Date de création : 09.04.2012
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Ils faisaient dormir leurs enfants à la cave
Le Point.fr - Publié à 10:29 - Modifié à 14:33
Le père et la belle-mère de deux garçons de Seine-Saint-Denis ont été mis en examen et placés en détention provisoire après avoir été dénoncés par l'aîné.
Photo d'illustration. © Sipa
Source AFP
Ils dormaient enfermés dans une cave insalubre de Pavillons-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis. Sans lumière, privés de nourriture, au milieu de leurs déjections : deux garçons de 10 et 12 ans ont vécu l'enfer pendant trois ans, avant que l'aîné ne dénonce mercredi ces mauvais traitements à la police.
Le père et la belle-mère de ces enfants ont été mis en examen samedi soir pour violences sur mineur, défaut de soins, privation d'aliments, et placés en détention provisoire. L'aîné des deux garçons s'était rendu mercredi soir au commissariat de Bondy pour raconter que le père frappait son petit frère de 10 ans.
Quand les policiers sont arrivés au domicile, un pavillon dans la petite ville de Seine-Saint-Denis, ils ont découvert les conditions abominables dans lesquelles les enfants étaient obligés de dormir : un mince matelas "posé au sol", dans la cave de la maison, qui était "très sale" et "dans un état de délabrement avancé", avait précisé une source judiciaire.
"Ils dormaient à même le sol, sur des matelas sans couverture, au milieu de leurs détritus", a ajouté une source proche du dossier.
Sans lavabo ni point d'eau, les enfants étaient contraints de faire leurs besoins dans la pièce, sans fenêtre, "qui n'était pas nettoyée".
Les parents "mettaient les enfants dans la cave et les enfermaient à clé à partir d'une certaine heure, sans électricité", a expliqué la source judiciaire.
Les deux garçons, qui ne mangeaient pas avec les adultes, se sont plaints aux enquêteurs de ne pas toujours manger à leur faim. Lors des premières auditions, les parents ont reconnu qu'il leur arrivait de cacher la nourriture.
Ils étaient également victimes de violences, dont le degré reste à définir. Mais "sur les bras, ils avaient des ecchymoses, des griffures... C'était assez important", a souligné une source proche du dossier.
"La famille était suivie"
Pour justifier ces mauvais traitements, le père, un plombier de 39 ans, "dit que ses garçons sont insupportables et qu'ils cassent tout".
Les maltraitances duraient sans doute depuis trois ans et auraient commencé après le départ de la mère des deux garçons - "une toxicomane qui a disparu dans la nature", selon la source proche du dossier - et "l'arrivée de la belle-mère", une femme de 44 ans sans emploi. Celle-ci a un fils de 7 ans, qui avait, lui, sa propre chambre, à l'étage. Ce dernier "n'a pas subi de mauvais traitements" et "était même gâté".
Les deux fils du père étaient toutefois scolarisés, mais dans un établissement différent de celui du fils de la belle-mère, qui allait dans une école privée, selon la source judiciaire. Les enfants ont été placés à l'aide sociale à l'enfance.
"La famille était suivie", a souligné la source proche du dossier, ajoutant que l'école des deux garçons "avait fait des signalements".
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Webcam, chat coquin : internet débride la sexualité des jeunes Français
Mis à jour | 17:24 , publié | 15:24
Un peu plus d'un jeune sur quatre (26%) a déjà été sollicité pour qu'il envoie des photos ou des vidéos de lui-même dénudé, selon une étude de l'Ifop publiée mercredi 17 avril 2013.
(RUBBERBALL / GETTY IMAGES)
Chez les jeunes, la "classique" sextape des ébats sexuels est dépassée comparé au sexe par webcams interposées. Selon une étude Ifop sur le sexe et les nouvelles technologies, publiée mercredi 17 avril, le nombre de jeunes de moins de 25 ans qui se sont adonnés à des jeux sexuels par webcam a presque doublé en trois ans. Ils sont désormais 16%, contre 8% dans le reste de la population.
Un peu plus d'un jeune sur quatre (26%) a déjà été sollicité pour qu'il envoie des photos ou des vidéos de lui-même dénudé. La même proportion en a fait la requête au partenaire de chat. Combien admettent avoir accepté ? Un jeune sur quatre, là encore, contre 19% chez les moins de 50 ans. Enfin, 22% des moins de 25 ans ont déjà visionné un show sexuel réalisé en direct par une personne devant sa webcam. Un taux qui monte à 29% si l'on ne prend en considération que les hommes.
"L'espace virtuel offert par internet constitue un lieu idéal pour assouvir des fantasmes que l'on ne peut pas observer ou donner à voir dans la réalité", explique l'institut de sondages pour qui "l''anonymat et la multiplication des partenaires potentiels que permet le web expliquent ce phénomène grandissant".
