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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Une journée en enfer ou Marche ou crève : Vengeance définitive au Québec (Die Hard with a Vengeance) est un film d'action américain réalisé par John McTiernan, sorti en 1995. C'est le troisième opus de la saga Die Hard.
En 1995, il a été le plus gros succès mondial au box-office, avec des recettes cumulées dépassant les 366 millions de dollars
New York, 1995. Un magasin est soufflé par l'explosion d'une bombe. L'attentat est revendiqué par un inconnu se faisant appeler Simon. Celui-ci exige que le lieutenant John McClane, alors suspendu de ses fonctions, se livre à un périlleux « Jacques a dit » à travers toute la ville. S'il n'obéit pas aux directives de Simon, d'autres bombes exploseront. Zeus Carver, un électricien et antiquaire afro-américain que McClane a rencontré à Harlem, est embarqué contre sa volonté dans cette journée infernale.
Fiche technique
Titre original : Die Hard with a Vengeance
Titre français : Une journée en enfer
Titre québécois : Marche ou crève : Vengeance définitive
Titre de travail : Die Hard: New York
Réalisation : John McTiernan
Scénario : Jonathan Hensleigh, d'après certains personnages créés par Roderick Thorp
Musique : Michael Kamen
Photographie : Peter Menzies Jr.
Montage : John Wright
Décors : Jackson DeGovia
Production : Debbie Allen, John McTiernan et Michael Tadross
Production déléguée : Buzz Feitshans, Joe Gareri, Andrew G. Vajna et Robert Lawrence
Sociétés de production : 20th Century Fox et Cinergi Pictures
Distribution : Gaumont Buena Vista International (France), 20th Century Fox (États-Unis)
Format : Couleurs (Technicolor) - DTS / Dolby Digital / SDDS - 2,35:1 - 35 mm
Budget : 90 millions de dollars
Pays d'origine : États-Unis
Langue originale : anglais
Genre : action, policier
Durée : 128 minutes
Dates de sortie :
États-Unis : 15 mai 1995 (première à New York), 19 mai 1995 (sortie nationale)
France : 2 août 1995
Film classé Tous publics lors de sa sortie en salles, mais déconseillé aux moins de 12 ans à la télévision
Distribution
Bruce Willis : le lieutenant John McClane
Jeremy Irons : Simon Peter Gruber
Samuel L. Jackson : Zeus Carver
Larry Bryggman : l'inspecteur Walter Cobb
Graham Greene : le détective Joe Lambert
Colleen Camp : le détective Connie Kowalski
Anthony Peck : l'inspecteur Ricky Walsh
Nick Wyman : Mathias Targo
Sam Phillips : Katya, la compagne de Simon
Kevin Chamberlin : Charles « Charlie » Weiss
Sharon Washington : l'officier Jane
Stephen Pearlman : Dr. Fred Schiller
Michael Alexander Jackson : Dexter, le neveu de Carver
Aldis Hodge : Raymond, le neveu de Carver
Mischa Hausserman : Mischa
Edwin Hodge : l'ami de Dexter
Robert Sedgwick : Rolf
Tony Halme : Roman
Bill Christ : Ivan
Charles Dumas : Andy Cross
Michael Cristofer : Bill Jarvis
John Doman : le contremaître du chantier
Richard E. Council : Otto
Damien Demento : Erik
Ivan Skoric : l'homme de Targo
Richard Russell Ramos : le chef du FBI
Antonia Rey : Mme Stella
Deux scénarios ont d'abord été envisagés avant celui utilisé ici. Le premier, écrit par James Haggin est titré Troubleshooter, voyait John McClane en croisière aux Caraïbes avec sa famille aux prises avec de nouveaux terroristes. L'idée est abandonnée quand Piège en haute mer avec Steven Seagal entre en préproduction en 1992. Le second script, écrit par Doug Richardson (scénariste du précédent volet) et John Fasano, avait pour toile de fond la prise de contrôle du métro de Los Angeles. Mais Bruce Willis s'y opposa, jugeant que l'action était trop proche de celle du film précédent, 58 minutes pour vivre, voulant un lieu plus vaste pour l'action principale. Le script utilisé est préalablement nommé Simon Says. Le personnage qui sera plus tard Zeus est alors un personnage féminin. Le producteur Joel Silver a un temps voulu utiliser l'intrigue pour L'arme fatale 3. Le script est ensuite réadapté au style de la série Die Hard. Jonathan Hensleigh déclare cependant que toute la première heure est quasiment mot pour mot ce qu'il avait écrit à l'origine. Une journée en enfer est alors le premier film de la saga basé sur une script original et non d'après un roman.
