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Par Anonyme, le 17.12.2024
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Vincent Auriol, né le 27 août 1884 à Revel (Haute-Garonne) et mort le 1er janvier 1966 à Paris, est un homme d'État français. Il est président de la République du 16 janvier 1947 au 16 janvier 1954.
Membre de la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO), il est ministre des Finances de 1936 à 1937, dans le gouvernement du Front populaire dirigé par Léon Blum, puis garde des Sceaux de 1937 à 1938, dans les troisième et quatrième cabinets de Camille Chautemps. Il est aussi brièvement ministre chargé de la Coordination des services à la présidence du Conseil dans le deuxième cabinet Blum, en 1938 .
Président de l'Assemblée constituante puis de l'Assemblée nationale entre 1946 et 1947, il est élu président de la République au début de cette même année, devenant le premier à occuper cette fonction sous la IVe République et le premier chef d’État socialiste en France. Il ne brigue pas un second mandat à l’issue de son septennat.
Situation personnelle
Jules Vincent Auriol est le fils unique de Jacques Antoine Auriol, artisan boulanger, et d'Angélique Virginie Durand. À l'âge de dix ans, il perd l'usage de son œil gauche pour avoir mal ajusté la détente d'un pistolet à amorces pour enfant ; il porte le restant de ses jours un œil de verre.
Il est titulaire d'une licence de droit obtenue à l'université de Toulouse en 1905, ainsi que d'une licence de philosophie, où il a suivi les cours de Jean Jaurès. Il est également titulaire d'un doctorat en droit.
Il exerce la profession d'avocat à Toulouse. Inscrit un temps aux Jeunesses libertaires, il milite ensuite à la SFIO dès sa fondation. Ayant entendu Jean Jaurès à Toulouse, il devient socialiste et fonde avec Albert Bedouce (député de Haute-Garonne), le Midi socialiste. Créé en 1908, ce quotidien a eu une réelle influence dans la vie politique régionale du début du xxe siècle, du fait de la personnalité de certains de ses collaborateurs : Vincent Auriol lui-même, Albert Bedouce, Jean Jaurès, Alexandre Varenne, Paul Ramadier, etc. Outre l'édition toulousaine, il comprenait une vingtaine d’éditions locales couvrant les anciennes régions Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon, et plus partiellement le Limousin, l'Aquitaine et l'Auvergne.
En 1912, Vincent Auriol épouse Michelle Aucouturier, fille de Michel Aucouturier, maître-ouvrier verrier à Carmaux, syndicaliste (ami et compagnon de carrière de Jean Jaurès) et fondateur d'une verrerie coopérative à Albi. Vincent et Michelle Auriol ont un fils prénommé Paul. Ce dernier fait carrière au sein d'Electricité de France et épouse en 1938 Jacqueline Douet, qui deviendra en 1948, l'aviatrice Jacqueline Auriol, deuxième femme pilote d'essai en France après Adrienne Bolland.
Fin stratège, Auriol s'impose comme l'un des membres influents du parti dans le Sud-Ouest après l'assassinat de Jean Jaurès.
Parcours politique
Du 10 mai 1914 à juin 1940, il est élu député de Muret (Haute-Garonne) à l'Assemblée nationale, puis maire de cette même ville en 1925, secrétaire du groupe socialiste à la Chambre des députés à partir de 1928, il devient progressivement l'expert financier du parti socialiste puis un de ses principaux représentants.
Il fait adopter par la SFIO en 1921, puis par l'ensemble des partis socialistes européens en 1922, un plan de redressement prévoyant la création d'un Office central qui se chargerait de toutes les régions sinistrées et qui serait financé par des prêts à long terme consentis par le gouvernement. L'Allemagne paierait, via cet organisme, ses réparations, par des prélèvements sur les dividendes de ses banques et industries. Mais les socialistes ne sont alors pas assez puissants pour imposer un tel projet.
De 1924 à 1926, sous le Cartel des gauches, Vincent Auriol préside la commission des finances de la Chambre des députés. Il soutient Léon Blum dans tous les congrès. Lors de la victoire électorale du Front populaire (mai 1936 à avril 1938), on parle de Auriol pour prendre le poste de président du Conseil des ministres, mais il milite activement pour que Blum soit nommé président du Conseil.
