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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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santé

bactéries

Publié à 13:13 par fandeloup Tags : air vie monde histoire mode nature soi
bactéries

Les bactéries sont des organismes unicellulaires sans noyau, donc des procaryotes.

Leur rôle pour l'environnement et nous-mêmes est multiple, leurs actions pouvant être positives ou négatives (cas de bactéries pathogènes).

On sait depuis déjà longtemps comment les bactéries se modifient, s'adaptent, en fonction de leur environnement, et depuis peu on commence à comprendre la dynamique de ces modifications, ce qui ouvre de nouveaux et fascinants champs d'étude

Les bactéries, leur monde et nous

Les bactéries sont des organismes unicellulaires sans noyau, donc des procaryotes. Leur rôle pour l'environnement et nous-mêmes est multiple, leurs actions pouvant être positives ou négatives (cas de bactéries pathogènes).

Description et étude des bactéries

Une bactérie, ça n'existe pas : un récent changement de point de vue. Comment peut-on écrire « une bactérie, ça n'existe pas », alors qu'il est si facile de regarder une bactérie au microscope !

Il existe de très gros manuels consacrés à la description des bactéries, ces organismes minuscules et innombrables, dits « procaryotes » parce que, contrairement à nos cellules d'eucaryotes, elles n'ont pas de noyau, mais un ADN replié directement dans leur cytoplasme.

Mode de vie des bactéries

Au début des années 1980, on croyait presque tout savoir sur les bactéries, sur La bactérie ! On a alors voulu connaître la manière dont ces bactéries vivent dans la nature. Et là on est allé de surprise en surprise.

Conditions de vie des bactéries :

l'adaptation En raison de leur petite taille et de leur structure dépourvue de noyau et d'organites, les bactéries sont généralement considérées comme « simples ». On les oppose aux organismes pluricellulaires, dont l'être humain est le plus complexe, et on en déduit que l'évolution est orientée vers un accroissement de complexité. Que les bactéries soient plus petites que les métazoaires, c'est clair. Mais qu'elles soient « simples » paraît moins évident.

Bactéries : les mécanismes de la régulation

Les mécanismes de ces régulations sont maintenant bien connus. C'est en étudiant la régulation des enzymes permettant à E. coli de consommer le lactose que Monod et Jacob ont pu proposer en 1961, le modèle dit de « l'opéron lactose », prototype de tous les modèles de régulation.

L'environnement des bactéries

Qu'est-ce que l'environnement des bactéries ? La définition ne va pas de soi. Les bactéries sont minuscules, leur environnement est-il une petite « couche » autour d'elles ? Mais alors de quelle taille ? Et que signifierait tenir compte des interactions avec leur environnement, si on définissait celui-ci à priori par une distance à l'extérieur des bactéries ? Donc, il faut s'y prendre autrement, et définir l'environnement précisément en fonction des interactions.

Bactéries : les relations symbiotiques

Les relations entre les bactéries et les autres organismes peuvent être conflictuelles : par exemple les nématodes ou les protozoaires mangent les bactéries, ou des bactéries nous rendent malades, voire nous tuent. Comme ce pouvoir pathogène des bactéries est très important pour nous, il a été très étudié.

Histoire des bactéries et histoire de la vie

L'environnement des bactéries ne se limite pas au microenvironnement. Certaines interactions peuvent se faire à beaucoup plus longue portée, voire embrasser la Terre tout entière. L'histoire de l'oxygène va nous servir d'exemple pour comprendre de quoi il s'agit.

Rôle des bactéries

Une autre conséquence, tout aussi importante, est souvent ignorée. C'est un équilibre entre les organismes produisant et les organismes consommant l'O2, tel que la concentration globale d'O2 dans l'air reste constante au niveau de l'atmosphère de la Planète entière !

