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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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santé

chimiothérapie

Publié à 15:55 par fandeloup Tags : pouvoir sur france air centre livre
chimiothérapie

Dijon : la chimiothérapie par aérosol, un nouvel espoir pour les malades du cancer

Des chirurgiens du centre Georges-Francois Leclerc, à Dijon.

 La par chimiothérapie  aérosol est en test au centre Georges-François Leclerc de Dijon. Cette technique semble très prometteuse pour certains cancers, elle provoque moins d'effets secondaires tout en étant accessible aux patients les plus faibles.

 C’est quoi la chimiothérapie par aérosol ?

"La chimiothérapie classique, c'était atroce... Avec ce traitement, j'ai de l'espoir" : quelques heures avant de passer au bloc, Jacques Braud attend dans sa chambre, étonnamment détendu, un livre à la main. Il en a vu d'autres : du haut de ses 76 ans, le malade souffrant d'un cancer de l'estomac - qui a atteint deux autres organes - entame sa deuxième chimiothérapie. Mais avec une différence cette fois. Il bénéficie d'une toute nouvelle technique mise au point depuis 2013 en Allemagne : la Chimiothérapie IntraPéritonéale Pressurisée par Aérosols, aussi appelée Pipac.

Le centre Georges-François Leclerc de Dijon est un des sept hôpitaux à la pratiquer en France Contrairement à la chimiothérapie classique, le traitement n'est pas injecté dans le sang via intraveineuse. Mais le patient est placé sous anesthésie générale pour lui ouvrir légèrement le ventre et diffuser le produit sous forme de spray. Le principal avantage de cette technique est qu'il n'y a pas d'effets secondaires nocifs "liés au passage du produit dans le sang", explique David Orry, le responsable du département de chirurgie oncologique. "On évite donc l'anorexie, l'atteinte des nerfs périphériques ou des globules blancs et rouges", qui imposent souvent d'arrêter le traitement.

"La chimio, c'est quelque chose d'épouvantable; ça vous détruit", confirme Jacques Braud, caressant ses courts cheveux blancs, encore inexistants il y a deux mois. "Je suis paralysé des extrémités des pieds et des mains, je ne sens plus rien".

Celui qui ne peut plus pratiquer la randonnée - sa passion - confirme qu'avec la Pipac, il ne subit aucun des effets secondaires provoqués par sa première chimiothérapie. Désormais, pour ses traitements toutes les deux à trois semaines, il alterne entre chimiothérapie classique et Pipac. Avec la la chimiothérapie par aérosol, le patient est placé sous anesthésie générale pour lui ouvrir légèrement le ventre et diffuser le produit sous forme de spray.

Avec la la chimiothérapie par aérosol, le patient est placé sous anesthésie générale pour lui ouvrir légèrement le ventre et diffuser le produit sous forme de spray

 Comment pratique-t-on la chimiothérapie par aérosol ?

Au bloc, les chirurgiens se penchent sur le corps endormi de Jacques Braud et pratiquent deux légères incisions de cinq centimètres au niveau de l'abdomen, avant d'y insérer des trocarts entre deux couches du péritoine, légère membrane recouvrant l'ensemble des intestins. Ils y insufflent alors de l'air et créent artificiellement une cavité, qui est une condition sine qua non de la Pipac: c'est pourquoi elle est pour l'instant réservée aux cancers gynécologiques ou digestifs.

"Vous voyez, M. Braud a plusieurs métastases sur sa paroi péritonéale", montre sur la coelioscopie le docteur Orry. "Cette membrane possède peu de vaisseaux. Donc, c'est très difficile de la soigner avec une chimiothérapie qui passe par le sang. Encore un avantage de la Pipac".

Une fois les deux injections lancées, chirurgiens, anesthésiste et infirmières sortent de la salle opératoire, du fait des risques d'inhalation en cas de fuite. Après une demi-heure d'attente, le produit est aspiré par une puissante micro-pompe et le ventre du patient se vide.

Six points de suture plus tard, l'opération est terminée. Elle aura duré deux heures, montre en main. Le soir, Jacques Braud peut regagner sa chambre et manger normalement, mais il devra rester encore deux nuits à l'hôpital à cause des risques liés à l'anesthésie générale.

