Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
27.11.2024
18362 articles
>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1153)
· A à Z : Sommaire (355)
· Mannequin de charme (945)
· Musique (399)
· Monde : France (2773)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (265)
· Cinéma : Films à classer (153)
· Calendrier : Naissances (246)
· Mannequin (210)
air amour annonce art article background base belle blogs center centerblog centre
Articles les plus lus· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)
· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
F (Sommaire) comprend 4 pages
F | FI | FO | x | x | x | x | x | FR | x | x | x |
F | FI | FO | x | x | x | x | x | FR | x | x | x |
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | ||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
SOMMAIRE | ||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | ||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | ||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | ||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | ||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub |
|
Le Vickers 6-Ton ou Vickers Mark E était un char de combat léger britannique mis au point par Vickers sur fonds propres (c'est-à-dire qu'il ne résultait pas d’un appel d'offres national). Il ne fut pas utilisé par la British Army mais exporté ou produit sous licence, en très grand nombre. Le T-26 soviétique est une amélioration du 6-Ton licencié. C’était le prédécesseur du 7TP dans l’armée polonaise. Au début de la Seconde Guerre mondiale, c’était le second char le plus répandu au monde après le char français Renault FT
Histoire
Le premier Mark E fut construit en 1928 par une équipe de spécialistes incluant notamment John Valentine Carden et Vyvian Loyd, des spécialistes reconnus de leurs contemporains. La coque était constituée de plaques de blindage rivetées ; 25 mm pour l’avant ainsi que la tourelle et de 19 mm pour le reste du char. Il était équipé d’un moteur Armstrong Siddeley Puma dont la puissance variait de 80 à 95 ch selon les versions, lui permettant ainsi d’atteindre 35 km/h sur route, un bon résultat pour l’époque.
La suspension de véhicule était répartie sur deux axes, chacun d’entre eux portait un bogie à deux roues, reliés par une suspension de type ressorts à lames à un autre bogie identique. Le mouvement ascendant de l'un forçait l’autre à rester au sol et vice versa. Ceci fut considéré comme un bon système bien qu'il ne puisse pas rivaliser avec les suspensions Christie contemporaines. Les chenilles en acier haute résistance, lui assuraient 5 000 km sans souci, ce qui était considérable à cette époque.
Le char fut construit en deux versions :
Type A avec deux tourelles armées chacune d’une mitrailleuse lourde Vickers.
Type B avec une tourelle deux places armée d’un canon de 47 mm court et d’une mitrailleuse Vickers coaxiale.
La conception expérimentale du Type B fut riche d'enseignements pour la conception des futurs chars d’assauts. Par exemple, une tourelle de deux places permet d’accroître considérablement la cadence de tir des deux armes. Cette configuration allait être reprise par la plupart des chars conçus après ce modèle. La British Army essaya le Mark E, mais le rejeta toutefois car elle craignait pour la fragilité des suspensions.
Suite du développement à l'étranger
Vickers alla donc proposer son char à d’autres pays comme l’URSS, la Grèce, la Pologne, la Bolivie, Siam, la Finlande, le Portugal, la Chine et la Bulgarie. Une commande de la Thaïlande fut passée mais réquisitionnée par la British Army au début de la Seconde Guerre mondiale. Vickers produisit pas moins de 153 Mark E.
L’expérience sur le terrain tendait à démontrer que le bloc moto-propulseur avait tendance à surchauffer rapidement en raison d’un refroidissement par air inefficace. On y remédia en augmentant les débits des arrivées d’air. Pour un appel d’offres belge, le 6-Ton fut modifié afin de pouvoir y installer le moteur Rolls-Royce Phantom II refroidi par eau. Trop imposant pour être placé en position arrière, il migra sur le côté gauche du char, déplaçant ainsi la tourelle sur la droite. Un prototype nommé Mark F fut testé par l’Armée belge mais fut finalement rejeté. Néanmoins la nouvelle coque, plus spacieuse, équipa les modèles vendus en Finlande et en Thaïlande.
Le Mark E fut aussi développé comme tracteur d’artillerie pour les canons de 60 pounders (127 mm). Ils furent dénommés Dragon, Medium Mark IV, 12 furent commandés par la British Army, 23 par la Chine et 18 par les Indes britanniques.
