Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
11.02.2025
18683 articles
>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (959)
· A à Z : Sommaire (304)
· Mannequin de charme (914)
· Musique (371)
· Monde : France (3307)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (213)
· Cinéma : Films à classer (151)
· Calendrier : Naissances (246)
· Monde : Etats Unis (1156)
air amour annonce art article background base belle blogs cadre center centerblog
Articles les plus lus· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)
· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
La production électrique en France
La production totale brute d'électricité comprend la production primaire (nucléaire, hydraulique, éolienne, photovoltaïque) et la production thermique classique. La production primaire brute s'établit à 514 TWh en 2008, après 508 TWh en 2007, revenant ainsi quasiment au même niveau qu'en 2006. Elle est assurée à 85,5 % par le nucléaire, à 13,4 % par l'hydraulique et à 1,1 % par l'éolien et le photovoltaïque. La hausse de 1,2 % enregistrée en 2008, soit + 6,3 TWh, fait suite à une baisse de même ampleur en 2007 (- 1,3 %).
En 2006, pour la première fois depuis 1998, la production nucléaire brute s'était inscrite en baisse (- 0,3 %, à 450,2 TWh). En 2007, la baisse s'était amplifiée pour s'établir à - 2,3 %.
En 2008, un nouveau recul, modéré, est enregistré, avec – 0,1 %, soit une baisse de 0,3 TWh par rapport à 2007 ; avec 439,5 TWh, la production nucléaire s'établit ainsi à un niveau inférieur de 12 TWh à son maximum atteint en 2005 (451,5 TWh).
En termes de production nette, c'est-à-dire hors consommations des auxiliaires, la production nucléaire s'élève à 418,3 TWh. Les évolutions récentes de la production nucléaire sont à rapprocher de celle de la disponibilité du parc nucléaire, dont la progression régulière s'est interrompue depuis deux ans.
Le coefficient de disponibilité nucléaire 2008 s'établit ainsi à 79,2 %, un point en dessous de celui de 2007, après 83,6 % en 2006. La quasi stabilité de la production nucléaire en 2008, en dépit du recul d'un point du coefficient de disponibilité, a donc été acquise grâce à la hausse équivalente du coefficient d'utilisation (à 95,2 %). Source : developpement-durable.gouv
L'idée d'utiliser une navette spatiale à des fins militaires n'est pas neuve : dans les années 1930 l'ingénieur allemand Eugen Sänger dessine un bombardier spatial qu'il nomme Silbervogel. L'appareil est conçu pour être lancé sur un rail de 3 km de long, monter à 145 km d'altitude à l'aide de son moteur-fusée, parcourir la distance le séparant de sa cible en "rebondissant" sur l'atmosphère, effectuer une rentrée atmosphérique pour larguer une bombe sur son objectif puis regagner en planant un terrain où se poser2. Cette utilisation de l'atmosphère comme "tremplin" permet à un appareil compact de parcourir d'énormes distances sans consommation de carburant et d'atteindre des vitesses hypersoniques. En théorie un bombardier spatial serait donc capable d'atteindre n'importe quel point du globe en quelques dizaines de minutes, il serait de plus quasiment impossible à intercepter.
Silbervogel
À la fin de la seconde Guerre mondiale de nombreux scientifiques allemands sont exfiltrés dans le cadre de l'opération Paperclip menée par l'Office of Strategic Services, parmi eux se trouve le Dr Walter Dornberger, responsable du programme allemand de fusées et de missiles, qui avait participé au développement du Silbervogel. Employé par la Bell Aircraft Corporation, Dornberger défend auprès de l'USAF les avantages du concept de bombardier spatial. Cette dernière se montre intéressé et demande aux avionneurs Bell, Boeing, Convair, Douglas, Martin, North American, Republic et Lockheed de mener chacun de leur coté l'étude de faisabilité d'un appareil à corps portant capable d'effectuer une rentrée atmosphérique. À la fin des années 1950 ces études débouchent sur de nombreux projets dont le BOMI (pour BOmber MIssile), le Hywards (pour HYpersonic Weapons Recherch and Development Supporting system) le Robo (pour ROcket BOmber) et le Brass (appareil de reconnaissance développé par Bell)
Les États-Unis sont les premiers à concevoir une navette spatiale réutilisable capable d'emporter de gros satellites en orbite basse et de les rapporter sur la Terre. Six navettes ont été conçues depuis 1976 : Enterprise, Columbia, Challenger, Discovery, Atlantis et Endeavour. L'Enterprise fut un démonstrateur et n'est jamais allé dans l'espace. Columbia et Challenger ont été détruites en mission. À noter en outre la maquette grandeur nature Pathfinder qui servit de banc d'essais. Mises en service à partir de 1981, un sénateur américain a émis l'idée de garder une ou plusieurs navettes en service jusqu'en 2015 (date à laquelle Orion devrait prendre la relève) mais leur mise à la retraite a eu lieu en 2011
Un des Shuttle Carrier Aircraft transportant la navette spatiale
Lancé en 1971 sur le réseau ARPANET (l'ancêtre d'internet), ce virus se nommait The Creeper. Bien entendu, à l'époque, la notion de virus informatique était inconnu et The Creeper avait pour simple but de démontrer la possibilité de mobilité d'une application à travers un réseau.