Du 4 juin 1936 au 21 juin 1937, Auriol est ministre des Finances dans le premier gouvernement de Léon Blum qui forme le Front populaire.
Vincent Auriol est ensuite ministre de la Justice, du 29 juin 1937 au 14 janvier 1938, dans le troisième gouvernement de Camille Chautemps.
Du 13 mars au 10 avril 1938, il est ministre de la Coordination des Services à la Présidence du Conseil dans le deuxième gouvernement de Léon Blum, dont la démission met fin au Front populaire (avril 1938).
Vincent Auriol est hostile aux accords de Munich (septembre 1938), mais il vote tout de même en leur faveur. Il est favorable à l'intervention en Espagne.
Pendant la « drôle de guerre », il est favorable à une attaque préventive contre l'Italie. Il est l'un des quatre-vingts parlementaires à refuser de voter les pleins pouvoirs au maréchal Pétain, le 10 juillet 1940. En contact permanent avec Blum, entre mai et septembre 1940, il le fait cacher chez son ami Eugène Montel, dont le gendre possède une demeure à Colomiers, près de Toulouse, le château de l'Armurié.
En septembre 1940, le gouvernement de Vichy le fait arrêter en même temps qu'Eugène Montel et Léon Blum à Colomiers (Haute-Garonne) au château de l'Armurié. Vincent Auriol est d'abord incarcéré à Pellevoisin (Indre) puis à Vals-les-Bains (Ardèche) et entretient une correspondance avec Léon Blum, où il se montre tout à fait optimiste sur la victoire des démocraties face au nazisme et au fascisme. Vichy fait mener une enquête sur lui, mais le tribunal civil de Muret prononce un non-lieu. Il est libéré pour raisons de santé et placé en résidence surveillée en août 1941. De sa maison, il conseille les socialistes résistants.
En 1942, il passe à la clandestinité et entre dans la Résistance. Il écrit Hier et demain, qui sera publié en 1944 à Alger, et dans lequel il entame une réflexion sur les institutions qui, selon lui, devraient remplacer celles de la IIIe République. En 1943, il parvient à rejoindre Londres en avion et se met au service du général de Gaulle. L'année suivante, il est président de la Commission des Finances de l'Assemblée consultative d'Alger et adhère à l'Union des évadés de France
Le 21 octobre 1945, il est élu député de la Haute-Garonne à la première Assemblée constituante.
En octobre 1945, usant de son entregent parisien, il est élu président du conseil général de la Haute-Garonne.
Du 21 novembre 1945 au 23 janvier 1946, Auriol est ministre d'État dans le deuxième gouvernement du général de Gaulle.
Le 31 janvier 1946, il devient président de la première Assemblée constituante en succédant à Félix Gouin qui est élu à la présidence du gouvernement provisoire.
Le 2 juin 1946, il est réélu député de la Haute-Garonne et continue de présider l'Assemblée constituante, chargée de mettre en œuvre la future Constitution.
Le 10 novembre 1946, il est réélu député de la Haute-Garonne à l'Assemblée nationale, qui l'élit à sa présidence le 3 décembre 1946.
C'est à ce titre que le 16 janvier 1947, il préside le Parlement réuni à Versailles pour l'élection présidentielle dont il sort vainqueur et qui met fin à son mandat de président de l'Assemblée nationale, repris par Édouard Herriot.
Lors de l’élection présidentielle de janvier 1947, Auriol est élu premier président de la IVe République, le Parlement réuni en congrès à Versailles l’ayant désigné par 452 voix, contre 242 à Auguste Champetier de Ribes (MRP), 122 à Jules Gasser (radical) et 60 à Michel Clemenceau (droite).
