Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
20.11.2024
18326 articles
>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1154)
· A à Z : Sommaire (355)
· Mannequin de charme (945)
· Musique (399)
· Monde : France (2739)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (265)
· Cinéma : Films à classer (153)
· Calendrier : Naissances (246)
· Mannequin (210)
air amour annonce art article background base belle bienvenue blogs center centerblog
Articles les plus lus· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)
· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
National Geographic est un magazine mensuel publié par la National Geographic Society, une société américaine. Il est immédiatement identifiable grâce au cadre jaune de sa couverture. Le premier numéro américain a été publié en 1888. L’édition française du National Geographic existe depuis 1999.
Ses thématiques sont la géographie, les sciences, l’histoire, la culture, la photographie, la vie animale, la protection des espèces menacées ou encore l’archéologie. Des cartes en supplément accompagnent parfois certains numéros. Occasionnellement, des hors-séries sont publiés. La version française est publiée par le groupe de presse Prisma Media. Son rédacteur en chef est Gabriel Joseph-Dezaize et la rédactrice en chef adjointe est Catherine Ritchie.
National Geographic est décliné dans trente-trois éditions étrangères, qui touchent chaque mois plus de quarante millions de lecteurs. En 2007, 2008 et 2010, l’édition américaine du magazine a remporté le prix d’excellence de l’American Society of Magazine Editors. En 2013, National Geographic reçoit le Prix du meilleur magazine au Pictures of the Year International (POYi)
Le premier numéro du National Geographic est publié en 1888, neuf mois après la création de la National Geographic Society. Dès 1905, le magazine intègre la photographie : une pleine page de photos prises au Tibet entre 1900 et 1901 par les deux explorateurs russes Gombojab Tsybikov et Ovshe Norzunov illustre le numéro de janvier.
En juin 1985, le portrait en couverture de la petite fille afghane Sharbat Gula est devenu l’une des images les plus emblématiques du National Geographic
En France
Le premier numéro de National Geographic en français est publié en octobre 1999. L’édition française a été l’une des premières éditions étrangères à être lancées. Son tirage mensuel est d’environ 95 000 exemplaires, touchant plus de deux millions de lecteurs en France, ce qui en fait l’une des plus importantes en audience, après l’édition américaine.
Une partie du magazine est traduite de l’américain. La version française produit de nombreux reportages et six hors-séries par an. En 2016 la France a lancé National Geographic Traveler, le nouveau magazine de voyages (six numéros par an dont deux hors-séries). En 2019 un nouveau hors-série "Anthologie" dédié aux belles photos de la National Geographic Society a été lancé.
L’édition française a remporté plusieurs prix. Entre autres, le prix France Rails du meilleur lancement en 1999 ; le prix France Rails dans la catégorie « Tourisme » en 2003 et 2005 ; le prix SMPI en 2007 dans la catégorie Voyages et découvertes.
« Le plus beau, celui qui fait rêver. Des angles originaux, des sujets qui intriguent, une image superbe, toujours innovante, qui amène à la lecture de papiers particulièrement riches et denses. Le magazine de découverte et de connaissance par excellence. »
— L’avis du Jury
Des articles français ont été primés par la National Geographic Society à Washington. En 2010, « La traque du chytride commence », de Céline Lison, illustré par les photos de Denis Palanque, a remporté le prix du meilleur article parmi toutes les éditions étrangères.
Entre 1999 et 2008, National Geographic en français a organisé un concours de géographie pour les moins de 16 ans (l’équivalent du National Geographic Bee aux États-Unis), afin de sélectionner les représentants français pour le championnat du monde de géographie.
Photographie
Le magazine est reconnu pour la qualité de son édition et de ses photographies. Les travaux de certains des meilleurs photojournalistes du monde ont été publiés dans ses pages. Les premières photos en couleurs sont apparues au début du xxe siècle dans le magazine, qui devient pionnier en la matière. En 1959, le magazine commence à publier de petites photos en couverture, qui s’agrandissent par la suite. Depuis 2006, l’édition américaine organise un concours international de photographie, auquel dix-huit pays participent.
Les différentes éditions
En 1995, National Geographic lance au Japon sa première édition étrangère. Trente-deux éditions différentes ont vu le jour depuis : allemand, arabe, bulgare, chinois traditionnel et simplifié, coréen, croate, danois, espagnol (Espagne), espagnol (Amérique du Sud), finnois, français, grecque, hébreu, hébreu orthodoxe, hongrois, indonésien, italien, japonais, lituanien, néerlandais, norvégien, polonais, portugais (Portugal), portugais (Brésil), roumain, russe, serbe, slovène, suédois, tchèque, thaïlandais et turc.
