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allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Les hirondelles sont des oiseaux appartenant à la famille des Hirundinidae, dont ils constituent la sous-famille des Hirundininae.
Ce sont des oiseaux migrateurs qui installent leurs nids près des habitations telles que les granges et les étables. Ils symbolisent traditionnellement l'arrivée du printemps, car leur retour d'hivernage en Afrique (dans le cas des hirondelles européennes) se fait dès les premiers beaux jours, pour nicher et se reproduire en Afrique du Nord et en Europe. Ce voyage de retour représente une distance qui peut dépasser les 10 000 km, avec pour seule ressource quelques grammes de graisse. Dès que les petits (hirondeaux) sont autonomes, les hirondelles se mettent à préparer la migration suivante en accumulant les réserves de graisse nécessaires. Mais avant d'être autonome, chaque oisillon semble se résumer à un bec tant celui-ci est ouvert, attendant que ses parents lui apportent de quoi se nourrir. Pour trouver toute cette nourriture, les parents parcourent en moyenne 300 km par jour, et répètent ce voyage pendant trois semaines.
Comme le pigeon et bien d'autres migrateurs, l'hirondelle retrouve le lieu où elle nichait l'année précédente, lorsqu'elle revient d'Afrique. Ce qui explique peut-être qu'elle ne recolonise que difficilement les villes d'où elle a disparu, même quand les conditions de pollution ou de menaces pour elle semblent avoir diminué.
Ses effectifs connaissent une très forte régression depuis les années 1970 environ, qui tend à s'aggraver : une baisse de 84 % sur 10 ans a été répertoriée pour l'hirondelle de fenêtre (source CRBPO, sujette à interprétation, en raison de variations naturelles de populations existant également, mais jugée préoccupante par les ornithologues). Cette régression pourrait s'expliquer par la raréfaction de sa nourriture unique, les insectes volants (voir l'article pesticides, mais il est curieux de constater que des villes qui se ressemblent en ont pour certaines conservé des populations importantes alors que d'autres ont perdu leurs hirondelles). La présence de nombreux espaces boisés et d'eau dans les villes semblent des facteurs favorables.
Les hirondelles sont des espèces protégées dans de nombreux pays, mais leur population est en régression de 30% en France et de 20% en Europe en partie à cause du réchauffement climatique mais surtout à cause de la raréfaction ou de l'empoisonnement de leur nourriture par les insecticides et de l'altération de leurs lieux de nidification. Il est probable qu'elles subissent aussi les effets de la pollution urbaine et il semble que lorsqu'une espèce a déserté une ville, elle n'y revienne que difficilement. Les hirondelles peuvent aussi accumuler les pesticides, les métaux lourds, des métalloïdes et d'autres produits polluants, eux-mêmes accumulés par les insectes qu'elles consomment. Ces produits toxiques sont notamment stockés dans leurs graisses, puis relargués dans l'organisme lors de l'épuisant voyage de migration vers le sud, affectant fortement les chances de survie de l'oiseau.
Les hirondelles ne se nourrissent qu'en vol. En l'absence d'insectes, elles brûlent les réserves de graisse nécessaires à la migration en vain.
Par ailleurs, les bâtiments modernes, aux matériaux souvent lisses (verre, acier, béton...), sont souvent moins adaptés à l'accueil des hirondelles de cheminée et de fenêtre, même si l'architecture HQE commence lentement à chercher à intégrer la biodiversité (Quinzième cible HQE) sur le bâti et ses alentours, tout en gérant les contraintes liées à la faune sauvage.
Les fientes peuvent également se révéler être un problème (souvent résolu par la pose d'un plateau sous le nid).
Les personnes tentées de détruire des nids d'hirondelles à cause des fientes, de grippe aviaire... risquent de fortes amendes car elles sont protégées au niveau européen. Les amendes varient en fonction du nid, s'il est vide, avec des œufs, des oisillons... L'amende minimum est aux alentours de 1 000 € pour un nid vide et allant jusqu'à 12 000 € avec une condamnation pour un nid habité.
Les élevages industriels et le traitement antiparasitaire des animaux privent aussi les hirondelles de nombreux insectes qu'elles capturaient dans les prairies ou autour des étables, porcheries et écuries où ces derniers se nourrissaient.
En Amérique du Nord, les hirondelles ont perdu 90 % de leurs effectifs depuis les années 1970
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ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
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MISE A JOUR : | 2025 | ||||||||||||||||||||||||||
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Comme souvent chez les poissons, le nom vernaculaire de perche est utilisé en français pour de nombreuses espèces différentes. Ce terme est issu du latin perca emprunté au grec ancien πέρκη / pérkē.
En Europe, la plus connue est la perche commune (Perca fluviatilis) appelée aussi perche européenne.
Poissons appelés perches
Liste alphabétique de noms vulgaires ou de noms vernaculaires attestés en français.
Note : certaines espèces ont plusieurs noms et figurent donc plusieurs fois dans cette liste. Les classifications évoluant encore, certains noms scientifiques ont peut-être un autre synonyme valide. En gras, les espèces les plus connues des francophones.
Grémille ou Perche goujonnière : Gymnocephalus cernuus.
Perche à gros yeux : Pristipomoides argyrogrammicus.
Perche à lignes d'or : Gnathodentex aureolineatus.
Perche à raies bleues : Lutjanus kasmira et Lutjanus quinquelineatus.
Perche à tache noire : Lutjanus monostigma.
Perche arc-en-ciel : Lepomis gibbosus.
Perche ardoise : Aphareus furca.
Perche argentée : Lepomis gibbosus, Bidyanus bidyanus et Pomadasys argenteus.
Perche barramundi : Lates calcarifer.
Perche blanche et noire : Macolor niger.
Perche blanche : Morone americana.
Perche canadienne : Perca flavescens.
Perche commune : Perca fluviatilis.
Perche d'Amérique à petite bouche : Micropterus dolomieu.