Après son investiture au palais de l'Élysée, le nouveau président de la République affiche clairement son ambition de faire du chef de l'État un véritable arbitre entre les différentes institutions nationales, n'entendant guère être un « président soliveau ». Il entend ainsi « arbitrer les diverses opinions dans le sens de la volonté populaire et de l'intérêt collectif » en précisant que « [s]es conseils s'arrêtent au seuil de la décision ». Mais les crises ministérielles successives auxquelles est confrontée la fragile IVe République ne cessent pas : en première ligne, car étant le mandant du président du Conseil des ministres, le président Auriol est ainsi caricaturé dans de nombreux dessins de presse. Le dessinateur Jean Sennep, par exemple, met en scène, dans un dessin publié dans Le Figaro du 9 septembre 1948, le président Auriol, vraisemblablement fatigué, rédigeant un emploi du temps quant aux personnalités nommées à la présidence du Conseil au jour le jour.
À l'occasion de son mandat, Vincent Auriol, soutenu par son épouse, fait remanier le palais de l'Élysée.
Vincent Auriol ne brigue pas un second mandat présidentiel et quitte ses fonctions le 16 janvier 1954. René Coty (CNIP) lui succède.
Vincent Auriol finit par souscrire à l'appel au général de Gaulle en 1958, mais, rapidement en désaccord avec Guy Mollet, il quitte la SFIO en 1958 et profite de son statut d'ancien président et de chef historique du socialisme français pour collecter des fonds auprès des partis membres de l'Internationale socialiste au profit du nouveau PSA.
En 1959, il devient membre de droit du Conseil constitutionnel, mais il cesse de se rendre aux réunions dès 1960, pour protester contre l'interprétation particulièrement restrictive des compétences du Conseil et du Parlement qu'a le général de Gaulle, plusieurs lois, dont la loi Debré sur l'enseignement scolaire, ayant été votées sans que le Conseil constitutionnel soit consulté, contre le refus du président de Gaulle de convoquer une session extraordinaire en mars 1960 et du fait de la non-annulation d'élections législatives, qu'il juge truquées, en Algérie. « Cette désinvolture à l'égard de la souveraineté nationale et de notre charte fondamentale oriente le régime constitutionnel de 1958 vers un système de pouvoir personnel et arbitraire en opposition avec les principes et les règles essentiels de la démocratie. », déclara Vincent Auriol dans une lettre du 25 mai 1960. Vincent Auriol revient lors des séances des 3, 5 et 6 novembre 1962 ; il vote, à l'occasion de cette dernière séance, sur la constitutionnalité de la loi référendaire modifiant le mode d'élection du président de la République. Il vote en faveur de l'inconstitutionnalité. Son soutien à la candidature de François Mitterrand, lors de l'élection présidentielle de 1965, est son dernier engagement politique.
Mort et obsèques
Il meurt le 1er janvier 1966 à Paris, à l'âge de 81 ans, au 11, quai Branly (7e). Son corps est transféré au 2, quai Branly, où le général de Gaulle vient s'incliner le lendemain. Le président Auriol est inhumé au cimetière de Muret (Haute-Garonne) après des obsèques civiles célébrées dans une relative intimité.
Détail des mandats et fonctions
16 janvier 1947 – 16 janvier 1954 : président de la République française
4 juin 1936 – 22 juin 1937 : ministre des Finances
22 juin 1937 – 18 janvier 1938 : ministre de la Justice
11 mars – 10 avril 1938 : ministre de la Coordination des Services à la Présidence du Conseil
22 novembre 1945 – 20 janvier 1946 : ministre d'État, sans portefeuille
1914-1940 : député de la Haute-Garonne (1914-1940)
1945-1946 : membre des deux Assemblées nationales constituantes
31 janvier 1946 – 27 novembre 1946 : président des première et deuxième Assemblées nationales constituantes
1946-1947 : député de la Haute-Garonne
3 décembre 1946 – 20 janvier 1947 : président de l'Assemblée nationale (chef de l’État de facto)
1925-1946 : maire de Muret
1928-1946 : conseiller général de la Haute-Garonne, élu dans le canton de Carbonne
5 mars 1959 – 1er janvier 1966 : membre de droit du Conseil constitutionnel (ne siège plus à partir de 1962)
1957-1966 : président de La Jeunesse au plein air
Décorations
France
Grand-croix de la Légion d'honneur (16 janvier 1947) et grand maître de l'ordre (1947-1954) en tant que président de la République
Médaille de la Résistance française
Croix du combattant volontaire de la Résistance
Étranger
Grand-croix de l'ordre national de 32 États dans le monde
Grand-croix de l'ordre de Saint-Olaf, ( Norvège)
Grand-croix de l'ordre National Honneur et Mérite, ( Haïti), le 8 décembre 1953
Œuvres
Hier et demain, 1944 (écrit pendant la Seconde Guerre mondiale).
