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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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santé

Vaccination

Publié à 11:17 par fandeloup Tags : femmes vie bonne sur chez
Vaccination

Vaccination contre la grippe : les connaissances des Français globalement satisfaisantes

 SANTÉ ET PRÉVENTION

Les connaissances des Français sur la grippe saisonnière sont aujourd’hui globalement satisfaisantes et leur opinion sur la vaccination antigrippale est, dans l’ensemble, favorable. C’est ce que montre le sondage conduit par l’institut d’études BVA pour le compte de l’Assurance Maladie en septembre 2018 .

Ces résultats sont particulièrement bons chez les personnes de 65 ans et plus, une des catégories particulièrement concernées par la vaccination. Elles apparaissent mieux informées et plus ouvertes à la vaccination que la moyenne des Français. La grippe, un enjeu de santé publique clairement identifié par les Français

D’une façon générale, les Français ont bien compris la dangerosité de la grippe : 95 % pensent que cette maladie peut être grave et 94 % savent qu’elle constitue une cause de décès.

Ce risque de mortalité représente d’ailleurs la première motivation pour se faire vacciner (34 % l’évoquent). La crainte d’une hospitalisation arrive en deuxième position. Près d’un Français sur 3 (29 %) estime, à juste titre, que le vaccin permet une protection collective, notamment des personnes les plus fragiles.

La vaccination est largement reconnue comme le premier geste de protection à adopter contre la grippe : 70 % des Français le savent, chiffre qui monte à 77 % chez les personnes âgées de 65 ans et plus.

Et 9 Français sur 10 savent qu’il faut se faire vacciner contre la grippe tous les ans, un taux en progression de 10 points depuis 2013. Toutes les personnes de 65 ans et plus déjà vaccinées l’an dernier se disent prêtes à se faire vacciner à nouveau cette année.

Le plus difficile semble donc être de franchir le cap, car une fois adoptée, le réflexe de la vaccination s’installe. Bonne nouvelle : il est plus simple de se faire vacciner cette année, même si on l’a jamais été ! Les Français ont bien compris que la vaccination contre la grippe saisonnière est fortement conseillée pour des personnes considérées comme fragiles.

79 % savent qu’il est recommandé de se faire vacciner à partir de 65 ans (83 % chez les 65 ans et plus) et autant savent qu’il faut se faire vacciner lorsque l’on est atteint de certaines maladies chroniques, un résultat en hausse de 14 points depuis 2013. Certaines idées reçues persistent Mais un certain nombre d’idées reçues ont la vie dure.

À peine plus d’1 Français sur 2 sait que la vaccination antigrippale est recommandée pour les femmes enceintes. Par ailleurs, 2 Français sur 10 doutent de l’efficacité de ce vaccin. Le vaccin apparaît même comme une source d’inquiétude pour près d’1 personne sur 2 : 52 % des Français pensent qu’il peut donner la grippe et 53 % estiment qu’il présente des risques ou un danger pour la santé. Les professionnels de santé, des relais indispensables pour faciliter la vaccination Les médecins continuent de jouer un rôle important pour informer et convaincre leurs patients de l’intérêt de la vaccination contre la grippe.

En parallèle, la possibilité de se faire vacciner par d’autres professionnels de santé est bien accueillie par les Français. Ils sont prêts à se faire vacciner par un infirmier (69 %) ou par un pharmacien (49 %)

Mal de dos

Publié à 18:04 par fandeloup Tags : internet société photo sur vie center
Mal de dos

Mal de dos : un nouveau traitement miracle

Le "mal du siècle" touche la plupart d'entre nous. Ne serait-il bientôt plus qu'un lointain souvenir ?

On dit de lui qu'il est le mal du siècle ! Le mal de dos nous concerne tous : 9 Français sur 10 en souffrent, et les 18-24 ans ne sont pas épargnés puisque 84% d'entre eux déclarent en avoir déjà souffert .

Mais ce mal de dos ne serait-il bientôt plus qu'un lointain souvenir ? Les recherches, en tout cas, se veulent encourageantes, selon une étude diffusée à la mi-octobre par un communiqué de l'American society of anesthesiologists au cours de leur réunion annuelle à San Fransisco.

D'après les résultats, il s'avère que la neurostimulation des ganglions rachidiens (situés près de la moelle épinière et donc de la colonne vertébrale) peut aider les patients souffrant de douleurs chroniques au dos en réduisant efficacement la douleur. Même un an après "Les personnes participant à l'étude qui ont reçu une stimulation des ganglions rachidiens (DRG) ont signalé une amélioration significative de la douleur même après un an, ce qui est remarquable" , a déclaré Robert J.