Perche d'Amérique : Micropterus salmoides.
Perche de mer : Sebastes, Serranus scriba et Dicentrarchus labrax
Perche de mer bicolore : Pseudanthias evansi.
Perche de mer pourpre : Pseudanthias tuka.
Perche d'or : Gnathodentex aureolineatus.
Perche dorée : Lepomis gibbosus et Macquaria ambigua.
Perche du Nil : Lates niloticus, espèce invasive dans de nombreuses régions, et qui fait notamment l'objet d'une exploitation halieutique intensive dans le lac Victoria.
Perche écarlate : Lutjanus malabaricus.
Perche européenne : voir Perche commune.
Perche fleur : Pristipomoides zonatus.
Perche fluviatile : voir Perche commune.
Perche goujonnière : voir Grémille.
Perche grimpeuse : Anabas scandens, Ctenopoma kingsleyae et Microctenopoma nanum.
Perche māori : Lutjanus rivulatus.
Perche noire : Micropterus dolomieu et Micropterus salmoides.
Perche pagaie : Lutjanus gibbus.
Perche peinte : Plectorhinchus picus.
Perche rouget : Etelis carbunculus.
Perche soleil : voir Perche arc-en-ciel.
Perche tricolore : Pterocaesio tile.
Perche truitée : Micropterus salmoides.
Perche-brochet : Sander lucioperca.
Perche bleue : Badis badis
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Le rouge-gorge est un nom vernaculaire donné à plusieurs oiseaux Passeriformes en raison de la couleur rouge du plumage de leur poitrail. Ces espèces ne sont apparentées que de loin. En Europe, le terme fait plus particulièrement référence à Erithacus rubecula, mais il y a aussi un rouge-gorge en Amérique (Turdus migratorius). L'orthographe rouge(s)-gorge(s) est préférée par le Centre national de ressources textuelles et lexicales, mais la Commission internationale des noms français des oiseaux utilise l'orthographe rougegorge(s).
L'alimentation des rouges-gorges est basée sur des insectes (notamment des coléoptères), des escargots, vers, araignées, des petits invertébrés, il aime particulièrement les vers de farine, les graisses comme le beurre et la margarine. Asocial, le rouge-gorge ne partage la mangeoire qu'en cas de disette.
L'orientation des oiseaux dans l'espace est un sujet qui passionne les scientifiques. Le sujet a réuni du 10 au 12 avril 2019 de nombreux scientifiques (ornithologues, biologistes, informaticiens neuroscientifiques, physiciens,…) à l'occasion d’une conférence3 organisée par le Royal Institute of Navigation de la Royal Holloway University of London (Royaume-Uni). Wolfgang et Roswitha Wiltschko biologistes éthologues travaillent depuis près de 60 ans sur l’orientation des animaux migrateurs ou voyageurs. Après de nombreuses expériences, ils concluent que le champ magnétique terrestre permet aux oiseaux de s’orienter pour se déplacer.
Du fait de leur poitrail rouge, le Pinson des arbres, le Bouvreuil pivoine, le Traquet pâtre, la Linotte mélodieuse par exemple sont communément confondus avec les rouges-gorges. Plusieurs espèces sont communément appelées « rouges-gorges » en Australasie (famille des Petroicidae) même si elles sont officiellement dénommées Miro. Les rouges-gorges ont souvent un gros ventre (voir en bas à droite), d'autres ne l'ont pas.
Selon une légende populaire, un troglodyte grimpa sur le dos d’un aigle pour voler plus haut. Mais l’aigle vola tant et tant qu’il atteignit le Soleil. Et parce qu'il s'était précipité au secours du troglodyte, un rouge-gorge vit alors son poitrail s’embraser.
Une autre légende : se posant sur l'épaule du Christ lors de la Crucifixion, un rouge-gorge essuya ses larmes, puis avec son bec, il retira les épines de la couronne qui lui blessait la tête. Une goutte de sang tomba alors sur la gorge de l’oiseau
Liste des espèces
Rouge-gorge d'Alexander (Sheppardia poensis)
Rouge-gorge de Bocage (Sheppardia bocagei)
Rouge-gorge équatorial (Sheppardia aequatorialis)
Rouge-gorge étoilé (Pogonocichla stellata)
Rouge-gorge familier (Erithacus rubecula)
Rouge-gorge de forêt (Stiphrornis erythrothorax)
Rouge-gorge de Gabela (Sheppardia gabela)
Rouge-gorge de Gunning (Sheppardia gunningi)
Rouge-gorge de l'Iringa (Sheppardia lowei)
Rouge-gorge du Japon (Erithacus akahige)
Rouge-gorge merle (Sheppardia cyornithopsis)
Rouge-gorge de Sharpe (Sheppardia sharpei)
Rouge-gorge de Swynnerton (Swynnertonia swynnertoni)
Rouge-gorge des Usambara (Sheppardia montana)
Les espèces suivantes ont le terme « rouge-gorge » comme dénomination spécifique :
Tourco rougegorge
Séricorne rougegorge
Accenteur rougegorge
Monarque rougegorge
Tangara rougegorge
Chipiu rougegorge
Sporophile rougegorge
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Le Padda de Java (Lonchura oryzivora), aussi nommé Padda oryzivore, Calfat de Java ou encore Moineau de Java, est une petite espèce de passereau la famille des Estrildidae.
Description
Cet oiseau mesure environ 15 cm de longueur. Il présente un léger dimorphisme sexuel : la femelle étant notamment un peu plus petite que le mâle.
Le plumage est dans l'ensemble gris bleu pâle avec la tête noire (calotte plus étroite chez la femelle), tout comme la queue, et les joues blanches. Le bec est rose et nettement conique chez la femelle, plus rouge et élargi à la base chez le mâle. Les yeux sont marron et les pattes rose chair.
