Monde : Japon
Logo officiel des produits Walkman de Sony depuis l'année 2000. Le slogan quelques fois apposé en dessous du logo est « Every moment has its music ».
Walkman est une marque déposée par l'entreprise Sony qui historiquement désigne les baladeurs à cassette qu'elle a vendus depuis 1979.
La présence de Sony sur ce marché était telle que le mot « Walkman » est devenu un terme générique pour désigner les baladeurs (ce dernier terme, alors inexistant, a été proposé depuis pour remplacer « Walkman »). Littéralement, ce terme anglais inventé au Japon est composé de « walk » (« marche ») et « man » (« homme »), il exprime donc le fait qu'une personne puisse utiliser l'appareil tout en se déplaçant.
Ce tout nouveau lecteur de cassettes portable est mis sur le marché japonais en 1979 sous le nom de « Walkman », nom proposé par Kozo Ohsone, le directeur du développement, en référence au produit précédent de la marque, le Pressman. Le stock initial est liquidé en un mois et Sony se prépare à porter son produit sur les marchés européens et américain. Il est décidé de renommer l'appareil « Freestyle » en Suède, « Storaway » au Royaume-Uni, et « Soundabout » aux États-Unis. C'est pendant une visite à Paris, que le vice-président de Sony, Akio Morita, décide de conserver le nom original car des enfants de ses employés lui demandèrent quand ils pourraient acheter leurs Walkman.
Au cours des années, Sony a déposé plusieurs noms de marques finissant tous par le suffixe « -man » : Walkman, Pressman, Watchman (en), Scoopman (en), Discman, et Talkman (en). Ces noms désignaient plusieurs appareils qui formaient une gamme de produits portatifs. Le terme « Walkman » étant celui qui a connu le plus de succès, la firme a choisi de l'utiliser désormais pour désigner tous ses différents produits audio portatifs (baladeurs cassette, baladeurs CD, baladeurs numériques, puis les téléphones portables de marque Sony Ericsson). Le terme « Discman », qui désignait notamment les baladeurs CD, a été abandonné à la fin des années 1990.
Monju est un réacteur à neutrons rapides et à caloporteur sodium japonais de 246 mégawatts électriques en cours de démantèlement. Sa construction avait commencé en 1985 et s'est achevée en 1991. Il a été mis en service en 1994 puis définitivement abandonné en décembre 2016, après avoir fonctionné seulement 250 jours pendant ces 22 années, pour un coût total de 8 milliards d’euros. Son nom fait référence à Manjushri.
Le réacteur de Monju est le premier réacteur à neutrons rapides (RNR) construit par Mitsubishi, et refroidi par du sodium liquide, élément particulièrement difficile à gérer en cas d'incendie. En cela, il est similaire au réacteur français Phénix. Il est à noter que le sodium a été fourni par la société française Métaux Spéciaux - MSSA.
Il est mis à l'arrêt en 1995 en raison d'un accident pendant lequel une fuite de sodium a provoqué un important incendie. Sa remise en service, initialement envisagée fin 2008, est réalisée le 6 mai 2010, en dépit de la controverse menée par des groupes de citoyens et des journaux s'opposant au projet. Le réacteur poursuit alors une phase de recherche dans l'objectif d'être pleinement opérationnel au printemps 201En août 2010, un autre accident provoque à nouveau l'arrêt du réacteur. En juin 2011, le réacteur n'a produit de l'électricité que pendant une heure depuis les premiers tests effectués il y a plus de 20 ans.
En mai 2013, le réacteur de Monju est toujours à l'arrêt, et l'Autorité de régulation nucléaire japonaise envisage d'interdire son redémarrage.
En mai 2014, selon le journal Yomiuri shinbun, la France a demandé au Japon de relancer le réacteur Monju, ceci afin de pouvoir y tester les combustibles du projet français de surgénérateur Astrid.