Journal du septennat, éd. Tallandier, 2004 (version complète).
Dix années d'administration socialiste 1925-1935, éd. Commune de Muret, 1935.
Mon septennat 1947-1954, éd. nrf Gallimard, 1970.
Les papiers personnels de Vincent Auriol sont conservés aux Archives nationales, sur le site de Pierrefitte-sur-Seine, sous la cote 552AP : Inventaire du fonds
Le Musée Clément Ader et des grands hommes, à Muret, a été fondé dans sa villa, où plusieurs salles lui sont consacrées, notamment sa bibliothèque personnelle laissée intacte.
Hommages
Un collège-lycée porte son nom dans sa ville natale de Revel.
Un boulevard du 13e arrondissement de Paris porte son nom.
Une avenue porte également son nom à Floirac, en Gironde, dont la principale résidence se nomme « Fraternité », ainsi qu'à Abbeville, dans la Somme, qui se nomme « avenue du Président Vincent Auriol ».
Un pont sur le fleuve Niger à Bamako porta le nom de Vincent Auriol jusqu'à l'indépendance du Soudan français devenu Mali le 22 septembre 1960. Vincent Auriol en avait posé la première pierre en avril 1947, mais le pont ne fut inauguré qu'en janvier 1960. Il fut rebaptisé « pont de Badalabougou » après l'indépendance, puis « pont des Martyrs » après la chute du Président Moussa Traoré en 1991.
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Izabella Scorupco, de son vrai nom Izabella Dorota Skorupko [ˈisɑbelːɑ dɔˈrɔta skɔˈrcoup ».">upkɔ], est une actrice et chanteuse polono-suédoise née le 4 juin 1970 à Białystok en Pologne.
Biographie
Élevée par sa mère jusqu'à ses huit ans dans sa ville natale de Białystok (Pologne), elles déménagent en 1978 en Suède, à Stockholm, où Izabella apprend le suédois et l'anglais en plus de sa langue maternelle, le polonais.
Elle devient mannequin, elle prend aussi des cours de musique et de comédie où elle sera remarquée en 1987 par le réalisateur suédois Staffan Hildebrand, qui lui offre son premier rôle dans Ingen kan älska som vi (Only we can love like this dans son titre anglais).
Elle devient alors connue dans son pays d'adoption et sa carrière se poursuit aussi bien dans la musique en obtenant un disque d'or, qu'à la télévision en 1991 ou encore au cinéma avec Petri tårar (St Peter's tears) en 1995.
La même année, elle tourne aux côtés de Pierce Brosnan et de Famke Janssen dans GoldenEye de Martin Campbell, dans le rôle de la James Bond girl Natalya Simonova qui la propulse définitivement.
Elle interprète ensuite Helena Kurcewiczówna dans Ogniem i Mieczem (Par le fer et par le feu) avant de tourner Petri tårar (Baltic sea), Vertical Limit en 2000 et Le Règne du feu en 2002. Elle continue avec le rôle de Sara dans L'Exorciste, au commencement de Renny Harlin et participe à la saison 4 de la série télé Alias en 2005. En 2007, elle obtient le rôle de Paige dans Cougar Club et tourne à nouveau dans un film suédois Solstorm (Sunstorm) de Leif Lindblom, puis dans un film sorti début 2010, Änglavakt (Among us) de Johann Brisinger.
Elle s'est mariée en 1996 avec le joueur de hockey Mariusz Czerkawski avec lequel elle a eu une fille, Julia, née le 16 septembre 1997, avant de divorcer en 1998. Elle s'est remariée avec un Américain, Jeffrey Raymond, le 30 janvier 2003 et ils vivent maintenant en Californie à Pasadena avec leur fils, Jacob, né le 24 juillet 2003.
