les frères Agricol et Gabriel Minvielle, Nicolas Lescuyer, Escoffier, Raphaël, Agricol Moureau et Sabin Tournal.

Ce coup d’État municipal se conclut par la mise en place d'une nouvelle administration provisoire dans laquelle se retrouvaient Barbe, un ancien chanoine, Jean-Louis Bourges, un fabricant de bas, Félix Combe, un boulanger, Jacques Jullian, un charcutier, Descates aîné, qui fut remplacé par le cordier Richard, Bergin, un taffetassier qui fut nommé procureur de la commune et enfin le notaire Lescuyer, qui assuma la charge de secrétaire-greffier.

Par une décision datée du 4 septembre, les administrateurs provisoires nommèrent Mathieu Jouve Jourdan, dit Jourdan Coupe-Tête, commandant du fort, fonction qu'il occupait déjà depuis le 17 août. Ce nom lui venait du fait qu'il se vantait d'avoir coupé la tête du gouverneur de la Bastille et de bien d'autres personnes.

Carpentras s'oppose à Avignon

La Constituante, mise devant le fait accompli par le vote massif de Bédarrides, avait pensé, dans un premier temps, regrouper dans un même département les États pontificaux d'Avignon et du Comtat Venaissin. Dans cette nouvelle entité, qui devait porter le nom de Vaucluse, Avignon aurait été le chef-lieu départemental. Ceci provoqua une levée de boucliers de la part des notables carpentrassiens qui, le 17 septembre, firent savoir qu'ils préféraient mourir que d'être assimilés à l'État d'Avignon.

La représentation nationale se vit contrainte de revoir son décret et décida, le 23 septembre, de créer deux districts, celui de Louvèze — orthographié ainsi à la place de l’Ouvèze —, dont l'ancienne capitale du Comtat devenait le chef-lieu et qui était rattaché départementalement à la Drôme, et celui de Vaucluse, intégré dans le département des Bouches-du-Rhône avec l'ancienne cité papale comme centre administratif

Spectre de la famine

En cette année 1791 avait sévi une grande sècheresse et les premières pluies n'avaient fait leur apparition que le 8 octobre. Les vivres étaient rares et le mécontentement grand. La municipalité, pour faire face, décida alors de faire fondre les cloches pour se procurer du numéraire et de n'en laisser qu'une seule par paroisse.

De plus, la richesse des biens de l'Église à Avignon était telle qu'il sembla logique aux « patriotes » de pouvoir récupérer, dans les églises paroissiales, les couvents et les chapelles, tout l'or et l'argent des objets de culte. Cette décision permit au partisans de l'ancien maire Richard de faire courir des bruits alarmants. Ils accusèrent les nouveaux administrateurs municipaux d'avoir détourné une malle pleine d'objets religieux et de bijoux mis en gage au Mont-de-Piété

Réaction des « papistes »

 

Les bruits couraient donc qu'un grand coffre d'argenterie avait été aperçu en partance de la ville. Puis d'un grand coffre, ce furent rapidement dix-huit malles, de nuit. Il n'en fallut pas plus pour déclencher l'ire des partisans du maintien de l'État pontifical. La réaction fut rapide. Le 16 octobre 1791, ils firent placarder dans la ville une affiche signée d'un certain Joseph Dinetard, dénonçant le dépouillement des églises et la confiscation les cloches au nom de la « nouvelle patrie ». Il y était écrit que les « patriotes » s'étaient, de plus, emparés de cent mille francs d'argenterie au Mont-de-Piété. Il fut décidé de prendre les portes de la ville afin d'empêcher les « voleurs » de sortir. Ce fut fait au matin du dimanche et les clefs confisquées furent envoyées à l'abbé François-Valentin Mulot à Sorgues.

