Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
11.02.2025
18683 articles
>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (959)
· A à Z : Sommaire (304)
· Mannequin de charme (914)
· Musique (371)
· Monde : France (3307)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (213)
· Cinéma : Films à classer (151)
· Calendrier : Naissances (246)
· Monde : Etats Unis (1156)
air amour annonce art article background base belle blogs cadre carte center
Articles les plus lus· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)
· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Actualité française
1929 | mars |
31/03/29 | plan Young sur les réparations. Réduction des dommages de guerre dus par l’Allemagne. |
1929 | juillet |
17/07/29 | répression anticommuniste : la police perquisitionne à L'Humanité et au siège du parti. |
27/07/29 | démission du Président du Conseil Raymond Poincaré pour des raisons de santé. |
29/07/29 | Aristide Briand Président du Conseil |
1929 | septembre |
19/09/29 | conformément au plan Young, les troupes françaises commencent à évacuer la Rhénanie. |
1929 | octobre |
19/10/29 | les 154 membres du comité central du PCF sont inculpés pour complot contre la sécurité de l’État. |
22/10/29 | chute du gouvernement Briand. |
29/10/29 | « krach de 1929 » à Wall Street |
31/10/29 | vote d'un programme baptisé « politique de prospérité » pour stimuler le développement économique de la France, soutenir le marché de l’emploi et accroître la demande. 5 milliards de francs sont alloués au projet , financés par le déficit budgétaire. 1,7 milliard de francs alloués à l’agriculture (pour 1,7 milliard), 1,8 milliard à l’industrie , 1,4 milliard à la santé et l’enseignement. 3,5 milliards de francs sont également alloués aux colonies. |
Ce plan de grands travaux a permis la construction d’infrastructures (ports, chemins de fer, routes), l’électrification des campagnes, la construction du barrage de Kembs et du grand canal d’Alsace, mais aussi l’édification de la ligne Maginot. |
1929 | novembre |
02/11/29 | André Tardieu Président du Conseil. |
1929 | décembre |
29/12/29 | augmentation des déductions forfaitaires et du plafond des réductions d’impôt pour charges de famille. |
Yvette Labrousse : Miss France 1930 | |
Madeleine Mourgues : Miss France 1930 |
Économie | |
La richesse nationale se porte à 425 milliards de francs. | |
1 US dollar = 0,25 franc français. | |
Retour de l'inflation à 6,1 %. | |
Programme de travaux publics de Tardieu. | |
Limitation de l’augmentation des loyers à 150 % du loyer de 1914. | |
Le budget reste excédentaire à 3 % du PIB (12,8 milliards de francs). | |
Croissance du PIB à 8,7 %. | |
1 % de la population active est au chômage. | |
Dette stable à 85 % du PIB. |
Naissances | Décès | Identité | Profession | N |
8 février 1929 | Claude Rich | acteur | fr | |
24 septembre 1929 | Henri Laisné | cheminot | fr | |
1929 | Ferdinand Foch | fr | ||
1929 | Georges Clemenceau | fr |
A la fin de cette performance, en première ligne de laquelle on aperçoit les élues LFI Clémentine Autain et Manon Aubry, un homme a l’effigie d’Emmanuel Macron se fait symboliquement lyncher par les participants.
Tous les procédés sont bons pour les opposants à la réforme des retraites. Depuis plusieurs semaines, les manifestants ont trouvé un nouveau moyen d’attirer l’attention sur leur mécontentement : en dansant. Mais la dernière performance des anti-réforme n’est pas au goût de la Macronie, rapporte notamment le HuffPost. En cause ? Un simulacre de lynchage du président de la République.
Parodie de lynchage effectuée par des élues de la RépubliqueInitiée par l’association altermondialiste Attac, la chorégraphie met en scène plusieurs dizaines de femmes, foulard rouge dans les cheveux, vêtues d’un bleu de travail et gantées de jaune, sur le modèle de Rosie la riveteuse, icône américaine des femmes travailleuses. Sur l’air de « A caus’des garçons », de Laurence Heller et Hélène Bérard (popularisée en 2007 par la chanteuse Yelle), les manifestantes chantent « A cause de Macron », en effectuant des pas de danse plus ou moins bien coordonnés. En première ligne, on aperçoit les députées LFI et PCF Clémentine Autain et Elsa Faucillon, la sénatrice EELV Esther Benbassa et l’eurodéputée insoumise Manon Aubry. Et c’est la présence de ces élues de la République qui a fait tiquer le camp macroniste. En effet, à la fin de la chorégraphie, toutes les femmes se réunissent autour d’un homme portant un masque à l’effigie du président de la République, et s’emploient à une parodie de lynchage.
Un « spectacle indigne » pour le porte-parole de LREM Jean-Baptiste Moreau. « Le ridicule ne tue pas et heureusement… Une occasion unique de porter un bleu de travail pour certaines », dénonce le député de la Creuse sur Twitter, estimant que les élues de la République participant à cette performance « n’hésitent pas à ridiculiser l’écharpe bleu blanc rouge », qu’Esther Benbassa porte à ce moment.
« 30 ans de mandats politique cumulés pour les quatre élues. Mais combien d’années dans une entreprise privée ? Combien d’années dans une usine ? », s’insurge, de son côté, le député de Maine-et-Loire Denis Masséglia. « Les salariés de nos usines méritent mieux que des personnes qui parlent comme un livre d’une société qui n’est plus celle du fordisme », ajoute-t-il.
https://www.youtube.com/watch?v=bIa-Ncb2KgM
|
Mercredi matin, le ministre de l’intérieur a mis en cause le patron des socialistes en revenant sur l’affaire de la vidéo à caractère sexuel de Benjamin Griveaux. M. Faure a réagi lors d’une conférence de presse mercredi après-midi.
Oliver Faure a décidé de convoquer une conférence de presse pour réagir à la saillie de Christophe Castaner sur France Inter mercredi 19 février. « L’affaire est trop grave », fait-on remarquer au cabinet du premier secrétaire du Parti socialiste (PS). Le député de Seine-et-Marne estime qu’une attaque sur la vie privée d’un opposant mérite une riposte et veut ainsi rappeler solennellement quelques principes du débat public.