La microbiologie et son environnement

La microbiologie est la science qui étudie les microbes, et en particulier les bactéries. Science récente, puisqu'elle date du milieu du XIXe siècle, elle a eu un développement irrégulier.

alzeimer

Publié à 17:05 par fandeloup
alzeimer

Ma tête bat la campagne, elle erre, nue,dans les méandres de ses peurs, labyrinthe de tant d’horreurs. Elle s’effraie en cauchemars, se voilant parfois de cafard. Elle crie dans le silence, victime de tant d’offenses. Ma tête n’aura pas cent ans, elle aura sombré avant. Les démons se cachent, sournois, dans un coin du crâne .Ma tête s’évade au loin, elle s’en va, sans bruit ! Elle perd sa lucidité, sa mémoire s’en est allée. Dans ma tête, un voile noir a recouvert tous mes espoirs, éffaçant tous mes souvenirs, dans un long et dernier soupir.

présure

Publié à 08:56 par fandeloup Tags : merci air papier bleu animaux extrait nature
présure

LA PRÉSURE - SAVEZ-VOUS CE DONT IL S'AGIT ?

La Présure, c'est quoi?

La plupart des fromages contiennent de la présure d'origine animale, notamment tous les AOC.

La présure est une enzyme appelée "chymosine" contenue dans le suc gastrique que l'on prélève de la caillette du veau ou de l'estomac de l'agneau.

Elle a la particularité de provoquer la coagulation du lait.

Cette présure animale est imposée par la réglementation en vigueur pour les fromages sous appellation d'origine (AOC) et les fromages sous label rouge.

Il est à noter que les présures industrielles sont de nature chimique.

Préparation de la présure:

De même que pour les ferments la présure peut être également achetée à l'extérieur.

Toutefois à la différence des souches de ferment du commerce la présure peut être fabriquée localement.

Cette fabrication nécessite du matériel de laboratoire et sera donc entreprise avec l'aide d'un laboratoire de la capitale (Université par exemple).

Obtention des caillettes:

Les caillettes doivent être obtenues à partir de veaux non encore sevrés de préférence.

Compte tenu de la quantité annuelle de présure à obtenir: 120 litres environ de présure liquide de force 1/10.000 et du rendement qui est d'environ 2 caillettes pour 1 litre, il faudra 240 caillettes par an.

Préparation des caillettes:

Celles-ci doivent être lavées et débarrassées des veines et de la graisse.

Les caillettes sont ensuite gonflées avec de l'air de façon à éviter le contact entre les deux parois et doivent prendre la forme d'une balle dont le col et la base sont ficelés.

Suspendre les caillettes gonflées dans un endroit sec et ventilé.

Le séchage complet doit intervenir après environ 1 mois de stockage.

A ce stade, les caillettes aplaties peuvent être conservées dans un endroit sec pendant une longue période sans apparition de phénomènes de putréfaction (environ 1 an).

Macération:

Au moment de leur utilisation les caillettes doivent être découpées en fines lanières de 5 millimètres de large.

Dans une cuve pouvant être nettoyée facilement tel que plastique ou inox, faire macérer les lanières de caillette dans une solution contenant 10% de chlorure de sodium et 1% de benzoate de sodium.

Pour une production trimestrielle de 30 litres de présure, 60 caillettes seront macérées dans 40 litres de cette saumure.

Ajuster la solution au pH 4.30 avec de l'acide benzoique après 24 heures de macération à une température de l'ordre de 20 à 25°C. Faire écouler le liquide dans un récipient.

Dans la même cuve de macération et en gardant les mêmes caillettes, renouveler le bain d'extraction 4 à 5 fois afin d'épuiser complètement les caillettes.

Chaque bouillon obtenu subira par la suite le même traitement  et servira à la standardisation de la force de la présure obtenue avec le bouillon le plus concentré, celui du premier passage.

Traitement du liquide:

Afin d'éliminer les mucillages en suspension dans le bouillon réacidifier avec de l'acide chlorhydrique jusqu'à pH 4.8 et laisser reposer pendant deux heures.

Remonter le pH du bouillon à l'aide de phosphate disodique jusqu'à pH 5.50–5.60.

Ces 2 actions doivent se faire sous une forte agitation.

Filtrer le liquide sur papier Watmann.

La filtration peut être longue et nécessite de répartir le contenu du bouillon sur plusieurs filtres.

L'extrait brut de présure obtenu est en général de couleur jaune d'or. Détermination de la force:

Définition:

la force coagulante est le nombre de volumes de lait coagulé par un volume de présure en 40 minutes à 35°C.

En pratique, la force de la présure liquide doit être de l/10.000 (1 litre de présure coagule 10.000 litres de lait à 35°C en 40 minutes).