Francetv info
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Compositeur français (La Côte-Saint-André 1803 - Paris 1869). Il commence à Paris des études de médecine (1821), qu'il abandonne pour la musique. Il publie Huit Scènes de Faust (1829), assiste à la première d'Hernani (1830) et, la même année, obtient le prix de Rome et compose le « coup de tonnerre » qu'est la Symphonie fantastique ( Voir aussi :SYMPHONIE ). Il séjourne en Italie (1831-32) et, en 1833, épouse Harriet Smithson, actrice anglaise que, dès 1827, il avait admirée dans les pièces de Shakespeare. Il compose ensuite Harold en Italie (1834), l'opéra Benvenuto Cellini (1836), la Grande Messe des morts (1837), la symphonie dramatique Roméo et Juliette (1839), la Grande Symphonie funèbre et triomphale (1840) et, en 1841, termine le cycle de mélodies les Nuits d'été. Critique au Journal des débats de 1834 à 1864, il entreprend de 1842 à 1868 de grandes tournées en qualité de chef d'orchestre à travers l'Europe. Ses œuvres marquantes sont alors la Damnation de Faust (1845-46), le Te Deum (1849), l'Enfance du Christ (1854). En 1852, Liszt fait représenter avec succès Benvenuto Cellini à Weimar. Élu à l'Institut en 1856, Berlioz se tourne de nouveau vers l'opéra : il achève les Troyens en 1858 et Béatrice et Bénédict en 1862. Il laisse aussi de nombreux écrits ( le Grand Traité d'instrumentation et d'orchestration moderne, 1843 ; le Chef d'orchestre : théorie de son art, 1856 ; Mémoires, 1870). En 1855, Peter Cornelius dressa de Berlioz un portrait d'une extraordinaire pénétration : « Les musiciens de Weimar saluent en lui le maître de l'orchestration moderne, un polyphoniste aux ressources infinies, un polyrythmicien de la plus haute qualité [...] Comme critique, il dispense l'enthousiasme et le mépris de la plume la plus acérée [...] Mais ils l'acclament surtout comme le héros qui a eu la force d'endurer le discrédit, la haine et la calomnie dans son propre pays, [et] qui n'a jamais écrit une note non offerte en hommage à l'idéal de beauté toujours présent à ses yeux. »
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Le bâtiment est construit comme une maison d'opéra par l'architecte Plumeret. Il ouvre le 2 mai 1869 sous le nom de « Folies Trévise », et devient « Folies Bergère » le 13 septembre 1872.
En 1886, Édouard Marchand conçoit un nouveau genre de spectacle : la revue de music-hall. Édouard Marchand comprend que la femme est au cœur de ce nouveau concept et va l'imposer aux Folies Bergère. En 1902, après 16 ans de succès, la maladie contraint Édouard Marchand à laisser la place.
En 1918, une nouvelle ère commence pour les Folies Bergère avec Paul Derval, qui va marquer de son empreinte l'histoire de la revue.
Désormais, ses revues proposent aux spectateurs une débauche de costumes, de décors, d'effets de mise en scène pour mettre en valeur sa troupe qui est composée de girls anglaises à la discipline de fer et de « petites femmes nues ». Pour Derval, ces petites femmes nues doivent être la marque de fabrique des Folies. « Ah, ces femmes nues, dira-t-il plus tard, si je m'avisais de les supprimer, je n'aurais plus qu'à fermer la boutique... »
Profondément superstitieux, il décide que tous les titres des revues présentées aux Folies doivent comporter 13 lettres, ainsi que le mot « folie » au singulier ou au pluriel. Dans le contexte des Années 20 et du début des Années Folles, la mise en application de tous ces éléments ouvre à Paul Derval la voie du triomphe.
En 1936, Derval fait revenir de New York sa chère Joséphine Baker pour mener la revue En Super Folies. C'est Michel Gyarmathy, un jeune hongrois tout fraîchement débarqué de son Balasagyarmath natal, qui en dessine l'affiche. Et c'est ainsi que débute une longue histoire d'amour entre Michel Gyarmathy, Paris, les Folies Bergère et le public du monde entier, qui durera 56 ans.
Les obsèques de Paul Derval sont célébrées le 20 mai 1966. Il avait 86 ans, et durant 48 ans il aura régné sans partage sur le plus célèbre music-hall du monde. Son épouse Antonia, s'appuyant sur Michel Gyarmathy, lui succède.
En août 1974, les Folies subissent une cure de jouvence, puisque Antonia Derval transmet ses pouvoirs à Hélène Martini, l'impératrice de la nuit (vingt-cinq ans auparavant, celle-ci avait été mannequin aux Folies Bergère). Cette nouvelle maîtresse des lieux réunit les qualités propres à maintenir encore en activité le tout dernier music-hall de l'histoire, demeuré fidèle à la tradition.