McCarthy, auteur principal de l'étude et professeur d'anesthésiologie (qui comprend anesthésie et réanimation) au Rush university medical center de Chicago. "Les patients avaient essayé de nombreuses thérapies, des médicaments à la stimulation de la moelle épinière en passant par la chirurgie, mais ils n’avaient eu aucun soulagement durable de la douleur.

Pour la plupart, la stimulation par DRG a amélioré leur qualité de vie" a-t-il ajouté. Afin de mener à bien ses recherches, l'équipe de scientifiques a suivi 67 patients ayant subi une implantation permanente d'un stimulateur de ganglions rachidiens pour douleurs chroniques des membres inférieurs et du dos.

Les patients ont été évalués pour la douleur, l’impression globale de changement et le degré d’incapacité sur 1 mois, 3 mois, 6 mois, 12 mois et 18 mois après l’implantation définitive.

Les chercheurs ont comparé les résultats entre la période de référence et la période de suivi la plus longue. Les résultats ont montré que les scores de douleur (sur une échelle de 1 à 10, 10 étant la pire) étaient passés de 8 à 5 après implantation.

Quasiment tous les patients (94%) ont déclaré que le traitement était bénéfique et qu’il améliorait leur qualité de vie. Etude réalisée par OpinionWay pour Vexim, société experte dans la traumatologie du dos, auprès d’un échantillon de 1009 Français représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

CONTRE LE MAL DE DOS, IL FAUT BOUGER

Contrairement aux idées reçues, contre le mal de dos, il faut bouger : c'est ce que préconise l'assurance-maladie sur son site internet. En cas de lombalgie, ce mal de dos qui touche le bas de la colonne vertébrale, "pour faire passer la douleur et ne pas la laisser s’installer, il faut continuer à bouger". Or, pour près de la moitié des Français (45%), en cas de lombalgie, le première chose à faire est de se reposer, selon un sondage BVA publié en avril.

signes avant-coureurs

Publié à 18:03 par fandeloup Tags : nature bonne sur chez enfants article amis divers
signes avant-coureurs

13 signes avant-coureurs et symptômes d'une tumeur cérébrale 

Les tumeurs cérébrales sont diagnostiquées lorsqu'il y a un développement de cellules inhabituelles qui se forment dans n'importe quelle section du cerveau ou dans les tissus entourant la région. Bien que les tumeurs cérébrales puissent être cancéreuses ou non cancéreuses, il est important d'être au courant des signes avant-coureurs afin de les détecter rapidement.

Qu'elles soient bénignes ou pernicieuses, toutes les variétés de tumeurs cérébrales entraîneront divers problèmes de santé consécutifs selon la région d'où elles surgissent. 

Ces types de tumeurs peuvent commencer dans ton cerveau, mais souvent le cancer germe dans d'autres organes et se propage ensuite au cerveau. Ces types de tumeurs cérébrales sont appelées métastatiques ou secondaires. Les types de cancers qui peuvent se propager à ton cerveau sont le cancer du sein, du rein, du mélanome, du poumon ou du côlon.

Selon l'emplacement et le type de tumeur, les symptômes des tumeurs cérébrales sont vastes et peuvent être très variés. C'est parce que les différentes régions du cerveau qui peuvent développer des tumeurs contrôlent différentes fonctions corporelles, ce qui signifie que les symptômes varient grandement. Certains types de tumeurs peuvent même ne présenter aucun symptôme tant qu'elles ne se sont pas développées en quantité substantielle, ce qui entraîne des problèmes de santé extrêmes, même si elles sont bénignes.

 

1. Maux de tête qui s'aggravent

2. Vomissements ou nausées

3. Changements dans ta vision

4. Changements dans ton ouïe ou ton élocution

5. Convulsions

6. Problèmes d'équilibre

7. Sensations de picotement ou d'engourdissement dans les bras ou les jambes

8. Fatigue

9. Somnolence

10. Troubles du sommeil

11. Troubles de la mémoire

12. Changements de personnalité ou dépression

13. Difficulté à accomplir les tâches quotidiennes

 

Quand il s'agit de santé, il vaut mieux être prudent que dans le regret. Tu devrais consulter ton médecin si tu ressens l'un de ces symptômes. Cependant, ne crois pas que tu as une tumeur au cerveau juste parce que tu as remarqué un des signes avant-coureurs. De nombreux problèmes de santé peuvent se manifester par les mêmes types de symptômes. Enregistrer Facteurs de risque pour les tumeurs cérébrales Bien que les médecins ne soient pas sûrs de la cause des tumeurs cérébrales primaires, ils savent que de nombreux facteurs peuvent augmenter tes risques de développer ces tumeurs.