La Pologne fut enchantée par ce char et en commanda 50 et une licence pour une production locale. Ils agrandirent l’arrivée d’air, placèrent leur propre mitrailleuse et un moteur Diesel. Seuls 38 exemplaires furent finalement assemblés, les 12 autres servirent de pièces de rechange. 22 d’entre eux reçurent une nouvelle tourelle conservant le canon de 47 mm.
Les Soviétiques, comme les Polonais, achetèrent une licence pour leur propre production. Après quelques adaptations, le T-26 était né. 12 000 exemplaires allaient être construits.
Dans un autre contexte, la Wehrmacht récupère quelques exemplaires du char, abandonnés par le Corps expéditionnaire britannique après la Bataille de France. En octobre 1941, l'équipe d'Alfred Becker se lance dans la conversion de six d'entre eux en un canon automoteur. Ajoutant une pièce d'artillerie (un 10,5-cm leichte Feldhaubitze 16), l'expédient ainsi obtenu reçoit le nom de 10,5-cm le.FH. 16 auf Geschützwagen Mk. VI (e). Ils équipent l'Artillerie-Regiment 227 de la 227. Infanterie-Division, et sont employés en Union soviétique, lors des combats autour du lac Ladoga et de Wolchow pendant le siège de Léningrad.
Au combat
Au cours de la guerre civile espagnole, l’URSS envoya des T-26 aux troupes républicaines. Les Italiens, après avoir souffert contre les T-26 à Guadalajara en 1937, capturèrent plusieurs chars qui servirent de modèle aux Fiat M13/40.
En 1939, durant la guerre d'Hiver, les forces blindées finlandaises étaient composées de 32 Renault FT, plusieurs Carden-Loyd Mk. IV et 26 6-Ton. Seuls 16 de ces derniers avaient été équipés d’un canon antichar de fabrication Finlandaise de 37 mm, les autres n’étant pas armés et donc non utilisables. les 16 chars armés formèrent la 4ème compagnie du bataillon Finlandais de chars.
Au cours de la bataille de Honkaniemi, le 26 février 1940, les Finlandais employèrent leurs Vickers pour la première fois contre les blindés soviétiques. Le résultat fut une catastrophe. Sur les 13 chars envoyés au front (les trois restants ayant eu des problèmes de moteurs), seuls 6 purent prendre part aux combats, les moteurs des autres ne fonctionnant pas à cause de problème de gazole. La préparation d'artillerie a été mal réglée et l'infanterie d'accompagnement mal entrainée a laissé les chars seuls, plus grave les Finlandais n'avaient pas réalisé que les Soviétiques préparaient une attaque et tombèrent face à une infanterie ennemie abondante supportée par les canons et les chars de la 35e brigade légère de chars. Un premier Vikers fut tout de suite bloqué par une tranchée ennemie. Les cinq autres chars avancèrent encore quelques centaines de mètres avant de tomber nez-à-nez avec des dizaines de blindés soviétiques. Ils réussirent néanmoins à mettre hors de combat au moins un char russe, mais furent tous touchés par des tirs soviétiques, puis abandonnés sur place à l'exception d'un unique char. Un des chars abandonnés a été utilisé après la bataille comme bunker et a réussi à détruire deux chars russes avec son propre armement. La compagnie a été par la suite engagée dans deux combats de moindre ampleur au cours desquels elle perdit cependant trois autres chars non sans avoir détruit quatre T-28.
En 1941, les Finlandais réarmèrent leurs derniers Vickers avec des canons antichars russes de 45 mm capturés et les désignèrent T-26E. 26 Vickers furent ainsi transformés en T-26E et servirent jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale : pendant la guerre de Continuation puis la guerre de Laponie aux côtés de 75 T-26 capturés. Seulement sept furent détruits, portant à 19 le nombre de T-26E ayant survécu à la guerre dont deux actuellement préservés.
|
Adolf Eichmann, né le 19 mars 1906 à Solingen en Allemagne et mort par pendaison le 31 mai 1962 dans la prison de Ramla près de Tel Aviv-Jaffa en Israël est un membre du parti nazi, criminel de guerre et fonctionnaire du Troisième Reich.