Lors de la matinale de France Inter, le ministre de l’intérieur avait mis en cause le patron des socialistes en revenant sur l’affaire de la vidéo à caractère sexuel de Benjamin Griveaux : « Les politiques doivent rester des femmes et des hommes, sinon ils se coupent de la réalité. […] J’ai été surpris d’entendre Olivier Faure à votre micro. Je le connais bien à titre personnel depuis longtemps, je l’ai accompagné dans ses divorces et ses séparations. J’ai été étonné de ses leçons de morale », a-t-il lancé.
Sur cette même matinale, lundi, M. Faure, avait déclaré à propos de la vidéo de l’ancien candidat à la mairie de Paris :
« Quand vous êtes un homme ou une femme publique, un décideur public, un ministre, vous devez prendre toutes les précautions d’usage pour ne jamais être à la portée des maîtres-chanteurs. »
Le propos a visiblement déplu au ministre de l’intérieur qui a décidé de riposter en évoquant lui-même la vie privée de M. Faure.
« Une ligne rouge a été franchie »
« Ce matin, une ligne rouge a été franchie. Le fait pour un ministre de l’intérieur de chercher à intimider l’un des dirigeants de l’opposition en ayant recours à des insinuations relevant de sa vie privée est une atteinte au fondement de la démocratie », a réagi M. Faure lors d’une conférence de presse organisée mercredi après-midi, à l’Assemblée. Pour le patron du PS, M. Castaner « a commis une faute grave ». Il estime que son attaque radiophonique « n’est pas une affaire personnelle, c’est une question de principes » et en appelle au président de la République « garant de nos institutions, [pour] convoquer le ministre de l’intérieur dans les meilleurs délais et en tirer les conséquences ».
« Délation », « bassesse »… De nombreuses personnalités de tous bords politiques ont également critiqué les propos de Christophe Castaner, mercredi. « Amateur en tant que ministre ? Mais professionnel de l’attaque minable. Ces propos déshonorent leur auteur et le mettent au niveau de ceux qu’il prétend combattre dans cette pathétique affaire », a cinglé le patron des sénateurs socialistes Patrick Kanner.
« Ministre de l’intérieur de la cour de recréation. Franchement, on savait que ça ne volait pas très haut, mais là on atteint un niveau… », a tweeté Raphaël Glucksmann, député européen élu apparenté PS. « On savait que c’était un mauvais ministre, c’est aussi un mauvais pote ! Et puis sur la morale d’un autre siècle », a enchaîné Elsa Faucillon, députée du Parti communiste français (PCF) des Hauts-de-Seine. « De quel droit le ministre de l’intérieur dévoile-t-il la vie privée d’Olivier Faure ? LRM peut réclamer l’anonymat sur les réseaux sociaux, son ministre est une vraie balance ! », a affirmé de son côté Fabien Roussel, secrétaire national du PCF.
A droite également, la saillie a choqué : « Olivier Faure a rappelé une évidence : Benjamin Griveaux a manqué de prudence et a commis une faute. En attaquant Olivier Faure sur sa vie privée, Christophe Castaner fait la preuve de la bassesse dont est capable ce pouvoir qui dégrade chaque jour davantage le climat politique », a réagi Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat.
« Ni menace ni attaque personnelle »
La phrase du ministre de l’intérieur a fait grincer des dents jusqu’au sein du gouvernement. « Ce n’est pas bien de dire les choses comme cela, encore moins lorsque vous êtes ministre de l’intérieur », estime un ministre qui considère qu’« on ne peut pas dénoncer l’utilisation d’informations privées contre Benjamin Griveaux et faire la même chose contre Olivier Faure ».
Face à cette avalanche de critiques, M. Castaner a réagi lui-même dans la journée sur Twitter dans un message adressé à Olivier Faure : « Cher @faureolivier, il n’y avait ni menace ni attaque personnelle dans mon propos. Nous nous connaissons depuis assez longtemps pour savoir l’un et l’autre que la vie n’est pas linéaire. Et nous y avons quelquefois fait face ensemble. »
MM. Castaner et Faure se connaissent bien. Avec Benoît Hamon, ils ont tous deux fait leurs classes chez les jeunes rocardiens et sont restés longtemps proches au sein du PS – membres des mêmes courants et partageant la même approche sociale-démocrate. Jusqu’à ce que le maire de Forcalquier (Alpes-de-Haute-Provence) rompe avec le PS et rejoigne le mouvement En marche ! d’Emmanuel Macron avant la présidentielle de 2017.
Depuis, la rancœur s’est installée. Christophe Castaner avait été dans le viseur de M. Faure après son escapade filmée en boîte de nuit au soir d’une mobilisation des « gilets jaunes », en mars 2019. « Quand on est ministre de l’intérieur, on est 24 heures sur 24 au service de la République. Imaginez qu’à l’heure où il était en boîte de nuit, il y ait eu un attentat. Imaginez qu’on l’ait retrouvé à moitié saoul. Il y a quand même une dignité à assumer jour et nuit », avait-il déclaré.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Actualité française
1889 | janvier |
10/01/89 | traité signé entre Binger et le roi dioula de Kong Karamoko Oulé Ouattara. La France établit son protectorat sur la Côte d’Ivoire. |
27/01/89 | le général Boulanger triomphe à Paris lors des élections législatives partielles avec 245 000 voix contre 162 000 au candidat radical modéré et 17 000 au candidat blanquiste. Il fête son succès au restaurant Durand place de la Madeleine quand ses partisans l'invitent à marcher sur l’Élysée pour prendre le pouvoir, mais il refuse et rejoint sa maîtresse Madame de Bonnemains. |
1889 | février |
04/02/89 | à la suite du refus des chambres d'accorder à la compagnie du canal de Panama une prorogation, celle-ci est dissoute et liquidée4. Plus de 85 000 souscripteurs, en majorité des petits épargnants français, perdent leurs versements et sont ruinés5. Nombre d'entre eux se suicident. Début du scandale de Panama (1889-1893). |
13/02/89 | rétablissement du scrutin d'arrondissement pour les élections législatives. Les républicains organisent la résistance pour freiner la montée du Boulangisme. |
