Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
31.01.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Marlène Dietrich vivait cloîtrée dans son appartement depuis sa fracture du col du fémur en Australie. Elle refusait de se rendre dans un établissement (maison de retraite ou hôpital). D'après Norma Bosquet, c'est cette peur qui, deux jours après une hémorragie cérébrale, l'aurait poussée à mettre un terme à sa vie.
Plaque de la place Marlène-Dietrich à Paris.
Sa fille et son unique enfant, devenue par son mariage Maria Riva, écrit une biographie remarquée sur elle. En 1983, le réalisateur suisse Maximilian Schell lui consacre un documentaire primé au festival de Cannes, intitulé Marlene, dans lequel l'actrice revient sur sa vie, sans pour autant apparaître en personne.
Marlene Dietrich et sa fille, Maria
Berlin, après l'avoir pratiquement chassée, fait un mea culpa posthume en lui dédiant la Marlene-Dietrich-Platz, (où se situe le Theater am Potsdamer Platz (de) accueillant la Berlinale, le festival international du film), non loin du Filmmuseum Berlin (de). Le Conseil de Parisdécide en 2002 de nommer place Marlène-Dietrich un carrefour du 16earrondissement, inaugurée officiellement le 12 juin 2003.
Timbre d'usage courant de la série Femmes de l'histoire allemande émis par la Deutsche Post.
Elle fut nommée par l'American Film Instituteneuvième meilleure actrice de légende du cinéma.
En France, le poète Jean Cocteau lui dit « Votre nom commence par une caresse et finit par un coup de cravache ».
En 1947 elle reçoit laMedal of Freedom, la plus haute décoration américaine. En 1951, elle est nommée chevalier de la Légion d'honneur et élevée plus tard au rang de commandeur[réf. nécessaire].
Le groupe de rock Noir Désir a composé une chanson, Marlène, en son honneur, qui traite de son engagement antinazi, mais aussi de sa beauté qui fait « saigner et s'accrocher les cœurs des soldats ».
Un cinéma nommé Le Dietrich existe à Poitiers, en France, depuis 1985.
Son portrait apparaît sur la pochette de l'album des Beatles, Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band.
En 1986, la chanteuse Jeanne Mas crée la chanson Mourir d'ennuien hommage à Marlène Dietrich, cette chanson fait l'ouverture de ses spectacles en 1987. (extrait des paroles: « L'alcool la séduit, Marlène amoureuse, la pleine lune aussi, Meurent d'ennui. »)
Jean-Jacques Debout a écrit et composé une chanson intituléeMarlène, Marlène dans son album Bourlingueur des étoiles.
Le 14 août 1997, la Deutsche Post, (la poste allemande), émet untimbre à l'effigie de Marlène Dietrich, d'une valeur faciale de cent-dixpfennigs pour la série d'usage courant Femmes de l'histoire allemande.
Apparence
Les effets de lumière utilisés par Von Sternberg donnèrent l'illusion de joues creusées, ce qui véhicula longtemps la rumeur qu'elle s'était fait arracher des molaires à cet effet...
Elle a dit : « La relation entre le maquilleur et l'acteur s'apparente à celle des complices d'un crime. »
Elle fut un des témoins de mariage d'Édith Piaf avec Jacques Pills. Elle choisit même la robe de la mariée.
Bibliographie
Christian Soleil, Le Smoking du diable, la vie généreuse et secrète de Marlène Dietrich, (essai biographique), Éditions Société des Écrivains, 2013, 302 pages
Femme ou Démon (Destry Rides Again) est un film américain sorti en 1939 réalisé par George Marshall
Marlene Dietrich dans les coulisses de "Destry Rides Again" (1939)
C'est un remake d'un western de1932 de Tom Mix.
Marlene Dietrich y joue le rôle d'une pétroleuse dans une ville du Far West sous le sobriquet de Frenchy. Elle y chante aussi Boys in the backroom.
Femme ou démon (1939)
Fiche technique
Titre : Femme ou Démon
Titre original : Destry Rides Again
Réalisation : George Marshall
Scénario : Felix Jackson, Gertrude Purcell, Henry Myers d'après une histoire de Felix Jackson et du roman Destry Rides Again deMax Brand
Production : Joe Pasternak et Islin Auster (producteur associé)
Société de production et de distribution : Universal Pictures
Musique : Frank Skinner
Photographie : Hal Mohr
Montage : Milton Carruth
Direction artistique : Jack Otterson
Costumes : Vera West
Pays d'origine : États-Unis
Langue : anglais
Format : Noir et blanc - Son : Mono (Western Electric Mirrophonic Recording)
Genre : Western
Durée : 94 minutes
Dates de sortie : États-Unis : 30 novembre 1939 (New York) ; France : 5 juin 1945
Destry Rides Again
Distribution
Marlene Dietrich : Frenchy
James Stewart : Tom Destry Jr.
Mischa Auer : Boris
Charles Winninger : Washington Dimsdale
Brian Donlevy : Kent
Allen Jenkins : Gyp Watson
Warren Hymer : Bugs Watson
Irene Hervey : Janice Tyndall
Una Merkel : Lily Belle
Billy Gilbert : Loupgerou
Samuel S. Hinds : Juge Slade
Jack Carson : Jack Tyndall
Ann E. Todd : Claggett Girl
Et, parmi les acteurs non-crédités :
Chef John Big Tree : L'indien au saloon
Betta St. John : La petite fille chantant dans le train
Marlène Dietrich est frenchy dans Destry Rides nouveau 1939
Marlene et Brian Don levy à des randonnées Destry
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Ange (Angel) est un film américain réalisé par Ernst Lubitsch, interprété par Marlene Dietrich,Herbert Marshallet Melvyn Douglas, sorti en 1937.