Répartition
Cet oiseau se trouve sur certaines îles d'Indonésie (Java, Bali et Bawean). Oiseau de cage populaire, il a été introduit dans de nombreux autres pays : Sri Lanka, sud de la Birmanie, Zanzibar, Sainte-Hélène, Hawaii, etc.
Habitat
Cette espèce fréquente les rivières et les bambous.
Comportement
Cet oiseau vit en grandes bandes.
Synonymes
Padda oryzivora
Variétés domestiques
Seul un individu des variétés blanche, brune, opale ou pastel, issu d'élevage, est considéré comme étant un animal domestique en droit français. Les autres formes de cet oiseau relèvent donc de la législation concernant les animaux sauvages
Symbolique
Cet oiseau est emblématique des pickpockets, des devins, des diseurs de bonne-aventure. Il a donné son nom au film de Johnnie To Sparrow (en cantonais : 文雀, Man jeuk).
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Les abeilles (Anthophila) forment un clade d'insectes hyménoptères de la super-famille des Apoïdes. Au moins 20 000 espèces d'abeilles sont répertoriées sur la planète dont environ 2 000 en Europe et près de 1 000 en France. En Europe, l'espèce la plus connue est Apis mellifera qui, comme la plupart des abeilles à miel, appartient au genre Apis. Cependant, la majorité des abeilles ne produit pas de miel, elles se nourrissent du nectar des fleurs. Une abeille d'hiver peut vivre jusqu'à 10 mois, tandis qu'une abeille d'été peut vivre jusqu'à un mois
Les abeilles peuvent être classées selon leur mode de vie : abeilles domestiques ou sauvages, solitaires ou bien sociales, etc. Elles sont nettement distinctes des guêpes par leur morphologie et leur comportement, notamment leur alimentation. Les bourdons en revanche sont un groupe particulier d'abeilles
Les abeilles, et les autres espèces de pollinisateurs, sont actuellement gravement menacées, avec un taux d'extinction qui est « de 100 à 1 000 fois plus élevé que la normale », selon l'ONU. Lors de la Journée mondiale des abeilles, le 20 mai 2019, l'ONU a détaillé les principales causes du déclin des pollinisateurs : l'utilisation de pesticides, la monoculture, les pratiques agricoles intensives, le changement climatique, le changement d'affectation des terres et la destruction des habitats
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Alces est un genre de mammifères ruminants de la famille des Cervidés, dont les représentants sont communément appelés élan (pour les individus de Sibérie et de Scandinavie) et orignal (pour les individus d'Amérique du Nord). Ces animaux, dont les bois sont aplatis en éventail, sont les plus grands des cervidés actuels.
Historiquement, le genre Alces était considéré comme monotypique, comprenant uniquement l'espèce Alces alces, elle-même divisée en plusieurs sous-espèces, mais certains spécialistes proposent aujourd'hui de considérer les populations d'Amérique du Nord et d'Eurasie comme des espèces distinctes, dont les noms scientifiques respectifs seraient Alces americanus et Alces alces
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Triceratops est un genre éteint célèbre de dinosaures herbivores de la famille des cératopsidés qui a vécu à la fin du Maastrichtien, au Crétacé supérieur, il y a 68 à 66 millions d'années, dans ce qui est maintenant l'Amérique du Nord.
Il a été l'un des derniers dinosaures non-aviens vivants avant leur disparition lors de la grande extinction Crétacé-Paléogène
Ayant une grande collerette osseuse, trois cornes et quatre grandes pattes, et montrant des similitudes avec le rhinocéros, le tricératops est l'un des dinosaures le plus reconnaissable et le genre le plus connu des cératopsidés. Il a notamment vécu à la même période que le redoutable tyrannosaure dont il était la proie
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Le Mégalodon (Otodus megalodon) est une espèce éteinte de requins lamniformes ayant vécu du Miocène (Aquitanien) au milieu du Pliocène (Zancléen), il y a entre 23 et 3,6 millions d'années, bien que d'autres estimations fixent sa date d'extinction au Pléistocène inférieur (Calabrien) soit il y a 1,6 million d'années. La classification et la disparition du mégalodon, qui n'est connu que par ses dents, sont l'objet de débats : appartient-il à la famille des Lamnidés (comme le grand requin blanc Carcharodon carcharias qui pourrait alors être une forme devenue « naine » faute de proies suffisantes) ou bien à la famille éteinte des Otodontidés (c'est cette dernière hypothèse qui semble prévaloir de nos jours). Des divergences subsistent en ce qui concerne son genre : Carcharocles, Megaselachus, Otodus ou encore Procarcharodon. Le genre le plus admis aujourd'hui est Otodus.
Les scientifiques suggèrent que le Mégalodon serait soit une version trapue et géante du grand requin blanc, soit un proche du requin pèlerin ou du requin-taureau. Considéré comme l'un des prédateurs marins les plus importants et les plus puissants à avoir jamais existé, les dents fossiles de mégalodon suggèrent qu'il aurait pu atteindre une longueur de 14,2 à 20,3 mètres, avec une taille moyenne de 10,5 mètres, ce qui en fait l'un des plus grands poissons de l'histoire, en rivalité avec le requin-baleine et Leedsichthys. En se basant sur les mâchoires de requins actuels, celles du Mégalodon pouvaient exercer une force de morsure allant de 108 500 à 182 200 newtons (soit environ 11-18,5 tonnes-force), ce qui en fait la plus puissante de tout le règne animal. Ses dents étaient épaisses et robustes, conçues pour saisir les proies et briser les os.
Le Mégalodon a probablement eu un impact majeur sur la structure des communautés marines. Les fossiles indiquent qu'il avait une répartition cosmopolite. Il ciblait probablement de grandes proies, telles que les baleines, les phoques et les tortues de mer. Les juvéniles habitaient les eaux côtières chaudes où ils se nourrissaient de poissons, de petits cétacés et de pinnipèdes. Contrairement au grand requin blanc, qui mord les parties molles de ses proies, le mégalodon a probablement utilisé sa forte mâchoire pour percer la cavité thoracique et toucher ses proies au cœur et aux poumons.
