Date de création : 09.04.2012
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27.11.2024
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L’Eswatini, en forme longue le royaume d’Eswatini (en swati : eSwatini [ɛswáˈtʼiːni] et Umbuso weSwatini ; en anglais : Eswatini et Kingdom of Eswatini), appelé Swaziland jusqu’en avril 2018, est un pays d'Afrique australe sans accès à la mer, bordé par l'Afrique du Sud et le Mozambique.
Cette nation, comme ses habitants, doit son nom au roi du xixe siècle Mswati II, chef dont le nom signifie « bâton de commandement » en zoulou. L'Eswatini est un petit pays, moins de 200 km séparent le nord du sud et 130 km l'est de l'ouest. La partie ouest du pays est en altitude, l'altitude est moins importante vers le centre. La frontière est du pays se distingue grâce aux monts Lebombo. Le climat est assez tempéré à l'ouest, mais il atteint les 40 °C dans l'est du pays en été. Le pays connaît d'importantes précipitations dans l'ouest et surtout en été.
Le territoire de l'actuel Eswatini a régulièrement été habité depuis la Préhistoire, mais les plateaux étaient peu peuplés lorsque les Dlamini (issus du peuple nguni) y trouvèrent refuge. De nos jours, ses habitants appartiennent presque tous à l'ethnie swazi, dont la langue est le swati.
Étymologie
Le nom « eSwatini » signifie « pays des Swazis ».
Histoire
Bien que des restes d'occupations par des humains datant de plus de 100 000 ans aient été trouvés en Eswatini, la population actuelle, composée de pasteurs, s'y installe uniquement au xixe siècle, dans des hauts-plateaux, dans le cadre des guerres qui opposent les Ndwandwe aux Ngwane. Une guerre oppose, en 1815, les Ngwane-Dlamini du roi Sobhuza Ier aux Ndwandwe menés par Zwide. En conflit pour les terres de la vallée de la Pongola, Zwide repousse les Ngwane vers le nord ; ils se réfugient sur les hauts-plateaux de ce qui deviendra l'Eswatini. À la mort de Sobhuza, son fils Mswazi (ou Mswati) lui succède ; c'est à ce moment que le peuple Ngwane-Dlamini prend le nom de Swazi. Un peu plus tard, les premiers Blancs commencent à pénétrer dans cette région.
Après la seconde guerre des Boers, l'Eswatini devient une colonie britannique sous le nom de Swaziland.
L'indépendance est accordée au pays le 6 septembre 1968. C'est Sobhuza II qui est à la tête de cette monarchie : de chef suprême des Swazi pendant la domination britannique, il est devenu roi. L'Eswatini reste membre du Commonwealth et intègre l’ONU. En avril 1973, jugeant la constitution rédigée par les Britanniques, et faisant de ce pays une monarchie constitutionnelle, en inadéquation avec les traditions swazies, Sobhuza II dissout le parlement (le Libandla) élu, et abolit cette Constitution, s'appuyant pour ce faire sur une armée privée qu'il a formée et équipée en secret. Ceci lui permet de s'arroger les pleins pouvoirs. À partir de ce moment, les partis politiques sont interdits. L'Eswatini devient une monarchie absolue de fait depuis 1973 et de droit depuis 1978. Il meurt en août 1982. Le Liqoqo (Conseil intérieur royal) nomme alors Dzeliwe, une de ses épouses parmi soixante-dix, comme reine régente, en raison a priori de son niveau d'éducation, en attendant qu'un autre prince que son fils, le prince Makhosetive, désigné par le Conseil royal comme successeur, ait atteint l'âge de vingt-deux ans. C'est le point de départ d'une période d'intrigues au sein de la Cour, avec également l'influence de puissances étrangères, notamment l'Afrique du Sud voisine. Finalement, elle est poussée, par ce même conseil, à renoncer à la régence au profit de Ntfombi Tfwala, la mère du prince héritier Makhosetive.