14/02/89 | mis en minorité à la Chambre qui vote l'ajournement de la révision constitutionnelle, le gouvernement Charles Floquet doit démissionner. |
18/02/89 | le général Archinard prend Koundian. Il conquiert les restes de l’empire de El Hadj Omar (Mali) de 1889 à 1892 |
22/02/89 | gouvernement Pierre Tirard (fin le 13 mars 1890). |
28/02/89 | perquisitions au siège dela Ligue des patriotes 9 place de la Bourse |
1889 | avril |
01/04/89 | le général Boulanger, menacé de passer en Haute Cour pour trahison, s’enfuit à Bruxelles ; il se suicide en septembre 1891 sur la tombe de sa maîtresse. |
04/04/89 | l'immunité parlementaire du général Boulanger est levée par la Chambre des députés. |
08/04/89 | décret instituant le Sénat en Haute Cour pour juger les Boulanistes |
1889 | mai |
05/05/89 | attentat contre Carnot place Beauvau. Jean-Nicolas Perrin tire une balle à blanc sur le président de la république qui se rend à Versailles. |
05/05/89 | début de la commémoration à Versailles du centenaire de la Révolution française (centenaire de la réunion des États généraux). |
06/05/89 | ouverture de l’Exposition universelle de Paris ; Buffalo Bill présente avec succès son Wild West Show. Vente des premières cartes postales illustrées, reproduisant une gravure de Léon-Charles Libonis éditée par le Figaro à 300 000 exemplaires lors de l'Exposition Universelle. |
28/05/89 | création à Clermont-Ferrand par André et Édouard Michelin de la manufacture de caoutchouc « Michelin et Cie ». |
1889 | juin |
25/06/89 | fondation du poste de Bangui par les frèrDolisie sur ordre de Savorgnan de Brazza |
26/06/89 | adoption d’une nouvelle loi sur la nationalité qui renoue avec le droit du sol, après près d'un siècle d'interruption. Elle attribue la nationalité française à tous les individus nés en France, sauf s’ils la refusent dans l’année qui suit leur majorité. Elle permet la naturalisation des étrangers européens nés en Algérie. |
Naissances | Décès | Identité | Profession | N |
23 février 1889 | 19 février 1963 | Gaston Garchery | acteur | fr |
4 mars 1889 | 16 novembre 1962 | Jean-Gabriel Domergue | peintre et graveur | fr |
5 juillet 1889 | 11 octobre 1963 | Jean Cocteau, | écrivain, cinéaste et dessinateur | fr |
Antoine Balpêtré est un acteur français, né le 3 mai 1898 à Lyon et mort le 29 mars 1963 dans le 5e arrondissement de Paris.
Après un Premier Prix au Conservatoire en 1919, il est engagé au Théâtre de l’Odéon avant d’entrer à la Comédie-Française en 1934. Il y enchaine les rôles et est l'interprète de Molière, Pirandello, Hugo, Racine, Edmond Rostand, Shakespeare, Paul Claudel et de bien d'autres auteurs.
Au cinéma, après cinq films tournés dans les années 1930, il figure sous l’Occupation dans quelques-uns des films les plus marquants de l'époque : La Main du diable de Maurice Tourneur (1942), L'assassin habite au 21 (1942) et Le Corbeau de Henri-Georges Clouzot (1943), films produits par la firme allemande Continental. Cela lui vaut d’être emprisonné pendant quelques mois à la Libération et d’être révoqué de la Comédie Française. Ensuite, il apparait notamment dans Justice est faite (1950) et Nous sommes tous des assassins (1952) d’André Cayatte, Le Plaisir de Max Ophüls (1952), Le Rouge et le Noir de Claude Autant-Lara (1954), Katia de Robert Siodmak (1959). Sur scène, il trouve l’un de ses derniers rôles dans La Chatte sur un toit brûlant de Tennessee Williams.
En juillet 1944, mandaté par Abel Bonnard, il participe à une cérémonie d'hommage à Philippe Henriot, ce qui lui sera reproché à la Libération.
Il a écrit un livre de souvenirs, Comédies chez Molière. Il a pour neveu Jacques Perrin
Filmographie
1933 : La Maison du mystère de Gaston Roudès
1933 : L'Agonie des aigles de Roger Richebé
1935 : Gaspard de Besse d'André Hugon : Cabasse
1939 : Le monde tremblera ou La Révolte des vivants de Richard Pottier
1939 : Le Duel de Pierre Fresnay
1942 : La Main du diable de Maurice Tourneur
1942 : L'assassin habite au 21 de Henri-Georges Clouzot
1942 : Picpus de Richard Pottier
1943 : Le Corbeau de Henri-Georges Clouzot : le docteur Delorme
1946 : Le Visiteur de Jean Dréville
1947 : Paysans noirs de Georges Régnier
1947 : La Figure de proue de Christian Stengel : Le père Morfouage
1948 : Fort de la solitude de Robert Vernay
1949 : Le Paradis des pilotes perdus de Georges Lampin
1949 : Fantômas contre Fantômas de Robert Vernay
1949 : Millionnaires d'un jour d'André Hunebelle : Toubib
1949 : Orage d'été de Jean Gehret
1949 : Suzanne et ses brigands d'Yves Ciampi : Bevardel
1950 : Plus de vacances pour le Bon Dieu de Robert Vernay
1950 : Justice est faite d'André Cayatte : le Président
1950 : Dieu a besoin des hommes de Jean Delannoy : le père Gourvennec
1951 : Le Journal d'un curé de campagne de Robert Bresson : le docteur Delbende
1951 : Bel Amour de François Campaux
1952 : Le Plaisir de Max Ophüls - dans le sketch : "La maison Tellier"
1952 : Nous sommes tous des assassinsd'André Cayatte : Dr Dutoit
1952 : Le Fils de Lagardère (Il figlio di Lagardere) de Fernando Cerchio
1952 : Le Chemin de Damas de Max Glass : Gamaliel
1953 : La neige était sale de Luis Saslavsky : Holtz
1953 : Alerte au Sud de Jean Devaivre : Le juge
1954 : La Rage au corps de Ralph Habib
1954 : Avant le déluge d'André Cayatte : M. Dutoit
1954 : Adam est... Ève de René Gaveau
1954 : Mourez, nous ferons le reste de Christian Stengel
1954 : Le Rouge et le Noir de Claude Autant-Lara : L'abbé Pirard
1954 : La Maison du souvenir (Casa ricordi) de Carmine Gallone
1954 : Femmes libres (Una donna libera) de Vittorio Cottafavi
1955 : Le Dossier noir d'André Cayatte : Dutoit
1955 : Les Vitriers (Il piccolo vetraio) de Giorgio Capitani
1956 : Si Paris nous était conté de Sacha Guitry : Verlaine
1956 : Les Aventures de Till l'espiègle de Gérard Philipe
1957 : Le Cas du docteur Laurent de Jean-Paul Le Chanois
1957 : Les Vampires (I vampiri) de Riccardo Freda
1958 : Arènes joyeuses de Maurice de Canonge
1959 : Ce corps tant désiré de Luis Saslavsky
1959 : Katia de Robert Siodmak : Kilbatchich
1960 : Une fille pour l'été d'Édouard Molinaro