Après avoir finalisé le script, Jonathan Hensleigh est longuement interrogé par le FBI, inquiet des précisions présentes dans le scénario concernant la vulnérabilité de la réserve fédérale d'or, la proximité du métro ou l'utilisation de l'aqueduc par les camions, toutes bien trop véridiques à leur goût.
Le poste de réalisateur est proposé à Danny Cannon, mais il préfère se consacrer à Judge Dredd (1995). John McTiernan, réalisateur du premier film, revient finalement pour ce troisième volet. Il refuse quant à lui de mettre en scène Batman Forever pour faire ce film.
Sean Connery est pressenti pour incarner le méchant Simon Gruber mais l'acteur décline l'offre, trouvant la cruauté du personnage trop élevée. Les scénaristes se sont par la suite tournés vers un autre acteur britannique, David Thewlis, avant que le rôle ne soit finalement décroché par Jeremy Irons. L'acteur Anthony Peck, qui tient ici le rôle de Ricky Walsh, était déjà présent dans le premier volet, Piège de cristal où il incarnait un policier (on le voit notamment aux côtés d'Al Powell et Dwayne Robinson pendant les négociations). Il joue ici aussi le rôle d'un policier, peut-être le même, mais rappelons que dans Piège de cristal il incarnait un policier de Los Angeles, or ici, il incarne un policier de New York.
L'acteur Laurence Fishburne est le premier choix pour incarner Zeus. Le rôle revient finalement à Samuel L. Jackson. Il est suggéré par Bruce Willis, avec lequel il vient de tourner Pulp Fiction (1994). Le scénariste Jonathan Hensleigh avait écrit le rôle en pensant à Brandon Lee.
Bonnie Bedelia, qui incarne Holly la femme de John McClane dans les deux précédents films, a refusé d'apparaître dans ce troisième film.
La chanteuse Sam Phillips (en) est choisie pour incarner Katya après qu'un producteur ait vu l'une de ses pochettes d'album.
Anthony Peck, qui incarne ici Ricky Walsh, jouait un tout autre rôle dans le premier film.
John McTiernan Sr., le père du réalisateur, incarne ici un pêcheur.
Le film a été tourné du 30 juillet au 21 décembre 1994. Il se déroule principalement à New York, notamment à Manhattan (Central Park, Federal Reserve Bank of New York, Broadway, East Village, Tompkins Square Park), dans le Bronx (Yankee Stadium) et à Brooklyn. Des scènes sont également tournées dans d'autres États : dans le Connecticut (Comté de Fairfield), dans le Maryland (Jessup) et en Caroline du Sud (Beaufort, comté de Berkeley, Charleston, Dorchester).
Durant le tournage, le panneau sandwich que porte Bruce Willis vers le début du film était vierge. Cette décision avait été prise par la production afin de n'offenser personne et de ne pas rencontrer d'obstacle lors de sa diffusion télévisée. Puis, une inscription a finalement été inscrite « I hate every body » (« je hais tout le monde »). Cette première inscription a servi durant la version initiale du tournage. Finalement, en postproduction, l'inscription a été transformée en « I hate niggers » (« je hais les nègres »). Cette dernière inscription a été définitive puisque c'est celle qui est visible dans la version finale du film. La Fox voulait supprimer cette scène du scénario mais est finalement revenue sur sa décision lorsque le scénariste Jonathan Hensleigh menaça de vendre le scénario à un autre studio
Michael Kamen revient pour la 3e fois (et dernière) comme compositeur. En plus de ses compositions, la bande originale comprend également des symphonies de Ludwig van Beethoven, ainsi que Les Fonderies d'acier d'Alexandre Mossolov. Dans le film, on peut entendre à plusieurs reprises When Johnny Comes Marching Home, issue du folklore américain, notamment lors de l'attaque de la banque.