Le prince héritier devient roi, sous le nom de Mswati III en 1986. C'est le dernier monarque absolu du continent africain, appuyant son pouvoir sur les traditions. Il nomme le premier ministre, les ministres, les juges, et une partie des parlementaires, une autre partie étant toutefois élue. Il y a des élections législatives pour élire 55 des 65 députés. Pour faire candidature, un candidat doit lever la main lors d'une assemblée de tous les habitants de la région, et patienter jusqu'à obtenir que quinze personnes se rangent derrière lui, en présence du chef, pour valider son inscription. Les partis politiques sont interdits. Par ailleurs, chaque année, à la fin août, tous les parents doivent s'assurer que leurs filles encore vierges participent à la danse des roseaux, qui s'effectue devant le roi. C'est l'occasion pour celui-ci de choisir éventuellement une nouvelle épouse (il en a une quinzaine).
Le 19 avril 2018, le roi Mswati III annonce que le pays reprend son nom d'origine d'avant la colonisation : Eswatini, pour les 50 ans de l’indépendance du pays. Eswatini signifiant « le pays des Swazis » en langue swati, Swaziland était donc un nom hybride entre l’anglais et la langue nationale. Le roi Mswati III a déclaré : « Nous étions le seul pays d’Afrique à avoir conservé son nom de l’époque coloniale ».
Le royaume est secoué en 2019 par une vague de grèves des fonctionnaires, accusant le monarque de vider les caisses du pays au détriment de la population. En 2021, de grandes manifestations en faveur de la démocratie conduisent le pouvoir à imposer un couvre-feu à sa population.
Politique
Les partis politiques sont interdits dans le pays depuis 1973.
Le 18 août 2004, le roi Mswati III annonce que le pays va changer de constitution. Les organisations de défense des droits de l'homme et les groupes d'opposition dénoncent le projet proposé de constitution, puisqu'elle continue à interdire les partis politiques et renforce les pouvoirs du roi. En dépit des résistances des groupes d'opposition, la nouvelle constitution du Swaziland est ratifiée par le roi le 26 juillet 2005 et entre en vigueur le 8 février 2006. Le pays demeure une monarchie absolue. Les partis politiques ne sont perçus que comme des associations et la Cour suprême ne peut juger d'affaires pouvant impliquer la monarchie.
En septembre 2018, ce pays de 1,1 million d'habitants reste le dernier pays africain à être l'allié de Taïwan, alors que l'ensemble des autres pays du continent soutiennent la république populaire de Chine.
Le pays est la dernière monarchie absolue d’Afrique.
En octobre 2021, le pays est bouleversé par des mouvements de protestation contre le régime. Le prince Simelane Dlamini, ministre des Travaux publics, déclare que les manifestations sont interdites dans le pays.
Districts
L'Eswatini est divisé en quatre districts :
Hhohho
Lubombo
Manzini
Shiselweni.
Géographie
L'Eswatini offre une grande variété de paysages : des montagnes le long de la frontière avec le Mozambique (monts Lebombo), des savanes d'altitude à l'est avec le highveld (qui fait partie du Drakensberg) et des forêts tropicales dans le nord-ouest. Plusieurs fleuves traversent le pays, tel que le Umbeluzi ou le Lusutfu. L'Eswatini n'a pas d'accès à la mer.
Son point culminant est le mont Emlembe, 1 862 mètres, situé au nord-ouest du pays, près de Pigg's Peak.
Avec 62 000 habitants, la capitale Mbabane est la deuxième plus grande ville du pays derrière Manzini ; Lobamba (capitale royale et législative) ou Siteki sont de moindre importance.
Économie
L'économie de l'Eswatini est caractérisée par un taux de chômage de 34%, soit le 170e rang mondial en 2004. Les exportations qui représentent une entrée d'argent de plus de 900 millions de dollars ne couvrent pas le coût des importations, qui représentent plus d'un milliard de dollars. La balance commerciale est déficitaire de 72 millions de dollars. En 2001, le PNB s'élevait à 1,4 milliard de dollars. La croissance à 1,6 % en 2001 et à 2 % en 2006.
La production est surtout agricole. Le secteur primaire emploie 80 % des actifs mais ne représente que 16,4 % du PNB. Le pays cultive la canne à sucre, le coton, le tabac, le riz et le maïs. Depuis les années 1980, l'industrie se développe, en particulier dans l'agroalimentaire et le textile. L'activité des services atteint plus de 40 % du PNB. La culture de la canne à sucre, principale ressource du pays, asservit cependant une partie de la population : expulsions forcées de communautés rurales pour aménager les plantations, travail des enfants, semaines de travail allant jusqu'à 60 heures, etc. La Confédération syndicale internationale évoque « des conditions de travail ardues et malsaines, des salaires misérables et une répression violente de toute tentative de syndicalisation ». En 2018, le pays est le quatrième producteur de canne à sucre du continent.