 

 

1. Âge: un facteur de risque simple pour le développement d'une tumeur cérébrale est le vieillissement. Les tumeurs cérébrales sont plus susceptibles d'apparaître chez les adultes plus âgés, mais elles peuvent avoir un impact sur n'importe qui, même les enfants.

 

2. Radiation: l'exposition aux rayonnements est également un facteur de risque pour le développement de tumeurs cérébrales. Les types de rayonnements comprennent les rayonnements ionisants tels que la radiothérapie utilisée pour le traitement du cancer ou l'exposition aux rayonnements provenant des bombes atomiques.

 

3. L'hérédité: les personnes ayant des antécédents familiaux de tumeurs cérébrales risquent de développer elles-mêmes des tumeurs. Il faut se rappeler que de nombreux autres problèmes de santé peuvent présenter les mêmes symptômes que les tumeurs cérébrales. Assure-toi que tes proches et toi n'ignorez pas certains de ces signes vitaux.

Si tu remarques des changements alarmants dans ton état de santé ou l'un des symptômes énumérés ci-dessus, il est important de consulter ton médecin pour s'assurer que tu restes en bonne santé.

Si tu as trouvé cet article utile, envoie-le à tes amis et à ta famille pour qu'ils soient au courant de ces symptômes! Nos contenus sont créés au meilleur de nos connaissances, mais ils sont de nature générale et ne peuvent en aucun cas se substituer à une consultation individuelle avec ton médecin. Ta santé est importante pour nous!

digérer

Publié à 06:21 par fandeloup Tags : sexe sur chez article nuit
digérer

Combien de temps faut-il à notre corps pour digérer différents types d’aliments, et pourquoi est-il vital de le savoir ?

 L’impact de la digestion sur la perte de poids est très important. Comme tu l’as sûrement déjà entendu à différentes reprises :

“Nous sommes ce que nous mangeons”. Bien sûr, le temps exact nécessaire au processus de digestion dépend en grande partie de la santé physique, du métabolisme, de l’âge et même du sexe de chacun. Mais en général, certains aliments sont digérés très rapidement, alors que d’autres nécessitent beaucoup plus de temps.

 Si nous voulons donner une définition simple au mot “digestion”, c’est un processus par lequel les aliments que nous mangeons sont décomposés en petites particules, qui seront ensuite réparties dans tout notre corps depuis notre système digestif par l’intermédiaire de la circulation sanguine. Il est donc important de comprendre combien de temps est nécessaire à notre corps pour digérer ce que nous mangeons, afin de nous aider à perdre du poids ou à ne pas reprendre ce qui a déjà été perdu.

 

Aliments de digestion rapide

Si tu manges beaucoup d’aliments de digestion rapide, tu remarqueras que tu mangeras beaucoup plus que tu ne le devrais, car peu de temps après les avoir ingérés, ils auront déjà totalement disparu, et tu auras de nouveau faim très rapidement.

Ce type de repas te donnera une rapide augmentation de ton niveau d’énergie, en d’autres termes, un pic dans ta glycémie. Et bien que ça paraisse génial, si ton corps en est saturé et que tu n’utilises pas immédiatement cette énergie, elle sera alors transformée en graisse.

 

Aliments de digestion lente

 Les aliments de digestion lente font monter ta glycémie beaucoup plus lentement, ce qui te procurera une énergie plus stable et plus équilibrée. Mais si tu ne manges que ce genre de produits, tu feras travailler constamment ton système digestif à son niveau maximum, et à la longue, cela peut être très éprouvant pour ton corps.

Les spécialistes suggèrent de ne pas mélanger entre eux les aliments ayant différents types de temps de digestion, en évitant par exemple de manger des aliments de digestion rapide juste après avoir mangé des aliments de digestion lente, car tu n’aurais pas encore terminé de digérer les premiers, et tu surmènerais donc ton estomac.

Le moment où tu peux éventuellement accumuler les différents types d’aliments serait lors du déjeuner, au moment où ton système digestif est le plus actif. Les petits-déjeuners et dîners devraient être plus légers, et contenir de préférence des aliments de digestion rapide, afin de te donner un rapide regain d’énergie, puis laissant ton estomac se reposer la nuit.