En décembre 2012, La-La Land Records réédite une version limitée double album
Summer in the City – The Lovin' Spoonful (2:44)
Goodbye Bonwits (6:28)
Got it Covered – Fu-Schnickens (4:13)
John and Zeus (3:19)
In Front of Kids – Extra Prolific (2:44)
Papaya King (5:20)
Take A-nother Train (2:55)
The Iron Foundry – Alexandre Mossolov (3:08)
Waltz of the Bankers (4:13)
Gold Vault (march of the ants) (3:45)
Surfing in the Aqueduct (2:30)
Symphony No. 1 (4th Mvmt., Excerpts) – Johannes Brahms (15:00)
Symphony No. 8 (4th Mvmt., Excerpts) – Ludwig van Beethoven (9:46)
Accueil
John McTiernan voulait repousser la sortie du film car il pensait que le public américain pourrait être sensible à certaines scènes d'action à la suite de l'Attentat d'Oklahoma City survenu en avril 1995, environ un mois seulement avant la sortie américaine du film.
En France, Une journée en enfer est sorti pendant la vague d'attentats sanglants à Paris courant juillet 1995. Cela n'a pas annulé ou reporté sa sortie, malgré toutes les affiches présentes pour l'occasion à Paris et montrant Bruce Willis devant une explosion avec le sous-titre « Un été explosif ! »
Lors de sa sortie en salles, Une journée en enfer obtient un accueil mitigé des critiques : dans les pays anglophones, il obtient 51 % d'avis favorables sur le site Rotten Tomatoes, pour 45 critiques et une moyenne de 5,7⁄1010 et un score de 58⁄100 sur le site Metacritic, pour 19 critiques.
Le film n'est pas un immense succès sur le sol américain (100 millions de dollars pour 90 millions de budget). Cependant, le film est un succès total à l'international : il est le meilleur film de l'année 1995 dans le monde en termes de recettes
Pays ou région | Box-office | Date d'arrêt du box-office | Nombre de semaines |
---|---|---|---|
États-Unis | 100 012 499 $ | 9 juillet 1995 | 8 |
France | 3 458 382 entrées | - | - |
Total mondial | 366 236 538 $ | - | - |
Fin alternative
Ce troisième volet de la série dispose d'une fin alternative, disponible sur le DVD. Elle n'a pas été ajoutée à la version finale du film car John McTiernan jugeait que McClane était présenté sous un angle trop cruel et menaçant ce qui ne correspond pas à sa personnalité. Dans celle-ci, Simon Gruber est parvenu à échapper aux autorités et coule désormais une retraite tranquille dans un pays d'Europe de l'Est. John McClane, au chômage, le retrouve et, après une discussion, le force à jouer à un jeu d'énigmes avec un M72 LAW dépourvu d'organes de visée : s'il ne trouve pas la réponse, il doit actionner la détente. Sans la visée, il est impossible de distinguer l'avant de l'arrière. Après quelques tours, Simon finit par échouer et retourne l'arme contre McClane. Croyait-il.
Clins d'oeil
Le nom du Dr. Fred Schiller est une allusion à Friedrich von Schiller, qui a écrit le poème utilisé dans Ode à la joie de Ludwig van Beethoven, présent à plusieurs reprises dans Piège de cristal.
Un clin d'œil y est fait à Predator 2 lorsque McClane téléphone à une ambulance qui dit qu'il y a deux policiers à terre, un peu plus tard on y entend brièvement la musique du film.
Un clin d'œil est fait au film Les Dents de la mer de Steven Spielberg : une affiche montre un requin quand McClane est dans le métro quand il voit la bombe.
Une référence faite lors du signe de croix "nord, sud, est, ouest" est à s'y méprendre au film Le Bon, la Brute et le Truand quand Tuco, incarné par Eli Wallach, fait exactement le même signe de croix en rapidité.
