Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
20.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
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La première évocation d'une fusée ailée capable de quitter la basse atmosphère est le fait de l'ingénieur austro-allemand Eugen Sänger en 1933. Celui-ci développe son concept à la fin de la Seconde Guerre mondiale et décrit une fusée ailée, le Silbervogel (l'oiseau d'argent, en allemand), capable d'aller bombarder les États-Unis à l'issue d'un vol suborbital après avoir rebondi plusieurs fois sur les couches les plus denses de l'atmosphère, grâce à un rapport portance/traînée élevé. Après-guerre, l'Armée de l'Air américaine fait travailler North American Aviation sur un projet de missile ailé, le Navaho. Celui-ci effectue quelques vols mais est abandonné en 1957 au profit des missiles balistiques (sans aile) Atlas, Titan et Thor, qui relèvent d'une solution technique beaucoup plus efficace.
À l'époque, le centre de recherches aéronautiques américain, le NACA — qui deviendra plus tard la NASA —, s'implique fortement dans les recherches sur les avions propulsés par fusée. Le Bell X-1 franchit le mur du son en 1947. En étudiant la conception d'engins beaucoup plus rapides et volant à haute altitude, les ingénieurs identifient rapidement les deux principales difficultés auxquelles un tel avion va être confronté : l'instabilité en vol atmosphérique et la dissipation de la chaleur au cours de la rentrée atmosphérique. Ce dernier point les conduit à imaginer différents types de boucliers thermiques. La construction de l'avion-fusée X-15 est lancée en 1954 pour permettre de tester ces solutions. L'engin expérimental permet d'atteindre au cours des années 1960 un nouveau record de vitesse (Mach 6,8) et d'altitude (108 km). Le X-15 permet d'explorer les domaines physiques d'une grande partie des phases de vol effectuées par la navette spatiale, en particulier la rentrée atmosphérique, avec la transition entre l'utilisation des moteurs-fusées et celle des gouvernes aérodynamiques
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La navette spatiale américaine (en anglais Space shuttle ou Space Transportation System, STS) est un véhicule spatial conçu et utilisé par l'agence spatiale américaine (NASA), dont le vol inaugural remonte au 12 avril 1981 et qui a été retiré du service en juillet 2011, après avoir effectué un total de 135 vols.
Elle est composée de trois sous-ensembles : l'orbiteur — qui est le seul composant à se placer en orbite et transporte le fret et les astronautes —, le réservoir externe et deux propulseurs d'appoint. Le terme « navette spatiale » s'applique uniquement à l'orbiteur, qui revient se poser comme un planeur sur une piste d'atterrissage et peut être réutilisé pour un nouveau vol. Les propulseurs d'appoint sont également conçus pour être réutilisables. L'orbiteur, qui constitue l'élément le plus complexe, a été construit à cinq exemplaires, dont deux, Challenger et Columbia, ont été détruits aux cours d'accidents entraînant la perte de leurs équipages.
La navette spatiale, qui pèse plus de 2 000 tonnes, décolle verticalement comme une fusée. Au cours de son ascension, elle se sépare successivement de ses propulseurs d'appoint, puis de son réservoir externe. À l'issue de la mission, l'orbiteur revient seul sur Terre. Il effectue une rentrée atmosphérique au cours de laquelle il ralentit fortement en dissipant une grande quantité de chaleur, puis entame une phase de vol non propulsé à la manière d'un planeur, avant d'atterrir sur une piste de grande longueur. L'orbiteur ainsi que les propulseurs d'appoint sont remis en état puis réutilisés. La navette spatiale peut placer en orbite basse 24,5 tonnes de charge utile et huit astronautes (ce qui constitue le record actuel, réalisé à deux reprises) et peut en prendre en charge jusqu'à onze pour une mission d'urgence. L'orbiteur est un engin spatial d'une polyvalence inégalée : il dispose d'une grande soute, d'un bras permettant le maniement de lourdes charges dans l'espace et d'un sas utilisé pour les sortie extravéhiculaires ou l'amarrage à une station spatiale. Son autonomie en mission est d'environ deux semaines.