D'autres bruits faisaient part du fait que la Vierge avait fait plusieurs apparitions dans les environs et même qu'une effigie de la Vierge aux Cordeliers, après avoir rougi, avait délivré des larmes de sang. Nombreux furent ceux qui s'y rendirent et ce fut alors un lieu de débats virulents entre les « blancs » papistes et les « rouges » révolutionnaires sur le vol qui avait été commis. Les « papistes » voulant qu'on leur rende des comptes, le patriote Lescuyer, en tant que secrétaire-greffier de la commune, fut dépêché sur place. Il monta en chaire pour essayer d'être entendu, puis, pris à partie, il fut extrait de celle-ci et alla se cogner au pied d'une statue de la Vierge. Il se releva et tenta alors de fuir par une porte qu'on venait de lui montrer mais, avant d'atteindre celle-ci, il reçut un violent coup de bâton qui le fit s'effondrer au pied de l'autel

Réaction de Jourdan

Aussitôt informés, Jourdan, commandant du Fort, et Duprat aîné, colonel de la garde nationale d'Avignon, tentèrent de réunir leurs troupes. Celles-ci étant dispersées, il fut décidé de faire sonner la cloche d'argent du Palais des Papes pour les alerter. Ce n'est que vers une heure de l'après-midi que Jourdan démarra son action après avoir péniblement réuni un groupe de trois cent cinquante hommes. Son premier objectif était de reprendre les portes de la ville pour bloquer toute échappatoire aux coupables. Ceci fait, après avoir laissé nombre de ses hommes, il partit avec cent cinquante hommes et deux canons pour se rendre au Couvent des Cordeliers. De par la configuration de la ville, ces deux canons semblaient être là plus pour impressionner de par le bruit des roues sur les rues pavées que pour être utilisés.

Arrivés sur place, ils dispersèrent le peu de foule qui était resté, faisant au passage plusieurs blessés. Ils trouvèrent Lescuyer gisant dans son sang, mais encore vivant, et l'emmenèrent à travers les rues d'Avignon.

Lescuyer décédé, la décision fut prise d'arrêter tous ceux qui étaient soupçonnés, de près ou de loin, d'avoir pu tremper dans cet assassinat ou d'en avoir été les complices, dont deux femmes enceintes. Comme souvent dans ce genre de situation, il y eut aussi des arrestations de personnes n'ayant aucun rapport avec l'assassinat à l'exemple de la Rapatiole, ardente patriote dont le seul tort semble avoir été de se moquer de la femme d'Agricol Minvielle.

Ceux qui avaient réussi malgré tout à franchir les portes de la ville se rendirent à Sorgues pour alerter le général Ferrier et l'abbé Mulot, mais cela ne changea rien

Jugement

Deux écoles de pensées s'affrontaient alors : ceux qui étaient partisans d'une extermination sans aucune forme de procès et ceux qui voulaient un procès. Jourdan choisit la seconde solution bien que Duprat fût favorable à la première.

Le procès fut donc lancé mais, peu de temps après son début, Agricol Minvielle appela au massacre au nom de la vengeance de son ami Lescuyer. Cet appel fut repris par Jourdan et Duprat, ce fut la fin du procès.

 

Massacre de la Glacière

Dans la nuit, tous les suspects — au nombre de soixante — avaient été incarcérés dans les anciennes prisons du Palais des Papes sur ordre de Jourdan. Le fils de Lescuyer, alors âgé de seize ans, se présenta en compagnie d'un groupe de compagnons, réclama vengeance et le droit d'exécuter lui-même les assassins de son père. Le massacre commença avec l'accord de Jourdan puisque celui-ci n'intervint aucunement pour empêcher la tuerie et quitta les lieux avec Duprat, Agricol Minvielle et Tournal, un journaliste, pour souper dans une auberge des environs.

Les emprisonnés furent sortis de leurs cellules et exécutés les uns après les autres. Ce fut un véritable massacre tant les exécuteurs n'étaient pas de vrais bourreaux et n'avaient donc aucune habileté particulière à abréger les souffrances de leurs victimes. Cette absence d'ordre augmenta le nombre des victimes puisque furent aussi massacrés d'autres prisonniers arrêtés avant l'assassinat de Lescuyer, le 21 août 1791.

Face à l'amoncellement des cadavres, il fallut dégager le terrain. Il fut pratiqué une ouverture dans la tour de la Glacière afin de jeter les corps dans cette fosse. Lorsqu'il ne resta que les plus populaires, les plus difficiles à tuer, un détachement se rendit à l'auberge où soupaient Jourdan, Duprat, Agricol Minvielle et Tournal afin d'avoir l'aval de leur chef. Ce dernier approuva et le massacre put donc être poursuivi. Il semble cependant que deux femmes et un frère de quatre-vingt-dix ans furent épargnés.