L'animal a eu à faire face à la concurrence de cétacés carnivores se nourrissant de baleines, tels que Livyatan, Hoplocetus et d'autres cachalots, qui ont persisté jusqu'au Pliocène. Des orques ancestraux telles qu'Orcinus citoniensis, apparues au milieu du Pliocène, ont également été citées comme concurrentes du requin, bien qu'elles soient plus petites que les orques contemporaines. Comme le mégalodon préférait les eaux chaudes, on pense que le refroidissement océanique associé au début des périodes glaciaires, ainsi que l’abaissement du niveau de la mer et la perte des zones de reproduction adaptées, pourrait avoir contribué à son déclin. Une réduction de la diversité des baleines à fanons et un déplacement de leur répartition vers les régions polaires pourraient avoir réduit la principale source de nourriture du mégalodon. La disparition du Mégalodon a affecté d'autres animaux : par exemple, la taille des baleines a considérablement augmenté après la disparition du requin.
Description
Le Mégalodon est principalement connu grâce aux multiples glossopètres (dents) et quelques vertèbres fossilisées que l'on a retrouvées. Il s'agit, au même titre que les requins modernes, d'un poisson cartilagineux, c’est-à-dire dont le squelette est constitué de cartilage et non pas d'os, ce qui explique pourquoi peu de squelettes fossilisés ont été retrouvés. Cependant, les grandes dents du Mégalodon ont traversé les âges et s'avèrent similaires en de nombreux points à celles du grand requin blanc. Elles mesuraient jusqu'à 20,3 centimètres pour les plus longues jamais trouvées et étaient plus larges qu'une paume de main. Des études ont suggéré que le mégalodon était un proche parent du Grand requin blanc actuel, mais un nombre croissant de chercheurs contestent cette proche parenté et voient dans les similarités dentaires le fruit d'une évolution convergente. Néanmoins, ce sont des extrapolations entre la taille des dents de Mégalodons et celles de requins modernes qui ont permis d'évaluer les caractéristiques de ce prédateur. La taille de ce requin est depuis toujours un sujet de débat, mais voici les extrapolations les plus récentes :
La première reconstitution de mâchoire de Mégalodon date de 1909 au Muséum américain d'histoire naturelle. Le professeur Dean Bashford avait monté une mâchoire mesurant 2,70 m de hauteur et 1,80 m de large, pour des dents de 12 cm. L'animal était censé mesurer 24 mètres. On sait aujourd'hui que la mâchoire est incorrecte car fondée sur une mauvaise connaissance du ratio entre les dents et la longueur du corps. Dans les années 1980 et début 1990, plusieurs scientifiques ont ramené la taille du Mégalodon à 13 et 12 mètres de long.
Le prothésiste dentaire et paléontologue Daniel Pouit effectue en 1991 la 1re reconstitution européenne de mégalodon pour le Bioparc de Doué-la-Fontaine, commune déléguée de Doué-en-Anjou (Maine-et-Loire, France) à partir de dents des faluns (sables coquilliers) d'Anjou-Touraine du Miocène moyen et supérieur. La plus grande dent des faluns d'Anjou mesure 16 cm dans sa hauteur (dent antérieure de la mâchoire supérieure) et la mâchoire reconstituée d'1,80 m d'ouverture buccale avec 150 dents pour 3 rangs de dents fonctionnelles.
En 1996, le paléontologue Mike Gottfried et son équipe ont procédé à une nouvelle étude, basée sur une dent antérieure de la mâchoire supérieure de 16,5 cm. En calculant le ratio exact avec les dents du grand requin blanc, ils sont parvenus à une longueur de 15,90 mètres pour le propriétaire de cette dent. Par ailleurs, l'aspect massif des dents du mégalodon et la forme de toute la denture disponible, des dents de la mâchoire supérieure aux plus petites latérales, ainsi que l'étude des rares vertèbres retrouvées leur ont permis de donner un aspect plus précis de l'animal. Selon ces considérations, le mégalodon était beaucoup plus massif en proportion que le grand requin blanc, pesant près de 50 tonnes pour un animal de 15 mètres. Son corps était plus musclé, ses mâchoires étaient plus larges à cause de l'absence des deux dents latérales légèrement atrophiées que le requin blanc possède. Son museau plus trapu, ses nageoires pectorales plus développées. Son nombre de vertèbres aurait aussi été plus élevé. Le mégalodon possédait l'allure d'un gigantesque Carcharodon carcharias « bodybuildé ». Mike Gottfried a par ailleurs hypothétiquement estimé, en se basant sur les plus grands individus de requins blancs actuels, que les plus grands Mégalodons atteignaient 20,2 mètres.
Le collectionneur renommé Vito Bertucci, ayant étudié les dents de requins fossiles pendant plus de 20 années, avait retrouvé en 2002 une dent latérale de plus de 18 cm, les plus grandes dents étant celles sur la mâchoire supérieure. Bertucci était d'ailleurs à l'origine de la plus grande reconstruction de mâchoire au monde ; mesurant 3 m de hauteur et 3,30 m de large, elle contient 182 dents, dont les plus grandes dépassaient 18 cm. Le spécimen qui aurait porté cette mâchoire était estimé avoir mesuré plus de 22 mètres pour Bertucci.
Le spécialiste des requins Cliff Jeremiah a quant à lui établi une méthode d'estimation basée sur la largeur totale des dents antérieures de la mâchoire supérieure. Il estime que pour chaque centimètre en largeur de dent, il y a approximativement 1,37 mètre de longueur de corps. Une dent de Mégalodon large de 12 centimètres proviendrait donc d'un individu mesurant environ 16,4 mètres. À noter qu'un certain nombre de dents dépassent ces dimensions.
