Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
18.01.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Les Aztèques associent le chocolat avec Xochiquetzal, la déesse de la fertilité. Ils pensaient que le Xocoatl permettait de lutter contre la fatigue et cette croyance découle probablement de la teneur en théobromine du produit.
D'autres boissons chocolatées l'associent avec des aliments tels que le gruau de maïs (qui joue le rôle d'émulsifiant) et le miel.
Durant plusieurs siècles, en Europe et en Amérique du Sud, on utilise les fèves de cacao pour soigner la diarrhée (voir la section Autres bénéfices).
Tous les territoires conquis par les Aztèques où poussent des cacaoyers doivent leur verser les fèves de cacao comme taxe, ou, comme les Aztèques eux-mêmes le considéraient, comme un tribut.
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Originaire d'Amérique, le cacaoyer est donc inconnu ailleurs dans le monde jusqu'au XVIe siècle.
José de Acosta, un missionnaire jésuite espagnol qui vécut au Pérou puis au Mexique à la fin du XVIe siècle, écrit :
« Détestable pour ceux qui n'ont pas l'habitude d'en consommer, tout en ayant une mousse ou une écume qui a très mauvais goût. Oui, c'est une boisson très estimée parmi les Indiens, dont ils régalent les nobles qui traversent leur pays. Les Espagnols, hommes et femmes, qui sont habitués au pays, sont très friands de ce chocolat. Ils disent qu'ils en font différents types, certains chauds, certains froids, certains tempérés, et mettent dedans beaucoup de ce « piment » ; ils en font une pâte, laquelle, disent-ils, est bonne pour l'estomac et pour lutter contre le rhume. »
En 1494, Christophe Colomb jette par-dessus bord les fèves qu'il avait reçues des Amérindiens. Il les aurait prises pour des crottes de chèvre. C'est donc plus tard, en juillet 1502 sur l'île de Guanaja, qu'il découvre pour la première fois la boisson chocolatée.
Ce n'est qu'à partir de la conquête des Aztèques par les Espagnols que le chocolat est importé en Europe où il devient rapidement très prisé à la cour d'Espagne. Hernán Cortés découvre le breuvage chocolaté en 1519. Il est le premier (en 1528) à en rapporter en Europe, à ses maîtres d'Espagne. Dès le xviie siècle, le chocolat devient une ressource très appréciée de l'aristocratie et du clergé espagnol. Son commerce s'étend alors aux autres colonies espagnoles comme les Pays-Bas espagnols.
L'arrivée du chocolat en France a commencé avec l'exil des Juifs d'Espagne et du Portugal, venus se réfugier dans l'Hexagone et transportant le chocolat dans leurs valise.
La première expédition commerciale pour l'Europe (entre Veracruz et Séville) daterait de 1585. Le chocolat est alors toujours servi comme boisson, mais les Européens ajoutent du sucre et du lait pour neutraliser l'amertume naturelle ; ils remplacent le piment par de la vanille.
Pour faire face à la forte demande pour cette nouvelle boisson, les armées espagnoles commencent à réduire en esclavage les Mésoaméricains pour produire le cacao, une activité économique à part entière se développe. Cependant ce produit d'importation reste très cher, seuls les membres de la famille royale et les initiés peuvent en boire.
En parallèle, dans le nouveau monde, la consommation de cacao est très répandue chez les missionnaires et conquistadores. Deux nouveautés permettent de réduire encore le prix. La découverte de la canne à sucre, qui en outre rend le chocolat moins amer, et l'utilisation de main-d'œuvre africaine30 par les Espagnols pour la culture des cacaoyers.
À la même époque, la situation est différente en Angleterre où n'importe qui, avec suffisamment d'argent, peut en acheter. À Londres, la première chocolaterie ouvre en 1657. En 1689, l'éminent médecin et collectionneur Hans Sloane développe une boisson lactée au chocolat en Jamaïque qui est dans un premier temps utilisée par les apothicaires, mais vendue plus tard aux frères Cadbury.