Le plus souvent, ce qui se passa a été rapporté par des témoins indirects. Un des rares témoignages d'un témoin oculaire fut celui de Bénézet Piton. Ami de Jourdan, il avait été sorti de sa cellule sur ordre de celui-ci et conduit dans une arrière-cuisine du palais. C'est là que vint se reposer le fils Lescuyer, exténué par ses meurtres. Et le témoin narre que, lorsqu'on vint l'avertir qu'il restait encore trente prisonniers à exécuter, il répondit : « Qu'est-ce que cela me fait ? Mon père n'en est pas moins mort et cela ne le fera pas revenir. » Ils furent rejoints par Jourdan, vers quatre heures du matin. Le commandant du fort prit avec eux une collation puis alla se coucher en demandant d'être réveillé deux heures plus tard. Comme une forte odeur commençait à se dégager de la Glacière, les cadavres furent alors recouverts de chaux vive sur ordre personnel de Jourdan.

Parmi les témoignages de seconde main, François Boudin, garçon de salle de l’auberge Thomas où résidait le fils Lescuyer, affirma avoir recueilli ses faits et gestes de la bouche même du jeune homme. Celui-ci lui aurait confié avoir personnellement exécuté une dizaine de personnes. Épuisé, il se serait arrêté vers trois heures du matin et aurait été réveillé par les cris et les hurlements des victimes. Il sortit et vit ses acolytes en train de faire basculer les morts et les blessés dans la Glacière. Le jeune Lescuyer avait même précisé que, pour se donner du cœur à l'ouvrage, ceux-ci avaient vidé vingt bouteilles de liqueur

Suites de l'affaire

La municipalité voulut faire des obsèques officielles et grandioses à Nicolas Lescuyer. Dans l'après-midi du 17 octobre, une cérémonie religieuse se déroula en l'église même des Cordeliers et un cortège se déploya dans les rues d'Avignon pour l'accompagner au cimetière Saint-Roch où il fut inhumé.

Deux jours plus tard, l'Assemblée générale des citoyens actifs décida que l'église des Cordeliers serait désormais fermée au culte et son clocher démoli. Le clocher des Cordeliers fut amputé de sa flèche et de son tambour mais la démolition s'arrêta là. L'Assemblée décréta également qu'une pension de mille deux cents livres devrait être versée à sa veuve et être réversible à son fils.

Un mois plus tard, la municipalité ordonna l'ouverture d'une brèche au bas de la tour de la Glacière afin de retirer les restes des soixante cadavres qui s'y trouvaient. La désincarcération eut lieu du 14 au 16 novembre. Le lendemain vingt caisses furent remplies et convoyées vers le cimetière Saint-Roch sous une pluie battante.

Entre-temps, jugeant inconvenant que le corps du secrétaire municipal reposât aux côtés de ceux de la Glacière, les conseillers avaient décidé de la faire transférer au cimetière du rocher des Doms. Ce transfert eut lieu vers la fin octobre et une plaque fut clouée sur le couvercle expliquant : « Ce cercueil contient le corps de l'infortuné Lescuyer massacré indignement le 16 octobre 1791 dans l'église des cordeliers sur les marches du maître-autel. On trouvera sous cette plaque trois extraits du procès-verbal dressé sur ce malheureux évènement. »

L'affaire fit grand bruit, jusqu'à Paris. Marat, dans son journal « L'Ami du Peuple », jugea que « la mort de ces scélérats n'[était] que le juste châtiment de leurs infâmes machinations » et salua les « actes de justice que les patriotes d'Avignon [avaient] été forcés d'exercer pour leur salut ». Le gouvernement révolutionnaire, qui venait de publier, le 26 octobre 1791, le décret du rattachement, dépêcha des « commissaires civils » qui furent escortés par des troupes placées sous le commandement du général Choisy (avec le 9e dragons). Arrivés sur place, ils ordonnèrent arrestations et poursuites mais, le 19 mars 1792, une amnistie générale votée par l’Assemblée législative mit un point final à l'enquête malgré l'opposition de certains députés tels que Viénot-Vaublanc.