Que faisait-il? Rien de bien méchant en fait! Il passait d'un ordinateur à l'autre sur le réseau. Arrivé sur une nouvelle machine, il se contentait d'afficher "I'm the Creeper, catch me if you can!" (Je suis une plante grimpante, attrapez-moi si vous le pouvez). The Creeper lançait ensuite une impression puis l'arrêtait (juste de quoi démontrer qu'il pouvait en prendre les commandes). Il ouvrait alors un port et "sautait" vers une autre machine, en principe sans laisser de traces sur la première. Pour les plus curieux, sachez que ce virus s'attaquait alors
aux ordinateurs DEC PDP-10 utilisant le système d'exploitation TENEX TOPS-20.
Une petite note de culture toutefois : en réalité, un virus informatique est souvent utilisé comme terme générique pour désigner un logiciel malveillant. Toutefois d'un point de vu technique, "virus" désigne une application infectant un programme existant appelé hôte.
The Creeper est du genre vers informatique. C'est un programme autonome qui, comme un vers, rampe d'ordinateur en ordinateur.
Enfin, il faut savoir que le premier virus pour PC est apparu en 1986 et que l'on en comptait,
4 ans plus tard -en 1990- 1300 différents. A l'heure actuelle, plus de 200 millions de virus différents sont en circulation et ce nombre ne fait qu'augmenter. Bientôt, l'anti-virus deviendra obligatoire même sur votre téléphone portable
Retour à : Informatique (Sommaire) |
Retour à : SOMMAIRE |
Retour à : |
Direct sur la rubrique : Informatique |
Comment ça marche ??? Aide |
Actu de dessinsagogo55 |
Le Petit Journal est un quotidien parisien, fondé par Moïse Polydore Millaud, qui a paru de 1863 à 1944. À la veille de la guerre de 1914-18, c'est l'un des quatre plus grands quotidiens français d'avant-guerre, avec Le Petit Parisien, Le Matin, et Le Journal. Il tire à un million d'exemplaires en 1890, en pleine crise boulangiste.
Le fondateur du titre est Moïse Millaud. Issu d'une famille juive de Bordeaux, il a débuté dans les affaires et les affaires de presse dès la monarchie de Juillet avec des publications financières ou judiciaires. En 1856, il rachète la Presse de Girardin mais son échec lui fait comprendre que cette formule, nouvelle vingt ans plus tôt, est maintenant dépassée.
Il en confie la direction gérance à son neveu Alphonse (né le 11 juin 1829 à Mouriès), fils de son frère Joseph.
Le Petit Journal attire de nombreux lecteurs car il est bon marché (5 centimes au lieu de 15 centimes pour les journaux ordinaires), il a un format commode (43 × 30 cm), il est accessible à tous (pas d'abonnement), il propose un contenu distrayant (fait divers, feuilleton, horoscope et chronique), journal sans politique, il est dispensé du timbre même si une partie de son contenu est politique. Il est l'emblème d'une nouvelle forme de journalisme qui se développe, celle de la petite presse.
Ce qui augmente les ventes, c'est lorsque que le Petit Journal publie des faits divers extraordinaires. C'est notamment le cas avec l'affaire Troppmann, septembre 1869. Tout Paris se presse à Pantin, où l'on vient de découvrir sept cadavres appartenant à une même famille. Autour de la fosse, on a monté une fête foraine. Devant l'émotion suscitée par cette tuerie, Alphonse Millaud, patron du Petit Journal, décide de couvrir abondamment le fait divers. Immédiatement, le pays tout entier se passionne pour l'histoire de cette famille odieusement massacrée. La police arrête un certain Jean-Baptiste Troppmann alors qu'il tentait d'embarquer pour les Amériques. Il a sur lui les papiers et les bijoux de l'infortunée famille. Pour Millaud, l'affaire Troppmann se révèle une mine d'or. Le tirage du Petit Journal passe de 200 000 exemplaires par jour à 300 000, puis à 500 000. Cette exploitation des faits divers devient alors la stratégie éditoriale du journal sur laquelle beaucoup d'historiens ont porté un jugement sévère.
