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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Ce chirurgien vous apprend 12 choses étranges sur votre corps !
Vous n'allez pas y croire ! Gavin Francis est écrivain, médecin et il a exploré Antarctique.
Il vient d’écrire un livre de voyages autour du corps humain intitulé « Adventures in Human Being » (Aventures dans le corps humain).
Il nous dévoile des informations sur notre corps et ce qu’il se passe quand nous essayons de traiter une déficience :
1 – Après une greffe de rein, vous vous retrouvez avec trois reins reins cris Il est très compliqué de retirer un rein défaillant. Les chirurgiens vous greffent le nouveau et le placent au-dessus de votre bassin. Vous devenez un transporteur de reins ambulant.
2 – Durant une chirurgie du cerveau, vous êtes éveillé et vous vous rappellerez de la majorité de l’opération cerveau Votre tête est fixée à une attelle avec des boulons métalliques pour que vous ne puissiez pas bouger. Un anesthésiant est injecté près des boulons et non dans le cerveau car il n’y a pas de récepteurs algiques (de la douleur).
3 – Une fuite de l’aorte peut être bouchée par le doigt du chirurgien alors que l’on vous transporte au bloc opératoire chirurgiens Les opérations les plus délicates sont celles qui ne tiennent qu’à un point de suture. Celle-ci est l’une d’entre elles.
4 – Si vos glandes surrénales sont accidentellement pressée durant l’opération, vous pouvez mourir d’overdose d’adrénaline attraction Elles se situent juste au-dessus des reins. Des tumeurs peuvent y pousser et aspirer tellement d’adrénaline qu’il faut les retirer. Elles sont parmi les opérations abdominales les plus délicates à cause du risque de décès.
5 – Lorsque l’épanchement de sang est trop important, les chirurgiens utilisent des pansements faits à partir d’algues shining Étrangement, les algues sont parfaites pour arrêter une hémorragie.
6 – Un tiers des patients opérés du cœur se réveillent avec ce que l’on appelle une « pump head » (tête de pompe) mais personne ne sait ce qui la provoque pompe « Pump head » est le terme employé pour décrire la désorientation, les fluctuations de l’humeur et les pertes de la mémoire qui surviennent après une opération cardiaque. Durant celle-ci, votre cœur est plongé dans un liquide pour qu’il arrête de battre. Votre sang circule dans votre corps grâce à l’action d’une pompe. Cette machine aspire le sang à travers les seringues insérées dans votre aorte avant de le transporter dans les veines des jambes. Apparemment, le cerveau n’aime pas ça mais on ne sait toujours pas pourquoi.
7 – La thérapie par électrochocs est encore utilisée de nos jours électrochocs Elle a été développée par des psychiatres fascistes dans l’Italie de Mussolini en 1938 et testée par la CIA dans les années 60 pour des expériences de manipulation mentale. C’est ce qui a été repris dans de nombreux films depuis. Aujourd’hui, cette thérapie est employée dans de sévères cas de dépression ou de psychose. On la pratiquait en secret mais elle est à présent utilisée de manière transparente.
8 – L’histoire de La belle au bois dormant peut être inspirée de faits réels : il est possible de se piquer avec l’épine d’une rose et de tomber dans un profond coma la belle au bois dormant L'empoisonnement du sang se répand à partir de la blessure. Ça pourrait être la seule et unique fois que Disney ne vous a pas menti.
9 – Ce sont les astronomes et non les médecins qui ont compris le fonctionnement de l'œil fonctionnement de l'oeil Au XVIIème siècle, des astronomes ont réalisé qu’il ne serait possible de comprendre les étoiles que s’ils comprenaient d’abord notre façon de les percevoir. Isaac Newton a, avec audace, planté une aiguille longue et émoussée derrière son œil tout en la remuant. Il voulait étudier l’effet que cela aurait de transpercer sa rétine depuis l’arrière de l’œil.
10 – Les lentilles de remplacement sont faites de la même matière que ce que l’on retrouvait dans les yeux des pilotes de Spitfire quand ils étaient abattus en plein ciel lentilles Les chirurgiens ont remarqué que les petites pièces de l’avion qui se sont retrouvées dans les yeux des pilotes ne causaient aucune réaction. C’est pourquoi les lentilles artificielles sont faites d’acrylique, comme les avions.
11 – Votre prothèse de hanche aurait son utilité dans un satellite, un avion ou une éolienne prothèses avion Les prothèses de hanche ou de genou sont faites à partir des meilleurs alliages jamais conçus : chrome, cobalt et titane. Les crématoriums les récupèrent et les envoient au recyclage.
12 – La première machine à dialyse a été conçue par un physicien hollandais pendant la Seconde Guerre Mondiale avec des canettes de jus d’orange, la pompe à eau d’une voiture et du cellophane macgyver Il n’avait quasiment rien sous la main pendant l’occupation allemande et a créé sa machine à partir de ce qu’il trouvait. Notre corps recèle de nombreux mystères et nous n’avons pas fini d’en découvrir...
Être anxieux de temps à autre est très normal, par contre, l'être en permanence est une maladie. C'est très pénible d'avoir peur tout le temps, de manière excessive et incontrôlable pour des situations qui pour la plupart ne sont pas alarmantes. Il affecte votre vie(professionnelle, familiale, sociale...) ces photos sont de Katie Joy Crawford, photographe, qui a eu à faire face à des troubles d'anxiété. À travers son art, elle dégage ses ressentiments et invite les gens qui font face à ce problème à ne pas se sentir seul.
Méthode d’épilation du visage
L’épilation du visage nécessite une grande prudence sous peine de se rater ou pire de se brûler.
1 - L’épilation des lèvres supérieures :
Si, comme votre homme, vous avez une « moustache », vous avez le choix entre plusieurs méthodes d’épilation des lèvres supérieures. Comme toujours, même si ce sont des solutions rapides et indolores, il est recommandé de ne pas utiliser le rasoir ni la crème dépilatoire.
Si le duvet est léger, préférez opter pour une crème décolorante que pour des solutions plus radicales qui nécessitent plus d’entretien. Recommandations : Il est important que votre peau soit sèche et parfaitement propre. Si votre peau est sensible (acné, coup de soleil, herpès,…), vous devez éviter l’épilation des lèvres supérieures.
L'épilation au fil :
Pour le visage, l’épilation au fil est très recommandée. Née en Inde, la technique consiste à arracher les poils avec un long fil fin. Elle se réalise par des mains expertes.
L'épilation à la cire :
La cire tiède se dépose du nez vers la joue (d'un seul côté de la lèvre) et de haut en bas pour respecter le sens de pousse du poil. Le plus dur reste ensuite d’arracher. Pour faire, retirez progressivement et énergiquement la cire en sens inverse (à rebrousse-poil, en partant de la commissure des lèvres). Il ne faut pas être trop rapide pour ne pas laisser ou casser des poils. L'opération est à réitérer pour l'autre moitié de la lèvre. Vous pouvez ensuite compter sur trois semaines de tranquillité.
L'épilation à la pince à épiler :
Pour une épilation à la pince réussie, il faut étirer votre lèvre avec les doigts, placer votre pince vers le bas, saisir le poil au plus près de la peau et tirer d'un coup sec dans le sens du poil. Il faut toujours commencer par la commissure des lèvres et par les poils les plus voyants.
2 - L’épilation des sourcils
À l'instar du duvet des lèvres supérieures, les poils des sourcils sont très sensibles et leur épilation est une mission périlleuse. Pour une parfaite épilation des sourcils, vous devez choisir les bonnes méthodes d’épilation.
L'épilation à la pince à épiler :
Pour les retouches, vous devez toujours avoir une bonne pince à épiler ou bien encore un Epil’spring, un ressort qui permet une épilation comme au fil.
L'épilation à la cire :
Pour l’épilation des sourcils, la cire tiède reste la méthode la plus utilisée. Efficace et rapide, il existe aujourd’hui de nombreux kits pour le visage. Comment définir la bonne forme de sourcils ? Pour être certaine de définir le bon arc de sourcils, il suffit de prendre un pinceau et de le placer le long de votre nez verticalement. Pour savoir où votre sourcil doit commencer, imaginez une ligne reliant la base de votre narine, le coin interne de votre œil et le sourcil. Maintenant que vous savez où commencer, il faut connaître la fin.
La ligne, cette fois, doit relier la base de votre narine et le coin externe de l'œil. Voilà, vous savez désormais où votre sourcil doit se terminer.
Antidépresseurs naturels
La dépression peut être sérieuse. Elle nécessite souvent une aide professionnelle, voire la prise des médicaments. Toutefois, en augmentant notre consommation de certains aliments essentiels, on peut arriver à prévenir la dépression, à en soulager les symptômes ou améliorer l'efficacité des antidépresseurs.
1. Les aliments riches en oméga-3
Dans des pays comme le Japon, Taiwan, et la Finlande, là où la consommation de poisson est élevée, le taux de dépression est généralement très bas. À l’inverse, dans les régions où la consommation de poisson est faible, comme en Amérique du Nord et en Europe, le taux de dépression est jusqu'à 10 fois plus élevé.
Les femmes qui mangent rarement du poisson ont deux fois plus de risques de développer une dépression que celles qui en mangent régulièrement. Objectif: Il est presque impossible de consommer assez d'oméga-3 pour traiter la dépression seulement par l’alimentation (il faut de 1 à 3 grammes d'oméga-3 par jour pour garder sa bonne humeur).
Manger plus de poisson, comme les sardines, peut aider à prévenir la dépression avant qu’elle ne se manifeste. Commencez à manger au moins deux repas de poisson par semaine. Si vous n'aimez pas le poisson, ajoutez tous les jours aux céréales, au yogourt, ou à vos salades, une cuillère à café (5 ml) de graines de lin moulues, une autre excellente source d'oméga-3.