L'économie de l'Eswatini dépend pour partie des échanges avec l'Afrique du Sud, son voisin, et de ceux avec l'Europe. En 2006, les importations depuis l'Afrique du Sud représentaient les 9/10e des importations totales et les exportations vers ce pays les 3/4 des exportations. L'Union européenne est son second partenaire commercial avec 14,2% des exportations. Les échanges commerciaux avec l'UE se sont renforcées depuis la signature d'un partenariat économique en 2016. Les produits manufacturés sont tous importés d'Afrique du Sud mais du minerai de fer, du kaolin, du bois, du sucre sont exportés en Angleterre ou au Japon. Des entreprises étrangères implantées dans le pays, comme Coca-Cola, bénéficient d'un taux d'imposition très faible.
L'Eswatini doit faire face à des problèmes de développement importants. Le pays est au 144e rang mondial pour l'IDH, malgré une aide internationale en 2001 de 104 millions de dollars. Les deux tiers des habitants vivent en effet sous le seuil de pauvreté.
Dans le même temps, 10 % de la population détient 50% des richesses du pays. Les difficultés sont réelles dans les dépenses étatiques : le déficit budgétaire atteignait 101 millions de dollars en 2003. L'inflation atteignait 7,3%, devant celle que connaît la Namibie. Les services publics sont très peu développés : le pays ne dispose que de douze ambulances publiques, les écoles primaires n'assurent généralement plus la cantine et les pharmacies disparaissent.
Un cercle économique de 15 000 hommes d'affaires s'octroie l'essentiel des richesses du pays. Ce cercle comprend des investisseurs sud-africains venus trouver à l'Eswatini une main-d’œuvre trois fois moins chère et un groupe de chefs d'entreprises blancs héritiers des colons britanniques.
La monnaie de l'Eswatini est le lilangeni (7,67 emalangeni pour 1 dollar en 2009, env. 12 pour 1 dollar et 17 pour 1 euro en 2021). Les sommes allouées au roi Mswati III pour ses dépenses de fonction représentent 8% du budget national. Les forces de police reçoivent 5% du budget, tout comme les forces armées.
Sports
L'Eswatini a une équipe nationale de football qui n'a participé à aucune phase finale de compétition.
Démographie
En 2018, la population de l'Eswatini est estimée à 1 159 250 habitants. Les principales aires urbaines sont Manzini (154 763 habitants en 2018) et Mbabane, la capitale administrative et judiciaire (106 709 habitants). Lobamba, la capitale royale et législative, ne compte que 12 372 habitants.
L'Eswatini est l'un des pays du monde où l'espérance de vie est la plus faible (51,6 ans, estimation 2016), principalement parce que c'est le pays du monde où le taux de prévalence chez les adultes du VIH/SIDA est le plus élevé, avec 25,9%.
L'Eswatini possède le 31e plus fort taux de mortalité infantile du monde (59,57 ‰, estimation 2012).
Langues
L'Eswatini a deux langues officielles, le swati (une langue nguni de la famille des langues bantoues), la langue maternelle de près de 90% de la population, et l'anglais (0,6 %). D'autres langues sont parlées dans le pays et appartiennent essentiellement à la famille des langues bantoues.
Culture
Date | Nom français | Nom local | Remarques |
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6 septembre | Fête de l'indépendance |
Le christianisme est la principale religion en Eswatini.
Personnalités liées
Sibongile Ndlela-Simelane, ministre de la Santé d'Eswatini de 2013 à 2018.
Qinisile Mabuza, première femme juge nommée au Eswatini et première femme procureur en 1978.
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David Carradine, né le 8 décembre 1936 à Hollywood, Los Angeles, Californie, et mort dans la nuit du 3 au 4 juin 2009 à Bangkok, est un acteur, réalisateur, scénariste et compositeur américain.
Il est le fils de John Carradine, le demi-frère de Keith et Robert Carradine et l'oncle de Martha Plimpton et Ever Carradine.