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12/06/2020 à 17h08 | par La Rédaction | Crédits photos : Getty
Principalement connue pour avoir fait plusieurs fois la prestigieuse couverture de playboy, la playmate Ashley Mattingly commettait l’irréparable en mettant fin à ses jours il y a plus d’un mois. On apprend aujourd'hui comment cela s'est passé.
C'est la sœur d'Ashley, Chrity, et son frère jumeau Billy qui informaient le site TMZ de la tragique nouvelle il y a un mois et demi. Ashley Mattingly, la Miss Mars 2011 du magazine Playboy avait mis fin à ses jours, laissant derrière elle une note expliquant son geste. Elle avait 33 ans. La jolie blonde était retrouvée inanimée chez elle, vendredi 17 avril, par le département de police d'Austin dépêché sur place après d’un ami inquiet de de ne plus avoir de nouvelles d’Ashley. Dans un communiqué envoyé à la presse, le frère et la sœur de la jeune femme déclaraient : « Nous apprenons que notre sœur adorée, avec une personnalité incroyable, s'est donné la mort. Ashley a déménagé pour être plus proche de nous, à Austin, il y a deux ans. Ce n'est peut-être pas un secret, mais elle luttait contre une addiction à l'alcool et à certaines substances, mais elle voulait aller mieux et travaillait en ce sens. »
Ashley Mattingly a utilisé une arme à feu
Ce 12 juin 2020, le site américain TMZ a eu accès au rapport du médecin légiste qui a ausculté la dépouille d’Ashley Mattingly. Dans son sang, ont été retrouvées des « traces d’opiacés et des benzodiazépines », des molécules que l’on retrouve dans le Valium par exemple. On y apprend également que la jeune femme a mis fin à ses jours en se tirant une balle dans la tête. Le médecin détaille la technique employée en précisant qu’Ashley Mattingly a placé le pistolet dans la bouche avant d’appuyer sur la détente. Un acte dont l'ultra-violence prouve la détresse ultime dans laquelle devait se trouver Ashley Mattingly.
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Coronavirus : à New York, les autorités recommandent le port
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Coronavirus : à New York, les autorités recommandent le port du masque pendant l'acte sexuel
Le département de la Santé de la ville de New York a publié plusieurs directives concernant les relations sexuelles en temps de Covid-19. Où il y est également conseillé d'être "créatif avec les positions sexuelles et les barrières physiques."
Avec plus de 112 000 morts du coronavirus, les États-Unis sont le pays au monde le plus durement touché par la pandémie. De quoi inciter les autorités sanitaires à publier de nombreuses recommandations pour informer le public des mesures à prendre. C'est ce qu'a fait le département de la Santé de la ville de New York, afin que les habitants de Big Apple puissent avoir des relations sexuelles en toute sécurité, révèle CNN.
Le document conseille ainsi de se protéger pendant l'acte à l'aide d'un masque, le virus se propageant par la salive et la respiration, et de se montrer "créatif".
"Soyez créatifs avec les positions sexuelles et les barrières physiques, comme les murs, qui permettent le contact sexuel tout en empêchant le contact face à face", suggère le guide, qui détaille de nombreuses mesures, du sexe en groupe à celui en extérieur.
"Vous êtes votre partenaire sexuel le plus sûr"
Autre point important, les autorités recommandent d'avoir des relations sexuelles avec des personnes proches. Pour ceux qui souhaitent des aventures en dehors de leur cercle, le département souligne qu'il est important de surveiller les symptômes du coronavirus, et de se faire tester de manière fréquente, au moins une fois par mois.
"Vous êtes votre partenaire sexuel le plus sûr", ajoutent les autorités sanitaires, rappelant au passage que les personnes de 65 ans et plus sont davantage à risque.
Enfin, les autorités insistent sur le fait que si des traces du virus ont été retrouvées dans le sperme humain, aucune étude ne prouve à ce jour qu'une contamination par les rapports sexuels soit possible.
Aux Etats-Unis, New York n'est pas le seul Etat à avoir pris ce problème des relations sexuelles au sérieux en ces temps de pandémie. CNN liste ainsi des initiatives du même type dans les Etats de Washington, de l'Oregon ou au Texas.