Conditionnement-stockage:

La présure doit être conditionnée dans des bouteilles de verre opaque ou dans des jerrycans fortement teintés (bleu ou noir) puis stockée dans des frigos à la température de 5° à 7°.

Dans ces conditions de stockage la présure garde son activité pendant trois mois.

Emprésurage du lait

Il est recommandé dans un premier temps d'effectuer des tests de coagulation sur des petits volumes avec le lait de fromagerie afin de redéfinir des quantités de présure à employer pour retrouver le même temps de coagulation que celui obtenu préalablement avec la présure en poudre de force 1/100 000.

La Transformation Laitière:

Il existe cependant une présure microbienne, exempte de sus gastrique d'animaux. Certaines plantes ont également la capacité de "cailler" et solidifier le lait pour en faire un fromage. Pourtant, cette dernière alternative sans souffrance n'est pas mise à l'ordre du jour des grands industriels.

Donc, choisissez des fromages avec présure microbienne, ou simplement ne consommez plus de fromages laitiers.

Vous trouverez aussi quelques fromages au soja, et pas simplement des "tartinables", mais aussi des fromages solides, fondants, délicieux et goutus tel que le Cheezly, le SojaChiz' ou le gouda rond YAKSO .

somnolence

Publié à 17:47 par fandeloup Tags : air nuit animal
somnolence

Somnolence au volant ...Déficit de sommeil :

les conseils avant de prendre la route. En conduite nocturne, sur des longues distances ou des lignes droites, la fatigue accentue la perte de vigilance. La somnolence au volant est reconnue comme la première cause de mortalité sur autoroute, à l'origine de 35 % des décès en 2011. Dans les centres Centaure, les sociétaires Groupama sont sensibilisés au risque routier, et en particulier aux conséquences du défaut de sommeil sur la route. Suivez leurs conseils pour prendre la route en toute sécurité...

Qu'est ce que l'hypovigilance ?

Ce sont des épisodes de somnolence qui surviennent au volant sur des longues distances. Dans cet état intermédiaire entre la veille et le sommeil, l'organisme dispose de facultés d'observation et d'analyse très réduites.

Même s'ils ne vont pas jusqu'à l'endormissement, ces épisodes de somnolence ont de multiples conséquences dont certaines peuvent être fatales si vous êtes au volant.

Un accident sur trois sur autoroutes est lié à la somnolence. Chaque année, 1,5 million d'automobilistes confrontés à cette baisse de vigilance mettent des vies en danger.

Apprendre à reconnaître les signes précurseurs de somnolence

C'est que l'endormissement vous gagne... Certains signes de baisse de la vigilance sont déjà connus : bâillements répétés, clignements des paupières, picotement des yeux, tête lourde...

Mais d'autres signes, moins perceptibles, doivent aussi vous alerter car ils signalent un besoin de sommeil.

Si vous avez des difficultés à maintenir une trajectoire et une vitesse constante, si vous éprouvez des douleurs dans le cou ou dans le dos, si la station assisse devient inconfortable, si vous avez du mal à vous concentrer, si vous ouvrez une fenêtre pour faire entrer de l'air frais dans l'habitacle...

Comment prévenir l'hypovigilance ?

Avant de prendre la route : dormir suffisamment et manger convenablement L'être humain est un animal diurne, la nuit est faite pour dormir.

Il est donc préférable de respecter son rythme biologique pour satisfaire son besoin naturel de sommeil.

Qu'elle soit due à une mauvaise qualité ou à une quantité insuffisante de sommeil, la « dette de sommeil » favorise les états de somnolence.

Plusieurs nuits consécutives écourtées de 2 heures de sommeil ont le même résultat que si vous preniez le volant après une nuit blanche.

Et pourtant, un vacancier sur deux réduit son temps de sommeil avant le départ, selon une étude TNS Sofres de juin 2011.

Nos conseils : levez-vous à l'heure habituelle, choisissez un horaire de départ adapté à vos habitudes de sommeil et alimentez-vous sainement (légumes, fruits, viande...)

Pendant le trajet : faire des pauses régulières et s'hydrater Faites des pauses toutes les deux heures sur une aire de repos ou de service. Profitez-en pour marcher, vous aérer et vous restaurer légèrement, si nécessaire.

Hydratez-vous régulièrement, en buvant de l'eau ou une boisson stimulante, comme le thé ou le café.

