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Monde : URSS

Joseph Staline

Joseph Staline

Staline en 1902.

Jeunesse et formation

18 décembre 1878 dans la ville géorgienne de Gori, alors dans le gouvernement de Tiflis (Empire russe), troisième enfant et seul survivant de sa fratrie.

Le père de Staline, Vissarion Djougachvili, est un ouvrier cordonnier qui sombre dans l'alcoolisme et qui le bat. Il est originaire d'un village du Nord de la Géorgie, Djougha (d'où son nom) et on lui prête des origines ossètes. Sa mère, Ekaterina Gavrilovna Gueladzé, est une couturière d'Ossétie. Fervente orthodoxe, abandonnée par son mari, elle pousse son fils, « garnement des rues […] d’une intelligence exceptionnelle », vers la prêtrise et finance difficilement ses études. De sa jeunesse, Staline resta « traumatisé par la violence, l’insécurité et la méfiance, mais inspiré par les traditions locales de dogmatisme religieux, de vendetta et de brigandage romantique ». À cette période, sa famille habite au 10 de la rue de la Cathédrale à Gori.

Après avoir brillamment réussi ses examens, Iossif Djougachvili entre en 1894 au séminaire de Tiflis et y reste jusqu'à l'âge de vingt ans. Il y suit un enseignement secondaire général avec une forte connotation religieuse. Surnommée le « Sac de pierre », l'école a sinistre réputation. Rapidement, le jeune Djougachvili devient athée et commence à se montrer rebelle à l'autorité du séminaire. Il reçoit de nombreuses punitions pour lecture de livres interdits (entre autres, Les Travailleurs de la Mer de Victor Hugo) et en août 1898 s'inscrit à la branche locale du Parti ouvrier social-démocrate de Russie (POSDR). Malgré les faveurs que lui accorde le recteur du séminaire, il en est expulsé en mai 1899, officiellement pour absence à l'examen de lectures bibliques. « Je fus renvoyé pour propagande marxiste », se vantera par la suite l'ex-séminariste.

En décembre 1901, il quitte Tbilissi pour Batoumi et travaille pour l'organisation social-démocrate. Le 6 avril 1902, il est arrêté et emprisonné durant un an à Batoumi et six mois à la prison de Koutaïs. Il est envoyé en exil en Sibérie pour trois ans, il arrive à Ouda dans la province d'Irkoutsk en décembre 1903, il y reste en assignation à résidence jusqu'en janvier 1904.

Révolution et clandestinité

 

Iossif Djougachvili commence alors sa carrière de révolutionnaire sous le surnom de Koba. Il se fait arrêter à de nombreuses reprises. En 1907, il est impliqué dans des braquages de banques sanglants servant à financer le Parti, comme le braquage commis à Tbilissi, en juin, qui rapporte 250 000 ou 350 000 roubles.

Il est déporté sept fois en Sibérie, la première fois en 1902. Il s’évade six fois, notamment en 1904, année où il adhère à la faction bolchevique du POSDR. C’est également en 1904 qu’il rencontra la famille Allilouïev, dont les parents de Nadejda Allilouïeva, sa future seconde épouse, alors âgée de trois ans, et par ce biais d’autres futurs potentats soviétiques, dont Mikhaïl Kalinine, dit « papa Kalinine » et Avel Enoukidzé, parrain de Nadia.

 
Pavel Axelrod (à gauche), Julius Martov et Alexandre Martynov à Stockholm en 1917.

En 1905, il ne participe pas à la révolution ; il affirme ultérieurement qu’il se trouvait alors à préparer des révoltes en Kartalinie. Une fois la révolution terminée, il représente l'union caucasienne à la première conférence bolchévique à Tampere en Finlande. Il y rencontre pour la première fois Lénine. Il fait en 1924 un récit élogieux de cette rencontre, une semaine après la mort de Lénine :

« Lorsque je le comparais aux autres dirigeants de notre Parti, il me semble toujours que les compagnons de lutte de Lénine – Plekhanov, Martov, Axelrod et d’autres encore – étaient moins grands que lui d’une tête ; que Lénine comparé à eux, n’était pas simplement un des dirigeants, mais un dirigeant de type supérieur, un aigle des montagnes, sans peur dans la lutte et menant hardiment le Parti en avant, dans les chemins inexplorés du mouvement révolutionnaire russe […] »

