Monde : Etats Unis
Jacob Schick, né le 16 septembre 1877 à Ottumwa, Iowa, et mort le 3 juillet 1937 à Montréal, Canada, est un inventeur et entrepreneur américain ayant conçu le premier rasoir électrique et créé la marque de rasoirs Schick
Né dans l'Iowa, aux États-Unis, Jacob Schick s'engage dans l'armée en 1898 et y restera jusqu'en 1910, avant d'être à nouveau engagé de 1916 à 1918 lors de la Première Guerre mondiale sous le grade de Capitaine.
En novembre 1923, il dépose le premier brevet pour un rasoir électrique et fonde la Schick Dry Razor Co. en 1929. Le premier rasoir est commercialisé en 1929 mais doit être opéré avec les deux mains. Le rasoir tenu à une main, premier rasoir électrique pratique, est lancé le 18 mars 1931, et se vend alors 25 $, soit environ 360 $ de 2009. Ce rasoir remporte un succès commercial, il s'en écoule 3 000 la première année, et 1,5 million au total en 1937.
Dès 1933 il est millionnaire et en 1935, il devient citoyen canadien pour échapper à une enquête fiscale dans son pays après avoir déplacé la plus grande partie de sa fortune dans les Bahamas
Après son décès en 1937, sa dépouille a été enterrée au Cimetière Mont-Royal.
Le premier rasoir électrique date de 1928, inventé par Jacob Schick
. Il sera imité par le Hollandais Philips qui propose un modèle avec des lames rotatives.
King Camp Gillette, né le 5 janvier 1855 à Fond du Lac dans le Wisconsin et mort le 9 juillet 1932 à Los Angeles, est un ingénieur et homme d'affaires américain, inventeur du rasoir sécurisé moderne et fondateur de la Gillette Company.
Issu d'une famille dont les ancêtres émigrèrent d'Angleterre vers le Massachusetts en 1630, King Camp Gillette nait à Fond du Lac, mais grandit à Chicago. Le business familial est anéanti par le grand incendie qui ravagea la ville en 1871. Sa famille déménage à New York
Le rasoir à lames jetables est breveté en 1904 par l'Américain King Camp Gillette qui travaillait à l'idée depuis 1895. Les rasoirs de la compagnie Gillette Safety Razor sont utilisés par l'armée américaine lors de la Première Guerre mondiale pour couper la barbe qui nuit au port du masque à gaz.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rasoir
Une armurerie bondée en Californie le 16 mars. - JUSTIN SULLIVAN / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP
Coronavirus: aux Etats-Unis, les Américains font la queue pour acheter des armes à feu
17/03/2020 à 19h59
Aux Etats-Unis, de nombreux fabricants d'armes à feu ont noté, ces derniers jours, une nette augmentation de leurs ventes. Les images sont impressionnantes. Aux Etats-Unis, si la crise du coronavirus pousse les gens, comme en Europe, à dévaliser les magasins alimentaires, ils se pressent également en nombre pour acheter des armes à feu. Depuis plusieurs jours, des photographies de queues immenses devant les armureries sont ainsi apparues dans les médias américains et sur les réseaux sociaux.
Selon le média américain Forbes, lundi, les ventes du fabricant d'armes à feu American Outdoor Brands ont augmenté de 5,46%, celles de Sturm, Ruger & Co de 3,6% et celles de Vista Outdoor de 7,86%. Un vendeur d'armes à feu, en Arizona, a affirmé à la chaîne de télévision locale Fox 10 qu'il n'avait pas vu des ventes aussi importantes depuis l'élection de Barack Obama.
"C'est la première fois que je ressens le besoin de m'armer"
Le magazine américain Time avance plusieurs raisons pour expliquer cette ruée vers les armes à feu, parmi elles, la peur qu'ont ressenti des citoyens américains après avoir vu le chaos dans les magasins alimentaires. Betsy Terrell, âgée de 61 ans, a ainsi déclaré qu'elle a vu "des gens agir bizarrement", ce qui l'a rendu "nerveuse".