Une idée à retenir, même si vous êtes proche de votre destination ! En effet, 65 % des accidents corporels ont lieu à moins de 15 kilomètres du domicile.

santé

Publié à 16:19 par fandeloup Tags : france
santé

Renforcer l’accès aux soins en milieu rural.

 Les déserts médicaux en milieu rural ne sont pas un mirage. En milieu rural, il devient parfois difficile de s'adresser à certains professionnels de santé

- médecins généralistes ou spécialistes, voire infirmiers ou kinésithérapeutes.

En France, la densité de médecins, c'est-à-dire leur nombre moyen pour 100 000 habitants varie considérablement selon les régions. En Picardie par exemple, le nombre de médecins est inférieur d'un tiers à la moyenne française.

En zone rurale, 30 % des médecins installés ont plus de 60 ans, contre seulement 19 % en zone urbaine.

Prés de 60 % des médecins généralistes travaillent seuls à leur cabinet.

Dans certaines zones rurales, ils sont peu nombreux et débordés. En 2009, Groupama et la Mutualité sociale agricole (MSA) ont mis sur pied une expérimentation appelée Pays de santé.

Les pays de santé regroupent trois à cinq cantons des départements de Dordogne et des Ardennes, deux territoires choisis pour leur fragilité en termes de couverture médicale.

Les professionnels de santé peuvent y bénéficier de services de coordination de l'offre de soins, ainsi que de services mutualisés pour les tâches administratives et la gestion de leur cabinet.

Chaque pays de santé dispose d'un « Conseil de pays de santé », fruit d'une démocratie sanitaire locale, où siègent les habitants du secteur intéressés par le projet.

Un conseiller, lui-même professionnel de santé, constitue la pierre angulaire de ce dispositif et coordonne les actions comme chef de projet.

Une expérimentation prévue pour trois ans.

Pays de santé doit permettre aux professionnels de se sentir moins isolés dans l'exercice de leur métier, à travers la mise en place de services et de solidarités locales.

À l'issue de cette expérimentation, un bilan sera dressé et des financements recherchés par les conseillers pour pérenniser le dispositif.

coeur

Publié à 14:49 par fandeloup Tags : france
coeur

Prenez le pouls de vos artères avec Cœur Attitude.

20 millions de français concernés par les maladies cardiovasculaires.

Ces maladies sont la deuxième cause de mortalité en France, après le cancer.

Chaque année, environ 120 000 personnes sont victimes d'un infarctus du myocarde, et 130 000 d'un accident vasculaire cérébral.

Si certains des facteurs de risque à l'origine des maladies cardiovasculaires ne sont pas évitables (âge ou antécédents familiaux), d'autres peuvent être supprimés ou contrôlés, tels le tabagisme, l'élévation du taux de graisse dans le sang (l'hypercholestérolémie), une mauvaise alimentation ou l'absence d'exercice physique...

Connaître rapidement ses facteurs de risque de maladie cardiovasculaires.

Groupama SA a lancé en 2007 l'opération Cœur Attitude auprès de ses salariés pour leur permettre de connaître leurs éventuels risques cardiovasculaires et d'être accompagnés dans leur prise en charge.

Sur la base du volontariat, et de façon totalement anonyme, le personnel a été invité à effectuer des tests médicaux à jeun  glycémie et cholestérol , puis à rencontrer un médecin extérieur à l'entreprise. Le résultat est un calcul individuel des facteurs de risque, et la sensibilisation de chaque participant à la réduction de ceux-ci.

Plus d'un millier de personnes ont accepté de participer à Cœur Attitude en deux ans.

Afin de compléter ses actions de prévention auprès de ses salariés, Groupama SA mène régulièrement des campagnes de sensibilisation au tabagisme, à une alimentation équilibrée, et à la pratique d'exercices.

sein

Publié à 13:25 par fandeloup Tags : vie bonne france femme sport
sein

Cancer du sein : prévenir la récidive.

Plus le cancer du sein est grave lorsqu’il est diagnostiqué, plus le risque de récidive est important ! 7 à 8 % des patientes opérées d’un cancer du sein récidivent dans les dix ans qui suivent l’intervention, 15 à 18 % dans les vingt ans.