Mais d'après les techniques de mesure scientifiques les plus étudiées, celle de Mike Gottfried en se basant sur la longueur de la dent et celle de Cliff Jeremiah en utilisant la largeur de la racine, il apparaît que si la taille du mégalodon a longtemps été débattue et erronée, à la suite d'une mauvaise connaissance de la physiologie des requins lamnoïdes à l'époque, les experts actuels accordent généralement au Mégalodon une taille à l'âge adulte de 15,9-20,3 mètres, et un poids compris entre 40 et 60 tonnes. C'est largement supérieur aux dimensions des plus grands cachalots et reptiles marins connus du mésozoïque (à l’exception peut être des plus grands ichtyosaures). Le Mégalodon est de ce fait couramment considéré comme le plus grand macroprédateur marin fossile connu.
Le Mégalodon semble avoir possédé une mâchoire puissante. Une équipe de paléontologues australiens dirigée par le docteur Stephen Wroe, a mené une série d'études sur ordinateur pour connaitre la puissance exercée par le grand requin blanc et son cousin fossile le mégalodon. Il apparaît que là où Carcharodon carcharias possède une morsure estimée à 2 tonnes/cm2 de pression, la morsure du mégalodon aurait été 6 à 10 fois supérieure, soit entre 12 et 20 tonnes/cm2 de pression, suffisant pour arracher une nageoire ou broyer la cage thoracique d'une baleine de taille moyenne. Le Mégalodon posséderait ainsi la plus puissante morsure du règne animal. De nos jours, la plus puissante morsure du règne animal appartient à l'alligator du Mississippi, suivi par les crocodiles, l'orque et enfin le grand requin blanc.
Étymologie et dénomination
D'après les récits de la Renaissance, on pensait autrefois que les dents fossiles gigantesques et triangulaires souvent trouvées incrustées dans des formations rocheuses étaient les langues pétrifiées de dragon et de serpents, et on leur donnait le nom de glossopetrae. Cette interprétation a été corrigée en 1667 par le naturaliste danois Nicolas Steno, qui les a identifié comme des dents de requin et a publié une représentation célèbre d'une tête de requin portant de telles dents. Il a décrit ses découvertes dans le livre The Head of a Shark Dissected, qui contenait également l'illustration d'une dent de mégalodon.
Le naturaliste suisse Louis Agassiz a donné à ce requin son nom scientifique, "Carcharodon megalodon", dans son ouvrage de 1843 "Recherches sur les poissons fossiles", basé sur des dents fossilisées Le paléontologue anglais Edward Charlesworth, dans son article publié en 1837, utilisa le nom de Carcharias megalodon en citant Agassiz comme auteur, indiquant qu'Agassiz avait décrit l'espèce avant 1843. En 1928, le paléontologue anglais Charles Davies Sherborn a énuméré une série d'articles d'Agassiz publiés en 1835 contenant la première description scientifique du requin. Le nom spécifique Megalodon se traduit par "grosse dent", de grec ancien : μέγας et οδόντος ( odontús ), « dent ». Les dents du Mégalodon sont morphologiquement similaires à celles du grand requin blanc et, sur la base de cette observation, Agassiz a mis le mégalodon dans le genre Carcharodon.
Répartition géographique
Répartition des fossiles de Mégalodon.
Des dents de Mégalodon ont été retrouvées dans les quatre coins du monde (Europe, Asie de l'Est, Amérique, Caraïbes et dans l'Océanie), ce qui indique, comme certains requins actuels, qu'il devait avoir une répartition cosmopolite.
Taxinomie
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Relation entre le mégalodon et d'autres requins, y compris le grand requin blanc ( Carcharodon carcharias ). |
Bien que les premiers restes connus de mégalodon remontent à l'Oligocène supérieur, il y a environ 28 millions d'années, un désaccord subsiste quant à sa date d'apparition, avec des dates pouvant aller jusqu'à 16 millions d'années. Les auteurs pensaient que le mégalodon s'était éteint vers la fin du Pliocène, il y a environ 2,6 millions d'années, parce que les allégations relatives aux dents de mégalodon du Pléistocène, âgées de moins de 2,6 millions d'années, sont considérées comme non fiables. Une évaluation plus récente remet la date d'extinction au début du Pliocène, il y a 3,6 millions d'années.
Le Mégalodon est maintenant considéré comme un membre de la famille Otodontidae, au genre Otodus et au sous-genre Megaselachus, par opposition à sa classification antérieure dans la famille Lamnidae et le genre Carcharodon. La classification du mégalodon dans Carcharodon était due à une similitude dentaire avec le grand requin blanc, mais la plupart des auteurs pensent actuellement que cela est dû à une évolution convergente. Dans ce modèle, le grand requin blanc est plus étroitement apparenté au requin mako à grandes dents (†Cosmopolitodus hastalis) qu'au Mégalodon, comme en témoigne une dentition plus semblable chez ces deux requins. Les dents du mégalodon ont des dentelures bien plus fines que les dents du grand requin blanc. Ce dernier est plus étroitement apparenté au requin mako (Isurus spp.) avec un ancêtre commun autour de 4 millions d'années, tandis que le Mégalodon est apparenté à Otodus obliquus.
Le genre Palaeocarcharodon a été créé à côté de Procarcharodon qui représente le début de la lignée et dans lequel le mégalodon et le grand requin blanc sont étroitement liés à leur dernier ancêtre commun. Il est supposé être une impasse évolutive sans rapport avec les requins Carcharocles par les auteurs qui rejettent ce modèle.
Le genre Otodus contient actuellement 12 espèces qui sont :
† Otodus aksuaticus
† Otodus limhamnensis
† Otodus minor
† Otodus naidini
† Otodus obliquus
† Otodus poseidoni
† Otodus megalodon
† Otodus chubutensis
† Otodus aksuaticus
† Otodus auriculatus
† Otodus sokolovi
† Otodus angustidens
Mais le sous-genre Megaselachus ne contient que Otodus (Megaselachus) megalodon
Le genre Charcharocles est désormais souvent considéré comme invalide, et le mégalodon peut appartenir au genre Otodus, le rendant ainsi Otodus megalodon. Une étude réalisée en 1974 sur les requins paléogènes par Henri Cappetta a créé le sous-genre Megaselachus, classant le requin dans Otodus (Megaselachus) megalodon, ainsi que O. (M.) chubutensis.