1960 : Les Mains d'Orlac d'Edmond T. Gréville - "à mettre sous réserves"
1960 : Le Président de Henri Verneuil
1960 : L'espionne sera à Nouméa de Georges Péclet
1961 : Le cave se rebiffe de Gilles Grangier : Lucas Malvoisin
1962 : Le Livre de San Michele (Axel Munthe, der Arzt von San Michele) de Giorgio Capitani et Rudolf Jugert : Leblanc
1962 : La Salamandre d'or de Maurice Regamey
1962 : La Chambre ardente de Julien Duvivier : Dr. Hermann
1963 : Mathias Sandorf de Georges Lampin : Bathory
Théâtre
1920 : L'Admirable Crichton de J. M. Barrie, adaptation Alfred Athis, Théâtre Antoine
1923 : La Couronne de carton de Jean Sarment, Théâtre de l'Odéon
1924 : Jésus de Nazareth de Paul Demasy, mise en scène Firmin Gémier, Théâtre de l'Odéon
1924 : Ysabeau de Paul Fort, mise en scène Firmin Gémier, Théâtre de l'Odéon
1926 : Parmi les loups de Georges-Gustave Toudouze, mise en scène Firmin Gémier, Théâtre de l'Odéon
1926 : Le Dernier Empereur de Jean-Richard Bloch, mise en scène Armand Bour, Théâtre de l'Odéon
1928 : Le Jeu de l'amour et de la mort de Romain Rolland, mise en scène Firmin Gémier, Théâtre de l'Odéon
1931 : Le Sauvage de Tristan Bernard, mise en scène Henri Burguet, Théâtre Albert 1er
1933 : Marc Aurèle de Jean Le Marois, mise en scène Georges Pitoëff, Théâtre de l'Avenue
1933 : Libeleï d'Arthur Schnitzler, mise en scène Georges Pitoëff, Théâtre du Vieux-Colombier
1933 : Les Derniers Masques d'Arthur Schnitzler, mise en scène Georges Pitoëff, Théâtre du Vieux-Colombier
1934 : La Couronne de carton de Jean Sarment, Comédie-Française
1934 : L'Otage de Paul Claudel, mise en scène Émile Fabre, Comédie-Française
1934 : Bérénice de Jean Racine, Comédie-Française : Paulin (20 fois de 1934 à 1944)
1935 : Madame Quinze de Jean Sarment, mise en scène de l'auteur, Comédie-Française
1937 : Les affaires sont les affairesd'Octave Mirbeau, mise en scène Fernand Ledoux, Comédie-Française
1937 : Chacun sa vérité de Luigi Pirandello, mise en scène Charles Dullin, Comédie-Française
1937 : Mithridate de Jean Racine, mise en scène Jean Yonnel, Comédie-Française
1938 : Le Portrait de Carmontelle,Comédie-Française
1938 : Iphigénie de Racine, mise en scène Marie Ventura, Comédie-Française
1938 : Ruy Blas de Victor Hugo, mise en scène Pierre Dux, Comédie-Française
1938 : Tricolore de Pierre Lestringuez, mise en scène Louis Jouvet, Comédie-Française
1938 : Carmosine d'Alfred de Musset, mise en scène Jean Debucourt, Comédie-Française
1938 : Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand, mise en scène Pierre Dux, Comédie-Française
1939 : Les Trois Henry d'André Lang, mise en scène Émile Fabre, Comédie-Française
1939 : L'Amour médecin de Molière, Comédie-Française
1939 : Le Jeu de l'amour et de la mort de Romain Rolland, mise en scène Denis d'Inès, Comédie-Française
1939 : La Belle Aventure de Gaston Arman de Caillavet, Robert de Flers, Étienne Rey, Comédie-Française
1940 : 29 degrés à l'ombre d'Eugène Labiche, mise en scène André Brunot, Comédie-Française
1940 : Le Mariage forcé de Molière, mise en scène Fernand Ledoux, Comédie-Française
1940 : Le Carrosse du Saint-Sacrementde Prosper Mérimée, mise en scène Jacques Copeau, Comédie-Française
1940 : Le Cid de Corneille, mise en scène Jacques Copeau, Comédie-Française
1940 : La Nuit des rois de William Shakespeare, mise en scène Jacques Copeau, Comédie-Française
1941 : Lucrèce Borgia de Victor Hugo, mise en scène Émile Fabre, Comédie-Française
1941 : Noé d'André Obey, mise en scène Pierre Bertin, Comédie-Française
1942 : Gringoire de Théodore de Banville, mise en scène Denis d'Inès, Comédie-Française
1942 : Hamlet de William Shakespeare, mise en scène Charles Granval, Comédie-Française
1942 : La Reine morte d'Henry de Montherlant, mise en scène Pierre Dux, Comédie-Française, Théâtre des Célestins
1943 : Vidocq chez Balzac d'Émile Fabred'après Honoré de Balzac, mise en scène Émile Fabre, Comédie-Française
1943 : Le Chevalier à la mode de Florent Carton Dancourt, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française
1943 : Les Boulingrin de Georges Courteline, Comédie-Française
1943 : Iphigénie à Delphes de Gerhart Hauptmann, mise en scène Pierre Bertin, Comédie-Française
1943 : La Légende du chevalier d'André de Peretti Della Rocca, mise en scène Julien Bertheau, Comédie-Française
1943 : Le Soulier de satin de Paul Claudel, mise en scène Jean-Louis Barrault, Comédie-Française
1944 : Horace de Corneille, mise en scène Mary Marquet, Comédie-Française
1946 : Winterset de Maxwell Anderson, mise en scène André Certes, Théâtre des Carrefours
1947 : Borgia de Herman Closson, mise en scène Claude Sainval, Comédie des Champs-Élysées
1948 : Polyeucte de Pierre Corneille, Théâtre de la Comédie de Lyon
1951 : Le Songe d'une nuit d'été de William Shakespeare, mise en scène Charles Gantillon, Grand théâtre romain de Fourvière
1951 : Vogue la galère de Marcel Aymé, mise en scène Georges Douking, Théâtre de la Madeleine
1952 : Antoine et Cléopâtre de William Shakespeare, mise en scène Jean-Louis Barrault, Théâtre des Célestins
1954 : La Roulotte de Michel Duran, mise en scène Alfred Pasquali, Théâtre Michel
1956 : La Gueule du loup de Stephen Wendt Marc-Gilbert Sauvajon, mise en scène Marc-Gilbert Sauvajon, Théâtre de la Porte-Saint-Martin
1956 : La Chatte sur un toit brûlant de Tennessee Williams, mise en scène Peter Brook, Théâtre Antoine
1958 : La Cathédrale de cendres de Berta Dominguez D., mise en scène Abel Gance, Théâtre de l'Alliance française
1960 : Le Signe de kikota de Roger Ferdinand, mise en scène Fernand Gravey, Théâtre des Nouveautés
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | |||||||||||||||||||||||||||
DESCRIPTION | |||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | |||||||||||||||||||||||||||
DECES | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2025 | ||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Gaston Garchery est un acteur français, né Gaston Armand Garchery, à Paris 11e le 23 février 1889 et mort à Paris 10e le 19 février 1963.