2. Les aliments riches en vitamines B
La plupart des recherches ont démontré que les personnes souffrant de dépression présentaient souvent une carence en acide folique, en vitamines B6 et B12.
Des chercheurs de Harvard ont constaté qu'entre 15 et 38 % des personnes souffrant de dépression avaient une carence en acide folique. Bien qu’on ne soit pas certain que ce soit une cause de la dépression, on sait que le manque d’acide folique peut retarder le soulagement des symptômes qu’apportent les antidépresseurs.
Les femmes qui prennent des contraceptifs ou des médicaments de substitution hormonale peuvent aussi avoir un faible taux de vitamines B6 (c’est peut-être pourquoi la dépression est deux fois plus élevée chez les femmes que chez les hommes).
En outre, les carences en vitamines B12 sont fréquentes chez les végétaliens qui ne consomment pas de protéines animales. Bien que l’on sache qu’elles sont généralement bénéfiques à la santé du cerveau, il reste encore à prouver si les vitamines B peuvent prévenir ou traiter la dépression.
Objectif:
La vitamine B6: 1,3 à 1,5 mg par jour. Une portion (100 gr/3, 5 oz) de thon ou une tasse de pois chiches peut facilement faire l'affaire.
La farine de sarrasin en est une autre bonne source.
La vitamine B12: 2,4 microgrammes (2,4 mg) par jour. Vous pouvez l’obtenir facilement en mangeant du bœuf ou des œufs.
L’acide folique:
400 mg par jour. Il suffit de consommer un peu plus d’une tasse de lentilles cuites ou une tasse d'épinards cuits avec un verre de jus d'orange.
Les asperges et l'avocat sont également de bonnes sources d’acide folique.
3. Les acides aminés: trypto-quoi?
Le tryptophane est essentiel à la production de la sérotonine, un neurotransmetteur qui régule l'humeur. Des chercheurs britanniques ont constaté qu’un gramme de tryptophane pris trois fois par jour permet d'améliorer l'humeur.
Objectif:
Il est impossible d'obtenir autant de tryptophanes dans l’alimentation que ce que les chercheurs britanniques ont utilisé dans leur étude. Il suffit donc d’incorporer à notre régime quotidien des aliments plus riches en tryptophanes (comme les arachides, le poisson, le lait, les dattes et même le chocolat).
On peut également aider notre corps à produire son propre tryptophane en mangeant plus de viande et de protéines de soja (une bonne source d'acide aminé).
Conseil utile:
Mangez de la dinde. C’est non seulement une bonne source de tryptophane, mais elle contient aussi les vitamines B essentielles au cerveau et de bonnes quantités de fer, de sélénium et de zinc, d'autres éléments nutritifs à l'étude pour leur incidence dans le soulagement de la dépression.
4. Les glucides complexes
Les glucides contribuent indirectement à la production de sérotonine. Les glucides simples comme les aliments sucrés, les féculents et produits faits de farine blanche stimulent le niveau de sérotonine. C'est pourquoi nous sommes instinctivement portés à en manger quand nous broyons du noir.
Mais ces aliments augmentent rapidement le taux de sucre sanguin, qui retombe aussi vite. Lorsque la glycémie chute, notre humeur tombe également.
Les fluctuations erratiques des taux de glycémie, provoquées par une surconsommation de ce type d’aliments, épuisent les glandes surrénales, ce qui cause fatigue et dépression.
En revanche, les glucides complexes, comme ceux qu'on trouve dans les produits à grains entiers (pain, riz et pâtes alimentaires), les fruits, les légumes et les légumineuses, stimulent et soutiennent la sérotonine sans entraîner des fluctuations drastiques de la glycémie.
Objectif:
Mangez 7 à 10 portions de fruits et légumes par jour, en plus de consommer 3 portions de produits céréaliers de grains entiers. Un bol de céréales riches en fibres le matin et un sandwich fait de 2 tranches de pain de grains entiers le midi, vous permettront d’y arriver.
Santé : dépister le cancer du poumon plus tôt
En mesurant le taux de cellules tumorales qui circulent dans le sang, un test permet de prévenir l’apparition de nodules cancéreux bien avant qu’ils ne soient visibles sur un scanner.
La découverte Repérer des signes annonciateurs du cancer du poumon chez des gros fumeurs avant de pouvoir les détecter sur un scanner… Voilà ce qu’une équipe de chercheurs niçois vient peut-être de mettre au point avec un test sanguin qui permettrait de déceler la présence de cellules cancéreuses dites circulantes.
Leurs travaux ont été publiés dans la revue américaine Plos One, début novembre. Un signal très important, car le cancer du poumon serait diagnostiqué des mois, voire des années avant qu’il n’apparaisse lors d’un examen par imagerie.
Et dans 75 % de ces derniers cas, il est trop tard pour pratiquer une éventuelle intervention chirurgicale. Comment ça marche La radiographie du thorax et le scanner sont actuellement les seules techniques disponibles pour détecter un cancer du poumon.
Mais elles ne permettent pas de déterminer la nature d’un petit nodule. La surveillance et une biopsie sont souvent nécessaires, et le plus souvent, si la tumeur est cancéreuse, elle est décelée trop tard. Le pronostic n’est alors pas très bon, même avec une opération chirurgicale, puisque l’on déplore 30 000 décès par an en France.
Les cellules tumorales circulantes, découvertes il y a déjà plusieurs années, sont l’un des facteurs qui provoquent le décès. Elles se détachent d’une tumeur et vont migrer, via les vaisseaux sanguins, vers d’autres organes : c’est le mécanisme des métastases. Dans les années 2000, les recherches ont suggéré que ces cellules pouvaient « circuler » très précocement et en très petit nombre, dès le début du développement d’une tumeur.
Comme le confirme le Pr Paul Hofman, de l’Inserm - Centre hospitalier de Nice, « on compte environ 2 ou 3 cellules tumorales circulantes pour 50 milliards de cellules présentes dans 10 millilitres de sang ». Non seulement elles sont rares, mais aussi difficiles à extraire.
Le test sanguin Iset (Isolation by Size of Tumor cells), développé par l’entreprise américaine Rarecells, permet justement de réaliser cette opération délicate. « Il consiste à passer le sang prélevé sur des filtres de polycarbonate. Toutes les cellules du sang passent à travers, à l’exception des cellules tumorales, qui restent à la surface du filtre, car elles sont plus volumineuses », explique le Pr Hofman.
Ce test existe depuis 2011 et il est actuellement utilisé pour détecter d’éventuelles métastases en formation chez les patients porteurs d’un cancer. Mais les chercheurs de l’équipe du CHU de Nice ont été les premiers dans le monde à l’exploiter dans le diagnostic précoce du cancer du poumon.
Ils ont ainsi suivi 245 patients à risque. Le tabagisme étant la cause principale du cancer du poumon (81 %), ils étaient tous gros fumeurs, et deux tiers d’entre eux souffraient de broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO), une grave atteinte respiratoire qui multiplie par trois le risque de cancer. Les prélèvements sanguins ont révélé la présence de cellules cancéreuses circulantes chez cinq d’entre eux.
Ces patients ont alors passé un scanner sur lequel rien n’apparaissait. Cet examen a été régulièrement renouvelé et, environ quatorze mois plus tard (durée variable selon les patients), un ou plusieurs nodules sont apparus.
Les patients ont pu être opérés et l’analyse des nodules a confirmé le diagnostic de cancer du poumon. Un an après, il n’y avait pas de signe de récidive. Par ailleurs, aucun autre patient de la cohorte n’a développé de signe de cancer au cours des quatre années qu’a duré la surveillance.
Les perspectives Si ce test est porteur d’espoir dans le dépistage et le possible traitement précoce du cancer du poumon, sa mise à disposition à grande échelle ne se fera pas de sitôt. Il faut d’abord confirmer la fiabilité du test sur un plus grand nombre de patients. De plus, ce test ne permet pas encore d’identifier de quel organe proviennent les cellules cancéreuses, or les identifications spécifiques sont longues et difficiles.
Patrizia Paterlini-Bréchot, fondatrice de l’entreprise Rarecells et chercheuse à l’Inserm, reconnaît d’ailleurs qu’il ne s’agit pas encore d’un test de dépistage et que « d’autres études sont nécessaires avant sa commercialisation ».
C’est d’ailleurs la prochaine étape envisagée par Paul Hofman, qui va lancer une étude dès 2015 afin d’établir une signature pulmonaire spécifique de ces cellules cancéreuses.
Le pontage aorto-coronarien est une intervention chirurgicale visant à traiter l'insuffisance coronarienne .
Le pontage aorto-coronarien est une intervention chirurgicale dont l'objectif est de réaliser une dérivation entre l'aorte, artère issue du cœur au niveau du ventricule gauche, et les artères coronaires, qui sont situées à la surface du cœur et qui assurent sa vascularisation. Cette intervention nécessite au préalable la réalisation d'une radiographie du cœur qui va visualiser les artères coronaires à l'aide d'un produit de contraste et ainsi définir s'il existe ou pas des rétrécissements ou sténoses ; il faudra ensuite en fonction de leur importance et de leur condition d' accès valider s'ils sont accessibles ou pas à un geste chirurgical. Le pontage aorto-coronarien réalisé initialement avec les veines saphènes prélevées à hauteur de la cuisse, est maintenant plus souvent réalisé avec des artères :
• Les artères mammaires internes qui vascularisent la partie antérieure du thorax
• Les artères radiales prises au niveau du poignet. Cette intervention ne peut se dérouler que dans un centre spécialisé car elle nécessite des moyens techniques spécifique et une équipe entraînée et spécialisée Elle n'en reste pas moins une intervention devenue classique, bien cadrée, dont les résultats sont d'excellente qualité. Comment cela se passe t il ? Les indications sont définies et posées sur la base des images obtenues à la coronographie, de la qualité de la fonction ventriculaire gauche ( capacité du cœur à se contracter) et de paramètres comme l'âge, l'existence de maladies chroniques pouvant être responsables de complications postopératoires, comme l'insuffisance rénale ou respiratoire. L'intervention en elle-même comprend différentes phases :
• L'anesthésie et la préparation des champs opératoires • L'installation de la circulation extra corporelle ;
• Le prélèvement des greffons qu'ils soient veineux ou artériels ;
• La réalisation des pontages ;
• Le rétablissement de la circulation normale. Les suites opératoires : Les suites opératoires sont habituellement simples et comportent trois phases :
• Un séjour rapide en réanimation post opératoire : de quelques heures à deux ou trois jours en moyenne.