Extinction
On ignore les causes de son extinction, mais son temps d'existence, Miocène et Pliocène, correspond en grande partie à celui du pélagornis, oiseau marin de 7 mètres d'envergure, et on peut supposer que leur disparition est peut-être liée et due à la raréfaction de leurs proies, des poissons de grande taille, elle-même liée au refroidissement du climat durant le Pliocène. En effet, n'importe quelle perturbation prolongée de la chaîne alimentaire est à même d'éradiquer un prédateur ayant de tels besoins métaboliques.
Si l'on suppose qu'il se nourrissait principalement de dugongs et cétacés, on peut penser que le Carcharocles megalodon s'est éteint lorsque les mers polaires, en se refroidissant, devinrent trop froides pour les requins, mais purent constituer un refuge pour les cétacés à sang chaud. L'émergence de grands cétacés prédateurs chassant en groupe tels que l'orque n'a pas contribué à l'extinction du mégalodon, mais ces espèces ont pu profiter de la raréfaction du grand requin. Contrairement à lui, les orques ont la capacité de vivre en eau glaciale.
Il n'y a pas d'indices d'une concurrence entre les orques et le mégalodon. Durant le règne du requin, aucun mammifère marin carnivore ne l'a supplanté, mais des espèces de cétacés carnivores comme les orques sont apparues, et d'autres ont disparu avant l'extinction du mégalodon. Il est possible que ce soient d'autres requins plus petits et mieux adaptés à la chasse aux proies plus modestes, mais plus nombreuses (pinnipèdes, poissons pélagiques) qui ont concurrencé le mégalodon, trop grand et trop spécialisé dans la chasse aux grands cétacés qui purent se réfugier aux pôles.
Autre supposition : le début des glaciations, en provoquant l'abaissement du niveau marin, aurait fait émerger, donc disparaître en tant que milieux marins, les larges plates-formes épicontinentales peu profondes où le mégalodon se reproduisait et grandissait, dans les herbiers à l'abri des prédateurs du large (dont les adultes de sa propre espèce).
Le mégalodon et l'homme
Quelques cryptozoologistes ont suggéré que le requin aurait bien pu disparaître plus récemment, voire être encore vivant, alors qu'on n'en trouve pas de trace plus récente que 1,6 million d'années. Passant outre le fait qu'une dent est l'élément squelettique le plus solide, le mieux conservable, et le plus long à se minéraliser (fossiliser), ils avancent les arguments suivants :
à la fin du XIXe siècle, le navire océanographique Challenger aurait remonté des fonds du Pacifique des dents longues de 12,5 cm (ce qui est nettement supérieur aux 7,5 cm en moyenne chez les requins blancs que nous connaissons), vieilles seulement de 10 000 ans et non-fossilisées ;
des dents vieilles de seulement 5 000 ans auraient été retrouvées non-fossilisées au large de la côte australienne (état de Victoria) ;
Pierre Clostermann rapporte dans son livre Des poissons si grands (1969) un incident survenu 15 ans auparavant au large de Timor (Indonésie), et attribué à un gigantesque requin blanc : « [...] en mars 1954, le cotre australien Rachel Cohen passait en cale sèche à Adélaïde pour un carénage. 17 dents de Carcharodon carcharias ayant en moyenne 8 cm à la base et 10 cm du collet à la pointe, furent extraites de la quille en bois, juste à l'aplomb de l'arbre d'hélice tordu. Le demi-cercle décrit par l'implantation des dents et des traces avait pratiquement un mètre de rayon ! » « Le capitaine du Rachel Cohen se souvenait d'un choc nocturne violent lors d'une tempête au large de Timor et avait conclu à une collision avec un des nombreux troncs d'arbre flottant dans cette mer. » « Les ichtyologues australiens ont attribué environ 24 m de long au possesseur d'une telle denture, attiré probablement, comme cela est très fréquent, par les reflets de l'hélice. ». L'estimation faite sur la taille du spécimen reste relative aux connaissances de l'époque ;
le biologiste marin David George Stead (en) a mentionné plusieurs observations de requins blancs de grande taille dans les eaux australiennes : « En mai 1939, au cours de discussions dans la presse de Sydney au sujet de la taille des requins, le capitaine J. S. Elkington du Queensland m'écrivit pour me parler d'une observation qu'il fit en 1894 d'un grand requin au large de Townsville Breakwater. (Je puis mentionner que le capitaine Elkington a passé une partie considérable de sa vie au service de la mer, et a toujours été un observateur avisé de la nature.) Il disait que pendant que la chaloupe de 35 pieds [10,5 m] dans laquelle il était se trouvait à l'arrêt durant une demi-heure, ce requin resta à dix pieds [3 m] de la chaloupe, lui donnant l'ample occasion de l'observer. "Ce n'était pas un requin pèlerin, écrivait-il, mais un vrai de type blanc ou jaunâtre, qui se projetait de quelques pieds au moins au-delà de chaque côté de la chaloupe. Cet observateur connaissait le requin pèlerin et il était sûr que celui qu'il avait vu était le grand requin blanc. »,
la chaîne de télévision Discovery Channel a diffusé en août 2013 un documentaire intitulé « Megalodon: The Monster Shark Lives », soit « Mégalodon, le requin monstrueux est vivant ». Ce documentaire était censé apporter des preuves de l'existence contemporaine du mégalodon, en particulier la photo d'un sous-marin U-Boat avec en arrière-plan l'aileron d'un requin espacé de 64 pieds (près de 20 m) de sa nageoire caudale. Outre le fait que la taille du spécimen serait alors largement supérieure à toutes les estimations de mensurations maximales, il a été démontré que la photo était truquée car construite à partir d'un film où l'aileron ne figure pas.