"C'est effrayant. C'est la première fois que je ressens le besoin de m'armer pour me protéger", a-t-elle ajouté au Time.
D'autres achètent des armes à feu en masse par peur que les élus américains restreignent leur accès. Un maire de l'Illinois a ainsi récemment un signé un ordre exécutif qui lui donnera le droit d'interdire la vente d'armes ou de munitions.
Alfred Lewis Vail (25 septembre 1807 – 18 janvier 1859) est un machiniste et inventeur américain. Vail a été un personnage clé, avec Samuel Morse, dans le développement et la commercialisation du télégraphe à partir de 1837
Alfred Vail est le fils de Bethiah Youngs (1778–1847) et Stephen Vail (1780–1864). Il est né à Morristown dans le New Jersey et son frère, George Vail, est un politicien. Il est le cousin de Theodore Vail, fondateur et premier président de la compagnie de téléphonie AT&T.
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Samuel Finley Breese Morse est un scientifique américain, développeur d'un télégraphe électrique et d'un alphabet qui portent tous deux son nom, né le 27 avril 1791 à Charlestown (Massachusetts) et mort le 2 avril 1872 à New York (État de New York).
Il était aussi peintre.
Il nait le 27 avril 1791 à Charlestown près de Boston dans le Massachusetts et est le fils du géographe Jedidiah Morse. En 1811, après des études à l'université Yale où il obtient son diplôme en 1811, il travaille chez un éditeur à Boston tout en se consacrant à la peinture. Il entreprend la même année un voyage à Londres pour y suivre des études artistiques auprès de Washington Allston. Il obtient deux ans plus tard la médaille d'or de sculpture de la Société des arts Adelphi.
De retour aux États-Unis en 1815, il peint des toiles historiques et des portraits avec un certain talent. En 1826, il fonde à New York la Société des beaux-arts (National Academy of Design) et devient son premier président pendant 19 ans. Il voyage en Europe en 1829 pour trois ans en France et en Italie pour y étudier les beaux-arts. C'est sur le Sully, navire qui le ramène aux États-Unis en 1832, qu'il conçoit l'idée d'un télégraphe électrique après une conversation sur l'utilisation de l'électro-aimant et les travaux d'Ampère avec le géologue Charles Thomas Jackson.
La première maquette du télégraphe est probablement réalisée en 1835, mais il passe encore la majeure partie de son temps à enseigner la peinture et la sculpture à l'université de New York. Il se concentre sur le télégraphe à partir de 1837 et s'associe avec deux partenaires, Leonard Gale (en), un professeur de science à l'université de New York, et Alfred Lewis Vail, plutôt porté sur la réalisation pratique et qui proposa d'utiliser l'atelier de ferronnerie de ses parents pour la réalisation d'un prototype. En fait c'est Vail qui trouve la solution du code composé de points et de barres en 1838. À l'origine Morse avait imaginé des codes composés uniquement de chiffres et un dictionnaire pour interpréter les messages reçus. Vail avait pressenti que les messages devaient être verbaux et donc composés de lettres et de signes. C’est en visitant une imprimerie typographique que Vail comprit que certaines lettres étaient plus utilisées que d'autres et que le code devait privilégier les lettres les plus fréquentes.
En 1838, il tente sans succès d'intéresser le Congrès américain à son invention et se tourne vers l'Europe, où il échoue également. Le membre du congrès F. O. J. Smith s'intéresse au projet et devient un partenaire. Samuel Morse dépose un brevet pour son télégraphe en 1840. En 1842, une ligne télégraphique sous-marine reliant l'île de Manhattan à Brooklyn et au Nouveau-Jersey est construite en association avec Samuel Colt. La même année, Morse achète un dispositif daguerréotype de marque Giroux auprès de Francis Fauvel Gouraud et se lance dans la photographie.