Le centre Georges-François Leclerc de Dijon fait partie des hôpitaux qui pratiquent une nouvelle technique mise au point depuis 2013 en Allemagne : la Chimiothérapie IntraPéritonéale

Pressurisée par Aérosols, aussi appelée Pipac.

Quels patients peuvent bénéficier de la chimiothérapie par aérosol ?

Malgré cela, la Pipac peut être proposée à des personnes peu en forme. Pour l'instant, elle est même réservée aux patients suivant des traitements palliatifs, faute d'avoir pu encore prouver son efficacité avec une étude scientifique large. Mais des premiers retours "très prometteurs" sur ce traitement complémentaire permettent d'entretenir beaucoup d'espoir, selon l'oncologue François Ghiringhelli à l'origine de son développement depuis 2017 à Dijon.

Son coût raisonnable - un investissement de 25 000 euros pour l'injecteur puis environ 2 000 euros de matériel jetable par opération - en ferait une technique abordable. Dès cette année, le Centre de lutte contre le cancer de Nantes prépare une étude multicentrique à laquelle participera Dijon : les premiers résultats objectifs devraient tomber d'ici cinq ans.

"Demain, on pourrait appliquer cette technique à des patients moins atteints et obtenir de très bons résultats curatifs, voire même préventifs", s'enthousiasme le docteur Orry. Mais, "pour l'instant, il faut être très prudent et ne pas vendre ça comme un remède miraculeux".

Cela pourrait aussi déboucher sur l'utilisation d'autres molécules potentiellement plus efficaces, mais trop dangereuses pour passer dans le sang. Ou bien se développer pour d'autres types de cancer, comme celui de la vessie et du poumon, là où des membranes similaires au péritoine existent. Alors qu'on ne lui avait prédit "plus que deux ans à vivre", Jacques Braud va pouvoir repartir sur un projet curatif. Le septuagénaire résume : "Avec la Pipac, j'ai de l'espoir!"

Doliprane

Publié à 17:33 par fandeloup Tags : sur france enfants article
Doliprane

Rappel d'un lot de Doliprane destiné aux enfants

En raison d’un risque de surdosage, un lot de Doliprane, destiné aux enfants, fait l’objet d’un rappel de produit.

Découvrez la référence de ce médicament dans notre article.

Avis aux parents ! L’agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) ainsi que le laboratoire Sanofi-Aventis France ont décidé de rappeler un lot du médicament Doliprane 2,4 pour cent sans sucre. Il s’agit du lot 9K1361, dont la date de péremption est fixée au mois de février 2022.

Ce médicament présenté sous forme de suspension buvable édulcorée au maltitol liquide et au sorbitol est destiné aux enfants de 3 à 26 kg, soit environ de la naissance jusqu’à l’âge de 9 ans.

Vérifiez si vous utilisez ce médicament, vendu sans ordonnance, pour soigner les maux de tête, maux de dents ou encore la fièvre de votre bout de chou ! Doliprane 2,4% sans sucre pour enfants La seringue du médicament remise en cause Si le Doliprane 2,4 pour cent sans sucre fait l'objet d'un rappel, ce n'est nullement le médicament lui-même qui est remis en cause. Ce n'est donc pas le principe actif dans le médicament qui est mal dosé.

En effet, le risque de surdosage, évoqué par l'ANSM, est dû au manque de graduation sur la seringue, qui ne permet donc pas de bien doser le produit à administrer à l'enfant.

Cette absence a été relevée sur deux seringues, selon l'ANSM. Où rapporter ces médicaments?

L’ANSM recommande de rapporter ce médicament dans les pharmacies ou établissements de santé.

Si vous souhaitez avoir plus d’informationsn vous pouvez écrire au laboratoire Sanofi-Aventis, qui fabrique ce médicament, à l’adresse suivante : Sanofi-Aventis, 82 avenue Raspail, 94225 Gentilly cedex.

Vous pouvez également contacter le 0 800 394 000, si vous avez des questions d’ordre médical.

pollens

Publié à 11:56 par fandeloup Tags : photo air sur france nuit
pollens

Allergies aux pollens : une partie de la France en alerte rouge

Le risque d’allergie associé aux pollens de graminées est "élevé à très élevé" sur l'ensemble de la France.