Filmographie
1931 : Le Bouif au salon de Louis Mercanton - court métrage -
1945 : François Villon de André Zwobada
1949 : La Maternelle de Henri Diamant-Berger - Un policier
1950 : Boîte de nuit d'Alfred Rode
1951 : L'Étrange Madame X de Jean Grémillon
1951 : Chacun son tour d'André Berthomieu
1951 : Jamais deux sans trois d'André Berthomieu
1951 : Les Sept Péchés capitaux - "Sketch indéterminé" -
1951 : Une histoire d'amour de Guy Lefranc
1951 : La nuit est mon royaume de Georges Lacombe
1952 : L'Amour, Madame de Gilles Grangier
1952 : Rendez-vous à Grenade de Richard Pottier
1952 : Brelan d'as de Henri Verneuil
1952 : Nous sommes tous des assassins d'André Cayatte
1956 : Mitsou de Jacqueline Audry
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | |||||||||||||||||||||||||||
DESCRIPTION | |||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | |||||||||||||||||||||||||||
DECES | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2025 | ||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Actualité française
Cartes d’alimentation. | |
Création des Chèques postaux. | |
La guerre a tué 1 450 000 soldats. La surmortalité civile est de 250 000 environ. Les naissances se sont effondrées, inférieures de 1,4 million à la normale. Au total, la population a diminué de 3 millions. Alfred Sauvy chiffre à 28 milliards-or l’ampleur des destructions matérielles dues à la guerre. | |
Les dépenses militaires ont coûté 158,5 milliards de francs au pays, 60,5 ont été financés par la dette | |
Les combats qui se déroulent encore sur le territoire national empêchent la tenue des élections législatives du printemps pour renouveler la chambre. Elles sont repoussées au mois de décembre 1919. |
1918 | janvier |
08/01/18 | le président Wilson annonce son programme de paix en « Quatorze points » : souveraineté de la Belgique, libération de la France, développement autonome des peuples de l'Autriche-Hongrie, création d'une Société des Nations. Il vise à transposer la démocratie libérale à l'échelle internationale et à asseoir l'expansion commerciale sur un ordre international mutuellement consenti. |
28/01/18 | l’ancien ministre Joseph Caillaux, accusé de défaitisme est arrêté et comparaît devant le Sénat constitué en Haute Cour. |
Janvier : création sous l'impulsion de Émile Marcesche de la première caisse d'allocations familiales. |
1918 | février |
14/02/18 | le gouvernement français envoie un courrier officiel à Nahum Sokolow dans laquelle il affirme que « l'entente est complète entre les gouvernements français et britanniques en ce qui concerne la question d'un établissement juif en Palestine ». Le 9 mai, c'est au tour du gouvernement italien d'envoyer une lettre à Sokolow, qui parle de la formation « d'un centre national israélite » et mentionne le respect des « droits politiques » des communautés non juives. Le président Wilson ne prend pas position officiellement. |
1918 | mars |
Mars - mai : grèves à Paris et Saint-Étienne. | |
Mars - juillet : grande bataille de France. | |
09/03/18 | passage à l'heure d'été pour réaliser des économies d'éclairage. |
21/03/18 | début de la 2e bataille de Picardie. |
23/03/18 | Paris est bombardée par les Pariser Kanonen. |
26/03/18 | le général Foch est nommé commandant-en-chef du front de l'Ouest, avec le titre de généralissime. |
1918 | mai |
17/05/18 | première expérience d’un service aérien postal entre Nice et la Corse. |
27/05/18 | bataille de l'Aisne. Offensive allemande du Chemin des Dames (fin le 6 juin). . |
28/05/18 | contre-offensive alliée en Picardie. La première division américaine enlève le village de Cantigny. |
30/05/18 | les Allemands atteignent la Marne à Château-Thierry. Neuf obus sont lancés sur Paris. |
1918 | juillet |
15/07/18 | offensive allemande en Champagne. |
18/07/18 | seconde bataille de la Marne. |
1918 | août |
01/08/18 | 87 000 soldats déployés au Maroc contre les insurgés. |
17/08/18 | ligne postale entre Paris et Saint-Nazaire. |
1918 | septembre |
15/09/18 | libération de Nancy. |
1918 | novembre |
09/11/18 | mort de Guillaume Apollinaire, écrivain mort de la grippe espagnole. |
11/11/18 | signature de l'armistice à côté de Rethondes, en forêt de Compiègne. |
Économie | |
La guerre a engendré d'importantes dépenses militaires, ce qui explique le fort endettement de la France (180 % du PIB). | |
Les dépenses budgétées pour la guerre étaient évaluées à 20 milliards de francs (le budget pour 1914 est de 5 milliards) : les dépenses réelles furent de 140 milliards. Seuls 15 % furent couvertes par l'impôt (dont l'impôt sur le revenu voté en 1914 et appliqué en 1916-1917). La part des dépenses publiques dans le PIB est passée de 8,8 % en 1912 à 27,8 % en 1920. On eut d'abord recours à l'augmentation de la masse monétaire : en 1914, il y avait 6 milliards de francs en circulation ; en 1919 : 25,5 milliards. La Banque de France utilisa le stock d'or pour gager les premières dépenses à hauteur de 5 % à 8 % comme il était d'usage. Cependant, l'encaisse-or diminua fortement du fait des transactions interbancaires et internationales. Une autre solution pour couvrir les frais de guerre fut l'emprunt : auprès de la population française sous forme de « bons de la défense » (75 milliards à court terme, mais toujours renouvelés) et 25 milliards en emprunts à long terme. | |
La richesse nationale du pays atteint 260 milliards de francs. | |
L'inflation atteint 29,3 %. | |
Le déficit public atteint le niveau abyssal de 54 milliards de francs (20,5 % du PIB). | |
Le chômage reste faible à 4 %. | |
Croissance du PIB. |
Cinéma | |
Film français : 1918 |
Naissances | Décès | Identité | Profession | N |
24/08/18 | Henriette Moriamé | résistante | Fr | |
09/11/18 | Guillaume Apollinaire | poète et écrivain | Fr | |
02/12/18 | Edmond Rostand | auteur dramatique | Fr |
Hier héraut de la liberté d’expression, aujourd’hui agitateur aux méthodes kagébistes. Pavlenski n’est plus en odeur de sainteté dans la sphère politico-médiatique depuis qu’il a rendu publiques des vidéos à caractère sexuel que Benjamin Griveaux avait envoyées à sa compagne. Retour, non exhaustif, sur un retournement de veste retentissant.