Langue | Site internet | Rédacteur en chef | Premier numéro |
---|---|---|---|
Allemand | www.nationalgeographic.de | Erwin Brunner | Octobre 1999 |
Anglais | www.nationalgeographic.com/ngm | Susan Goldberg (en) | Octobre 1888 |
Arabe | www.ngalarabiya.com | Mohammed Al-Hamady | 2010 |
Bulgare | www.nationalgeographic.bg | Krassimir Drumev | Novembre 2005 |
Chinois | www.huaxia-ng.com | Ye Nan | Juillet 2007 |
Chinois (Taiwan) | « www.ngm.com.tw » | Roger Pan | Janvier 2001 |
Coréen (Corée du Sud) | www.nationalgeographic.co.kr | Kay Wang | Janvier 2000 |
Croate | www.nationalgeographic.com.hr | Hrvoje Prćić | Novembre 2003 |
Danois | www.nationalgeographic.dk | Karen Gunn | Septembre 2000 |
Espagnol (Amérique latine) | www.ngenespanol.com | Omar Lopez | Novembre 1997 |
Espagnol (Espagne) | www.nationalgeographic.com.es | Josep Cabello | Octobre 1997 |
Français (France/Belgique) | www.nationalgeographic.fr | Gabriel Joseph-Dezaize | Octobre 1999 |
Finnois | www.nationalgeographic-suomi.com | Karen Gunn | Janvier 2001 |
Grec | www.nationalgeographic.gr | Maria Atmatzidou | Octobre 1998 |
Hongrois | www.geographic.hu | Tamás Schlosser | Mars 2003 |
Hebreu | Daphne Raz | Juin 1998 | |
Indonésien | www.nationalgeographic.co.id | Tantyo Bangun | Mars 2005 |
Italien | www.nationalgeographic.it | Guglielmo Pepe | Février 1998 |
Japonais | www.nationalgeographic.jp | Hiroyuki Fujita | Avril 1995 |
Lituanien | www.nationalgeographic.lt | Frederikas Jansonas | Octobre 2009 |
Néerlandais (Pays-Bas/Belgique) | www.nationalgeographic.nl | Aart Aarsbergen | Octobre 2000 |
Norvégien | www.nationalgeographic.no | Karen Gunn | Septembre 2000 |
Polonais | www.nationalgeographic.pl | Martyna Wojciechowska | Octobre 1999 |
Portugais (Brésil) | nationalgeographic.abril.com.br | Matthew Shirts | Mai 2000 |
Portugais (Portugal) | www.nationalgeographic.pt | Gonçalo Pereira | Avril 2001 |
Roumain | www.national-geographic.ro | Cristian Lascu | Mai 2003 |
Russe | www.national-geographic.ru | Andrei Doubrovski | Octobre 2003 |
Serbe | « www.nationalgeographic-srbija.com » | Igor Rill | Novembre 2006 |
Slovène | www.nationalgeographic.si | Marija Javornik | Avril 2006 |
Suédois | www.nationalgeographic.se | Karen Gunn | Septembre 2000 |
Tchèque | www.national-geographic.cz | Tomáš Tureček | Octobre 2002 |
Thaïlandais | www.ngthai.com | Kowit Phadungruangkij | Août 2001 |
Turc | www.nationalgeographic.com.tr | Nesibe Bat | Mai 2001 |
|
Gail Fisher, née le 18 août 1935 à Orange, New Jersey (États-Unis) et morte le 2 décembre 2000 à Culver City (Californie), est une actrice afro-américaine. Elle a connu une notoriété internationale pour son interprétation du rôle de Peggy Fair, la secrétaire du détective privé Joe Mannix dans la série Mannix. Dans ce rôle, elle a gagné deux Golden Globe et un Emmy Award. Elle est la première femme noire à gagner un Golden Globe
Dernière née d'une fratrie de cinq enfants, Abigaïl Fisher a vu le jour à Orange (New Jersey). Son père mourut alors qu'elle n'avait que deux ans : aussi fut-elle élevée par sa mère, Ona Fisher, qui tenait un salon de coiffure à domicile dans la banlieue de Potter's Crossing à Edison (New Jersey). Elle passa sa licence à Metuchen. Adolescente, elle fut pom-pom girl et participa à plusieurs concours de beauté : elle obtint les titres de Miss Transit, de Miss Black New Jersey, et de Miss Press Photographer.
Lauréate d'un concours organisé par Coca-Cola, Fisher obtint une bourse pour deux années d'étude à l’American Academy of Dramatic Arts. Elle travailla ainsi sous la direction de Lee Strasberg et devint membre du Repertory Theater de Lincoln Center ; là, elle travailla avec Elia Kazan et Herbert Blau. Parallèlement, elle gagnait sa vie comme mannequin.
Gaïl Fisher fait sa première apparition à la télévision en 1960 dans l'émission « Play of the Week. » Toujours au début des années 1960, elle joue dans une publicité pour la lessive Sun, et affirmera par la suite que cette publicité a fait d'elle « la première femme noire... non, mettons même le premier noir tout court, à tourner une publicité télé à la caméra. » En 1965, Herbert Blau lui confie un rôle dans sa mise en scène de « La Mort de Danton. »
Elle apparaît pour la première fois dans Mannix au cours de la deuxième saison, marquée par le départ de Mannix du bureau de détectives Intertect pour se mettre à son compte. En 1968, on la retrouve dans certains épisodes de la série télévisée Mes trois fils, Love, American Style, et Room 222. En 1970, son interprétation dans Mannix est couronnée par l'attribution de l'Emmy Award pour meilleur second rôle dans une série télévisée dramatique : elle surclasse pour l'occasion Susan Saint James (avec Les Règles du jeu) et Barbara Anderson (pour L'Homme de fer), et devient la première femme noire à remporter un Emmy Award. Après l'arrêt de la série Mannix, en 1975, elle se fit plus rare à l'écran. Elle est artiste invitée dans un épisode de la série L'Ombre blanche, en 1980.
Elle disparaît à Los Angeles à l'âge de 65 ans d'une insuffisance rénale
Filmographie
1987 : Mankillers (en) de David A. Prior : Joan Hanson
1972 : Every Man Needs One (en) de Jerry Paris : Pauline Kramer
1990 : Coma (Donor) de Larry Shaw : Secrétaire
1959 : Play of the Week (en) : Joyce Lane
1962 : Les Accusés (The Defenders) : La chanteuse
1963 : Hôpital central (General Hospital) : Juge Heller
1967 : He & She (en) : Helen
1967 : The Second Hundred Years (en) : Young Matron
1968 : Mes trois fils (My Three Sons) : Carla
1968 - 1975 : Mannix : Peggy Fair, secrétaire de Mannix
1969 - 1971 : Love, American Style : Mercy / Penny
1970 : Insight : Mrs. Carter
1971 : Room 222 : Diana Brown
1975 : Médecins d'aujourd'hui (Medical Center) : Bonnie Horne
1979 : L'Île fantastique (Fantasy Island) : Dr Frantz
1983 : K 2000 (Knight Rider) : Thelma
1985 : Hôtel (Hotel) : Fran Willis
1986 : He's the Mayor (en) : Lila
Emmy de la meilleure actrice dans un second rôle au cours de la saison 1969-1970
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : 2024 | |||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Conrad Robert Falk, dit Robert Conrad, est un acteur américain, né le 1er mars 1935 à Chicago et mort le 8 février 2020 à Malibu en Californie.