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Moins de 3,8 millions de bébés ont vu le jour sur le territoire américain en 2018, un chiffre en recul pour la quatrième année consécutive. Le nombre d'enfants par femme ne cesse de diminuer, sauf pour les plus de 35 ans.
Les Américains font de moins en moins d'enfants. Le pays n'a enregistré en 2018 que 3.788.235 naissances, soit une baisse de 2 % sur un an, selon les données provisoires publiées ce mercredi par le Centre national des statistiques sur la santé (NCHS). Avec cette quatrième année de baisse consécutive, le nombre de bébés nés sur le sol américain atteint un plus bas depuis 32 ans.
En rapportant ce nombre à celui des Américaines en âge de procréer, on retrouve une baisse de 2 %, à 59 naissances pour 1.000 femmes pendant l'année 2018. Jamais ce taux n'était tombé aussi bas. Il poursuit ainsi une baisse quasi continue depuis le baby-boom où il avait dépassé les 120 naissances pour 1.000 femmes à la fin des années cinquante.
Les Américaines donnent aussi naissance de plus en plus tard : le recul du taux de natalité ne concerne en effet que les femmes âgées de moins de 35 ans. Il augmente de 1 % pour les 35-39 ans et de 2 % pour les 40-44 ans. Il chute, à l'inverse, de 7 % pour les adolescentes (15-19 ans).
Ces moyennes cachent aussi des disparités régionales. D'après les calculs de Bloomberg , le Vermont a ainsi enregistré le taux de natalité (nombre de naissances pour 1.000 habitants) le plus faible du pays, à 8,7, en dessous de la moyenne nationale à 11,58. L'Utah se situe à l'autre extrémité, avec un taux de 15,77.
Il est en revanche encore difficile de calculer les disparités par origine ethnique, toutes les statistiques n'étant pas encore disponibles.
Sophie Amsili
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Le McDonnell Douglas F-15 Eagle est un avion de chasse tout temps dit de supériorité aérienne conçu par l'avionneur américain McDonnell Douglas dans les années 1970. Produit à plus de mille exemplaires, il est utilisé principalement par l'armée de l'air américaine (USAF), mais il a également été exporté vers quelques pays, dont Israël et le Japon, ce dernier l'ayant même construit sous licence. Une version spécialisée dans l'attaque au sol a également été mise au point, le F-15E Strike Eagle.
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Le rêve américain (American Dream en anglais) est l'idée selon laquelle n'importe quelle personne vivant aux États-Unis, par son travail, son courage et sa détermination, peut devenir prospère
La notion de cette possibilité pour n'importe quel immigrant de réussir à partir de rien, a été fortifiée par l'étendue territoriale, les ressources naturelles, et le libéralisme politique et économique qui caractérisent les États-Unis. Cette idée est aussi vieille que la découverte du continent américain, même si sa formulation a évolué (on peut ainsi penser au mythe de l'Eldorado, et à la conquête de l'Ouest).
Si cette idée a été incarnée par plusieurs personnalités ou émigrés revenus investir dans leurs pays d'origine, la réalité sociale américaine a fait déchanter de nombreux immigrants. Ce concept a néanmoins été, et demeure encore un des principaux moteurs du courant migratoire vers les États-Unis, l'un des plus importants dans l'histoire de l'humanité.
Selon l'humoriste américain George Carlin, On l’appelle "rêve américain" parce qu’il faut être endormi pour y croire
Notions corollaires
L'American way of life (« style de vie américain ») qui désigne un mode de vie fondé sur une société de consommation, symbole de prospérité capitaliste représenté par les appareils électroménagers, l'automobile, Hollywood, la mode, le contenu des séries télévisées américaines, etc., est notamment très envié par les Européens, surtout entre les années 1920 et 1960.