C’est pourquoi une surveillance post-opératoire rigoureuse et une bonne observance des traitements préventifs sont essentielles. Les explications de Krishna Clough, chirurgien cancérologue à l’Institut du Sein.

En France, une femme sur neuf développera un cancer du sein au cours de sa vie.

Pour éviter les récidives, un traitement est systématiquement proposé aux patientes après l’intervention chirurgicale.

Reste ensuite à effectuer des contrôles réguliers et à adopter une bonne hygiène de vie pour prévenir les rechutes.

Beaucoup de progrès ont été réalisés ces dernières années dans le traitement du cancer du sein ; c’est un cancer dont on guérit dans un grand nombre de cas.

L’intervention chirurgicale, qui consiste en l’ablation de la tumeur (chirurgie conservatrice) ou de la totalité du sein (mastectomie) est suivie le plus souvent d’un traitement préventif par radiothérapie, chimiothérapie ou hormonothérapie.

La radiothérapie concentre des rayons pour détruire localement les éventuelles cellules cancéreuses résiduelles.

La chimiothérapie utilise des médicaments anticancéreux qui agissent sur les cellules malignes, soit avant l’intervention chirurgicale, afin de réduire la taille de la tumeur, soit après, pour prévenir le risque de rechute.

Enfin,l’hormonothérapie propose des médicaments qui empêchent l’action stimulante des hormones féminines sur la croissance des cellules cancéreuses.

Un suivi indispensable

Après les traitements, un suivi du cancer du sein est indispensable. Il permet de détecter le plus tôt possible les signes d’une éventuelle rechute ou l’apparition d’un cancer dans l’autre sein. Vous verrez votre médecin plusieurs fois par an pendant les cinq premières années, puis chaque année par la suite. Il vous prescrira la réalisation d’une mammographie et, éventuellement, d’une échographie mammaire de contrôle. Ce suivi a également pour objectif de traiter d’éventuels effets indésirables tardifs et de veiller à votre qualité de vie après les traitements.

Adopter une bonne hygiène de vie

Pendant et après les soins en cancérologie, une activité physique modérée améliore la qualité de vie et diminue la sensation de fatigue. On en effet constaté des effets positifs sur l’anxiété, la dépression, le sommeil, l’image du corps et le bien-être. La pratique d’une activité physique après un traitement pour cancer du sein réduit le taux de récidive de 24 % et le risque de mortalité de 34 %. Accompagné par des professionnels, conseillés par les établissements hospitaliers, il s’agit de retrouver progressivement une activité physique de 30 minutes par jour en bougeant, en marchant, en nageant ou en pratiquant un sport adapté. De même, le respect d’une alimentation équilibrée et la diminution de la consommation d’alcool et de tabac contribuent à réduire le risque de récidive.

boeuf

Publié à 11:22 par fandeloup Tags : france animaux animal bretagne
boeuf

Grande-Bretagne : du bœuf contaminé par la tuberculose exporté en France.

Nouvel épisode dans le scandale de la viande.

Selon le Sunday Times , repris par le Figaro, 28 000 bêtes abattues au Royaume-Uni et testées positives à la tuberculose seraient offertes à la consommation en France, Belgique et Pays-Bas chaque année. De grandes enseignes comme les supermarchés Tesco, Sainsbury's, ou Waitrose, ainsi que les chaines McDonald's et Burger King ont refusé de vendre cette viande.

En France, selon le Sunday Times, la viande serait écoulée essentiellement dans des cantines scolaires ou les restaurants hospitaliers.

Une partie de cette viande est transformée en nourriture pour animaux.

Les bêtes testées positives sont retirées des troupeaux afin d'éviter d'autres contaminations, moyennant une compensation de l'Etat à l'éleveur.

Une agence vétérinaire publique (Animal Health and Veterinary Laboratories Agency) les revend ensuite, en toute connaissance de cause, à un abattoir du Sommerset, filiale du grossiste en viande irlandais ABP UK.

Les carcasses sont exportées sans étiquetage particulier. Un risque de transmission faible

L'exportation de cette viande est légale car le risque de contamination à l'être humain est très faible, selon les experts scientifiques.

Mais si le risque est faible, il n'est pas nul pour autant. Il faut savoir que les élevages français sont exempts de tuberculose et que le développement de cette maladie peut prendre des années donc il est difficile de remonter à la cause de contamination.

