Webcam, chat coquin : internet débride la sexualité des jeunes Français
Mis à jour | 17:24 , publié | 15:24




Un peu plus d'un jeune sur quatre (26%) a déjà été sollicité pour qu'il envoie des photos ou des vidéos de lui-même dénudé, selon une étude de l'Ifop publiée mercredi 17 avril 2013.
(RUBBERBALL / GETTY IMAGES)




Chez les jeunes, la "classique" sextape des ébats sexuels est dépassée comparé au sexe par webcams interposées. Selon une étude Ifop sur le sexe et les nouvelles technologies, publiée mercredi 17 avril, le nombre de jeunes de moins de 25 ans qui se sont adonnés à des jeux sexuels par webcam a presque doublé en trois ans. Ils sont désormais 16%, contre 8% dans le reste de la population.

Un peu plus d'un jeune sur quatre (26%) a déjà été sollicité pour qu'il envoie des photos ou des vidéos de lui-même dénudé. La même proportion en a fait la requête au partenaire de chat. Combien admettent avoir accepté ? Un jeune sur quatre, là encore, contre 19% chez les moins de 50 ans. Enfin, 22% des moins de 25 ans ont déjà visionné un show sexuel réalisé en direct par une personne devant sa webcam. Un taux qui monte à 29% si l'on ne prend en considération que les hommes.

"L'espace virtuel offert par internet constitue un lieu idéal pour assouvir des fantasmes que l'on ne peut pas observer ou donner à voir dans la réalité", explique l'institut de sondages pour qui "l''anonymat et la multiplication des partenaires potentiels que permet le web expliquent ce phénomène grandissant".

Francetv info

Un ambulancier sauvé d'une crise cardiaque par le patient qu'il transportait

Mis à jour | 16:18 , publié | 15:37



Habitant à Berck-sur-Mer (Pas-de-Calais), Christian Nayet, 60 ans, atteint d'un cancer, se trouve dans une ambulance, jeudi 11 avril, qui l'emmène passer un scanner à Lille (Nord), quand il se rend compte que le chauffeur du véhicule fait un malaise cardiaque. Il s'installe alors au volant et le conduit à toute vitesse à l'hôpital de Lens (Pas-de-Calais), où l'ambulancier est opéré en urgence et sauvé.

"Pour moi, c'était extrêmement logique, ce que j'ai fait", a confié le sauveur de l'ambulancier à nos confrères de France 2, qui l'ont rencontré mercredi 17 avril. Finalement, une autre ambulance a été trouvée pour transporter Christian Nayet jusqu'à son scanner. Le lendemain, le patient et l'ambulancier se sont parlés au téléphone en attendant de se voir, après la sortie de ce dernier.

Francetv info

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