Nommé pendant la guerre à la tête du Referat IV B4 (« bureau IV B4 ») du RSHA, qui s'occupe des « affaires juives et de l'évacuation », il est responsable de la logistique de la « solution finale ». Il est notamment chargé de l'organisation de l'extermination raciale, principalement dirigée contre les Juifs, et de l'organisation de leur déportation vers les camps de concentration et d'extermination. Il atteint le rang de SS-Obersturmbannführer.
Ayant réussi à échapper à la justice après la capitulation allemande, et notamment au procès de Nuremberg, il est retrouvé, puis capturé par des agents du Mossad le 11 mai 1960 à Buenos Aires, en Argentine, où il vivait depuis dix ans sous le nom de Ricardo Klement. Dans des conditions rocambolesques, il est exfiltré vers Israël, où il est condamné à mort et exécuté à l'issue d'un retentissant procès tenu à partir d'avril 1961 à Jérusalem.
|
Surnom Le Phénix | |||||||||||||||||||||||||||
Catalogue | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Rubtique | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Liens externes | ||||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | ||||||||||||||||||||||||||||
Biographie |
| |||||||||||||||||||||||||||
Titres | Renaud : A Carlingford | |||||||||||||||||||||||||||
Renaud : A La Belle De Mai | ||||||||||||||||||||||||||||
Renaud : Camarade bourgeois | ||||||||||||||||||||||||||||
Renaud : En cloque | ||||||||||||||||||||||||||||
Renaud : Germaine | ||||||||||||||||||||||||||||
Renaud : Hexagone (Paroles et explications) | ||||||||||||||||||||||||||||
Renaud : La Boum | ||||||||||||||||||||||||||||
Renaud : Les Bobos | ||||||||||||||||||||||||||||
Renaud : Les charognards | ||||||||||||||||||||||||||||
Renaud : Ma chanson leur a pas plu | ||||||||||||||||||||||||||||
Renaud : Marche à l'ombre | ||||||||||||||||||||||||||||
Renaud : Ou c'est que j'ai mis mon flingue? | ||||||||||||||||||||||||||||
Renaud : Societé tu m'auras pas | ||||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | ||||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | ||
SOMMAIRE | ||||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | ||||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | ||||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | ||||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | ||||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | |||||||||||||||||||||||||||
Filmographie
1949 : La Brigade des stupéfiants de László Benedek : Paul Vicola
1956 : Le Roi et moi de Walter Lang : le roi de Siam
1956 : Les Dix Commandements de Cecil B. DeMille : le pharaon Ramsès II
1956 : Anastasia d’Anatole Litvak : le général Sergueï Pavlovitch Bounine
1958 : Les Frères Karamazov de Richard Brooks : Dmitri Karamazov
1958 : Les Boucaniers d’Anthony Quinn : Jean Lafitte
1959 : Le Voyage d’Anatole Litvak : le commandant Surov
1959 : Le Bruit et la Fureur de Martin Ritt : Jason Compson
1959 : Salomon et la Reine de Saba de King Vidor : le roi Salomon
1959 : Le Testament d'Orphée de Jean Cocteau : l’huissier
1960 : Chérie recommençons de Stanley Donen : Victor Fabian
1960 : Un cadeau pour le patron de Stanley Donen : Nico March
1960 : Les Sept Mercenaires de John Sturges : Chris Adams
1961 : Aimez-vous Brahms… d'Anatole Litvak : lui-même
1962 : Les Fuyards du Zahrain de Ronald Neame : Sharif
1962 : Taras Bulba de J. Lee Thompson : Tarass Bulba
1963 : Les Rois du soleil de J. Lee Thompson : le chef Aigle Noir
1964 : Les Trois Soldats de l'aventure de Michael Anderson : le sergent Mike Takashima