• Un séjour transitoire en chambre classique d'hospitalisation. • Une période de rééducation et de réadaptation cardio-vasculaire pour entraîner le cœur soumis à de nouvelles conditions de perfusion en l'obligeant à faire des efforts de plus en plus conséquents. Après l'intervention, il est nécessaire d'avoir une surveillance précise et particulièrement rigoureuse qui ne peut s'effectuer que dans une réanimation disposant d'un personnel médical et para médical compétent. Cette période post opératoire immédiate doit permettre :
• De réchauffer le corps qui a été mis en hypothermie afin de mieux protéger le cœur pendant la circulation extra corporelle.
• D'avoir un réveil progressif et sans à-coups.
• De respirer de nouveau seul et donc d'être "sevré" du respirateur artificiel. L'anesthésiste vous aura expliqué ce moment du réveil pendant lequel il est nécessaire de laisser faire la machine qui vous envoie de l'air dans les poumons et celui pendant lequel il vous est demandé de respirer seul. Dès que vous aurez retrouvé votre autonomie respiratoire le tube que vous avez dans la trachée, qui n'est pas douloureux mais qui peut vous gêner, sera retiré.
• De surveiller vos paramètres physiologiques et en particulier : - Votre fréquence cardiaque à la recherche de troubles du rythme cardiaque. - Votre pression artérielle à la recherche de poussées d'hypertension artérielle en particulier lors du réveil. Très rapidement, vous serez réveillé et l'on vous donnera la possibilité :
• De vous asseoir au bord du lit.
• De vous donner à manger et à boire. Vous quitterez habituellement la réanimation entre 24 et 48 heures en moyenne après l'intervention. Subir un pontage aorto-coronarien signifie que l'on est porteur d'une maladie cardio-vasculaire. Cette maladie va continuer à évoluer si vous ne changez pas radicalement vos comportements santé et si vous ne suivez pas avec la plus grande régularité les traitements qui vous sont prescrits. La nécessité de modifier ses habitudes de vie et de normaliser ses facteurs de risques cardio vasculaires est l'enjeu du suivi à long terme de personnes qui ont été opérées. Cette intervention chirurgicale est dite palliative, c'est-à-dire qu'elle n'a aucune action sur les causes de la maladie. Il va donc être impératif :
• D'arrêter de fumer.
• D'avoir des taux de cholestérol et de lipides normaux.
• D'avoir une pression artérielle normale.
• De maîtriser une éventuelle surcharge pondérale.
• D'équilibrer un éventuel diabète.
• De pratiquer un exercice physique régulier.
• D'avoir une alimentation équilibrée, si possible de type méditerranéen. L'obligation de suivre son traitement avec sérieux et assiduité et de se conformer aux différentes consultations et examens prescrits est tout aussi essentielle. Témoignage: «Moi, Alain Deloche, chirurgien cardiaque, opéré à cœur ouvert» | Slate Témoignage: «Moi, Alain Deloche, chirurgien cardiaque, opéré à cœur ouvert» | Slate Je croise le regard d’Eric, visage sombre. C’est comme si j’avais reçu un uppercut au foie. J’ai compris. «Positif au troisième palier», confirme la cardiologue en charge du test. Un patient aurait eu besoin d’explications: positif, ça sonne bien! J’en ai vu ressentir cette cruelle ... via : www.slate.fr
QU'EST-CE QU'UN PONTAGE AORTO-CORONAIRE
Cette intervention a été décidée, soit parce que votre angine est devenue insupportable malgré le traitement, soit parce qu'elle s'est aggravée rapidement, soit parce qu'une épreuve d'effort a montré des anomalies incompatibles avec une activité normale.
Il se peut même que l'intervention ait été décidée en fonction des résultats de la radiographie des artères coronaires montrant des lésions qu'il valait mieux opérer pour préserver l'avenir. Le pontage aortocoronaire consiste en l'implantation d'un "pont" entre l'aorte et l'artère coronaire au-delà du rétrécissement ; il est réalisé préférentiellement avec une arthère intra-thoracique (l'artère mammaire interne) ou encore à partir d'une veine prélevée sur une jambe (veine saphène).
Ceci permet d'amener au muscle cardiaque du sang oxygéné au-delà du rétrécissement. Ce "court-circuit" évite donc les conséquences des lésions coronaires sur le fonctionnement du coeur. Cette intervention n'est possible que si le rétrécissement siège à l'origine des artères.
Elle ne peut pas dans tous les cas "court-circuiter" tous les rétrécissements, certains étant situés trop loin sur l'artère et ne constituant pas un risque important pour l'avenir. Ce type d'intervention doit vous permettre de constater une disparition ou une forte diminution des symptômes. Elle a également pour but de préserver l'avenir. Votre convalescence va démarrer quelques jours après l'intervention. Vous allez être levé très rapidement. Une rééducation respiratoire sera immédiatement entreprise.
APRES L'HÔPITAL LES SEQUELLES DE L'INFARCTUS
Les séquelles de l'infarctus du myocarde sont variables et dépendent : de la taille de l'infarctus, du fait qu'il s'agit d'un premier accident ou d'une récidive; de l'état des artères coronaires allant dans les zones saines du myocarde. Les séquelles peuvent être absentes ; beaucoup de patients qui acceptent de faire de l'exercice, de perdre du poids, d'arrêter de fumer, se disent en bien meilleur état quelques mois après un infarctus qu'avant. Mais des séquelles sont possibles : insuffisance cardiaque pouvant entraîner un essoufflement, persistance d'une angine de poitrine, apparition de troubles du rythme cardiaque. Ces anomalies doivent être dépistées le plus rapidement possible. En fonction des résultats, le traitement sera adapté.
LA CONVALESCENCE ET LA READAPTATION
A la sortie de l'hôpital, votre convalescence va commencer. Durant cette phase, avant la reprise de votre travail, vous aurez à retrouver progressivement une certaine activité physique ; cette "réadaptation" pourra se faire selon les cas à domicile, ou bien en venant plusieurs fois par semaine à l'hôpital, en externe à l'hôpital, ou enfin en étant admis dans un centre de réadaptation spécialisé pendant quelques semaines.
Les exercices gradués avec des promenades croissantes sont recommandés et si votre état le permet, dès la 2 ème semaine parfois, pourra vous être proposé un programme d'entraînement physique, associant gymnastique, bicyclette, tapis roulant sous surveillance électrocardiographique continue si besoin.
Cette mesure suivie tout au long de votre convalescence au rythme minimum de 3 séances par semaine, vous amènera en général à une très bonne forme physique, bien souvent supérieure à celle que vous aviez avant votre accident cardiaque.
Ces séances sont complétées par de la kinésithérapie respiratoire, indispensable en post-opératoire où la capacité respiratoire est souvent réduite par la douleur thoracique, un épanchement pleural ou encore un foyer infectieux pulmonaire.
En dehors de cette forme physique et de la sensation de bien-être qu'elle procure, la réadaptation cardiaque à l'effort, qui n'est pas indiquée dans tous les cas, permet de bien connaître vos limites, de déceler d'éventuelles anomalies, absentes au repos et survenant à l'effort, de retrouver au plus tôt une vie normale, sur le plan professionnel et personnel.
Enfin l'exercice physique régulier adapté à vos possibilités va diminuer le travail de votre coeur dans la vie quotidienne. En effet, il diminue la fréquence cardiaque au repos, et pour un même effort, après entraînement, la fréquence cardiaque monte beaucoup moins.
Ors nous savons que c'est l'un des facteurs primordiaux, déterminant les besoins en oxygène du myocarde. C'est l'une des raisons pour lesquelles l'activité physique régulière fait partie intégrante du traitement de l'insuffisance coronaire.
Durant cette phase de convalescence, vous devrez envisager avec votre médecin la correction des facteurs de risque existants et d'éventuelles modification de votre mode de vie. A l'issue de cette phase, une épreuve d'effort permettra de juger de votre état et des possibilités exactes d'activité et de reprise du travail.
Ultérieurement, le bénéfice de cette réadaptation devra être entretenu par la pratique régulière d'exercices au rythme de deux ou trois fois par semaine et durant un demi-heure.
L'AVENIR
Il dépend plus des risques de nouvelles lésions coronaires et myocardiques que des séquelles de celles qui viennent de survenir. La maladie cardiaque a une image particulière.
Elle est souvent considérée comme une punition atteignant l'homme actif soumis à de lourdes responsabilités. Enfin elle a souvent l'image d'une maladie dangereuse et imprévisible.
Non, la maladie coronaire n'est pas l'apanage des cadres surchargés de responsabilités. Non, la maladie coronaire n'est pas forcément une maladie dramatique et elle ne va pas faire de vous obligatoirement un handicapé. Non, elle n'est pas habituellement une fatalité. Il s'agit d'une maladie sur laquelle vous pouvez agir mais au prix d'une révision de votre mode de vie plus ou moins complète.
L'objectif à atteindre peut être une vie plus harmonieuse et plus heureuse après un accident cardiaque qu'avant.