 La saison des pollens se poursuit dans l'Hexagone. En ce début de mois de juin, c'est au tour des pollens de graminées de se disperser dans l'air. Le risque d’allergie associé aux pollens de graminées est élevé à très élevé dans toute la France. Les départements de Meurthe-et-Moselle, de la Haute-Saône, du Territoire de Belfort, du Doubs, de la Côte-D'Or, du Jura, de la Saône-et-Loire, de la Savoie, de la Drôme, de l'Ardèche, des Hautes-Alpes, du Vaucluse et des Alpes de Haute-Provence sont classés en risque très élevé.

Les autres départements sont en risque élevé, selon le Réseau National de surveillance aérobiologique (RNSA).  Seules de longues périodes pluvieuses pourront limiter la dispersion des pollens et soulageront les allergiques. Si vous vous rendez sur les côtes méditerranéennes, attention aux pollens d'olivier et de chêne, avec un risque de niveau faible à moyen. Des applications "Alertes pollens"

Le RNSA propose une application d'alertes polliniques permettant de consulter les niveaux d'alertes en fonction de sa configuration personnalisée. Vous pouvez ainsi déterminer les départements et les pollens dont vous souhaitez connaître les niveaux d'alertes. "Alertes pollens" et conseils en temps réel pour vivre son allergie sans s’enfermer.

Autres application : Pollen, qui fournit une prévision de pollinisation personnalisée pour les trois jours à venir dans votre zone.

L'alerte aux pollens de graminées devrait se poursuivre sur tout le mois de juin et juillet, avec un risque élevé. En juillet, l'armoise fait également son apparition dans l'air, avant l'ambroisie en août... Par ailleurs, la période estivale rime avec risque allergique aux pollens d'oseille, de plantain et de pariétaire.

Cancers

Publié à 17:27 par fandeloup Tags : photo base chez monde vie sur société annonce femmes
Cancers

Cancers du sein, du poumon et du pancréas : de nouveaux traitements encourageants

 La plus grande conférence annuelle de spécialistes du cancer se tient depuis vendredi à Chicago, avec des milliers de cancérologues venus du monde entier et des centaines de résultats de recherche présentés.

La plus grande conférence annuelle de spécialistes du cancer, organisée par la société américaine d’oncologie clinique (ASCO) se tient depuis vendredi à Chicago, avec des milliers de cancérologues venus du monde entier. Des centaines de résultats de recherche sont présentés, dont ceux sur le cancer du sein, du poumon et du pancréas.

 

Cancer du sein

La première grande annonce, samedi, a concerné un type de cancer du sein représentant les deux tiers de tous les cas chez les femmes avant la ménopause : les cancers du sein hormonodépendants. Les résultats d’un essai clinique international ont montré que 70% des patientes ayant pris le comprimé de la molécule ribociclib étaient vivantes trois ans et demi après le début du traitement, contre 46% pour celles ayant pris un placebo, soit une réduction relative du risque de 29%.

Le traitement s’ajoute à une hormonothérapie (les femmes ayant pris le placebo suivaient ce traitement de base). Il est moins toxique qu’une chimiothérapie traditionnelle car il cible plus spécifiquement les cellules cancéreuses, en les empêchant de se multiplier.

 

Cancer du poumon

Les bonnes nouvelles concernant l’immunothérapie continuent. L’immunothérapie est une révolution en oncologie : ces traitements-là ont pour point commun de mobiliser le système immunitaire afin qu’ils attaquent les tumeurs, qui sont maîtres dans l’art de devenir invisibles pour les globules blancs.

Des centaines de molécules sont en cours de développement et beaucoup sont déjà sur le marché. Cela ne marche pas pour tous les types de cancers, ni pour tous les malades, mais chaque année des progrès sont enregistrés, parfois spectaculaires.

Samedi, à la conférence de Chicago, les résultats du plus long suivi du médicament à succès pembrolizumab (Keytruda), sur cinq ans, ont été annoncés pour des malades du cancer du poumon non à petites cellules, le type le plus commun des deux principaux.

Près du quart des malades ayant pris du Keytruda sans avoir fait de chimiothérapie auparavant étaient vivants au bout de cinq ans (et 15% pour ceux qui avaient été traités par chimiothérapie), du jamais vu, selon le laboratoire Merck/MSD: avant l’immunothérapie, le taux de survie à cinq ans pour ce type de cancer était d’environ 5%.