En 1843, après des démarches opiniâtres, il réussit à obtenir du Congrès une aide de 30 000 $ pour établir une ligne télégraphique entre Baltimore et Washington. Le 24 mai 1844, le premier message est transmis de la Cour suprême du Capitole vers le dépôt de chemin de fer de Baltimore et contient « What hath God wrought. ». À partir de 1846, le télégraphe de Morse est développé par des sociétés privées. En 1854, après plusieurs procès contre des rivaux, la Cour suprême américaine tranche en sa faveur et valide ses brevets. Il meurt à New York en 2 avril 1872.
Œuvre
Samuel Morse n'invente pas de lui-même le télégraphe : 50 ans auparavant (1793), le télégraphe optique de Chappe permettait la transmission de dépêches à des centaines de lieues. Il n'invente pas non plus le télégraphe électrique : Soemmerring, Steinheil, Gauss et Weber en Allemagne, Ampère en France, Schilling à Saint-Pétersbourg, Richtie et Alexander en Écosse, Wheatstone en Angleterre, sont inventeurs de solutions pour transmettre des messages à l'aide de l'électricité, alors en fonctionnement. Le génie de Morse est de concevoir une machine simple, pratique, efficace, bon marché, robuste et surtout de réussir à convaincre ses contemporains de réaliser une expérience suffisamment spectaculaire pour frapper les imaginations : une liaison entre Washington D.C. et Baltimore, 40 miles soit 60 km.
On peut noter que le code Morse est à l'origine différent de celui qui est utilisé maintenant. L'Allemand Friedrich Gerke le simplifie, dont une version modifiée est adoptée par l'UIT en 1865. Malgré l'adoption de ce standard international, deux codes restent en usage : le code américain (code originel qui continue à être utilisé aux États-Unis) et le code international (aussi appelé continental car utilisé principalement en Europe).
Si la machine est détrônée par la suite par les télégraphes automatiques et les téléscripteurs, le code est toujours d'actualité chez les militaires (quoique les transmissions numériques aient tendance à le supplanter) et les radioamateurs qui profitent de sa très grande résistance aux bruits parasites dans leur trafic radio en télégraphie. Cette résistance aux bruits parasites est due à la faible bande passante des signaux morse et donc au meilleur rapport entre signal et bruit qui permet de passer des messages dans les pires conditions.
Morse est issu d'un milieu calviniste et écrit un tract en 1835 intitulé Foreign Conspiracy Against the Liberties of the United States sur un prétendu complot papal pour catholiciser les États-Unis.
Morse pense quelque temps faire transiter « par le même fil, au même moment » plusieurs communications télégraphiques distinctes, chaque couple émetteur et récepteur utilisant des vibreurs d’une fréquence propre, et des filtres permettant de les séparer à l’arrivée. Il s'agit peut-être de la première idée de multiplexage fréquentiel. Il ne donne en fin de compte pas de suite à cette idée
Coronavirus : la décision de Donald Trump fait craindre une «catastrophe» économique
INFOGRAPHIES
La décision américaine d'interdire l'entrée aux voyageurs européens à partir de vendredi sera lourde de conséquences en Europe comme aux États-Unis.
Par Wladimir Garcin-Berson
Publié il y a 2 heures, mis à jour il y a 38 min
L'économie poursuit sa descente aux enfers. Ce jeudi, l’annonce par les États-Unis de la suspension de tous les voyages depuis l'Europe vers le pays - exception faite du Royaume-Uni -, a asséné un coup de massue à plusieurs secteurs, plongeant les Bourses dans une nouvelle spirale négative. Les retombées économiques du «travel ban» risquent en effet d’être nombreuses. Pour la Maison Blanche, toutefois, la décision s'imposait : «l'épicentre du coronavirus est désormais en Europe», a déclaré le vice-président américain, Mike Pence, jeudi.