Par ailleurs, il est aussi le quasi-frère de Michael Bowen (né d'une union ultérieure de sa belle-mère Sonia Sorel, mère de Keith et Robert).
Il est apparu dans plus de deux cents films et séries et a été nommé quatre fois aux Golden Globe Awards. Il est principalement connu pour son rôle dans la série Kung Fu, diffusée dans les années 1970, et dans le diptyque Kill Bill : Volume 1 / Volume 2 de Quentin Tarantino qui lui a fait retrouver le succès à la fin de sa carrière. Il y tient le rôle de Bill, l'antithèse du héros qu'il campait dans Kung Fu.
David Carradine a joué dans la série Kung Fu le rôle de Kwai Chang Caine, un moine shaolin d'origine à la fois chinoise et européenne. Il obtint le rôle au détriment de Bruce Lee. La série dura trois saisons, de 1972 à 1975. L'action se déroulait dans le Grand Ouest américain, celui des westerns. La série aida à populariser les arts martiaux et la philosophie asiatique. Elle immortalisa le personnage de Carradine sous le nom de « Petit Scarabée ». C'est un succès tant aux États-Unis qu'à l'étranger. Carradine est nommé pour un Emmy et un Golden Globe pour son rôle. La série connut une suite : Kung Fu, la légende continue.
Juste après la fin de la série, Carradine accepte un rôle de pilote automobile dans La Course à la mort de l'an 2000 en 1975. À ce propos, il déclare qu'il souhaite effacer son image de Caine de la série pour lancer sa carrière d'acteur au cinéma (« kill the image of Caine and launch a movie career »). Le film devint culte au sein de The Roger Corman exploitation. L'histoire est basée sur une nouvelle de science-fiction d'Ib Melchior intitulée The Racer.
En 1977, il joue ce qu'il considérera comme son meilleur rôle dans le film atypique, tourné en anglais, de Ingmar Bergman, qu'il admirait profondément : L'Œuf du serpent, aux côtés de Liv Ullmann. En 1983, il affronte Chuck Norris dans le film Œil pour œil.
Il apparaît dans le clip Burning Up des Jonas Brothers. Il a aussi joué le rôle de Tempus dans la série Charmed (épisode 22 de la première saison : Une journée sans fin).
En 2003-2004, il interprète, dans le diptyque Kill Bill : Volume 1 / Volume 2, le rôle de Bill, l'antagoniste du film de Quentin Tarantino, antithèse de son rôle de Caine dans Kung-Fu, ce qui relance sa carrière.
Sa dernière apparition au cinéma est un petit rôle dans le film Stretch de Charles de Meaux. À titre d'hommage, le film s'ouvre par une séquence en voiture dans laquelle, en fond sonore, on entend à la radio l'annonce de la mort de David Carradine.
David Carradine est mort dans la nuit du 3 au 4 juin 2009, à l'âge de 72 ans, à Bangkok en Thaïlande, alors qu'il participait au tournage du film Stretch du réalisateur français Charles de Meaux. Il a été retrouvé pendu dans sa chambre de l'hôtel Nai Lert Park.
Après avoir fait penser à un suicide, les derniers éléments font apparaître une mort accidentelle due à un jeu sexuel qui aurait mal tourné. Selon l'expert légiste, il est mort d'un « accident auto-érotique ». Le journal Le Monde, citant la police thaïlandaise, revient sur la thèse du suicide. Il restait à David Carradine trois jours de tournage pour le film de Charles de Meaux.
Il repose à Los Angeles, au cimetière des collines d'Hollywood de Forest Lawn.
Vie privée
David Carradine est le fils de l'acteur John Carradine et le demi-frère des acteurs Keith Carradine et Robert Carradine.
Il se marie à cinq reprises : avec Donna Lee Becht de 1960 à 1968, avec Linda Gilbert de 1977 à 1983, avec Gail Jensen en 1988, avec Marina Anderson de 1998 à 2001 et, enfin, avec Annie Bierman en 2004.
Il a eu deux filles, Calista et Kansas, avec ses deux premières épouses, et un fils, Free, avec Barbara Hershey avec qui il a vécu de 1969 à 1975.