LES MOYENS D'AGIR LA CORRECTION DES FACTEURS DE RISQUE
On désigne sous l'appellation de "facteurs de risques" de la maladie coronaire, un certain nombre d'éléments qui peuvent favoriser le développement de cette maladie. On peut schématiquement distinguer deux groupes de facteurs de risque : Les facteurs de risque sur lesquels nous ne pouvons rien :
LE SEXE :
l'athérosclérose, ou la maladie coronaire, est trois fois plus fréquente chez l'homme que chez la femme. Avant 50 ans, elle est presque exclusivement masculine. Chez la femme, la maladie coronaire apparaît plus tardivement : elle est très rare avant 50 ans, sauf chez les femmes fumeuses où le risque est encore majoré lorsqu'elles prennent la pilule.
Il s'agit vraisemblablement d'une protection hormonale cessant après la ménopause ; les traitements hormonaux de substitution prescrits sous stricte surveillance médicale durant la ménopause pourraient également avoir un effet favorable sur le système cardiovasculaire.L'AGE : la maladie coronaire est surtout fréquente entre 50 et 60 ans. Cependant, on voit de plus en plus d'hommes entre 30 et 40 ans frappés par cette affection
L'HEREDITE:
il existe manifestement dans certaines familles une fréquence tout à fait exceptionnelle de maladies coronaires. Elles peuvent être transmises génétiquement par un facteur agissant directement sur les vaisseaux ou par l'intermédiaire d'autres facteurs de risque tels l'hypertension, le cholestérol, etc. ...
Les habitudes alimentaires et le mode de vie en général (qui sont des habitudes familiales) ont également un rôle néfaste. S'il ne vous est plus possible de modifier le risque que vous ont transmis vos parents, il faut savoir qu'il est possible que vous l'ayez également transmis à vos enfants.
Aussi est-il particulièrement important de détecter chez eux ces facteurs de risque, et de les corriger pour éviter l'apparition d'une maladie coronaire.les facteurs de risque sur lesquels vous pouvez agir :Le tabac agit par la nicotine qui entraîne une accélération du rythme cardiaque, une augmentation de la pression artérielle, et donc une augmentation du travail du coeur.
Elle favorise les trois mécanismes de la maladie coronaire : l'athérome, la thrombose et le spasme. Elle favorise notamment l'agglutination des plaquettes du sang, laquelle déclenche la formation de caillots. Ce facteur de risque peut être le seul retrouvé chez les patients jeunes qui ont fait un infarctus massif alors que le réseau coronaire est normal.
Le tabac agit également par l'intermédiaire de l'oxyde de carbone, qui a pour effet de diminuer les capacités de transport en oxygène des globules rouges et de diminuer ainsi l'oxygénation générale de l'organisme. La consommation de tabac est d'autant plus dangereuse qu'elle est commencée jeune, que la fumée est inhalée, que les cigarettes sont plus riches en nicotine, et que le nombre de cigarettes consommées est plus grand.
LE TABAC : LE PREMIER, LE PLUS FREQUENT CHEZ LES INFARCTUS DE MOINS DE 60 ANS.
Toutes les études montrent que la consommation de tabac est extrêmement nocive, favorisant non seulement l'apparition des cancers, mais aussi ce qui vous concerne plus directement, la maladie coronaire. Le tabac agit sur la fréquence des atteintes coronaires (le risque est multiplié par 2,5 pour 20 cigarettes par jour et par 5 pour 40 cigarettes par jour par rapport à un non fumeur), et sur la mortalité (la mort subite avant 50 ans est 4 à 5 fois plus fréquente chez les fumeurs que chez les non fumeurs).
Le taux de rechute est beaucoup plus élevé chez ceux qui continuent de fumer. Ce facteur de risque ne peut pas être contrôlé en diminuant la quantité de cigarettes ou en utilisant des cigarettes pauvres en nicotine, mais en arrêtant de fumer.
Le tabagisme doit être arrêté totalement et définitivement : il est préférable de stopper brutalement plutôt que de tenter de diminuer progressivement la consommation, car elle raugmente toujours. il ne faut pas non plus tenter de fumer occasionnellement une cigarette car c'est ainsi que tous les récidivistes recommencent à fumer.
Bien entendu, l'arrêt du tabagisme est une question de volonté. Vous pouvez vous faire aider éventuellement par une consultation anti-tabac (dans les Centres Hospitaliers), par l'acupuncture ou éventuellement par certains produits pharmaceutiques. Sachez que l'arrêt du tabac est relativement facile tant que vous êtes hospitalisé et devient très difficile quand vous retournez dans votre milieu naturel.
Il faut vous méfier également plus particulièrement de votre alimentation ultérieure, car l'arrêt du tabagisme entraîne une prise de poids par compensation alimentaire. Il faut également savoir que la plupart des rechutes du tabagisme survient dans deux circonstances : euphorie d'un repas bien arrosé entre bons amis et période de contrariétés (sociales, affectives, professionnelles). Dans ces deux circonstances la force de résister à l'envie de fumer est transitoirement diminuée.
ANOMALIE DU METABOLISME DES LIPIDES
Les lipides qui constituent un risque cardio-vasculaire sont essentiellement le cholestérol et les triglycérides. Ils peuvent se déposer dans les parois artérielles.
Leur présence en excès dans le sang peut provenir de l'alimentation ou d'un excès de production de ces substances dans l'organisme; Le cholestérol est transporté dans le sang par l'intermédiaire de vecteurs appelés lipoprotéines. La lipoprotéine dite LDL augmente les dépôts de cholestérol dans les parois artérielles : elle est appelée "mauvais" cholestérol.
La lipoprotéine dite HDL retire le cholestérol des cellules : elle est appelée "bon" cholestérol. L'apoprotéine est la partie prothétique des lipoprotéines. Une augmentation de l'apoprotéine B signifie qu'il y a un excès de LDL cholestérol. Un taux faible de l'apoprotéine A1 est équivalent à un taux faible de HDL cholestérol. Les deux types de dosages (HDL et LDL cholestérol ou Apo A1 et Apo B lipoprotéines) ayant à peu près la même signification, leur choix dépend surtout des habitudes de votre cardiologue et de votre médecin.
De toute façon, il est souhaitable de maintenir le chiffre total de cholestérol aussi bas que possible : le taux normal varie un peu en fonction de l'âge. Il doit être déterminé après 12 heures de jeûne, donc habituellement le matin à jeun.
Pour diminuer le risque cardio-vasculaire, il faut se rapprocher par le régime, éventuellement aidé par des médicaments, des chiffres normaux qui sont : pour le cholestérol : 2 g / l ;pour le cholestérol LDL, un taux inférieur à 1,70 g / l ;pour le cholestérol HDL, un taux supérieur à 0,40 g / l ;pour l'apoprotéine A1, un taux supérieur à 1,3 g / l ;pour l'apoprotéine B, un taux inférieur à 1,3 g / l.
Le laboratoire fournit en général les rapports entre les différentes fractions. Les triglycérides représentent 80 à 90 % des graisses alimentaires. Dans l'organisme, c'est sous cette forme que les graisses sont stockées. Seule une très petite partie circule dans le sang. Ces graisses sont elles aussi liées à des lipoprotéines. Le taux normal de triglycérides est inférieur à 1,3 g / l.
L'hypercholestérolémie doit être traitée par un régime alimentaire pauvre en graisse d'origine animale et en graisses saturées. Méfiez-vous particulièrement des produits laitiers, des viandes grasses. Vous pouvez par contre consommer sans restriction le veau, les volailles, le poisson.
Les graisses insaturées sont d'origine végétale : tournesol, maïs, soja, colza, noix. elles peuvent être utilisées comme assaisonnement. Il faut en consommer suffisamment car non seulement elles ne sont pas nocives sur le plan artériel, mais elles sont même bénéfiques. Mais il faut se rappeler qu'elles apportent un nombre de calories non négligeable.
Si le régime est suffisant pour ramener vos chiffres de cholestérol à la normale, dans certains cas votre médecin peut vous prescrire des médicaments de type hypolipémiants. L'hypertriglycéridémie témoigne en général d'une intolérance aux sucres ou d'un excès d'apport en alcool. Là encore, un régime adapté et, dans la majorité des cas moins abondant, doit vous permettre de ramener ces chiffres à la normale.
LES AUTRES FACTEURS DE RISQUE L'HYPERTENSION ARTERIELLE
La pression artérielle normale s'élève légèrement au cours de la vie. elle ne doit pas dépasser 140 pour la maxima et 90 pour la minima exprimées en mm de mercure. Ces chiffres doivent être mesurés au repos et être constatés à plusieurs reprises.
L'hypertension artérielle est un facteur de risque coronaire majeur. Son dépistage n'est pas toujours fait très tôt. Il existe dans ce domaine une gamme de médicaments très actifs, d'emploi relativement simple, permettant de ramener les chiffres de pression artérielle à la normale
Il faut noter qu'après un infarctus du myocarde ou même après un pontage aortocoronaire, les chiffres de pression artérielle baissent au moins transitoirement. L'hypertension artérielle, si elle persiste après l'accident cardiaque, doit être l'objet d'un traitement au long cours qui doit être surveillé. Un régime relativement pauvre en sel peut être associé à ce traitement.
LE DIABETE
Il s'agit d'un trouble du métabolisme des hydrates de carbone, se traduisant notamment par une élévation anormale du taux de sucre dans le sang. Il faut opposer schématiquement deux types de diabète :
LA SURCHARGE PONDERALE OU L'OBESITE
n'est pas en soi un facteur de risque dont la gravité soit démontrée de façon certaine. Elle le devient lorsqu'elle s'accompagne d'autres anomalies comme l'hyperlipidémie, le diabète, l'hypertension artérielle, etc ...le diabète du sujet maigre par carence en insuline nécessitant un traitement par insuline,le diabète avec surcharge pondérale (appelé diabète gras) correspondant au contraire à une sécrétion en excès et inadaptée d'insuline.
