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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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ce n'est pas sa place

Publié à 14:12 par fandeloup Tags : animal animaux écran enfants
ce n'est pas sa place

Hérault : il menace de se suicider si on lui retire son lion

Un maçon de Poussan dans l'Hérault a menacé de se suicider si les gendarmes lui retirent son lion qu'il possède dans l'illégalité.

 Le propriétaire, depuis sept mois, d'un lion de 14 mois détenu illégalement en raison de l'absence de certificat de capacité pour élever les animaux sauvages a menacé de se suicider si son fauve Ciam était saisi.

Samedi, selon «le Midi Libre», les gendarmes de la brigade de Mèze (Hérault) armés et équipés de gilets pare-balles, sont intervenus pour venir chercher l'animal dans une propriété située dans la garrigue aux alentours de Poussan.

Mais ce maçon de 36 ans, qui affirme que l'animal est bien traité dans des installations encore provisoires mais qui répondent aux normes de sécurité, a fait de la résistance, menaçant de mettre fin à ses jours en se tirant une balle dans la tête.

Pendant près de quatre heures, le commandant des gendarmes, son épouse accompagnée de ses enfants en bas âge ont tenté de lui faire entendre raison. En vain...

Pour calmer le jeu et éviter que la situation dégénère, les gendarmes ont décidé de rebrousser chemin. Selon «le Midi Libre», le statu quo devrait durer jusqu'à ce lundi dans l'attente d'une nouvelle décision de la préfecture de l'Hérault qui avait ordonné la saisie du lion.

retraite

Publié à 11:26 par fandeloup Tags : texte chez cadres actualité
retraite

Complémentaires : cas par cas, les conséquences pour les futurs retraités

Dès 2019, si on arrête sa carrière avant 63 ans, les retraites complémentaires subiront une décote de 10 % sur trois ans, selon l'accord signé vendredi par trois syndicats et le patronat.

Après neuf mois de négociations, trois syndicats (CFDT, CFTC, CFE-CGC) et le patronat sont parvenus à un accord sur l’avenir des retraites complémentaires Agirc-Arrco. Après neuf mois de négociations, trois syndicats (CFDT, CFTC, CFE-CGC) et le patronat sont parvenus à un accord sur l’avenir des retraites complémentaires Agirc-Arrco.

La messe est dite ! Au prix de nouveaux efforts pour les salariés, le régime des retraites complémentaires sera sauvé. Dès 2019, les générations nées à partir de 1957 devront reculer leur âge de départ à la retraite d'un an pour éviter de voir leurs pensions Arrco (18 millions de salariés du privé) et Agirc (4,1 millions de cadres du privé) amputées de 10 % pendant les trois premières années.

Ce nouveau système de malus-bonus vise à inciter les salariés du privé à retarder d'un an leur départ à la retraite. En exclusivité pour notre journal, le cabinet Optimaretraite a calculé les changements que cela induit pour les futurs retraités

En clair, la norme n'est plus 62 ans pour commencer à toucher une retraite complémentaire à taux plein, mais bel et bien 63 ans. Saluée par François Hollande à l'issue de la conférence sociale comme « une liberté qui est accordée » aux salariés, cette révolution pourrait en cacher d'autres.

Et pourquoi pas, même si ça n'est pas d'actualité aujourd'hui, inspirer une nouvelle réforme des retraites du régime général...

Qui sait ?

Le rideau est tombé, hier, à l'issue de la septième et dernière séance de négociation. Après neuf mois de discussions entre les partenaires sociaux au chevet des régimes complémentaires, le patronat et trois syndicats — CFDT, CFTC, CFE-CGC — ont mis le point final à l'accord destiné à renflouer les caisses. Avec, à la clé, 6,1 Mds€ d'économies à l'horizon 2020.

Les départs à la retraite des papy-boomers et le chômage de masse ont mis à mal les finances de l'Agirc et de l'Arrco dont les déficits ont atteint respectivement 1,985 Md€ et 1,153 Md€ en 2014. Un embarras palpable chez les syndicalistes Soulagement, donc, pour certains.

Mais c'était pourtant la soupe à la grimace hier, aux environs de 14 h 30, avenue Bosquet à Paris, siège du Medef. Face au satisfecit patronal, l'embarras était palpable sur les visages des syndicalistes, y compris les plus réformistes.