Le lait peut également être porteur de la bactérie. L'agence de santé du Royaume-Uni a lancé une nouvelle étude pour tenter d'établir l'origine des cas de contamination récente à la tuberculose.

«Cette pratique devrait être immédiatement arrêtée. Il est bizarre qu'une agence publique soit impliquée là-dedans. Le principe de précaution devrait s'appliquer lorsqu'il s'agit d'alimentation et de santé», a réagi Laurent Pinatel, porte-parole de la Confédération paysanne dans le Sunday Times.

Le grossiste ABP reconnaît que «environ dix à vingt animaux sont traités chaque semaine» envoyés à la France sous forme de carcasses.

vaccin

Publié à 10:28 par fandeloup Tags : vie chez enfants france
vaccin

Vaccination : où en êtes-vous ?

Plus de 3 millions de personnes sont sauvées en France chaque année grâce à la vaccination. Pourtant, la couverture vaccinale diminue en France. Parce que de nombreux jeunes adultes et adolescents n'ont pas fait leur rappel de vaccination ROR, on assiste aujourd'hui à une résurgence de l'épidémie de rougeole. Pour éviter de contracter cette maladie grave, mais aussi d'autres infections, il en encore temps de vous faire vacciner.

L'importance d'une protection vaccinale

La vaccination permet de nous protéger contre les virus et les bactéries qui sont à l'origine des maladies infectieuses. Grâce à la vaccination, de nombreuses maladies infectieuses telles que la poliomyélite, la diphtérie ou la variole ont été éradiquées en France. Cependant il reste encore des maladies contre lesquelles une large couverture vaccinale est essentielle : la coqueluche, la rougeole, la rubéole... Se faire vacciner, dans l'enfance comme à l'âge adulte, contribue à préserver sa santé et permet d'éviter la transmission de ces maladies infectieuses. En se vaccinant, on protège aussi les autres.

Des vaccins obligatoires

Pour protéger l'ensemble de la population, certains vaccins sont obligatoires pour les enfants et les professions à risque. On se fait vacciner contre la diphtérie depuis 1938, le tétanos depuis 1940, la poliomyélite depuis 1964. L'immunité d'une personne vaccinée contre le tétanos dure environ dix ans, c'est pourquoi il est important de tenir à jour son carnet de santé et d'effectuer des rappels. Il existe des vaccins associés qui permettent de se protéger à la fois contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche et la poliomyélite. Le vaccin ROR, qui nécessite deux injections, protège contre la rougeole mais également contre la rubéole et les oreillons. Il est proposé gratuitement aux adolescents qui n'auraient pas reçu leur deuxième injection dans l'enfance. Les vaccins contre l'hépatite B, le pneumocoque ou le méningocoque C ont été récemment introduits dans le calendrier vaccinal, ce qui explique le faible taux de protection de la population contre ces maladies.

Des vaccins recommandés

Le BCGest recommandé dès la naissance et jusqu'à 15 ans chez les enfants exposés à un risque élevé de tuberculose, résidant notamment en Ile-de-France et en Guyane.

La vaccination contre l'hépatite B, très efficace contre cette maladie du foie, est recommandée dès l'âge de 2 mois et jusqu'à 15 ans.

Les nourrissons sont particulièrement concernés par la vaccination contre le pneumocoque et le méningocoque C, qui sont sources d'infections graves, mais un rattrapage peut être effectué à partir de l'âge de deux ans.

La vaccination contre lepapillomavirus humain (HPV), virus responsable de 70 % des cas de cancers du col de l'utérus, est conseillée à toutes les jeunes filles de 14 ans, avant le début de leur vie sexuelle.

Un rattrapage est possible jusqu'à 23 ans sous certaines conditions. Enfin, la vaccination contre la grippe est recommandée chaque année, notamment à partir de 65 ans.

Dans tous les cas, il n'est jamais trop tard pour se faire vacciner ! Si vous constatez que certains rappels n'ont pas été faits à temps, il vous suffit de consulter votre médecin traitant qui reprendra votre programme de vaccination là où il a été interrompu.

drogue

Publié à 20:10 par fandeloup Tags : internet enfant vie chez
drogue

Les jeunes et la drogue.

