Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
08.02.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
110 millions de machines à café.... Soit 17 Téra Wh
Soit la production annuelle de 2 centrales de 1 GW ....
La production électrique en France
La production totale brute d'électricité comprend la production primaire (nucléaire, hydraulique, éolienne, photovoltaïque) et la production thermique classique. La production primaire brute s'établit à 514 TWh en 2008, après 508 TWh en 2007, revenant ainsi quasiment au même niveau qu'en 2006. Elle est assurée à 85,5 % par le nucléaire, à 13,4 % par l'hydraulique et à 1,1 % par l'éolien et le photovoltaïque. La hausse de 1,2 % enregistrée en 2008, soit + 6,3 TWh, fait suite à une baisse de même ampleur en 2007 (- 1,3 %).
En 2006, pour la première fois depuis 1998, la production nucléaire brute s'était inscrite en baisse (- 0,3 %, à 450,2 TWh). En 2007, la baisse s'était amplifiée pour s'établir à - 2,3 %.
En 2008, un nouveau recul, modéré, est enregistré, avec – 0,1 %, soit une baisse de 0,3 TWh par rapport à 2007 ; avec 439,5 TWh, la production nucléaire s'établit ainsi à un niveau inférieur de 12 TWh à son maximum atteint en 2005 (451,5 TWh).
En termes de production nette, c'est-à-dire hors consommations des auxiliaires, la production nucléaire s'élève à 418,3 TWh. Les évolutions récentes de la production nucléaire sont à rapprocher de celle de la disponibilité du parc nucléaire, dont la progression régulière s'est interrompue depuis deux ans.
Le coefficient de disponibilité nucléaire 2008 s'établit ainsi à 79,2 %, un point en dessous de celui de 2007, après 83,6 % en 2006. La quasi stabilité de la production nucléaire en 2008, en dépit du recul d'un point du coefficient de disponibilité, a donc été acquise grâce à la hausse équivalente du coefficient d'utilisation (à 95,2 %). Source : developpement-durable.gouv
L'idée d'utiliser une navette spatiale à des fins militaires n'est pas neuve : dans les années 1930 l'ingénieur allemand Eugen Sänger dessine un bombardier spatial qu'il nomme Silbervogel. L'appareil est conçu pour être lancé sur un rail de 3 km de long, monter à 145 km d'altitude à l'aide de son moteur-fusée, parcourir la distance le séparant de sa cible en "rebondissant" sur l'atmosphère, effectuer une rentrée atmosphérique pour larguer une bombe sur son objectif puis regagner en planant un terrain où se poser2. Cette utilisation de l'atmosphère comme "tremplin" permet à un appareil compact de parcourir d'énormes distances sans consommation de carburant et d'atteindre des vitesses hypersoniques. En théorie un bombardier spatial serait donc capable d'atteindre n'importe quel point du globe en quelques dizaines de minutes, il serait de plus quasiment impossible à intercepter.
Silbervogel
À la fin de la seconde Guerre mondiale de nombreux scientifiques allemands sont exfiltrés dans le cadre de l'opération Paperclip menée par l'Office of Strategic Services, parmi eux se trouve le Dr Walter Dornberger, responsable du programme allemand de fusées et de missiles, qui avait participé au développement du Silbervogel. Employé par la Bell Aircraft Corporation, Dornberger défend auprès de l'USAF les avantages du concept de bombardier spatial. Cette dernière se montre intéressé et demande aux avionneurs Bell, Boeing, Convair, Douglas, Martin, North American, Republic et Lockheed de mener chacun de leur coté l'étude de faisabilité d'un appareil à corps portant capable d'effectuer une rentrée atmosphérique. À la fin des années 1950 ces études débouchent sur de nombreux projets dont le BOMI (pour BOmber MIssile), le Hywards (pour HYpersonic Weapons Recherch and Development Supporting system) le Robo (pour ROcket BOmber) et le Brass (appareil de reconnaissance développé par Bell)
Les États-Unis sont les premiers à concevoir une navette spatiale réutilisable capable d'emporter de gros satellites en orbite basse et de les rapporter sur la Terre. Six navettes ont été conçues depuis 1976 : Enterprise, Columbia, Challenger, Discovery, Atlantis et Endeavour. L'Enterprise fut un démonstrateur et n'est jamais allé dans l'espace. Columbia et Challenger ont été détruites en mission. À noter en outre la maquette grandeur nature Pathfinder qui servit de banc d'essais. Mises en service à partir de 1981, un sénateur américain a émis l'idée de garder une ou plusieurs navettes en service jusqu'en 2015 (date à laquelle Orion devrait prendre la relève) mais leur mise à la retraite a eu lieu en 2011
Un des Shuttle Carrier Aircraft transportant la navette spatiale
Lancé en 1971 sur le réseau ARPANET (l'ancêtre d'internet), ce virus se nommait The Creeper. Bien entendu, à l'époque, la notion de virus informatique était inconnu et The Creeper avait pour simple but de démontrer la possibilité de mobilité d'une application à travers un réseau.
Que faisait-il? Rien de bien méchant en fait! Il passait d'un ordinateur à l'autre sur le réseau. Arrivé sur une nouvelle machine, il se contentait d'afficher "I'm the Creeper, catch me if you can!" (Je suis une plante grimpante, attrapez-moi si vous le pouvez). The Creeper lançait ensuite une impression puis l'arrêtait (juste de quoi démontrer qu'il pouvait en prendre les commandes). Il ouvrait alors un port et "sautait" vers une autre machine, en principe sans laisser de traces sur la première. Pour les plus curieux, sachez que ce virus s'attaquait alors
aux ordinateurs DEC PDP-10 utilisant le système d'exploitation TENEX TOPS-20.
Une petite note de culture toutefois : en réalité, un virus informatique est souvent utilisé comme terme générique pour désigner un logiciel malveillant. Toutefois d'un point de vu technique, "virus" désigne une application infectant un programme existant appelé hôte.
The Creeper est du genre vers informatique. C'est un programme autonome qui, comme un vers, rampe d'ordinateur en ordinateur.
Enfin, il faut savoir que le premier virus pour PC est apparu en 1986 et que l'on en comptait,
4 ans plus tard -en 1990- 1300 différents. A l'heure actuelle, plus de 200 millions de virus différents sont en circulation et ce nombre ne fait qu'augmenter. Bientôt, l'anti-virus deviendra obligatoire même sur votre téléphone portable
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