A côté de ce diabète évident, il faut connaître l'état de pré-diabète. Les sujets ont alors un taux de sucre à jeun normal mais ont une mauvaise tolérance aux sucres, et leur glycémie augmente de façon anormale après l'absorption d'hydrates de carbone.
Ces cas ne peuvent se dépister que par un examen particulier : l'étude de la courbe d'hyperglycémie provoquée à jeun. en son absence, il est très possible de méconnaître ces états de pré-diabète.
Le diabète, suivant son type (insulino-dépendant ou non) devra également être équilibré au moyen d'un régime associé à une thérapeutique spécifique. Le poids idéal d'un sujet peut être déterminé en fonction de formules ou d'abaques multiples.
Ces chiffres doivent être interprétés avec discernement compte tenu du morphotype du sujet. Grossièrement on peut dire que le poids idéal d'un sujet normal est celui qu'il avait dans sa jeunesse lorsqu'il avait atteint sa taille maximum, soit vers 20 ans environ.
L'obésité doit être corrigée. en effet, elle est très souvent associée à d'autres facteurs de risque dont la correction passe par une perte de poids. De plus, toute surcharge pondérale entraîne un surcroît de travail cardiaque néfaste.
Mais la perte de poids doit être progressive et non brutale. Elle doit se faire par un simple régime et sans s'aider de médicaments hormonaux, diurétiques ou de coupe-faim. Il s'agit là encore d'une affaire de volonté comme l'arrêt du tabagisme; Il est fortement conseillé de recourir à l'aide d'un diététicien qui décèlera vos erreurs alimentaires et vous aidera à retrouver un poids normal.
L'HYPERURICEMIE
est considérée comme un facteur de risque vasculaire secondaire. Elle peut s'associer à d'autres facteurs de risque. L'hyperuricémie ou la goutte doit être traitée par un régime évitant la viande, les abats, les crustacés, etc... , éventuellement associé à un médicament hypo-uricémiant.
LA PRISE D'UN CONTRACEPTIF ORAL,
la pilule, a une action néfaste tout à fait certaine, surtout si elle s'accompagne d'un tabagisme, d'une hypertension artérielle ou d'une hypercholestérolémie.
LA SEDENTARITE (ou absence d'activité physique habituelle)
est également un des éléments qui favorisent l'apparition d'une atteinte coronaire.
LE STRESS,
toute agression qui frappe notre organisme provoque une réaction. L'ensemble de ces phénomènes est désigné sous le vocable de "stress". Les situations de stress sont très nombreuses : le bruit, le surmenage, les conflits notamment familiaux, les difficultés financières ou autres, mais aussi un profil psychologique particulier (anxiété, perfectionnisme).
VOTRE COMPORTEMENT ULTERIEUR
Votre comportement psychologique est toujours la résultante des problèmes qui vous assaillent et de la réponse que vous leur donnez. Puisqu'il nous est pratiquement impossible d'agir sur des problèmes auquels nous devons faire face, il faut impérativement modifier la réponse que nous leur apportons.
Ceci va bien entendu nécessiter une modification du comportement de l'appréciation des événements, en un mot de l'échelle des valeurs. La famille : Le conjoint a un rôle important et difficile. Il peut devenir trop "maternel", imposant des interdits de toute sorte aussi frustrants qu'immérités.
C'est pour cela qu'il est nécessaire qu'il soit informé des problèmes par le médecin de famille et par le cardiologue.Dans votre travail :Vous pouvez rencontrer deux sortes de difficultés :
Votre situation professionnelle peut être difficile pour des raisons physiques ou psychologiques, et votre entourage n'en tient pas compte. La solution résultera d'une confrontation des avis de votre cardiologue d'une part, de votre médecin du travail d'autre part, et enfin de vos supérieurs ou collaborateurs
.On peut, au contraire, majorer la gravité de votre état et on en profite pour essayer de vous mettre sur la "touche". Cette situation, très pénible sur le plan psychologique, vous demandera beaucoup de patience. Il faut bannir toute agressivité et essayer de refaire progressivement vos preuves. Notons que, très souvent, l'aptitude au travail redevient ou reste très supérieure à ce que l'entourage imagine. Dans tous les cas, il faut souligner l'intérêt de l'avis technique que vous donnera votre cardiologue en tenant compte notamment des résultats de la rééducation et des épreuves d'effort.
VOTRE MODE DE VIE
L'environnement : le séjour en altitude supérieure à 1500 mètres est possible en l'absence de séquelles et après avis du médecin. La marche en altitude n'a aucun inconvénientsur votre état cardiaque s'il est stable, si vous n'êtes pas essoufflé et si vous n'avez pas d'angine de poitrine. Le séjour au bord de la mer n'a aucun inconvénient. Les baignades sont cependant à éviter si la température de l'eau n'est pas supérieure à 20 °C et particulièrement si vous avez les doigts qui deviennent blanc au contact du froid ou de l'eau froide (maladie de Raynaud). Evitez de nager au large et nagez plutôt parallèlement à la côte. L'exposition au soleil ne présente pas plus d'inconvénient que pour un sujet sain, sauf pour les patients traités par certains médicaments qui peuvent provoquer une hypersensibilité de la peau aux rayons solaires, et l'exposition prolongée doit être évitée chez les patients hypertendus. Le séjour à la campagne est tout à fait conseillé. Il vous apportera calme et détente à condition de ne pas en profiter pour entreprendre des travaux au-dessus de vos possibilités.Le climat : le froid risque de déclencher des douleurs d'angine de poitrine. Il faut éviter les efforts brusques ou les faire précéder d'un échauffement préalable indispensable. Il peut être nécessaire de prendre un comprimé de trinitrine avant de sortir. Le vent est également mal toléré surtout lorsqu'il est froid.L'alimentation :même si aucun régime particulier ne vous est nécessaire, il est souhaitable d'observer quelques règles simples d'hygiène alimentaire :Le repos et le sommeil : si l'absence d'activité physique est très préjudiciable, il ne faut pas tomber dans l'excès inverse. Le repos doit donc être respecté, pour maintenir une bonne forme physique ou mentale. Il faut notamment alterner des périodes d'activité relativement importantes et des périodes de détente. Dans la mesure du possible, il est souhaitable d'avoir des horaires réguliers. équilibrez vos trois repas entre eux, en quantité et en qualité : prévoyez à chaque repas (petit déjeuner compris), une crudité (légume ou fruit), une part de légume vert, féculent ou céréales, un produit laitier, et une portion de viande ou poisson au moins une fois par jour. Modérez votre apport de sel;évitez le grignotage entre les repas ;réduisez votre consommation de corps gras : privilégiez les viandes "maigres" (volaille, lapin, veau...), tous les poissons, les produits laitiers "allégés";enfin, consacrez au moins vingt minutes à votre repas, si possible dans une atmosphère calme et détendue;adaptez votre alimentation à votre activité physique;le vin occupe une place importante dans le coeur de chaque Français. En conséquence cette question doit être traitée avec objectivité, tout en essayant de respecter les valeurs et symboles que beaucoup lui attribuent. Si la modération est fortement conseillée, il est quand même raisonnable de dire qu'une dose de 15 à 30 centilitres de vin rouge par jour favorise la diminution du taux de mauvais cholestérol et a un effet anti-thrombosique (comme l'aspirine). La sexualité : l'activité sexuelle peut reprendre habituellement sans inconvénient lors de la convalescence après la sortie de l'hôpital. Néanmoins, chaque cas est un cas d'espèce. Demandez à votre cardiologue son avis dans votre cas. On peut considérer que l'activité sexuelle peut être reprise dès que vous êtes en état de monter deux étages sans symptôme. Il peut être utile que votre conjoint soit informé par votre médecin en même temps que vous-même, pour lui ôter toute inquiétude.Les déplacements : la conduite automobile constitue pour certains une source de stress non négligeable. Il est préférable de ne pas la reprendre immédiatement après la sortie de l'hôpital et de faire de petits essais en étant accompagné. De toute façon, il faut conduire prudemment, éviter d'être agressif vis-à-vis des autres conducteurs et ne pas oublier de boucler sa ceinture de sécurité. Il est conseillé de ne pas faire de long voyage sans interruption. Quand aux voyages en avions de ligne, ils n'ont aucun inconvénient à condition d'arriver en avance à l'aéroport pour éviter toute précipitation, et d'éviter de transporter tout seul de lourds bagages ; il est plus important de s'enquérir des possibilités de soin dans les pays où l'on se rend.
L'EXERCICE PHYSIQUE
Dans la pratique de l'exercice physique, il faut tenir compte de deux éléments essentiels : l'activité physique elle-même et la façon dont on l'exerce.
L'ACTIVITE MUSCULAIRE ELLE-MÊME
Il existe schématiquement deux types de travaux musculaires :
L'EFFORT DYNAMIQUEaboutit à des déplacements de parties du corps ou du corps entier. Ces efforts sont bénéfiques. Mais ils doivent être adaptés à votre cas, d'intensité moyenne visant à augmenter l'endurance. Ils doivent se passer en trois phases : échauffement de plusieurs minutes à un niveau bas, puis progressivement croissant (cette première phase est capitale, car c'est alors que les artères se dilatent) ; phase de stabilisation qui doit être prolongée pendant une période suffisamment longue pour obtenir une amélioration de la capacité physique. Elle doit être augmentée au fur et à mesure de l'entraînement.
Enfin, une phase de récupération permet à l'organisme de retrouver progressivement l'équilibre antérieur. Les efforts brefs sont moins bien tolérés et donc à déconseiller, car ils risquent d'entraîner des symptômes qui n'apparaîtraient qu'à l'issue de l'effort, du fait de sa brièveté.