 

Cancer du pancréas

Les bonnes nouvelles sont rares concernant le cancer du pancréas, l’un des plus sinistres : le patient moyen vivra moins d’un an. Mais l’essai clinique d’une nouvelle thérapie semble prometteur: un tiers des patients étaient toujours en vie au bout de deux ans.

L’annonce a été faite dimanche. Il s’agissait cette fois de patients porteurs d’une mutation du gène BRCA, liée à une hausse du risque de plusieurs cancers dont ceux du pancréas et du sein. Cette mutation est celle qui a conduit l’actrice Angelina Jolie à une ablation préventive des deux seins.

La molécule utilisée dans l’essai clinique s’appelle l’olaparib (Lynparza, laboratoires Merck et AstraZeneca), déjà approuvée notamment pour le cancer des ovaires. Les malades ayant pris l’anticancéreux ont stoppé la progression du cancer pendant 7,4 mois (médiane) contre 3,8 mois chez ceux qui ont pris le placebo.

Chez le quart des patients ayant vu leur tumeur se réduire, cette réduction s’est maintenue pendant plus de deux ans, dit l’auteure principale, Hedy Kindler, oncologue à l’hôpital de l’université de Chicago. Il ne s’agit donc pas de guérison, mais la médecin ajoute : "on peut transformer un diagnostic fatal en maladie potentiellement chronique, au moins pendant un moment, et garder la maladie sous contrôle".

sclérose

Publié à 11:42 par fandeloup Tags : vie sur france chez enfants femmes
sclérose

Santé. Cinq choses à savoir sur la  en plaques

L'IRM permet de diagnostiquer une sclérose en plaques dans la plupart des cas.

 En France, la sclérose en plaques touche 100 000 personnes. Des traitements sont disponibles, mais aucun remède n’existe à ce jour. La journée mondiale de cette maladie auto-immune se tient le 30 mai : l’occasion de faire le point sur les symptômes ou encore les signes avant-coureurs.

 Le 30 mai se tient chaque année depuis dix ans la Journée mondiale de la sclérose en plaques. Cette maladie neurologique est l’une des plus fréquentes chez les jeunes adultes. 100 000 personnes en souffrent en France, dont 1 800 en Auvergne. Xavier Maillet, neurologue au CHU Gabriel-Montpied à Clermont-Ferrand, nous en parle.

"Une maladie neurologique "

C’est une maladie inflammatoire qui touche le système nerveux central, c’est-à-dire le cerveau ou la moelle épinière, et elle peut toucher toutes les zones du cerveau ou de la moelle, c’est pour cela qu’elle peut donner des signes très variés

. Elle peut toucher les sensations, la force, l’équilibre, la vue. Il n’y a pas deux patients qui ont la même maladie, en fonction des zones d’inflammation. Normalement le système immunitaire nous protège contre les infections, fait des anticorps qui vont se débarrasser d’un virus ou d’une bactérie.

Avec la sclérose en plaques, le système immunitaire se trompe de cible : les anticorps et les cellules de défense vont attaquer le cerveau ou la moelle épinière. C’est une maladie auto-immune : le système se retourne contre le propre corps du patient

" Vivre normalement, c’est possible "

La sclérose en plaques n’est pas mortelle. Avec un traitement, l’espérance de vie est normale. Mais si on laisse évoluer la maladie naturellement, c’est sept ans d’espérance de vie en moins que la population générale. L’image qu’on a souvent des malades, c’est le fauteuil roulant.

Si on ne traite pas la maladie, si on la laisse évoluer, il y a beaucoup de patients qui au bout de 15 ou 20 ans auront besoin d’une canne voire d’un fauteuil roulant. Mais la majorité des gens ont une vie complètement normale même avec la sclérose en plaques. Ils travaillent normalement, ils ont le droit d’avoir des enfants, d’avoir une activité physique ce qui est même plutôt conseillé.

" Les jeunes et les femmes sont les plus touchés "

Les premiers signes de la sclérose en plaques apparaissent souvent chez les adultes jeunes. Le diagnostic est posé en général entre 25 et 30 ans, même si certains ont une sclérose qui commence après 50 ans. On ne sait pas pourquoi, mais les femmes sont aussi plus touchées que les hommes : la proportion est de trois quarts de femmes contre un quart d’hommes. Les hormones sexuelles peuvent jouer mais on ne sait pas exactement pourquoi.