Une jeune femme (Marlene Dietrich) arrive à Paris incognito et se rend chez une amie avec laquelle elle entretient un passé obscur, la grande-duchesse Anna (Laura Hope Crews) qui entretient un salon de rendez-vous. Elle y rencontre un Américain, rentré des Indes, Tony Halton (Melvyn Douglas), qui la prenant pour la grande-duchesse l'invite à dîner à 20h45. Tony tombe vite amoureux de la jeune inconnue qu'il surnomme Ange (Angel en anglais) et ils passent une soirée très romantique, symbolisée par le thème musical qu'improvise un violoniste. Mais à la fin de la soirée, Ange s'enfuit en lui faisant promettre de l'oublier et de ne jamais chercher qui elle est. Ange est en réalité l'épouse du diplomate Frederick Barker qui est souvent à l'étranger, plus particulièrement à la Société des Nations, et la laisse seule la plupart du temps. Tous deux connaissant une union tranquille, si tranquille qu'ils ne parviennent à se disputer. Peu de temps après son retour de Genève, il revoit un ami rencontré pendant la première guerre mondiale, qui s'avère être Tony Halton. Frederick l'invite à déjeuner ce qui permet à Tony de retrouver Ange. Celle-ci tente de lui faire croire qu'elle ne l'a jamais rencontré mais, évidemment, il ne la croit pas. À la suite de quelques disputes entre Sir Frederick et son épouse, Ange part à Paris avec l'intention d'y retrouver Tony. Frederick est maintenant presque certain que son épouse l'a trompé et qu'elle est la jeune femme qu'Anthony cherche partout. Les trois personnages se retrouvent chez la grande duchesse où Frederick laisse à sa femme le choix suivant : ou elle épouse Tony ou elle part avec lui à Vienne, dans l'hôtel de leur voyage de noces. Ange choisit finalement son mari et tous deux partent pour Vienne.
Fiche technnique
Réalisation : Ernst Lubitsch
Scénario : Samson Raphaelson, d'après la pièce de Melchior Lengyel (en), Angyal
Adaptation : Melchior Lengyel, Guy Bolton
Photographie : Charles Lang
Montage : William Shea
Son : Harry Mills, Louis Mesenkop
Musique : Friedrich Hollaender et Werner R. Heymann (non crédité)
Production : Ernst Lubitsch
Société de production : Paramount Studios
Durée : 98 minutes
Format : Noir et blanc - Son : Mono
Langue : Anglais
Pays : États-Unis
Date de sortie : 29 octobre 1937
Distribution
Marlene Dietrich : Maria Angel Barker
Herbert Marshall : Sir Frederick Barker
Melvyn Douglas : Anthony Tony Halton
Edward Everett Horton : Graham
Ernest Cossart : Christopher Chris Wilton
Laura Hope Crews : La grande duchesse Anna Dmitrievna
Herbert Mundin : Greenwood
Dennie Moore (en) : Emma MacGillicudy Wilton
Ivan Lebedeff : Prince Vladimir Gregorovitch
Lionel Pape : Lord Davington
Michael Visaroff : Gregori, majordome de la grande duchesse
Et, parmi les acteurs non-crédités :
Leonard Carey : Serviteur des Barker
Gino Corrado : Directeur-adjoint de l'hôtel
Commentaires
Pris il y a encore peu pour une œuvre mineure Ange est tenu désormais pour un des films les plus représentatifs de Lubitsch. Il illustre en effet parfaitement son art du double-sens et de l'ambiguïté : "Ange, ou comment, par l'élégance, contourner toutes les censures"2.
« Les rapports sexuels extra-conjugaux, et particulièrement l'adultère (qui est le sujet même de Le ciel peut attendre), sont au centre de la plupart des films de Lubitsch. Mais s'il peut par là s'inclure dans cette suite ininterrompue qui, de Carmen à Lady in Ermine nous parle avant tout de désir sexuel, Angel y occupe pourtant une place unique : celle que lui ménage l'apparition, concomitante à celle du désir physique et l'éclipsant, du sentiment « amour » — apparition évidemment liée au fait qu'il s'agit ici d'adultère de la femme. L'adultère en devient platonique, l'amour s'éprouve sans se faire, et ce semi-renversement du sujet lubitschien type installe Angel, dès le niveau général de la thématique, dans le registre de la surprise. »
Jacques Aumont, Cahiers du Cinéma n° 198, février 1968
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{Refrain:}
Allons! Lève-toi, va-t´en!
Pars! Le lit n´est pas trop grand
Pour moi qui suis lasse de t´aimer
T´aimer!
Oui, tu m´ennuies avec tes grands mots d´adieu
Moi, j´ai horreur de tous ces discours, mon vieux
L´or me dégoûte et je déteste la cour
Rien ne me plaît, rien que l´amour!
Pars gentiment sans gémir sur tes malheurs
Pars, tu auras bientôt calmé ta douleur
Je ris de tous ces sentiments dont mon cœur est lassé
Assez!
{au Refrain}
Pars!
Je ris de tous ces sentiments dont mon cœur est lassé
Assez! Assez!
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