Dès 1978 elle s'adjoint Georges Terrey au poste de Directeur délégué. Pendant près de vingt ans, ils maintiennent le style et la tradition, et créent Folie je t'adore, Folies de Paris et Folies en folie. Mais en 1993, consciente que l'esthétique purement clinquante n'est plus de mise et que les Folies Bergère (nées en 1886, à la fin du siècle et à la fin d'une époque) doivent évoluer avec le siècle et avec les aspirations des spectateurs et l'imagination des créateurs, Hélène Martini décide de rompre avec le passé passéiste et présente une nouvelle revue d'Alfredo Arias.
À partir de 1993, le style des spectacles change, la directrice joue sur la modernité et la remise au goût du jour des revues. D'auteurs en chorégraphes, de metteurs en scène en décorateurs, les spectacles se succèdent avec succès, et la qualité des représentations confirme la renommée des Folies Bergère.
En 2000, c'est avec Valérie Lemercier qu'elle décide de faire changer de siècle aux Folies, suivie ensuite par Marianne James qui fera aux Folies ses adieux irrévocables de l'ultima récital.
Puis lors de la saison 2006-2007, c'est l'aventure de Cabaret : Spectacle évènement avec plus de 350 000 spectateurs, plus de 450 représentations et six nominations aux Molières, c'est donc à Paris que se poursuit le succès de cette nouvelle version de Sam Mendes, qui a été créée à Broadway. On y retrouve Claire Pérot dans le rôle de Sally Bowles et Fabian Richard dans le rôle de Emcee. Fort de son succès, le spectacle est prolongé jusqu'au 27 janvier 2008.
Une production française du spectacle musical Zorro ouvre ses portes le 5 novembre 2009 avec Laurent Ban dans le rôle de Zorro, Liza Pastor dans le rôle de Luisa, Geraldine Larrosa dans le rôle d'Inès et Benoît de Gaulejac dans le rôle du Sergent Garcia. Basé sur les chansons des Gipsy Kings, le spectacle, produit par Stage Entertainment, ferme ses portes le 27 juin 2010 après avoir accueilli plus de 150 000 spectateurs.
Les plus grandes têtes d'affiches de John Butler à Herbie Hancock ou Jamie Cullum, Bénabar ou Fiona Apple et Tindersticks, Omara Portuondo, Stéphane Eicher, Vanessa Paradis, Thomas Fersen ou Juliette se succèdent sur la scène mythique de la rue Richer.
Le chapitre du xxie siècle est ouvert, et les Folies Bergère sont en route pour leur 150ème anniversaire.
En septembre 2011, le théâtre des Folies Bergères est racheté par le Groupe Lagardère pour 9 millions d'euros, en association avec Jean-Marc Dumontet, le producteur de Nicolas Canteloup qui assurera la gestion de l'ancien music-hall. Jean-Marc Dumontet possède plusieurs salles parisiennes : Bobino, Le Point-Virgule et, avec Laurent Ruquier, le théâtre Antoine.
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Le théâtre des Folies Bergère est une salle de music-hall parisienne qui, de la Belle Époque à la fin des Années folles symbolisa la vie parisienne, en présentant des revues dansées et des spectacles de variétés.
De nos jours, les Folies présentent des comédies musicales, des spectacles de théâtre musical et des concerts de musiques actuelles... Contrairement à une idée reçue, les FOLIES BERGERE sont un théâtre avec des fauteuils où chaque siège est numéroté et non un cabaret avec des tables et des chaises. La salle de spectacle contient 1679 places réparties sur trois niveaux. Les places sont réparties en trois catégories et un Carré Or VIP. Leur prix diffère en fonction de leur situation par rapport à la scène et de leur visibilité.
La salle est située 32 rue Richer dans le 9e arrondissement de Paris.
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Loïe Fuller, danseuse, y débute en 1892
Maurice Chevalier, chanteur, y débute en 1909
Raimu s'y produit de 1910 à 1914 comme humoriste "comique troupier" de music-hall
Mistinguett, y débute en 1911 et y rencontra Maurice Chevalier
Jean Gabin y débuta en 1922 à l'âge de 18 ans avec Charles-Joseph Pasquier
Joséphine Baker, danseuse, chanteuse
Louisa Baïleche, danseuse, chanteuse
Lisette Malidor, chanteuse
Norma Duval, actrice et vedette espagnole
Grock, clown
Charlie Chaplin
W. C. Fields, acteur américain
Valérie Lemercier, actrice, scénariste, réalisatrice et chanteuse française
Régine, en 2004
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