En mai 1907 il se rend à Londres pour assister au 5e congrès du Parti social-démocrate. Au retour il passe par l'Allemagne où il rencontre Lénine à Leipzig. Après la mort de sa première femme Kato, il se réfugie temporairement chez sa future belle-famille, les Allilouïev, à Pétersbourg. Le 7 avril 1908 il est arrêté à Bakou, il reste sur place à la prison de Bayil jusqu'en novembre 1908 et est transféré dans la région de Vologda. En 1908, il est transféré à Solvytchegodsk. Durant son transfert il contracte le typhus. Il s'évade en mars 1909. Il revient à Pétersbourg en 1912 où il rencontre pour la première fois, en la personne de son logeur, Viatcheslav Skriabine, connu par ses camarades sous le pseudonyme de Molotov — le marteau. C’est également à cette période qu’il est coopté au comité central du tout nouveau parti communiste, lors de son congrès fondateur de Prague. Le 5 mai 1912, il est arrêté à Pétersbourg. Il est déporté en Sibérie, à Narym (ru). Il s'évade le 13 septembre et retourne à Moscou.

En 1911, Lénine parle de lui comme du « merveilleux Géorgien », mais en 1915, dans une lettre à Maxime Gorki, il a oublié son nom. En novembre 1912, Staline séjourne à Cracovie, où il retrouve Lénine. Le fruit de cette rencontre est un article expliquant la position du parti bolchevique sur le problème des nationalités. Lénine, qui profite de ce travail pour évaluer Staline, lui accorde dès lors sa confiance. Staline ne quitte plus la Russie avant 1943, pour la conférence de Téhéran.

Son dernier pseudonyme, Staline, apparaît pour la première fois le 25 janvier 1913 dans le journal La Pravda, le mot stal voulant dire acier en Russe.

Le 8 mars 1913, il est arrêté à Saint-Pétersbourg, où il est détenu six mois avant d'être condamné à quatre ans de déportation en Sibérie, en juillet 1913 ; cette peine relativement légère alimente encore des soupçons : Staline était-il un des nombreux agents doubles de l’Okhrana au sein du mouvement bolchevique ? Quoi qu’il en soit, il arrive à Krasnoïarsk en 1914 puis réside à Koureïka jusqu'en octobre 1916. Les lettres qu’il envoie durant cet exil sont « pitoyables », mais il en parle ultérieurement comme de l’une des périodes les plus heureuses de sa vie, faite de pêche, de chasse et d’expéditions sauvages.

En octobre 1916, l'armée rassemble tous les déportés de la région à Monastyrskoé. En février 1917, il est réformé pour atrophie du bras gauche. Il est alors transféré à Atchinsk dans l'entretien de la ligne du Transsibérien

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Staline

Notes et références                                                    
   
   
   
   
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Joseph Staline

Joseph Staline

 

 

Joseph Staline, né le 18 décembre 1878 à Gori (Empire russe, actuelle Géorgie) et mort le 5 mars 1953 à Moscou, est un révolutionnaire bolchevik et homme d'État soviétique d'origine géorgienne. Il dirige l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) à partir de la fin des années 1920 jusqu'à sa mort en établissant un régime de dictature personnelle absolue. Les historiens le jugent responsable, à des degrés divers, de la mort de trois à plus de vingt millions de personnes.

Né Iossif Vissarionovitch Djougachvili, surnommé Sosso (diminutif de Iossif ou de Iosseb) pendant son enfance, il se fait ensuite appeler Koba (d'après un héros populaire géorgien) par ses amis proches et dans ses premières années de militantisme clandestin au sein du Parti ouvrier social-démocrate de Russie (POSDR), auquel il adhère en 1898. Il utilise ensuite le pseudonyme de Staline, formé sur le mot russe сталь (stal), qui signifie acier.

Acteur marginal de la révolution d’Octobre, il étend peu à peu son influence politique pendant la guerre civile russe, tissant des liens étroits avec la police politique, la Tcheka, et devenant, en 1922, secrétaire général du Comité central du Parti communiste. Après la mort de Lénine en 1924, il mène un jeu patient d'intrigues souterraines et d'alliances successives avec les diverses factions du Parti, et supplante un à un ses rivaux politiques, contraints à l’exil ou évincés des instances dirigeantes.

S'appuyant sur la bureaucratisation croissante du régime et la toute-puissance de l’appareil policier, la Guépéou puis le NKVD, il impose progressivement un pouvoir personnel absolu et transforme l'URSS en un État totalitaire. Le culte de la personnalité construit autour de sa personne, le secret systématiquement entretenu autour de ses faits et gestes, le travestissement de la réalité par le recours incessant à la propagande, la falsification du passé, la dénonciation délirante de complots, de saboteurs et de traîtres, l’organisation de procès truqués, la liquidation physique d’adversaires politiques ou de personnalités tombées en disgrâce sont des caractéristiques permanentes de son régime.