Donald Trump a immédiatement voulu rassurer les acteurs économiques : le commerce n’est pas – encore – touché par ces restrictions. Alors que son allocution restait floue sur ce point, le président américain a précisé dans un message posté sur Twitter qu’il était «très important pour tous les pays et toutes les entreprises de savoir que le commerce ne sera en aucun cas affecté par la restriction». Celle-ci concernera donc «les gens et non les marchandises», a-t-il ajouté.
La précision avait son importance, l’Union européenne tirant un bilan fortement positif de ses échanges en biens et services avec son partenaire outre-Atlantique : en 2019, le bloc européen a tiré un excédent de 152,6 milliards d’euros de ses échanges avec les États-Unis, en hausse de près de 15 milliards (soit 11%) sur un an. À l’inverse, le déficit vis-à-vis de Moscou s’est réduit, de même que celui vers Oslo. Il reste à voir si les produits européens ne seront pas victimes d’une méfiance accrue des consommateurs américains, inquiets d’être potentiellement contaminés par les denrées qu’ils achètent…
Une catastrophe pour les compagnies aériennes
En outre, la décision de la Maison Blanche est une bien mauvaise nouvelle pour les compagnies aériennes européennes, qui avaient préféré redéployer leur flotte sur des axes sûrs, notamment au-dessus de l’Atlantique pour compenser les pertes en Orient. En février, le groupe Air France-KLM avait ainsi augmenté fortement sa capacité vers l’Amérique du Nord (en hausse de 13,6%), l’Amérique latine (+10,1%) et l’Afrique ou le Moyen-Orient (+7,3%), afin de compenser une réduction importante de sa capacité vers l’Asie (-15,8%).
Pour mars, la compagnie s’attend à l’annulation de 3600 vols, soit «13% de ses capacités sur le réseau long courrier», 17% dans l’Hexagone et 25% sur le réseau européen. La décision américaine assombrit encore les perspectives de l'aérien, entraînant un plongeon vertigineux de l'action du groupe franco néerlandais dans les abysses, revenu à un niveau jamais vu depuis 2012. Il n'est pas le seul en difficulté : toutes les compagnies aériennes européennes ont encaissé, ce jeudi, l'annonce américaine. C'est par exemple le cas de l’allemand Lufthansa, qui perdait près de 10% en Bourse en fin de matinée.
Quelques heures plus tard, Bruno Le Maire a déclaré qu'il suivait la situation de la compagnie française de près, et que l'État français était prêt à soutenir Air France-KLM. Le ministre français de l'Économie a également regretté la décision américaine, prise sans en parler au préalable avec les pays concernés.
Le tourisme sonné par la décision américaine
Autre secteur particulièrement touché, le tourisme français, qui s’inquiète d’une décision qui achève une série noire. Après plusieurs mois difficiles, la chute des arrivées de touristes chinois et une année 2019 marquée par les mouvements sociaux, les voyagistes risquent de voir un marché particulièrement attractif se réduire comme peau de chagrin : les visiteurs américains représentent le premier contingent de touristes étrangers à Paris et dans la région Île-de-France et ils sont particulièrement prisés des professionnels, étant plus dépensiers que la moyenne. «C’est la pire des nouvelles pour les compagnies aériennes, et c’est la pire des dispositions pour nous», a ainsi alerté le président de la fédération des tour-opérateurs (Seto), René-Marc Chikli. De son côté, le président des Entreprises du voyage, Jean-Pierre Mas, a souligné une «catastrophe», ainsi qu’une situation «dramatique […] pour l’industrie du voyage d’affaires comme de loisirs».
Même constat de l’autre côté de l’Atlantique : les États-Unis se privent d’une manne importante en fermant les vannes de certaines nations. La décision n’est pas anodine, ce secteur étant particulièrement dynamique. Le pays coiffait le classement des pays tirant le plus de revenus du tourisme international, en 2017, avec 186,6 milliards d’euros, soit 15,7% des recettes mondiales. Loin devant l’Espagne (5,1% des recettes, 60,3 milliards) et la France (4,5% des recettes, 53,7 milliards), qui complètent le podium.