LES EFFORTS STATIQUES
sont dangereux et donc déconseillés. Cette recommandation ne s'applique qu'aux efforts intenses associant une contraction permanente à un blocage plus ou moins complet des muscles respiratoires. Citons par exemple l'haltérophilie ou tout simplement l'action de pousser un véhicule embourbé. Par contre, les efforts pratiqués dans le cadre d'une "musculation adaptée" sont conseillés ; pour cela, on utilisera des charges très légères - par exemple des haltères simples de 1 à 1,5 kg - entraînant des efforts bien supportés par le coeur et permettant la synchronisation des mouvements avec la respiration. Il sera ainsi possible de renforcer la musculature du tronc et des bras qu'on a tendance à négliger mais qui intervient dans les actes de la vie courante. Par exemple pour porter un paquet, pour bricoler ou jardiner. Ce type d'exercice est conseillé aux insuffisants cardiaques ; en effet, la pratique du cyclisme et de la marche rapide provoque chez ces personnes un essoufflement exagéré.
LES CONDITIONS D'EXERCICE DE L'ACTIVITE MUSCULAIRE
L'entraînement physique a des effets bénéfiques sur l'organisme. Pour cela, il doit avoir une certaine intensité et une certaine fréquence. La périodicité la plus favorable est une séance d'une demi-heure à une heure, trois à quatre fois par semaine. Cet entraînement a pour but d'améliorer le rendement musculaire, de diminuer le travail cardiaque, et donc d'augmenter les possibilités d'activité physique pour un même travail cardiaque. A cela s'ajoute un effet psychologique évident permettant de supprimer l'anxiété et la dépression et améliorant le tonus général. De plus, l'exercice physique a un effet bénéfique indiscutable sur les anomalies métaboliques. L'activité physique possible après un accident cardiaque dépend en grande partie de celle qui était pratiquée auparavant. De toute façon, au cours de ces activités, il faut respecter un certain nombre de règles : éviter à tout prix un esprit de compétition,savoir prendre son temps et savoir se reposer,savoir que certains sports sont dangereux pour les patients sous anticoagulants (risque d'hématome important par traumatisme),se rappeler le rôle très néfaste du vent, du froid et de la digestion.
LES SPORTS A CONSEILLER
Il convient de privilégier les sports du type "endurance" permettant d'améliorer les capacités cardio-vasculaires sans imposer d'efforts trop violents au coeur. La marche est le sport idéal à condition que l'effort fourni soi suffisant en durée et en intensité. Evidemment, l'augmentation de l'activité doit être progressive (au cours de la même séance et d'une séance à l'autre).Le "footing" ou course lente réclame des efforts plus importants. Il doit être réservé aux infarctus (jeunes ou minimes), ou programmé après un sérieux entraînement par la marche. Il est nécessaire de toujours rester en "aisance respiratoire" et de contrôler souvent, au moins au début, votre fréquence cardiaque.Le cyclisme est aussi. excellent, surtout en terrain plat. En côte, les limites de la tolérance peuvent être vite atteintes. Il convient de consulter votre cardiologue avant de le pratiquer. Il est possible aussi de s'adonner chez vous à un exercice voisin en utilisant un vélo d'appartement qui présente le double avantage d'un exercice déjà pratiqué (au cours des épreuves d'effort) et facile à doser.La natation est à conseiller sous réserve que vous soyez bon nageur (coordination et aisance respiratoire) car pour être efficace elle doit, comme la marche, donner lieu à des efforts suffisants, au moins en durée. Il faut se rappeler que la nage en eau froide est mal supportée.Des exercices d'éducation physique, "la gymnastique", peuvent également être pratiqués en alternance avec les sports d'endurance, car ils permettent de développer ou d'entretenir le système musculo-articulaire. Rappelez-vous toutefois qu'il convient de proscrire formellement les exercices impliquant un "blocage respiratoire" et d'éviter les rythmes trop rapides pouvant provoquer une accélération intense de la fréquence cardiaque. ... Les autres sports Le tennis est un sport haché nécessitant des démarrages brusques, donc des efforts mal supportés par un coeur en cours de réentraînement. Par ailleurs, il implique souvent, même inconsciemment, la "compétition" donc l'exagération. Pour les "mordus", il est conseillé de jouer en double.Le ski alpin est un excellent sport de détente très bénéfique au plan psychologique pour certains passionnés, mais il n'est pas conseillé systématiquement car il implique des efforts courts et violents et se pratique par temps froid et en altitude.Le ski de randonné est un des meilleurs sports pour l'amélioration de l'endurance, mais nécessite un entraînement physique préalable de bon niveau car, lui aussi, se pratique par temps froid et parce qu'il nécessite parfois des efforts importants en raison des dénivelés. Pour tous les autres sports non envisagés ici, il est souhaitable de demander l'avis de votre cardiologue.
LA REPRISE DU TRAVAIL
D'une façon générale, les possibilités de reprise d'activité professionnelle sont sous-estimées. Tout doit être fait pour une reprise rapide du travail antérieur, sauf en cas de travaux musculaires lourds incompatibles avec l'état cardiaque. La reprise du travail est évidemment plus facile lorsqu'il s'agit d'une activité sédentaire et intellectuelle que lorsqu'il s'agit d'un métier exigeant une activité physique importante. Dans ce dernier cas, l'aptitude au travail peut être évaluée en fonction des résultats de l'épreuve d'effort. Si manifestement l'état cardiaque et physique ne permet pas la reprise de l'activité antérieure, un changement de poste est souhaitable mais parfois difficile ou nécessitant une reconversion. Dans les infarctus non compliqués, sans séquelles fonctionnelles, facilement identifiées par les épreuves d'effort, la reprise du travail peut se faire à la fin du : 1 er mois par ceux exerçant une profession ne nécessitant pas d'effort physique ;2 ème ou 3 ème mois chez ceux qui ont un métier physiquement actif. Il peut-être éventuellement intéressant de reprendre transitoirement votre activité à mi-temps. Dans le cas où la reprise d'activité professionnelle risque d'être problématique mais non formellement déconseillée, on peut suggérer de reprendre le travail afin de voir comment vous vous comportez, quitte à devoir interrompre secondairement cette activité. Dans tous les cas, n'hésitez pas à contacter votre médecin du travail qui vous sera d'une grande aide dans votre reprise professionnelle, notamment si votre poste de travail doit être aménagé. Il existe une possibilité de visite de "pré-reprise" qui est mal connue mais très précieuse.
VOTRE TRAITEMENT ET VOTRE SURVEILLANCE LES MEDICAMENTS
Durant votre séjour à l'hôpital, ce sont les infirmières qui vous distribuent vos médicaments. Une fois rentré chez vous, vous devrez continuer en partie ou en totalité ce traitement, sans omission. Vous pouvez demander à votre médecin pourquoi on vous donne tel ou tel médicament, et les effets qu'on en attend. Vous devez savoir à quel médicament correspond chaque comprimé, comment le prendre, combien de fois par jour ? Ne prenez pas plus ou moins de comprimés que ce qui vous est prescrit. Il est utile également de connaître les effets secondaires possibles de chaque médicament, de façon à ne pas être surpris. Enfin n'oubliez pas de vérifier que ces médicaments ne sont pas périmés, ce qui annulerait leurs effets. Nous allons voir ensemble quelques-uns des médicaments que vous pouvez être amené à prendre. Le médicament de base est la TRINITRINE. Nous avons vu qu'il était prescrit en cas de survenue d'une douleur angineuse. il s'agit d'un médicament à action rapide, qui dilate les vaisseaux sanguins du corps, y compris les artères coronaires, et diminue le travail cardiaque. La trinitrine, sous forme de comprimés, doit être croquée et laissée sous la langue. La trinitrine prescrite en spray doit être utilisée en pulvérisation, sous la langue. Vous pouvez en prendre aussi souvent que vous en avez besoin, car il n'y a aucune accoutumance. Il peut être particulièrement utile d'en prendre à titre préventif avant une marche ou un effort physique par temps froid ou en période digestive. Si les rapports sexuels entraînent oppression ou douleur d'angine de poitrine, il est également efficace de prendre de la trinitrine avant. Vous devez toujours porter cette trinitrine sur vous et en prendre dès que vous sentez une crise apparaître, sans délai. Elle agit très rapidement et ses effets durent environ 20 à 30 minutes. il est parfois nécessaire de renouveler la dose pour faire cesser une crise. La prise de trinitrine peut entraîner des troubles très transitoires : des maux de tête, des rougeurs, voire des vertiges, qui cèdent à la position allongée. En dehors de la trinitrine, à action rapide, on peut vous prescrire des dérivés nitrés retards, ou des pommades ou des timbres transdermiques à base de trinitrine. Ils sont en général plus fortement dosés et surtout à action prolongée. Ils peuvent entraîner les mêmes réactions que la trinitrine simple. On peut être amené à vous prescrire des médicaments complémentaires anti-angineux, tels que les bêtabloquants. Ces médicaments ralentissent le coeur et diminuent les besoins en oxygène du muscle cardiaque. Ils protègent dans la prévention des extrasystoles. Ces médicaments peuvent être quelquefois mal supportés, notamment chez les asthmatiques. Ils peuvent de plus entraîner un essoufflement, une fatigue qui disparaissent habituellement au bout de quelques jours. Un surdosage se manifesterait par un ralentissement excessif du pouls que votre médecin appréciera. On peut également vous prescrire d'autre médicaments anti-angineux, du groupe dit des "inhibiteurs du calcium". Leur tolérance est le plus souvent bonne, avec quelquefois l'apparition de gonflement des chevilles sans aucune gravité. Des inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC) peuvent être prescrits, plus spécialement (mais pas exclusivement) lorsque l'infarctus du myocarde parait important et la fonction cardiaque altérée. Ils visent à améliorer le fonctionnement cardiaque. A noter qu'ils peuvent être responsables dans quelques cas d'une toux qu'il faut signaler à votre médecin. Cette liste n'est pas limitative et votre médecin pourra vous prescrire d'autres médicaments en fonction de votre état. Vous aurez peut-être dans les premiers mois de votre convalescence, un traitement anticoagulant. Après une phase initiale d'injection intraveineuse ou sous-cutanée, vous aurez en général un traitement sous forme de comprimés. Ces médicaments ont pour but de prévenir la formation de caillot. Cet effet anticoagulant est à surveiller de façon régulière, au moyen de prises de sang pour déterminer le taux de prothrombine. Celui-ci doit être aux environs de 30 %. La surveillance doit être faite au minimum tous les quinze jours au début, puis tous les mois. Si le taux de prothrombine dépasse 35%, vous ne constaterez rien, mais l'effet du traitement sera beaucoup diminué. Ces contrôles du taux de prothrombine doivent être consignés dans un carnet que vous porterez sur vous avec vos doses de médicaments. Lorsque vous suivez ce traitement anticoagulant, vous ne devez pas prendre, sauf avis médical, certains médicaments tels que l'aspirine ou ses dérivés qui pourraient favoriser des accidents hémorragiques. Refusez catégoriquement pour la même raison des piqûres intramusculaires (antibiotiques par exemple) qui peuvent provoquer des hématomes profonds et importants. il en est de même des infiltrations intra articulaires qui peuvent aussi être dangereuses. De façon générale, demandez conseil avant de prendre un nouveau médicament. Il faut savoir que les troubles digestifs, les variations de régime ou climatiques, peuvent modifier la vitesse de coagulation. Les antiagrégants Parfois d'emblée, parfois au bout de quelques mois après des anticoagulants, on pourra vous prescrire un médicament dit antiagrégant plaquettaire, tel que l'aspirine ou autres, généralement à doses modérées. La surveillance du taux de prothrombine n'est alors plus nécessaire.