En septembre 2016, le gouvernement japonais s'apprête à arrêter définitivement le réacteur Monju. Selon l'estimation de l'Agence japonaise de l'énergie atomique, le coût du démantèlement de Monju serait d'environ 2,6 milliards d'euros pendant plus de 30 ans. Le gouvernement a déjà dépensé environ 8,6 milliards pour ce projet.
Le 21 décembre 2016, bien que le gouverneur de la préfecture de Fukui refuse le démantèlement du surgénérateur expérimental de Monju, le gouvernement japonais arrête officiellement ce projet qui atteint alors un montant de 8,15 milliards d'euros (1000 milliards de Yens), et la facture du démantèlement est alors estimée à 3,06 milliards d'euros (375 milliards de Yens).
En novembre 2017, on apprend que les concepteurs du "surgénérateur" nucléaire de Monju, au Japon, l'ont conçu sans penser à la façon de vider son circuit de sodium liquide (explosif à l'eau, inflammable à l'air) une fois mis à l'arrêt
En avril 2018, le gouvernement japonais annonce le démantèlement sur trente ans du réacteur de Monju (jusqu'en 2048), pour un coût prévisionnel de 375 milliards de yens, soit 2,86 milliards d’euros
La méthode «arc-en-ciel», l’astuce japonaise pour sécher le linge en un temps record
Originaire du Japon, cette astuce est née de la nécessité d'optimiser l'espace et le temps de séchage.
Cette astuce repose sur une disposition stratégique du linge sur les étendoirs, qu'ils soient pliables, muraux ou de type parapluie. Au lieu de suspendre tous les vêtements à la même hauteur ou dans n'importe quel sens, comme on le fait habituellement, il s'agit de les placer en «arc-en-ciel». Concrètement, cela signifie disposer vos vêtements de manière qu’ils forment un arc.
En disposant le linge de cette manière, vous permettez à l'air de mieux circuler entre les vêtements, favorisant ainsi un séchage plus rapide. L'humidité s'évapore plus facilement, car aucun vêtement n'est coincé entre deux autres. Cela évite également la formation d'odeurs désagréables causées par le manque de ventilation.
L'idée est simple : placer les vêtements les plus longs au centre et les plus courts sur les côtés, créant ainsi une forme arquée qui favorise la circulation de l'air.
Placez les vêtements longs comme les pantalons et serviettes de bain au centre de l'étendoir.
Disposez ensuite les vêtements de taille moyenne, chemises ou t-shirt autour de ceux du centre.
Puis terminez par les vêtements les plus petits, sous-vêtements ou chiffons sur les côtés.
En ce qui concerne les chaussettes, vous pouvez les suspendre à l'aide d'un petit séchoir à pinces.
Quid des vêtements épais ?
Pour les vêtements épais, comme les pulls en laine ou les vestes, la méthode « arc-en-ciel » reste efficace avec quelques ajustements. Placez ces pièces au centre de l'étendoir, mais veillez à les espacer suffisamment pour permettre une meilleure circulation de l'air. Évitez de les superposer ou de les plier, car cela ralentirait le séchage. Si possible, retournez ces vêtements au moins une fois durant le séchage pour que l'humidité s'évapore uniformément.
Où installer son linge pour la méthode « arc-en-ciel » ? Pour tirer le meilleur parti de la méthode « arc-en-ciel », privilégiez les endroits bien aérés et éclairés, tels que devant une fenêtre, dans un couloir, ou à l'entrée de votre logement. Ces zones permettent une meilleure circulation de l'air et accélèrent le séchage.