Filmographie
Cinéma
1988 : Ingen kan älska som vi : Annelie
1995 : Det var en mörk och stormig natt : Petronella
1995 : Petri tårar : Carla / Carlo
1995 : GoldenEye : Natalya Fyodorovna Semyonova
1999 : Par le fer et par le feu (Ogniem i mieczem) : Helena Kurcewiczówna
2000 : Dykaren : Irena Walde
2000 : Vertical Limit : Monique Aubertine
2002 : Le Règne du feu (Reign of Fire) : Alex Jensen
2004 : L'Exorciste, au commencement (Exorcist: The Beginning) : Sarah
2007 : Cougar Club : Paige Stack
2007 : Solstorm : Rebecka Martinsson
2010 : Änglavakt : Cecilia
2014 : Micke & Veronica : Veronica
2017 : Sleepwalker : Dr Cooper
2018 : The Undreaming of Anna Bell Zeigler : Harriet Zeigler
Télévision
1991 : V som i viking (feuilleton TV) : The single mother
1994 : Bert (série TV) (1 épisode) : Zindy Dabrowski
2001 : Ogniem i Mieczem (feuilleton TV): Helena Kurcewiczówna
2005 : Alias (série TV)
Saison 4 épisode 15 : Pandora : Sabina
Chanson
1991 : Album "IZA"
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Barbara Bach est une actrice américaine née le 28 août 1946 à New York. Elle fait partie des James Bond girls, ayant joué dans le film L'Espion qui m'aimait en 1977. Elle est, depuis 1981, l'épouse de Ringo Starr.
Biographie
Barbara Goldbach naît dans le quartier de Rosedale dans le Queens, d'une mère irlandaise catholique et femme au foyer, Marjorie Mary McKnight, et de Howard Irwin Goldbach, un policier d'origine juive autrichienne. Elle étudie dans une école catholique, dans le quartier de Jamaica. Elle a une sœur, Marjorie, et un frère, Howard. En 1965, Barbara raccourcit son nom en Bach.
Elle parle anglais, français, italien et espagnol.
Elle commence comme mannequin pour l'agence Ford Model Management d'Eileen Ford avant d'embrasser une carrière d'actrice en Italie. En 1966, elle rencontre Augusto Gregorini ; ils se marient la même année. Ils ont une fille Francesca Gregorini (it), née le 7 août 1968, actrice et chanteuse, et un fils, Gianni, né le 6 avril 1973. Ils se séparent en 1975.
En 1971, elle fait une apparition dans l'adaptation d'un roman de Françoise Sagan, Un peu de soleil dans l'eau froide. En 1977, elle est retenue pour interpréter le rôle du Major Anya Amasova dans le dixième James Bond, L'Espion qui m'aimait.
Elle rencontre l'ancien Beatle Ringo Starr sur le plateau du film L'Homme des cavernes, sorti en 1981, et l'épouse cette année-là. Ringo lui dédie en 1998 la chanson I'm Yours, de son album Vertical Man, puis fait de même avec la chanson Show Me the Way, qui figure son disque Give More Love paru en 2017, et sur laquelle Paul McCartney apparaît. En octobre 1988, le couple a séjourné dans un centre de désintoxication contre l'alcoolisme à Tucson.
Elle est diplômée en psychologie de l'université de Californie à Los Angeles, en 1993.
En 2008, sa sœur Marjorie se marie avec Joe Walsh, guitariste des groupes James Gang et The Eagles.
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La Daimler DS420 , également connue sous le nom de Daimler Limousine , est une limousine fabriquée par la société Daimler entre 1968 et 1992. La voiture a été conçue pour un usage officiel et elle était populaire auprès des services de chauffeurs, des hôteliers et des pompes funèbres. Elle était utilisée comme voiture officielle d’État dans de nombreux pays. Aucun autre modèle de limousine n'a été livré à autant de monarques régnants que la DS420, et la voiture est toujours utilisée par les maisons royales du Royaume-Uni, de Suède, du Danemark et du Luxembourg.
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Lingerie est le terme utilisé pour désigner l'ensemble des sous-vêtements et des vêtements de nuit féminins. Elle se caractérise par des tissus fins, lavables, brodés ou garnis de dentelles.