1964 : Le Mercenaire de minuit de Richard Wilson : Jules Gaspard d'Estaing
1965 : Morituri de Bernhard Wicki : le capitaine Muller
1966 : L'Ombre d'un géant de Melville Shavelson : Asker Gonen
1966 : Opération Opium de Terence Young : le colonel Salem
1966 : Le Retour des sept de Burt Kennedy : Chris Adams
1966 : La Fantastique Histoire vraie d'Eddie Chapman de Terence Young : le baron von Grunen
1967 : La Griffe de Franklin Schaffner : Dan Slater / Kalmar
1967 : Les Turbans rouges de Ken Annakin : le sultan
1968 : Pancho Villa de Buzz Kulik : Pancho Villa
1969 : Le Gang de l'oiseau d'or de Sam Wanamaker : Peter Novak
1969 : La Bataille de la Neretva de Veljko Bulajić : Ivan Vlado
1969 : La Folle de Chaillot de Bryan Forbes : le président
1969 : The Magic Christian de Joseph McGrath
1971 : Adios Sabata de Gianfranco Parolini : Sabata/Indio Black (film 2)
1971 : Le Phare du bout du monde de Kevin Billington : Kongre
1971 : Le Roman d'un voleur de chevaux d’Abraham Polonsky : le capitaine Stoloff
1971 : Catlow de Sam Wanamaker : Ged Catlow
1972 : Les Poulets de Richard Colla : le sourd
1973 : Le Serpent d'Henri Verneuil : Vlassov
1973 : Mondwest de Michael Crichton : le cowboy-robot
1975 : New York ne répond plus de Robert Clouse : Carson
1976 : L'Ombre d'un tueur d'Antonio Margheriti : Peter Marchiani
1976 : Les Rescapés du futur de Richard T. Heffron : le bandit armé
1980 : Lost to the revolution de Tim Forbes (court-métrage) : le narrateur
1972 : Anna et le Roi, diffusée aux États-Unis entre le 11 septembre et le 21 novembre 1972 sur le réseau CBS et, en France, à compter du 2 mars 1973 sur la deuxième chaîne de l'ORTF
Ami de Jean Cocteau, Yul Brynner est le producteur associé du film Le Testament d'Orphée (1960) de Cocteau.
Théâtre
1951 : Le Roi et moi (The King and I), comédie musicale américaine créée par Oscar Hammerstein II et Richard Rodgers, produite à Broadway.
Voix françaises
Yul Brynner a été doublé par Georges Aminel la plupart du temps mais il lui est arrivé de se doubler lui-même, puisque le français était l'une des onze langues qu'il maîtrisait.
Georges Aminel (*1922 - 2007) dans :
Les Dix Commandements Les Boucaniers Les Sept Mercenaires Les Fuyards du Zahrain Les Rois du soleil Les Trois soldats de l'aventure Le Mercenaire de minuit L'Ombre d'un géant Opération Opium Le Retour des sept Les Turbans rouges La Griffe Anna et le Roi (série télévisée) New York ne répond plus
Lui-même dans :
Le Voyage Le Testament d'Orphée Salomon et la Reine de Saba Catlow Le Serpent Mondwest | Jean Davy (*1911 - 2001) dans : Le Roi et moi Le Bruit et la Fureur Morituri La Fantastique Histoire vraie d'Eddie Chapman
Denis Savignat (*1937 - 1998) dans :
Le Gang de l'oiseau d'or Adios Sabata
Michel Gatineau (*1926 - 1989) dans :
La Folle de Chaillot Les Poulets
Claude Péran (*1913 - 1963) dans Anastasia Jean Claudio (*1927 - 1992) dans Les Frères Karamazov Marcel Bozzuffi (*1929 - 1988) dans Tarass Bulba Serge Sauvion (*1929 - 2010) dans Pancho Villa Robert Party (*1924 - 2011) dans Le Phare du bout du monde Jean-Claude Michel (*1925 - 1999) dans Le Roman d'un voleur de chevaux Jacques Degor dans L'Ombre d'un tueur |
|
Yul Brynner, né Juli Borissovitch Bryner (en cyrillique Юлий Борисович Бриннер) le 11 juillet 1920 à Vladivostok (ou sur l'île Sakhaline) et mort le 10 octobre 1985 à New York, est un acteur américain d'origines suisse et mongole par son père et russe par sa mère.
Entre 1949 et 1976, il tourne dans environ une quarantaine de films.