Il est possible également de rapprocher le concept de rêve américain avec la notion de Frontier (« frontière »), désignant un front pionnier, la progression de la nation et de la civilisation face à la nature sauvage, comme ce fut le cas lors de l'expansion du Far West (au détriment des Amérindiens), qui a marqué l'histoire américaine au cours du xixe siècle. Cette idée est devenue un état d'esprit typiquement américain et pas seulement lié à une expansion économique et territoriale, comme en témoigne le concept développé par l'administration du président John Kennedy au début des années 1960 : la Nouvelle Frontière, qui ne se référait pas seulement à la conquête de l'espace, mais aussi à des changements dans la société et les mentalités.
Histoire
Dès l'époque coloniale, le roi d'Angleterre utilisait le rêve américain pour stimuler l'immigration et le peuplement de l'Amérique du Nord. Il vantait l'immensité du territoire, synonyme d'opportunités quasi illimitées, ainsi que l'accès facile à la terre, qui constituait l'aspiration de nombreux paysans dans la métropole. Celui qui réussissait à devenir propriétaire acquérait de fait le droit de vote pour les députés de la Chambre des communes. Cependant, les migrants des xviie et xviiie siècles trouvaient bien souvent des conditions de vie difficiles lorsqu'ils arrivaient en Amérique : attaques des Amérindiens, maladies, climat rigoureux, etc. Pour les puritains anglais, la Nouvelle-Angleterre est idéalisée comme la « Terre promise » où ils pourraient prendre un nouveau départ et construire une société neuve, loin des persécutions en vigueur en Europe.
La Révolution américaine fait progresser l'idée du rêve américain. Dans la Déclaration d'indépendance américaine de 1776, la « poursuite du bonheur » figure parmi les droits inaliénables de l'Homme, à côté de la liberté et de l'égalité.
Avec la Révolution industrielle, de nombreux Américains avaient réussi à s'enrichir au cours du xixe siècle, à force de courage et d'esprit d'entreprise (Andrew Carnegie, John D. Rockefeller). Des centaines de milliers d'Européens quittaient à cette époque le Vieux Continent pour échapper aux persécutions religieuses (Juifs d'Europe de l'Est), à la pauvreté (Italiens) ou à la grande famine (Irlandais). L'accès aux immenses territoires de l'ouest ouvrait des possibilités d'accès à la propriété foncière.
L'expression « rêve américain » est utilisée pour la première fois par James Truslow Adams dans son livre The Epic of America (1931)4. Elle signifie alors l'accès aux libertés fondamentales et l'ascension sociale par le mérite.
Du rêve à la réalité
Le rêve américain est un idéal et un concept et a été pris comme modèle par des milliers de colons venus trouver la richesse et la gloire en Amérique.
Selon une étude de The Pew Charitable Trusts via leur Economic Mobility Project datant de 2007, la mobilité économique qui fait que d'une génération à une autre les revenus augmentent n'a pas de réalité statistique. Les autres pays font même mieux, comme c'est le cas de la France (où la mobilité est 1,2 fois plus forte par rapport à celle des États-Unis), de l'Allemagne (1,5 fois), du Canada (un peu moins de 2,5 fois) ou encore du Danemark (un peu moins de 3,2 fois).
Ce constat est partagé par le Center for American Progress, qui rapporte, dans une étude consacrée à la mobilité aux États-Unis, que la mobilité intergénérationnelle aux États-Unis est plus basse qu'en France, Allemagne, Suède, Canada, Finlande, Norvège et Danemark. Parmi les pays à hauts-revenus pour qui des estimations comparables sont disponibles, seul le Royaume-Uni a un taux de mobilité inférieur à celui des États-Unis
. Plusieurs autres études convergent dans ce sens
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27 avril 1936 : tandis qu'il brûle des détritus dans l'incinérateur de l'île, Joe Bowers commence à forcer les grillages au bord de la rive. Après avoir refusé de se rendre et de faire demi-tour, il est abattu par un gardien depuis la tour de garde de la route ouest. Le détenu fait alors une chute de 15 à 30 mètres dans le rivage. Il meurt de ses blessures.
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15 septembre 1941 : pendant sa session de travail au centre des déchets de l'île, John Bayless tente de s'échapper. Peu après s'être introduit dans l'eau froide, il renonce. Au cours de son jugement, il réessaye de s'évader, sans succès.
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