Il procède à la nationalisation intégrale des terres, décrétant la « liquidation des koulaks en tant que classe », et industrialise l'Union soviétique à marche forcée par des plans quinquennaux ambitieux, au prix d'un coût humain et social exorbitant. Son long règne est marqué par un régime de terreur et de délation paroxystiques et par la mise à mort ou l'envoi aux camps de travail du Goulag de millions de personnes, notamment au cours de la « collectivisation » des campagnes et des Grandes Purges de 1937. Il pratique aussi bien des déplacements de population massifs, dont la déportation intégrale d'une quinzaine de minorités nationales, que la sédentarisation forcée non moins désastreuse de nomades d'Asie centrale. Il nie aussi l'existence des famines meurtrières de 1932-1933 (Holodomor) et de 1946-1947 après les avoir en partie provoquées par une politique impitoyable de réquisitions forcées de produits agricoles dans les campagnes.

Dans un contexte international de plus en plus tendu par la montée en puissance de l'Allemagne hitlérienne, Staline engage l'Union soviétique dans des négociations avec le régime nazi qui aboutissent, en août 1939, à la signature du pacte germano-soviétique, prélude au déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. La coopération économique entre les deux pays entreprise après la signature des accords commerciaux germano-soviétiques est brutalement interrompue par l'invasion allemande de juin 1941, précipitant l'Union soviétique dans la guerre aux côtés des Alliés. La victoire militaire finale dans un conflit qui a mis l'URSS au bord du gouffre et dont la bataille de Stalingrad est un tournant majeur confère à Staline un prestige international retentissant et lui permet d'affirmer son emprise sur un empire s'étendant de la frontière occidentale de la RDA à l'océan Pacifique.

Joseph Staline est également l'auteur de textes exposant ses conceptions du marxisme et du léninisme, qui contribuent à fixer pour des décennies, au sein des courants communistes liés à l'URSS, l'orthodoxie marxiste-léniniste. Sa pratique politique et ses conceptions idéologiques sont désignées sous le terme de stalinisme.

Après la mort de Staline, ces pratiques sont dénoncées par Nikita Khrouchtchev au cours du XXe congrès du Parti communiste de l'Union soviétique de 1956 : la déstalinisation et la relative détente qui s'ensuivent n'entraînent cependant aucune démocratisation du bloc de l'Est. Ce n'est qu'à l'époque de la perestroïka mise en place par Mikhaïl Gorbatchev que les crimes de Staline peuvent être dénoncés en URSS dans toute leur ampleur

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Staline

Notes et références                                                    
   
   
   
   
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Waterloo (film)

Publié à 21:55 par dessinsagogo55 Tags : center dieu fleurs centre centerblog sur bonne merci france photo musique société 2010 film
Waterloo (film)

 

Waterloo (en russe : Ватерлоо) est un film historique soviétio-italien de Sergueï Bondartchouk de 1970 sur le thème de la bataille de Waterloo de 1815.

 

Le film commence sur l’abdication de 1814 de l'empereur Napoléon Bonaparte, après la campagne de France de 1814 et à la restauration de la monarchie française du roi Louis XVIII. Il retrace ensuite les Cent-Jours, la bataille de Waterloo de 1815 et l’affrontement entre les deux commandants en chef, le duc de Wellington et l'empereur Napoléon Ier à Waterloo en Belgique.

 

Fiche technique

Titre : Waterloo

Réalisation : Sergueï Bondartchouk

Scénario : Serge Bondartchouk, Vittorio Bonicelli, Mario Soldati, Rafael Vara

Photo : Armando Nannuzzi

Musique : Nino Rota, Wilfred Josephs

Production : Thomas Carlisle, Dino De Laurentiis

Société de production : Dino De Laurentiis Cinematografica, Mosfilm

Sociétés de distribution : Columbia Pictures (hors États-Unis), Paramount Pictures (États-Unis)

Budget : ~ 35 000 000 $ US

Langue : russe, anglais

Genre : Film historique de guerre

Date de sortie en France : 28 octobre 1970

Durée : 134 minutes

 

Distribution

 

Rod Steiger : Napoléon Ier

Christopher Plummer : le duc de Wellington

Orson Welles : le roi Louis XVIII

Virginia McKenna : duchesse de Richmond

Jack Hawkins : général Thomas Picton

Dan O'Herlihy : Maréchal Ney

Ivo Garrani : Maréchal Soult

Sergo Zakariadze : Maréchal Gebhard Blücher

Charles Millot : Maréchal Grouchy

Andrea Checchi : Sauret

Evgueni Samoïlov : Pierre Cambronne

Vladimir Droujnikov : Gérard

 

Autour du film

 

La mise en scène est favorisée par la participation de 20 000 figurants de l’Armée soviétique, qui permet une reconstitution très réaliste des mouvements de troupes ; bonne véracité historique pour les uniformes, les armes et les tactiques.