En 1615, la France découvre le chocolat à Bayonne à l'occasion du mariage d'Anne d'Autriche, fille du roi d'Espagne Philippe III avec le roi de France Louis XIII. Mais c'est Louis XIV et son épouse Marie-Thérèse d'Autriche qui font entrer le chocolat dans les habitudes de la cour du château de Versailles. La marquise de Sévigné dit du chocolat, dans ses Lettres, qu'« il vous flatte pour un temps, et puis il vous allume tout d'un coup une fièvre continue ». Le chocolat est alors consommé chaud sous forme de boisson comme le café. Seule la cour du roi avait accès à cette boisson.
En 1662, la consommation du chocolat est devenue suffisamment importante pour justifier une bulle papale expliquant que boire du chocolat liquide ne rompt pas le jeûne.
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Durant plusieurs siècles, le mode de fabrication du chocolat reste inchangé. Dans les années 1700, les moulins mécaniques servent à extraire le beurre de cacao ce qui aide à créer du chocolat qui reste dur. Il faut attendre l'arrivée de la révolution industrielle pour que ces moulins soient utilisés à plus grande échelle. Après que la révolution s'est essoufflée, peu à peu, des entreprises promeuvent cette nouvelle invention pour vendre le chocolat sous les formes que l'on connaît aujourd'hui.
Lorsque les nouvelles machines sont produites, la population commence à tester et consommer du chocolat partout dans le monde.
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À Bristol, en 1780, Joseph Storrs Fry père ouvre une manufacture de pâte de chocolat : J.S.Fry & Sons. L'essentiel de sa production est vendu aux drogueries et aux pharmacies de la ville. En 1795, son fils (Joseph Storrs II Fry) se met à utiliser une machine à vapeur pour broyer les fèves de cacao. Cela permet de produire en grande quantité la pâte de chocolat pour fabriquer des boissons chocolatées, des pastilles, des gâteaux, des bonbons ainsi que des préparations médicales. En plus d'être vendu aux apothicaires et aux pharmaciens, le chocolat de la manufacture Fry approvisionne les confiseurs, les gérants de chocolate house et les cuisiniers réputés.
Au début du XIXe siècle, les premières fabriques de chocolat apparaissent en Europe ; avec les futurs grands noms de ce qui va devenir, au milieu du siècle, l'industrie chocolatière. Le chocolat est de moins en moins consommé pour ses vertus médicinales supposées, et de plus en plus par plaisir. Les manufactures de chocolat se multiplient, puis les chocolateries industrielles, principalement en France, en Suisse et aux Pays-Bas.
Une usine de fabrication de chocolat est ouverte aux États-Unis en 1780, par un apothicaire nommé James Baker. La première fabrique suisse de chocolat est créée par François-Louis Cailler en 1819. Il est suivi six ans plus tard par Philippe Suchard, puis par Charles-Amédée Kohler en 1830. La première fabrique de France est fondée par le chocolatier Jules Pares, en 1814, près de Perpignan (dans les Pyrénées-Orientales). En 1815, le Hollandais Coenraad Johannes van Houten crée une première usine. De nouvelles manufactures apparaissent aussi en Angleterre. C'est par exemple le cas de Cadbury en 1824.
À l'origine, les fabricants de chocolat sont spécialisés dans la fabrication de la pâte de chocolat. Ils vont peu à peu diversifier leurs productions avec les confiseries et les gâteaux. La mécanisation ainsi que la concurrence des producteurs de chocolats vont entraîner une baisse continue du prix du chocolat.
En 1821, l'Anglais Cadbury produit le premier chocolat noir à croquer. Pour répondre aux besoins de l'industrie, les cacaoyers sont introduits en Afrique et les premières plantations créées.
En 1828, Coenraad Johannes van Houten réalise la première poudre de cacao. Grâce à une presse hydraulique de son invention, il réussit à durcir le beurre de cacao sous forme de pain qui peut ensuite être réduit en poudre. Van Houten est le premier à inventer un procédé pour séparer le cacao maigre (ou tourteau) et le beurre de cacao, permettant aux industriels de doser les quantités relatives de cacao maigre et de beurre de cacao dans la pâte de cacao. Le chocolat entre alors dans l'âge industriel. La mécanisation entraîne une baisse des prix, ce qui permet de conquérir un public plus large. Van Houten, à partir de sa fabrique de chocolat d'Amsterdam, vendra ses boîtes de chocolat en poudre dans toute l'Europe.