« C'est un accord équilibré, compliqué aussi parce qu'il demande des efforts aux salariés et aux retraités. Mais les entreprises vont être mises à contribution également », tente de rassurer le négociateur de la CFDT Jean-Louis Malys.

Des arguments moqués par FO et la CGT, vent debout contre l'introduction de ce système de malus qui, selon eux, « ouvre la voie à un report de l'âge de départ à la retraite ». « On n'a pas fini d'entendre parler de ce texte », a pesté Eric Aubin (CGT), qualifiant ces mesures de « régression ».

Aussi virulent et critique, le représentant de FO dénonce un « accord déséquilibré payé à 90 % par les retraités et les salariés et 10 % seulement par les employeurs ».

cadeau

Publié à 10:15 par fandeloup Tags : anniversaire chez enfants belle travail nuit cadeau aimer histoire
cadeau

Millionnaire à 21 ans, le cadeau qu'il fait à sa maman qui s'est toujours sacrifiée pour lui et ses frères

Cette maman extraordinaire s'appelle Rylanda.  Rondae Hollis-Jefferson, 21 ans (joueur professionnel de la NBA chez les Nets de Brooklyn) raconte comment elle s'est serrée la ceinture pour nourrir, éduquer, aimer...ses enfants.

Elle avait parfois jusqu'à 3 emplois pour combler les besoins de ses enfants qui parfois ne la voyaient pas pendant 3 semaines, car trop chargé par son travail, elle ne rentrait que la nuit histoire de voir ses enfants, inspecter la maison, mettre un peu d'ordre, la plupart du temps, ils étaient endormis.

Aujourd'hui, cet ancien joueur des Wildcats de l'université de l'Arizona a tenu à faire une surprise à sa maman avec ses frères le jour de son anniversaire.

Il est millionnaire aujourd'hui même s'il n'a pas encore joué un match avec son équipe, et ça s'est grâce à sa maman. Il lui a alors acheté une belle et grande maison dans sa ville d'origine, Chester dans la Pennsylvanie.

taxes

Publié à 07:58 par fandeloup
taxes

À vos portefeuilles: voici les nouvelles taxes qui entrent en vigueur ce dimanche

L'alcool et le dieselcoûteront plus cher dès ce dimanche 1er novembre.

C'est une conséquence de la hausse des accises décidée par le gouvernement qui espère ainsi récupérer 50 millions d'euros l'année prochaine. A partir de ce 1er novembre, l'augmentation décidée par le gouvernement des accises sur le diesel et les boissons alcoolisées entre en vigueur.

Pour rappel le litre de diesel se vendra 0,3 centimes de plus.

On observera aussi une augmentation de 0,6 centimes pour une bière (25 cl), 16 centimes pour une bouteille de vin (75 cl), 53 centimes pour une bouteille de champagne (75 cl) et jusqu'à 2,88 euros pour les alcools forts (+ 40 degrés) tels que le whisky.

Du coup, c'est la ruée dans les magasins, qui en profitent pour pratiquer des prix planchers. Les ventes auraient augmenté jusqu'à 60 % ces derniers jours !

En janvier, c'est le tabac et les boissons sucrées La crainte, dans les chaînes de production, est que cette brutale augmentation soit suivie d'une baisse sensible des ventes, certains produits "n'étant plus au portefeuille de tout le monde".

Dans les commerces et restaurants, on déplore également ces augmentations qui "vont toucher le client". L'essence, elle coûtera moins cher dès ce dimanche.

Notez aussi qu'en janvier, c'est le prix du tabac qui augmentera, mais aussi celui des boissons sucrées. Un effet, cette fois, de la "taxe santé".

Atteint d'holoprosencéphalie

Publié à 15:58 par fandeloup Tags : bébé enfant jeune monde vie
Atteint d'holoprosencéphalie

Atteint d'holoprosencéphalie, ce bébé ne devait pas vivre mais aujourd'hui il célèbre ses deux ans

Emma Murray est une jeune maman écossaise qui avait perdu tout espoir quand les médecins lui ont certifié que son nouveau-né n'allais pas vivre plus de trois heures.

En cause, sa maladie génétique atteignant son cerveau. Mais contre toute attente, le petit Aaron est aujourd'hui âgé de deux ans, lutte contre son handicap et a même réussi à prononcer le mot "Maman".