Il est principalement connu pour ses rôles de James T. West dans la série télévisée Les Mystères de l'Ouest (The Wild Wild West) de 1965 à 1969, et de Pappy Boyington dans la série Les Têtes brûlées (Baa Baa Black Sheep) de 1976 à 1978
Robert Conrad est le fils de Leonard Falk (né en 1918), un responsable technique dans une usine de chocolat du New Jersey d'origine allemande, et de Jackie Smith (née Alice Jacqueline Hartman, en 1919), une directrice des relations publiques de Mercury Records qui est par la suite l'épouse de l'animateur de radio Eddie Hubbard de 1948 à 1958.
Il grandit à Chicago. Ancien boxeur à l'âge de seize ans dans la catégorie poids plume (il mesure 1,67 m), il est aussi livreur de lait puis docker le jour tout en se produisant comme chanteur dans des cabarets le soir ; il réussit également à intégrer un programme d'études théâtrales à l'université Northwestern. Conrad Robert Falk décide alors de changer de nom pour Robert Conrad en raison des différents remariages de sa mère pour ne plus prendre le nom de ses beaux-pères successifs.
Dans les années 1950, Robert Conrad tente une carrière de chanteur crooner et sort plusieurs disques I Want You Pretty Baby, Ballin' the Jack.
Engagé par les studios Warner Bros, il débute au cinéma puis décroche en 1958 des petits rôles dans des séries télévisées Colt 45, Maverick, 77 Sunset strip. Il tient pendant quatre ans le rôle de Tom Lopaka pour la série Hawaiian Eye (1959-1963). Il enchaîne ensuite les premiers rôles dans des séries du petit écran.
De 1965 à 1969, il incarne le personnage de James West dans la série Les Mystères de l'Ouest puis l'espion Jake Webster dans L'Homme de Vienne (1972). De 1976 à 1978, il tient le rôle de l'aviateur Greg « Pappy » Boyington, héros de la guerre dans le Pacifique, dans la série Les Têtes brûlées. À la fin des années 1970, il reprend un rôle similaire à celui de James West dans la série Sloane, agent spécial (1979) et celui de Pasquinel dans la mini-série Colorado (1978).
Se faisant plus rare à la télévision par la suite, mis à part dans des publicités et quelques téléfilms où il reprend le rôle de James West, il tourne en 1988 avec ses deux fils une série intitulée High Mountain Rangers.
À partir de 2007, il anime une émission de radio nationale hebdomadaire de deux heures (« The PM Show with Robert Conrad ») sur CRN Digital Talk Radio (en).
Il est apparu dans le film documentaire Pappy Boyington Field (sorti en juillet 2010 sur DVD) où il raconte ses idées personnelles sur le légendaire aviateur du Marine Corps qu'il a incarné dans la série télévisée Les Têtes brûlées
Robert Conrad meurt d'un arrêt cardiaque à Malibu à l’âge de 84 ans
Cinéma
1958 : Thundering Jets : le lieutenant Robert Kiley
1963 : Les dingues sont lachés (Palm Springs Weekend) de Norman Taurog : Eric Dean
1964 : la nouvelle cendrillon (La nueva cenicienta) : Bob
1967 : Ven a Cantar Conmigo : Bob
1967 : The Bandits : Chris Barrett
1975 : Les Gagneurs (Murph the Surf) : Allan Kuhn
1977 : Sudden Death : Duke Smith
1979 : Du rouge pour un truand (The Lady in Red) : John Dilinger
1982 : Meurtres en direct (Wrong Is Right) de Richard Brooks : le lieutenant général Wombat
1983 : Samurai Cowboy : Gabe McBride
1985 : Les Zéros de conduite (Moving Violations) : Chef Rowe
1996 : La Course au jouet (Jingle All the Way) de Brian Levant : l'officier Hummell
1999 : Garbage Day : l'éboueur
Télévision
1959 : Lawman (Série) : Davey Catterton
1959 : Highway Patrol : Tommy Chugg
1959 : Maverick : Davie Barrows
1959 : Remous : Hal Peters
1959-1962 : 77 Sunset Strip : Tom Lopaka
1959-1963 : Intrigues à Hawaï : Tom Lopaka
1965-1969 : Les Mystères de l'Ouest : James West
1968 : Mission Impossible (saison 3, épisodes 2 et 3, « Combats ») : Bobby
1969 : Mannix : Mitch Cantrell
1970 : Weekend of Terror de Jud Taylor (téléfilm) : Eddie
1970 : Mission Impossible (saison 5, épisode 1, « Le Tueur ») : Eddie Lorca
1972 : Adventures of Nick Carter : Nick Carter
1972-1973 : L'Homme de Vienne : Jake Webster
1972 : Mission Impossible (saison 7, épisode 1, « Billard électronique ») : Press Allen
1974 : Columbo (épisode « Exercice fatal ») : Milo Janus
1976 : Carambolage (téléfilm) : le sergent Sam Marcum
1976-1978 : Les Têtes brûlées : le major Greg « Pappy » Boyington
1978 : Colorado : Pasquinel
1979 : The Duke : Oscar « The Duke » Ramsey
1979 : Sloane, agent spécial : Thomas R. Sloane III
1979 : Le Retour des Mystères de l'Ouest (téléfilm) : James West
1980 : Encore plus de Mystères de l'Ouest (téléfilm) : James West
1980 : Coach of the Year (téléfilm) : Jim Brandon
1984 : Hard Knox (téléfilm) : le colonel Joe Knox
1985 : Two Father's Justice (téléfilm) : Bill Stackhouse
1986 : Assassin (téléfilm) : Henry Stanton
1986 : Charley Hannah (téléfilm) : Charley Hannah
1986 : Le Cinquième Missile (The Fifth Missile) (téléfilm) : le commander Mark Van Meer
1986 : Le Bras armé de la loi
1987 : High Mountain Rangers (téléfilm) : Jesse Hawkes
1988 : High Mountain Rangers : Jesse Hawkes
1990 : Les rescapés de l'Alaska (téléfilm) : Eddie Barton
1992 : Mario and the Mob (téléfilm) : Mario Dante
1995 : High Sierra Search and Rescue : Griffin Campbell
|
Quelques heures avant la 92e cérémonie des Oscars, le deuil se prolonge à Hollywood : après la disparition de Kirk Douglas à l'âge de 103 ans, c'est une autre légende, du petit écran cette fois, qui vient de s'éteindre : Robert Conrad. Le comédien, âgé de 84 ans, était réputé pour deux séries marquantes des années 1960 et 1970, «Les Mystères de l'Ouest» et «Les Têtes brûlées».