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Anita Ekberg, née Kerstin Anita Marianne Ekberg le 29 septembre 1931 à Malmö en Suède et morte le 11 janvier 2015 à Rocca di Papa en Italie, est un mannequin et une actrice suédoise naturalisée italienne
Ayant tourné pendant cinq années à Hollywood, elle est surtout connue pour son rôle de Sylvia dans le film de Federico Fellini, La dolce vita (1960), qui comporte une scène fameuse dans la fontaine de Trevi à Rome aux côtés de Marcello Mastroianni ; cette scène de La dolce vita est généralement considérée comme l'un des moments les plus emblématiques du cinéma.
Dotée d'une plastique dite « spectaculaire », sex-symbol des années 1960, Bob Hope aurait déclaré à son propos que ses parents mériteraient le prix Nobel d'architecture ; surnommée « l'Iceberg » par Frank Sinatra, elle est ensuite désignée comme la « bombe suédoise » après sa prestation dans La dolce vita
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Fille d'un docker, Kerstin Anita Marianne Ekberg nait le 29 septembre 1931 à Malmö en Suède, sixième d'une famille de huit enfants
Le 22 mai 1956, Anita Ekberg se marie à Florence avec l'acteur britannique Anthony Steel. Ils divorcent en 1959 (et Steel se remarie en 1964 avec Hannerl Melcher, Miss Autriche 1957).
Le 9 avril 1963, elle épouse à Viganello (Suisse) l'acteur Rik Van Nutter, dont elle divorce en 1970.
En 2011, l'actrice vit dans une maison pour personnes âgées en Italie, à côté de Rome, et seuls quelques voisins lui rendent encore visite, ainsi que les services sociaux. Dans le besoin, elle doit demander une aide financière à la fondation Federico-Fellini.
Anita Ekberg meurt le 11 janvier 2015 à Rocca di Papa en Italie des conséquences d'un cancer du foie, diagnostiqué environ un an plus tôt. Ses funérailles ont eu lieu le 14 janvier à 11 heures dans l'église évangélique luthérienne de Rome. Son corps est ensuite incinéré, puis ses cendres inhumées dans le cimetière de l'église de Skanör en Suède.
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Le pistolet-mitrailleur Soudaïev (ou Sudaev) PPS soviétique est un pistolet-mitrailleur conçu sous forme d'un modèle (PPS 42) par Alekseï Soudaïev pendant le siège de Léningrad en 1942. Il était destiné originellement aux tankistes et aux éclaireurs. En supprimant les plaquettes en bois du PPS-42, et en simplifiant la fabrication, Soudaïev crée le PPS-43 qui sera produit jusqu'en 1945 en Union soviétique. C'est un modèle rustique fabriqué en tôle emboutie avec des pièces soudées ou rivetées.
Développement
Le PPS-43 est issu en droite ligne de son prédécesseur le PPSh-41, dont il constitue une version encore simplifiée. Il tire la même munition, la 7.62 x 25 mm TT M1930 (ou 7,63 Mauser), mais n'emploie plus les chargeurs tambours typiques de l'infanterie soviétique, se limitant aux seuls chargeurs droits de trente-cinq cartouches, pour simplifier le mécanisme de verrouillage des chargeurs. Le principe de fonctionnement reste celui du recul simple, sans verrouillage de la culasse, celle-ci étant en position ouverte avant le tir. La cadence de tir théorique est cependant diminuée de neuf cents à sept cents coups par minute, du fait de la plus faible masse de l'arme, pour que celle-ci reste facile à maintenir lors de rafales soutenues. Il conserve aussi le manchon refroidisseur de son prédécesseur, mais lui adjoint un frein de bouche, pour limiter le recul et la remontée de l'arme pendant le tir.
Les efforts portent sur la réduction de l'encombrement et de la masse, avec l'utilisation d'une crosse squelette métallique repliable sur le dessus de la carcasse, permettant de réduire la longueur de 820 millimètres à 615. Les organes de visée comprennent, une simple hausse de type basculante, en L : elle est réglée pour 100 ou 200 m, et un guidon fixe sur l'avant du manchon de refroidissement. Le levier d'armement est un simple rectangle situé sur la gauche. Le levier de sûreté est intégré à la branche avant du pontet. Le tir se fait uniquement en mode automatique. Lors du tir, la seconde main empoigne le tube refroidisseur du canon, grâce auquel la chaleur est dispersée.