Pour toutes les mères au monde entendre les premiers mots de son enfant est un moment inoubliable mais pour Emma Murray, ce moment a été encore plus précieux.

Tout simplement car cette jeune maman n'aurait jamais pensé que cela puisse se produire. Un bébé né sans la totalité de son cerveau Aaron, son enfant de deux ans, est né avec une maladie très rare, l'holoprosencéphalie.

En d'autres termes, il s'agit d'une malformation congénitale du cerveau qui provoque une non-séparation des deux hémisphères du cerveau.

C'est en 2013 qu'Emma Murray, une jeune écossaise, donne naissance à son second enfant . Elle apprend alors par le corps médical que son enfant est atteint d'une grave maladie génétique qui selon les termes des médecins "est incompatible avec la survie".

Miraculeusement, Aaron est deux ans après toujours en vie et, d'après sa maman, en pleine forme puisqu'il bouge et frappe dans ses mains.

"Il n'avait aucune chance de survie" Aaron a réussi à étonner tous les docteurs surtout lorsqu'il y a quelques semaines, l'enfant a prononcé "Maman" pour la toute première fois.

"Quand Aaron est né, on m'a dit qu'il n'avait aucune chance de survie. On m'a même dit que son temps était compté et qu'il ne pourrait vivre trois minutes, trois heures ou trois jours. [...]

Mais depuis le début, Aaron a prouvé qu'il était un vrai combattant. [...] Il m'a regardée et m'a dit 'Maman'. Je n'arrivais pas à y croire" a-t-elle expliqué au Daily Mail. 

morsure

Publié à 16:01 par fandeloup Tags : photo photos animal animaux enfant jardin
morsure

Sa main devient totalement bleue après une bagarre avec un serpent Kevin Fowler, un célèbre chanteur de country, a été la cible de vives critiques de défenseurs des animauxaprès avoir dévoilé sur Facebook les blessures subies suite à une morsure d’un serpent alors qu’il était tranquillement en train de préparer un futur concert de la star de country. L’homme a en effet tué l’animal après avoir vu la main de son ami tourner au bleu…

Ce chanteur a finalement été la cible des défenseurs des animaux qui n’ont pas apprécié l’histoire de Kevin Fowler, affirmant avoir tué ce serpent : « Tous ceux qui pleurent à propos de ces serpents tués n’ont probablement jamais vu ce qu’il se passe quand vous êtes mordu par l’un d’entre eux », explique Kevin, avec les photos de la main de son ami.

« Voici une photo de la main de mon pote Tommy, après avoir été mordu. Il doit toujours subir des séances de chirurgie et de rééducation. Tous les défenseurs de ces serpents changeront d’avis quand leur enfant se fera mordre dans leur jardin ».

Il faut avouer, la photo fait froid dans le dos… Mais cela n’a pas calmé certains sympathisants de ces animaux qui ont commenté le statut « stupide » de Kevin Fowler, critiquant le fait de « tuer un animal dans son propre habitat ».

refus

Publié à 18:24 par fandeloup Tags : nature
refus

Âgée de 100 ans, elle n’a aucune envie de prendre sa retraite

Née en 1915, Felimina Rotundo semble ravie de continuer à travailler dans une petite blanchisserie située à Buffalo (État de New York).

Infatigable, Felimina travaille six jours par semaine, de 7 heures du matin à 18 heures le soir.

« Elle a toujours aimé travailler, mais ce qu’elle adore par-dessus tout, c’est de rencontrer de nouvelles personnes. Elle attribue sa longévité à sa nature travailleuse. Elle dit que le boulot lui donne un but, une raison de se réveiller tous les matins », déclare son fils aîné, Gary.

jugée

Publié à 17:47 par fandeloup Tags : femme papier enfants
 jugée

Belgique : jugée pour avoir fait copier 100 fois «Je suis un con» à son fils

Une mère de famille belge a été jugée pour mauvais traitements à Tournai (Belgique).

Le 25 août, elle avait fait copier 100 fois «Je suis un con» »à son fils, qui rechignait à faire ses devoirs de vacances.