LA SURVEILLANCE
La surveillance de votre coeur est tout d'abord votre affaire. Vous venez d'apprendre à connaître les manifestations qui constituent pour vous des signes d'alerte. Vous allez pouvoir vous surveiller vous-même. Il faut savoir qu'après un infarctus ou tout autre accident cardiaque, vous vous sentirez inquiet dès que surviendra la moindre douleur thoracique. Il s'agit pourtant le plus souvent de douleurs qui n'ont rien à voir avec le coeur, d'origine musculaire ou rhumatismale. Dans certains cas, cependant il s'agit de douleurs d'origine cardiaque, constituant l'angine de poitrine. Si vous ressentez ce symptôme pour la première fois, vous devez arrêter ce que vous êtes en train de faire, vous reposer en ensuite contacter votre médecin pour lui demander conseil. Si ce n'est déjà fait, il vous prescrira de la trinitrine pour stopper la crise. Il est important que vous reconnaissiez toute variation de votre état. toute aggravation de cette angine de poitrine doit vous inquiéter et vous faire consulter votre médecin. En cas de survenue de symptômes évoquant un infarctus du myocarde, vous devez immédiatement arrêter toute activité, vous allonger et demander de l'aide pour être hospitalisé. Surtout n'attendez pas pour prévenir, même au milieu de la nuit : SAMU (15), Pompiers (18), systéme d'urgence du secteur privé ou votre service de télésurveillance pressenti par votre cardiologue traitant. La survenue d'essoufflement, de palpitations qui n'existaient pas auparavant est également une alerte qu'il faut mentionner à votre médecin. Cette surveillance médicale doit être programmée après votre sortie. Votre médecin et votre cardiologue vous en préciseront la périodicité. Il est nécessaire d'envisager une visite un mois après la sortie puis trois mois et six moix. Elle pourront s'espacer par la suite (bien entendu cette périodicité dépend de votre état). Il sera également utile de connaître l'évolution de votre taux de glycémie de cholestérol et de triglycéride, surtout s'ils étaient auparavant anormaux. une surveillance annuelle, voire semestrielle, est conseillée. Quant au taux de prothrombine, si vous avez un traitement anticoagulant, nous avons vu que cette surveillance devrait être au minimum mensuelle. De préférence le prélèvement sanguin doit être fait au laboratoire. A chaque occasion, vous devez communiquer les résultats de ces examens à votre médecin. Dans un certain nombre de cas, on vous demandera de refaire à distance une nouvelle épreuve d'effort pour vérifier les résultats de votre rééducation ou tout simplement pour surveiller votre état. Le contenu de l'article ci-dessus a été reproduit avec l'aimable autorisation de la Fédération Française de Cardiologie. La Fédération Française de Cardiologie (F.F.C.) est reconnue d'utilité publique depuis 1977. Elle rassemble 27 Associations Régionales créées et animées par des cardiologues.
Le miel et l’oignon : un remède pour la toux qui agit de façon instantanée
La toux est un mécanisme de défense que le corps produit brusquement, pour vider l’air des poumons. Elle a pour but d’expulser des substances étranges ou nocives dans nos voies respiratoires, et elle peut être sèche ou grasse (dite productive).
Quand la toux est productive, elle est accompagnée de morve, également appelée glaires ou expectorations. Elle ne doit pas être retenue, car c’est la manière dont le corps élimine l’excès de mucosités présentes dans les voies respiratoires.
D’autre part, la toux sèche n’est pas due à l’expectoration mais à une possible irritation ou infection qui, si elle n’est pas traitée, peut devenir chronique. Indépendamment du type de toux que l’on peut avoir, la plupart des gens ont recours à des sirops et à d’autres médicaments qui permettent de contrôler ses symptômes.
Cependant, l’usage de médicaments et de sirops peut avoir des effets secondaires sur la santé, c’est pourquoi il est recommandé de trouver des alternatives naturelles.
Les ingrédients naturels pour soulager la toux ont des propriétés expectorantes et calmantes qui peuvent aider à éliminer les glaires, en plus de calmer l’irritation.
Ces ingrédients agissent comme des antibiotiques, car ils sont capables de lutter contre les micro-organismes qui attaquent les voies respiratoires.
Dans cet article, nous allons partager avec vous la recette d’un célèbre sirop naturel à base de miel et d’oignon.
Le sirop au miel et à l’oignon pour soulager la toux Miel La combinaison miel et oignon est un remède naturel qui est utilisé depuis l’Antiquité comme un antitussif.
Ces deux ingrédients ont une action antibiotique et expectorante qui peut aider à réduire les symptômes de la toux, pour éviter qu’elle ne devienne un problème plus grave.
De plus, ils ont le pouvoir de renforcer le système immunitaire et ainsi, d’augmenter les défenses face aux virus, aux bactéries et aux autres micro-organismes responsables des maladies respiratoires.
Bénéfices du miel :
Le miel est reconnu par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) comme un traitement potentiel pour la toux et les rhumes. Cet aliment a le pouvoir d’adoucir la gorge pour calmer les irritations et de réduire les symptômes de la toux.
De plus, il a des propriétés antioxydantes et augmente la production de substances appelées cytokines, auxquelles on attribue une action anti-microbienne.
Bénéfices de l’oignon:
L’oignon est mondialement connu pour être un bon expectorant naturel. Ses propriétés favorisent l’élimination de bactéries et stimulent le nettoyage des voies respiratoires.
Cet aliment possède une haute concentration en antioxydants, en propriétés purificatrices et en détoxifiants qui peuvent aider à contrôler la toux.
L’oignon a donc le pouvoir de soulager l’irritation de la gorge. Ce sirop naturel mélange les propriétés du miel et de l’oignon pour former un excellent allié contre la toux et pour renforcer le système immunitaire. Ces ingrédients ne provoquent aucun effet secondaire et sont sans risques, pour les enfants également.
Recette au miel et à l’oignon
N.º 1 Ingrédients
1 oignon moyen
2 verres d’eau (400 ml)
Le jus d’un citron
2 cuillerée de miel (15 g)
Comment le préparer ?
Epluchez et coupez l’oignon en gros morceaux, puis mettez-le à bouillir avec les deux verres d’eau pendant 15 minutes.
Laissez reposer pendant 5 minutes, et ajoutez-y les deux cuillerées de miel et le jus d’un citron.
L’idéal est le boire deux ou trois fois par jour. Recette au miel et à l’oignon
N.º 2 Ingrédients 1 oignon 2-3 cuillerées de miel (50 / 75 g) Comment le préparer ?
Epluchez et coupez l’oignon en petits morceaux et mettez-le dans un récipient.
Ensuite, ajoutez-y le miel et laissez reposer le mélange toute la nuit
Le matin suivant, filtrez le mélange à travers une gaze épaisse ou une passoire et consommez la dose obtenue au cours de la journée.
Vous pouvez prendre ce remède sous sa forme brute ou le diluer dans un verre d’eau.
Il est recommandé de prendre une cuillerée de ce sirop toutes les deux heures pour obtenir de meilleurs résultats.
Quelle que soit la recette choisie, sachez que les résultats ne sont pas immédiats.
Si le remède fonctionne comme un calmant, il est tout de même nécessaire de le consommer en plusieurs doses pour qu’il soit vraiment efficace contre la toux.
Croyez-le ou non! Vous pouvez soulager vos douleurs avec du papier aluminium!
Si vous souffre de maux de dos, de douleurs dans le cou, dans les jambes ou les articulations, nous vous proposons cette astuce.
Vous disposez déjà de tous les ingrédients nécessaires dans votre cuisine. Une feuille d'aluminium Nous utilisons le papier aluminium pratiquement tous les jours, sans connaître ses propriétés curatives. Contre les douleurs dans le cou, le dos, les épaules, les genoux ou aux talons, le papier aluminium est, à votre grande surprise et pour votre plus grand bonheur, le remède à choisir!