Il a d'abord été chanteur
Fils d'un responsable technique et d'une mère directrice des relations publiques sur le label musical Mercury Records, l'homme au regard bleu vert clair n'a pas connu de débuts faciles. Né en 1935 à Chicago où il passe son enfance, ce beau gosse au petit gabarit - 1 m 67 - devient boxeur en catégorie poids plume, et alterne les petits boulots comme livreur de lait ou docker. Puis, cet habitué des cabarets se lance dans les années 1950 dans une carrière de chanteur sous le nom de Bob Conrad, sort plusieurs disques où il joue les crooners playboys pop, tout en prenant des cours de théâtre.
Comme DiCaprio dans «Once Upon A Time… In Hollywood»
Au milieu des années 1950, il va devenir un acteur en contrat avec un grand studio, comme beaucoup à cette époque. C'est ce que raconte notamment « Once Upon A Time… In Hollywood », le dernier film de Quentin Tarantino, dans lequel Leonardo DiCaprio incarne un comédien de séries westerns sous contrat, ce qui était le cas de Robert Conrad. Il en signe un premier avec Warner Bros, chez qui il va décrocher plusieurs petits rôles au cinéma, avant de s'illustrer dans la série d'ABC « Intrigues à Hawaï » entre 1959 et 1963.
Il a vraiment été shérif
En 1965, Conrad décroche, chez CBS, le contrat qui va le rendre populaire : la série « Les Mystères de l'Ouest », produite jusqu'en 1969, pour quatre saisons de 28 ou 24 épisodes diffusées à l'époque en France sur la deuxième chaîne de l'ORTF puis dans « La Une est à vous ». Il y incarne James West, sorte de super shérif œuvrant pour les services secrets américains à la fin du XIXe siècle.
Homme d'action entièrement vêtu de noir faisant équipe avec le pince-sans-rire Artemus Gordon (joué par Ross Martin), il y affronte d'étranges adversaires, la série mélangeant western et fantastique. Or, bien des années plus tard, Robert Conrad endossera réellement les habits d'homme de loi américain. Au milieu des années 1980, il vend sa villa de Malibu pour s'installer dans la Vallée de l'Ours, en Californie du Nord, où il continue à s'adonner à la boxe pour son plaisir. Et il accepte un temps le poste d'assistant-shérif de sa vallée : « Les bagarres entre touristes, ça me connaît, déclare-t-il en 1989 à Télé-Loisirs à propos de ses fonctions. Ce sont d'ailleurs les seuls incidents regrettables, la région connaissant seulement une très faible criminalité ! Bref, ici, je prends le temps de vivre. »
Pappy Boyington a vraiment existé
En 1972, Robert Conrad s'engage avec NBC dans la série « Les Têtes brûlées », pour deux saisons de 23 et 13 épisodes, entre 1976 et 1978. La série à succès, diffusée en France sur Antenne 2 entre 1977 et 1979, raconte le quotidien d'une escadrille de pilotes de Corsair hors-norme et casse-cou durant la guerre du Pacifique et la Seconde Guerre mondiale. Son héros, Greg « Pappy » Boyington, est un meneur d'hommes, un as du pilotage au grand cœur qui ne se sépare jamais de son chien, un bull-terrier surnommé « Barback ».
Or Gregory Boyington a vraiment existé : cette forte tête a été recrutée par l'armée américaine pour former une escadrille de pilotes mauvais garçons n'ayant peur de rien, qui va s'illustrer durant le conflit. Ces militaires sont tous âgés d'une vingtaine d'années, tandis que leur chef, Boyington, en a 30, d'où le surnom de « pappy » donné par ses pilotes. Après le conflit, l'homme raconte son parcours dans un livre, qui servira de base au synopsis de la série.
Il a été condamné pour un accident mortel
La suite de la carrière et de la vie de Robert Conrad est moins glorieuse. Après d'autres séries puis des petits rôles à la télévision et au cinéma à la fin des années 1970 et dans les années 1980, on ne le voit plus sur les écrans. Père de huit enfants, il lance son émission de radio hebdomadaire en 2007 sur CRN.
Mais il est aussi impliqué dans un grave accident en 2003. Sous l'emprise de l'alcool, il percute un autre conducteur qui décède, à la suite de ses blessures. Reconnu coupable de conduite en état d'ivresse, Robert Conrad est condamné à six mois de prison avec sursis. Lui-même grièvement blessé dans l'accident, sa moelle épinière et ses nerfs ont été atteints, il est resté paralysé du côté droit.
|
Orson Bean, nom de scène de Dallas Frederick Burroughs, est un acteur américain né le 22 juillet 1928 à Burlington (Vermont) et mort le 7 février 2020 à Los Angeles (Californie)
Orson Bean fut placé sur la liste noire à l'époque du maccarthysme.
Orson Bean est un acteur américain qui est connu pour son rôle de Loren Bray dans les épisodes de la série Docteur Quinn femme médecin et son rôle de Roy Bender dans la série Desperate Housewives.
Orson Bean meurt percuté par deux voitures en traversant la chaussée le 7 février 2020 à l'âge de 91 ans.
Alley Mills est sa troisième épouse.