En concevant au début des années 1970 un engin spatial réutilisable, la NASA espère pouvoir abaisser fortement les coûts du lancement spatial, qui a jusque-là recours à des fusées perdues après usage. Mais les compromis techniques retenus à la conception pour des raisons financières, et surtout la complexité inhérente au concept, induisent des coûts de développement et d'exploitation (500 millions de dollars par lancement) très élevés. Lorsque sa carrière opérationnelle débute en 1982, tous les lancements de satellites américains sont pris en charge par la flotte des quatre navettes spatiales. Grâce à un dumping important sur les prix la navette occupe même une place dominante sur le marché des lancements commerciaux. Mais il apparaît rapidement que la navette ne sera jamais un moyen de lancement concurrentiel par rapport aux fusées, car la cadence des lancements espérée ne peut être tenue. Après la destruction de la navette spatiale Challenger début 1986, qui entraîne la perte de son équipage, l'utilisation de la navette est limitée au lancement des satellites non commerciaux et aux expériences scientifiques en orbite. À compter de la fin des années 1990, sa mission principale est la desserte de la station spatiale Mir, puis de la Station spatiale internationale. Un deuxième accident en 2003, accompagné une fois de plus de la perte de l'équipage, accélère la décision de mettre à la retraite la flotte des navettes, dont le dernier vol a eu lieu en juillet 2011. La navette spatiale a effectué 135 vols au cours d'une carrière de près de trente ans.
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1966
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Une Américaine sur quinze n’était pas consentante lors de son premier rapport sexuel, selon une étude qui souligne les effets négatifs à long terme de ce « traumatisme » sur leur santé.
Aux Etats-Unis, « le mouvement #MeToo a révélé à quel point les femmes sont souvent victimes de violences sexuelles, mais aucune étude récente n’avait évalué la prévalence de la contrainte lors du premier rapport sexuel et son impact en terme de santé », écrivent les chercheurs en guise d’introduction.
Publiée lundi dans une revue de l’Association américaine de médecine (JAMA Internal medecine), leur étude se base sur un échantillon de plus de 13 310 femmes âgées de 18 à 44 ans, interrogées dans le cadre d’une enquête des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) réalisée entre 2011 et 2017.
Une femme sur 15 a été victime d’un violEnviron 6,5% d’entre elles ont répondu ne pas avoir été consentantes lors de leur premier rapport sexuel, ce qui extrapolé à la population des Etats-Unis correspond à plus de 3,3 millions de femmes de cette tranche d’âge, relèvent les auteurs. Soit une femme sur 15.
Ces femmes disent avoir subi une ou plusieurs formes de contraintes:
56,4% ont fait l’objet de pressions verbales,
46,3% ont été maintenues contre leur gré,
25,1% ont été victimes de violences,
22% ont été forcées de boire ou de se droguer,
16% étaient sous la menace d’une rupture.
Tous les groupes ethniques et sociaux sont concernés, avec un risque plus élevé pour les femmes noires, nées en dehors des Etats-Unis, pauvres et moins éduquées.
La principale différence avec les femmes consentantes lors de leur premier rapport sexuel est liée à l’âge: en moyenne, les femmes non consentantes avaient un peu plus de 15 ans, contre 17 pour les consentantes, et l’homme était beaucoup plus âgé : 27 ans contre 21. Les auteurs de l’étude relèvent :
« Ces initiations sexuelles forcées semblent liées à plusieurs problèmes de santé »,
Les femmes ayant été contraintes lors de leur premier rapport sexuel semblent plus susceptibles d’avoir une grossesse non désirée que les femmes consentantes, avortent davantage, souffrent plus d’endométriose, de maladie pelvienne inflammatoire et de problèmes d’ovulation ou lors des règles.
Leur santé générale est également plus mauvaise, avec davantage de consommation de drogues ou de problèmes mentaux, relèvent les auteurs de l’étude, en plaidant pour renforcer les politiques publiques de lutte contre les violences sexuelles.
Le terme « viol » n’est jamais employé dans l’étude, même si des situations qui y sont abordées semblent correspondre à cette définition pénale.
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Dès 1935 aux États-Unis, et 1937 en France, certaines boissons étaient vendues en boîtes rondes métalliques, sans anneau d'ouverture facile. En 1935, la Gottfried Krueger Brewing Company est la première société à proposer de la bière conditionnée dans ce qui est l'ancêtre des « canettes » utilisées aujourd'hui.
Fabriquées en fer-blanc, semblables aux boîtes destinées à la conserve, on les appelait tin can, ce qui signifie « boîte en fer-blanc », ou plus simplement can.
Elles étaient ouvertes avec un ouvre-boîtes spécial qui permettait de faire deux ouvertures dans l'un des deux couvercles. L'un des trous permettait à l'air d'entrer tandis que l'autre laissait s'écouler le liquide, soit dans un verre soit directement à la bouche.
En 1959, le brasseur américain Coors Brewing Company introduit la boîte en aluminium. Ces premières boîtes faites entièrement d'aluminium ressemblaient beaucoup aux boîtes de conserve en fer-blanc.