Évitez à tout prix les endroits les plus humides de votre logement, comme la salle de bains ou la cave. L'humidité ralentit le séchage et favorise la prolifération des bactéries, ce qui peut provoquer des odeurs de moisi sur votre linge.
| |
| |
Liens externes | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
| |
Notes et références | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
RUBRIQUE |
|
DESCRIPTION | |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X |
| | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
| | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X |
DATE | |
NAISSANCE | |
DECES | |
MISE A JOUR : | 2024 |
| | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) |
| | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
| 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
| | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
SOMMAIRE | |
Comment ça marche ??? Aide | |
Actu de dessinsagogo55 | |
Cliquez sur j'aime. Merci ! | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | | | | | | | | | | | | | | | | |
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | | | | | | | | | | | | | Faites votre pub |
|
Le taishōgoto (大正琴?), ou harpe de Nagoya, est un instrument de musique à cordes japonais. Son nom vient de la période Taishō (1912-1926) lors de laquelle il apparut.
Histoire
Le taishōgoto a été créé en 1912 par le musicien Gorō Morita à Nagoya.
Le taishōgoto ressemble beaucoup au bulbul tarang indien, et à l'Akkordolia allemand. Ils partagent tous ce système de touches à presser pour changer la hauteur de la note.
Cet instrument a été utilisé par le groupe de Krautrock, Harmonia au cours des années 1970.
Construction
Le taishōgoto est fait d'un long corps sur lequel courent les cordes qui sont, en général, de 5 à 6. Toutes les cordes sont accordées en sol, la plus grave joue un bourdon, la hauteur des autres peut être modifiée à l'aide de touches qui viennent poser une frette sur les cordes.
Il existe des versions électriques de l'instrument.
Le terme fue (笛?) ou yokobue (横笛?) désigne de manière générale les flûtes traversières japonaises.
On y retrouve notamment les instruments suivants :
dengakubue (utilisée dans les cérémonies liées au riz : dengaku) ;
kagurabue (flûte du gagaku) ;
komabue (flûte du gagaku) ;
nohkan (flûte du nô) ;
ryûteki (flûte du gagaku) ;
shinobue et misatobue.
Nobuhito Prince Takamatsu du Japon, (japonais: 高松宮宣仁親王, Takamatsu no miya Nobuhito Shinnō) (3 janvier 1905 - 3 février 1987) est le troisième fils de l'empereur Taishō et de l'impératrice Teimei ainsi qu'un frère cadet de l'empereur Shōwa et du prince Yasuhito Chichibu. Il devint prince Takamatsu-no-miya (préalablement Arisugawa-no-miya), une des quatre branches shinnōke de la famille impériale héritière au trône du chrysanthème à défaut d'un héritier direct.
Chūichi Nagumo ( 南雲 忠一 ), né à Yonezawa dans la préfecture de Yamagata, le 25 mars 1887, et mort à Saipan, dans les îles Mariannes, le 6 juillet 1944, est une personnalité importante de la Marine impériale japonaise. Il a commandé la Force Mobile (Kidō Butai), c'est-à-dire l'escadre de grands porte-avions, qui est allée de succès en succès, de l'attaque de Pearl Harbor (7 décembre 1941) au raid sur Ceylan (5-9 avril 1942), mais qui a subi une terrible défaite à la bataille de Midway (4-7 juin 1942)
Toujours à la tête de la plus puissante escadre de porte-avions japonais, redésignée comme la 3e Flotte, il n'a plus connu que des résultats mitigés, aux batailles des Salomon orientales (24-25 août 1942) et des îles Santa Cruz (24-27 octobre 1942). Il n'a plus eu de commandement à la mer après novembre 1942. En juillet 1944, il se suicide pour ne pas être fait prisonnier lors de l'attaque américaine sur les îles Mariannes.
Minoru Genda (源田 実, Genda Minoru?), né le 16 août 1904 à Hiroshima et décédé le 15 août 1989 à Matsuyama est un militaire japonais. Pilote dans l'aéronavale, il servit dans la Marine impériale japonaise avant et pendant la Seconde Guerre mondiale. Il fut le stratège de l'attaque de Pearl Harbor le 7 décembre 1941. Après la guerre, il dirigera la nouvelle Force aérienne d'autodéfense japonaise.