Deux des dents récoltées par le HMS Challenger en 1875 en Polynésie française ont été datées par Tschernezky Wladimir en 1959. Il a mesuré les croûtes de dioxyde de manganèse présentes sur les dents et en déduisit qu'une des dents a 11 333 ans et l'autre 24 206 ans. Cependant, plusieurs critiques peuvent être apportées à cet article. Tout d'abord, le texte comporte une erreur de calcul : la dent N2 est datée de 24 206 ans alors qu'une fois le calcul revérifié, elle aurait plutôt 24 267 ans. Ajoutons que l'auteur n'utilise que la valeur minimale de précipitation donnée par Pettersson (1955) qui est de 0,15 mm de dioxyde de manganèse en 1 000 ans. Le chiffre maximal (de 1,4 mm pour 1 000 ans) donne donc les âges suivants : 1 214 ans pour la dent N1 et 2 600 ans pour la dent N2. Enfin, Tschernezky s'est trompé dans sa conclusion. Par une telle procédure, il n'a pas daté l'âge des dents, mais le temps de formation des croûtes de dioxyde de manganèse et, par conséquent, le temps d'exposition des dents sur le fond océanique. Notons également que les chiffres donnés par Pettersson sont des chiffres établis dans des conditions physico-chimiques et biologiques bien précises, et que donc les temps de formation sont à prendre avec beaucoup de précautions. La seule méthode de datation viable serait une étude approfondie des roches sédimentaires des fonds marins, plaçant ainsi les dents de mégalodon dans un contexte géologique rigoureux.
Concernant les tailles extraordinaires, il faut signaler que, pendant des décennies, des captures de requins blancs de plus de 10 m voire 11 m ont été signalées : les vérifications scientifiques ont toutefois établi que ces dimensions étaient exagérées, et qu'aucun requin atteignant 7 m n'a jamais été capturé. Toutefois, le record de taille et de poids d'un grand requin blanc, a été établi lors d'une prise en Méditerranée, au large de la Tunisie, soit : 7,10 m de longueur, pour une masse de 1 500 kg. Il s'agissait très probablement d'une femelle. Précisons aussi que le grand requin blanc est un requin d'eau froide et tempérée. Grand nageur (nageoire caudale homocerque), il est plutôt donné pour un requin côtier.
En fait, aucune preuve ne soutient ces allégations, considérées comme fantaisistes d'un point de vue scientifique, mais dignes de la fascination que les grands requins exercent dans la culture populaire.
Culture populaire
Le Mégalodon est bien connu du public, car étant plus grand que le grand requin blanc, il est perçu comme plus dangereux et redoutable.
Le Mégalodon est très apprécié des scénaristes, notamment pour les films d'horreur comme Shark Attack 3: Megalodon ou bien Mega Shark vs Giant Octopus, mais leur taille y est, le plus souvent, exagérée. Le Mégalodon est au centre de l'histoire de l'album de bande dessinée Carthago (actuellement 8 volumes), qui reprend l'hypothèse de la survie de l'espèce jusqu'à nos jours, et fait référence à diverses découvertes de fossiles récents de mégalodon. Il est aussi présent en tant que « easter eggs » dans le jeu vidéo Battlefield 4. Après une quasi absence au cinéma depuis 2002 (les apparitions étant majoritairement dans des direct-to-video ou à la télévision), il y marque son retour en apparaissant en 2018 dans le film En eaux troubles dans lequel il est l'antagoniste principal ; sa taille y est, pour une fois, proche de celle de la réalité.
On peut également voir le Mégalodon dans le docu-fiction produit par la BBC Les Monstres du fond des mers, où il est incorrectement désigné comme l'ancêtre du grand requin blanc.
Les œuvres cinématographiques ou télévisuelles suivantes mettent en scène un ou plusieurs Mégalodons :
2001 : Shark Hunter de Matt Codd
2002 : Shark Attack 3: Megalodon de David Worth
2003 : La Chasse au Requin Tueur (Hai Alarm Auf Mallorca) de Jorgo Papavassiliou
2003 : Les Monstres du fond des mers (Sea Monsters) (série documentaire), épisode 3e océan le plus dangereux de tous les temps
2004 : Killing Sharks (Megalodon) de Pat Corbitt
2009 : Psycho shark de John Hijiri
2009 : Mega Shark vs. Giant Octopus (Mega Shark Versus Giant Octopus) (direct-to-video) de Jack Perez
2010 : Mega Shark vs. Crocosaurus (direct-to-video) de Christopher Douglas-Olen Ray
2011 : Super Shark de Fred Olen Ray
2012 : Sharkzilla (téléfilm) de Michael J. Miller, John Tindall et John Blush
2014 : Mega Shark vs. Mecha Shark (direct-to-video) de Christopher Douglas-Olen Ray
2015 : Mega Shark vs. Kolossus (direct-to-video) de Christopher Douglas-Olen Ray
2016 : Sous les mers (série d'animation), épisode Étrange migration (Strange Migration) - La famille Nekton découvre deux mégalodons, un mâle et une femelle, encore vivants.
2018 : En eaux troubles (The Meg) de Jon Turteltaub
2018 : Megalodon de Pat Corbitt, avec Michael Madsen
Dans le jeu arcade de Sega The Ocean Hunter (1998), l'un des boss, le second, est un mégalodon nommé « Léviathan », créé par une divinité appelée « Rahab » pour contrôler la mer "Luna Sea", le second niveau.
Dans Jaws Unleashed (2005), le requin que le joueur incarne, bien qu'identifié comme un grand requin blanc, a une taille exagérée (un humain peut tenir entier dans sa mâchoire) et proche de celle d'un mégalodon.