Resté très mystérieux sur ses origines sur lesquelles il jouait, Yul Brynner a rendu son existence encore plus exotique qu'elle ne l'a été. Il a souvent prétendu s’appeler Taidje Khan, être mi-japonais, mi-suisse, et être né sur l’île de Sakhaline en 1915 ou en 1920
Parfois, il prétendait être originaire d'une famille gitane de l'île de Sakhaline. En France, durant les années 1930, on pouvait d'ailleurs l'entendre jouer des morceaux tziganes. Au moment de sa mort, on ignorait la vérité, elle ne sera dévoilée que des années plus tard par son fils Rock Brynner. Aujourd'hui encore, son année de naissance est sujette à débat
Juli Borissovitch Bryner naît le 11 juillet 1920 à Vladivostok en Russie. Il est le fils de Boris Bryner (un ingénieur d'origine suisse par son père Jules Bryner, ainsi que russe et de l'ethnie mongole des bouriates par sa mère), et de Marousia Blagovidova, fille d’un médecin d'origine russe. Ses parents l'ont prénommé Juli en l'honneur de son grand-père paternel
Au moment de la révolution Russe de 1917, sa famille, assez aisée, fuit l'Empire russe, et s'installe surtout à Nice, où existait déjà une communauté russe. Sa famille fera de nombreux aller-retours entre la France et la Russie, surtout aux périodes où la situation sera plus calme, par exemple, lors de la période de la nouvelle politique économique (NEP). Mais après l'avènement de Staline, à la fin des années 1920, sa famille quittera définitivement la Russie.
Le 15 avril 1958, alors qu'il était invité avec le comédien Fernandel à l'émission 36 Chandelles de Jean Nohain, ce dernier racontera que Yul Brynner avait le même âge que lui, et qu'il l'avait croisé en 1924 à l'ABC, une salle de spectacles de cabaret de Marseille, où il jouait de la musique Tzigane Brynner déclarera avoir assisté à plusieurs spectacles de Fernandel, à l'Alcazar de Marseille, entre 1924 et 1927, et qu'ils étaient bons amis, avec Bréols et Andrex. Par l'intermédiaire de Fernandel, il fera la connaissance de Jean Cocteau et Marcel Pagnol.
En 1927, lorsque Boris Bryner quitte le domicile conjugal et abandonne sa famille, Marousia emmène ses enfants Yul et Vera à Harbin, en Chine, où ils fréquentent une école tenue par une Union chrétienne de jeunes gens (YMCA). Puis, en 1934, tous les trois s'installent à Paris.
Quand il arrive à Paris en 1934, Yul Brynner semble avoir bien plus que 14 ans, sans doute plus de 20 ans, et de plus, il s'exprimait déjà très bien en français, et en d'autres langues étrangères, dont l'anglais et l'allemand, preuves d'une éducation raffinée et complète, qui serait rare à trouver chez un jeune adolescent de soi-disant 14 ans à l'époque, un âge où normalement il devrait être en fin de collège, et plutôt surdoué, comme il parlait plusieurs langues étrangères.
Pour gagner sa vie, Yul Brynner joue de la guitare dans des clubs de nuit. Il rencontre des intellectuels tels que Jean Cocteau. Il est ensuite embauché dans la troupe du Cirque d'Hiver de Paris comme trapéziste où il fait la connaissance de Georges et Ludmilla Pitoëff. Une grave chute de trapèze lui cause une quarantaine de fractures, et il doit abandonner le cirque. Georges et Ludmilla Pitoëff l'engagent au Théâtre des Mathurins en tant que machiniste
Dès juin 1943, il part pour les États-Unis afin d’étudier le théâtre avec Michael Tchekhov. Lors de son entrée aux États-Unis, âgé de 40 ans, il aurait menti sur son âge, car les services de l'immigration acceptaient rarement des individus célibataires, âgés de plus de 30 ans, car il était difficile de prouver aux usines, ou entreprises, ou plus généralement, au marché du travail américain que l'individu avait une solide expérience professionnelle.
Il commence alors à se produire à Broadway sous le nom de Youl Bryner.
|
Omar Hassan Ahmed el-Bechir (en arabe : عمر حسن أحمد البشير), né le 1er janvier 1944 à Hosh Bonnaga (en), est un militaire et homme d'État soudanais. Auteur du coup d'État de 1989, il reste au pouvoir durant trente ans, il est mis en accusation par la Cour pénale internationale pour génocide, crimes contre l’humanité et crimes de guerre dans le cadre de la guerre du Darfour. Il est renversé par un coup d’État de l'armée le 11 avril 2019, à la suite de quatre mois de manifestations populaires, puis est emprisonné.
|
Hugo Rafael Chávez Frías dit Hugo Chávez /ygain ».">ɡo ʃavɛz/ (en espagnol : /ˈcoup ».">uɣo rafaˈel ˈt͡ʃaβes ˈfɾias/), né le 28 juillet 1954 à Sabaneta (Llanos, sud du Venezuela) et mort le 5 mars 2013 à Caracas, est un militaire et homme d'État vénézuélien, président de la République de 1999 à 2013.