" Les signes avant-coureurs "

S’il y a une perte de force, une perte de sensibilité qui s’installe progressivement et qui dure plus de 24 heures, il faut voir son généraliste, et il prescrira sûrement une IRM. C’est le meilleur examen pour voir les zones d’inflammation dans le cerveau. Si l’IRM montre cette inflammation, il faudra confirmer avec une ponction lombaire pour avoir tous les éléments, mais l’IRM à elle seule permet d’avoir le diagnostic chez un grand nombre de patients.

" Des traitements mais pas de remède "

Aucun remède n’existe à ce jour. On peut en revanche bloquer l’inflammation. S’il n’y a plus d’inflammation il n’y a plus de nouveaux symptômes et les malades peuvent vivre des années sans être gênés par quoi que ce soit. Il y a bien sûr des contraintes qui peuvent être liées au traitement. Les premiers traitements se faisaient uniquement par piqûre, maintenant il y a des traitements par voie orale. Il y a aussi des traitements en perfusion, une fois tous les six mois. Niveau confort cela peut être plus léger que ce qui existait, mais il y a toujours cette contrainte du traitement pour ne pas que la maladie reprenne. Les pistes de recherches portent actuellement sur des traitements qui permettraient de réparer les dégâts, et pas seulement de bloquer la maladie. Mais ce n’est pas encore disponible, cela prendra encore au mieux trois ou quatre ans."

coeur

Publié à 09:47 par fandeloup Tags : sur vie chez mode travail heureux place cadre
coeur

Bien suivre son insuffisance cardiaque ce qu’il faut faire :

Adapter votre mode de vie à votre maladie

Suivre avec rigueur le traitement qui vous est prescrit

Observer strictement votre régime

Surveiller votre poids

Qu’est-ce qui doit vous faire réagir :

Votre insuffisance cardiaque nécessite d’être surveillée. Ainsi, vous devez prêter attention à une éventuelle évolution de votre maladie. Il est donc important de bien connaître votre maladie et savoir quels signes surveiller. Faites attention à ce que vous ressentez chaque jour. Il vous sera alors plus facile de réagir rapidement en cas de problèmes.

Voici ci-dessous une liste de signes d’aggravation qui doivent vous conduire à consulter rapidement votre médecin :

Si vous avez perdu du poids depuis votre dernière consultation avec votre médecin

Si vous avez pris du poids (de 2 à 3 kg) sur une semaine

Si vous êtes de plus en plus essoufflé et ne pouvez plus effectuer les mêmes activités qu’avant

Si vous ne pouvez plus dormir en position allongée et ajoutez des oreillers pour dormir Si vous avez des problèmes de toux

Si vous avez des nouveaux gonflements au niveau de vos chevilles ou de vos jambes Si vous avez des vertiges, la tête qui tourne ou un voile noir devant les yeux, ou des sensations passagères de malaise lorsque vous passez en position debout

Si vous ressentez des douleurs thoraciques

Bien suivre son insuffisance cardiaque, c’est aussi :

Aller régulièrement chez son médecin traitant et chez les spécialistes si des rendez-vous y sont programmés Réaliser les prises de sang ou examens complémentaires demandés Connaître les signes d’aggravation qui doivent conduire à une consultation rapide avant la survenue de complications, et une adaptation du traitement

Prendre soin d’un proche insuffisant cardiaque

Rôle d'un proche Prendre soin d’une personne atteinte d'insuffisance cardiaque peut être à la fois astreignant et gratifiant. Être l’aidant de quelqu'un peut prendre des sens différents selon le moment. Vous endosserez tour à tour le rôle d'ami, de confident, d'infirmier ou d'assistant personnel. Tout dépend des besoins de votre proche. Votre but est de valoriser votre partenaire ou votre proche. N'essayez pas de tout faire vous-même pour la personne. Renseignez-vous sur l'insuffisance cardiaque. Plus vous en saurez, plus vous serez utile à la personne dont vous prenez soin.

Apportez un soutien pratique.

Aidez votre proche à surveiller ses symptômes et à prendre ses médicaments en temps utile.