L'année 1830 voit l'apparition du chocolat aux noisettes inventé par Kohler.
Joseph, Richard et Francis Fry, qui dirigent la maison Fry & Sons depuis la mort de leur père (en 1835), découvrent en 1847 qu'un mélange « sucre, beurre de cacao, chocolat en poudre » permet d'obtenir une pâte molle que l'on peut verser dans des moules. Cette invention permet de consommer le chocolat d'une nouvelle manière : en plaque. Ce produit est officiellement présenté lors d'une exposition à Birmingham en 1849 sous le nom de « Chocolat délicieux à manger », en français dans le texte.
Vers 1860, la maison Fry & Sons devient une des principales chocolateries d'Angleterre. Francis Fry (1803-1886), resté seul à la tête de l'entreprise après la mort de ses frères en 1878 et 1879, est désigné fournisseur exclusif de chocolats pour la Royal Navy. Cela contribuera à la prospérité de la maison Fry & Sons qui devient, vers 1880, la première chocolaterie du monde. Elle emploie alors 1 500 salariés.
Vers 1870, Émile Menier fait construire une usine moderne de production de chocolat à Noisiel en Seine-et-Marne. Cette usine fait fortement baisser le coût du chocolat en France. Elle est aujourd'hui en partie classée monument historique avec la cité ouvrière attenante.
Plusieurs innovations (notamment en Suisse) vont bouleverser l'industrie du chocolat.
En 1876, Daniel Peter crée dans sa fabrique de Vevey (Suisse) le premier chocolat au lait en utilisant du lait en poudre. En 1879, Daniel Peter s'associe avec Henri Nestlé (l'inventeur du lait concentré) pour fonder la firme Nestlé.
En 1879, Rodolphe Lindt met au point le conchage. Ce nouveau procédé d'affinage permet de fabriquer des chocolats fondants. Sa technique consiste à laisser tourner le broyeur contenant le chocolat pendant longtemps afin de rendre la pâte de cacao plus onctueuse. Son secret ne fut rendu public qu'en 1901 .
Après la mort de Francis Fry en 1886, son fils Francis J. Fry lui succède. En 1919, il fusionne la maison Fry & Sons avec l'entreprise Cadbury Brothers.
Le Suisse Jean Tobler lance la barre triangulaire Toblerone en 1899. Philippe Suchard se met à commercialiser la tablette Milka.
Au début des années 1900 apparaissent les premières barres chocolatées: le hollandais Kwatta invente les premières barres de chocolat de 30 grammes. L'américain Mars lance le Milky Way et le hollandais Nuts, sa barre aux noisettes éponyme.
Dernière grande innovation de l'industrie, le chocolat blanc est produit pour la première fois en Suisse dans les années 1930 par Nestlé, dans le but d'utiliser les surplus de beurre de cacao. La société ne précise pas qui est à la source de cette invention exactement.
La domination de l'industrie chocolatière suisse, à la pointe de la technologie et du marketing, ne durera que la première moitié du xxe siècle jusqu'à l'arrivée des entreprises américaines Hershey's et Mars.
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type : Dessert
difficulté : Moyen
préparation : 30 min
cuisson : 45 min
Ingrédients pour 6 personnes:
1 pâte brisée
3 citrons non traités
50 g de beurre et 4 œufs
1 cs de fécule de maïs (maïzena)
200 g de sucre en poudre et 100 g de sucre glace
4 blancs d'œufs
Préparation:
Râpez le zeste des citrons puis pressez-les, réservez le jus
Faites fondre le beurre.?Délayez la maïzena dans un peu d?eau
Cassez les 4 œufs dans un saladier, ajoutez le sucre en poudre
Mélangez jusqu'à ce que le mélange blanchisse, ajoutez la fécule, le beurre fondu, le jus et le zeste des citrons, mélangez.