Qu’arrive-t-il donc à nos confrères français? Où est donc passée leur bienveillance envers Piotr Pavlenski, «l'insoumis qui provoque Poutine», cet «artiste» qui «se mutile pour dénoncer la violence du régime russe» et qui «s'était imposé comme l'une des dernières voix dissidentes en Russie» où il est «persécuté pour ses convictions politiques»? Le ton a bien changé, dans la majorité des rédactions parisiennes, depuis que le réfugié politique russe a touché aux cheveux du candidat LREM à Paris et ex-porte-parole du gouvernement.
Des médias qui se sont par ailleurs montrés réticents quant à la diffusion de cette information forte incriminante pour le candidat. Si le doute était permis quant à la véracité de la source de cette vidéo lorsqu’elle fut mise en ligne et commença à circuler le 13 février, certaines rédactions contactées directement par Piotr Pavlenski n’ont «eu aucune hésitation à ne pas publier», ce qui relevait à leur yeux de la vie privée et qu’il ne s’agissait pas d’un harcèlement sexuel, justifiera une journaliste de Mediapart invitée sur le plateau d’une émission du service public.
«Quelle est la contradiction entre les déclarations de Benjamin Griveaux, défendant sa famille, expliquant qu’il va emmener ses enfants à l’école et ses potentielles pratiques privées?» ajoutera-t-elle.
«Benjamin Griveaux: un père de famille très impliqué aux côtés de sa femme Julia Minkowski», titrait Gala le 27 mars 2019, jour même où le secrétaire d'État chargé des Relations avec le parlement démissionnait pour se lancer dans la course à la mairie de Paris. Le magazine people dépeignait un candidat qui «fait son maximum pour passer du temps avec ses enfants», se confiant sur sa relation avec sa femme, «son roc»… pour autant, celui qui venait tout juste d’être père pour la troisième fois, s’était laissé aller à envoyer des vidéos de lui se masturbant à sa maîtresse. «Il a le droit de faire ce qu’il veut et "les journalistes" n’ont pas à en faire une info!», s’insurgeait une animatrice télé, au tout début de cette affaire.
Réfugié politique en France, la question de la possibilité de le renvoyer en Russie se pose même. Étonnant, venant de ceux qui habituellement sont prompts à s’émouvoir sur des thématiques telles que la déchéance de nationalité pour des terroristes ou l’expulsion de demandeurs d’asile ayant commis des crimes graves.
«Ceux qui dévoient la République, qui la déstabilisent pleinement comme ils l’ont fait, n’ont pas leur place sur le territoire français»,
lance sur le plateau de L’Opinion Sylvain Maillard (LREM) député En marche de Paris, qui «espère une sanction très forte». L’élu de la majorité évoquera même une réforme du droit d’asile, face à l’insistance du journaliste, qui, s’appuyant sur les déclarations d’Emmanuel Macron à la Conférence sur la sécurité de Munich, le cuisinera également sur le possible rôle de «certaines forces obscures» en Russie dans cette affaire.
Expulser Piotr Pavlenski, une ligne déjà défendue par un autre député LREM, venu de la gauche, Bruno Questel, qui appelait dès vendredi 14 février sur le plateau de LCP à le «foutre dans un avion». Pour autant, si on nous rappelle depuis vendredi que participer à la diffusion sur les réseaux sociaux de vidéos telles que celle qui a fait tomber le candidat de la majorité à la mairie de Paris est répréhensible de deux ans d’emprisonnement, journalistes et élus LREM ne sont pas les seuls à lancer l’idée que Benjamin Griveaux ait été victime d’une machination. Gérard Araud, ancien ambassadeur français à Washington, qui s’était fait remarquer par ses écarts à son devoir de réserve lors de l’élection de Donald Trump, et qui tient maintenant une chronique sur France Inter, s’interroge également sur Twitter.
Preuves que l’agitation politico-médiatique suscitée par la chute de Benjamin Griveaux fait perdre la boussole à nombre d’observateurs politiques, on remarquera que cet opposant «au régime» de Vladimir Poutine, non content d’être relayé au rang d’«activiste» ou d’«agitateur forcené», est même suspecté aujourd’hui d’accointance avec les services russes.
Des interrogations, parfois particulièrement insistantes, notamment de journalistes, qui laissent apparaître, au-delà d’un deux poids deux mesures, un complotisme à deux vitesses. L’ombre du Kremlin étant, incontestablement, la seule constante chez nos confrères.