Données numériques
Munition : 7,62 mm Tokarev
Longueur totale (crosse déployée) : 82,5 cm
Longueur du canon : 22,3 cm
Masse
arme vide : 3 kg environ
chargeur plein : 0,67 kg
arme chargée : 3,67 kg
Chargeur : 35 cartouches (cintré mais différent de celui du PPSh-41)
Cadence de tir
théorique : 650 c/min
pratique : 100 c/min maximum
Carrière militaire
Durant la Seconde Guerre mondiale le Sudaïev fut utilisé par l'Armée rouge, mais aussi dans la Wehrmacht en tant que MP719(r). Après 1950, l'Armée rouge lui préféra rapidement le fusil d'assaut AK-47 mais il arma la militsia (équivalent soviétique de la gendarmerie nationale) jusqu'au début des années 1980. Il fut largement diffusé auprès des pays du Pacte de Varsovie et des pays africains et asiatiques proches de Moscou dans les années 1950 et 1960. Il fut construit sous licence en République populaire de Chine sous la forme du Type 54, l'arme chinoise ne différant du modèle initial que par de menus détails dont le monogramme des plaquettes de la poignée pistolet. La Pologne lui adjoignit une courte crosse en bois pour en faire le PM Wz 43/52. L'armée polonaise en déclina même une version d'entraînement chambrée en .22 LR. Les versions en 7,62 mm Tokarev ont participé à de nombreux conflits dont la guerre de Corée puis la guerre du Viêtnam. En 2003, quelques Type 54 armaient encore les Forces nouvelles en Côte d'Ivoire qui le nommaient Pistolet-mitrailleur de combat.
Variantes
PPS-42 première version produite à Leningrad pendant le siège ; testée entre février et juillet 1942. La poignée pistolet reçoit des plaquettes de crosse en bois et une pièce de cuir sert d'amortisseur à la culasse mobile. Sa masse est d'environ 3,34 kg. La cadence de tir est de 650 c/min. Il a été livré plus de 46 000 PPS-42 à l'Armée rouge pendant l'année 1943.
PPS-43 version majeure de la production soviétique. Elle fut distribuée aux parachutistes (où elle resta en service jusqu'en 1956), aux tankistes, aux éclaireurs et aux partisans.
KP 44 (ou Oy Tikkakoski KonePistooli M/44) : Willi Daugs (ou Dangs ou Daughs), ingénieur finlandais mit au point en 1944 une version en 9 mm Parabellum, de PPS, qui fut adoptée et produite en petite série sous cette désignation (20 000 PM produits).
Elle se différencie extérieurement par son calibre, sa poignée en bois et ses chargeurs droits (36 cartouches) et camembert (71 coups) empruntés au Suomi KP31. le Tikkakoski KP M44 est un mélange du PPS-42 (culasse et poignée en bois) et PPS-43 (boitier et radiateur de canon d'une seule pièce et crosse pliante courte) en termes de construction. Sa masse à vide et de 2,8 kg et sa cadence de tir passe à 600 cp/min. Dans les années 1950 les armes furent modifiées pour être compatibles avec le chargeur du pistolet-mitrailleur suédois Carl Gustaf Kpist M/45.
Le créateur du KP M44 émigra en Espagne et vendit ensuite ses plans pour la construction de la DUX 51 (copie du KP M44). L'Armée de l'Air de Franco utilisa ainsi l'ADASA 53 (ou DUX M53) produit à la Fabrica d'Armas de Oviedo en série limitée. la DUX M53 a une forme plus carrée et un chargeur reculé par rapport à la DUX-51, ceci est dû à la simplification de la fabrication et aux méthodes d'emboutissage disponibles.
Les Polonais fabriquèrent le PM Wz 43/52 qui fut la seule version dotée d'une crosse en bois (hors prototype de PPS-42).
Dux 53 : Version de l'ADASA 53 pour les Gardes Frontières de la RFA
Dux 59 : Modification de la DUX par Anschütz et Mauser
Type 54: copie conforme du modèle soviétique à l'exception des plaquettes de la poignée-pistolet.