 Le palais de justice de Tournai, où la mère indigne a été jugée pour mauvais traitement ce mardi. Le 25 août 2014, comme son fils âgé de 9 ans peinait sur ses devoirs de vacances, une mère de famille belge a littéralement «pété les plombs», selon les mots du journal belge L'Avenir, qui révèle l'affaire.

Au point de se retrouver mardi, devant le tribunal correctionnel de Tournai, où elle a été jugée pour mauvais traitements. Le jour des faits, la mère, exaspérée par le peu d'enthousiasme de son fils, s'est déchaînée sur lui : elle a commencé par le frapper avant de lui administrer une douche froide.

Jugeant sans doute que cela ne suffisait pas, elle a ensuite fait copier cent fois au gamin la phrase «Je suis un con», avant de jeter son baladeur mp3 dans l'aquarium, et de le forcer à manger du papier.

Devant ses juges, la jeune femme a reconnu avoir infligé des punitions «démesurées et humiliantes». Elle sera fixée sur son sort le 3 novembre.

En attendant, elle ne risque pas de recommencer : ses enfants ont été placés.

horreur

Publié à 16:53 par fandeloup Tags : vie homme chez enfants fond femme mort 2010 nuit fille prénom neige bébé extrait affiche
horreur

Inaya, 20 mois, enterrée au fond d’un bois pendant un an dans l’indifférence générale

Bushra Taher Saleh et Grégoire Compiègne comparaissent à compter de jeudi 28 octobre devant les assises de Melun pour avoir tué leur bébé, avant de l’enterrer dans la forêt de Fontainebleau.

Pendant un an, personne ne s’est inquiété de ne plus voir la fillette, alors que la famille était suivie par les services sociaux pour des problèmes de maltraitance.

Pendant près d’un an, son petit corps est resté dans un simple sac-poubelle, enfoui à 45 cm sous terre en lisière de la forêt de Fontainebleau, tel un vulgaire déchet.

Et pendant tout ce temps, ses parents ont continué leur vie de famille, comme si de rien n’était, à seulement 800 mètres de là. C’est un procès particulièrement sordide qui s’ouvre ce jeudi devant les assises de Melun.

Celui de Bushra Taher Saleh et Grégoire Compiègne, qui risquent aujourd’hui la prison à perpétuité pour avoir tué leur fille Inaya, 20 mois.

Personne, pendant ces douze mois, ne s’est inquiété de l’absence de la fillette. Pas même les services sociaux, qui suivaient pourtant depuis longtemps ce couple pour des problèmes de maltraitance sur leurs trois enfants.

Finalement, c’est grâce au signalement d’une institutrice, ayant remarqué que l’aîné de la famille, Naïm, 5 ans, rate souvent l’école et affiche de nombreux bleus sur le corps, que la macabre mise en scène sera découverte.

Alors qu’ils se rendent au domicile des parents, les services sociaux constatent qu’Inaya n’y est plus. Nous sommes en janvier 2013. La machine policière est lancée. Rendus à leurs parents après un placement

C’est la mère, Bushra, une Française d’origine yéménite âgée de 26 ans à l’époque, qui sera la première à craquer en garde à vue. Mais sa version change sans cesse.

Elle met d’abord en cause son fils Naïm, qui aurait violemment poussé sa petite soeur. Puis s’accuse elle-même, indiquant avoir fortement secoué Inaya parce que celle-ci réclamait “Vivi”, son assistance maternelle, ce qui avait le don de l’énerver.

Pour au final mettre directement en cause son compagnon Grégoire, 24 ans, avec qui elle est en couple depuis sept ans. Le jeune homme a un passif violent : abandonné à l’âge de 5 ans par sa mère, sans que son père l’ait jamais reconnu, il a grandi en foyer et a un casier judiciaire déjà bien chargé.

En 2010, il a notamment été condamné à deux ans de prison avec sursis par le tribunal de Calais pour des faits de violence sur Naïm. Celui-ci, à l’époque, n’avait même pas deux ans. Mais Grégoire, lui, nie farouchement les faits, et va jusqu’à accuser sa concubine.

S’ils se rejettent tous deux la faute, les parents reconnaissent toutefois avoir enterré ensemble le corps de leur fille. Et acceptent de mener les policiers jusqu’à sa tombe sauvage.