Accompagnez-le lors de ses consultations chez le médecin si vous le pouvez. Vous pouvez aussi lui apporter votre aide dans le cadre des courses et des tâches ménagères.

Apportez un soutien moral. Aidez votre proche à rester positif et à adopter une attitude victorieuse « Je peux le faire et je vais y arriver ».

Les gens qui s'adaptent à leur maladie et qui en sont maîtres sont plus heureux et ont une meilleure qualité de vie. Ménagez-vous. Prendre soin d'une personne atteinte d'insuffisance cardiaque pourrait bien finir par vous fatiguer. Vos finances, votre travail ou vos relations risquent de s’en ressentir.

Dans ces moments-là, parlez-en à quelqu'un d'autre.

Un médecin, un membre de la famille, un ami, ou un groupe de soutien peuvent vous aider. Prenez du recul de temps en temps et vivez votre propre vie. Découvrez si vous avez droit à des allocations en tant qu'aidant d’une personne malade

 Les allocations peuvent entrer dans la catégorie Congés ou Aide financière. Que faire si la distance vous sépare de votre proche : Il n'est pas toujours possible de vivre à proximité de la personne dont vous vous occupez.

Si la distance vous sépare de votre proche, vous pouvez :

Établir une routine pour rester en contact.

Trouvez un moment de la journée pour passer des appels téléphoniques réguliers.

Mettre en place un plan en cas de problèmes.

Assurez-vous que la personne malade sait exactement comment faire face à un problème inattendu.

Être en mesure de contacter le médecin.

Gardez le nom et les coordonnées du médecin de votre proche à portée de main. Demander de l'aide.

Si vous êtes inquiet, demandez à un voisin, par exemple, de s'assurer que tout va bien.

tuberculose

Publié à 07:58 par fandeloup Tags : monde france saint
tuberculose

Île-de-France : la tuberculose revient en force

 Entre 2015 et 2017, les cas de cette maladie ont été deux fois plus fréquents en région parisienne que dans l'ensemble du territoire français. La tuberculose progresse en Île-de-France. Selon l'agence Santé publique France, les Franciliens sont les plus touchés par la maladie, avec une hausse de près de 10% du nombre de cas signalés dans la région entre 2015 et 2017.

"Les populations concernées par cette augmentation sont celles souffrant le plus de précarité et de promiscuité, notamment les personnes nées à l'étranger, en hébergement collectif ou sans domicile fixe et celles arrivées récemment en France", indique l'institut, dans son Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) rendu public mardi 7 mai.

L'élan d'amélioration du début des années 2000 est stoppé En 2015, 2016 puis 2017, l'augmentation observée des cas de tuberculose confirmés ou probables est inexorable : 1.758, 1.809, puis 1.927 soit une croissance de 9,6%, indique le rapport de l'organisme de prévention

. L'incidence (nombre de nouveaux cas rapportés à la population) subit elle aussi une hausse, à 15,8 cas pour 100.000 habitants en 2017 contre 14,6 en 2015. Des améliorations significatives avaient pourtant étaient constatées dans les dernières décennies.

La fréquence des nouveaux cas était ainsi passée de 24,1 cas pour 100.000 habitants en 2003 à moins de 15 entre 2011 et 2014. Alerte à la tuberculose à la prison de Fresnespar E-santé vidéos Deux fois plus fréquente en région parisienne que dans l'ensemble du territoire français, la tuberculose affecte le plus souvent les poumons, transmise par voie aérienne et peut se propager au cerveau.

Le processus de guérison, assuré par cure d'antibiotiques, est lent : 6 mois en moyenne. En Île-de-France, la Seine-Saint-Denis est de loin le département le plus touché, avec un taux de déclaration de 26,5 pour 100.000 habitants en 2017. Le BEH précise par ailleurs que "la plus forte augmentation a été observée à Paris où le taux d'incidence est passé de 13,5/100.000 en 2015 à 16,8/100.000 en 2017, soit une augmentation de 23,4%".

Les hommes, les jeunes âgés de 15 à 24 ans et les personnes nées à l'étranger, en particulier celles arrivées en France depuis moins de 2 ans, étaient les plus touchées, décrit l'étude.

"La proportion des cas de tuberculose parmi les personnes nées à l'étranger arrivées en France récemment (depuis moins de 2 ans) a augmenté significativement entre 2015 et 2017, passant de 23% à 32%", note-t-elle en particulier.