Autrefois appelée linge de corps parfois qualifiée de dessous, le terme « lingerie » a longtemps désigné les sous-vêtements féminins, même si depuis les années 1990 certains sous-vêtements masculins peuvent aussi entrer dans cette définition.
La lingerie sexy doit résoudre le paradoxe : cacher ce que l'on montre et montrer ce que l'on cache
La lingerie est un des vêtements usuels les plus difficiles à réaliser. Elle peut être constituée de 15 à 30 éléments différents (bretelles, armatures, agrafes, dentelles, broderies, ornements...) et nécessiter 15 à 20 fibres naturelles ou synthétiques. En fonction de sa complexité, la réalisation d'un soutien-gorge peut prendre de 9 à 20 minutes.
La lingerie d'aujourd'hui se veut fonctionnelle et élégante. C'est un produit de consommation emblématique de la mode. Douce, soyeuse, légère ou transparente, elle est pour de nombreuses femmes et hommes un atout de séduction, même si selon une étude réalisée en France, « 40% seulement des femmes portent de la lingerie pour séduire ». La lingerie est devenu un acteur majeur de la mode, avec les défilés de Victoria's Secret, son salon professionnel annuel, et ses publicités omniprésentes dans la presse ou dans la rue. De plus, à l'origine destinée à être cachés, les accessoires de lingerie apparaissent comme éléments de l'habillement et se montrent : les soutiens-gorge se montrent dans les décolletés, les bretelles sur les épaules, les corsets remplacent la ceinture, ..
Différentes tendances peuvent être distinguées en matière de lingerie dans les collections, tendances qui se croisent :
Les imprimés ou la couleur, se rapprochant des collections de maillots de bain ;
la lingerie rétro, inspirée d'ancien modèles, avec une prédominance pour les années 1950 ;
la lingerie confort, par l'utilisation de matières douces et coupes agréables ;
la dentelle, comme la broderie, composant classique de la lingerie qui n'a jamais disparu des collections ;
depuis peu, la lingerie dite « intelligente » qui se veut soit hydratante, soit amincissante,
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Célébrations
Internationale |
Journée mondiale du chien |
Nationales |
États-Unis : journée de l’égalité femme - homme commémorant la ratification du XIXe amendement de la Constitution en 1920. |
Namibie : jour des héros |
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Décès
1346 à la bataille de Crécy défaite française contre les archers anglais en début de guerre de Cent ans : |
Charles II, comte d’Alençon et du Perche (° vers 1297). |
Jean de Luxembourg, roi de Bohême et comte de Luxembourg de 1310 à 1346 (° 12 août 1296). |
Louis Ier, comte de Flandre (° vers 1304). |
Jean IV, comte d’Harcourt (° inconnue). |
Raoul, duc de Lorraine (° 1320). |
Henri IV, comte de Vaudémont (° inconnue). |
1551 : Marguerite Lejonhufvud, reine de Suède, épouse de Gustave Ier Vasa (° 1er janvier 1516). |
1652 : Thomas Esterhazy, noble et militaire hongrois (° 20 décembre 1625). |
1769 : Jacopo Facciolati, lexicographe et philologue italien (° 4 janvier 1682). |
1838 : John Nicholl, député et juge gallois (° 16 mars 1759). |
1850 : Louis-Philippe Ier, roi des Français de 1830 à 1848 (° 6 octobre 1773). |
1908 : Tony Pastor, chanteur fantaisiste et imprésario américain (° 28 mai 1837). |
1910 : William James, philosophe américain (° 11 janvier 1842). |
1930 : Leonidas Frank « Lon » Chaney, acteur américain (° 1er avril 1883). |
1932 : Gustave Pessard, historien de Paris et compositeur français (° 17 novembre 1846). |
1945 : |
Alfred-Odilon Comtois, prélat québécois (° 5 mars 1876). |
Franz Werfel, homme de lettres autrichien (° 10 septembre 1890). |