 

1. Eau

Pénètre immédiatement dans les intestins

 

2. Jus de fruits ou de légumes

Passent 15 à 20 minutes dans l’estomac

 

3. Légumes crus

Passent 30 à 40 minutes dans l’estomac

 

4. Légumes cuits

Passent 40 minutes dans l’estomac

 

5. Poisson

Passe 45 à 60 minutes dans l’estomac

 

6. Salades avec huile

Passent une heure dans l’estomac

 

7. Légumes contenant de l’amidon

Passent une à deux heures dans l’estomac

 

8. Céréales (riz, blé, sarrasin, quinoa)

Passent deux heures dans l’estomac

 

9. Produits laitiers

Passent deux heures dans l’estomac

 

10. Noix

Passent trois heures dans l’estomac

 

11. Poulet

Passe 1h30 à 2h dans l’estomac

 

12. Viande de bœuf

Passe trois heures dans l’estomac

 

13. Viande d’agneau

Passe quatre heures dans l’estomac

 

14. Viande de porc

Passe cinq heures dans l’estomac

maladie de Raynaud

Publié à 14:35 par fandeloup Tags : rouge sur texte air voiture
maladie de Raynaud

La maladie de Raynaud : quand les mains et les pieds s'engourdissent et changent de couleur dans le froid

Le phénomène de Raynaud (que l'on appelle aussi « la maladie de Raynaud », « le syndrome de Raynaud » ou simplement « la Raynaud ») est une maladie à cause de laquelle les vaisseaux sanguins des mains et des pieds se contractent en réaction à des températures basses ou à du stress, ce qui fait que les doigts et les orteils changent de couleur et sont froids et engourdis.

On estime qu'environ 5 % des Américains ont la maladie de Raynaud. La maladie de Raynaud peut être primaire (la cause est inconnue et les symptômes sont en général légers) ou secondaire (quand elle se déclare en tant que conséquence d'un problème médical ou de la prise de certains médicaments ; dans ce cas de figure, ses symptômes sont plus préoccupants).

Les symptômes de la maladie de Raynaud Il est normal que les vaisseaux sanguins qui sont proches de la peau se rétrécissent quand ils sont exposés à des températures basses mais, quand un patient a la maladie de Raynaud, les vaisseaux deviennent trop étroits et coupent temporairement l'approvisionnement en sang des doigts et des orteils (il est rare que le nez, les oreilles et les mamelons soient aussi affectés).

En général, une crise de maladie de Raynaud dure deux ou trois minutes mais, dans certains cas, elle peut durer des heures. Les symptômes de la maladie de Raynaud comprennent ce qui suit : les doigts, les orteils ou les autres zones affectées sont froids et engourdis ; les zones affectées changent de couleur et deviennent blanches ou bleues puis reprennent leur couleur rouge quand la circulation sanguine redevient normale ; le patient a une sensation de picotement ou de brûlure quand la circulation sanguine vers les zones affectées reprend. Bien que cela arrive rarement, la maladie de Raynaud peut provoquer des lésions cutanées et engendrer une gangrène dans les cas graves.

Les causes de la maladie de Raynaud On ne sait pas vraiment ce qui provoque la maladie de Raynaud primaire.

Les causes de la maladie de Raynaud secondaire comprennent ce qui suit : certaines maladies, dont le scléroderme, l'arthrite rhumatoïde, l'athérosclérose, le lupus, le syndrome de Sjögren et les troubles thyroïdiens ; les actions répétitives comme taper du texte sur un clavier, jouer du piano et travailler avec des outils qui vibrent comme les marteaux-piqueurs et les perceuses ; les engelures ; les traumatismes aux mains ou aux pieds ; l'exposition à certains produits chimiques, dont le chlorure de vinyle et la nicotine ; certains médicaments, dont les bêtabloquants que l'on utilise pour traiter les problèmes de tension artérielle élevée.

Comment prévenir les crises de maladie de Raynaud

Si vous avez la maladie de Raynaud, il existe des mesures que vous pouvez prendre pour éviter l'arrivée d'une crise. Essayez ce qui suit : habillez-vous chaudement quand vous sortez alors qu'il fait froid ; protégez-vous les mains et les pieds avec des chaussettes chaudes et des gants ou des moufles chauds ; réchauffez votre voiture avant de la faire rouler par temps froid ; si le stress déclenche des attaques, essayez d'utiliser des techniques de relaxation pour soulager le stress ; habillez-vous chaudement quand vous allez à un endroit où il y a de l'air conditionné ; faites régulièrement des exercices physiques pour améliorer la circulation dans vos extrémités ; si vous prenez des médicaments qui affectent la circulation sanguine, demandez à votre médecin s'il peut en ajuster le dosage ou prescrire un autre médicament pour que vous n'ayez pas les symptômes de la maladie de Raynaud.

bactériophages

Publié à 09:20 par fandeloup Tags : bretagne monde bonne france sur chez animal pouvoir place centre
bactériophages

Les bactériophages, des virus qui remplacent les antibiotiques

 Avec l’émergence de «superbactéries» résistant à tous les traitements, une approche thérapeutique revient au goût du jour.