Filmographie
1954 : The Blue Angel (série télévisée) : Host
1955 : How to Be Very, Very Popular de Nunnally Johnson : Toby Marshall
1956 : Showdown at Ulcer Gulch de Shamus Culhane : Llewelyn Throckmorton, III
1959 : Autopsie d'un meurtre (Anatomy of a Murder) d'Otto Preminger : Dr Matthew Smith
1959 : Miracle on 34th Street (TV) : DrWilliam Sawyer
1959 : La Quatrième Dimension, L'homme qui voulait rester jeune : Monsieur Bavis
1966 : The Star Wagon (TV) : Stephen Minch
1969 : L'Ange et le Démon (Twinky) deRichard Donner : Hal
1970 : A Connecticut Yankee in King Arthur's Court (TV) : Hank / Sir Boss
1977 : Forever Fernwood (série TV) : le révérend Brim
1977 : The Hobbit (TV) : Bilbo Baggins (voix)
1976 : Mary Hartman, Mary Hartman (série TV) : le révérend Brim (1977-1978)
1980 : The Return of the King (TV) : Frodo / Bilbo Baggins (voix)
1982 : New-York, 42e rue (Forty Deuce) de Paul Morrissey : Mr. Roper
1968 : On ne vit qu'une fois ("One Life to Live") (série TV) : Harrison Logan (1982)
1984 : Garfield in the Rough (en) (TV) : Billy Rabbit (voix)
1986 : Smart Alec de Jim Wilson : Arthur Fitzgerald
1987 : L'Aventure intérieure (Innerspace) de Joe Dante : le directeur du journal de Lydia
1990 : Instant Karma de Roderick Taylor : DrBerlin
1991 : Chance of a Lifetime (TV) : Fred
1992 : Final Judgement de Louis Morneau : Monsignor Corelli
1992 : Le Temps d'une idylle (Just My Imagination) (TV) : Jeremy Sticher
1993 : Docteur Quinn femme médecin (DrQuinn, Medicine Woman) (TV) : Loren Bray
1997 : One of Those Nights de Lina Shanklin : le voisin
1999 : Une famille déchirée (Dr Quinn Medicine Woman: The Movie) (TV) deJames Keach : Loren Bray
1999 : Dans la peau de John Malkovich(Being John Malkovich) de Spike Jonze : DrLester
1999 : Unbowed de Nanci Rossov : Purdy
2000 : Normal, Ohio ("Normal, Ohio") (série TV) : William 'Bill' Gamble, Sr.
2000 : Will et Grace (série TV) : Joseph Dudley (saison 2, épisode 21)
2001 : The Gristle de David Portlock : Mr. Bowen
2001 : Burning Down the House de Philippe Mora
2002 : Frank McKlusky, C.I. (vidéo) d'Arlene Sanford : Mr. Gafty
2002 : Sept à la maison (TV) (saison 7, épisodes 21 et 22) : faux Andrew Hampton
2003 : Knee High P.I. (TV) : Macintyre
2004 : Myron's Movie de Maggie Soboil : Stanley
2004 : Soccer Dog 2 : Championnat d'Europe (Soccer Dog: European Cup) de Sandy Tung : Mayor Milton Gallagher
2004 : Cacophony de Dooho Choi : Ferruccio
2004 : The Novice : Père McIlhenny
2005 : Mattie Fresno and the Holoflux Universe : Raff Buddemeyer
2005 : Yesterday's Dreams : Tony Vicedomini
2005 : Mon oncle Charlie (TV) : Norman, (saison 2, épisode 24)
2006 : Commander in Chief (TV) : Bill Harrison, (saison 1, épisode 14)
2006 : Alien Autopsy (en) de Jonny Campbell (en) : Homeless Man
2007 : The Closer : L.A. enquêtes prioritaires : Donald Baxter
2008 : How I Met Your Mother (saison 3) : Bob
2009 à 2012 : Desperate Housewives (TV) : Roy Bender
2009 : Le Bateau de l'espoir (Safe Harbor) (TV) : juge
2014 : Mistresses : un patient de Karen
2016 : Modern Family : Marty
2016 : Amour, Gloire et Beauté : Howard
2016 : Another Period : Laverne Fusselforth V
2018 : Equalizer 2 (The Equalizer 2) d'Antoine Fuqua : Sam Rubinstein
|
Mort d'Orson Bean ("Desperate", "Dr Quinn"), fauché par deux voitures...
Dans la kyrielle de tragédies qui ont pu frapper le quartier en apparence paisible de Wisteria Lane au cours des huit saisons de la série Desperate Housewives, Orson Bean, dans la peau de son personnage de Roy Bender, avait eu son lot, découvrant que son épouse bien-aimée Karen McCluskey avait un cancer en phase terminale ; mais Roy lui-même avait été relativement épargné, comparé à d'autres. La réalité aura finalement été plus cruelle : l'acteur américain est mort accidentellement dans la soirée du 7 février 2020 dans des circonstances particulièrement brutales...
|
Miss de l'année :
Miss Janvier :
Miss Février :
Miss Mars :
Miss Avril :
Miss Mai :
Miss Juin :
Miss Juillet :
Miss Août :
Miss Septembre :
Miss Octobre :
Miss Novembre : Tiffany Taylor
Miss Décembre :
|
Kirk Douglas dans l'un de ses plus grands rôles:
"C'est avec une immense tristesse que mes frères et moi vous annonçons que Kirk Douglas nous a quittés aujourd'hui à l'âge de 103 ans. Pour le monde, il était une légende, un acteur de l'âge d'or du cinéma (...) mais pour moi et mes frères, Joel et Peter, il était simplement papa", écrit Michael Douglas sur sa page Facebook.
"Kirk a eu une belle vie et il laisse derrière lui des films pour les générations à venir, et le souvenir d'un philanthrope reconnu qui a oeuvré pour le bien public et la paix dans le monde", poursuit l'acteur.
"Kirk a gardé son charisme de star de cinéma jusqu'à la fin de sa vie merveilleuse", a écrit Steven Spielberg au magazine spécialisé Hollywood Reporter, ajoutant que ses "notes manuscrites, ses lettres et ses conseils paternels" lui manqueraient.