Garnissez le moule avec la pâte. Versez le mélange sur la pâte
Faites cuire pendant 40 minutes
Sortez la tarte, démoulez-la
Montez les 4 blancs d'œufs en neige ferme, ajoutez le sucre glace sans casser les blancs.
Étalez la meringue obtenue sur la tarte froide
Passez la tarte sous le grill en surveillant 2 ou 3 minutes, jusqu'à obtenir une couleur dorée
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Recette proposée par Max Del Frade
Elle est simple à réaliser même pour un débutant en cuisine et prend peu de temps à préparer. Pour vous aider j'ai essayé d'être le plus clair possible, en vous guidant étape par étape pour la préparation de vos crêpes.
Pour 10 personnes :
250 g de farine
4 oeufs
1/2 l de lait
1 pincée de sel
50 g de beurre
1 sachet de sucre vanillé
1 cuillère à soupe de rhum (5 cl)
Préparation : 10 mn
Cuisson : 10 mn
Repos : 0 mn
Temps total : 20 mn
1 Dans un saladier, versez la farine et les oeufs. Puis progressivement ajoutez le lait tout en mélangeant avec votre fouet. Ajoutez le sucre vanillé, la pincée de sel.
2 Laissez reposer la pâte à crêpe si possible une heure.
Faites chauffer une poêle, une fois chaude, versez un peu de beurre pour graisser la poêle.
3 Versez une demi-louche de votre pâte à crêpe et faites cuire 1 à 2 minutes par face.
4 Voilà vos crèpes sont prêtes, vous pouvez maintenant les déguster.
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Dessert
Végétarien
Moyennement difficile :
Bon marché :
Type de cuisson : Four
Préparation : 15 min
Cuisson : 25 min
Ingrédients (pour 12 gros choux ou 18 petits) :
Pâte à choux :
- 80 g de beurre
- 125 g de farine
- 1/4 l d'eau
- 3 œufs
- 1 cuillère à café de sucre
- 1 pincée de sel
Crème pâtissière :
- 1/2 l de lait
- 1 sachet de sucre vanillé
- 100 g de sucre
- 2 jaunes d'œuf + 1 œuf entier
- 50 g de farine
- 1 pincée de sel
- 1 cuillère à soupe d'Amaretto (facultatif)
Préparation :
Préparer la pâte : faire préchauffer le four à 200°C (thermostat 6/7).
Faire chauffer dans une casserole le beurre, l'eau, le sel et le sucre. Dès que tout est fondu, verser toute la farine d'un coup et bien mélanger avec une cuillère en bois, jusqu'à ce que la pâte n'adhère plus à la cuillère ni à la casserole.
Hors du feu, ajouter les œufs un à un, puis mélanger à chaque fois jusqu'à homogénéité.
Beurrer une tôle à pâtisserie, puis disposer la pâte en petits tas (18 pour des petits choux, 12 pour des gros). Utiliser pour cela une poche à douille, ou tout simplement deux cuillères.
Cuire au four 20 à 25 mn. Petit truc pour vérifier l cuisson : Les choux doivent résister à une pression du doigt (ou de la cuillère, si l'on a peur de se brûler!).
Préparer la crème pâtissière : faire chauffer dans une casserole le lait, le sel et le sucre vanillé.
Pendant que le lait chauffe, travailler dans une grande terrine le sucre et les œufs avec une cuillère en bois jusqu'à ce que le mélange blanchisse. Incorporer la farine puis, peu à peu, le lait bouillant.
Reverser dans la casserole (à allure douce) et remuer jusqu'à ce que la crème épaississe. Verser dans un plat.
Lorsque la crème est refroidie, vous pouvez y ajouter une cuillère à soupe d'Amaretto ou d'une autre liqueur (Baileys, Amarula...). Bien mélanger après cet ajout. NB : Ne rien ajouter lorsque la crème est chaude!
La touche finale : la préparation des choux. Remplissez de crème la poche à douille et remplissez les choux un à un, en pratiquant un trou dessous (vous n'avez jamais remarqué, dans les boulangeries, les trous sous les religieuses?). Si vous n'avez pas de poche à douille, couper chaque chou à moitié en deux pour y insérer la crème.
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