En Suisse, l’Université de Lausanne et le CHUV y travaillent. Microbe contre microbe: pour lutter contre les bactéries infectieuses, les chercheurs et les médecins se tournent désormais vers… des virus.

Plus précisément vers les bactériophages qui sont leurs prédateurs naturels. La situation devient en effet inquiétante.

Les bactéries font de plus en plus fréquemment de la résistance aux antibiotiques, ces médicaments très efficaces mais trop –et mal– utilisés. Au point que depuis la fin de l’année dernière, des cas de micro-organismes pathogènes insensibles à tous les médicaments ont été repérés en Chine, en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis.

Mais aussi en Suisse.

En février, d’après La Liberté, deux professeurs de l’Université de Fribourg ont isolé, chez un patient genevois, la première souche de colibacille au monde qui résiste à la colistine et aux carbapénèmes, des antibiotiques de la dernière chance. Le phénomène prend de l’ampleur et, en l’absence d’alternative à ces médicaments, l’économiste britannique Jim O’Neill prédit que ces microbes résistants pourraient provoquer dix millions de décès d’ici à 2050!

L’alternative existe cependant: elle réside dans l’emploi des bactériophages. Comme tous les virus, ceux-ci ont besoin de la machinerie d’une cellule hôte pour se multiplier. Leurs cibles sont des bactéries qu’ils détruisent une fois leur réplication terminée.

Chaque phage ne s’attaque d’ailleurs qu’à une bactérie particulière et même à un nombre limité de souches d’une espèce donnée. De quoi on parle Depuis 2015, on assiste en Suisse et dans d’autres pays à l’apparition de bactéries pathogènes résistant à tous les antibiotiques disponibles.

«Si l’on n’agit pas en urgence, c’est la fin des antibiotiques», selon Thomas Frieden, directeur du CDC (Centre américain pour le contrôle et la prévention des maladies). Pour sortir de cette impasse, les médecins comptent désormais sur les bactériophages, des virus qui tuent naturellement les bactéries et sont inoffensifs pour l’être humain.

Faciles à trouver et à cultiver

Ces virus ont de nombreux avantages. Ils sont présents «partout où il y a des bactéries», souligne Grégory Resch, maître-assistant suppléant au département de microbiologie fondamentale de l’Université de Lausanne (UNIL). Notamment dans les sols et l’eau. Le chercheur et ses collègues isolent d’ailleurs leurs bactériophages «à partir d’échantillons d’eaux usées que nous récupérons notamment à la station d’épuration de Vidy».

En outre, ces micro-organismes sont relativement faciles à cultiver et peuvent être conservés plusieurs années à 4 degrés. Surtout, ils sont inoffensifs pour l’être humain et ils ne s’attaquent pas aux bactéries de l’intestin. Les phages ont déjà été utilisés en médecine humaine au début du XXe siècle (lire encadré). Mais, avec l’arrivée des antibiotiques, beaucoup plus faciles à utiliser, ils sont tombés en désuétude.

Actuellement, seuls quelques pays d’Europe de l’Est en font encore grand usage. Notamment la Russie, la Géorgie, ainsi que la Pologne, où les médecins «parviennent à guérir de 30 à 50% de leurs patients atteints d’infections pulmonaires ou urinaires dues à des bactéries multirésistantes», souligne Grégory Resch.

En pointe dans le domaine, la Suisse compte jouer un rôle important Les bactériophages ont désormais le vent en poupe, mais leur utilisation dans le traitement des infections nécessite encore de nombreuses recherches. Dans ce domaine, l’UNIL et le CHUV, qui se sont lancés dans l’aventure il y a cinq ans, comptent jouer un rôle important.

SwissPhage devrait y contribuer. «Ce projet est encore en construction», précise Philippe Moreillon, président de son comité de pilotage et vice-recteur de l’UNIL. Il vise à doter l’hôpital vaudois d’un «centre de production de phages, respectant les règles en vigueur de «bonnes pratiques de fabrication» qui sera à la disposition d’autres hôpitaux». Il est aussi prévu d’établir une plate-forme de diagnostic, «qui recevra les échantillons en provenance des patients et qui pourra identifier les bactéries qui les infectent, afin de déterminer quels phages doivent être utilisés pour les traiter».

Un troisième volet concernera les recherches cliniques, qui porteront notamment sur les éventuels effets secondaires des thérapies. Les procédures mises en place pour cultiver les phages sont en cours de négociation avec Swissmedic. Philippe Moreillon estime qu’en dehors de l’étude Phagoburn, «un premier patient pourrait bénéficier de la phagothérapie d’ici à environ deux ans».