"Ces observations incitent à poursuivre et renforcer l'adaptation du dépistage de ces populations à risque", jugent ses auteurs. Au niveau mondial, la tuberculose est la maladie infectieuse la plus meurtrière, avec 1,6 million de décès par an, dont environ les trois-quarts en Inde.

taux d’incapacité

Publié à 09:44 par fandeloup Tags : sur vie texte carte maison
taux d’incapacité

Comprendre le taux d’incapacité .. Comment le taux d'incapacité est-il déterminé ?

 Pour bénéficier des prestations sociales liées au handicap, il est nécessaire que soit déterminé un taux d’incapacité. Le taux d’incapacité, c’est quoi ? Qui le détermine ? Comment ça marche ? Fixation du taux d’incapacité, tribunal du contentieux de l’incapacité (TCI), restriction substantielle et durable à l'emploi. On fait le point.

Le taux d’incapacité, c’est quoi ? Le taux d’incapacité (TI), exprimé en pourcentage, permet d’exprimer le degré de dépendance d’une personne handicapée, malade ou âgée, et l’aide dont elle doit bénéficier dans la vie quotidienne. Pour simplifier, on peut dire qu’une personne valide a un taux d’incapacité 0 % et qu’à l’autre extrême, un taux d’incapacité 100 % correspond à un état comateux ou végétatif. Ce taux est déterminé, dit la loi, « par une analyse des interactions entre trois dimensions » : la déficience (altération de fonctions), l’incapacité (limitation d’activité liée à une déficience) et le désavantage (limitation de l’accomplissement d’un rôle social normal).

Qui détermine le taux d’incapacité et comment ?

Ce sont les MDPH (Maisons départementales des personnes handicapées) qui déterminent le TI, et plus particulièrement, en leur sein, les commissions des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH). La commission ne fixe pas un taux précis mais une « fourchette » : incapacité « légère », « modérée », « importante » ou « majeure ». Les deux derniers seuils correspondent à des taux de plus de 50 %.

Le taux est fixé en cherchant notamment à comprendre si la personne est capable d’assurer seule tout ou partie des actes de la vie quotidienne (se repérer, se nourrir, s’habiller, se déplacer…). La commission s’appuie pour cela sur un texte essentiel : le guide-barème pour l’évaluation des déficiences et incapacités des personnes handicapées, dont la dernière version est parue le 6 novembre 2007 et est toujours en vigueur en 2019.

Ce long document, divisé en huit chapitres, balaie tous les champs du handicap (comportement, psychisme, locomoteur, etc.). Pourquoi définir un taux d’incapacité ? La fixation du taux d’incapacité est indispensable d’abord parce que c’est elle qui permet une reconnaissance « officielle » du handicap. Ensuite parce qu’elle ouvre, ou pas, le droit à certaines prestations sociales (carte d’invalidité, PCH, AAH, allocation d’éducation de l’enfant handicapé, etc.).

Seuls les deux « fourchettes » les plus élevées (seuil de 50 % et de 80 %) ouvrent droit, sous condition, à ces prestations.

Peut-on contester le taux d’incapacité fixé par la MDPH ?

Les cas sont fréquents de décisions incompréhensibles – et parfois dramatiques : une personne se voit attribuer un TI de 50 % par sa MDPH, ouvrant droit aux prestations sociales, puis déménage et change de département. Et la nouvelle MDPH, elle, fixe un taux inférieur, avec à la clé la fin des prestations. Il est toujours possible de contester la décision.

Depuis début 2019, le Tribunal du contentieux de l’incapacité (TCI) a disparu et les voies de recours ont changé. Les recours gracieux à la MDPH et contentieux au TCI ont été remplacés par : le recours administratif préalable obligatoire (RAPO) et le recours contentieux auprès du Tribunal de grande instance (TGI). Le recours administratif préalable obligatoire (RAPO) Il s’agit d’un courrier à adresser à la CDAPH (Commission des droits personnes handicapées) de la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH), de préférence par courrier recommandé avec accusé de réception.