"103 ans sur cette Terre. Ça sonne bien! C'était chouette de traîner avec toi", a de son côté salué sur Twitter l'acteur Danny DeVito.
Des vedettes comme Mark Hammill ("Star Wars") et William Shatner ("Star Trek") ont également rendu hommage à un "acteur inoubliable" et une "icône incroyable".
Quant à l'Académie des Oscars, qui devrait certainement lui réserver un hommage dimanche lors de sa grande cérémonie annuelle, elle s'est contentée de dire "au revoir à une légende d'Hollywood" avec une citation de Kirk Douglas lui-même rappelant qu'il avait voulu être acteur depuis l'école primaire.
De son vrai nom Issur Danielovitch Demsky, Kirk Douglas était né le 9 décembre 1916 à Amsterdam, petite ville de l'Etat de New York.
Malgré son enfance misérable, ou peut-être à cause d'elle, ce fils de chiffonnier juif ayant fui la Russie n'avait d'yeux que pour le cinéma.
Après s'être enrôlé dans la Marine durant la Seconde Guerre mondiale, il décroche de petits rôles avant de rencontrer enfin le succès avec un rôle de boxeur acharné dans "Le Champion".
Hollywood lui ouvre ses portes et il enchaîne les films, une centaine au total, dont les meilleurs sont devenus des classiques: "20.000 lieues sous les mers" (1954), "Les Sentiers de la gloire" (1957) de Stanley Kubrick, qu'il retrouve pour "Spartacus" (1960) un péplum qui en fait une vedette mondiale.
C'est d'ailleurs avec le mot-dièse #IamSpartacus que de nombreux anonymes lui rendaient hommage mercredi soir sur les réseaux sociaux.
ENGAGÉ ET ENTÊTÉ
Acteur engagé, proche depuis toujours des démocrates, Kirk Douglas a l'audace, en pleine chasse aux sorcières maccarthyste dans les années 1950, d'embaucher un scénariste figurant sur la liste noire des personnes accusées de sympathies communistes.
Malgré la gloire, les succès et trois nominations dans les années 1950, il n'a jamais obtenu d'Oscar au cours de sa carrière, son grand regret.
Il l'avait eu à portée de main avec "Vol au-dessus d'un nid de coucou", réalisé par Milos Forman en 1975, mais le rôle principal lui avait filé sous le nez. "C'est une tragédie pour moi. C'est Nicholson qui a eu le rôle et il a eu un Oscar. Et moi je n'en ai pas...", avait avoué Kirk Douglas.
La légende d'Hollywood aura dû attendre 1996 pour remporter un Oscar d'honneur récompensant l'ensemble de sa carrière. Il venait de subir une attaque cérébrale qui l'avait laissé paralysé d'un côté du visage, ce qui ne l'avait pas empêché de monter sur scène pour recevoir son prix et prononcer un discours.
Bien décidé à ne pas raccrocher les gants malgré ce handicap, Douglas l'entêté avait suivi une longue et pénible rééducation pour réapprendre à s'exprimer.
Il avait ainsi prêté sa voix à un personnage des Simpsons avant de faire des apparitions dans quelques films, comme "Diamonds" en 1999, où il incarnait un boxeur victime d'un AVC...
Kirk Douglas avait retrouvé pour l'occasion son amie de toujours, Lauren Bacall.
Après une attaque cardiaque en 2001, il avait retrouvé le chemin des plateaux pour "Une si belle famille", où il figurait en 2003 aux côtés de son fils Michael, de son petit-fils Cameron et de son ex-femme Diana Dill.
En 2009 encore, Kirk Douglas était remonté sur les planches d'un théâtre portant son nom près de Los Angeles pour quatre représentations d'un one-man show autobiographique.
Grand séducteur, il avait multiplié les conquêtes mais vivait depuis 1954 avec la même femme, Anne Buydens, rencontrée en France et devenue sa seconde épouse.
|
Armando Joseph Catalano, dit Guido Armando puis Guy Williams, est un acteur italo-américain d'origine sicilienne, né le 14 janvier 1924 à New York et mort le 7 mai 1989 à Buenos Aires.
Il doit principalement sa célébrité à son rôle de Zorro dans la série télévisée du même nom produite par les studios Disney et à celui du professeur John Robinson dans la série télévisée Perdus dans l'espace. Au cinéma, ses performances les plus notables sont dans Le Tyran de Syracuse et Capitaine Sinbad.
Né de parents siciliens immigrés aux États-Unis peu avant sa naissance, il naît en 1924 à New York. Il a plus tard une sœur cadette, Valerie. Il entre à l'Académie militaire Peekskill dans l'État de New York. Il ne finit pas ses études et occupe divers petits métiers.
Grâce à sa prestance (il mesure 1,90 m pour 84 kilos et a les yeux couleur noisette), Armando est embauché comme mannequin, en particulier pour des marques de cigarettes et de dentifrice. Puis il accepte un contrat avec les studios Universal International pour jouer de petits rôles. Henry Wilson, son agent, lui fait changer son nom en Guido Armando, puis enfin en Guy Williams.
Il vit alors dans un appartement en bordure de Central Park où il peut s'adonner à sa passion du jeu d’échecs à l'une des nombreuses tables de joueurs d'échecs du parc et fait partie du Club d'échecs de Manhattan.
Lors du tournage d'un film publicitaire, il rencontre le mannequin Janice Cooper qu'il épouse en juillet 1948. Le couple a ensuite deux enfants : un fils en 1952, Guy Steven Catalano, et une fille, Toni Catalano, née en 1958.
Pour devenir acteur, il s'inscrit dans une « Neighborhood Theater » où il reçoit notamment des cours de la chorégraphe Martha Graham. Sous contrat avec la Metro-Goldwyn-Mayer, il joue le rôle du pilote qui lâche la bombe atomique sur Nagasaki dans le film Au carrefour du siècle (1947), puis avec Universal Pictures, il joue plusieurs rôles de cow-boys.