Finalement, l’opposant russe, qui entendait «dénoncer l’hypocrisie» du candidat Griveaux, semble par l’enchaînement des événements mettre à nu l’hypocrisie de bien plus… Il faut dire que concernant le tempérament de celui à l’origine de cette affaire qui semble tant embarrasser la majorité qu’une partie des journalistes, ce n’est pas faute d’avoir été prévenu. «Malgré son côté sympathique, Piotr Pavlenski est quand même quelqu'un de spécial», déclarait à l’époque de son arrivée en France la correspondante de France Info à Moscou.
|
Mise à jour affaires
#Bayrou
#Ferrand
#Sarnez
#MohammedSaou
#Penicaud
#Personne
#Vignon
#Drahi
#OPetit
#ElGuerrab
#Belloubet
#Hulot
#Darmanin
#Kohler
#Logerot
#Benalla
#Nyssen
#Emelien
#LeGendre
#Strzoda
#FDeRugy
#MustaphaLaabid
#Castaner
#Solere
#Griveaux
|
Pierre Pérignon, dit dom Pérignon, né à Sainte-Menehould en décembre 1638 ou janvier 1639 et mort dans l'abbaye Saint-Pierre d'Hautvillers le 24 septembre 1715, est un moine bénédictin qui, selon la légende, a importé de Limoux la méthode de la prise de mousse du vin dite méthode champenoise — il est de ce fait considéré comme l'inventeur du champagne. Presque exactement contemporain de Louis XIV, il n'était ni vigneron ni alchimiste. Au monastère d'Hautvillers, près d'Épernay, il assurait le contrôle des vignes et des pressoirs de l'abbaye. Son apport à la méthode était d'assortir avant de les pressurer des raisins de diverses origines
Biographie
Pierre Pérignon naît en décembre 1638 ou janvier 1639, à Sainte-Menehould dans une famille aisée de sept enfants : son père Pierre Pérignon a la charge du greffe de la Prévôté, sa mère Marguerite Le Roy meurt sept mois après sa naissance, son père se remariant trois ans plus tard avec Catherine Beuvillon, veuve d'un marchand de la ville. Son père et un de ses oncles paternels possèdent des vignes où il a peut-être participé aux vendanges et aux soins des ceps. Si sa date de naissance reste imprécise, son acte de baptême est daté du 5 janvier 1639. Il grandit à Sainte-Menehould avant de devenir enfant de chœur à l'abbaye bénédictine de Moiremont. Admis en octobre 1652 au collège des jésuites de Châlons-en-Champagne, il entre en 1656 au monastère bénédictin de la congrégation de Saint-Vanne et Saint-Hydulphe à Verdun où il prononce ses vœux de moine en 1658 et, fidèle à la règle de saint Benoît, il alterne travail manuel, lecture et prière, acquérant au passage de solides connaissances philosophiques et théologiques. En 1666 ou 1667, il est ordonné prêtre.
En 1668, alors âgé de trente ans, il rejoint l'abbaye Saint-Pierre d'Hautvillers où, jusqu'à sa mort en 1715, il y tient la charge de procureur (cellérier-intendant), une charge de la plus haute importance à une époque où les monastères possèdent de vastes domaines d'où ils tirent toutes sortes de produits destinés à la vente. Et qui, surtout, lui donne la haute main sur les vignes et les pressoirs de l'abbaye. Selon la légende, Dom Pérignon, lors d'un pèlerinage à l'abbaye de Saint-Hilaire (bénédictine) découvre la méthode de vinification des vins effervescents de Limoux. Il revient dans son abbaye Saint-Pierre d'Hautvillers et expérimente la méthode sur les vins du vignoble de Champagne. Il enseigne sa technique au savant bénédictin Thierry Ruinart venu lui rendre visite en 1669.
Il est enterré devant le chœur de l'église abbatiale de Hautvillers, aux côtés du prieur Dom Royer
Œnologue avant l'heure, dom Pérignon apporte un soin particulier aux vendanges et au choix des raisins, ne laissant à personne d'autre la permission de les goûter. « Le père Pérignon ne goûtait pas les raisins aux vignes quoiqu'il y allât tous les jours à l'approche de la maturité », témoigne le frère Pierre, élève et successeur du « père » du champagne. « Mais il se faisait apporter des raisins des vignes qu'il destinait à composer la première cuvée. Il n'en faisait la dégustation que le lendemain à jeun, après leur avoir fait passer la nuit à l'air sur sa fenêtre, jugeant du goût selon les années. Non seulement il composait les cuvées selon ce goût, mais encore selon la disposition, les années précoces, tardives, froides, pluvieuses, et selon les vignes bien ou médiocrement fournies de feuilles. Tous ces événements lui servaient de règles pour la composition de ses cuvées si distinguées. » Avec dom Pérignon, l'assemblage de crus et de cépages tend vers une science.
Le champagne acquiert ainsi une qualité qu'il n'avait pas jusqu'ici et qui fera beaucoup pour sa réputation.
La légende veut que dom Pérignon ait, le premier, découvert la méthode contrôlée pour faire mousser le vin de Champagne en bouteille. À l'époque, les bouteilles étaient bouchées avec des chevilles de bois garnies d'étoupe imbibée d'huile. À la recherche d'un procédé plus propre et plus esthétique, dom Pérignon aurait eu l'idée de couler de la cire d'abeille dans le goulot des bouteilles, leur assurant ainsi une parfaite herméticité ; mais au bout de quelques semaines, la plupart des bouteilles auraient explosé, incapables de résister à la pression. En fait le sucre contenu dans la cire, en tombant dans la bouteille provoquait une seconde fermentation, transformant l'acide malique en acide lactique plus carbonique. Un heureux hasard aurait ainsi permis à dom Pérignon de découvrir la fermentation en bouteille. La « méthode champenoise » ou, plus simplement le champagne, serait ainsi née.