Une seule injection pourrait suffire L’émergence de bactéries résistant aux antibiotiques les remet donc au-devant de la scène. Toutefois, pour que les bactériophages puissent recevoir une autorisation de mise sur le marché, il faut que leur fabrication réponde aux critères très stricts de «bonne pratique de fabrication» et de «bonne pratique des essais cliniques». Les chercheurs ont donc remis l’ouvrage sur le métier. C’est le cas de l’équipe de l’UNIL, qui travaille depuis plusieurs années sur le sujet.

Elle a notamment montré que, chez un animal modèle ayant une endocardite (infection au niveau des valves cardiaques), «les phages, injectés seuls, sont aussi efficaces que les antibiotiques et, quand ils sont associés à ces médicaments, ils ont une efficacité décuplée», précise Grégory Resch. C’est d’autant plus intéressant, sachant que les antibiotiques s’éliminent de l’organisme et nécessitent un traitement de plusieurs jours, alors que «les phages se multiplient dans les bactéries avant de les détruire.

On peut rêver: une seule injection pourrait suffire pour traiter la maladie», selon Philippe Moreillon, vice-recteur de l’UNIL et président du comité de pilotage du projet SwissPhage (lire encadré). Le premier essai clinique européen de phagothérapie, Phagoburn, a démarré en juillet dernier, en France , en Belgique et en Suisse.

Il vise à tester la phagothérapie sur des grands brûlés (particulièrement sensibles aux infections) infectés par le Pseudomonas aeruginosa ou l’Escherichia coli. Le CHUV est partie prenante à ce programme mais, faute de patients infectés par ces bactéries, il n’a pas encore pu démarrer les essais. «L’hôpital est trop propre, dit en riant Philippe Moreillon, ce qui est une très bonne nouvelle pour les patients.» D’autres essais sur l’être humain sont programmés et maintenant, de nombreux pays –dont la Suisse- ont inscrit la lutte contre l’antibiorésistance parmi les priorités de leur politique sanitaire. De quoi accélérer le développement de la phagothérapie.

La première observation a été faite en Inde La capacité de tuer les bactéries des bactériophages a été observée pour la première fois dans les années 1890 par le bactériologiste britannique Ernest Hankin. Travaillant en Inde, il a été surpris de ne trouver que très peu de vibrions du choléra dans les eaux du Gange. Il en a conclu que le fleuve renfermait des «particules» –il ne savait pas qu’il s’agissait de virus– ayant un pouvoir antibactérien. En 1917, le Franco-Canadien Felix d’Hérelle a isolé ces «particules», qu’il a nommées bactériophages, dans les selles de patients infectés.

«Il a constaté qu’en introduisant de grandes quantités de phages dans les puits de villages en Inde, on pouvait éradiquer une épidémie de choléra en deux jours au lieu de sept», explique Grégory Resch, microbiologiste à l’UNIL. Il a donc proposé d’utiliser ces phages en médecine humaine, ce qui a été fait jusqu’à l’arrivée, dix ans plus tard, des premiers antibiotiques.

règle

Publié à 08:27 par fandeloup
règle

Waouh pas évident

Maladie de Buerger .

Publié à 07:57 par fandeloup Tags : chez
Maladie de Buerger .

Maladie de Buerger . Qu’est-ce que c’est ?

C'est une maladie des vaisseaux sanguins. Aussi appelée thrombo-angéite oblitérante, la maladie de Buerger est une atteinte inflammatoire (vascularite) des artères de petits et moyens calibres ainsi que des veines superficielles des membres.

Elle survient majoritairement chez des sujets fumeurs âgés de plus de 40ans, de sexe masculin dans 75% des cas. Cette maladie rare, de diagnostic difficile, est marquée par son fort risque d’amputation des membres inférieurs .

L’association avec une forte intoxication tabagique est quasi constante (95%) et s’explique par l’action vasoconstrictrice de la nicotine contenue dans le tabac.

alimentation

Publié à 18:12 par fandeloup Tags : éléments vie moi bonne homme sur femme prix coup animal pouvoir place sport
alimentation

De l’erreur de manger crudités et salades

 On nous le dit et on nous le rabâche : “ Fruits & légumes: au moins 5 par jour “ Par contre, à aucun moment n’est expliqué comment les manger. Pour moi c’est aussi ridicule que d’entendre: “ Faites du sport ou faites des abdos pour perdre du ventre “.

FAUX et ARCHI-FAUX

L’organisme ne fonctionne pas comme ça. Mais ils s’agit d’un autre débat… Il ne se passe pas une semaine sans que je n’entende des propos tels que :

“ Je ne comprends pas, je ne mange que des salades le midi et une soupe le soir, et je ne perds pas de poids, je suis toujours ballonnée et gonflée “.