Le recours contentieux auprès du Tribunal de grande instance (TGI) Cela se fait dorénavant auprès du Pôle social du Tribunal de Grande Instance dont vous dépendez. Cette démarche est gratuite et il n’est pas obligatoire de faire appel à un avocat. Pour savoir comment faire en détails, rendez-vous ici, où on vous explique tout dans une infographie sur la décision MDPH !

La question du dossier médical reste cruciale pour permette de comprendre en quoi les différentes pathologies sont handicapantes. Même au-delà de 50 % de taux d'incapacité, il est nécessaire de démontrer une restriction substantielle et durable à l'emploi. C'est-à-dire expliquer en quoi votre handicap complique l’accès à l'emploi en comparaison à une personne ayant le même profil mais sans handicap.

L’échographie

Publié à 16:47 par fandeloup Tags : femme image sur chez place
L’échographie

L’échographie du cœur au service de l'insuffisance cardiaque Qu’est-ce que c’est ?

Il existe plusieurs types d'échocardiographie. La technique utilisée pour l'insuffisance cardiaque s'appelle l’échocardiographie-doppler. Cet examen utilise les ultrasons, ondes sonores qui ne peuvent être perçues par l'oreille humaine pour examiner le cœur. Cela permet au médecin d'obtenir une image en 2 ou 3 dimensions du cœur. Il pourra alors mesurer différents paramètres comme la taille des cavités du cœur et de l'épaisseur du muscle cardiaque.

L'échocardiographie-doppler permet d'évaluer en plus sur la capacité de remplissage et de contraction du cœur et plus particulièrement du ventricule gauche qui envoie le sang dans l'organisme. C'est ce qu'on appelle la fraction d'éjection du ventricule gauche ou FEVG.

À quoi sert la fonction doppler ?

Elle permet de visualiser en temps réel le mouvement des tissus cardiaques et des flux sanguins (quantité, vitesse, sens, irrégularité éventuelle, etc..)

Dans quel cas cet examen est-il prescrit ?

L'échocardiographie-doppler est un examen clé puisqu'il permet de confirmer le diagnostic d'une insuffisance cardiaque et de suivre la maladie dans les cas suivants : Une modification de l’état de santé, L’ajout ou la modification d’un traitement pouvant modifier la fonction cardiaque, La réévaluation de la fonction cardiaque, 6 à 12 mois après le diagnostic, Réévaluation avant chirurgie.

Comment ça se passe ?

Dans la plupart des cas, le médecin utilise une sonde qu'il place sur le thorax pour réaliser l'examen. On appelle cela une échocardiographie-doppler.

À prévoir pour l'examen :

- Votre ordonnance, - Votre courrier remis par le médecin prescripteur,

- Les résultats de vos éventuelles échocardiographie-doppler précédentes et autres examens du cœur (ECG*, ECG d'effort, etc.).

Avant l'examen : Le médecin va vous questionner sur vos problèmes de santé et vos traitements (en cours ou passés). Signalez-lui toute prise de médicaments car certains peuvent être toxiques pour le cœur.

Lors de l'examen : Le médecin vous demandera de vous allonger sur sa table d'examen. Il appliquera ensuite un gel lubrifiant sur votre thorax pour favoriser le contact avec la sonde. Il va ensuite déplacer la sonde sur votre thorax pour enregistrer une image du cœur en temps réel via un ordinateur. C'est au médecin de paramétrer l'ordinateur en fonction de ce qu'il souhaite mesurer, par exemple la largeur d'une artère ou l'épaisseur d'une paroi.

À la fin l'examen : Le médecin analyse les données et vous les explique. Il vous fournira un compte-rendu de l'examen qu'il enverra également à votre médecin prescripteur. À noter qu'en fonction des résultats obtenus, le médecin peut vous prescrire des examens complémentaires pour compléter votre bilan cardiaque.

Existe-t-il des précautions particulières à prendre ?

Non. Cette technique est indolore, sans danger pour l'organisme et prescrite à tout âge (les ultrasons ne sont pas des rayons X). On utilise d’ailleurs l'échographie chez la femme enceinte pour observer le fœtus.

* ECG : électrocardiogramme

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Publié à 10:20 par fandeloup Tags : argent papier
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Méthode pour arrêter de fumer. Cette méthode s'appelle l’auriculothérapie magnétique. Cela consiste à mettre un aimant 3 à 4 heures par jour à un point précis de votre oreille et cela pendant 7 à 10 jours environ.

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