Dès 1884, paraît l'hebdomadaire le Supplément illustré, dont le tirage atteint 1 million d'exemplaires en 1895. L'illustration couleur fut une innovation du Petit Journal.
Le Petit Journal devient en 1936 l'organe du Parti social français (P.S.F.) dont la devise, « Travail, Famille, Patrie » (reprise par la suite, en 1940, par l'État français) figure sous le titre du quotidien.
Collaborèrent au Petit Journal Albert Londres, René Hachette, Raymond Patenôtre, Saint-Paulien, Paul-Émile Victor, Daniel-Rops, Roger Vercel ou encore Maxence Van der Meersch.
Le premier numéro sort le 1er février 1863, et dès octobre, dépasse avec 83 000 exemplaires, le plus fort tirage des journaux sérieux comme Le Siècle qui publie 50 000 copies. Deux ans plus tard, à lui tout seul, le tirage du Petit Journal avec 259 000 exemplaires est supérieur à l'ensemble de la presse parisienne. En 1870, il atteint 340 000 exemplaires, soit le double du tirage de la presse parisienne. Ses progrès avaient aussi été rendus possibles grâce aux presses rotatives que Hippolyte Marinoni (1823-1904) mit au point pour lui dès 1867. En 1882, Marinoni prend le contrôle du journal, succédant à Girardin. Malgré quelques crises – Émile de Girardin en prit le contrôle en 1873 avec Gibiat, Jenty et Marinoni –, son audience ne cessa d'augmenter et aucun de ses concurrents ne put mettre sa suprématie en cause ; son tirage atteignit 500 000 exemplaires en 1878, 1 million en 1890 et certainement autour de 2 millions en 1895, date à laquelle il devient le journal avec le plus haut taux de tirages au Monde.
Le Petit Journal est alors l'un des trois principaux journaux français. Ce journal de presse populaire expédie 80 % de son tirage en province.
Après 1900, les tirages commencèrent à stagner puis à décroître : Le Petit Parisien, mieux géré et qui évita de prendre parti dans l'affaire Dreyfus, devint le plus grand journal français. Ernest Judet (1851-1943) plaça Le Petit Journal dans le parti antidreyfusard et le rallia à la cause nationaliste. Le Petit Journal ne tirait plus qu'à 850 000 exemplaires en 1914, et qu'à 400 000 en 1919. Une bonne partie de ses lecteurs, déconcertés ou choqués par l'engagement du journal dans le parti antidreyfusard sont alors passés à la lecture d'un concurrent qui franchit la barre des deux millions d'exemplaires et devient le roi de la petite presse, Le Petit Parisien.
Malgré les commandites successives de Loucheur, puis de Patenôtre, le déclin s'accentua dans l'entre-deux-guerres. En 1937, il ne tirait plus qu'à 150 000 exemplaires, quand il devint l'organe du Parti social français du colonel de La Rocque, mais son audience ne s'en trouva pas améliorée.
Replié à Clermont-Ferrand en juin 1940, le Petit Journal y vécut, médiocrement, jusqu'en 1944 où il disparaît complètement ; durant cette période, il reçut chaque mois une subvention du gouvernement de Vichy ; son conseil d'administration était alors présidé par le colonel de La Rocque.
En 1891, Pierre Giffard, rédacteur en chef du Petit Journal crée la course cycliste Paris-Brest-Paris.
Le 22 juillet 1894, Le Petit Journal a organisé la première course automobile de l'histoire, le Paris-Rouen. La course est gagnée par le comte Jules-Albert de Dion sur une De Dion-Bouton.
Durant des décennies, Le Petit Journal a accordé une très large place aux festivités du Carnaval de Paris et a reçu fastueusement les reines de la Mi-Carême. Un certain nombre de couvertures en couleurs de son supplément hebdomadaire ont pour sujet le Carnaval de Paris.
En 1912, pour fêter son cinquantième anniversaire, Le Petit Journal fait défiler à Paris, à l'occasion de la Mi-Carême, un imposant cortège formé de groupes et chars du Carnaval de Nice.
Comme aucun atelier parisien n'a de portes assez larges pour laisser sortir les chars une fois remontés, un atelier de fortune est installé sous les arcades du métro aérien, station Corvisart. Celles-ci sont fermées avec de grandes bâches.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
| |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||