L'attaque de Pearl Harbor
L'amiral Isoroku Yamamoto reprit les idées de Minoru Genda pour l'attaque sur Pearl Harbor, accomplie le 7 décembre 1941. Les deux hommes se connaissaient depuis 1933 lorsque Genda servait à bord du porte-avions Ryūjō. Ils se rencontrèrent au début du mois de février 1941 et Yamamoto lui proposa son plan. Genda avait déjà réfléchi à une attaque sur la base de Hawaï dès 1934 et en avait discuté avec Takijirō Ōnishi. Genda pensait que le secret et la surprise de l'attaque étaient les facteurs les plus importants pour la réussite de l'expédition. Il considérait que la mission était risquée mais pas impossible et commença à travailler sur les détails du plan. Genda était responsable de la préparation de l'attaque, en particulier de la mise en œuvre de nouvelles torpilles et de la coordination de l'opération.
L'attaque de Pearl Harbor fut couronnée de succès : les forces japonaises ne perdirent que 64 hommes, un sous-marin de croisière et cinq sous-marins de poche. Sur les 441 avions japonais disponibles, 350 prirent part à l’attaque et 29 furent abattus durant la bataille. Le plan audacieux de Yamamoto avait atteint ses objectifs, mais provoqua l'entrée en guerre de la première puissance industrielle du monde.
Genda participa par la suite à la bataille de Midway, ainsi qu'à plusieurs autres batailles des campagnes du Pacifique et se consacra aux unités de chasse d'élite.
Après-guerre
Il devint en 1959 le chef de la Force aérienne d'autodéfense japonaise. Il fut compromis dans l'affaire de corruption Lockheed et entama ensuite une carrière politique dans les rangs ultranationalistes.
Isoroku Yamamoto (山本 五十六, Yamamoto Isoroku?), né le 4 avril 1884 à Nagaoka et mort le 18 avril 1943 aux Îles Salomon, est un militaire japonais, amiral de la Marine impériale japonaise. Personnalité marquante de la Seconde guerre mondiale, il a commandé les forces navales japonaises pendant la première partie de la guerre du Pacifique. Il a notamment organisé et dirigé l'attaque surprise contre Pearl Harbor.
Il est généralement considéré comme un stratège brillant à la vision acérée (il avait très vite compris le potentiel des porte-avions et des sous-marins ; il avait aussi prédit que la supériorité japonaise ne durerait que six mois à un an dans le Pacifique ; la bataille de Midway, six mois après Pearl Harbor, lui donna raison). Sa fidélité à l'Empire fut indéfectible malgré sa claire perception de l'issue tragique qui serait celle de l'expansionnisme du Japon impérial.
Il mourut le 18 avril 1943 lors de l'opération Vengeance, lorsque le bombardier qui le transportait fut attaqué, ainsi que son escorte, par une escadrille américaine, avertie du voyage après avoir percé le code de transmission japonais.
La (ou le) Game Boy (ゲームボーイ, Gēmu Bōi?) est une console portable de jeu vidéo 8-bits de quatrième génération développée et fabriquée par Nintendo. Mise en vente au Japon le 21 avril 1989, puis en Amérique du Nord en juillet 1989, et enfin en Europe le 28 septembre 1990, elle est la première console portable de la gamme des Game Boy. Elle fut conçue par Gunpei Yokoi et Nintendo Research & Development 1 — la même équipe ayant conçu la série des Game & Watch ainsi que de nombreux jeux à succès sur Nintendo Entertainment System.
Malgré la sortie de consoles portables techniquement plus avancées, la Game Boy connaît un franc succès. Les modèles Game Boy et Game Boy Color totalisent 118,6 millions d'exemplaires vendus à travers le monde. Dès sa sortie aux États-Unis, plus d'un million d'exemplaires sont vendus en quelques semaines. La production de la console portable s'est achevée en 2003