Anecdote
On peut distinguer sur la photo datant du 2 mai 1945 montrant un Soviétique déployant le drapeau de l'URSS en haut du Reichstag la crosse d'un PPS-43, à son flanc.
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James Child Drury est un acteur américain né le 18 avril 1934 à New York (État de New-York) et mort « de cause naturelle » le 6 avril 2020 à Houston (Texas).
Biographie
James Drury est né à New York, fils de James Child Drury et Beatrice Crawford Drury. Son père était professeur de marketing à l'Université de New York. Il a grandi entre New York et Salem, Oregon, où sa mère possédait une ferme. Drury a contracté la polio à l'âge de dix ans.
Il a étudié le théâtre à l'Université de New York et a pris des cours supplémentaires à l'UCLA pour terminer son diplôme après avoir commencé à jouer dans des films à la Metro-Goldwyn-Mayer.
Il est surtout connu pour avoir tenu de 1962 à 1971 le rôle-titre du feuilleton télévisé Le Virginien.
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Giuliano Della Rovere, né le 5 décembre 1443 à Albisola près de Savone et mort dans la nuit du 20 au 21 février 1513 à Rome, est un homme d'Église. Successivement évêque de Carpentras, Lausanne, Coutances, puis de Viviers et enfin archevêque d'Avignon, il fut élu pour devenir le 216e pape de l’Église catholique le 1er novembre 1503 sous le nom de Jules II (en latin Julius II, en italien Giulio II) à la suite du conclave d'octobre 1503.
Préoccupé de l'équilibre des puissances en Italie, cet ambitieux chef d'État, plus séculier que religieux, élimina tour à tour César Borgia, les Vénitiens puis les Français avec le concours des Espagnols de la Romagne et du Milanais, accroissant simultanément le territoire des États pontificaux. Sur le plan artistique on lui doit un mécénat qui a donné l'actuelle basilique Saint-Pierre, la décoration du plafond de la chapelle Sixtine ainsi que celle des chambres de Raphaël, la création d'un musée d'art.
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Henri II de Navarre, ou Henri d'Albret, Henri Ier d'Albret, Henri Ier de Foix, né le 18 avril 1503 à Sangüesa (Navarre) et mort le 25 mai 1555 à Hagetmau, est roi de Navarre, vicomte de Béarn et comte de Foix de 1517 à 1555, seigneur d'Albret de 1522 à 1555. Il occupe aussi les fonctions de gouverneur de Guyenne et d'amiral de Guyenne à partir de 1528.
Marié avec Marguerite de Valois-Angoulême en 1527, il est le beau-frère de François Ier, le père de Jeanne d'Albret et le grand-père d'Henri IV (Henri III de Navarre).
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Eric Roberts est un acteur américain, né le 18 avril 1956 à Biloxi (Mississippi). Il a débuté dans Le Roi des gitans (1978) et Star 80 (1983) mais c'est grâce à son rôle dans Runaway Train (1985) qu'il est révélé mondialement.
S’ensuivent alors pour lui de nombreux films, dont les productions suivantes : Best of the Best (1989), Sang chaud pour meurtre de sang-froid (1992), L'Expert (1994), Immortals (1995), Le Dernier Anniversaire (1996), Disjoncté (1996), Cecil B. Demented (2000), National Security (2003), Il était une fois dans le Queens (2006), Phat Girlz (2006), DOA: Dead or Alive (2007), The Dark Knight (2008), Expendables : Unité spéciale (2010), Lovelace (2012), Inherent Vice (2014), Maximum Impact (2017), The Institute (2017), Du miel plein la tête (2018), Top Gunner (2020) et Babylon (2022).
Il s'est aussi illustré en tant qu'acteur principal ou invité dans de nombreuses séries télévisées comme Les Feux de l'amour, Oz, New York, unité spéciale, Les Experts : Miami, Heroes, The L Word, Entourage, Chuck, Burn Notice, Suits, Scorpion, Les Experts, Brooklyn Nine-Nine ou encore Grey's Anatomy.
Il a également prêté sa voix dans des séries d'animation, comme Spawn ou encore Justice League.
Avec plus de 700 rôles et apparitions, il est l'acteur américain le plus souvent présent au générique de blockbusters, films indépendants, films d'animations, téléfilms, séries télés et séries animées, que de courts métrages ou encore de films d'étudiants
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