Par la suite, Mathieu Jouve Jourdan dit « Jourdan Coupe-Tête », officiellement responsable de la tuerie, fut traduit devant le tribunal révolutionnaire, condamné à mort et guillotiné le 8 prairial de l'an II, soit le 27 mai 1794.

Terreur avant la Terreur

À Avignon et dans toute une partie du Comtat Venaissin, le fort courant favorable à la réunion à la France avait mobilisé et la bourgeoisie marchande dont le négoce était grevé par les droits de douane et le peuple qui subissait la crise sociale et économique. Leur refus conjoint de l'administration pontificale se heurta par deux fois (le 27 août et le 20 novembre 1790) à celui de l'Assemblée Constituante d'accepter leur rattachement.

Leur crainte fut attisée aussi par les évènements qui s'étaient déroulés dans la cité voisine d'Arles. Au cours de l'été 1791, dans une ambiance de terreur, Antonnelli, le maire jacobin, avait dû céder sa place au royaliste Loys. Cette conjonction explique l'arrestation par les « patriotes » avignonnais de tous ceux qui leur semblaient plus ou moins suspects d'être partisans de la contre-révolution.

Du côté des « papistes », l'application dans la cité papale, par les autorités municipales, de la loi sur la constitution civile du clergé votée le 2 décembre 1789 avait été ressentie comme une provocation. Non seulement l'archevêque Charles-Vincent Giovio, qui refusait de prêter serment, avait été destitué mais, en plus, la municipalité Richard s'était emparée des biens du clergé. Pour parachever le tout, la dissolution du chapitre de la métropole de Notre-Dame des Doms, qui s'était déroulée le 26 février 1791 sous la menace de la Garde Nationale, avait attisé la haine.

Pour les historiens de la Révolution, cet épisode est impossible à intégrer dans l’enchaînement de ceux qui allaient se dérouler au plan national. En France, les premiers massacres furent ceux de septembre 1792. Cette affaire avignonnaise n’est donc pas à interpréter comme la première manifestation de la Terreur mais plutôt comme le dernier épisode de la lutte entre partisans et adversaires du rattachement des États pontificaux à la France.

 



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Actualité française : 1883

Publié à 18:59 par dessinsagogo55 Tags : sur france cheval saint article place travail livre mort centerblog
Actualité française : 1883

Actualité française

1883 mars
09/03/83 des chômeurs réunis sur l'esplanade des Invalides à Paris à l'initiative du syndicat des menuisiers, sont dispersés par la police ; un petit groupe, conduit par les anarchistes Louise Michel, Eugène Mareuil et Émile Pouget marche vers le boulevard Saint-Germain et pille trois boulangeries aux cris de « du pain, du travail ou du plomb ». Mareuil et Pouget sont arrêtés. Louise Michel se livre d'elle même aux autorités.
09/03/83 des manifestants anarchistes partis la place de la Bastille pour rejoindre l'hôtel de ville sont dispersés par un peloton de gardes à cheval ; ils se rendent à la salle Rivoli, où a lieu un meeting de maçons et tailleurs de pierre présidé par le conseiller municipal Yves Guyot. Les ouvriers ayant refusé de suivre les anarchistes, une bagarre éclate. Charles Godard, Léon Jamin et Fernande d’Erlincourt sont arrêtés par la police.
20/03/83

convention de Paris sur la protection de la propriété intellectuelle. Réalisation de l’Union pour la protection internationale de la propriété industrielle (système des brevets). L'article 6 permet notamment la protection d'une marque d'usage notoire en France.