Ou encore mieux :

“ Oh ! J’ai une vie saine, je ne mange pas de gluten, je ne prends pas de produits laitiers et je ne mange que des choses saines et des salades “.

Et alors, celle qui me plait par dessus tout : “ Je vois une diététicienne qui me fait manger des salades et crudités…“ Et d’autres que je vous passe parce que la liste est longue.

*Je prends une grande inspiration, une grande expiration* et avant de rentrer dans le vif du débat, brossons le schéma du principe de digestion. L’Estomac est métaphoriquement comme un récipient. Une marmite qui reçoit le bol alimentaire. ||

Pour ceux qui ne sont pas sûrs, le bol alimentaire est le résultat des aliments mâchés et mêlés de salive, prêts à être digérés qui descend depuis le gosier jusqu’à l’estomac. ||

Ce récipient qu’est l’estomac a besoin de chaleur, de feu, pour pouvoir décomposer le bol alimentaire et redistribuer toutes les qualités nutritives de nos aliments. Ce feu sous la marmite est produit, d’une part par les reins, et d’autre part par la rate. La chaleur ainsi produite va enclencher le processus de la digestion. Il n’y a pas de digestion harmonieuse sans chaleur.

De plus, sans cette chaleur, nous ne pouvons pas transformer le bol alimentaire en énergie. Les crudités, les salades, les repas froids en général vont venir léser l’estomac et forcer l’organisme à fonctionner trop fort. L’image est la suivante: si vous mettez une casserole d’eau froide sur le feu, il va lui falloir du temps avant que l’eau arrive à ébullition. Maintenant, si vous mettez une eau tiède dans votre casserole, vous réduisez le temps pour que cette eau arrive à bonne température. Il en est de même pour l’estomac.

Lorsque vous envoyez ce que nous, praticiens en médecine chinoise appelons “du froid”, dans l’estomac, celui-ci ne va pas pouvoir transformer votre bol alimentaire et rate et reins vont dépenser une énergie folle pour créer de la chaleur. Du coup, les précieux nutriments (vitamines, oligo-éléments, minéraux, enzymes…) que nous croyons assimiler nous coûtent cher et nous épuisons l’organisme sans garantir du tout leur assimilation.

Et voici l’erreur que nous commettons en mangeant froid : souvent, très souvent, du fait de notre rythme de vie moderne, notre rate et/ou nos reins sont déjà dans un état de déficience énergétique.

D’ailleurs posez-vous tout de suite ces questions :

Est-ce que mes selles sont molles ?

Est-ce que ma digestion est lente ?

Est-ce que j’ai des problèmes de constipation ou de diarrhées ?

Est-ce que j’ai du mal à prendre ou à perdre du poids ?

Est-ce que j’ai souvent un coup de barre en début d’après-midi ou après les repas ?

Est-ce que je suis souvent ballonné(e) ?

Est-ce que je fais des bleus facilement ? Est-ce que j’ai des gaz ?

Est-ce que mon ventre est froid ?

Je suis une femme, est-ce que j’ai des problèmes liés aux règles ?(trop courtes, trop longues, absentes, etc…)

Je suis un homme, est-ce que j’ai des problèmes d’érection, d’éjaculation précoce ou de spermatorrhées ?

Et la liste est longue mais, si déjà là vous répondez oui à au moins 2 de ces questions, évitez de manger cru, évitez au maximum de manger froid. La grande explication du cru

Les défenseurs de la crudité et de la salade à tout va partent de l’idée que l’aliment cru constitue la nourriture « la plus naturelle » pour l’être humain puisque cet aliment vivant conserve toutes ses vitamines.

Ce qui, de fait, impliquerait que l’aliment cuit ne serait pas si bon pour la santé. Il est important de bien communiquer sur un même niveau. En effet, un fruit ou un légume cru est plein de vitamines, d’oligo-éléments, de minéraux et autres enzymes et acides gras essentiels.

Maintenant, est-ce que notre organisme peut assimiler tous ces éléments à l’état naturel ? Souvent non. De plus, nous savons maintenant de manière scientifique que le fait de faire chauffer les aliments à feu doux ou à la vapeur permet une meilleure libération et une meilleure assimilation de leurs qualités nutritives sans en détruire les précieuses vitamines et nutriments.

 

1. Lequel a plus de potassium ?

1/2 tasse de brocoli cru ou 1/2 tasse de brocoli cuit ?? Réponse: le brocoli cuit !! Le cru a 144 mg de potassium , tandis que le brocoli cuit a 229 mg ! votre dose journalière recommandé de potassium est de 4200 mg. On voit ici l’importance et la place pour les potages de légumes cuits !