 

Columbia Pictures publia un guide illustré de 28 pages à l'occasion de la sortie de Waterloo en 1970. Selon cet ouvrage, le producteur italien Dino De Laurentiis eut des difficultés à réunir le financement pour le film, jusqu'à ce qu'il négocie avec les Soviétiques fin des années 1960, et pu trouver un arrangement avec la compagnie Mosfilm. Le film coûta finalement 12 millions de livres sterling (environ $38,3 millions de dollars US en 1970), faisant de Waterloo, pour son époque, l'un des films les plus coûteux jamais réalisés. S'il avait dû être filmé en Europe occidentale ou aux États-Unis, les coûts auraient sans doute été multipliés par trois. Mosfilm apporta environ 4 millions de livres sterling, près de 16 000 soldats de l'Armée rouge, une brigade complète de la cavalerie soviétique, et de nombreux ingénieurs et terrassiers pour préparer la reconstitution du champ de bataille dans les environs de Uzhhorod en République socialiste soviétique d'Ukraine (à l'époque partie de l'Union soviétique).

 

Pour recréer un champ de bataille réaliste, les Russes rasèrent deux collines, établirent 8 kilomètres de routes, transplantèrent 5 000 arbres, plantèrent des champs de blé et de fleurs sauvages et recréèrent quatre bâtiments historiques. Pour former la boue, une dizaine de kilomètres de tuyaux d'irrigation furent installés. L'essentiel de la bataille fut filmé avec cinq caméras simultanément depuis le sol, une tour d'une trentaine de mètres, un hélicoptère et une voie ferrée établie à côté du champ de tournage.

 

Le tournage se déroula sur 28 semaines, avec un retard de 16 jours dû essentiellement aux conditions climatiques. La plupart des scènes furent filmées durant l'été 1969, sous une chaleur étouffante. En plus des scènes de bataille en Ukraine, diverses scènes furent tournées au palais de Caserte en Italie, alors que diverses scènes d'intérieurs furent tournées dans les studios De Laurentiis à Rome. Les habits d'époque furent créés par E. Rancati, et les centaines de chaussures furent fournies par L.C.P. di Pompei.

 

Des mois avant que le tournage ne débute, les 16 000 soldats s'entraînèrent aux tactiques et mouvements de 1815, au maniement des sabres et des baïonnettes, aux manœuvres de canons. 2 000 soldats furent en particulier sélectionnés pour charger et utiliser les mousquets et fusils. L'armée fut logée dans un campement à proximité du champ de bataille reconstitué. Chaque matin après le petit-déjeuner, les hommes convergeaient vers le rangement des costumes, enfilaient leurs uniformes français, anglais ou prussiens et se mettaient en position quinze minutes plus tard. Les soldats étaient commandés par des officiers qui prenaient directement leurs ordres du réalisateur Sergei Bondarchuk par walkie-talkie. Pour l'aider à mener cette importante réalisation multinationale, le réalisateur avait en permanence quatre interprètes à ses côtés : un pour l'anglais, un pour l'italien, un pour le français et un pour le serbo-croate.

 

Ce film est un des plus gros échecs du box-office américain avec une recette de 1,4 million de dollars pour un budget de 25 millions de dollars

 

Des extraits du film sont projetés au centre d'accueil du champ de bataille de Waterloo, à proximité de la butte du Lion.

 

 

Erreurs historiques

 

La présence du Maréchal Soult lors de l'abdication de Napoléon n'est pas possible puisqu'en 1814 il commande une armée française dans le Sud-Est de la France face à Wellington.

 

Ney aurait réellement déclaré à Louis XVIII qu'il se proposait de ramener Napoléon dans une cage de fer, mais il n'y eut jamais d’affrontement entre les deux hommes sur la route de Grenoble le 6 mars 1815. Ney se ralliera à l'empereur le 15 mars (déclaration de Lons-le-Saunier).