 

1883 août
22/08/83,28/08/83 et 01/09/83 l’ingénieur Marcel Deprez parviens à transporter de l’énergie hydroélectrique sur 14 km de Vizille à Grenoble
24/08/83 mort du « comte de Chambord ». Extinction de la branche aînée des Bourbons
25/08/83 traité de Hué. L’empire d’Annam reconnaît le protectorat de la France. L’Annam obtient une relative autonomie, tandis que le Tonkin devient un protectorat qui équivaut à une quasi-annexion. Les ports de Qui-Nhon, Tourane et Xuang-Day sont ouverts au commerce. La France voit surtout dans l’occupation de l’Annam un accès au marché chinois. L’empereur d'Annam Ham Nghi résiste par la guérilla à l’occupation française avec l’aide de la Chine (1883-1888). La Chine rejette le traité ce qui provoque la Guerre entre la Chine et la France à l’automne (fin en 1885), dont l’issue laisse aux Français les mains libres dans la péninsule indochinoise.

 

1883 septembre
01/09/83 Indochine : victoire française sur les Pavillons Noirs à la bataille de Palan ; soldats annamites, Chinois et Pavillons Noirs se replient sur Sontay

 

1883 novembre
24/11/83 arrêté du préfet de la Seine Eugène Poubelle qui impose aux propriétaires d'immeubles de mettre à disposition de leurs occupants des boîtes à ordure
24/11/83   Poubelle

 

1883 décembre
17/12/83 Indochine : prise de Sontay par les troupes françaises au Tonkin ; elles avancent jusqu’à la frontière chinoise

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Brigitte Macron : Son Institut cambriolé

Publié à 15:55 par dessinsagogo55 Tags : cadre article saint sur aime photos center image texte
Brigitte Macron : Son Institut cambriolé
Brigitte Macron : Son Institut cambriolé, plusieurs biens volés
 
En septembre 2019, Brigitte Macron a repris sa fonction de professeur de lettres et de théâtre qu'elle aime tant, mais dans un cadre très particulier. La première dame pilote le projet Live (L'Institut des vocations pour l'emploi) situé à Clichy-sous-Bois. Malheureusement, l'infrastructure réservée aux adultes en difficulté a été cambriolée.

Live (L'Institut des vocations pour l'emploi) de Clichy-sous-Bois a ouvert ses portes en septembre 2019, avec pour vocation d'offrir un nouveau départ à des adultes de plus de 25 ans sans emploi et sans formation. Ce projet situé en Seine-Saint-Denis est piloté par Brigitte Macron. La première dame y donne tous les mois, gratuitement, un cours de lettres ou de théâtre. Malheureusement, cette école de la deuxième chance a été vandalisée et cambriolée comme l'a révélé une journaliste du Point sur Twitter. "L'Institut des vocations pour l'emploi (LIVE) fondé par #Brigitte Macron qui a ouvert ses portes le 16 septembre à #Clichy sous Bois a été cambriolé 15 ordinateurs portables volés casiers forcés", a-t-elle écrit dans la soirée du mardi 21 janvier 2020.

 

 

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"Tu convaincs Macron qu'il retire sa réforme, sinon...."

Publié à 15:26 par dessinsagogo55 Tags : divers infos google mode mort sur center article
"Tu convaincs Macron qu'il retire sa réforme, sinon...."

"Tu convaincs Macron qu'il retire sa réforme, sinon on massacre" : menace de mort contre deux ministres

 

Publié le 22/01/2020 à 10:15 , mis à jour à 13:40

Une enquête judiciaire a été ouverte après que les ministres des Comptes publics, Gérald Darmanin, et de l'Economie, Bruno Le Maire, ont reçu de nouvelles lettres de menaces de mort. Bercy avait indiqué auparavant que les deux membres du gouvernement avaient reçu de tels courriers, leurs auteurs réclamant dans l'un d'eux l'abandon de la réforme des retraites. 

Deux balles de revolver étaient scotchées sur une de ces lettres non manuscrites, que l'AFP a pu consulter. 
"Tu convaincs (...) Macron que cela suffit, qu'il retire sa réforme, sinon on massacre", est-il écrit dans ce courrier. 

 

Les investigations ont été confiées à la brigade de répression de la délinquance à la personne (BRDP) de la police judiciaire parisienne. 

Ces menaces ne sont pas les premières reçues par les ministres depuis leur nomination au gouvernement. De précédents courriers avaient notamment été reçus en septembre dernier, ou encore, en ce qui concerne Bruno Le Maire, juste avant le G7 de Biarritz en août dernier.

 

 

 

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