Au total, parmi les vingt premières nations émettrices de touristes vers les États-Unis, huit sont en Europe. Et, parmi les plus importants marchés américains, un grand nombre est touché par l’épidémie, comme la Corée du Sud, la Chine, le Japon, l’Italie, la France ou l’Australie. En 2017, les États-Unis comptaient ainsi parmi les destinations les plus prisées des Français, avec 786.000 voyages, la première destination hors-UE devant le Maroc (581.000 voyages), la Suisse (709.000) et le Canada (291.000 voyages).
D’après les estimations d’octobre 2019, la France et l’Allemagne comptaient parmi les gros contingents de touristes aux États-Unis, avec près de 4 millions de visiteurs en 2018. Maigre consolation : le Royaume-Uni, troisième émetteur, et premier hors-ALENA, est épargné par la décision américaine. Les voyageurs britanniques pourront donc continuer de se rendre aux États-Unis.
En face, les autorités nationales des pays membres de l’Union veulent agir pour fournir un coussin protecteur aux professionnels. En France, les représentants du secteur du tourisme seront reçus cette semaine par le secrétaire d'État Jean-Baptiste Lemoyne. En outre, la commission européenne promet d’agir pour éviter la «perturbation économique» engendrée par la décision américaine. «L'Europe prend toutes les mesures nécessaires pour contenir l'expansion du Covid-19, limiter le nombre de personnes contaminées et soutenir la recherche», a déclaré le président du conseil, Charles Michel.
Reste que Bruxelles a tancé la présidence américaine sur sa décision : jeudi, la Commission a désapprouvé la décision «unilatérale» des États-Unis, prise sans consulter ses partenaires. «Le coronavirus est une crise mondiale qui ne se limite pas à un continent», ont rappelé Charles Michel et la présidente de l'exécutif européen, Ursula von der Leyen dans un communiqué laconique.
Un correcteur liquide est un produit fluide, blanc et opaque, similaire à de la peinture, qui sert à corriger les fautes sur un document produit sur papier.
Fonctions
Il remplit deux fonctions :
étant opaque, il masque la faute ;
son fini permet de réécrire à la main ou de refrapper à la machine un ou plusieurs mots par-dessus les fautes.
Présentation
Il se présente sous la forme d'une petite bouteille avec un applicateur (un pinceau ou un tampon), ou bien d'un stylo contenant le produit.
Histoire
L'un des premiers correcteurs liquides a été inventé en 1951 par la secrétaire Bette Nesmith Graham, fondatrice de Liquid Paper, et mère de Michael Nesmith, du groupe The Monkees. Historiquement les premiers enduits utilisés étaient à base de pigments (dioxyde de titane…) et de résines dissoutes dans un solvant chloré (méthylchloroforme…). Un flacon de solvant permettait de rediluer le flacon de correcteur lorsque ce dernier devenait trop épais. Toutefois, il a été découvert que certains adolescents (ce type de produit étant utilisé par beaucoup d'écoliers et de lycéens) s'en servaient comme d'une drogue, ce qui a conduit à interdire ces solvants pour ce genre d'article. C'est ainsi que sont apparues de nouvelles formules, comportant des solvants moins nocifs ou de l'eau. D'un point de vue pratique cette dernière solution présentait l'inconvénient d'un séchage moins rapide — il faut en effet que l'enduit sèche assez rapidement et qu'on puisse écrire dessus sans difficulté.
L'une des marques les plus connues proposant ce produit est Tipp-Ex, dont le nom est passé dans le langage courant en France, en Belgique et en Suisse pour appeler ce type de produit. Les correcteurs liquides sont également nommés blanc ou blanco en France et bianchetto en Italie. Au Québec, ils sont appelés liquid paper, qu'ils soient sous la forme d'un liquide ou en ruban, du nom de la marque américaine Liquid Paper.