Dans le jeu Endless Ocean 2 : Aventuriers des fonds marins (2009), l'un des animaux légendaires récurrents, Thanatos, est un immense requin insensible aux effets du pulsar (arme qui délivre des décharges électriques) ; bien qu'étant identifié comme un grand requin blanc, sa taille laisse à penser qu'il s'agit d'un mégalodon.
Dans Jaws Ultimate predator (2011), le requin que contrôle le joueur fait face à un mégalodon dans l'un des niveaux du jeu.
Dans les applications Android Jurassic Park Builder (2012) et Jurassic World le jeu, il est possible de faire évoluer des Mégalodons.
Dans la franchise Hungry Shark, comme Hungry Shark Evolution (2012) et Hungry Shark World (2016), il est possible d'obtenir le Mégalodon.
Dans Battlefield 4 (2013), le Mégalodon est présent comme "easter egg" dans l'une des cartes du jeu, pour le faire apparaître, il suffit qu'un nombre déterminé de joueurs se tiennent près d'une balise, en mer, pour que le requin apparaisse et les écrase.
Dans le jeu Stranded Deep (2015), le joueur peut rencontrer et tuer des mégalodons.
Dans Ark: Survival Evolved (2017), l'un des animaux marins que le joueur peut rencontrer parmi le bestiaire du jeu est le Mégalodon, qu'il peut apprivoiser.
Le mégalodon est présent en tant que boss dans le jeu Sea of Thieves (2018).
Dans le jeu Maneater (2020), l'évolution ultime du requin-taureau que le joueur incarne est le Mégalodon.
Dans le jeu sur Steam Depth, il existe un mode dans lequel des plongeurs doivent tuer un Mégalodon, le joueur qui achève la créature se voit permis d'incarner cette dernière.
Dans le jeu sur Steam Feed and Grow: Fish, des Mégalodons apparaissent dans une zone de la carte Océan.
Des Mégalodons apparaissent quelquefois dans les aventures du super-héros DC Aquaman.
Le grand requin blanc est également le thème dans Carthago, série de bande dessinée fantastique française dessinée par Éric Henninot et écrite par Christophe Bec depuis 2007.
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Le coq est le représentant mâle adulte de plusieurs espèces d'oiseaux, presque exclusivement de galliformes, en particulier le coq domestique, issu du coq bankiva. Sa femelle est la poule. Certaines espèces portent ce qualificatif dans leur nom vernaculaire comme le Coq de bruyère, Coq de Java, Coq de Lafayette, Coq de Sonnerat. Le Coq-de-roche péruvien est le nom donné à un passereau sud-américain. Chez ces espèces, le dimorphisme sexuel est assez marqué.
Le coq domestique (ainsi que le paon) ont été introduits en Europe par l'Asie Mineure autour des VIIe – VIe siècles av. J.-C. Le premier devient un animal domestique commun et élevé pour la consommation par les humains à partir du Ve siècle av. J.-C.
L'onomatopée cocorico, imitant le cri du coq domestique, serait à l'origine du terme
Exemples de mâles
Coq domestique
Coq faisan, plusieurs espèces
Coq de bruyère, ou grand Tétras
Petit coq de bruyère ou tétras lyre
Coq de perdrix
Coq de roche
Coq d'Inde : synonyme vieilli pour dindon
Chant et transcriptions
La poule caquète, le poussin pépie, le coq chante. Selon les langues et les pays, la transcription phonétique de son chant prend des formes très différentes. Le chant du coq est inné, il n'est pas appris.
En français, le chant du coq est traduit par l'onomatopée cocorico.
Kikeriki en allemand.
Cock-a-doodle-do en anglais
Kokokog et Kekele en breton.
唂唂唂 en cantonais.
咕咕咕 en chinois standard.
Quiquiriquí en espagnol.
kukuruku en basque.
Kokeriko en espéranto.
Koukourikou en grec.
Kukuruyuk en indonésien.
Mac na hóighe slán en irlandais.
Chicchirichi en italien.
Kokekoko en japonais.
Kokodiako en kikongo
Kukeleku en néerlandais
Cocorococo en portugais, et cocoricó au Brésil.
Cucuriguuu en roumain.
Koukarekou en russe.
Kuckeliku en suédois.
Ky-ky-ri-ký en tchèque.
Ake-e-ake-ake en thaï.
Ò-ó-o-o en vietnamien.
Kokioo en coréen
koukouyoukou en créole haïtien.
Kokouukuuu en Arabe marocain
Gaggalagaggalagó en islandais
Ü-ürrü-Ü en turc
« Cocorico » est utilisé par certains Français pour manifester leur chauvinisme, probablement parce que ce cri est interprété comme une manifestation d'orgueil de la part du coq, mais surtout parce que le coq gaulois est devenu un emblème du pays.
Avant l'invention de l'horloge mécanique et de la montre, le cri du coq a longtemps servi pour donner l'heure (heure solaire), dans toute l'Eurasie et parfois de manière quasi-légale. Ainsi l'une des lois sultaniennes de l'empire ottoman (le kânûn) édictée par Mehmed II (le conquérant de Constantinople), décrétait qu'à propos des moulins dont les roues tournent dans ses états : « Les meuniers seront surveillés. Il est interdit d’élever des poules dans un moulin afin que la farine et le blé des particuliers ne subissent de dommages. On gardera tout au plus un coq pour connaître l’heure. »
Le coq, comme les passereaux, produit un premier pic sonore à l'aube et un dernier au crépuscule avec un petit creux en cours de journée, mais il chante (à un niveau sonore de 50 à 60 dB) toute la journée. On remarque plus son chant à l'aube car il émerge alors du « bruit de fond » présent dans la journée
Le coq gaulois est un symbole national de la France.
Le coq hardi est le symbole du Mouvement wallon, de la Communauté française de Belgique et de la Région wallonne.
Le coq de Barcelos est un symbole national du Portugal.
Le club de football anglais Tottenham Hotspur a le coq pour emblème.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Coq | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
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Coq | |||||||||||||||||||||||||||
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