En 1962, grâce à l'invention d'Ermal Fraze, les entreprises Alcoa et Pittsburgh Brewing Company introduisirent les couvercles à ouverture facile en commercialisant la bière Iron City Beer avec le slogan « Easy-Open Snap Top » que l'on peut traduire librement par « dessus à ouverture facile ».
Dans les années 1970, ces boissons américaines en boîte arrivent en force sur le marché français. Elles étaient toujours appelées can par les Anglo-Saxons — ce mot signifiant « récipient métallique » comme dans « jerrican », « boîte de conserve métallique » et « boîte métallique » par extension — et « boîte » par les professionnels francophones alors que le mot « canette » s’est imposé au grand public francophone, par déformation du mot anglais can. Dès les années 1980, le mot « canette » était utilisé par la presse québécoise
Avant 1980, ces boîtes étaient fabriquées avec un anneau qui se détachait lors de l'ouverture. Lorsqu'ils étaient jetés dans la nature, ces anneaux causaient par leurs bords tranchants divers désordres, notamment des blessures aux pieds nus sur les plages. Pour remédier à cette situation, des industriels travaillèrent sur le moyen de maintenir l'anneau attaché au couvercle de la boîte.
Daniel F. Cudzik, un employé de Reynolds Metals Company, a travaillé cinq ans à développer le procédé industriel qui a permis de maintenir l'anneau attaché à la boîte. Breveté en juillet 1976, ce procédé est appelé Stay-On-Tab.
En 1996, 80 % des canettes vendues sur le marché mondial sont en aluminium.
Les boîtes métalliques vides sont capables de supporter une masse axiale d'environ 100 kg sans s'écraser, ce qui permet de monter dessus debout sans qu'elles s'écrasent. En revanche, un adulte peut facilement presser et déformer une boîte vide par l'action mécanique de la main.
Les Français consomment en moyenne une cinquantaine de boîtes par an, soit 7 à 8 fois moins que les Américains. Les jeunes jusqu'à 25 ans les consomment en nombre, pour ensuite leur préférer les bouteilles en verre.
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Mount Rainier, Washington (par Protik Hossain )
Les premières coulées de lave du mont Rainier remontent à environ 840 000 ans et font partie d'une formation géologique nommée Formation Lily (2,9 millions d'années à 840 000 ans). Les premières laves formèrent un volcan primitif dont le cône se forma bien avant celui visible aujourd'hui. Le cône actuel du volcan date d'environ 500 000 ans. Le volcan est fortement érodé à cause des glaciers sur ses flancs, qui sont en général composés d'andésite.
Dans le passé, le mont Rainier fut à l'origine de grandes coulées de boues mélangeant des cendres et de la glace fondue par la chaleur du volcan. Le mont était dans le passé plus haut qu'aujourd'hui avec une altitude d'environ 4 875 mètres mais un glissement de terrain du nom d'Osceola abaissa la hauteur du sommet, il y a environ 5 000 ans. Des coulées ont ainsi atteint le Puget Sound qui se trouve à des dizaines de kilomètres du volcan ainsi que la région des villes de Seattle et Tacoma. Il y a environ 550 ans, un glissement de terrain de plus faible ampleur du nom d'Electron s'est produit. Depuis le glissement d'il y a 5 000 ans, des éruptions de lave ont façonné le nouveau cône du volcan. L'éruption la plus récente enregistrée s'est produite entre 1820 et 1854. Néanmoins, des témoins auraient aperçu des activités éruptives en 1870, 1879, 188211 et 1894. Actuellement, il n'y a pas de menace d'éruption mais les volcanologues n'excluent pas le risque dans l'avenir et le volcan est surveillé en permanence.
Le danger principal du mont Rainier provient des possibles coulées de boues car plusieurs localités sont implantées sur des dépôts d'anciennes coulées. Plusieurs localités comme Tacoma, Kent, Auburn, et Renton seraient ainsi menacées au cas où une coulée de boue identique à celle de Osceola se reproduirait. Une telle coulée serait susceptible d'atteindre l'estuaire de la Duwamish en détruisant plusieurs quartiers de la ville de Seattle. Un tsunami dans le Puget Sound serait tout à fait envisageable. Le mont pourrait être également à l'origine de nouvelles coulées de laves ou de coulées pyroclastiques. Selon le service de géologie américain, le volcan est classé en troisième position du classement des volcans les plus dangereux du pays après le Kīlauea et le mont Saint Helens