Victime d'un accident de cheval, il décide pendant sa convalescence de se perfectionner en escrime, dont son père lui avait appris les rudiments, et s'inscrit à l'école d'escrime des frères Nedo et Aldo Nadi, ce qui lui permet plus tard de décrocher le rôle principal dans la série Zorro. À trente-trois ans, il est ainsi choisi par Walt Disney pour incarner Don Diego de la Vega, alias Zorro, qu'il interprète pendant 82 épisodes dans la série télévisée produite par les studios Disney. Guy Williams y exécute sans doublure tous les duels, la pointe des épées n'était pas même mouchetée. Cette série connaît une immense popularité internationale.
Au vu de ce succès, CBS et 20th Century Fox le choisissent ensuite pour incarner le rôle du père dans la série télévisée Perdus dans l'espace. Cette série futuriste remporte également un grand succès aux États-Unis.
Guy Williams tourne également dans quelques films au cinéma, notamment Le Tyran de Syracuse en 1962 et Capitaine Sinbad en 1963, et arrête de tourner en 1973.
Il s'installe définitivement à Buenos Aires en Argentine où il avait, en 1973, reçu un accueil enthousiaste de la part des Argentins. Divorcé, il vit dans un studio.
Il meurt le 7 mai 1989 à l'âge de 65 ans d'une rupture d'anévrisme. Comme il vivait seul, son corps est retrouvé à son domicile trois jours après sa mort.
Il reçoit deux hommages importants à titre posthume. En 2001, une étoile est installée à son nom sur le Walk of Fame d'Hollywood. Puis, lors de la convention D23 organisée du 19 au 21 août 2011, Guy Williams est récompensé par une décoration Disney Legends
Filmographie
1951 : Studio One (en), 1 épisode
1957-1961 : Zorro : Don Diego de la Vega / Zorro (82 épisodes)
1962 : Le Prince et le Pauvre (téléfilm) : Miles Hendon
1964 : Bonanza : Will Cartwright
1965-1968 : Perdus dans l'espace (Lost in space) : professeur John Robinson.
1947 : Au carrefour du siècle (The Beginning or the End) de Norman Taurog
1952 : Bonzo goes to college de Frederick de Cordova : Ronald Calkins
1953 : Le Gentilhomme de la Louisiane (The Mississippi Gambler) de Rudolph Maté : André Brion
1953 : La Légende de l'épée magique (The Golden Blade) de Nathan Juran : le crieur public
1953 : Le Déserteur de Fort Alamo (The Man from the Alamo) de Budd Boetticher : sergent McCauley
1953 : Take Me to Town de Douglas Sirk
1955 : La Charge des tuniques bleues (The Last Frontier) d'Anthony Mann : lieutenant Benton
1957 : I was a teenage werewolf de Gene Fowler Jr
1958 : Signé Zorro (The Sign of Zorro) de Lewis R Foster et Norman Foster
1962 : Le Tyran de Syracuse de Curtis Bernhardt : Damon
1963 : Capitaine Sinbad (Captain Sinbad) de Byron Haskin : capitaine Sinbad
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : 2024 | |||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Johnny Weissmuller, né János Péter Weissmüller, le 2 juin 1904 à Freidorf (en) en Hongrie (aujourd'hui en Roumanie), mort le 20 janvier 1984 à Acapulco au Mexique, est un nageur olympique américain, cinq fois médaillé d'or aux Jeux olympiques et longtemps recordman du 100 m nage libre, ainsi qu'un acteur de cinéma, célèbre pour avoir incarné le personnage de Tarzan à douze reprises durant les années 1930 et 1940.
Johann Peter Weißmüller naît en 1904 à Freidorf (en) (en hongrois : Szabadfalu), village de Hongrie actuellement rattaché à la ville de Timișoara en Roumanie. Il est le fils de Peter Weißmüller et Elisabeth Kersch, une famille allemande du Banat. La famille émigre aux États-Unis en janvier 1905, quand l'enfant a sept mois.
Le père, Peter, est mineur à Windber, en Pennsylvanie. C'est là que naît Peter Jr., son plus jeune fils, le 3 septembre 1905, qui est donc américain de naissance, alors que le reste de la famille (qui déménage à Chicago où le père est embauché dans une fabrique de bière) devient apatride à la chute de l'Autriche-Hongrie.
À l'âge de neuf ans, Johnny Weissmüller contracte la poliomyélite. Son médecin lui suggère de pratiquer la natation pour aider à vaincre la maladie. Johnny guérit et continuera à exercer ce sport où il excelle.
Afin de pouvoir participer aux Jeux olympiques de Paris, en 1924. Johnny Weissmüller se fait passer pour son frère cadet, Peter, car en tant qu'apatride il n'aurait pu participer aux jeux. Après ses succès olympiques, la nationalité américaine lui est reconnue et il reprend sa propre identité.
Il est le premier homme à passer au-dessous de la minute au 100 mètres nage libre, le 9 juillet 1922, avec un temps de 58 s 6.
Aux Jeux olympiques de 1924 à Paris, il prive Duke Kahanamoku d'un troisième titre consécutif sur le 100 m nage libre. En trois jours, du 18 au 20 juillet, il s'octroie quatre médailles, l'or sur 100 mètres, 400 mètres et au relais 4 × 200 mètres, et même une médaille de bronze en water-polo. Il réussit à conserver son titre du 100 m nage libre, quatre ans plus tard. En deux Jeux olympiques, il obtient cinq médailles d'or et une en bronze.
Au total, il remporte cinquante-deux titres de champion des États-Unis et établit vingt-huit records du monde. La longévité de certains de ses records témoigne de sa grandeur pour la postérité. Son record du monde établi en 1927 sur le 100 yards nage libre subsiste durant dix-sept ans, celui du 100 m nage libre, qu'il abaisse à 57 s 4, restera dix ans. Johnny Weissmuller n'a jamais perdu une seule course, en compétition, jusqu'à sa retraite sportive.