Propices à l’expérimentation et à la consommation de drogues, les vacances d’été riment souvent avec discothèques, soirées sur la plage ou chez des copains. 42% d’entre eux reconnaissent avoir déjà fumé du cannabis et 7% se définissent comme des consommateurs réguliers. D’autres drogues sont également prisées comme l’ecstasy ou la cocaïne.

Quel attrait revêt la drogue pour les jeunes ?

Sont-ils conscients des risques ?

On n’est pas sérieux quand on a dix-sept ans

Il n’existe pas une drogue, mais des drogues. Le cannabis, l’ecstasy, la cocaïne, l’héroïne, le cristal meth ou les amphétamines ont un point commun, elles agissent sur le cerveau. Premiers concernés, les jeunes expérimentent l’une ou plusieurs de ces substances psychoactives de plus en plus tôt. A 17 ans, 41,5 % des jeunes de 17 ans ont déjà testé le cannabis, 3,3 % la cocaïne et 2,9 % l’ecstasy. La prévention est essentielle pour les aider à ne pas devenir des consommateurs réguliers, ce qui pourrait entraîner des conséquences graves pour leur santé, leur vie relationnelle ou leurs études. Connaître les risques et les dangers des drogues, savoir à qui s’adresser pour s’informer et en parler, toutes les réponses figurent dans ce dossier.

La consommation de substances psychoactives par les adolescents et les jeunes adultes est aujourd’hui une préoccupation importante des familles et des pouvoirs publics, face à une augmentation des comportements à risque. En effet, à un âge où se joue l’avenir social et professionnel des jeunes adultes, la consommation de drogues met en danger leurs performances scolaires, leur sécurité (violence, rapports sexuels non désirés, accidents de la route) et leur maturation cérébrale, avec des conséquences négatives sur leurs performances futures et leur prédisposition à la dépendance. Des consultations jeunes consommateurs ont été mises en place depuis 2004 à destination des jeunes qui souhaitaient en savoir plus.

Un effet sur le fonctionnement du cerveau

Les drogues ou substances psychoactives illicites, qu’elles soient naturelles ou de synthèse, ont toutes un point commun : elles agissent sur le fonctionnement normal du cerveau. Les psychostimulants, comme les amphétamines, l’ecstasy ou la cocaïne augmentent la vigilance et diminuent la sensation de fatigue. Les opiacés, comme la morphine ou l’héroïne, ont un effet de sédation. Enfin, le cannabis et le LSD transforment la perception de la réalité. Toutes ces substances augmentent dans le cerveau la libération d’une molécule fabriquée par les neurones, la dopamine. Celle-ci active un circuit de neurones appelé le « circuit de la récompense » qui renforce les comportements alimentaires ou sexuels à travers une sensation de plaisir cérébral. En activant artificiellement cette partie du cerveau, la consommation régulière de drogues perturbe la recherche du plaisir et entraîne des phénomènes de dépendance.

Les risques et les dangers de la drogue

Dès la première consommation de substance psychoactive, les risques existent. La consommation d’une drogue avant de conduire un véhicule (automobile, deux-roues, machine agricole?) provoque une altération de l’attention qui peut avoir des conséquences sur les mouvements. La consommation de cannabis entraîne des troubles du comportements (attention, mémoire?) et augmente le risque de maladie mentale.

La prise de cocaïne provoque des troubles du risque cardiaque, une instabilité de l’humeur et une dépendance psychique importante. Les effets d’euphorie et de stimulation liés à sa consommation laissent la place à un état dépressif et anxieux. Enfin, selon les modes de consommation, les risques de transmission du virus du sida ou des hépatites B et C sont réels.

Des lieux pour se faire aider

Les jeunes qui s’interrogent sur les conséquences de leur consommation de substances illicites et qui souhaitent se faire aider peuvent s’adresser à l’une des 280 consultations jeunes consommateurs mises en place par les pouvoirs publics. Anonymes et gratuites, ces consultations offrent une information personnalisée, une écoute et une aide pour arrêter et si nécessaire, une orientation vers des structures de soins. Elles peuvent également accueillir les familles, sans leur enfant, afin de les conseiller. De nombreux sites Internet permettent aussi de s’informer sur les dangers des drogues et sur les mesures de prévention existantes, ainsi que le service téléphonique Drogues Info Service au 0 800 23 13 13.