Fondateur et chef du parti politique du Mouvement Cinquième République de 1997 à 2007 – date à laquelle il fonde le Parti socialiste unifié du Venezuela (PSUV) –, il est élu président de la république du Venezuela fin 1998.
En 2012, après avoir annoncé qu’il était atteint d'un cancer, il est réélu pour un quatrième mandat, mais ne peut prêter serment, succombant des suites de sa maladie. Nicolás Maduro lui succède après l’élection de 2013.
|
Louis Pasteur, né le 27 décembre 1822 à Dole (Jura) et mort le 28 septembre 1895 à Marnes-la-Coquette (Hauts-de-Seine, à cette époque en Seine-et-Oise), est un scientifique français, chimiste et physicien de formation. Pionnier de la microbiologie, il connut (de son vivant) une grande notoriété pour avoir mis au point un vaccin contre la rage.
Biographie
Louis Pasteur est né à deux heures du matin le 27 décembre 1822 dans la maison familiale de Dole, troisième enfant de Jean-Joseph Pasteur et de Jeanne-Étiennette Roqui. Il est baptisé dans la Collégiale Notre-Dame de Dole le 15 janvier 1823. Son père, après avoir été sergent dans l’armée napoléonienne, reprit la profession familiale de tanneur. En 1827, la famille quitte Dole pour Marnoz, lieu de la maison familiale des Roqui, pour finalement s'installer dans une nouvelle maison en 1830 à Arbois, localité plus propice à l'activité de tannage. Le jeune Pasteur suit à Arbois les cours d'enseignement mutuel puis entre au collège de la ville. C'est à cette époque qu'il se fait connaître pour ses talents de peintre ; il a d'ailleurs fait de nombreux portraits de membres de sa famille et des habitants de la petite ville.
Il part au collège royal de Besançon. Puis, en octobre 1838, il le quitte pour l'Institution Barbet, à Paris, afin de se préparer au baccalauréat puis aux concours. Cependant, déprimé par cette nouvelle vie, il renonce à son projet, quitte Paris et termine son année scolaire 1838-1839 au collège d'Arbois. À la rentrée 1839, il réintègre le collège royal de Franche-Comté, à Besançon. En 1840, il obtient le baccalauréat en lettres puis, en 1842, après un échec, le baccalauréat en sciences mathématiques. Pasteur retourne à Paris en novembre. Logé à la pension Barbet, où il fait aussi office de répétiteur, il suit les cours du lycée Saint-Louis et assiste avec enthousiasme à ceux donnés à la Sorbonne par le chimiste Jean-Baptiste Dumas ; il a pu également prendre quelques leçons avec Claude Pouillet. En 1843, il est finalement admis — quatrième — à l'École normale. Plus tard il sera élève de Jean-Baptiste Boussingault au Conservatoire national des arts et métiers.
Alors qu'il est professeur suppléant à la Faculté des Sciences de Strasbourg, Pasteur se marie le 29 mai 1849 avec Marie-Anne, la fille du recteur Aristide Laurent (1791-1869), lequel réside dans les bâtiments de l'Académie avec sa famille. Ensemble ils ont cinq enfants, dont les trois premiers sont nés à Strasbourg : Jeanne (1850-1859), Jean Baptiste (1851-1908), Cécile Marie Louise Marguerite – dite Cécile – (1853-1866). La quatrième, Marie-Louise (1858-1934) se marie en 1879 avec René Vallery-Radot, Camille (1863-1865) est la dernière. De l'union de Marie-Louise et de René Vallery-Radot sont issus Camille Vallery-Radot (1880-1927), sans descendance, et Louis Pasteur Vallery-Radot (1886-1970), membre de l'Académie française et de l'Académie de Médecine, également sans enfant et dernier descendant de Pasteur.
Son épouse Marie, dont Émile Roux dit qu'« elle a été le meilleur collaborateur de Louis Pasteur », écrit sous sa dictée, réalise les revues de presse et veille à son image puis à sa mémoire jusqu'à sa mort, en 1910
|