 

2. Lequel a plus de vitamine A (bêtacarotène) ?

1/2 tasse de courgettes cru ou une 1/2 tasse de courgettes cuites ? Réponse: La portion de courgettes crues a 113 UI , tandis que 1/2 une tasse cuite courgettes a 1 005 UI. (https://fr.wikipedia.org/wiki/Unit%C3%A9_internationale)

Que faire alors ?

La médecine chinoise nous l’explique depuis des millénaires. Il nous suffit de faire cuire partiellement nos aliments frais. Blanchir les légumes est la solution pour que notre organisme fonctionne de manière optimale. Il suffit que nos aliments soient saisis mais encore croquants. Simple non ?!

Les fruits peuvent majoritairement être mangés crus et en dehors des repas (au moins 1h30 après le repas), mais pourquoi ne pas se faire une petite compotée mi-cuite régulièrement ? Surtout l’hiver. Pour aller plus loin… Quelques petites règles à essayer de mettre en place:

• Il est recommandé de ne pas finir le repas par un fruit ou par du sucré en général.

• Essayez de conserver le fruit et de le manger au loin de vos repas du matin ou du midi.

• Évitez de boire glacé.

• Essayez de boire de l’eau tiède ou un thé léger pendant les repas. Je sais que cela touche fortement à notre héritage socio-culturel qui lui, favorise le verre de vin au repas.

• Ne terminez pas votre repas par une glace ou un esquimau l’été (ni l’hiver bien sûr). • Évitez à tout prix les produits issus du lait de vache.

• Ne mangez/buvez rien qui sorte directement du frigo. Enfin, Une seule règle est universelle dans la tradition chinoise : celle du juste milieu et de la recherche de l’équilibre.

Confucius lui-même disait: « Les aliments doivent être cuits correctement. Plus on y est attentif, mieux c’est. Toute nourriture altérée, avariée, malodorante, de couleur incorrecte ou mal cuite ne doit pas être consommée » « Les aliments cuits renforcent la résistance du corps face à la maladie, parce que leurs nutriments sont digérés et absorbés plus facilement » Zang En Qin (Chinese Medicated Diet).

Dr. Richard Wrangham , Docteur en Anthropologie explique comment la cuisson a propulsé l’évolution et le développement du cerveau humain. Selon ses recherches, la cuisson des aliments nous donnerait plus d’énergie : “ Pour les humains d’aujourd’hui, la cuisson est naturelle et manger cru serait non-naturel. Les humains ne ressemblent à aucun autre animal parce que ils se sont biologiquement adaptés à manger des aliments cuits. Manger cru est beaucoup plus énergivore et nous procure moins de nutriments pour le même temps de mastication ». Mangez sainement, bougez correctement.

Source : Sain et naturel

cervicobrachialgie

Publié à 10:02 par fandeloup Tags : mode sport vie
cervicobrachialgie

La cervicobrachialgie cette douleur qui part du cou jusqu’au bras _ cervicobrachialgie est une névralgie du plexus brachial, c’est-à-dire qu’une racine nerveuse est compressée ou irritée entre les vertèbres, elle désigne une douleur touchant la nuque et l'un des bras du patient Il est également possible qu’elle provoque des maux de tête, des difficultés à bouger le cou, des vertiges et des nausées.

Le moindre mouvement peut devenir la source de gênes intenses. Les causes de la cervicobrachialgie: Parmi les causes importantes de la cerviobrachialgieon peut citer :

-Une dysfonction cervicale puisque le blocage d’une vertèbre accélère la dégénérescence des articulations vertébrale et par conséquent du disque intervertébral

-Les périodes de stress et d’angoisse prolongées. Il faut donc bien apprendre à gérer nos émotions.

-A ne pas négliger aussi le rhumatisme ainsi que les maladies dégénératives -Des lésions provoquées par un accident ou une pratique régulière et excessive de sport , parmi les lésions les plus fréquentes on cite les luxations ou les fractures musculaires. Les traitements de la cervicobrachialgie:

-Lacerviobrachialgie nécessite dans la plupart des cas une intervention d'un professionnel, puisque chaque cas d'un patient atteint de cerviobrachialgie dois se traiter individuellement.

-Le patient est mené à prendre des médicaments qui réduisent l'inflammation à la source du malaise.

-Une période de repos ainsi qu'un changement de mode de vie est nécessaire pour les personnes souffrant de troubles musculaires.

-Adapter la physiothérapie peut être aussi un traitement efficace afin d'apaiser les douleurs et de restaurer le mécanisme des muscles.