Le 23 janvier, à la tombée de la nuit, le corps de la petite Inaya est retrouvé enveloppé dans trois sacs-poubelles dans un bois communal d’Avon, dans un trou peu profond recouvert de neige, à côté d’une souche d’arbre.

L’autopsie est formelle : la fillette, âgée de 20 mois au moment de sa mort, estimée entre fin décembre 2011 et fin janvier 2012, était maltraitée depuis longtemps. Et, ce jour-là, elle a reçu le coup de trop.

Le lendemain, le couple est mis en examen et écroué. Grégoire à Meaux, Bushra à Fleury-Mérogis. “ L’ambiance familiale paraît sereine” Rapidement, les enquêtent découvrent l’atroce stratagème mis en place par le couple.

Officiellement, et même auprès de la famille de Bushra, ils assuraient n’avoir eu que deux enfants : Naïm et Inaya. La petite Yasmine, née dans la plus grande discrétion le 17 juillet 2011, était donc présentée sous le prénom d’Inaya, afin que personne ne remarque son absence.

Le rôle des services sociaux est alors rapidement pointé du doigt : eux seuls, au final, étaient au courant de l’existence de ce troisième enfant. Et eux seuls avaient régulièrement été alertés sur des problèmes de maltraitance au sein de cette famille.

Le 12 mai 2010, Naïm, couvert de bleus, et Inaya qui souffrait de malnutrition, avaient tous deux été hospitalisés et placés dans une famille d’accueil, chez la fameuse “Vivi”, à la suite d’une décision du juge des enfants de Melun. Seize mois plus tard, les enfants étaient toutefois rendus à leurs parents, les services sociaux considérant que la famille avait réussi à se “stabiliser”.

Les proches de Bushra, eux, n’en étaient pourtant pas convaincus. Ses parents et son frère, sans nouvelles de la jeune femme, qu’ils décrivent comme “soumise” et “effacée” en présence de son compagnon, avaient contacté le juge pour lui demander la garde des enfants. Une missive restée sans réponse.

Ils se sont alors tournés vers les services sociaux. Voilà un extrait du courrier qu’ils ont reçu à l’époque : “L’ambiance familiale paraît sereine. Monsieur et Madame semblent avoir trouvé un rythme de fonctionnement permettant aux enfants d’évoluer sereinement”. A cette date bien précise, pourtant, le corps d’Inaya se trouve déjà depuis deux mois au fond du bois.

2 500 euros d’amende

Publié à 19:26 par fandeloup Tags : monde internet texte
2 500 euros d’amende

2 500 euros d’amende pour avoir dénigré un restaurant sur Internet

Le restaurant Loiseau des Ducs avait repéré un commentaire négatif sur le site Pagesjaunes.fr publié cinq jours avant l'ouverture de l'établissement.

Un internaute a été condamné à 2 500 euros d’amende, plus 5 000 euros de frais, poir rédigé un commentaire faux et malveillant visant un restaurant du groupe Bernard-Loiseau à Dijon.

L’information publiée par le quotidien local Le Bien public a été confirmée par Ahlame Buisard, directrice du groupe et gérante du restaurant Loiseau des Ducs à Dijon (1 étoile Michelin).

« On a voulu mener l’affaire jusqu’au bout et donner une leçon à ces personnes qui font des commentaires pour détruire », a-t-elle déclaré.

Publié cinq jours avant l’ouverture Le commentaire publié en juillet 2013 sur le site des pages jaunes par le pseudonyme Le Clarifieur, était cinglant, mais pas injurieux :

« Restaurant très surfait, tout en apparat, très peu de chose dans l’assiette, l’assiette la mieux garnie est celle de l’addition. » Problème : l’établissement n’avait pas encore ouvert ses portes à la date où le commentaire a été publié.

Le texte a de nouveau été supprimé puis à nouveau publié légèrement remanié sur le site des Pagesjaunes.fr. Selon le jugement en date du 6 octobre, le tribunal de grande instance de Dijon a estimé que l’avis publié cinq jours avant l’ouverture au public « ne peut pas correspondre à l’expression d’un avis objectif se fondant sur une expérience réelle ».

« Ces commentaires fautifs (…) du fait même de leur diffusion sur internet sur un site largement consulté par les internautes à la recherche des coordonnées d’établissements, visaient à dissuader de potentiels futurs clients de se rendre dans le restaurant critiqué. »