Une des particularités de Johnny Weissmuller est de nager le crawl avec la tête hors de l'eau, méthode utilisée dans le water-polo.
Jeux olympiques
Médaille d'or au 100 m nage libre lors des Jeux olympiques d'été de 1924
Médaille d'or au 400 m nage libre lors des Jeux olympiques d'été de 1924
Médaille d'or au relais 4 × 200 m nage libre lors des Jeux olympiques d'été de 1924
Médaille d'or au 100 m nage libre lors des Jeux olympiques d'été de 1928
Médaille d'or au relais 4 × 200 m nage libre lors des Jeux olympiques d'été de 1928
Médaille de bronze de water-polo lors des Jeux olympiques d'été de 1924
En 1929, Johnny Weissmuller signe un contrat avec une société de marque de sous-vêtements masculins, la BVD (Bradley, Voorhees & Day) qui l'emploie comme mannequin et représentant. Johnny voyage dans le pays entier et se produit dans des spectacles de natation, distribuant des publicités pour une marque de maillot de bains, signant des autographes et participant à des programmes de radio. La même année, il fait sa première apparition dans le film Glorifying the American Girl : il y apparaît en Adonis, ne portant qu'une feuille de vigne en guise de vêtement.
En 1932, il est choisi pour incarner Tarzan, le célèbre héros créé par Edgar Rice Burroughs. Sixième Tarzan et le premier parlant à l'écran, « Son impressionnante musculature et ses talents de nageur (de nombreuses séquences sous-marines illustrent certains Tarzan) l'ont rendu très populaire, les cinq premiers films produit par la MGM, comptant parmi les plus réussis du genre. Pour la suite, c'est sous contrat avec la RKO qu'il continue à être le « seigneur de la jungle ». » Il tient le rôle dans douze films et demeure, pour en avoir créé tous les stéréotypes (cri — ce dernier sera la plupart du temps utilisé ou imité dans les adaptations ultérieures —, langage), le Tarzan le plus célèbre de l'histoire du cinéma.
En 1948, Johnny Weissmuller n'a plus l'âge ni le physique du personnage (il a alors 44 ans et sa prise de poids est importante) ; Lex Barker de quinze ans son cadet lui succède. Weissmuller tente alors de poursuivre sa carrière, sans toutefois parvenir à changer de registre, devenant le héros d'une autre saga cinématographique, Jungle Jim. Sur une période de six ans et dans seize films (auxquels s'ajoute une série télévisée), il est le personnage, jusqu'à ce que (là encore), arrivé à la « limite d'âge physique », il ne puisse plus incarner l'aventurier.
Johnny Weissmuler a cinquante-et-un ans, lorsque sa carrière cinématographique s'achève (il ne fera plus que deux brèves apparitions au cinéma durant les années 1970).
Malgré deux millions de dollars de gains estimés pour ses films, Johnny Weissmuller accumule dettes et procès à cause de ses cinq mariages, et se retrouve vite ruiné par les nombreuses pensions alimentaires de ses ex-épouses. Devenu représentant pour une marque de piscine et sa santé s'étant fortement dégradée au fil des années, il finira interné dans un asile psychiatrique, où, paraît-il, il faisait retentir le cri de Tarzan. Johnny Weissmüller est mort d'un œdème pulmonaire, à l'âge de 79 ans.
Weissmüller s'est marié cinq fois : avec la chanteuse Bobbe Arnst (de 1931 à 1933), l'actrice Lupe Vélez (de 1933 à 1938), Beryl Scott (de 1939 à 1948), Allene Gates (de 1948 à 1962) et Maria Baumann (de 1963 à sa mort en 1984).
Avec sa troisième femme, Beryl, il a trois enfants : Johnny Weissmuller, Jr. (en) (1940-2006), Wendy Anne Weissmuller (1942), et Heidi Elizabeth Weissmuller (1944-1962).
Il semble que ce cri caractéristique lancé par Johnny Weissmüller dans Tarzan, provienne en réalité de l'enregistrement audio d'un yodel autrichien, monté à l'envers et en accéléré.
Dans son livre Complete Book of the Olympics, David Wallechinsky raconte la fameuse légende du « cri de Tarzan » : le cri aurait été lancé en 1934 lors du tournage d'une scène du film Tarzan et sa compagne. Dans cette scène l'acteur, huilé pour mieux briller à la caméra, s'élançait accroché à sa liane, et Maureen O'Sullivan, qui l'enlaçait, aurait glissé et se serait malencontreusement retenue à la seule partie de l'anatomie de son partenaire qui n'avait pas été huilée. Selon l'auteur cette anecdote a été inventée de toutes pièces et n'est qu'une blague de l'équipe de tournage.
En revanche, Wallechinsky assure qu'en 1958, Weissmüller, participant à un tournoi de golf à Cuba, fut pris avec ses compagnons en otage par des combattants castristes : plein de sang-froid, il parvint à radoucir leurs ravisseurs en lançant le « cri de Tarzan ». Les combattants, parfaits connaisseurs de la culture américaine, lui lancèrent alors : « Tarzan! Welcome to Cuba! » (« Tarzan ! Bienvenue à Cuba ! »). Non seulement Weissmüller et ses compagnons ne furent pas kidnappés, mais ils furent escortés par les castristes.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | Monde : Etats Unis | ||||||||||||||||||||||||||
BIOGRAPHIE | Johnny Weissmuller | ||||||||||||||||||||||||||
Johnny Weissmuller (Tarzan) : Liste des films | |||||||||||||||||||||||||||
JO 1924 : Johnny Weissmuller | |||||||||||||||||||||||||||
Jeux olympiques d'été : Paris 1924 (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
JO 1924 Paris : Tableaux des médailles par pays | |||||||||||||||||||||||||||
JO 1924 : VIIIe olympiade de l'ère moderne à Paris | |||||||||||||||||||||||||||
Jeux olympiques d'été (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | 1 | 2 | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | 2 juin 1904 | ||||||||||||||||||||||||||
DECES | 20 janvier 1984 | ||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2024 | ||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||