Le « vin de Champagne », dont l'appellation s'établit entre le début et le milieu du xviie siècle est d'abord un vin tranquille blanc, mais surtout clairet, dit œil-de-perdrix, c'est-à-dire rouge clair, tel que le vin d'Ay situé, en face d'Épernay, au pied des coteaux bordant la Marne, d'où les pourvoyeurs approvisionnaient certains souverains dés le xvie siècle en vin dit de Rivière (de Marne). L'appellation vins de Montagne (de Reims) apparait quant à elle au milieu du xviie siècle, lorsqu'on commence à produire là aussi des « vins gris », c'est-à-dire des vins blancs faits à partir de raisins noirs, à l’imitation de ceux de Rivière, où l'on avait privilégié, comme à Ay et Pierry, l'usage des seuls cépages morillon noir ou taconné, correspondant respectivement aux pinot noir et meunier, ainsi que celui du pressoir champenois, selon des modalités propres à éclaircir le vin. Le vin de Champagne devient alors le vin préféré de Louis XIV ; tandis que des vins de Montagne, comme ceux de Sillery, où le cépage Fromenteau est utilisé pour le vin gris, Mailly et Verzenay, sont promus à Versailles par leur propriétaire, la famille Brulart de Sillery et acquièrent une grande renommée jusqu'à la fin du xviiie siècle, au même titre que les vins de Rivière les plus réputés.
Le vin commence à être mis en bouteille en verre dans les années 1660 et vers 1670 en Champagne, afin d'assurer une meilleure conservation des arômes, avec un tirage effectué avant la fin de la première fermentation, grâce à l'invention de la bouteille de vin résistante par les Anglais, qui découvrent parallèlement le bouchon de liège en usage en Espagne et au Portugal, substitué à l'archaïque « broquelet » ou « clavelot » de bois maintenu au goulot par une ficelle de chanvre et le sulfitage des barriques pratiqué par les Hollandais. Mais il devient, en contrepartie, naturellement pétillant, surtout pour les champagnes peu alcoolisés, peu colorés et dont le tirage est fait à l'équinoxe de printemps, particularité que favorisa également le petit âge glaciaire.
Ce caractère effervescent cause beaucoup de soucis aux vignerons, à tel point qu’il est surnommé « vin du diable » ou « saute-bouchon » à cause des bouteilles qui explosent ou des bouchons qui sautent sous la pression. Pour ces raisons, si les Anglais n’avaient pas été conquis par ce vin pétillant, le champagne n'aurait peut-être pas connu le même destin, car à cette époque les Anglais achetaient aux Champenois des tonneaux de vin en vrac, qu'ils se chargeaient également de mettre eux-mêmes en bouteilles. Ils avaient aussi observé que la meilleure époque pour provoquer la prise de mousse était le printemps, et rajoutent du sucre de canne issu de leurs colonies des Caraïbes pour développer cette prise de mousse, comme l'atteste un mémoire sur la fabrication des vins mousseux adressé le 17 décembre 1662 à la Royal Society par le naturaliste britannique Christopher Merrett.
Dom Pérignon améliore la qualité du vin mais lutte justement contre la prise de mousse qui peut alors entraîner un défaut de fabrication, à cause de l'utilisation de la bouteille en verre dans les années 1660. En 1670, à l'occasion, selon la légende, d'un pèlerinage à l'abbaye bénédictine de Saint-Hilaire en Languedoc, il découvre la « méthode ancestrale » de vinification des vins effervescents de Limoux, due à une mise en bouteille avant la fin de la fermentation, qui existe depuis plus d'un siècle. Revenu dans son abbaye d'Hautvillers, dom Pérignon aurait fait volte-face et expérimenté la méthode sur les vins du vignoble champenois pour répondre à la nouvelle mode de la Cour de France de Louis XIV qui s'était entichée des crus pétillants. Pour maîtriser ce « vin du diable », il préconise l'emploi du bouchon de liège, maintenu sur la bouteille par une ficelle de chanvre imprégnée d'huile, ce qui permet au vin de garder sa fraîcheur et sa mousse. De plus, il aurait fait renforcer la bouteille en adoptant un verre plus épais, pour éviter qu'elle n'explose. Malgré les efforts du moine pour éviter cela, l'effervescence du vin reste empirique et peu contrôlée, jusqu'aux recherches de Louis Pasteur sur la fermentation au milieu du xixe siècle.
Par ailleurs, à l'époque de dom Pérignon, le vin effervescent ne peut exister qu'en bouteille bouchée ; tandis qu'avec la loi promulguée en 1691 qui impose la vente en tonneaux pour prévenir de multiples fraudes, seule la vente en fûts est autorisée, jusqu'à l'arrêt du Conseil royal du 25 mai 1728 sous Louis XV permettant le transport du vin en paniers de cinquante ou de cent bouteilles. Néanmoins, cela n'interdit pas une mise en bouteille pour une consommation personnelle et dans son Épître « La Chasse à M. de Rosières » écrit le 14 septembre 1692, Charles Perrault atteste de l'existence à cette date de « pétillant vin de Champagne ». Une autre légende prête alors à Dom Pérignon ces propos lorsqu'il goûte son premier vin qui aurait ensuite été fabriqué vers 1697 selon la méthode champenoise : « Venez mes frères, je bois des étoiles » mais l'apparition de cette citation apocryphe n'est attestée qu'à la fin du XIXe siècle sur de la publicité de champagne.
Dom Pérignon n'est donc pas à l'origine de l'usage de la seconde fermentation effervescente du champagne : au contraire, il a toujours cherché à réduire les conséquences de ce défaut du « vin du diable » qui engendre des pertes considérables, sa réussite reposant sur l'élaboration et la commercialisation de vins tranquilles de « la Montagne » et de « la Rivière ». Le processus d'élaboration du champagne effervescent a été une œuvre collective et de longue haleine, où dom Pérignon a joué un rôle majeur, mais essentiellement dans le développement de l'art de l'assemblage. Au début du XVIIIe siècle, le champagne tel que nous le connaissons aujourd'hui fait en tout cas le bonheur des tables aristocratiques et royales (telles celles de Pierre de Montesquiou d'Artagnan, l'un des principaux acheteurs), les seules à pouvoir s'offrir le précieux breuvage.
D'autres légendes lui sont associées, comme celles d'être l'origine des caves champenoises ou de la flûte à champagne.
C'est l'un des successeurs de dom Pérignon à l'abbaye d'Hautvillers, le procureur Dom Jean-Baptiste Grossard qui, dans une lettre en date du 25 octobre 1821 adressée à M. d'Herbes, maire-adjoint d'Aÿ, fait naître la légende de Dom Pérignon « père du champagne », ce qui accroît le prestige et la vente des vins de sa communauté religieuse
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
Monde : France 1638 | |||||||||||||||||||||||||||
4 août : Événements | |||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||