1957 : Teresa Fardella de Blasi, fondatrice d'œuvres, vénérable catholique (° 24 mai 1867). |
1958 : Ralph Vaughan Williams, compositeur britannique (° 12 octobre 1872). |
1964 : Laurent Barré, syndicaliste et homme politique québécois (° 30 mai 1886). |
1968 : Kay Francis, actrice américaine (° 13 janvier 1905). |
1973 : Outel Bono, homme politique tchadien (° 1934). |
1974 : Charles Lindbergh, aviateur américain (° 4 février 1902). |
1975 : Juliette Béliveau, actrice québécoise (° 28 octobre 1889). |
1976 : |
Warner Anderson, acteur américain (° 10 mars 1911). |
Lotte Lehmann, cantatrice américano-allemande (° 27 février 1888). |
1978 : Charles Boyer, acteur français (° 28 août 1899). |
1979 : Mika Waltari, écrivain finlandais (° 19 septembre 1908). |
1980 : Tex Avery (Frederick « Fred » Bean Avery dit), réalisateur de films d’animation (° 26 février 1908). |
1986 : Ted Knight, acteur américain (° 7 décembre 1923). |
1989 : Irving Stone, écrivain américain (° 14 juillet 1903). |
1992 : |
Daniel Gorenstein, mathématicien américain (° 1er janvier 1923). |
Bob de Moor (Robert Frans Marie De Moor dit), dessinateur belge (° 20 décembre 1925). |
1995 : Ronald White (en), chanteur et compositeur américain du groupe The Miracles (° 5 avril 1939). |
1996 : |
Georges Hardy, homme de radio et de télévision suisse (° 10 décembre 1914). |
Alejandro Agustín Lanusse, homme d'État argentin (° 28 août 1918). |
1997 : Clément Lépidis, écrivain français (° 2 avril 1920). |
1998 : |
Wade Dominguez, mannequin, acteur, chanteur et danseur américain (° 10 mai 1966). |
Remo Giazotto, compositeur et musicologue italien (° 4 septembre 1910). |
Jack Harlan, botaniste et agronome américain (° 7 juin 1917). |
Charles Jauquier, ténor suisse (° 12 février 1920). |
Frederick Reines, physicien et professeur d'université américain (° 16 mars 1918). |
Ryūichi Tamura, essayiste, poète et traducteur japonais (° 18 mars 1923). |
2000 : Odette Joyeux, actrice française (° 5 décembre 1914). |
2001 : Louis Muhlstock, peintre québécois (° 23 avril 1904). |
2004 : |
Enzo Baldoni, journaliste italien (° 8 octobre 1948). |
Laura Branigan, chanteuse américaine (° 3 juillet 1952). |
2005 : Denis D’Amour, musicien canadien, guitariste du groupe Voivod (° 24 septembre 1959). |
2006 : |
Rainer Barzel, homme politique allemand, président de l’Union chrétienne-démocrate d’Allemagne de 1971 à 1973 et président du Bundestag de 1983 à 1984 (° 20 juin 1924). |
François Lamoureux, haut fonctionnaire français (° 17 décembre 1946). |
Père Philippe, religieux dominicain français (° 8 septembre 1912). |
2007 : |
Jerry Andrus, magicien et écrivain américain (° 28 janvier 1918). |
Gaston Thorn, homme politique luxembourgeois, Premier ministre du Luxembourg de 1974 à 1979 et président de la Commission européenne de 1981 à 1985 (° 3 septembre 1928). |
2009 : |
Ellie Greenwich, compositrice et réalisatrice artistique américaine (° 23 octobre 1940). |
René Morizur, musicien français du groupe Les Musclés (° 1944). |
2011 : Aloysius Ambrozic, prélat canadien, archevêque de Toronto de 1990 à 2006 (° 27 janvier 1930). |
2012 : Stéphane Slima, acteur français (° 10 octobre 1970). |
2014 : Maria Mauban, comédienne française (° 10 mai 1924). |
2017 : Tobe Hooper, réalisateur américain (° 25 janvier 1943). |
2018 : |
Inge Borkh, cantatrice allemande (° 26 mai 1917). |
Rosa Bouglione, artiste de cirque et centenaire française (° 21 décembre 1910). |
Neil Simon, producteur et scénariste américain (° 4 juillet 1927). |
2021 : Vladimir Chadrine, Marco Hausiku, Rafael Hechanova, Jérôme Proulx. |
2022 : Omba Pene Djunga, homme politique congolais (° 8 avril 1938). |
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