 

Le moulin où se repose l'Empereur n'existe pas dans la topographie des lieux. Rod Steiger qui l'incarne, apparaît dans une scène le visage mal rasé, ce qui est impensable : l'empereur prenait le soin d'être toujours glabre

 

Sergueï Bondartchouk, russe, ne peut s'empêcher de prêter cette phrase à Napoléon quand ce dernier apprend l'arrivée des troupes de Blücher : « Que n'ai-je brûlé Berlin !? ». L'incendie de Moscou est certes présent dans la mémoire russe mais rien dans les textes n'indique que Napoléon Bonaparte ait prononcé cette phrase

 

On peut déplorer tout autant le bruit de bottes persistant qui accompagne les déplacements de l'Armée impériale, alors que l'infanterie napoléonienne était chaussée d’espadrilles, de sabots ou de souliers

 

S'il est fait mention de la bataille de Ligny, durant laquelle les Prussiens connurent la défaite face à Napoléon le 15 juin, il n'est pas réellement fait référence à la bataille des Quatre-Bras qui oppose Ney à Wellington le lendemain, deux jours avant Waterloo.

 

Wellington, les généraux et la noblesse anglaise dansent la valse à Bruxelles avant la bataille. Peu probable en 1815. La valse, déjà bien implantée dans les Empires Centraux, n'a été adoptée par l'aristocratie anglaise qu'après 1820.

 

 
   
   
   
   

 

   
 
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Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Waterloo_(film,_1970)

 
  https://youtu.be/Qv4CkWkl8A8  
     
     
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Estimation des pertes par république soviétique

Publié à 03:20 par dessinsagogo55 Tags : sommaire monde centerblog sur
Estimation des pertes par république soviétique

Seconde Guerre mondiale

 

Estimation des pertes par république soviétique

 

 

République soviétique Population
1940
Morts
militaires
Morts
civils
Total
des morts
Morts en % de la
population de 1939
Azerbaïdjan 3270000 210000 90000 300000 9,1
Arménie 1320000 150000 30000 180000 13,6
Biélorussie 9050000 620000 1670000 2290000 25,3
Estonie 1050000 30000 50000 80000 7,6
Géorgie 3610000 190000 110000 300000 8,3
Kazakhstan 6150000 310000 350000 660000 10,7
Kirghizstan 1530000 70000 50000 120000 7,8
Lettonie 1890000 30000 230000 260000 13,7
Lituanie 2930000 25000 350000 375000 12,7
Moldavie 2470000 50000 120000 170000 6,9
Russie 110100000 6750000 7200000 13950000 12,7
Tadjikistan 1530000 50000 70000 120000 7,8
Turkménistan 1300000 70000 30000 100000 7,7
Ouzbékistan 6550000 330000 220000 550000 8,4
Ukraine 41340000 1650000 5200000 6850000 16,3
Non identifié - 165000 130000 295000  
Total URSS 194090000 10700000 15900000 26600000 13,7
           

 

 

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Pertes humaines de l'URSS

Publié à 03:11 par dessinsagogo55 Tags : sommaire monde centerblog sur
Pertes humaines de l'URSS

 

Seconde Guerre mondiale

 

Pertes humaines de l'URSS

 

Pays Population
1939
Morts
militaires
Morts
civils
Total
des morts
Morts en % de la
population de 1939
Union soviétique
(frontières de 1939)[BG]
168524000 8 800 000
à 10 700 000
12 700 000
à 14 600 000
23400000 13,9
Transferts de population12,13,14 -1237000        
Tchécoslovaquie[BB]-Ruthénie subcarpathique
(Nombre comptés dans Tchécoslovaquie)
700000   50000 50000 7,1
Roumanie 
Bessarabie & Bucovine 
(Nombre comptés dans Roumanie)
3700000   300000 300000 8,1
Pologne 
Régions orientales
(Nombre comptés dans Pologne)
11591000   2000000 2000000 17,2
Morts soviétiques inclus dans les pertes militaires allemandes     220000 220000  
Lituanie
(frontières de 193910,11)
2442000   350000 350000 14,5
Lettonie
(frontières de 1939)
1951000   230000 230000 11,6
Estonie
(frontières de 1939)
1122000   50000 50000 4,5
Croissance de la population 1939/mi-1941 7923000        
           

 

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Boris Onishchenko

Publié à 16:03 par dessinsagogo55 Tags : jeux center

Boris Onishchenko : Dans la catégorie "tricheurs"

Aux Jeux de Montréal en 1976, le talentueux soviétique Boris Onishchenko avait modifié l'équipement électrique de son épée : la table de marque s'allumait sans que l'escrimeur ait touché l'opposant. Il fut exclu des Jeux.


Boris Onishchenko : Dans la catégorie "tricheurs"

URSS (Sommaire)

Publié à 00:10 par dessinsagogo55 Tags : background sommaire photo monde centerblog sur merci femmes film
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    Joseph Staline  
    Joseph Staline  
    Joseph Staline  
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