Recouvez la zone endolorie pendant un petit moment et la douleur disparaîtra. Le papier aluminium met en oeuvre les micro-flux chargés de transporter les informations sur le fonctionnement du corps, et la douleur n'est qu'une pulsion que notre cerveau enregistre à titre indicatif.
La médecine traditionnelle chinoise décrit la bio-énergie qui circule dans les méridiens, retourne à l'état naturel et élimine ainsi la douleur résultant d'une mauvaise circulation de l'énergie. Chaque méridien est associé à un ou plusieurs organes.En régulant le flux d'énergie qui traverse tel méridien, vous pouvez également traiter l'organe relié.
Ce traitement est pratiqué depuis très longtemps par les Chinois et les Russes et a été décrit dans les travaux de Wilhelm Reich, élève de Sigmund Freud. Comment guérir les douleurs avec du papier aluminium?
Placez une feuille d'aluminium sur la zone endolorie; bras, cou, jambes, articulations, dos. Efficace également pour traiter la sciatique, l'arthrite rhumatoide et les engourdissements. Cette même procédure peut éliminer les cicatrices postopératoires.
Vous pouvez également espérer avoir de bons résultats contre la goutte. Il vous faut envelopper le doigt ou l’orteil dans une feuille d'aluminium et la fixer comme un bandage. Les guérisseurs chinois recommandent ce traitement pendant 10 à 12 jours.
Commencez par porter ce revêtement pendant une journée ou une nuit. Vous pourrez faire une pause d'une ou deux semaines si cela est nécessaire. La feuille d'aluminium est également un anti-inflammatoire puissant. Vous pourrez donc traiter le rhume. Pour ce faire, enveloppez un pied de 5 à 7 couches de papier aluminium et placez, entre chaque couche, du papier ou du coton.
Gardez cette compresse pendant environ une heure. Vous pourrez ensuite l'enlever et la remettre après deux heures. Faites une pause et recommencez une troisième fois.
Durée du traitement - 1 semaine
5 choses qui se produisent quand vous supprimez le sucre de votre vie .
Tout d’abord, sachez que le sucre en en lui-même n’est pas mauvais. Il est naturellement présent dans beaucoup d’aliments, y compris les fruits et le lait. Cela étant dit, ajouter davantage de sucre à votre alimentation n’est tout simplement pas nécessaire.
En effet, vous remarquerez que de nombreuses choses positives se produiront quand vous aurez décidé de supprimer le sucre de votre vie. Bien que les personnes vivant dans le monde occidental aient été éduquées à désirer des sucreries, ainsi que des aliments qui contiennent de grandes quantités de sucre pour le goût, nous n’en avons pas besoin. Si vous arrêtez de manger tout ce qui a du sucre rajouté, mis à part les aliments avec des sucres d’origine naturelle, vous remarquerez que 5 choses très distinctes se produiront.
1. Votre énergie va s’améliorer Ironiquement, beaucoup d’entre nous ont tendance à opter pour des aliments riches en sucre, y compris les soit-disant boissons énergisantes et boissons qui contiennent de la caféine, lorsque nous sommes fatigués. Cependant, nous sommes assurés d’avoir un niveau d’énergie plus élevé naturellement sans le sucre. En d’autres termes, tout ce sucre bloque la capacité de notre corps à maintenir nos réserves d’énergie à tous les niveaux. De plus, il n’y aura pas de complications dans l’équilibre de votre taux de glycémie, et certains accidents seront évités.
2. Votre poids va se stabiliser Le sucre vous donne envie de consommer plus de sucre, et nous ne parlons pas seulement du sucre non raffiné. Il faut avouer que la majorité des sucres ont une teneur élevée en matières grasses et / ou sont riches en glucides transformés et contiennent des tonnes d’ingrédients indésirables. Bien évidement, le sucre des fruits fait exception. En faisant une cure de désintoxication du sucre, votre corps n’aura pas besoin de faire face à toutes les calories supplémentaires. Vous aurez moins faim, et vous finirez par perdre du poids ou vous ne verrez plus la balance varier considérablement.
3. Vos intestins et votre côlon fonctionneront mieux S’ils pouvaient vous dire ce qu’ils veulent quotidiennement, ils diraient un maximum de fibres et un minimum d’aliments impurs difficiles à digérer. Lorsque vous supprimez le sucre, cela permet à votre ventre et aux intestins de réinitialiser leurs capacités à traiter ce que vous avez mangé. Vous irez peut-être même plus souvent aux toilettes … c’est une bonne chose. Cela signifie que tout est en train de redevenir normal.
4 Vous allez arrêter d’avoir envie de sucre C’est un fait: le sucre attire le sucre. Quand vous l’aurez supprimé de votre régime alimentaire, vous commencerez à ne plus avoir envie de sucré. Les fruits auront un goût beaucoup plus doux, et lorsque vous prendrez une bouchée de gâteau ou de tarte, vous serez choqué par la quantité importante de sucre qu’ils contiennent.
5. Si vous supprimez le sucre, votre peau sera plus saine Avez-vous remarqué que vous ne pouviez jamais mettre la main sur les raisons de l’apparition et la disparition de votre acné malgré toutes les crèmes, élixirs, et pommades que vous utilisez?
Il se peut que le sucre abîme votre peau de l’intérieur. Beaucoup de gens affirment que leur peau semble plus saine après avoir arrêté le sucre. Alors, prêt à démarrer votre désintoxication du sucre et à supprimer le sucre dans votre vie? Bien qu’il ne soit pas souvent recommandé de faire une cure de désintoxication du sucre, surtout si vous avez eu une dépendance au sucre toute votre vie, c’est certainement une bonne idée de commencer à réduire votre consommation de sucre dès maintenant.
Plus vous commencerez tôt, plus vous commencerez à récolter les avantages de la liberté de vivre sans sucre tôt. En fait, en prenant en considération les innombrables dangers liés à la surconsommation de sucre, l’Organisation mondiale de la santé a réexaminé ses propres lignes directives concernant la recommandation de sucre, elle ne doit pas dépasser 5% de l’apport quotidien total en calories en produits sucrés, contre 10 pour cent avant.
Commencez petit à petit à évaluer tout ce que vous mangez et buvez. Si vous êtes dépendant aux boissons sucrées et au café sucré vendus dans les cafés populaires, réduisez le nombre de fois où vous en buvez. Ensuite, encore un peu plus. Bientôt, vous ne consommerez plus de sucreries remplies de sucre.
Au fil du temps, vous pourriez l’adapter sur le plan physiologique à vos nouvelles habitudes. Rappelez-vous qu’il faut environ trois semaines pour qu’une nouvelle habitude devienne une routine confortable. Si vous avez de légers faux pas, comme grignoter une barre chocolatée après une journée stressante de travail, continuez simplement à aller de l’avant.
Les résultats de votre diligence en vaudront certainement la peine.
9 Raisons pourquoi vous êtes toujours fatigué
Des petites choses que vous faites et d’autres que vous ne faites pas peuvent vous fatiguer autant mentalement que physiquement ce qui peut rendre votre journée très difficile.
Voici quelques mauvaises habitudes qui peuvent vous faire sentir fatigué :
Vous ne faites pas de sport lorsque vous êtes fatigué
Ne pas faire du sport quand vous êtes fatigué ne fait qu’empirer votre cas. Dans une étude de l’université de Géorgie les personnes qui font de l’exercice modéré 3 fois par semaine se sentent plus énergisées que celles qui n’en font pas du tout.
Alors si vous êtes trop fatigué pour faire une séance complète de sport, prenez une longue marche, ça vous fera le plus grand bien.
Vous ne buvez pas assez d’eau
Etre un peu déshydraté nous prend beaucoup d’énergie car cela cause une diminution du volume du sang ce qui le rend plus épais et oblige le cœur à pomper plus fort.
Pour connaitre votre besoin quotidien en eau, divisez votre poids en livres(1 kilo = 2.2 livres) par deux et buvez ce chiffre en onces d’eau.
Vous ne mangez pas assez de fer
Une carence en fer peut vous faire sentir fatigué car il y a moins d’oxygène qui se transporte vers les cellules et les muscles. Mangez plus de tofu, de beurre d’arachide, de bœuf maigre, d’œufs, de noix et d’haricots rouges. Vous êtes perfectionniste Etre parfait est impossible et vous rend la vie plus difficile.
Vous fixer des buts irréalistes vous fait travailler trop fort et vous fatigue.
Soyez réaliste.
Vous sautez le petit déjeuner
La nourriture que vous mangez est ce qui vous donne l’énergie et la nuit votre corps continue de consommer de l’énergie. Au réveil vous devez remplir vos réserves d’énergie en mangeant un bon petit déjeuner.
Vous vous nourrissez de malbouffe
La malbouffe est remplie de sucre et d’agents de conservation qui vous donnent de l’énergie rapidement mais qui se consume aussi rapidement et vous vous retrouvez fatigué après quelques heures. Gardez votre glycémie normale en mangeant des protéines maigres et des grains entiers à chaque repas.
Vous avez du mal à dire “non”
Faire plaisir aux autres à vos dépends peut vous fatiguer et vous mettre en colère avec le temps. Vous n’avez pas besoin d’être toujours disponible pour les autres. Apprenez à vous respecter et à dire « non » quand la situation ne vous convient pas.
Votre bureau est désordonné
Un bureau désordonné vous fatigue en diminuant votre capacité à vous concentrer et à traiter l’information. Faites en sorte à ce qu’à la fin de votre journée de travail votre bureau soit bien rangé.
Vous travaillez pendant les vacances
Consulter vos emails pendant vos vacances vous expose à un risque de burnout. En vous déconnectant complètement de votre travail en vacances vous permettez à votre corps et votre esprit d’être plus créatifs et plus productifs lors de votre retour de vacances.